C'est dans le mensonge que la vérité commence. [TERMIÉE] ^

John Lerouge à encore frappé. Une femme blonde, 1m75, une vingtaine d’années. Lisbon s’empara aussitôt du dossier qui avait préalablement été posé sur son bureau. Elle se dirigea dans la pièce ou se trouvaient Chô, Rigsby et Van Pelt, puis les mis au courant du meurtre de la veille.

Lisbon : Chô, Rigsby, allez récolter des informations auprès du voisinage. Van Pelt et Ja… où est-il encore ?

Alors que les deux confrères étaient déjà partis, Grâce regarda sa patronne d’un air interrogateur.

Lisbon : Tant pis ! Van Pelt, venez avec moi.

Elles partirent donc ensemble sur les lieux du crime, prenant chacune les petites affaires dont elles auraient sans-doute besoin.
Sur le chemin, Grâce observait encore Teresa d’une façon assez étrange. Celle-ci soupira.

Lisbon : Quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça depuis toute à l’heure ?
Van Pelt : Je… que s’est-il passé avec Jane ?
Lisbon : Comment ça, « que s’est-il passé avec Jane ? » ? répéta-t-elle.
Van Pelt : Vous savez, depuis l’autre soir ou vous avez travaillé tout le deux… J’ai l’impression qu’il s’est passé quelque chose. Je me trompe ?
Lisbon : Exactement ! Vous vous trompez. En plus, on est arrivé. Dit-elle, pour changer le sujet de la conversation.

Grâce n’insista pas et suivis Lisbon qui sorti de la voiture au pas de course. Pendant que Vam Pelt inspectait les alentours, Teresa se dirigea vers l’agent Bosco, qui curieusement, était en compagnie de Jane.

Lisbon : Qu’est ce que vous fichez ici ?! Hurla-t-elle après Patrick.
Jane : Lisbon ! dit-il avec une once d’ironie. Je suis arrivé avant vous au bureau, et j’ai vu le dossier.
Lisbon : Mais vous vous foutez de moi ?… Je rêve ! Soupira-t-elle en se passant une main sur le visage. Je vais vous rafraîchir la mémoire Jane. VOUS, consultant. MOI, patronne, chef, directrice… vous saisissez ?
Jane : Oh je vois. Ajouta-t-il d’un air mi-sérieux, mi-moqueur. Mais je vous rappel que…
Bosco : Ouh ouh. Je vous signal que vous êtes sur les lieux d’un crime là. Rétorqua-t-il en coupant la parole au consultant.
Lisbon : Hum. Souffla-t-elle en envoyant un regard noir à Jane. Qu’est ce que vous savez de la victime ? lança-t-elle à l’agent Bosco.
Bosco : Elle était mannequin. Vous pourrez, sans doute, l’apercevoir sur bons-nombres de sites internet, sa carrière démarrait très fort.
Lisbon : Et qu’est ce qui vous fait dire que c’est John Lerouge ?
Jane : Mais enfin Lisbon… soupira le jeune homme. Regardez son cou, elle à été égorgée ! Et ces ongles de pieds, peint avec son sang… c’est John Lerouge !
Lisbon : Et pourquoi pas un imitateur ? Le mode opératoire de John Lerouge n’est plus un mystère ! N’importe qui aurait pu…
Jane : N’importe qui ? Je reconnaitrais un de ses meurtres entre mille !

De son coté, l’agent Bosco s’éloigna discrètement des deux perturbateurs. Une fois retourné, il sourit lorsqu’il les entendit se disputer, encore…

Jane : Qu’est ce que s’est que se regard, là ?
Lisbon : Quel regard ? Je… je ne vois pas de quoi vous parler.
Jane : Oh si ! Vous savez très bien. Et vous, vous voulez en parler.
Lisbon : Tiens donc ! Et parler de quoi ? Insista-t-elle en baissant le ton de sa voix.
Jane : De se qui s’est passé, la semaine dernière. Murmura-t-il.
Lisbon : Jane ! Cria la patronne. Arrêtez avec ça ! Chuchota-t-elle en se rendant compte du monde autour d’eux.
Jane : Allez Lisbon, vous en mourriez d’envie. Ria-t-il.
Lisbon : Très bien. Avoua-t-elle en soupirant. On s’est embrassé, et après ? On travaillait tout le deux sur une affaire qui trainait depuis deux ans, on était fatigué, à bout de nerfs… ça ne voulait rien dire ! C’était une façon de… se félicité pour avoir résolu l’affaire.
Jane : Waouh. Bien argumenté ! S’étonna-t-il. Mais comment voulez-vous le faire croire, si vous-même vous n’y croyez pas ?

Lisbon ne répondit rien, et fixa Jane qui s’en allait prendre des nouvelles chez l’agent Bosco.

Génial ta fic, J'adore!!!!!!!!!


L'histoire risque d'être intéressante avec Bosco, Red John, Jane et Lisbon!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Lorsque Lisbon reprit ses esprits, elle se retourna et se dirigea vers Van Pelt. Celle-ci fixa sa patronne puis lui fit un signe négatif de la tête, comme pour lui dire qu’elle n’avait rien trouvé d’utile à l’enquête. Teresa s’éloigna alors, derrière le grand bâtiment qui ornait le parc dans lequel avait été découvert le corps sans vie de la victime. Là, elle s’appuya contre le mur en cachant son visage dans sa main, puis soupira. Elle attrapa aussitôt un objet dans sa poche, puis en sortit une cigarette ainsi qu’un briquet.
Jane, toujours à l’affut du moindre petit écart de ses collègues, avait suivit discrètement des yeux la jeune femme qui se trouvait être sa supérieur. Il jeta un rapide coup d’œil à gauche, puis à droite, et se mit enfin à la poursuite de Lisbon. Ne sachant pas exactement où elle était, il accéléra le pas au coin de l’immeuble, et manqua de lui foncé dedans, faisant tombé sa cigarette au passage.

Lisbon : Mais ça va pas ?! Vous êtes malade !
Jane : Non, je m’inquiétais. C’est une cigarette ?! S’étonna l’homme en voyant sa patronne la ramasser.
Lisbon : Bonne déduction, M. le Détective ! D’un ton moqueur.
Jane : Je… suis désolé pour toute à l’heure. Je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise.
Lisbon : Non, c’est… moi qui vous demande pardon. Cette affaire John Lerouge commence vraiment à m’emmerder ! Cet enfoiré ne laisse jamais d’indice et…

C’est à se moment là que Van Pelt débarqua, essoufflée de les avoir cherché partout.

Van Pelt : Patron ! Je… hum. Bafouilla-t-elle en ayant l’impression de les déranger. Je crois qu’on a trouvé quelque chose.
Jane : Qu’est ce que vous disiez Lisbon ? Ria-t-il. Vous voyer, il suffisait de le demander cet indice !

Teresa lança un regard noir au consultant, puis ils se précipitèrent tous les trois vers l’agent Bosco.

Lisbon : Qu’est ce que vous avez trouvé ? Lança-t-elle, à peine arrivée.
Bosco : Un objet dans la gorge de la jeune femme.
Jane : Quel objet ?
Bosco : Et bien… ça à l’air d’être une photo. Le médecin légiste nous l’emballe pour qu’on puisse l’étudier au bureau.

Ne pouvant pas attendre, Jane se précipita sur le médecin légiste et s’empara de la pièce à conviction. Il l’observa avec toute son attention, et son visage laissait apparaitre un sentiment de peur, ou d’incompréhension.

Lisbon : Jane ! cria-t-elle en le voyant se jeter sur le médecin. Est-ce que tout va bien ? S’inquiéta-t-elle ensuite.
Jane : Lisbon c’est… ma femme. Sur cette photo, c’est ma femme !
Lisbon : Comment ça, votre femme ?! interrogea la patronne en s’emparant à son tour de la photo.
Jane : Cette photo semble avoir plusieurs années… mais regarder, il manque la moitié. C’est un message de John Lerouge, aucun doute là dessus.



Toute l’équipe se rendit près des véhicules afin de retourner au CBI, et Patrick s’invita, (sans demandé à qui que soit, évidemment) dans la voiture de Lisbon. Les trois autres confrères firent donc le voyage de leur coté.
Pendant le trajet, dans la voiture de Lisbon.

Jane : Elle était avec quelqu’un sur cette photo, si on découvre qui, on aura peut-être une piste.
Lisbon : Comment s’est-il procuré cette photo ? Et pourquoi ne l’a-t-elle pas faite avec vous ?
Jane : J’en sais rien… mais attendez ! dit-il en retournant la photo. Il y a une date d’inscrite au dos.

« 12.02.2007, les secrets peuvent tuer. »

Lisbon : Cette date vous dit quelque chose ?
Jane : Absolument pas… c’est l’année de naissance de ma fille, mais je ne vois pas le rapport puisque le reste ne correspond à rien.
Lisbon : Venez Jane, on est arrivé. Il y a peut-être un événement qui s’est produit se jour-là. Avec le web, les recherches seront plus simples.

Patrick acquiesça d’un signe de la tête, puis tous les deux se dirigèrent dans le bureau de Teresa. Après deux bonnes heures de recherche, c’est Lisbon qui – contrairement à l’habitude – alla faire un café et un thé. Lorsqu’elle revint, elle eut l’impression que Jane avait trouvé une piste.

Lisbon : Que se passe-t-il ?
Jane : Et bien, je … Julia, ma fille, et née le 10 septembre 2007.Ce qui veut dire, pratiquement 9 mois après la date inscrite sur se papier. Ce que je ne comprends pas, c’est qu’elle est née prématurée d’un mois et demi, ça n’a aucun sens. Souffla-t-il, désespéré.
Lisbon : Vous devriez rentrer Jane, il se fait tard, et vous avez besoin de repos.
Jane : Vous m’avez fait un thé, se serait dommage. Constata le consultant, en prenant sa tasse bien chaude dans les mains.

Ils se lancèrent un sourire, chacun leur tour, et Teresa ne semblait plus vouloir décrocher son regard du beau Patrick Jane.
Le téléphone de la patronne se mis a sonné. Elle s’en empara rapidement, puis lança un petit mot à Jane, tout en se levant.

Lisbon : C’est mon frère, je vais à coté.

Jane resta quelques minutes seul, dans cette pièce où le silence était maître. Il soupira, puis passa un de ses doigts sur le contour du visage de Claire, sa femme. Il ne pouvait détacher ses yeux de cette photo, et se posait mille et une questions sur la signification de cet indice. Lisbon réintégra la pièce, tout en bafouilla des mots incompréhensibles.

Jane : Mauvaise nouvelle ? lança-t-il a la vue de Lisbon, qui semblait en colère.
Lisbon : Si on veut. Robin, mon frère, est de passage et il a besoin d’un logement. Il a donc pensé a sa gentille petite sœur pour l’héberger.

Jane ria, puis bu une gorgée du liquide encore chaud dans sa tasse. Teresa se rassit à coté de lui, et ils engagèrent ensemble une longue nuit, à l’affut du moindre petit indice pour les mettre sur la piste de John Lerouge.