Mes mots, mes phrases....=)
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Mes mots, mes phrases....=)
Coucou =)
Il m'arrive parfois de sortir des trucs pas possible et j'aime bien les écrire, donc les montrers aussi, ça n'a pas toujours de rapporte avec moi...
Oui je vous le dit avant que vous vous inquiètez pour ma santé mentale, déja qu'elle est assez inquiètante xD
Je l'avais déja posté sur le fofo, mais personne l'a vraiment vu donc, j'me fais un plaisir de le remettre ^^
Il m'arrive parfois de sortir des trucs pas possible et j'aime bien les écrire, donc les montrers aussi, ça n'a pas toujours de rapporte avec moi...
Oui je vous le dit avant que vous vous inquiètez pour ma santé mentale, déja qu'elle est assez inquiètante xD
*** ( Français )
"Même enfermé dans mon petit cocon brulant, je suis gelé comme si je dormais sur la neige un soir d'hiver. J'ai besoin de tes bras pour me réchauffer, refaire vivre mon coeur de glace qui se fêle peu a peu au fils des années. Tes douces mains et tes tendres lèvres pourront le rechauffer et je me sentirais comme apaisé ...après ce long périple qui me doit un éternel repos tout contre toi."
*** ( Anglais )
"Even locked up in my little cocoon burning, I froze as if I slept on the snow one winter evening. I need your arms to warm me, to live again my heart of ice that cracks gradually to the son years. Your sweet tender lips and your hands will warm up and I feel as calm ... after this long journey that owes me an eternal resting firmly against you. "
*** ( Espagnol )
"Incluso bajo llave en mi capullo quema poco, me congeló, como si yo dormía en la noche la nieve de invierno. Necesito tus brazos para calentarme, a vivir de nuevo mi corazón de hielo que se agrieta poco a poco con el hijo años. Tus labios dulces y tiernas manos se calientan y me siento tan tranquilo ... después de este largo viaje que me debe un eterno descanso con firmeza en contra de usted. "
*** ( Italien )
"Anche rinchiuso nel mio bozzolo brucia poco, mi gelò come se ho dormito la sera neve quella invernale. Ho bisogno del vostro braccia per scaldarmi, a vivere di nuovo il mio cuore di ghiaccio che a poco a poco le crepe al figlio anni. tue labbra tenera dolce e le mani si riscaldano e mi sento come la calma ... dopo questo lungo viaggio che mi deve un eterno riposo con fermezza contro di voi. "
"Même enfermé dans mon petit cocon brulant, je suis gelé comme si je dormais sur la neige un soir d'hiver. J'ai besoin de tes bras pour me réchauffer, refaire vivre mon coeur de glace qui se fêle peu a peu au fils des années. Tes douces mains et tes tendres lèvres pourront le rechauffer et je me sentirais comme apaisé ...après ce long périple qui me doit un éternel repos tout contre toi."
*** ( Anglais )
"Even locked up in my little cocoon burning, I froze as if I slept on the snow one winter evening. I need your arms to warm me, to live again my heart of ice that cracks gradually to the son years. Your sweet tender lips and your hands will warm up and I feel as calm ... after this long journey that owes me an eternal resting firmly against you. "
*** ( Espagnol )
"Incluso bajo llave en mi capullo quema poco, me congeló, como si yo dormía en la noche la nieve de invierno. Necesito tus brazos para calentarme, a vivir de nuevo mi corazón de hielo que se agrieta poco a poco con el hijo años. Tus labios dulces y tiernas manos se calientan y me siento tan tranquilo ... después de este largo viaje que me debe un eterno descanso con firmeza en contra de usted. "
*** ( Italien )
"Anche rinchiuso nel mio bozzolo brucia poco, mi gelò come se ho dormito la sera neve quella invernale. Ho bisogno del vostro braccia per scaldarmi, a vivere di nuovo il mio cuore di ghiaccio che a poco a poco le crepe al figlio anni. tue labbra tenera dolce e le mani si riscaldano e mi sento come la calma ... dopo questo lungo viaggio che mi deve un eterno riposo con fermezza contro di voi. "
Je l'avais déja posté sur le fofo, mais personne l'a vraiment vu donc, j'me fais un plaisir de le remettre ^^
- Spoiler:
- Broken Heart : Storm
Assis sur le bord de ma fenêtre, je regarde le ciel se couvrir d'énormes nuages gris. Mes yeux perdus dans le vague ne cessent faire la trajectoire entre le ciel et la terre où les gens se précipitent chez eux. Comme s'ils étaient sur qu'une tempête se préparait. Je fermais mes yeux vides de lumière et quittais la fenêtre. Je me trouvais dans ma chambre sombre et vide. Les murs blancs et usés par le temps emprisonnaient ma tristesse, mes remords, mes erreurs, mes cauchemars, mes déprimes. Tout ce mal qui me rongeait depuis des années. Je sortais de la chambre, traversais le couloir rouge, descendait lourdement les escaliers en bois et allais à la porte d'entrée. Je sortais de la maison, il n'allait pas tarder à pleuvoir, mais je m'en moquais. Je marchais sur le bord du trottoir dans le quartier vide, le vent légèrement frais soufflait, faisant voler des feuilles mortes et des bouts de papiers journeaux déchirés. Je continuais d'avancer sans vraiment savoir où j'allais, j'étais vraiment trop préoccupé, trop tournementé pour m'interesser à ce que je faisais.
J'étais tellement emprisonné dans mon monde, que je ne remarquais pas, que je me trouvais sur la plage. La mer commençait à s'agiter, les vagues dansaient un peu plus dangereusement chaque seconde qui passait. Le sable tournoyait déjà autour de moi et la pluie commençait à tomber lentement, puis de plus en plus fort. Au loin, à l'horizon marin le ciel était noir et l'orage grondait déjà. Une tempête allait commencer, je devrais courir me mettre à l'abri, mais mon corps refusait d'obéir. Le vent et le sable commençaient à me griffer la peau et l'eau glacée de la pluie me mordait de part en part.
J'étais conscients que la tempête avait commencé et qu'il n'était pas encore trop tard pour rentrer, mais je me sentais drôlement bien ici. Comme si la mort glaciale m'accueillait à bras ouvert. Je me fichais de mourir, je n'avais plus rien à perdre. Je fermais les yeux, levais la tête et les bras, comme si moi aussi je voulais embrasser la mort. Les vagues de la mer qui se déchainait se rapprochaient de plus en plus du bord, jusqu'a mes pieds, j'aurais souhaité qu'elles m'engloutissent et m'entrainent dans les fonds marins.
L'eau passait sur mes pieds, elle était si froide que j'en frissonnais, puis elle commençait à prendre mes jambe, ma taille et pour finir elle prenait tout mon corps. Je me laissais aller sur les flots, mes yeux et mes lèvres me brulaient et mon cœur battait si fort qu'il allait exploser. J'étais si épuisé, je m'endormais dans les bras de la mer.
Mes yeux, mes lèvres, ma gorge et mes poumons qui me brulaient tant me sortirent d'un sommeil que j'aurais cru éternel. J'étais allongé sur le sable humide et en ouvrant les yeux j'apercevais des mouvements précipités, des voix en échos résonnaient dans ma tête. Je sentais qu'on me posait sur un brancard, qu'on me recouvrait et qu'on m'intubait. Si j'avais de la force, je les aurais empêché de me sauver, mais je ne l'avais pas cette force, je n'avais pas la force de mourir. C'est comme si Dieu me disait que j'avais encore une chance de reconstruire ma vie et d'oublier le passé. Mais j'y croyais pas à ces conneries de "Dieu tout puissant". Je riais intérieurement de ma crédulité. On m'emmenait à l'hôpital, je recevais tous les soins nécessaires et on m'abandonnait dans une petite chambre, blanche, avec pour seuls meuble, un lit, une armoire, une table roulante et une chaise. C'était triste à en pleurer, voila pourquoi j'avais tant horreur des hôpitaux. Et quand j'y pense, ma chambre n'est pas mieux que celle d'un hôpital, il n'y avait pratiquement rien. Je passais mes nuits un sur un sofa à faire mes habituels cauchemars. Je refermais les yeux et tombait dans les bras de Morphée, sommeil auquel je ne pourrais pas mourir. J'entendais encore la tempête gronder dehors, bizarrement je me mettais à penser qu'elle était en colère de ne pas m'avoir emporté. Je soufrais à cette idée stupide, puis je plongeais dans un grand sommeil profond, sans rêves.
Le matin, le soleil qui filtrait à travers les stores de ma chambre me réveillait. Ces rayons lumineux me faisaient chasser toutes mes idées noires. Je me levais et quelqu'un ouvrait la porte, une femme en blouse blanche s'approchait de moi et demandait de mes nouvelles. J'allais bizarrement bien par rapport à hier où j'ai tenté de me suicider, enfin si c'est bien le terme suicide pour nommer mon acte.
Je restais quelques heures à l'hôpital avant de pouvoir sortir, cela ne me plaisais pas du tout, mais l'infirmière m'avait menacée en plaisantant bien sur de m'attacher aux barreaux du lit. Alors j'ai préféré gentiment obéir et d'attendre la permission de sortir de cet horrible endroit.
A ma sortie, la seule chose qui me passait par la tête, c'est d'aller au cimetière, je marchais rapidement jusqu'a ce sinistre endroit où dorment les morts dans un repos éternel. Je me faufilais entre les tombes jusqu'a celle qui m'était bien familière. Je m'agenouillais devant, je touchais du bout des doigts l'inscription gravée dans la pierre polie. Je restais un moment sans bouger. Puis je me levais et je demandais pardon à l'être qui m'était le plus cher, qui est parti trop tôt. Puis je me retournais sans regarder en arrière, m'en allait sans me retourner et fermait le portail noir du cimetière comme si je fermais la porte qui donnait accès à mon passé.
Invité- Invité
Re: Mes mots, mes phrases....=)
je suis super contente de relire cette histoire ! Je l'avais vu sur ton fb il me semble , et j'avais adoré . Tu le sais déjà . Tu écris très bien :)
Jen'ny- Consultant au CBI
- Personnage préféré : Jane.
Loisirs : Séries, écriture, fan art, sciences....
Localisation : Ici et ailleurs
Re: Mes mots, mes phrases....=)
C'est vraiment magnifique... très touchant
J'adore !
J'adore !
C4ndy- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane - Teresa Lisbon
Loisirs : Musique - TV - Informatique - Dessins - Fanfics
Localisation : 221B Baker Street
Re: Mes mots, mes phrases....=)
Petit oiseau origami
Petit oiseau origami
a dans son
corps en papier
Les mots doux
écrit à l'encre noire
sur les bancs de l'école
dans le silence d'un soir d'hiver
Petit oiseau origami
Je l'envois dans le ciel
à travers le vent
Je prie pour qu'il tombe
dans tes douces mains
et que tes beaux yeux
lisent les mots
que j'ai au bout des lèvres
" Je t'aime pour toujours "
a dans son
corps en papier
Les mots doux
écrit à l'encre noire
sur les bancs de l'école
dans le silence d'un soir d'hiver
Petit oiseau origami
Je l'envois dans le ciel
à travers le vent
Je prie pour qu'il tombe
dans tes douces mains
et que tes beaux yeux
lisent les mots
que j'ai au bout des lèvres
" Je t'aime pour toujours "
Invité- Invité
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