Comment diminuer la douleur ?

avez vous des astuces ou des exos pour diminuer la douleur ? par ex mal de tête, le fait de se cogner ou les ptits maux aigus (type piqure) ?

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Je viens de lire un passage dans la "loi du mentalism" de Victor Segno qui ma fait penser à ton problème, pour diminuer la douleur et la rendre inexistante il faut avoir une pensé positive, tu dois te dire que la douleur n'est pas si fort, qu'elle deviens de plus en plus faible, jusqu'a qu'il n'y en ai plus. Il faut aussi éviter de voir ou parler à trop de monde avec des pensées négative.

Par exemple une expérience a été faite : Mr. J s'est levé un matin se sentant extrêmement bien, puis au cours de la journée plusieurs de ses amis lui ont dit qu'il avait mauvaise mine, petit à petit chaque personne a plus accentué le fais qu'il avait mauvaise mine. Rentrée chez lui il se sentait très mal, c'est seulement ensuite qu'on lui a dit que c'était une expérience, il a mit quelque jours pour se rétablir.

C_Clement81 a écrit:

avez vous des astuces ou des exos pour diminuer la douleur ? par ex mal de tête, le fait de se cogner ou les ptits maux aigus (type piqure) ?

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Je ne suis pas mentaliste, mais je peux t'en parler d'un point de vue de méditant.

Il suffit que l'esprit soit distrait par une pensée pour qu'il ne soit plus conscient de la douleur. On s'en rend vite compte en méditation. En restant assis sans bouger assez longtemps, en général on finit par avoir mal quelque part, puis l'esprit part dans une pensée. C'est seulement quand l'esprit lâche la pensée et revient qu'on ressent à nouveau la douleur. On n'est pas conscient de la douleur si l'esprit n'est pas posé dessus. Il y a un lama occidental qui a décrit ce phénomène en disant :
"Vous méditez, puis vous commencez à avoir mal. Ce qui donne : "j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, faut que j'aille chercher du pain, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal, quand est-ce qu'il sonne l'arrêt de cette méditation, j'ai mal, j'ai mal, j'ai mal..." Quand l'esprit pense : faut que j'aille chercher le pain. Pendant ce moment-là, vous n'êtes plus conscient de la douleur."

Ou alors on prend la douleur comme support de méditation. C'est-à-dire qu'au lieu de
la rejeter (ce qui ajoute une douleur morale à la douleur physique), on accepte ce qui survient, on se concentre dessus et on l'observe : comment est cette douleur ? Est-ce que le point douloureux est fixe ou se déplace ? Est-ce que la douleur change ? Etc.

Bonsoir,

J'ai lu quelque chose sur un site qui parlait d'auto-hypnose. Les hypnose qui dissocient (toutes sauf l'hypnose humaniste en fait) écartent le Conscient et on peut donc obtenir un effet d'anesthésie. C'est ce qu'il font les médecins qui pratiquent l'hypnose dans leur métier (je crois). Je ne connais pas l'auto-hypnose alors je ne peux pas te dire si ça marche mais ça coute rien d'essayer.

Je vais me permettre d'intervenir.

Ne pas vouloir souffrir est commun à bien des gens. La peur d'avoir mal, que ce soit physiquement ou psychologiquement, est particulièrement répandue.
Certes, c'est gênant, voire désagréable, et parfois carrément insupportable. Mais il ne faut pas oublier non plus le rôle premier de la douleur: alerte.

C'est une alerte pour signaler que quelque chose ne va pas, et qu'il faut se pencher sur le problème.

Supprimer la douleur, c'est aussi enlever cette alerte, et donc, potentiellement, aggraver le problème qui en est la cause.

@Dolineras :
Tu as tout à fait raison en ce qui concerne la douleur morale, psychique. Mais là je ne perle que de douleurs bateau, physiques, comme le fait de se cogner, des trucs tout bêtes, mais moi je suis extrêmement sensible au niveau épiderme.

@tous :
je vais essayer les deux focalisations dont vous parlez :
celle de la pensée extérieure à la douleur,
celle de l'étude de la douleur, comment elle est, etc..

xoxo

D'après moi, le meilleur moyen pour diminuer ou supprimer une douleur est encore l'effet placebo, bien que très difficile à utiliser sur soi-même. Personnellement, je me sers de l'effet placebo dans le contexte de la programmation neuro-linguistique. Cet effet est d'autant intéressant et utile que mystérieux pour moi.

@C_Clement81

Je vais te donner l'exemple contraire. J'ai un ami qui est insensible aussi bien à la douleur (physique) qu'au froid.
Je l'ai vu mettre des grands coups de poing dans un mur ou sur une table très épaisse.
Aucune douleur ressentie. En revanche, je ne peux pas garantir que ses os ne se sont pas retrouvés fragilisés, légèrement déplacés, ou avec des micro-fissures.

Le problème est le suivant: ne ressentant pas la douleur, il ne saura pas s'arrêter. Augmentant plus ou moins vite les symptômes décris ci-dessus.
Jusqu'à quel point ? je te laisse deviner.

Tout ça pour dire qu'il faut tout de même faire attention quand on désire diminuer la douleur.