Fear and Apologize ^

Un nouvel OS pour vous mes amis , un peu triste, le titre parle pour lui-meme mais j'espere que vous aimerez quand meme.
Je vais me cacher pendant que vous decouvrez ce petit texte

Bonne lecture

C’Était le soir, l’équipe de l’agent Lisbon venait de clore un nouveau dossier. Une affaire difficile durant laquelle ils avaient bien faillit perdre l’un des leurs. Cho, Rigsby et Van Pelt quittèrent le bureau après avoir finis de remplir la paperasse et ensemble, ils se rendirent à l’hôpital. Ils avaient besoin de la voir, de se rassurer, de savoir qu’elle était en vie et qu’elle n’allait pas les laisser. Cette affaire les avait tous touché, peut-être pas physiquement mais émotionnellement.

Ils avaient eu à faire avec un tueur en série qui s’en prenait exclusivement aux femmes, mais pas n’importe quelles femmes, des femmes brunes aux yeux verts. Lorsque le type des victimes avait été énoncé, Jane avait eu peur, peur pour sa patronne, peur que le tueur ne s’en prenne a elle. Il avait des lors était plus agaçant que toutes les autres fois, ne lâchant pas la jeune femme, restant toujours auprès d’elle, la surveillant jours et nuits. Cela avait été facile car l’équipe avait passé tous son temps au bureau, les grands patrons voulant que cette affaire soit réglée au plus vite. Mais pour Lisbon cela avait été un enfer, son consultant étant déjà quelqu’un de très pénible mais là, ça devenait impossible pour elle. Bien des fois elle avait faillit l’envoyer paitre, ne supportant plus d’être suivis partout où elle allait. Puis finalement, elle s’était dit que ce n’était pas la peine, il finirait par en avoir marre.
Mais les choses avait alors dérapés, elle était elle-même devenue une victime. Elle se souvenait encore de ce fameux soir, le soir où elle avait cru que sa vie allait s’arrêter pour de bon. Installait dans son lit d’hôpital elle laissa les souvenirs remonter en même temps que ses larmes.

Flash-back:

Un soir, alors que Jane la suivait encore comme un bon petit chien de garde, le pire arrive. En effet, Lisbon se rendait a sa voiture pour prendre sa veste qu’elle y avait oublié en début d’après midi après leur retour du restaurant dans lequel ils étaient allé manger, lorsqu’elle sentit une présence derrière elle. Elle savait qu’il ne s’agissait pas de Jane, elle le reconnaissait toujours a son eau de Cologne, non il s’agissait de quelqu’un d’autre. Mais avant qu’elle ne puisse dire ou faire quoi que ce soit, une main se posa sur sa bouche et elle sentit les effluves de chloroforme pénétrer dans son nez. Elle tenta de résister, de rejeter cet homme, mais sa vision se fit flou, ses mouvements devinrent plus lent et elle finit par retomber lourdement contre son assaillant. Avant de perdre totalement connaissance, elle eu le temps de voir le corps de Jane plus loin sur le sol, inconscient.

Lorsque Lisbon rouvrit les yeux, elle s’aperçus qu’elle se trouvait dans une petite chambre, sur un lit, vêtue d’une longue robe rouge et noir. Elle se releva avec peine et marcha jusqu’à la porte pour la trouver fermée a double tours. La peur eu alors raison d’elle. La peur pour sa vie, connaissant les modus operandi du tueur, mais aussi la peur de ne jamais revoir ses collègues, de ne jamais revoir Jane. Jane. Le simple fait de penser à lui amena des larmes à ses yeux, larmes qu’elle laissa couler librement le long de ses joues. Elle n’était plus la femme forte de tout les jours, elle n’était plus l’agent du CBI qui se battait pour rendre notre monde meilleur, elle n’était plus que la femme prisonnière d’un fou, la femme seule qui allait bientôt mourir, loin de tout ceux qu’elle aimait.

Lisbon retourna donc s’assoir sur le lit, priant pour que ses collègues la retrouve avant qu’il ne soit trop tard. Elle avait été enlevée sur le parking du CBI, logiquement, les cameras de surveillance avaient filme toute la scène et dans ce cas, la plaque d’immatriculation du véhicule du tueur avait dû être vu, du moins c’Est-ce qu’elle espérait.
Le temps passa, lentement, très lentement. Le tueur ne vint pas la voir avant le petit matin, il voulait surement la faire douter, la rendre encore plus vulnérable, faire d’elle une proie apeurée et facile a tuer. Et c’Est-ce qu’elle était car elle savait bien ce qui allait lui arriver.
Une porte s’ouvrit, la porte de sa chambre et un homme y pénétra, un homme grand et bien battit, un homme qui pouvait faire fuir n’importe qui rien que par le regard. Ses yeux projetaient tant de haine, tant de colère. Pourquoi? Qu’avait-il vécut dans sa vie qui l’avait rendu ainsi? Quelles avaient été les horreurs qu’il avait pu voir pour devenir un tel monstre?
Mais Lisbon chassa toutes ces questions pour se concentrer sur l’objet qui brillait à la lueur du soleil du matin. Un petit couteau, pas très grand certes, mais terriblement efficace.
L’homme fit un pas en avant et la jeune femme se recula le plus possible jusqu’à se retrouver contre le mur du fond. Elle se laissa alors tomber au sol, ramenant ses jambes contre elle, les entourant de ses bras, priant pour que la cavalerie arrive vite. Mais ses prières ne furent pas entendues avant que l’homme ne commence sa besogne.
Elle sentit la lame pénétrer sa chair, fouillant au plus profond d’elle-même. Elle ne pleura pas, elle ne voulait pas lui faire ce plaisir, mais lorsque le couteau sortit et se planta de nouveau dans son ventre, la puissance du coup lui arracha un hurlement de douleur. C’Était la fin, elle allait mourir ici et maintenant.
Elle ne résista pas plus longtemps, de toute façon, elle ne pouvait pas vraiment résister, dans ses veines coulait une substance qui rendait ses mouvements lents et difficiles. Ce monstre avait tout prévu, la faire souffrir de par les tortures et l’incapacité à se défendre.

Lisbon se sentit partir, un voile noir passa devant ses yeux et la dernière chose qu’elle vit fut le visage de son tortionnaire se tordre de douleur. Elle ne savait pas pourquoi, c’était elle la victime, c’était en elle que se trouvait la lame aiguisée.


Des bips réguliers ramenèrent l’agent Teresa Lisbon parmi les vivants. La jeune femme ouvrit difficilement les yeux pour les refermer aussitôt, agressé par la lumière de la pièce. Lentement, elle releva ses paupières et fit le tour de la pièce. Elle était à l’hôpital. Comment? Qui était intervenue pour elle? Pourquoi n’était-elle pas morte?
Et alors elle sentit une main encerclant la sienne, des doigts longs et fins, des doigts qu’elle connaissait. Elle laissa ses yeux remonter le long d’un bras et découvrit son consultant endormis, la tête sur le lit, sa main tenant étroitement celle de la jeune femme.
Elle bougea doucement et Jane sursauta. Il tomba dans le regard émeraude de Lisbon et un sourire vint illuminer son visage, ainsi que des larmes qui se mirent ont dévalé ses joues. Il se leva et vint la prendre délicatement dans ses bras, se prouvant ainsi qu’elle était bien vivante, que toute cette histoire était finie. La jeune femme se laissa faire et l’entoura également de ses bras, le serrant fort contre elle. Elle était en vie, elle était avec lui, il allait bien, si on oubliait l’hémato qu’il avait sur le front, souvenir de ce fameux soir.
Ils se séparèrent l’un de l’autre lorsque la porte de la chambre s’ouvrit pour laisser entrer ses collègues.
Les minutes passèrent puis les trois agents quittèrent la chambre, laissant Lisbon seule face à Jane. Mais ce dernier partit a son tour et cette fois Lisbon se retrouva complètement seule.

Fin Flash-back.

Lisbon avait le regard dans le vague, les souvenirs lui faisaient toujours autant de mal. Pas les souvenirs de sa séquestration, mais le souvenir de Jane la laissant seule, l’abandonnant alors qu’elle avait besoin de lui plus que jamais. Pourquoi était-il parti? Pourquoi l’avait-il laissé? Il avait eu l’air si heureux de la voir en vie qu’elle ne comprenait pas sa réaction. Elle laissa une nouvelle fois les larmes dévaler ses joues lorsqu’elle entendit soudain la porte de la chambre s’ouvrir. La jeune femme tourna la tête du coté opposé, le temps de se reprendre puis regarda qui venait l’interrompre dans sa solitude et sa mélancolie. Elle eu alors la surprise de voir Jane, hésitant a la marche à suivre. Elle lui lança un regard noir avant de tourner une fois encore la tête vers la fenêtre.

_ Lisbon, commença Jane, peu sure de lui.
_ Laissez-moi, répondit-elle énervée.
_ Je ne peux pas, je…
_ J’ai dis laissez-moi.

Le silence retomba dans la chambre, un silence pesant et chargé de colère et de peur. Les deux personnes présentes dans la pièce ne se regardaient pas, ne se parlaient pas. Au bout de ce qui lui sembla une éternité, Jane entendit enfin un son provenant de Lisbon et son cœur se serra. Elle pleurait, elle souffrait et c’était de sa faute. Il s’en voulut alors de l’avoir laissé, d’être partie alors qu’elle avait eu besoin de lui. Mais la peur qu’il avait eu lorsqu’il l’avait découverte baignant dans son sang, la peur qu’il avait ressentit lorsqu’il avait cru être arrivé trop tard…. Il avait eu besoin de souffler lorsqu’elle s’était enfin réveillée, il avait eu besoin de parler à la seule personne qui pouvait le comprendre

Il s’était rendu au cimetière, il était allé voir la tombe de sa femme, il était allé lui parler de ses sentiments pour Lisbon. Il aimait sa femme et il l’aimerait toujours mais, lorsqu’il avait cru perdre sa patronne, il s’était rendu compte qu’il ne pouvait pas vivre sans elle. Il était allé voir sa femme une dernière fois avant de prendre la décision qui allait changer toute sa vie.

Jane fit un pas de plus vers le lit de Lisbon, il s’arrêta a quelques mètres et il pu entendre les petites plaintes provenant de la jeune femme. Alors il ne tint pas plus longtemps et se précipita vers elle pour la prendre dans ses bras. Et a sa grande surprise elle se laissa faire, allant même jusqu’à l’entourer de ses faibles bras et le serrer fort contre elle. Elle pleura contre lui, enfouissant son visage dans sa chemise, s’accrochant a lui comme si elle avait peur de le perdre de nouveau.

Lisbon sentit une main se poser contre sa joue et l’éloigner du corps du mentaliste. Elle s’accrocha de plus belle à lui, ne voulant pas quitter ses bras, ne voulant pas être séparé de lui. Jane lui caressa le dos de son autre main et parvint à l’éloigner suffisamment pour voir son visage ravagé par les larmes.

_ Lisbon je suis désolé, commença-t-il. Je m’en veux de ce qu’il vous est arrivé, je m’en veux de ne pas avoir été là pour vous, d’avoir laissé ce monstre s’en prendre à vous, de l’avoir….
_ Chut, l’interrompis la jeune femme, ne dites plus rien. Rien n’est de votre, vous me lui avez pas demandé de s’en prendre a moi, vous ne lui avez pas demandé de me torturer comme il l’a fait. C’Était son choix pas le votre et je ne pourrais jamais vous en vouloir, vous avez-vous aussi souffert lors de cette affaire, finit-elle en passant sa main sur le haut de son visage.

Jane saisit la main de Lisbon et la porta a ses lèvres, il y déposa un tendre baiser sans la cher la jeune femme des yeux. Il se rapprocha ensuite de Lisbon et vint poser ses lèvres sur celle de la jeune femme qui ferma les yeux, appréciant la douce caresse. Lorsqu’elle les rouvrit elle plongea dans les yeux si bleus de son consultant et s’y perdit un instant. Il semblait si triste, avoir si peur. Elle se rapprocha une nouvelle fois de lui et lui glissa a l’oreille.

_ Je vous aime Patrick Jane.

Puis elle se recula et l’observa. Il semblait surpris mais heureux à la fois, comme s’il attendait ce moment depuis longtemps. Il sourit alors de toutes ses dents et se jeta dans les bras de Lisbon, pleurant de joie.
La jeune femme laissa un petit rire sortir de sa bouche, elle était heureuse de le rendre heureuse.

Finalement, toute cette affaire avait était dure a vivre pour chacun d’eux, ils avaient soufferts tout les deux et a présent ils allaient s’aider mutuellement à panser leurs plaies. Les plaies physiques et celles du cœur. Ils n’étaient plus seuls, ils étaient deux et le resteraient a jamais.

magnifique

Ohlalalalalala!! OH MY GOD!!!

Je ne trouve pas les mots tellement j'en ai pleuré en le lisant

C'est émouvant ... C'est tendre ... C'est romantique ... C'est attachant ... C 'est jisbon

Pauvre Lisbon qui s'est fait torturée par un malade et pauvre Jane qui se sent coupable de sa torture
Pour la fin, les retrouvailles et la déclaration sont d'une pure merveille

J'adore trop ton OS Sweety
C'est super bien écrit
RESPECT

Je suis une de tes plus grandes fans

merci NaNi89 et JA j'etais pas sure que ce serait bien, je l'ai un peu ecris sur un coup de tete mais je vois que ca vous plais alors je vais de ce pas en faire un autre , j'ai de l'inspiration a revendre en ce moment

Un autre ?? YES

J'ai hâte j'ai hâte

YES YES YES !!!!!!!!

je suis impatiente!!!!!!!!!

Waouuuuuuuuuuuuuu
Quel fic , j'aime bien qu'on fasse torturer Lisbon de cette facon .
Ta fic etais Sublissime encore une fois
Quelle talent
Merci encore Sweety

vanou contente que ca te plaise, moi aussi j'aime beaucoup les fics ou il y a de la torture tu connais mon surnom?

GRANDRE PRETRESSE DU SADISME ET DE LA PERVERTION

alors attends toi au pire pour la suite, ou alors je continue dans le bisounours

C'est toujours bien de mélanger sadisme et bisounours

je suis d'accord avec toi, c'est bien de melanger les deux c'est d'ailleurs ce que je tente de faire

Et tu le réussie a merveille
C'Est toujours une joie de lire se que tu écrit

contente que tu aimes ce que j'ecris, en plus en ce moment je me concentre sur une autre fic, mais pas sur TM, desoler pour vous c'est sur une autre demes series que j'affectionne, j'ai meme poster un OS dans le topic des autres series si ca t'interesse

D'accord merci je vais aller voir sa :) !!

Magnfique cet OS
Super bien écrit et plein d'émotions
Vivement le prochain

Je fais de mon mieux pour vous en faire un pour dimanche

VIVEMENT DIMANCHE!!!

on voit de suite les accrocs

PS: Tu sais Sweety, si tu n'arrives pas à finir le chapitre, ce n'est pas grave, je peux m'en charger