Les OS de Jeynna ^
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Un Sacrifice. ^
12ème OS, avec un soupçon de Jisbon (on ne se refait pas) sur fond de vengeance (encore). Ames sensibles, s'abstenir, je les fait souffrir nos pauvres héros.
-Jane ! Les mains en l'air !
Je ne lui répond même pas, les yeux fixés sur mon objectif. Mon but. Elle me menace toujours de son revolver, précédé par l'équipe au complet et des renforts, tous en gilets pare-balles, l'arme à la main. Mais je ne bouge pas. Elle continue de m'hurler des ordres, espérant que j’obéisse. Mais je ne l'écoute pas. Tout m'est égal. Je regarde mon pire ennemi. Je regarde ce sol sanglant. Je regarde le smiley au dessus de lui. Je regarde mes mains, tachées de son sang. Je l'ai tués. Je lui ai ouvert le ventre. Je l'ai regardé mourir, mais même mort, il me nargue en souriant. Je me sens vide. Vidé de tout. Plus de haine, et plus de joie. Je me sens....loin.... Je ne suis plus qu'une enveloppe vide, mais je les ais vengées. Je lâche mon couteau, qui tombe sur le sol pavé dans un grand fracas. Je me retourne vers Lisbon, le regard vide, le costume taché. Elle à une expression de dégoût. Je m'avance vers elle, en essayant de lui sourire timidement. Elle recule d'un pas, me visant toujours et hurlant.
-STOP ! ARRÊTEZ OU JE TIRE !
Je ne m'arrête pas. Quelle me tire dessus, c'est bien mon objectif. J'ai fait mon devoir, et maintenant, je peut partir. Si il y a un Après, je ne pourrais de toute façon pas y accéder. Mais je n'ai pas peur, non, je n'ai pas peur. Je suis vide. Un robot, un automate qui veut être désactivé après avoir accomplie sa mission. Lisbon s'approche jusqu'à me poser son revolver sur mon torse et me murmure :
-Je sais ce que vous voulez de moi. Que je vous tue. N'y pensais même pas un instant.
Elle pose son revolver sur sa tempe et me sourit. Moi, si vide de tout, est quand même surpris. Ma peau si pale recommence à prendre des couleurs, comme mon âme qui se peint petit à petit de sentiments dont le meurtre de mon ennemi m'a arraché.
-NON ! NE FAITES PAS ÇA !
-Vous allez vivre, que vous le vouliez ou non Patrick Jane...
Et elle tira. Avant même que je ne puisses répondre, elle se suicida. Lentement elle tomba dans mes bras, son sang coulant sur moi. Je me mit à pleurer. Les sentiments me revinrent. Je redevins un humain, la tenant dans mes bras, sans vie. Désormais, je n'avais plus le droit de me laisser aller, de vouloir en terminé. Je devais rester vivant, pour elle, car elle avait mit fin à sa vie pour me forcer à continuer la mienne.
-Jane ! Les mains en l'air !
Je ne lui répond même pas, les yeux fixés sur mon objectif. Mon but. Elle me menace toujours de son revolver, précédé par l'équipe au complet et des renforts, tous en gilets pare-balles, l'arme à la main. Mais je ne bouge pas. Elle continue de m'hurler des ordres, espérant que j’obéisse. Mais je ne l'écoute pas. Tout m'est égal. Je regarde mon pire ennemi. Je regarde ce sol sanglant. Je regarde le smiley au dessus de lui. Je regarde mes mains, tachées de son sang. Je l'ai tués. Je lui ai ouvert le ventre. Je l'ai regardé mourir, mais même mort, il me nargue en souriant. Je me sens vide. Vidé de tout. Plus de haine, et plus de joie. Je me sens....loin.... Je ne suis plus qu'une enveloppe vide, mais je les ais vengées. Je lâche mon couteau, qui tombe sur le sol pavé dans un grand fracas. Je me retourne vers Lisbon, le regard vide, le costume taché. Elle à une expression de dégoût. Je m'avance vers elle, en essayant de lui sourire timidement. Elle recule d'un pas, me visant toujours et hurlant.
-STOP ! ARRÊTEZ OU JE TIRE !
Je ne m'arrête pas. Quelle me tire dessus, c'est bien mon objectif. J'ai fait mon devoir, et maintenant, je peut partir. Si il y a un Après, je ne pourrais de toute façon pas y accéder. Mais je n'ai pas peur, non, je n'ai pas peur. Je suis vide. Un robot, un automate qui veut être désactivé après avoir accomplie sa mission. Lisbon s'approche jusqu'à me poser son revolver sur mon torse et me murmure :
-Je sais ce que vous voulez de moi. Que je vous tue. N'y pensais même pas un instant.
Elle pose son revolver sur sa tempe et me sourit. Moi, si vide de tout, est quand même surpris. Ma peau si pale recommence à prendre des couleurs, comme mon âme qui se peint petit à petit de sentiments dont le meurtre de mon ennemi m'a arraché.
-NON ! NE FAITES PAS ÇA !
-Vous allez vivre, que vous le vouliez ou non Patrick Jane...
Et elle tira. Avant même que je ne puisses répondre, elle se suicida. Lentement elle tomba dans mes bras, son sang coulant sur moi. Je me mit à pleurer. Les sentiments me revinrent. Je redevins un humain, la tenant dans mes bras, sans vie. Désormais, je n'avais plus le droit de me laisser aller, de vouloir en terminé. Je devais rester vivant, pour elle, car elle avait mit fin à sa vie pour me forcer à continuer la mienne.
Dernière édition par Jeynna le Ven 5 Avr 2013 - 11:17, édité 1 fois
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
L'amour est un oiseau rebelle
JE TE DETESTE !
A certain moment je n'ai pas trop comprit mais dans l'ensemble c'était sublime...
Evidement que j'y ai crue, ça aurait était trop beau, trop parfait... Tu es cruelle et tu ne sais pas à quel point !
Cet os est une abomination, une malédiction que j'ai adorée appart ta petite "surprise" finale. Toujours aussi bien écrit Bravo
JE TE DETESTE !
A certain moment je n'ai pas trop comprit mais dans l'ensemble c'était sublime...
Jeynna a écrit:
tellement belle avec ses cheveux bruns sur ses épaules, sa manière de parler de la vie, sa joie naïve, sa tristesse vague, son but précis. Tellement belle.
Evidement que j'y ai crue, ça aurait était trop beau, trop parfait... Tu es cruelle et tu ne sais pas à quel point !
Cet os est une abomination, une malédiction que j'ai adorée appart ta petite "surprise" finale. Toujours aussi bien écrit Bravo
Niagara de Larmes ^
14ème OS sur Mentalist que je fais (comment ça se fait que je passe du 12 au 14 ? J'ai supprimé le 13ème, il était pas bien et en plus, c'est un chiffre porte-malheur. ).
C'est un OS simple, et sur le passé de Patou, mais néanmoins mignon tout plein.
-Maman ! Arrêêêête...
-Charlotte, ne bouge pas comme ça !
-J'ai mal aux pieds. Et c'est longs.
-J'ai bientôt finis, patiente un peu.
-Mmm.
Angela étais entrain de coiffer Charlotte, qui était, comme à son habitude, très agitée. Ma femme lui remettait bien en place ses longs cheveux blonds soyeux, et une fois terminée, lança dans un grand sourire :
-Mademoiselle est coiffer.
-Youpi !
Charlotte sauta au cou de sa maman avant de se précipiter dans la cuisine et de sortir farine, œufs, et chocolat en poudre. Angela arriva, et lui demanda ce qu'elle comptait faire de tout ces ingrédients. Mon petit soleil de 7 ans répondit que c'était pour me préparer un gâteau. Sa mère lui sourit et l'aida, et c'est ainsi, que, trois heures plus tard, lorsque je rentrais d'une émission et comme toujours, en retard, je put découvrir un magnifique cake au chocolat posé sur la table de la salle à manger. Dès que ma petite chipie qui était dans son lit, à faire probablement semblant de dormir m'entendit, un cri résonna dans la maison et elle se précipita dans mes bras qui l’accueillirent avec bonheur.
-Papa !
-Alors, comment s'est passée ta journée ma petite Charlotte ?
-Elle fut très chouette !
-Ravi de l'entendre. Et tu as fais quoi de beau ?
-Et toi ?
Je riais quand Angela arriva dans mon dos et posa ma tête sur mon épaule après un rapide baiser.
-Aucuns doutes, c'est bien ta fille Patrick...
-Aucuns doutes, elle ira loin.
-Dit papa, tu as attrapé beaucoup de méchants aujourd'hui ?
-Hélas non pucette, je vais devoir y retourner.
Elle paraissait triste. Je lui manquait beaucoup, ça se voyait, mais je voulais qu'elles ne manquent de rien.
-Toujours cette sale histoire de John LeRouge Paty ?
-Toujours Angela, toujours...
-Mais, papa, dit, tu seras là demain ?
-Demain ? Qu'est ce qu'il y a demain ?
Toujours portée par mes bras, elle me donna un petit coup de poing dans le ventre avant de bouder.
-Mon anniversaire.
-Oh, déjà ? Et ça te fait...?
-9 ans...
-Je ne peut oublier cette date Charlotte, tu le sais bien !
Elle se mit à rire, et à me faire un de ses bisous dont elle a le secret pour faire fondre n'importe qui.
-J'ai réservé ma journée de demain pour toi pucette.
-Oh, merci !
Angela dit :
-Et si ton papa le mangeait ce gâteau, hein ?
-Un gâteau ? Où ça ?Dit-je, faussement surpris.
-Sur la table papa ! C'est moi qui l'ai fait ! Et avec maman !
Et on se mit tout les trois, à table, heureux. Oui, heureux, ça on l'était. J'étais beaucoup trop absent pour qu'elles ne manquent de rien, c'est vrai, mais on était quand même heureux. Et on s'aimait. Une fois le gâteau finis, Charlotte insista pour que je l'écoute au piano. Elle tenait ses dons de musiques de sa mère, c'était certains. Et mon don de mentalisme. C'était une petite fille parfaite, aimante, intelligente, polie, belle et en tout point un trésor, un diamant brut. Nous étions si heureux ensemble... Pendant qu'elle jouait au piano le fameux "Lettre à Élise", Angela et moi l'écoutions avec passion quand mon téléphone se mit à sonner. Je ne voulais pas décrocher, mais j'étais bien obligé, c'était le travail, alors je me leva et alla m'enfermer dans la salle de bain pour ne pas déconcentrer ma pucette qui faisait des efforts. Lorsque je sortit, j'avais une tête triste, anéantie. Qu'allait pensait ma fille ? En voyant mon visage désemparé, Angela se leva, et me chuchota, pendant que Charlotte continuait tant bien que mal sa musique :
-C'était qui ? Laisse moi devinez, encore ce Minelli à propos de l'affaire John LeRouge...
-Mouais...
-Et que voulait il ?
-Que je vienne à une émission demain pour parler de mon travail de médium et sur l'enquête de ce fameux serial-killer. Crois en mon expérience, ce malade là, John Machin-Chose, il sera vite capturé. Il est pas très doué, enfin, je veut dire...
-Tu as évidement refusé ?!
-...
-Quoi ? Tu as accepté de participer à cette émission ? Le jour de l'anniversaire de ta fille ?
-Mais, écoute, Angela...
-TU N'AS PAS LE DROIT PATRICK !
Elle cria. Ça fit arrêter de jouer Charlotte qui se leva et vint nous voir, inquiète :
-Qu'est ce qu'il se passe maman ?
-Ton père à préféré son psychopathe que toi ma chérie.
-Je...je...je comprend pas....
Je me baissa et lui dit, vraiment désolé :
-Je ne pourrait pas être là demain... Je suis vraiment désolé...
-Quoi ? Mais tu m'avais promis !
Je la prit dans mes bras où elle se mit à déverser des Niagaras de larmes. Angela me regarda froidement.
-Patrick, le dernier anniversaire que tu as fêter avec elle, c'était pour ses 4 ans. Sache le.
-Je le sais Angela. Je le sais...
-Viens Charlotte. Dit bonne nuit au "médium". Tu dois être en forme demain. Ce seras ton plus bel anniversaire, et loin de ce menteur !
Elle prit la main de Charlotte qui m'adressa un dernier regard avant de l'emmener dans sa chambre et de la border. Je rester là, assis sur le piano d'ébène glacé. On était heureux, mais j'étais absent. Trop absent. si seulement j'avais compris à quel point l'argent, la richesse, ne comptait pas à leurs yeux et qu'elle auraient volontiers échangé notre immense villa contre une maison plus petite, un frigo plein à craquer pour la moitié et un jardin de plusieurs hectares pour un seul hectare contre passait plus de temps avec moi, tout aurait peut être était différent. Ce fut la dernière fois que je vit Charlotte. La dernière fois que je vis Angela. Je partis le matin, avant même leur réveil à cette émission. J'avais tout prévu, de mes plus sincères excuses à leurs donnés, jusqu'à la promesse d'être désormais plus présent. J'avais tout prévu, sauf leur mort. Et désormais, sur mon visage, comme sur celui de ma fille chérie il y a des années de cela, je pleure des Niagaras de larmes. Et elles le voient et partagent ma douleur. Je le sais, il suffit de regarder à travers la fenêtre de mon grenier, là où je suis allonger sur un lit qui fait souffrir le martyr à mon dos, où coule, au dehors et dans toutes les rues de Sacramento des Niagaras de pluie...
C'est un OS simple, et sur le passé de Patou, mais néanmoins mignon tout plein.
-Maman ! Arrêêêête...
-Charlotte, ne bouge pas comme ça !
-J'ai mal aux pieds. Et c'est longs.
-J'ai bientôt finis, patiente un peu.
-Mmm.
Angela étais entrain de coiffer Charlotte, qui était, comme à son habitude, très agitée. Ma femme lui remettait bien en place ses longs cheveux blonds soyeux, et une fois terminée, lança dans un grand sourire :
-Mademoiselle est coiffer.
-Youpi !
Charlotte sauta au cou de sa maman avant de se précipiter dans la cuisine et de sortir farine, œufs, et chocolat en poudre. Angela arriva, et lui demanda ce qu'elle comptait faire de tout ces ingrédients. Mon petit soleil de 7 ans répondit que c'était pour me préparer un gâteau. Sa mère lui sourit et l'aida, et c'est ainsi, que, trois heures plus tard, lorsque je rentrais d'une émission et comme toujours, en retard, je put découvrir un magnifique cake au chocolat posé sur la table de la salle à manger. Dès que ma petite chipie qui était dans son lit, à faire probablement semblant de dormir m'entendit, un cri résonna dans la maison et elle se précipita dans mes bras qui l’accueillirent avec bonheur.
-Papa !
-Alors, comment s'est passée ta journée ma petite Charlotte ?
-Elle fut très chouette !
-Ravi de l'entendre. Et tu as fais quoi de beau ?
-Et toi ?
Je riais quand Angela arriva dans mon dos et posa ma tête sur mon épaule après un rapide baiser.
-Aucuns doutes, c'est bien ta fille Patrick...
-Aucuns doutes, elle ira loin.
-Dit papa, tu as attrapé beaucoup de méchants aujourd'hui ?
-Hélas non pucette, je vais devoir y retourner.
Elle paraissait triste. Je lui manquait beaucoup, ça se voyait, mais je voulais qu'elles ne manquent de rien.
-Toujours cette sale histoire de John LeRouge Paty ?
-Toujours Angela, toujours...
-Mais, papa, dit, tu seras là demain ?
-Demain ? Qu'est ce qu'il y a demain ?
Toujours portée par mes bras, elle me donna un petit coup de poing dans le ventre avant de bouder.
-Mon anniversaire.
-Oh, déjà ? Et ça te fait...?
-9 ans...
-Je ne peut oublier cette date Charlotte, tu le sais bien !
Elle se mit à rire, et à me faire un de ses bisous dont elle a le secret pour faire fondre n'importe qui.
-J'ai réservé ma journée de demain pour toi pucette.
-Oh, merci !
Angela dit :
-Et si ton papa le mangeait ce gâteau, hein ?
-Un gâteau ? Où ça ?Dit-je, faussement surpris.
-Sur la table papa ! C'est moi qui l'ai fait ! Et avec maman !
Et on se mit tout les trois, à table, heureux. Oui, heureux, ça on l'était. J'étais beaucoup trop absent pour qu'elles ne manquent de rien, c'est vrai, mais on était quand même heureux. Et on s'aimait. Une fois le gâteau finis, Charlotte insista pour que je l'écoute au piano. Elle tenait ses dons de musiques de sa mère, c'était certains. Et mon don de mentalisme. C'était une petite fille parfaite, aimante, intelligente, polie, belle et en tout point un trésor, un diamant brut. Nous étions si heureux ensemble... Pendant qu'elle jouait au piano le fameux "Lettre à Élise", Angela et moi l'écoutions avec passion quand mon téléphone se mit à sonner. Je ne voulais pas décrocher, mais j'étais bien obligé, c'était le travail, alors je me leva et alla m'enfermer dans la salle de bain pour ne pas déconcentrer ma pucette qui faisait des efforts. Lorsque je sortit, j'avais une tête triste, anéantie. Qu'allait pensait ma fille ? En voyant mon visage désemparé, Angela se leva, et me chuchota, pendant que Charlotte continuait tant bien que mal sa musique :
-C'était qui ? Laisse moi devinez, encore ce Minelli à propos de l'affaire John LeRouge...
-Mouais...
-Et que voulait il ?
-Que je vienne à une émission demain pour parler de mon travail de médium et sur l'enquête de ce fameux serial-killer. Crois en mon expérience, ce malade là, John Machin-Chose, il sera vite capturé. Il est pas très doué, enfin, je veut dire...
-Tu as évidement refusé ?!
-...
-Quoi ? Tu as accepté de participer à cette émission ? Le jour de l'anniversaire de ta fille ?
-Mais, écoute, Angela...
-TU N'AS PAS LE DROIT PATRICK !
Elle cria. Ça fit arrêter de jouer Charlotte qui se leva et vint nous voir, inquiète :
-Qu'est ce qu'il se passe maman ?
-Ton père à préféré son psychopathe que toi ma chérie.
-Je...je...je comprend pas....
Je me baissa et lui dit, vraiment désolé :
-Je ne pourrait pas être là demain... Je suis vraiment désolé...
-Quoi ? Mais tu m'avais promis !
Je la prit dans mes bras où elle se mit à déverser des Niagaras de larmes. Angela me regarda froidement.
-Patrick, le dernier anniversaire que tu as fêter avec elle, c'était pour ses 4 ans. Sache le.
-Je le sais Angela. Je le sais...
-Viens Charlotte. Dit bonne nuit au "médium". Tu dois être en forme demain. Ce seras ton plus bel anniversaire, et loin de ce menteur !
Elle prit la main de Charlotte qui m'adressa un dernier regard avant de l'emmener dans sa chambre et de la border. Je rester là, assis sur le piano d'ébène glacé. On était heureux, mais j'étais absent. Trop absent. si seulement j'avais compris à quel point l'argent, la richesse, ne comptait pas à leurs yeux et qu'elle auraient volontiers échangé notre immense villa contre une maison plus petite, un frigo plein à craquer pour la moitié et un jardin de plusieurs hectares pour un seul hectare contre passait plus de temps avec moi, tout aurait peut être était différent. Ce fut la dernière fois que je vit Charlotte. La dernière fois que je vis Angela. Je partis le matin, avant même leur réveil à cette émission. J'avais tout prévu, de mes plus sincères excuses à leurs donnés, jusqu'à la promesse d'être désormais plus présent. J'avais tout prévu, sauf leur mort. Et désormais, sur mon visage, comme sur celui de ma fille chérie il y a des années de cela, je pleure des Niagaras de larmes. Et elles le voient et partagent ma douleur. Je le sais, il suffit de regarder à travers la fenêtre de mon grenier, là où je suis allonger sur un lit qui fait souffrir le martyr à mon dos, où coule, au dehors et dans toutes les rues de Sacramento des Niagaras de pluie...
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
Un sacrifice
Ahhhhhhh
Si triste mais si bien écrit !!
bravo, bravo, bravo
Ahhhhhhh
Si triste mais si bien écrit !!
bravo, bravo, bravo
La disciple de
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche. ^
Oui, le titre est long. Oui, c'est mon 15ème OS. Oui, il y est gnangnan(style). Mais c'est pas ma faute ! J'ai essayé de vous faire rire !
*s'enfuie*
Grumf... Il faut absolument que je me rachète du shampoings. Ca urge vraiment, j'en ai plus une seule goutte dans la bouteille. M'enfin... Calme toi Térésa et profite de cette délicieuse eau chaude. Si Jane n'avais pas encore fait des siennes tu ne serais pas aussi en retard pour le rendez-vous pizza avec Bob de la compta. Calme toi Térésa, il te l'a dit, il aura certainement du retard à cause de son nouveau chef pas facile, tu as encore le temps de te préparer. Un simple t-shirt blanc et un jean. Oui, c'est une bonne idée. A moins que je mette une robe sophistiquée noire, celle que j'avais acheté pour un des plans de Jane. Séduire un tueur en série dandy, le plus pourri des plans de mon intenable consultant. J'avais failli me faire tuée en plus ! Enfin, non, on avait failli... Il s'était risqué autant que moi dans cette affaire et à mis sa vie en danger pour nous faie gagner du temps pour que l'équipe arrive et...
Stop Térésa, zen. Tu penses à ce malade de Jane alors que tu vas passée une chaude soirée avec un p'tit mignon de 20 piges. Je dois être très fatiguée en ce moment, je ne penses plus qu'à Patri...Jane. Le jour ou la nuit, c'est tout le temps pareil. La semaine dernière, au restaurant avec Bob, je n'ai pas arrêté de parler de mon consultant. Et de lui faire l'éloge de toutes ces qualités et ces défauts qui me font littéralement fondre...
Térésa tu est très malade. Mais arrête de penser à ce blond qui ne fais que te poser des problèmes !
...
Je n'y arrive pas ! Zut, zut, et encore zut. Zen Térésa.
Tu est juste en période de surmenage, ça passeras Térésa.
-"Girl, in the fiiiiire. Oh, girl, in the fiiiiiiire."
Ah, tiens, mon téléphone sonne. Bon, je suis sous la douche, je ne décroche pas. J'ai pas que ça à faire. Mais qui est ce qui peut m’appeler à cette heure ci ? Ah, oui, certainement Bob, pour me dire qu'il aura du retard. Son nouveau chef est un vrai tyran. Mais bon, génial pour moi. J'aurais le temps de me préparer. Ca me rappelle un des plans de Jane pour attraper une veuve meurtrière qui as tuée son beau-frère et...
-Ding Dong.
Allons bon, maintenant, on sonne. Ca ne peut pas être Bob, il vient juste de m'appeler parce qu'il aura du retard...
Ah oui ! Ça doit être le livreur de pizza !
Et bien, dit donc, il est en avance. Je sais qu'il m'aime bien, mais au point de me rendre mes pizzas une heure avant l'heure...
Bref.
-DIIIIIIIING DOOOOOOOOONG !!!
Ça alors, il insiste. Lui qui est d'habitude doux et tendre...
-PAMPAMPAMPAM !!!
Et voila qu'il se met à tambouriner à la porte. Il doit être vraiment pressé de me voir. Bon, j'ai finis de me rincer, je vais sécher, mettre une serviette autour de moi et descendre avant qu'il ne défonce la porte. //
-Un instant !//Dit-je avec la voix la plus enflammée possible.
Je me met la serviette autour de mon corps, mais elle si petite qu'elle m'arrive juste au-dessus de la moitié des cuisses. Tant pis. Si ça ne marche pas avec Bob, je pourrais toujours me rattraper avec le pizzaillo et le coup du "J'ai le lavabo en panne". Je descend les marches 4 à 4, les pieds sur le pavé glacial et les cheveux mouillés pendant que la porte se prenait des coups inimaginable et que la sonnette se faisait écraser. Je mis les clés dans la serrure et ouvrit, commençant mon excuse, d'une voix... Irrésistible...
-Je suis désolé, je sort de la douche et...
Et c'est là que la personne que je vit en face de moi me statufia sur place. Tout d'un coup la serviette que je portais me paru trop faible face à des yeux océaniques que je connaissait bien qui semblait détaillé la moindre parcelle de moi. Cet homme, c'était Patrick Jane.
-Ja...Jane, que faites vous ici ?Dit-je en rougissant et en tirant de tout les coté ma serviette dans le vain but de l'élargir.
-Je passais vous voir et euh... je vous conseil d'arrêter de malmener cette serviette avant qu'elle ne tombe complètement.Dit il en riant. Qu'est ce qu'il pouvait être chiant !
-Passez me voir ? C'en est des manières de débarquer chez moi à tout heure sans me prévenir !
-Euh, en réalité, je vous ai prévenu, j'ai fait sonner votre téléphone et comme j'étais sur le chemin, je me suis dit que je pourrais passer vous voir. Vous en avez mis du temps à ouvrir, j'étais sur le point de crocheter la serrure ! J'ai bien fait de ne rien faire, imaginez que je vous ayez surprise dans la douche... Monologua il en détaillant chacune des parcelle qui lui était visible. Si je ne savais pas que c'était Jane, j'aurais même cru qu'il rougissant légèrement. Mais à cet instant, ce n'était pas une possible rougeur de mon consultant qui me préoccupait, c'est que si c'était Jane qui m'avait appeler ce ne fut pas Bob et celui ci n'as donc pas de retard et risque d'être là d'un instant à l'autre !!!
-Euh...Jane....je...
-Je comprend Lisbon. Je gène, vous attendez quelqu'un. Et certainement pas votre cousin, alors, je m'en vais.
-Mais, n-n-non, pas du tout, je...
-Pas la peine de faire cette tête Lisbon, le ton de votre voix quand vous m'avez ouvert, la surprise dans vos yeux quand vous m'avez vu. Assurez vous seulement que c'est quelqu'un de bien.
Passez une bonne soirée. Il me murmura cette phrase en m'embrassant sur la joue. Je fut si déstabilisée que j'en lâcha la serviette. Heureusement qu'il la rattrape in-extremis.
-Lisbon, Lisbon... Faites plus attention !
-Je...mais..euh...merci...
C'est là que le livreur de pizza arriva. Un remplaçant, de surcroît, et très laid.
-Voici les deux pizzas de madame Lisbon...
Ce à quoi répliqua Jane :
-Mademoiselle Lisbon, mon cher. Mettez la note à mon nom : Patrick Jane.
-Bien.
Et c'est ainsi que le livreur repartie laissant dans les bras de Jane 2 grandes pizzas qu'il me déposa sur ma table de salle à manger. Sacrilège, il venait d'entrer chez moi, dans MON intimité... Je me sentais de plus en plus mal. Je pensais à des choses... Inracontable ici diront nous. Jane ressortie, et m’adressant un dernier sourire, me dit :
-Faites attention à vous Lisbon.
Contre toutes attente, alors que mon consultant allez me laisser, je sentis le besoin de le retenir, comme pour sauver mon orgueil, qu'importe les risques. Ce fut plus fort que moi, je cria pour rattraper le mentaliste un simple :
-Non, attendez !
Il se retourna, sur l'entrée de la porte.
-Je ne veut pas vous dérangez Lisbon.
-Vous ne me dérangez pas, je suis seule...euh...ce soir !
-Et les deux pizzas ? Je ne suis pas stupide... Térésa.
-Les deux pizzas ? C'était pour vous.
-Pour moi ?
-Oui, oui, je...je comptais vous invitais.
Il me sourit. Je savais qu'il n'était pas tombé dans mes mensonges, mais il faisait semblant. Et ça me faisait très plaisir. Je suis si bien quand il est à mes cotés.
Si bien que je m'étais sentie obligée de l'inviter. Il avait peut être fait exprès ? C'est un homme si mystérieux...
Le problème restant était Bob. Et c'est à c'est à cet instant qu'on sonna. Inévitablement le type de la compta. Moi et Jane on se regarda, sachant l'un comme l'autre qu'un problème se posait. C'est mon consultant qui ouvrit la porte, moi trop occupée à réfléchir. Bob ne fit pas de vieux os.
-Mmm. Bonjour, vous êtes...?
-Bob, de la compta. Je viens pour Térésa.
-Tessy, il y a un gars pour toi !
...
Elle doit encore être dans le lit.
-D...dans le lit...?
-Elle m'attends si vous voyez ce que je veut dire, alors, déguerpissez.
-T..tout de suite !
Et c'est ainsi que l'on se débarrassa du gêneur. Jane referma la porte, et me regarda. On se regarda. Comme ses yeux pouvaient être beaux et son regard perçant ! Tant et si bien que l'on partit l'un comme l'autre dans un fou rire. Et on put passer une merveilleuse soirée, l'un contre l'autre, dans mon canapé, à manger des pizzas et des glaces à et se regardez de vieux films romantique... On s'endormit l'un contre l'autre, sa chaleur me réchauffant. La plus belle nuit de ma vie...
*s'enfuie*
Grumf... Il faut absolument que je me rachète du shampoings. Ca urge vraiment, j'en ai plus une seule goutte dans la bouteille. M'enfin... Calme toi Térésa et profite de cette délicieuse eau chaude. Si Jane n'avais pas encore fait des siennes tu ne serais pas aussi en retard pour le rendez-vous pizza avec Bob de la compta. Calme toi Térésa, il te l'a dit, il aura certainement du retard à cause de son nouveau chef pas facile, tu as encore le temps de te préparer. Un simple t-shirt blanc et un jean. Oui, c'est une bonne idée. A moins que je mette une robe sophistiquée noire, celle que j'avais acheté pour un des plans de Jane. Séduire un tueur en série dandy, le plus pourri des plans de mon intenable consultant. J'avais failli me faire tuée en plus ! Enfin, non, on avait failli... Il s'était risqué autant que moi dans cette affaire et à mis sa vie en danger pour nous faie gagner du temps pour que l'équipe arrive et...
Stop Térésa, zen. Tu penses à ce malade de Jane alors que tu vas passée une chaude soirée avec un p'tit mignon de 20 piges. Je dois être très fatiguée en ce moment, je ne penses plus qu'à Patri...Jane. Le jour ou la nuit, c'est tout le temps pareil. La semaine dernière, au restaurant avec Bob, je n'ai pas arrêté de parler de mon consultant. Et de lui faire l'éloge de toutes ces qualités et ces défauts qui me font littéralement fondre...
Térésa tu est très malade. Mais arrête de penser à ce blond qui ne fais que te poser des problèmes !
...
Je n'y arrive pas ! Zut, zut, et encore zut. Zen Térésa.
Tu est juste en période de surmenage, ça passeras Térésa.
-"Girl, in the fiiiiire. Oh, girl, in the fiiiiiiire."
Ah, tiens, mon téléphone sonne. Bon, je suis sous la douche, je ne décroche pas. J'ai pas que ça à faire. Mais qui est ce qui peut m’appeler à cette heure ci ? Ah, oui, certainement Bob, pour me dire qu'il aura du retard. Son nouveau chef est un vrai tyran. Mais bon, génial pour moi. J'aurais le temps de me préparer. Ca me rappelle un des plans de Jane pour attraper une veuve meurtrière qui as tuée son beau-frère et...
-Ding Dong.
Allons bon, maintenant, on sonne. Ca ne peut pas être Bob, il vient juste de m'appeler parce qu'il aura du retard...
Ah oui ! Ça doit être le livreur de pizza !
Et bien, dit donc, il est en avance. Je sais qu'il m'aime bien, mais au point de me rendre mes pizzas une heure avant l'heure...
Bref.
-DIIIIIIIING DOOOOOOOOONG !!!
Ça alors, il insiste. Lui qui est d'habitude doux et tendre...
-PAMPAMPAMPAM !!!
Et voila qu'il se met à tambouriner à la porte. Il doit être vraiment pressé de me voir. Bon, j'ai finis de me rincer, je vais sécher, mettre une serviette autour de moi et descendre avant qu'il ne défonce la porte. //
-Un instant !//Dit-je avec la voix la plus enflammée possible.
Je me met la serviette autour de mon corps, mais elle si petite qu'elle m'arrive juste au-dessus de la moitié des cuisses. Tant pis. Si ça ne marche pas avec Bob, je pourrais toujours me rattraper avec le pizzaillo et le coup du "J'ai le lavabo en panne". Je descend les marches 4 à 4, les pieds sur le pavé glacial et les cheveux mouillés pendant que la porte se prenait des coups inimaginable et que la sonnette se faisait écraser. Je mis les clés dans la serrure et ouvrit, commençant mon excuse, d'une voix... Irrésistible...
-Je suis désolé, je sort de la douche et...
Et c'est là que la personne que je vit en face de moi me statufia sur place. Tout d'un coup la serviette que je portais me paru trop faible face à des yeux océaniques que je connaissait bien qui semblait détaillé la moindre parcelle de moi. Cet homme, c'était Patrick Jane.
-Ja...Jane, que faites vous ici ?Dit-je en rougissant et en tirant de tout les coté ma serviette dans le vain but de l'élargir.
-Je passais vous voir et euh... je vous conseil d'arrêter de malmener cette serviette avant qu'elle ne tombe complètement.Dit il en riant. Qu'est ce qu'il pouvait être chiant !
-Passez me voir ? C'en est des manières de débarquer chez moi à tout heure sans me prévenir !
-Euh, en réalité, je vous ai prévenu, j'ai fait sonner votre téléphone et comme j'étais sur le chemin, je me suis dit que je pourrais passer vous voir. Vous en avez mis du temps à ouvrir, j'étais sur le point de crocheter la serrure ! J'ai bien fait de ne rien faire, imaginez que je vous ayez surprise dans la douche... Monologua il en détaillant chacune des parcelle qui lui était visible. Si je ne savais pas que c'était Jane, j'aurais même cru qu'il rougissant légèrement. Mais à cet instant, ce n'était pas une possible rougeur de mon consultant qui me préoccupait, c'est que si c'était Jane qui m'avait appeler ce ne fut pas Bob et celui ci n'as donc pas de retard et risque d'être là d'un instant à l'autre !!!
-Euh...Jane....je...
-Je comprend Lisbon. Je gène, vous attendez quelqu'un. Et certainement pas votre cousin, alors, je m'en vais.
-Mais, n-n-non, pas du tout, je...
-Pas la peine de faire cette tête Lisbon, le ton de votre voix quand vous m'avez ouvert, la surprise dans vos yeux quand vous m'avez vu. Assurez vous seulement que c'est quelqu'un de bien.
Passez une bonne soirée. Il me murmura cette phrase en m'embrassant sur la joue. Je fut si déstabilisée que j'en lâcha la serviette. Heureusement qu'il la rattrape in-extremis.
-Lisbon, Lisbon... Faites plus attention !
-Je...mais..euh...merci...
C'est là que le livreur de pizza arriva. Un remplaçant, de surcroît, et très laid.
-Voici les deux pizzas de madame Lisbon...
Ce à quoi répliqua Jane :
-Mademoiselle Lisbon, mon cher. Mettez la note à mon nom : Patrick Jane.
-Bien.
Et c'est ainsi que le livreur repartie laissant dans les bras de Jane 2 grandes pizzas qu'il me déposa sur ma table de salle à manger. Sacrilège, il venait d'entrer chez moi, dans MON intimité... Je me sentais de plus en plus mal. Je pensais à des choses... Inracontable ici diront nous. Jane ressortie, et m’adressant un dernier sourire, me dit :
-Faites attention à vous Lisbon.
Contre toutes attente, alors que mon consultant allez me laisser, je sentis le besoin de le retenir, comme pour sauver mon orgueil, qu'importe les risques. Ce fut plus fort que moi, je cria pour rattraper le mentaliste un simple :
-Non, attendez !
Il se retourna, sur l'entrée de la porte.
-Je ne veut pas vous dérangez Lisbon.
-Vous ne me dérangez pas, je suis seule...euh...ce soir !
-Et les deux pizzas ? Je ne suis pas stupide... Térésa.
-Les deux pizzas ? C'était pour vous.
-Pour moi ?
-Oui, oui, je...je comptais vous invitais.
Il me sourit. Je savais qu'il n'était pas tombé dans mes mensonges, mais il faisait semblant. Et ça me faisait très plaisir. Je suis si bien quand il est à mes cotés.
Si bien que je m'étais sentie obligée de l'inviter. Il avait peut être fait exprès ? C'est un homme si mystérieux...
Le problème restant était Bob. Et c'est à c'est à cet instant qu'on sonna. Inévitablement le type de la compta. Moi et Jane on se regarda, sachant l'un comme l'autre qu'un problème se posait. C'est mon consultant qui ouvrit la porte, moi trop occupée à réfléchir. Bob ne fit pas de vieux os.
-Mmm. Bonjour, vous êtes...?
-Bob, de la compta. Je viens pour Térésa.
-Tessy, il y a un gars pour toi !
...
Elle doit encore être dans le lit.
-D...dans le lit...?
-Elle m'attends si vous voyez ce que je veut dire, alors, déguerpissez.
-T..tout de suite !
Et c'est ainsi que l'on se débarrassa du gêneur. Jane referma la porte, et me regarda. On se regarda. Comme ses yeux pouvaient être beaux et son regard perçant ! Tant et si bien que l'on partit l'un comme l'autre dans un fou rire. Et on put passer une merveilleuse soirée, l'un contre l'autre, dans mon canapé, à manger des pizzas et des glaces à et se regardez de vieux films romantique... On s'endormit l'un contre l'autre, sa chaleur me réchauffant. La plus belle nuit de ma vie...
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Deux Années. ^
Voila mon 16ème OS, ne m'en voulez pas, c'est bientot terminé, j'en ai plus que deux en réserve. Mais j'en ferais d'autres, promis, je dois au moins en faire un chaque semaine, deux semaines, pour tenir mes délais.
Bref, un OS très long, très triste, très sadique, très horrible, en résumé, DRA-MA-TI-QUES, tout ce que j'aime et sait faire.
Celles qui sont trop sensibles, passez votre chemin.
Bonne lecture !
-Vous avez un message.
-Mmm...? Qui peut bien me laisser un message si tard, alors que je suis bien allongé sur mon cher divan marron, à... 3H00 du matin ?!
Je prend mon téléphone et regarde. Un texto, numéro masqué. Las, je souffle. Certainement une de ces pubs téléphoniques du genre Véronica ou Clara. Tsss. Je l'ouvre quand même, au risque de me faire mettre en ligne avec un de ces numéros surtaxés stupides. J'ouvre le message qui me glace sur place...
"Mon bon vieux copain,
Je t'attends.
A 3H18 du matin,
Tu seras dans la ruelle sombre, tout au fond
Ce sera là, et cette fois, pas un clone.
Ton bon vieux copain John."
-John...
Soufflais-je entre mes lèvres. Je me leva brusquement, pris ma veste en sortit en trombe. Tout le monde était chez soi à cette heure ci, même le service de nuit dormez. Je couru dans les escaliers, étant phobique des ascenseurs, et finis par atterrir dehors. Et ci c’était un canular ? Non, impossible. C'était bien John, je le savais, je le sentais, c'est sa signature, son style, son... C'est lui, point. Il parle d'une ruelle...
Arrivé dehors, je rouvre mon portable, relis quelque fois le texto. Mais quelle ruelle ?
Tout au fond de la ruelle sombre... Le fond d'une ruelle sombre... Une ruelle sombre...
Sacramento dors la nuit, c'est mort, mais pourtant, les lampadaires remplissent à peu près partout de la lumière. Je monta dans ma DS et parcouru l'axe principal de la ville, à la recherche d'une ruelle sombre, un rare lieu où la civilisation ne l’atteins pas.
3H08.
3H09.
3H10.
3H11.
3H12.
3H13.
3H14.
3H15.
3H16.
3H17.
Enfin, je trouve cette petite ruelle. Je saute de ma voiture et y court, inconscient. Je vais jusqu'au fond, où sur le sol règne des seringues, et des morceaux de verres, provenant sans aucun doutes de bouteille d'alcool. C'est humide, j'éternue. Les murs sont sales, pleins de graffitis. En levant les yeux au ciel, je remarque qu'il est tout simplement noir, sans même une seul étoile. Cette rue est un cul-de-sac, inoffensif le jour et profondément malsain la nuit. Un frisson me parcourt le dos. La peur ? Non. Je ressens une présence derrière moi. Je peine à regarder et à lire ma montre dans cette obscurité. J'essaye et parviens à distinguer "3H18"...
-John LeRouge est quelqu'un de parole. Et après ?Je lève mes mains en l'air, sachant pertinemment ce que mon ennemi tiens.
-Patrick... Je me suis douté que vous viendriez.
-Vous n'êtes pas là pour me tuez, sinon, vous l'auriez déjà fait.
-Bien vu. Mais vous allez vous laissez faire.
-Ah oui ? Et pourquoi ?
-Vous verrez...
Je le sens s'approcher de moi. Je ne fais rien. Ne rien faire. Je ne bouge pas. C'est une équation si complexe... Avec une de ses mains, il me met un tissu devant la bouche et le nez. Cette odeur ? Du chloroforme. Il veut m'endormir !
Je crie et essaye de me débattre. Mais il tiens bon, à chaque respiration, je me sens de plus en plus engourdie, je tremble, jusqu'à... sombrer...
-Mmm...?
J'ai du encore faire un cauchemar. J'ai mal dans tout mes membres, et je vais pour approcher mes mains de mes yeux afin de les réveiller lorsque je sens mes bras... Ligoté ?
J'ouvre complètement les yeux. Je suis suspendu par mes bras, touchant à peine le sol, avec pour seul vêtement restant mon boxer et du scotch extrêmement solide sur ma bouche. Ce n'était pas un cauchemar !
Patrick, calme toi, et analyse. Analyse... Regarde autour de toi...
C'est une petite, toute petite pièce. Je peine à distinguer la couleur des murs dans cette obscurité, mais ils doivent être blanc... La pièce n'est éclairée que par une petite ampoule au dessus de ma tête dont la lumière vacillante menace à tout instant de s'éteindre. Comme je constate qu'il n'y a pas de porte en face de moi, celle doit se trouver derrière moi. En face de moi, par contre, il y a une chaise, une des ces vieilles chaises en bois menaçant de s'écrouler que l'on ne retrouve plus que dans les vieux films muets de Charlie Chaplin. Je sourit à cette idée
et même à bouger un peu sur le rythme de "Smile", gémissant l'air, à défaut de le chanter à cause du scotch. Je dois vraiment avoir l'air d'un débile mental, mais pour me rassurer, je suis prêt à tout. Cette pièce à une odeur, contrairement à ce que je pourrais m'attendre, de neuf. Comme ci elle m'avait été réservée, et qu'elle ne lui avais jamais servis auparavant. C'est certainement ça, il m'a gardé une salle pour moi tout seul.
L’atmosphère ? Elle est comme les murs et le sol : Glaciale.
Je baisse la tête. Que va il m'arriver ?
Va il me tuer ?
Non, ce serais trop simple, John veut me faire souffrir, m'écraser. J'entends des sinistres bruits de pas derrière moi, puis une clé qui grince et une porte qui s'ouvre, en fracas, avant d'être refermée. John LeRouge arrive devant moi, s'assied sur la chaise qui craque et croisa les jambes. Évidement, il était masqué. Pendant quelques minutes, sans bruit, on se fixe du regard, l'un comme l'autre ne voulant pas baisser les yeux le premier. Au bout d'un certain temps, qui parut une éternité, mon bourreau déchira le silence :
-Patrick, votre nouveau chez vous vous convient il ?
-...
Je ne répondit rien. Mais John se mit à rire.
-J'oubliais que je vous ai bailloner ! Je suis stupide parfois !
Puis il changea brusquement d'air et se leva, dans les yeux une haine brûlante, tellement brûlante qu'elle en était perceptible. Je me mit à trembler.
-Votre nouveau chez vous finiras par vous convenir. De toutes façon, vous n'avez plus le choix...
John se colla à moi, rapprochant son regard du miens, et me murmura à l'oreille de son étrange voix :
-J'ai appris que vous vous éloigniez de moi. C'est très mal. Très mal. Et je vais vous punir pour ça.
Je sentis quelque chose de glacé et de dur contre mon torse. Du métal. Un scalpel.
-Car tu es à moi Patrick. Tu m'appartiens.
Il s'amusait à mimer des cercles et des formes invisibles sur mon torse avec son objet. Je tremblais, j'avais peur. Non, pas de mourir, pas de souffrir, j'avais peur tout simplement. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais peur. Une larme même trouva le chemin de ma joue. Ma respiration était saccadée, je tremblais, j'étais pâle comme un linge et mon coeur battait plus vite que jamais. John LeRouge ramassa ma larme avec le bout de son scalpel. Il se recula à peine, comme pour avoir une vue d'ensemble, et me murmura un simple et terrifiant :
-Tu es à moi.
Avant d'utiliser son but de métal pour me dessiner en grand son smiley sur tout mon torse. Je saignais à mesure que la lame déchirer ma peau. La douleur était insupportable. Il faisait en sorte que la cicatrice reste pour toujours mais sans mettre ma vie en danger. Je me débattais de toutes mes forces, tentais d'hurler et ne produisait que des gémissement, je suppliais tout les Saints à qui je n'ai jamais cru que je connaissais, j'essayais tout ce qui était imaginable. Mais rien ne put y faire, ce monstre réussi à graver indélébilement son nom en moi.
Il rangea l'arme dans sa poche, me caressa la joue et repartie, me laissant là, seul, la tête baissé, lui appartenant entièrement, la respiration allétante, la peau qui me brûlait de douleur et mutilée indéfiniment.
Ainsi se passa 2 ans. 2 longues années à sa merci, me refermant toujours plus sur moi même. Il ne me fit plus souffrir, du moins physiquement, me nourrissait, du moins, assez pour que je ne meurt pas de faim, et passait chaque jour pour m'aspergeait d'eau, me nourrir, et me raconter sa journée.
2 ans... 2 ans pendant lesquels la seule lumière que je vit fut l'ampoule au dessus de ma tête, qui, il y a jadis à arrêtait de fonctionner. 2 ans où le seul son dont le peut me souvenir est la voix de mon ravisseur masqué. 2 ans où je n'ai plus prononcé un seul mot, ni un seul son. 2 ans où j'ai perdu le temps et les souvenirs, mes journées ne se constituants que de la visite de John. 2 ans où ma vie se dissout peu à peu, me faisant oublié tout ce que je fut, qui j'ai connu, et pourquoi je suis là. Je me rappelle vaguement d'une femme, d'une fille, puis d'un travail à la police. Quelques bribes éclairs de mon passé me reviennent parfois en mémoire, comme pour me dire "Allez, bat toi !", mais à partir de l'instant où on m'a apposé ce sigle, je ne suis plus rien, chaque jour de plus est un bout de vie perdu pour moi. Il y a bien longtemps que mes yeux ne voient plus que l'obscurité, que mes papilles de ressentent rien, que mon ouïe ne perçois qu'un brouhaha indescriptible quand John parle, que mes membres ne ressentent rien. Je n'ai plus aucune raison de vivre. Beaucoup de gens se demandent "Pourquoi je vis ?". Et bien, quand on perd toutes ces choses insignifiantes que l'on croit acquises, on comprend que la vie, c'est en réalité les avoir. Que la vie, c'est les sensations et les sentiments. A partir du moment où l'on a plus ça, que notre existence n'est qu'une routine sans bonheur, ni malheur, notre vie est morte. Même si notre coeur bat, on est mort. Et j'étais mort, là, dans le monde de John.
Qui suis-je déjà ? Je ne m'en souviens même plus. Je sais juste que je suis à John LeRouge. C'est tout. Je lui appartient.
2 ans aujourd'hui que je suis à lui. Et c'est là, qu'un événement, changea ma vie. Il se passa quelque chose d’inhabituel. Alors qu'il était l'heure qu'il vienne me nourrir et me parler, j’entendis un énorme brouhaha au dehors de ma prison. Je put distinguer un coup de feu, ou même plusieurs, mais c'était un grand fracas. La porte fut explosé. Moi qui avais perdu tout sens de tout, commença à me poser des questions. Qu'est ce qu'il se passait ?
Une lueur blanche fut dirigé dans mon dos, en j'entendis le brouhaha un peu s'éclaircir, comme si ma vie était sur le point de changer. Il y avait une voix que je connaissait dans cette bouillabaisse de bruit. Je le savais au fin fond de mes entrailles. Elle a dit "il....là"... je crois... C'est tout ce que j'ai compris. La lueur me brûlait les yeux, moi qui était habitué à l'obscurité, ma vision était floue et instable. Mais malgré ça, je distingua quelque chose ou quelqu'un qui s'approcha de moi, il me sembla la connaître. Elle avait des cheveux noirs je crois... J'y voyais floue et ne comprenait pas tout. Elle défit les liens qui serrait mes bras et je tomba dans les siens. Mes membres étaient libres, il me sembla, comme... revenir à la vie. Petit à petit, dans le brouhaha je put distinguer quelques mots, ma vision était plus nette et je put voir le visage d'une femme, assez petite d'ailleurs, et mes membres où je ne ressentais plus rien se mirent à produire des petits picotements. Elle retira le scotch de ma bouche et commença à dire quelque chose :
-Jane ? Jane ? Jane ?
Jane est ce mon nom ?
-JANE !!!
Elle me secoua et me prit dans ses bras. Son parfum me titilla mes narines et mes souvenirs. Oui, c'est vrai, je crois qu'elle s'appelait comme une Sainte ou quelque chose du genre...
-Je suis tellement désolé Jane !
Désormais, j'entendais tout parfaitement. Mes yeux s'était acclimatés à la lumière environnante et mes membres rembougeaient, avec quelque engourdissements, mais ils pouvaient fonctionner, je le savais. Et c'est là, que je me remit à parler, avec difficulté, mais je le dit :
-Térésa Lisbon ?
-Patrick Jane... Je suis désolée.
-N..non... Ne le soyez pas...
-Tout va rentrer dans l'ordre, je vous le promet.
Et elle me prit contre elle. Désormais, ma mémoire était redevenue comme avant, intacte. Je me souvenais de tout, Angela, Charlotte, avant, après... J'étais vivant...
Tout au fond de moi, si j'ai tenu en vie pendant ces 2 années, c'était pour ce jour, je le savais. J'attendais cet instant.
En me prenant dans ses bras, Lisbon découvrit avec horreur la cicatrice en forme de smiley.
-C'est...c'est horrible...
-Où... Où...?
-L'équipe est dehors, elle appelle une ambulance, ça va aller. Tout est finis, vous êtes en sécurité...
Lisbon se mit à pleurer, et moi lui frictionner le dos pour la rassurer.
-Et...John ?
-Je l'ai tué. 3 balles dans le corps. Vous n'avez lus rien à craindre.
Et je sourit, pour la première fois depuis 2 ans. Enfin, la libération. Quand tout à coup, saignant et se tenant contre les murs, John apparu.
-Je te l'ai dit Patrick, tu es à moi, si je meurt, tu viens avec moi !
Il se tenait le ventre. Les balles ne l'avait pas tuées sur le coup et sa haine, sa rage lui donnait plus de force que n'importe qui, le rendant presque invincible. Il braqua son arme vers ma tête. Lisbon ne comprit pas tout de suite ce qui se passait.
-Je n'appartiens à personne John, et encore moins à toi !
-Ah oui ?
-Je suis un homme libre, je ne t’appartiendrais jamais !
-Peut être que tu as raison. Mais tu vas quand même venir avec moi !
Il tira, mais Lisbon s'interposa et pris la balle à ma place...
-Lisbon ? Lisbon ! Térésa, reste avec moi !
-Tu es un homme libre Patrick...
Elle était là, dans mes bras, saignante, m'offrant son dernier regard et son ultime soupir. Je me mit à pleurer, et John à rire, contre le mur écarlate de son sang. Je prit le revolver de Lisbon et me leva, avec difficulté, après avoir fermé les yeux à ma patronne et me dirigea vers John.
-Patrick, je suis déjà mort. Je suis en train d'agoniser, me tirer dessus ne te serviras à rien...
-C'est vrai, et j'ai compris une chose. Si je veut être un homme libre, il faut que je meurt. Ainsi, j'irais rejoindre Angela, Charlotte et Térésa, ma meilleure amie, dans le grand et beau Paradis, pendant que toi, tu ira griller dans les flammes de l'Enfer.
-A moins que tu partes en Enfer avec moi...
-Adieu.
On se regardaient droit dans les yeux. Je pressa la détente au moment même où John perdis l'éclat de la vie dans on regard. Après tout ses tirs, l'équipe se ramena en courant dans la salle et découvrit avec malheur les 3 corps. Pendant ce temps, moi, j'étais libre, entouré des seules personnes qui ont jamais comptées pour moi. Ma femme, ma fille et ma meilleure amie.
Bref, un OS très long, très triste, très sadique, très horrible, en résumé, DRA-MA-TI-QUES, tout ce que j'aime et sait faire.
Celles qui sont trop sensibles, passez votre chemin.
Bonne lecture !
-Vous avez un message.
-Mmm...? Qui peut bien me laisser un message si tard, alors que je suis bien allongé sur mon cher divan marron, à... 3H00 du matin ?!
Je prend mon téléphone et regarde. Un texto, numéro masqué. Las, je souffle. Certainement une de ces pubs téléphoniques du genre Véronica ou Clara. Tsss. Je l'ouvre quand même, au risque de me faire mettre en ligne avec un de ces numéros surtaxés stupides. J'ouvre le message qui me glace sur place...
"Mon bon vieux copain,
Je t'attends.
A 3H18 du matin,
Tu seras dans la ruelle sombre, tout au fond
Ce sera là, et cette fois, pas un clone.
Ton bon vieux copain John."
-John...
Soufflais-je entre mes lèvres. Je me leva brusquement, pris ma veste en sortit en trombe. Tout le monde était chez soi à cette heure ci, même le service de nuit dormez. Je couru dans les escaliers, étant phobique des ascenseurs, et finis par atterrir dehors. Et ci c’était un canular ? Non, impossible. C'était bien John, je le savais, je le sentais, c'est sa signature, son style, son... C'est lui, point. Il parle d'une ruelle...
Arrivé dehors, je rouvre mon portable, relis quelque fois le texto. Mais quelle ruelle ?
Tout au fond de la ruelle sombre... Le fond d'une ruelle sombre... Une ruelle sombre...
Sacramento dors la nuit, c'est mort, mais pourtant, les lampadaires remplissent à peu près partout de la lumière. Je monta dans ma DS et parcouru l'axe principal de la ville, à la recherche d'une ruelle sombre, un rare lieu où la civilisation ne l’atteins pas.
3H08.
3H09.
3H10.
3H11.
3H12.
3H13.
3H14.
3H15.
3H16.
3H17.
Enfin, je trouve cette petite ruelle. Je saute de ma voiture et y court, inconscient. Je vais jusqu'au fond, où sur le sol règne des seringues, et des morceaux de verres, provenant sans aucun doutes de bouteille d'alcool. C'est humide, j'éternue. Les murs sont sales, pleins de graffitis. En levant les yeux au ciel, je remarque qu'il est tout simplement noir, sans même une seul étoile. Cette rue est un cul-de-sac, inoffensif le jour et profondément malsain la nuit. Un frisson me parcourt le dos. La peur ? Non. Je ressens une présence derrière moi. Je peine à regarder et à lire ma montre dans cette obscurité. J'essaye et parviens à distinguer "3H18"...
-John LeRouge est quelqu'un de parole. Et après ?Je lève mes mains en l'air, sachant pertinemment ce que mon ennemi tiens.
-Patrick... Je me suis douté que vous viendriez.
-Vous n'êtes pas là pour me tuez, sinon, vous l'auriez déjà fait.
-Bien vu. Mais vous allez vous laissez faire.
-Ah oui ? Et pourquoi ?
-Vous verrez...
Je le sens s'approcher de moi. Je ne fais rien. Ne rien faire. Je ne bouge pas. C'est une équation si complexe... Avec une de ses mains, il me met un tissu devant la bouche et le nez. Cette odeur ? Du chloroforme. Il veut m'endormir !
Je crie et essaye de me débattre. Mais il tiens bon, à chaque respiration, je me sens de plus en plus engourdie, je tremble, jusqu'à... sombrer...
-Mmm...?
J'ai du encore faire un cauchemar. J'ai mal dans tout mes membres, et je vais pour approcher mes mains de mes yeux afin de les réveiller lorsque je sens mes bras... Ligoté ?
J'ouvre complètement les yeux. Je suis suspendu par mes bras, touchant à peine le sol, avec pour seul vêtement restant mon boxer et du scotch extrêmement solide sur ma bouche. Ce n'était pas un cauchemar !
Patrick, calme toi, et analyse. Analyse... Regarde autour de toi...
C'est une petite, toute petite pièce. Je peine à distinguer la couleur des murs dans cette obscurité, mais ils doivent être blanc... La pièce n'est éclairée que par une petite ampoule au dessus de ma tête dont la lumière vacillante menace à tout instant de s'éteindre. Comme je constate qu'il n'y a pas de porte en face de moi, celle doit se trouver derrière moi. En face de moi, par contre, il y a une chaise, une des ces vieilles chaises en bois menaçant de s'écrouler que l'on ne retrouve plus que dans les vieux films muets de Charlie Chaplin. Je sourit à cette idée
et même à bouger un peu sur le rythme de "Smile", gémissant l'air, à défaut de le chanter à cause du scotch. Je dois vraiment avoir l'air d'un débile mental, mais pour me rassurer, je suis prêt à tout. Cette pièce à une odeur, contrairement à ce que je pourrais m'attendre, de neuf. Comme ci elle m'avait été réservée, et qu'elle ne lui avais jamais servis auparavant. C'est certainement ça, il m'a gardé une salle pour moi tout seul.
L’atmosphère ? Elle est comme les murs et le sol : Glaciale.
Je baisse la tête. Que va il m'arriver ?
Va il me tuer ?
Non, ce serais trop simple, John veut me faire souffrir, m'écraser. J'entends des sinistres bruits de pas derrière moi, puis une clé qui grince et une porte qui s'ouvre, en fracas, avant d'être refermée. John LeRouge arrive devant moi, s'assied sur la chaise qui craque et croisa les jambes. Évidement, il était masqué. Pendant quelques minutes, sans bruit, on se fixe du regard, l'un comme l'autre ne voulant pas baisser les yeux le premier. Au bout d'un certain temps, qui parut une éternité, mon bourreau déchira le silence :
-Patrick, votre nouveau chez vous vous convient il ?
-...
Je ne répondit rien. Mais John se mit à rire.
-J'oubliais que je vous ai bailloner ! Je suis stupide parfois !
Puis il changea brusquement d'air et se leva, dans les yeux une haine brûlante, tellement brûlante qu'elle en était perceptible. Je me mit à trembler.
-Votre nouveau chez vous finiras par vous convenir. De toutes façon, vous n'avez plus le choix...
John se colla à moi, rapprochant son regard du miens, et me murmura à l'oreille de son étrange voix :
-J'ai appris que vous vous éloigniez de moi. C'est très mal. Très mal. Et je vais vous punir pour ça.
Je sentis quelque chose de glacé et de dur contre mon torse. Du métal. Un scalpel.
-Car tu es à moi Patrick. Tu m'appartiens.
Il s'amusait à mimer des cercles et des formes invisibles sur mon torse avec son objet. Je tremblais, j'avais peur. Non, pas de mourir, pas de souffrir, j'avais peur tout simplement. Je ne savais pas pourquoi mais j'avais peur. Une larme même trouva le chemin de ma joue. Ma respiration était saccadée, je tremblais, j'étais pâle comme un linge et mon coeur battait plus vite que jamais. John LeRouge ramassa ma larme avec le bout de son scalpel. Il se recula à peine, comme pour avoir une vue d'ensemble, et me murmura un simple et terrifiant :
-Tu es à moi.
Avant d'utiliser son but de métal pour me dessiner en grand son smiley sur tout mon torse. Je saignais à mesure que la lame déchirer ma peau. La douleur était insupportable. Il faisait en sorte que la cicatrice reste pour toujours mais sans mettre ma vie en danger. Je me débattais de toutes mes forces, tentais d'hurler et ne produisait que des gémissement, je suppliais tout les Saints à qui je n'ai jamais cru que je connaissais, j'essayais tout ce qui était imaginable. Mais rien ne put y faire, ce monstre réussi à graver indélébilement son nom en moi.
Il rangea l'arme dans sa poche, me caressa la joue et repartie, me laissant là, seul, la tête baissé, lui appartenant entièrement, la respiration allétante, la peau qui me brûlait de douleur et mutilée indéfiniment.
Ainsi se passa 2 ans. 2 longues années à sa merci, me refermant toujours plus sur moi même. Il ne me fit plus souffrir, du moins physiquement, me nourrissait, du moins, assez pour que je ne meurt pas de faim, et passait chaque jour pour m'aspergeait d'eau, me nourrir, et me raconter sa journée.
2 ans... 2 ans pendant lesquels la seule lumière que je vit fut l'ampoule au dessus de ma tête, qui, il y a jadis à arrêtait de fonctionner. 2 ans où le seul son dont le peut me souvenir est la voix de mon ravisseur masqué. 2 ans où je n'ai plus prononcé un seul mot, ni un seul son. 2 ans où j'ai perdu le temps et les souvenirs, mes journées ne se constituants que de la visite de John. 2 ans où ma vie se dissout peu à peu, me faisant oublié tout ce que je fut, qui j'ai connu, et pourquoi je suis là. Je me rappelle vaguement d'une femme, d'une fille, puis d'un travail à la police. Quelques bribes éclairs de mon passé me reviennent parfois en mémoire, comme pour me dire "Allez, bat toi !", mais à partir de l'instant où on m'a apposé ce sigle, je ne suis plus rien, chaque jour de plus est un bout de vie perdu pour moi. Il y a bien longtemps que mes yeux ne voient plus que l'obscurité, que mes papilles de ressentent rien, que mon ouïe ne perçois qu'un brouhaha indescriptible quand John parle, que mes membres ne ressentent rien. Je n'ai plus aucune raison de vivre. Beaucoup de gens se demandent "Pourquoi je vis ?". Et bien, quand on perd toutes ces choses insignifiantes que l'on croit acquises, on comprend que la vie, c'est en réalité les avoir. Que la vie, c'est les sensations et les sentiments. A partir du moment où l'on a plus ça, que notre existence n'est qu'une routine sans bonheur, ni malheur, notre vie est morte. Même si notre coeur bat, on est mort. Et j'étais mort, là, dans le monde de John.
Qui suis-je déjà ? Je ne m'en souviens même plus. Je sais juste que je suis à John LeRouge. C'est tout. Je lui appartient.
2 ans aujourd'hui que je suis à lui. Et c'est là, qu'un événement, changea ma vie. Il se passa quelque chose d’inhabituel. Alors qu'il était l'heure qu'il vienne me nourrir et me parler, j’entendis un énorme brouhaha au dehors de ma prison. Je put distinguer un coup de feu, ou même plusieurs, mais c'était un grand fracas. La porte fut explosé. Moi qui avais perdu tout sens de tout, commença à me poser des questions. Qu'est ce qu'il se passait ?
Une lueur blanche fut dirigé dans mon dos, en j'entendis le brouhaha un peu s'éclaircir, comme si ma vie était sur le point de changer. Il y avait une voix que je connaissait dans cette bouillabaisse de bruit. Je le savais au fin fond de mes entrailles. Elle a dit "il....là"... je crois... C'est tout ce que j'ai compris. La lueur me brûlait les yeux, moi qui était habitué à l'obscurité, ma vision était floue et instable. Mais malgré ça, je distingua quelque chose ou quelqu'un qui s'approcha de moi, il me sembla la connaître. Elle avait des cheveux noirs je crois... J'y voyais floue et ne comprenait pas tout. Elle défit les liens qui serrait mes bras et je tomba dans les siens. Mes membres étaient libres, il me sembla, comme... revenir à la vie. Petit à petit, dans le brouhaha je put distinguer quelques mots, ma vision était plus nette et je put voir le visage d'une femme, assez petite d'ailleurs, et mes membres où je ne ressentais plus rien se mirent à produire des petits picotements. Elle retira le scotch de ma bouche et commença à dire quelque chose :
-Jane ? Jane ? Jane ?
Jane est ce mon nom ?
-JANE !!!
Elle me secoua et me prit dans ses bras. Son parfum me titilla mes narines et mes souvenirs. Oui, c'est vrai, je crois qu'elle s'appelait comme une Sainte ou quelque chose du genre...
-Je suis tellement désolé Jane !
Désormais, j'entendais tout parfaitement. Mes yeux s'était acclimatés à la lumière environnante et mes membres rembougeaient, avec quelque engourdissements, mais ils pouvaient fonctionner, je le savais. Et c'est là, que je me remit à parler, avec difficulté, mais je le dit :
-Térésa Lisbon ?
-Patrick Jane... Je suis désolée.
-N..non... Ne le soyez pas...
-Tout va rentrer dans l'ordre, je vous le promet.
Et elle me prit contre elle. Désormais, ma mémoire était redevenue comme avant, intacte. Je me souvenais de tout, Angela, Charlotte, avant, après... J'étais vivant...
Tout au fond de moi, si j'ai tenu en vie pendant ces 2 années, c'était pour ce jour, je le savais. J'attendais cet instant.
En me prenant dans ses bras, Lisbon découvrit avec horreur la cicatrice en forme de smiley.
-C'est...c'est horrible...
-Où... Où...?
-L'équipe est dehors, elle appelle une ambulance, ça va aller. Tout est finis, vous êtes en sécurité...
Lisbon se mit à pleurer, et moi lui frictionner le dos pour la rassurer.
-Et...John ?
-Je l'ai tué. 3 balles dans le corps. Vous n'avez lus rien à craindre.
Et je sourit, pour la première fois depuis 2 ans. Enfin, la libération. Quand tout à coup, saignant et se tenant contre les murs, John apparu.
-Je te l'ai dit Patrick, tu es à moi, si je meurt, tu viens avec moi !
Il se tenait le ventre. Les balles ne l'avait pas tuées sur le coup et sa haine, sa rage lui donnait plus de force que n'importe qui, le rendant presque invincible. Il braqua son arme vers ma tête. Lisbon ne comprit pas tout de suite ce qui se passait.
-Je n'appartiens à personne John, et encore moins à toi !
-Ah oui ?
-Je suis un homme libre, je ne t’appartiendrais jamais !
-Peut être que tu as raison. Mais tu vas quand même venir avec moi !
Il tira, mais Lisbon s'interposa et pris la balle à ma place...
-Lisbon ? Lisbon ! Térésa, reste avec moi !
-Tu es un homme libre Patrick...
Elle était là, dans mes bras, saignante, m'offrant son dernier regard et son ultime soupir. Je me mit à pleurer, et John à rire, contre le mur écarlate de son sang. Je prit le revolver de Lisbon et me leva, avec difficulté, après avoir fermé les yeux à ma patronne et me dirigea vers John.
-Patrick, je suis déjà mort. Je suis en train d'agoniser, me tirer dessus ne te serviras à rien...
-C'est vrai, et j'ai compris une chose. Si je veut être un homme libre, il faut que je meurt. Ainsi, j'irais rejoindre Angela, Charlotte et Térésa, ma meilleure amie, dans le grand et beau Paradis, pendant que toi, tu ira griller dans les flammes de l'Enfer.
-A moins que tu partes en Enfer avec moi...
-Adieu.
On se regardaient droit dans les yeux. Je pressa la détente au moment même où John perdis l'éclat de la vie dans on regard. Après tout ses tirs, l'équipe se ramena en courant dans la salle et découvrit avec malheur les 3 corps. Pendant ce temps, moi, j'étais libre, entouré des seules personnes qui ont jamais comptées pour moi. Ma femme, ma fille et ma meilleure amie.
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Le ciel s'assombrit... [SONG] ^
17ème OS, c'est une Song pour changer, avec la musique de quand Rebecca marche vers sa cellule et que passe et l'empoisonne, une musique très triste qui me fait pleurer à chaque fois que je l'écoute.
Je vous ai mis les paroles et leurs traductions.
https://www.youtube.com/watch?v=qmm62FAtzJg
Je suis si heureux de rentrer à la maison. Cette émission m'a épuisée. Dehors, il fait nuit noire. Tu dois m'attendre, tenant dans tes bras ma fille adorée. Tu m'attends. Et je suis rentré.
Oh come with me forever my love,
under the darkening sky.
Come hide with me,
I'll save you my love.
Hear me, I beg for you life.
Her hair is damp,
Her skin has turned cold,
There's hardly a sound as she breathes.
Oh stay my love,
Please open your eyes,
And promise me you'll never leave.
Oh, viens avec moi pour toujours mon amour,
Sous le ciel qui s'assombrit.
Viens avec moi te cacher,
Je vais t'épargner mon amour.
Écoute-moi, je prie pour toi la vie.
Ses cheveux sont humide,
Sa peau a tourné à froid,
Il y a à peine un bruit comme elle respire.
Oh reste mon amour,
S'il te plaît ouvre tes yeux,
Et me promet que tu ne me quittera jamais.
J'ouvre la porte, il fait sombre. Tu dois dormir. Je pousse le vélo rose de notre enfant, et je gravis les marches 4 à 4. Il me tardes de te prendre dans mes bras et t'embrasser. De te réveiller. Car tu dort. Mon amour...
Oh my love,
stay my love..
Oh mon amour,
Reste mon amour...
Arrivé à la porte, mon grand sourire s'éteint. Je vois une lettre accrochée dessus, je la lis. Mais sa simple vision ma fait comprendre. Le grand médium serait il aller trop loin ? Je sais ce qu'il y a dans la chambre. Je sais qui il y a. Il y a toi et notre fille. Mon sourire s'est détruit.
Hey angel there over her head,
Tell me the time hasn't come.
Have mercy please on the one that I love,
Her body's to weary to run.
Now suddenly a thunderous sound,
Like wings have taken flight.
Straight up straight out,
From under the ground,
She's gone in the darkening sky.
Hey Anges sur sa tête,
Dites-moi le temps n'est pas venu.
Aiez pitié s'il vous plaît de celle que j'aime,
Son corps est fatigué de courir.
Maintenant, tout à coup un bruit de tonnerre,
Comme des ailes ont pris la fuite.
Straight up en ligne droite,
Du sous-sol,
Elle est partie dans le ciel qui s'assombrit.
J'ouvre la porte et te voit. Tu tiens mon bébé, si grande désormais. Tu la tiens, tes yeux semblent me fixer. Comme si j'étais arrivé trop tard. Ton visage reflètent la peur et la souffrance. Mais tu tiens ton devoir de mère jusqu'au bout, serrant dans tes bras froid ma fille. Mon amour...
Oh my love,
Stay my love...
Oh my love,
Stay my love...
Oh mon amour,
Reste mon amour ...
Oh mon amour,
Reste mon amour ...
Je te regarde, toi et ton corps dénudée, sur notre matelas que j'ai du mal à reconnaître. Je la regarde elle, et ses cheveux blonds dont on peine à distinguer la couleur. Je regarde partout et plus encore, je regarde cette scène.
High on the wind the angels they fly,
Hovering over her grave.
I'll dig this hole as deep as my love,
And bury her memory away,
And bury her memory away...
Haute sur le vent les anges, ils volent,
Planant au-dessus de sa tombe.
Je vais creuser ce trou aussi profond que mon amour,
Et enterrer sa mémoire loin,
Et enterrer sa mémoire loin ...
Le grand médium pleure, comme le clown triste qui nous faisait peur autrefois. En un instant, j'ai perdu tout ce pourquoi je vivais. Je lève les yeux vers le mur, vers ce dessin horrible et je pleure...
Oh my love,
Oh my love...
Oh mon amour,
Oh mon amour ...
Tout ça c'est ma faute. Je m'en veut. Je fixe le smiley. Je m'allonge contre toi, baignant dans votre sang à toutes les deux. Je regarde le smiley. Je vous fait la promesse que je tuerais celui qui l'a dessiné. Je vous serre contre moi coeur. Toi, ma femme, Angela, et toi, ma fille, Charlotte.
Je vous ai mis les paroles et leurs traductions.
https://www.youtube.com/watch?v=qmm62FAtzJg
Je suis si heureux de rentrer à la maison. Cette émission m'a épuisée. Dehors, il fait nuit noire. Tu dois m'attendre, tenant dans tes bras ma fille adorée. Tu m'attends. Et je suis rentré.
Oh come with me forever my love,
under the darkening sky.
Come hide with me,
I'll save you my love.
Hear me, I beg for you life.
Her hair is damp,
Her skin has turned cold,
There's hardly a sound as she breathes.
Oh stay my love,
Please open your eyes,
And promise me you'll never leave.
Oh, viens avec moi pour toujours mon amour,
Sous le ciel qui s'assombrit.
Viens avec moi te cacher,
Je vais t'épargner mon amour.
Écoute-moi, je prie pour toi la vie.
Ses cheveux sont humide,
Sa peau a tourné à froid,
Il y a à peine un bruit comme elle respire.
Oh reste mon amour,
S'il te plaît ouvre tes yeux,
Et me promet que tu ne me quittera jamais.
J'ouvre la porte, il fait sombre. Tu dois dormir. Je pousse le vélo rose de notre enfant, et je gravis les marches 4 à 4. Il me tardes de te prendre dans mes bras et t'embrasser. De te réveiller. Car tu dort. Mon amour...
Oh my love,
stay my love..
Oh mon amour,
Reste mon amour...
Arrivé à la porte, mon grand sourire s'éteint. Je vois une lettre accrochée dessus, je la lis. Mais sa simple vision ma fait comprendre. Le grand médium serait il aller trop loin ? Je sais ce qu'il y a dans la chambre. Je sais qui il y a. Il y a toi et notre fille. Mon sourire s'est détruit.
Hey angel there over her head,
Tell me the time hasn't come.
Have mercy please on the one that I love,
Her body's to weary to run.
Now suddenly a thunderous sound,
Like wings have taken flight.
Straight up straight out,
From under the ground,
She's gone in the darkening sky.
Hey Anges sur sa tête,
Dites-moi le temps n'est pas venu.
Aiez pitié s'il vous plaît de celle que j'aime,
Son corps est fatigué de courir.
Maintenant, tout à coup un bruit de tonnerre,
Comme des ailes ont pris la fuite.
Straight up en ligne droite,
Du sous-sol,
Elle est partie dans le ciel qui s'assombrit.
J'ouvre la porte et te voit. Tu tiens mon bébé, si grande désormais. Tu la tiens, tes yeux semblent me fixer. Comme si j'étais arrivé trop tard. Ton visage reflètent la peur et la souffrance. Mais tu tiens ton devoir de mère jusqu'au bout, serrant dans tes bras froid ma fille. Mon amour...
Oh my love,
Stay my love...
Oh my love,
Stay my love...
Oh mon amour,
Reste mon amour ...
Oh mon amour,
Reste mon amour ...
Je te regarde, toi et ton corps dénudée, sur notre matelas que j'ai du mal à reconnaître. Je la regarde elle, et ses cheveux blonds dont on peine à distinguer la couleur. Je regarde partout et plus encore, je regarde cette scène.
High on the wind the angels they fly,
Hovering over her grave.
I'll dig this hole as deep as my love,
And bury her memory away,
And bury her memory away...
Haute sur le vent les anges, ils volent,
Planant au-dessus de sa tombe.
Je vais creuser ce trou aussi profond que mon amour,
Et enterrer sa mémoire loin,
Et enterrer sa mémoire loin ...
Le grand médium pleure, comme le clown triste qui nous faisait peur autrefois. En un instant, j'ai perdu tout ce pourquoi je vivais. Je lève les yeux vers le mur, vers ce dessin horrible et je pleure...
Oh my love,
Oh my love...
Oh mon amour,
Oh mon amour ...
Tout ça c'est ma faute. Je m'en veut. Je fixe le smiley. Je m'allonge contre toi, baignant dans votre sang à toutes les deux. Je regarde le smiley. Je vous fait la promesse que je tuerais celui qui l'a dessiné. Je vous serre contre moi coeur. Toi, ma femme, Angela, et toi, ma fille, Charlotte.
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche
Magnifique...
Tu as vraiment beaucoup de talent, j'adore tes écrits...
Celui la est géniale ! (comme tous les autres )
J'adore Jane & Bob au moment ou celui-ci sonne
La fin est superbe :cœur: Tous les deux sur le canapé, des pizzas, un bon film, serrés l'un contre l'autre....
Hummm... J'AIME ! Vivement les suivants...! (oui, oui je vais te le dire à chaque fois que j'aurais fini une de tes petites merveilles...)
Magnifique...
Tu as vraiment beaucoup de talent, j'adore tes écrits...
Celui la est géniale ! (comme tous les autres )
J'adore Jane & Bob au moment ou celui-ci sonne
La fin est superbe :cœur: Tous les deux sur le canapé, des pizzas, un bon film, serrés l'un contre l'autre....
Hummm... J'AIME ! Vivement les suivants...! (oui, oui je vais te le dire à chaque fois que j'aurais fini une de tes petites merveilles...)
Chapiteau et Souvenirs ^
18ème et dernier OS pour ce soir, j'ai plus rien en réserve, et le temps que je me refasses de la matière, ça prendra une ou deux semaine, ça dépendra. Mais bref. Les béta-lecteurs de cette OS m'ont dit que c'est celle qu'ils préfèrerent, alors, à vous de me dire.
Je regarde ce terrain désert, froid et sec. Je touche la terre, elle est aride, râpeuse et elle s'enfuit entre mes doigts.
J'écoute le bruit du vent, par bourrasque et laissant derrière elle un silence terrifiant et obscur. Je regarde et observe ce lieu dénué de toutes vie. Une vague odeur de pétrole m'arrive au narines et un goût de mort me parvient aux papilles.
Je regarde ce terrain luxuriant, chaud et chaleureux. Je touche la terre, elle est verte, douce et ferme, restant entre mes doigts. J'écoute le bruit des manèges, des attractions, sans aucun répit, ce son si familier. Je regarde et observe ce lieu vivant, et si heureux. Une vague odeur de churros me parvient aux narines et un goût de barbapapa me parvient aux papilles.
Ici, c'est ma vie, c'est le bonheur, la joie, ma famille et mes amis. Je regarde le visage rayonnant de tout ces gens, et tout ces enfants qui rêvent d'avoir ma vie. Vivre dans une fête permanente, qui ne voudrait pas ? J'avance dans les grandes allées, souriant à tout les stands. Tout ces gens, ce sont mes amis, ma famille et mon univers. Je m'arrête afin de regarder une petite fille au stand de tir, les cheveux noirs, les yeux émeraudes. A coté d'elle un homme et une femme, certainement ses parents, et 3 petits garçon, ses frères, sans aucuns doutes. Elle doit avoir 7ans, 3 de moins que moi, à vu de nez. Elle à du mal à tenir le fusil en plastique, alors, je me place derrière elle pour l'aider. Ces machins n'ont aucuns secrets pour moi, je vit ici depuis toujours, non ? Elle réussit à toucher et à crever tout les ballons. Elle dit qu'elle veut la grosse peluche en forme de tigre mais le gérant du stand refuse, elle n'est là que pour la déco. Je lui fait un clin d'oeil et finit par accéder à la demande de la petite fille. Je fait un sourire à la belle gagnante avant de repartir arpenter mon chez moi. Cette incessante musique qui retentit c'est la musique du bonheur. Je m'en rend compte seulement aujourd'hui, en voyant tout ces visages emplis de bonheur et sautille au rythme des cris de joies dans les attractions, et des annonces pour les femmes aux poids et autre hommes canons. Je les connaît tous, ce sont des amis. Ils me trouvent tous trop mignon avec mes numéros de gosse prodige. Mon père est dans la magie et le mentalisme. C'est lui qui m'apprend tout. Il est sévère et sans scrupule, mais a part ça, je l'aime bien. Je suis heureux et rien ni personne ne pourra changer ça. Ici, c'est ma famille, ma vraie famille. J'ai faim et me met à courir jusqu'aux barbapapa en demandant à maman qui tient ce stand de m'en donner une. Elle m'en tend une bien rose et qui vient d'être faite. J'en arrache un gros bout entre mes doigts et l'avale tout sec. Maman plonge ses grands yeux bleus en riant dans les miens pendant que je continue de sautiller dans les allées. La fête foraine, c'est chaque jour de ma vie. C'est toujours les même gens, les même attractions, et les même joies. Je suis heureux, mais... je m'en lasse. Je voudrais bien voir d'autres choses et d'autres endroits, mais papa ne cesse de dire que des tas d'enfants rêveraient d'avoir ma vie ! Mais je n'ai aucun ami, je ne peut pas m'en faire, on change tout le temps d'endroit ! Des larmes me tirent de mes pensées. Une petite fille aux longs cheveux noirs tenant un gros tigre en peluche pleure accroupie contre un chapiteau. C'est la première fois que je vois pleurer dans une fête foraine. Eh, mais c'est la petite fille de tout à l'heure ! Moi petite bouille de 10ans, m'approche d'elle.
-Pourquoi tu pleures ?
-J'ai perdu ma mamannnnn !
-Calme toi... Comment tu t’appelles ?
-Snif, snif....Térésa...
-C'est un très joli prénom Térésa. Moi c'est Patrick. Je vais t'aider à retrouver ta maman, d'accord ?
-Merci...snif...Patrick...
Tu es le garçon qui m'a aidait à gagner Tigrounou ?
-Oui...
-Merci, merci beaucoup. Dit, tu habites ici ?
-Si on veut, oui, j'habite ici.
-Tu en as de la chance.
-...Allons retrouver a maman.
Je prend Térésa par la main et arpente les stands avec elle. Je connaît cet immense endroit par coeur, et finit par trouver comme je le souhaite le chapiteau de papa.
-Patrick ! Ça va bientôt être à ton numéro, dépêche toi de monter en scène ! Et qui est cette fille ?
-Je t'expliquerais plus tard papa.
Avec la main qui ne tient pas celle de ma nouvelle amie, je saisis le micro se trouvant à l'entrée de la grande bâche comme j’appelle les chapiteaux, et dit, avec toute la joie possible dans la voix pendant que Térésa séchait doucement ses larmes et que le son de ma voix se propageait par les baffles disposaient un peu partout :
-Vous êtes tous invités au grand numéro de l'enfant prodige, au chapiteau, l'allée à droite en partant par l'éléphant jongleur de banane et le nouveau-né mathématicien. Et en plus de trouver un micro-médium dans cette tente, vous trouverez aussi une belle jeune fille, Térésa, qui n'attends qu'à être récupérer par ses négligents parents. A tout de suite !
Je rendit le micro à Alex, mon père, bouche-bée par mon annonce. Un couple et trois petits garçons dont un dans le berceau ne tarda pas à faire son apparition pour récupérer leur fille et me remercier milles fois. Ce à quoi je répondit que c'était normal avant de me rendre dans ma loge pour me mettre en place pour mon spectacle. Costume 3 pièces brillant, concentration et sourire Colgalte et j'entrai en scène, micro à la main, fin prêt à utiliser et abuser de ma science de l'Humain. Dans la salle, la petite Térésa était au premier rang et me regarder avec émerveillement lire dans les pensées des gens. Mon père, pour s'excuser de la part de tout les forains avait offert à la famille leurs places gratuites à mon show. Mon numéro se termina, ainsi que la journée et les bohémiens repliaient leurs stands, leurs costumes, leurs chapiteaux, leurs trucs et leurs secrets. J'étais dehors, assis sur un banc près de l'entrée, regardant les clown et autres cracheurs de feu sortir de leurs déguisement d'attractions et redevenir des gens presque normaux. Je les regardaient distraitement eux et les dresseurs de fauves, le regard dans le vide pendant que les visiteurs étaient tous partit. Et ça recommencerait demain. J'étais différent de tout le monde, je n'étais qu'une attraction de foire, et je n'aurais jamais ma place qu'ici, à la fête foraine, l'Univers du bonheur en personne, où les choses, les gens et les actions les plus étranges sont normales...
Une petite main se posa sur mon épaule, je savait qui c'était et je ne me retourna pas. Elle me dit :
-Je ne t'oublierais jamais.
Et elle me déposa un léger baiser sur la joue avant de repartir...
Une petite main se posa sur mon épaule, je savait qui c'était, et je ne me retourna pas. Elle me dit :
-Je ne t'ai jamais oublier.
Et elle me déposa un léger baiser sur la joue. Mais cette fois-ci, elle ne repartit pas, elle resta debout, derrière moi. Et cette fois-ci, je me retourna vers elle, son visage et ses traits si fins avant de murmurer :
-Térésa...
La fête foraine, l'Univers du bonheur en personne où les choses, les gens et les actions les plus étranges sont normales...
Je regarde ce terrain désert, froid et sec. Je touche la terre, elle est aride, râpeuse et elle s'enfuit entre mes doigts.
J'écoute le bruit du vent, par bourrasque et laissant derrière elle un silence terrifiant et obscur. Je regarde et observe ce lieu dénué de toutes vie. Une vague odeur de pétrole m'arrive au narines et un goût de mort me parvient aux papilles.
Je regarde ce terrain luxuriant, chaud et chaleureux. Je touche la terre, elle est verte, douce et ferme, restant entre mes doigts. J'écoute le bruit des manèges, des attractions, sans aucun répit, ce son si familier. Je regarde et observe ce lieu vivant, et si heureux. Une vague odeur de churros me parvient aux narines et un goût de barbapapa me parvient aux papilles.
Ici, c'est ma vie, c'est le bonheur, la joie, ma famille et mes amis. Je regarde le visage rayonnant de tout ces gens, et tout ces enfants qui rêvent d'avoir ma vie. Vivre dans une fête permanente, qui ne voudrait pas ? J'avance dans les grandes allées, souriant à tout les stands. Tout ces gens, ce sont mes amis, ma famille et mon univers. Je m'arrête afin de regarder une petite fille au stand de tir, les cheveux noirs, les yeux émeraudes. A coté d'elle un homme et une femme, certainement ses parents, et 3 petits garçon, ses frères, sans aucuns doutes. Elle doit avoir 7ans, 3 de moins que moi, à vu de nez. Elle à du mal à tenir le fusil en plastique, alors, je me place derrière elle pour l'aider. Ces machins n'ont aucuns secrets pour moi, je vit ici depuis toujours, non ? Elle réussit à toucher et à crever tout les ballons. Elle dit qu'elle veut la grosse peluche en forme de tigre mais le gérant du stand refuse, elle n'est là que pour la déco. Je lui fait un clin d'oeil et finit par accéder à la demande de la petite fille. Je fait un sourire à la belle gagnante avant de repartir arpenter mon chez moi. Cette incessante musique qui retentit c'est la musique du bonheur. Je m'en rend compte seulement aujourd'hui, en voyant tout ces visages emplis de bonheur et sautille au rythme des cris de joies dans les attractions, et des annonces pour les femmes aux poids et autre hommes canons. Je les connaît tous, ce sont des amis. Ils me trouvent tous trop mignon avec mes numéros de gosse prodige. Mon père est dans la magie et le mentalisme. C'est lui qui m'apprend tout. Il est sévère et sans scrupule, mais a part ça, je l'aime bien. Je suis heureux et rien ni personne ne pourra changer ça. Ici, c'est ma famille, ma vraie famille. J'ai faim et me met à courir jusqu'aux barbapapa en demandant à maman qui tient ce stand de m'en donner une. Elle m'en tend une bien rose et qui vient d'être faite. J'en arrache un gros bout entre mes doigts et l'avale tout sec. Maman plonge ses grands yeux bleus en riant dans les miens pendant que je continue de sautiller dans les allées. La fête foraine, c'est chaque jour de ma vie. C'est toujours les même gens, les même attractions, et les même joies. Je suis heureux, mais... je m'en lasse. Je voudrais bien voir d'autres choses et d'autres endroits, mais papa ne cesse de dire que des tas d'enfants rêveraient d'avoir ma vie ! Mais je n'ai aucun ami, je ne peut pas m'en faire, on change tout le temps d'endroit ! Des larmes me tirent de mes pensées. Une petite fille aux longs cheveux noirs tenant un gros tigre en peluche pleure accroupie contre un chapiteau. C'est la première fois que je vois pleurer dans une fête foraine. Eh, mais c'est la petite fille de tout à l'heure ! Moi petite bouille de 10ans, m'approche d'elle.
-Pourquoi tu pleures ?
-J'ai perdu ma mamannnnn !
-Calme toi... Comment tu t’appelles ?
-Snif, snif....Térésa...
-C'est un très joli prénom Térésa. Moi c'est Patrick. Je vais t'aider à retrouver ta maman, d'accord ?
-Merci...snif...Patrick...
Tu es le garçon qui m'a aidait à gagner Tigrounou ?
-Oui...
-Merci, merci beaucoup. Dit, tu habites ici ?
-Si on veut, oui, j'habite ici.
-Tu en as de la chance.
-...Allons retrouver a maman.
Je prend Térésa par la main et arpente les stands avec elle. Je connaît cet immense endroit par coeur, et finit par trouver comme je le souhaite le chapiteau de papa.
-Patrick ! Ça va bientôt être à ton numéro, dépêche toi de monter en scène ! Et qui est cette fille ?
-Je t'expliquerais plus tard papa.
Avec la main qui ne tient pas celle de ma nouvelle amie, je saisis le micro se trouvant à l'entrée de la grande bâche comme j’appelle les chapiteaux, et dit, avec toute la joie possible dans la voix pendant que Térésa séchait doucement ses larmes et que le son de ma voix se propageait par les baffles disposaient un peu partout :
-Vous êtes tous invités au grand numéro de l'enfant prodige, au chapiteau, l'allée à droite en partant par l'éléphant jongleur de banane et le nouveau-né mathématicien. Et en plus de trouver un micro-médium dans cette tente, vous trouverez aussi une belle jeune fille, Térésa, qui n'attends qu'à être récupérer par ses négligents parents. A tout de suite !
Je rendit le micro à Alex, mon père, bouche-bée par mon annonce. Un couple et trois petits garçons dont un dans le berceau ne tarda pas à faire son apparition pour récupérer leur fille et me remercier milles fois. Ce à quoi je répondit que c'était normal avant de me rendre dans ma loge pour me mettre en place pour mon spectacle. Costume 3 pièces brillant, concentration et sourire Colgalte et j'entrai en scène, micro à la main, fin prêt à utiliser et abuser de ma science de l'Humain. Dans la salle, la petite Térésa était au premier rang et me regarder avec émerveillement lire dans les pensées des gens. Mon père, pour s'excuser de la part de tout les forains avait offert à la famille leurs places gratuites à mon show. Mon numéro se termina, ainsi que la journée et les bohémiens repliaient leurs stands, leurs costumes, leurs chapiteaux, leurs trucs et leurs secrets. J'étais dehors, assis sur un banc près de l'entrée, regardant les clown et autres cracheurs de feu sortir de leurs déguisement d'attractions et redevenir des gens presque normaux. Je les regardaient distraitement eux et les dresseurs de fauves, le regard dans le vide pendant que les visiteurs étaient tous partit. Et ça recommencerait demain. J'étais différent de tout le monde, je n'étais qu'une attraction de foire, et je n'aurais jamais ma place qu'ici, à la fête foraine, l'Univers du bonheur en personne, où les choses, les gens et les actions les plus étranges sont normales...
Une petite main se posa sur mon épaule, je savait qui c'était et je ne me retourna pas. Elle me dit :
-Je ne t'oublierais jamais.
Et elle me déposa un léger baiser sur la joue avant de repartir...
Une petite main se posa sur mon épaule, je savait qui c'était, et je ne me retourna pas. Elle me dit :
-Je ne t'ai jamais oublier.
Et elle me déposa un léger baiser sur la joue. Mais cette fois-ci, elle ne repartit pas, elle resta debout, derrière moi. Et cette fois-ci, je me retourna vers elle, son visage et ses traits si fins avant de murmurer :
-Térésa...
La fête foraine, l'Univers du bonheur en personne où les choses, les gens et les actions les plus étranges sont normales...
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
La musique est très jolie et effectivement, elle se marie bien à ton texte.
Quant à ton OS en lui-même...globalement, c'est agréable. C'est bien écrit, il n'y a pas de souci à ce niveau-là. C'est juste que des fois, je trouvais que c'étais un peu trop. Je ne suis pourtant pas contre le fluffy mais il y a eu des moments où j'ai trouvé que c'était un peu trop (surtout compte tenu que c'est écrit à la première personne). Et il y a d'autres moments, plus sobres, plus simples, mais tout aussi beau (je serais tentée de dire "plus beau" qui m'ont complètement ravie, comme :
Ou encore le final :
qui m'a complètement conquise et émue !
Quant à ton OS en lui-même...globalement, c'est agréable. C'est bien écrit, il n'y a pas de souci à ce niveau-là. C'est juste que des fois, je trouvais que c'étais un peu trop. Je ne suis pourtant pas contre le fluffy mais il y a eu des moments où j'ai trouvé que c'était un peu trop (surtout compte tenu que c'est écrit à la première personne). Et il y a d'autres moments, plus sobres, plus simples, mais tout aussi beau (je serais tentée de dire "plus beau" qui m'ont complètement ravie, comme :
Jeynna a écrit:
Oui, ce soir, pour la première fois depuis ds années, j'étais bien. Sur ce banc... Contre toi. Oui, j'étais bien.
Ou encore le final :
Jeynna a écrit:Je pose ma main sur ton ventre arrondi, dedans ça bouge. Notre fille bouge... Tu m'a proposé de l’appeler Mélody Angela Charlotte... Pour un hommage comme tu as dit...
Merci. Tu m'a rendu une vie. Un bonheur.
Je regarde toujours tes yeux. Et tu souris.
Pour la première fois depuis des années, je souris pour de vrai.
Et c'est grâce à toi Térésa.
qui m'a complètement conquise et émue !
Re: Les OS de Jeynna ^
Chapiteau et Souvenirs
Je n'ai pas bien comprit le passé et le présent mais en tout cas c'était formidable, une mini-Teresa et un p'tit Patrick à la fête forraine...
Je n'ai pas bien comprit le passé et le présent mais en tout cas c'était formidable, une mini-Teresa et un p'tit Patrick à la fête forraine...
Re: Les OS de Jeynna ^
Deux années
Bravo !
C'est magnifique
Mais tellement triste... Ouinnn...
J'ai adoré ! Enormement de os en si peu dxe temps du même auteur et quelque chose que l'on ne voie pas très souvent !
Bravo, vraiment et pour toujours félicitation !!!!
Bravo !
C'est magnifique
Mais tellement triste... Ouinnn...
J'ai adoré ! Enormement de os en si peu dxe temps du même auteur et quelque chose que l'on ne voie pas très souvent !
Bravo, vraiment et pour toujours félicitation !!!!
Re: Les OS de Jeynna ^
Fantôme du passé
Merci d'avoir lu et commenté. Ca me fait un petit quelques chose de montrer mes histoires...
Merci d'avoir lu et commenté. Ca me fait un petit quelques chose de montrer mes histoires...
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
Merci infiniment pour vos gentils commentaires !*smaaaaack!*
Malheureusement, je vois bien Jane ne jamais abandonné sa vengeance...:pale
:
Malheureusement, je vois bien Jane ne jamais abandonné sa vengeance...:pale
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Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
Localisation : Dans mon manoir, sirotant un thé.
Re: Les OS de Jeynna ^
Eau rouge
J'aime vraiment beaucoup ! C'est triste, très triste, mais ça m'a vraiment pris aux tripes !
J'aime vraiment beaucoup ! C'est triste, très triste, mais ça m'a vraiment pris aux tripes !
Re: Les OS de Jeynna ^
Un sacrifice
Milles Merciiiiii !
Je me suis bien amusez à l'écrire.:p
Milles Merciiiiii !
Je me suis bien amusez à l'écrire.:p
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
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Re: Les OS de Jeynna ^
Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche
Merci pour ton Magnifique commentaire LoveJisbon, si tu savais comment ça me touche ! Je vais essayer d'en faire d'autres aussi beaux pour que toi et les autres possibles lecteurs sont contents.^^
Ça fait tellement du bien d'être complimenter !
Merci pour ton Magnifique commentaire LoveJisbon, si tu savais comment ça me touche ! Je vais essayer d'en faire d'autres aussi beaux pour que toi et les autres possibles lecteurs sont contents.^^
Ça fait tellement du bien d'être complimenter !
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
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Re: Les OS de Jeynna ^
L'amour est un oiseau rebelle
Moi aussi je t'aime LoveJisbon.
Je suis ravie que ça t'es étonnée, c'était le but recherché !
Moi aussi je t'aime LoveJisbon.
Je suis ravie que ça t'es étonnée, c'était le but recherché !
Jeynna- Gardien du parking
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Loisirs : Rêvasser, Ecrire, Regarder TM. Et narguer ce bon vieux Patrick.
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Re: Les OS de Jeynna ^
Chapiteau et Souvenirs
Ne pas comprendre, c'était le hic de mon OS.
Bon, j'explique : Jane est revenu sur le terrain où il a rencontrer Lisbon pour la première fois. Il regarde comment c'est aujourd'hui et se rapelle comment c'était autrefois jusqu'à être sortit de ses pensées par une voix qu'il connait bien....
Ne pas comprendre, c'était le hic de mon OS.
Bon, j'explique : Jane est revenu sur le terrain où il a rencontrer Lisbon pour la première fois. Il regarde comment c'est aujourd'hui et se rapelle comment c'était autrefois jusqu'à être sortit de ses pensées par une voix qu'il connait bien....
Jeynna- Gardien du parking
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Re: Les OS de Jeynna ^
Merci de vos commentaires.
Oui, j'ai peut être trop décrit, mais merci du conseil.:)
Oui, j'ai peut être trop décrit, mais merci du conseil.:)
Jeynna- Gardien du parking
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Re: Les OS de Jeynna ^
Eau rouge
Merciiii !^^
Après, la répétition, ça plait ou ça plait pas.
Merciiii !^^
Après, la répétition, ça plait ou ça plait pas.
Jeynna- Gardien du parking
- Personnage préféré : Patrick Jane et moi, John LeRouge.
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Re: Les OS de Jeynna ^
Deux années
Merci Beaucoup !
Bon, c'est le plus sadique des OS que j'ai fait. Ne vous inquiêtez pas. ^^
Autant d'OS en si peu de temps, mon secret ?
Une réserve sur mon ordi !xD
Merci Beaucoup !
Bon, c'est le plus sadique des OS que j'ai fait. Ne vous inquiêtez pas. ^^
Autant d'OS en si peu de temps, mon secret ?
Une réserve sur mon ordi !xD
Jeynna- Gardien du parking
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Re: Les OS de Jeynna ^
Magnifique ! Vraiment très bien écrit !
honeyjane- Agent de circulation
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et CHO !!!!
Loisirs : Ecrire, chanter, danser et lire des fanfictions
Localisation : Au CBI, en train de surveiller Jane
Re: Les OS de Jeynna ^
moi disciple de john le rouge ?! impossible !
Misskitty77- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : A New york...
Re: Les OS de Jeynna ^
Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche
Je l'adore celui-là ! On se demande bien pourquoi d'ailleurs....
Super OS !
Je l'adore celui-là ! On se demande bien pourquoi d'ailleurs....
Super OS !
honeyjane- Agent de circulation
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et CHO !!!!
Loisirs : Ecrire, chanter, danser et lire des fanfictions
Localisation : Au CBI, en train de surveiller Jane
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