Mille et un OS (Recueil d'OS)
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Mille et un OS (Recueil d'OS)
Bonjour Voilà, je poste mes écrits un peu de partout, mais j'ai jamais essayé là, alors je tente, pour voir si c'est bon, où si j'arrête complètement de poster >< Ces écrits seront principalement sur Smallville, mais comme je me suis refait tout Torchwood et bhé il y en a une qui sera sur un ship particulier et puis je suis en cours d'inspiration pour un autre ship. Bon, bhééé... fin de la présentation et bonne lecture =)
P.S: J'espère ne pas mettre trompé de topic, un truc dans le genre
Titre: Les Rêves
Couple: Oliver x Chloé
Genre: Romance
Résumé: Comment toucher Oliver Queen sans le toucher??
Il est bien évident que les personnages ne m'appartiennent pas, sauf l'histoire.
Les rêves
Foulant le tapis crème de la grande Tour, Chloé se laissa choir sur le canapé en cuir, posant une main désespérée sur son visage endormis. Ca allait faire la vingtième nuit qu’elle ne dormait pas. Où peu. La vingtième nuit que son subconscient lui jouait des tours avec son imagination. La vingtième nuit qu’elle rêvait encore de lui. Lui posé contre sa table, habillé dans son plus simple appareil, la narguant avec un stylo. Lui ruisselant de gouttes chaudes provenant d’une douche. Lui la massant tendrement, mais avec une façon… érotique. Oui érotique… c’était bien le bon mot pour décrire ses rêves du moment. Mais ce n’était pas ses rêves… sensuelles, elle avait décidée de bannir le mot érotique de son vocabulaire, qui l’énervait le plus, c’était lui ! Lui qui entrait en elle comme le vent qui entrait dans la chambre. Lui qui hantait ses nuits, la laissant après, en étant sûr qu’elle ne se rendorme pas d’ici là. Il lui donnait du plaisir rien qu’en un regard avant de disparaitre, la laissant frustrée dans son coin. Pourquoi sa devait lui arriver à elle ? Pourquoi lui d’abord ? Elle n’avait rien fait de mal, elle ne l’avait jamais embrassée dans la vrai vie, elle l’avait juste un peu désiré… ouais, bon, un peu beaucoup même a vrai dire. Même trop. Trop pour une seule personne.
-C’est pas juste ! hurla Chloé, se secouant la tête pour enlever son image.
-Ca ne va pas Chloé ? demanda la douce voix d'Oliver, l'a regardant d’un œil apeuré la belle blonde secouer la tête comme une illuminée.
Relevant la tête, Chloé ouvra grand la bouche. Il était là, devant elle, dans son manteau de cuir. Ca lui donnait un côté bad boy indescriptible.
-Tu as une sale tête Chloé.
-Ha ha très fin Queen ! renifla Chloé en se levant pour préparer son café.
-Nan sérieux Chloé, ça va faire un moment que tu as des gros cernes sous les yeux, c’est inquiétant ! Tu fais quoi la nuit ? La fête ?
Avalant de travers sa salive, Chloé se tapa lourdement son torse, aidée d’Oliver qui lui tapait doucement le dos, goguenard.
- Aller Chloé, tu ne vas pas me dire que c’est vrai quand même ?
Remarquant que les joues de Chloé devenaient subitement roses, Oliver ouvra en grand sa bouche, choqué.
-Naaan ?? Sérieux ?? Je te croyais pas comme sa !
-Mais ce n’est pas sa imbécile ! s’exclama Chloé, essayant de créer un espace entre elle et le blond de ses rêves.
-Avoues Chloé, tu sais, tu peux tout me dire.
-Dit l’homme d’un air conspirateur ! rigola Chloé en prenant son café.
Oliver prit un faux air choqué avant d’abattre lourdement sa main sur son torse de façon dramatique.
-Me fera tu donc jamais confiance ?
-Tout de suite les grands mots !
-Même pas vrai !
C’est ainsi que commença les chamailleries entre Chloé et Oliver.
Assise en tailleur sur son lit, Chloé repensait à sa journée avec Oliver, un grand sourire aux lèvres. Ca avait si bien commencé, mais ça c’était terminé si vite. Malgré l’heure tardive, elle ne dormait toujours pas. Maintenant elle avait peur. Peur de ses rêves, peur que ça ne finisse pas, et qu’elle en meurt torturé par le pauvre Oliver qui ne savait même pas qu’il faisait office de figurant, même plus !, dans ses rêves.
« Tu peux tout me dire »
Va le voir, dis le lui, avoue, saute lui dessus, mais fais quelque chose ! lui ordonnait la petite voix en elle.
Naaaan, pas possible, la fière Chloé Sullivan, héroïne à sa façon, n’allait pas avouer au grand Oliver Queen, fantasme humain pour personne en tout genre, femmes ; hommes ; enfants, requin en affaire et cornichon vert à ses heures perdus qu’elle… fantasmait sur lui via des rêves… pas très catholique ! Impossible ! Elle préférait mourir frustrée que tout avouer.
Oui mais tu pourras dormir tranquille après !
Oui mais non, après ses rêves elle cauchemarderait ! Pire ! Elle se voyait déjà aller voir Oliver et lui la rembarrer directe, ne jurant que par une sainte amitié homme-femme. Où même qu’il lui montre son idéal humain envers une femme de 1m90, 90D, plate comme un bâton de sucette.
Le calvaire à l’état pur !
De toute façon, rêve ou cauchemar, son choix était déjà fait. Enfilant ses ballerines, Chloé se dirigea vers sa voiture, et démarra. Elle allait s’en vouloir, mais ça ne serait que partie remise.
-Chloé ?! s’exclama la voix endormis d’Oliver. Mais… qu’est-ce que tu fais… là en… nuisette ?! demanda Oliver, laissant courir son regard appréciateur le long du corps de la jeune femme.
Plissant sa nuisette vert foncé d’un air gênée, Chloé ne savait pas vraiment quoi dire. Certes elle était venue là pour tout avouer, mais maintenant qu’elle se trouvait devant un Oliver torse nu, elle avait oubliée le but profond de son départ précipité.
-Et bien…
-Rentre ! invita Oliver en s’éclipsant derrière sa porte.
Timidement Chloé rentra dans la grande pièce lumineuse. Elle s’en voulait d’arriver en plein milieux de la nuit, mains sincèrement, elle ne voulait pas en arriver là.
-Bon, maintenant tu vas me dire pourquoi tu débarque à minuit, habillée simplement d’une nuisette et l’air hagard ?
-Et bien… j’ai rêvé !
-Tu… as rêvée ? Donc… c’est pour sa que tu t’ai dis que tu viendrais bien emmerder ce pauvre Queen ?
Réalisant soudainement la dernière phrase d’Oliver, Chloé se trouvait stupide. Stupide et lâche.
-T’as raison, désolé, je m’en vais.
Avançant vers la porte d’entrée, Chloé allait ouvrir quand une main l’a retint.
-Tu es là, maintenant tu reste.
Emmenant de force la jeune femme sur le canapé, Oliver se posa à côté d’elle et l’encouragea d’un regard.
Et elle le lui avoua.
Tout.
Comment sa avait commencé, les rêves où il apparaissait en simple tenu d’Adam, les nuits blanche qu’elle avait passée suite à sa, son envie de lui, sa peur, son espoir. Il s’était tût tout le long, ne lui coupant aucunement la parole, n’abordant jamais son petit sourire de vainqueur, laissant la parole à sa sidekick, l’encouragent tout simplement.
Il l’avait laissé parler, lui dévoilant son secret sans l’interrompre, ni aborder son sourire de playboy quand elle lui avait parlée de ses rêves. Etait-ce un signe ? Où il se moquait littéralement d’elle au plus profond de lui. Elle n’osait pas affronter son regard, de peur de voir de la pitié, quelque chose qui lui ferait mal. Mais un pouce posé sur son menton l’obligea à relever son visage.
-Chloé ?
Elle ne voulait toujours pas le voir, elle n’était pas prête du tout.
-Chloé, regarde-moi ! supplia Oliver.
Au son de sa voix, elle retourna son visage et fut étonner de ne pas voir de la pitié dans ses yeux bruns. Elle voyait juste une flamme. Une flamme de désir.
Les lèvres d’Oliver se posèrent tout naturellement sur celles de Chloé. Un soupir d’aise s’échappa de Chloé, trop heureuse pour calculer ce qui se produisait.
Son rêve devenait réalité.
-C’est pas juste ! hurla Chloé, se secouant la tête pour enlever son image.
-Ca ne va pas Chloé ? demanda la douce voix d'Oliver, l'a regardant d’un œil apeuré la belle blonde secouer la tête comme une illuminée.
Relevant la tête, Chloé ouvra grand la bouche. Il était là, devant elle, dans son manteau de cuir. Ca lui donnait un côté bad boy indescriptible.
-Tu as une sale tête Chloé.
-Ha ha très fin Queen ! renifla Chloé en se levant pour préparer son café.
-Nan sérieux Chloé, ça va faire un moment que tu as des gros cernes sous les yeux, c’est inquiétant ! Tu fais quoi la nuit ? La fête ?
Avalant de travers sa salive, Chloé se tapa lourdement son torse, aidée d’Oliver qui lui tapait doucement le dos, goguenard.
- Aller Chloé, tu ne vas pas me dire que c’est vrai quand même ?
Remarquant que les joues de Chloé devenaient subitement roses, Oliver ouvra en grand sa bouche, choqué.
-Naaan ?? Sérieux ?? Je te croyais pas comme sa !
-Mais ce n’est pas sa imbécile ! s’exclama Chloé, essayant de créer un espace entre elle et le blond de ses rêves.
-Avoues Chloé, tu sais, tu peux tout me dire.
-Dit l’homme d’un air conspirateur ! rigola Chloé en prenant son café.
Oliver prit un faux air choqué avant d’abattre lourdement sa main sur son torse de façon dramatique.
-Me fera tu donc jamais confiance ?
-Tout de suite les grands mots !
-Même pas vrai !
C’est ainsi que commença les chamailleries entre Chloé et Oliver.
Assise en tailleur sur son lit, Chloé repensait à sa journée avec Oliver, un grand sourire aux lèvres. Ca avait si bien commencé, mais ça c’était terminé si vite. Malgré l’heure tardive, elle ne dormait toujours pas. Maintenant elle avait peur. Peur de ses rêves, peur que ça ne finisse pas, et qu’elle en meurt torturé par le pauvre Oliver qui ne savait même pas qu’il faisait office de figurant, même plus !, dans ses rêves.
« Tu peux tout me dire »
Va le voir, dis le lui, avoue, saute lui dessus, mais fais quelque chose ! lui ordonnait la petite voix en elle.
Naaaan, pas possible, la fière Chloé Sullivan, héroïne à sa façon, n’allait pas avouer au grand Oliver Queen, fantasme humain pour personne en tout genre, femmes ; hommes ; enfants, requin en affaire et cornichon vert à ses heures perdus qu’elle… fantasmait sur lui via des rêves… pas très catholique ! Impossible ! Elle préférait mourir frustrée que tout avouer.
Oui mais tu pourras dormir tranquille après !
Oui mais non, après ses rêves elle cauchemarderait ! Pire ! Elle se voyait déjà aller voir Oliver et lui la rembarrer directe, ne jurant que par une sainte amitié homme-femme. Où même qu’il lui montre son idéal humain envers une femme de 1m90, 90D, plate comme un bâton de sucette.
Le calvaire à l’état pur !
De toute façon, rêve ou cauchemar, son choix était déjà fait. Enfilant ses ballerines, Chloé se dirigea vers sa voiture, et démarra. Elle allait s’en vouloir, mais ça ne serait que partie remise.
-Chloé ?! s’exclama la voix endormis d’Oliver. Mais… qu’est-ce que tu fais… là en… nuisette ?! demanda Oliver, laissant courir son regard appréciateur le long du corps de la jeune femme.
Plissant sa nuisette vert foncé d’un air gênée, Chloé ne savait pas vraiment quoi dire. Certes elle était venue là pour tout avouer, mais maintenant qu’elle se trouvait devant un Oliver torse nu, elle avait oubliée le but profond de son départ précipité.
-Et bien…
-Rentre ! invita Oliver en s’éclipsant derrière sa porte.
Timidement Chloé rentra dans la grande pièce lumineuse. Elle s’en voulait d’arriver en plein milieux de la nuit, mains sincèrement, elle ne voulait pas en arriver là.
-Bon, maintenant tu vas me dire pourquoi tu débarque à minuit, habillée simplement d’une nuisette et l’air hagard ?
-Et bien… j’ai rêvé !
-Tu… as rêvée ? Donc… c’est pour sa que tu t’ai dis que tu viendrais bien emmerder ce pauvre Queen ?
Réalisant soudainement la dernière phrase d’Oliver, Chloé se trouvait stupide. Stupide et lâche.
-T’as raison, désolé, je m’en vais.
Avançant vers la porte d’entrée, Chloé allait ouvrir quand une main l’a retint.
-Tu es là, maintenant tu reste.
Emmenant de force la jeune femme sur le canapé, Oliver se posa à côté d’elle et l’encouragea d’un regard.
Et elle le lui avoua.
Tout.
Comment sa avait commencé, les rêves où il apparaissait en simple tenu d’Adam, les nuits blanche qu’elle avait passée suite à sa, son envie de lui, sa peur, son espoir. Il s’était tût tout le long, ne lui coupant aucunement la parole, n’abordant jamais son petit sourire de vainqueur, laissant la parole à sa sidekick, l’encouragent tout simplement.
Il l’avait laissé parler, lui dévoilant son secret sans l’interrompre, ni aborder son sourire de playboy quand elle lui avait parlée de ses rêves. Etait-ce un signe ? Où il se moquait littéralement d’elle au plus profond de lui. Elle n’osait pas affronter son regard, de peur de voir de la pitié, quelque chose qui lui ferait mal. Mais un pouce posé sur son menton l’obligea à relever son visage.
-Chloé ?
Elle ne voulait toujours pas le voir, elle n’était pas prête du tout.
-Chloé, regarde-moi ! supplia Oliver.
Au son de sa voix, elle retourna son visage et fut étonner de ne pas voir de la pitié dans ses yeux bruns. Elle voyait juste une flamme. Une flamme de désir.
Les lèvres d’Oliver se posèrent tout naturellement sur celles de Chloé. Un soupir d’aise s’échappa de Chloé, trop heureuse pour calculer ce qui se produisait.
Son rêve devenait réalité.
Alors?
kis- Agent de circulation
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