Les OS de Jeynna ^

Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche

Sympa comme OS avec beaucoup d'humour..

Grands et petits clins d'oeil

Super OS, très bien écrit..
légèreté, humour et amour

j'ai bien aimé ton OS.. très bien amené..

Téléphone et Sonnerie, Ou la malédiction de la Douche

pas mal cet OS j'adore

Grands et petits clins d'oeil

très bien ton OS

Merci pour tout vos gentils commentaires !
Je vous posterais un prochain OS bientôt, mais en attendant, si vous avez des idées ou des commandes à me faire, n'hésitez pas, je suis ouverte à tout !

Désolé pour le double post mais voici mes deux nouveaux OS. Et comme je n'aurais de cesse de me répéter, je suis ouverte à toutes idées, n'hésitez pas, je suis à court d'inspiration en ce moment.

Deux coeurs écorchés.
Je me masse les tempes. Ce consultant finira par me tuer. Je relis une énième fois la énième plaintes contre mon blondinet. Je suis fatiguée. J'ouvre mon tiroir à la recherche d'un peu de courage, tâtonne pour capturer ma bouteille de téquilla et n'obtient d'un mot que je m'empresse de lire :
"Prenez plutôt un thé Lisbon !"
Je sourit bêtement. Cet homme à le chic pour toujours me devancer ! Je regarde l'horloge de mon bureau en baillant. 3H00 du matin ?! Je ferme mes dossiers et met en veille mon ordinateur, avant de me diriger vers l'Open Space. Je regarde machinalement le canapé marron de mon consultant, désespérément vide. Il a du rentrer chez lui cette nuit. Comme le reste du CBI, totalement vide de vie. Je vais pour me servir un café, mon remontant, quand je trouve un autre mot :
"J'ai dit du thé !"
Je rit stupidement. Il m'a voler mes capsules de café le bougre. Je décide finalement de prendre une douche, froide, pour me réveiller et me remettre à bosser. J'entre dans les douches du CBI, retire ma veste et va pour m'enlever mon haut quand j’entends des sanglots à peine perceptibles. Je me retourne vers les lavabos, en face des douches. En dessous, je vois recroquevillé un homme que j'ai du mal à distinguer dans cette obscurité, l'ampoule ne projetant qu'une faible lueur. Il sanglote doucement, sa tête posée délicatement sur ses bras eux même posé sur ses genoux. Alors, comme une certitude, je m'approche de lui. Ses cheveux blonds me cachent son visage, mais je reconnais sa voix :
-Partez Lisbon.
-Jane...
-Je vous en prie, partez. S'il vous plaît...
Il releva la tête, et me fixa de ses yeux azurs et rouges de larmes. Je m'approche doucement de lui, murmurant quelques mots comme on ferais pour un animal timide que l'on veut approcher sans qu'il s'enfuit.
-Non Jane, je ne partirais pas...
-PARTEZ !
Mon coeur bat plus fort au ton de sa voix, sonnant comme un ordre. Mais je ne le laisserais pas comme ça, pas si seul et si malheureux. Je ne suis pas une lâche, alors je lui saisis le bras et le force à se relever sous un regard qui veut me culpabiliser de rester là. Je le regarde et m'aperçois soudainement qu'il est torse nu devant moi. Je me met à rougir et reluquer le torse de mon si beau consultant en me mordillant la lèvre, jusqu'au moment où je tombe sur une cicatrice traversant tout le long de son ventre, qui me fait comme une décharge électrique et me remet en face de la réalité, de où et quand je suis. Je m'approche doucement et caresse la marque du bout des doigts en lui regardant les yeux. Je suis assez gênée. Il m'a aidé, je doit lui rendre la pareille, et malgré mes membres qui tremblent, mes joues cramoisies et ses ordres, je ne bouge pas. Je reste.
-Pourquoi pleuriez vous ?
-...
Il tourne la tête. Je lui prend ses joues pour le forcer à me regardez, et en profite pour approcher mon visage du sien et sentir presque sa peau contre la mienne.
-Hého ? Pourquoi ?
-C'est inutile que j'en parle...
-C'est vital pour moi. Et vous m'avez un jour promis de toujours me sauver et être à mes cotés.
-...C'est son anniversaire...
-...A Charlotte ?
-A Charlotte. Si je n'avais pas provoquer sa mort, elle aurait 18ans aujourd'hui...
Mon consultant repartit en sanglot. Je me recula, les yeux vagues. Il ne pense qu'à elles. Je n'ai...pas de place dans sa vie... Je compatis mais... Mais je voudrais qu'il s’aperçoivent de certaines choses. Je vais partir quand il me retient ma main sur sa cicatrice avec la sienne. Je le regarde, étonnée.
-...Jane... Je doit y aller...
-Ne me laisser pas Lisbon. Ne me laisser pas seul.
Je met plus de force et sort de sa chaude entreinte entre nos doigts, et m'en vais.
-Lisbon ! J'ai pris une décision, cela va faire beaucoup de temps que je réfléchi et...
-Non Jane.
-Lisbon...
Je me retourne et lui fais face, les yeux emplis de larmes.
-Non Jane ! N'essayez pas de me retenir ! Ayez au moins le respect de ne pas me faire souffrir !
-J'ai décidé de...
-JE M'EN CONTREFOUT DE CE QUE VOUS AVEZ DÉCIDÉ, MONSIEUR PATRICK JANE ! Vous n'êtes qu'un sale type !
-...de laisser tomber John LeRouge.
Je ne comprit pas ses mots, trop occupée avec mon chagrin amoureux. Mais il répéta sa phrase, et cette fois je comprit.
-Mais...pourquoi ?
-Pour vivre. J'ai compris que je doit vivre, et non plus me...raccrocher à mon idée de vengeance. C'est ce qu'elles souhaiteraient.
J'étais sous le choc. Mon consultant se rapprocha de moi, me serra contre son torse et me fit posé ma tête sur son épaule, tout en me murmurant :
-...Avec toi...
Au fond, nous étions ça : Deux coeurs écorchés par la vie qui s'apprêtaient, peut être, à trouver la paix. Mais ce que je ne savais pas et que je ne saurais jamais c'est qu'il continua sa traque, dans l'ombre, pendant que dans la lumière, il me rendait heureuse. Deux Coeurs Écorchés par la vie et qui ne se relèveront jamais de leur passé, voila ce que nous sommes réellement.


Tribulations d'un Smiley
Je m'avance dans la pénombre de l'appartement. Je me guide uniquement grace aux frottements de mes pieds sur le parquet froid. Je tatonne sans un bruit jusqu'à la porte de ma prochaine victime, endormie dans les profonds bras de Morphé. Un sourire mauvais se dessine sur mon visage caché par un masque. Je tourne la poignée dont je peut sentir le froid à travers mes gants. Un léger et inaudile crissement se fait entendre quand j'ouvre la porte. Je regarde son visage paisible illuminé par la lueur de la lune traversant la fenêtre ouverte. Elle est calme et sa respiration est douce. Bientot, tout cela ne sera que souvenir. De ma main droite, je cale mes doigts sur ma lame affutée et je m'avance vers ma proie. Je suis désormais juste au dessus d'elle, mais elle ne me remarque pas, trop occupée à rêver. Alors de ma main gauche, je lui saisis l'épaule avec force et ainsi provoque son réveil brutal. Elle à une demi-seconde de temps de compréhension avant de se mettre à crier remarquant ma lame désormais posté sous sa gorge. La peur se lit dans ses yeux. La peur à l'état pure. Elle tente de se défendre mais je suis plus fort et commence à faire danser ma lame sur son corps, laissant dans son sillage le sang de ma proie. J'ouvre sa peau qui m'est offerte comme un paquet cadeau dont je souhaite au plus vite connaitre sa contenance. Ses hurlements et ses larmes sont le métronome de ce poème ou le mètre de cette chanson. Son sang dégouline partout, sur ma lame, sur mon costume et jusque dans mon coeur qui se rassasie de cette souffrance. Ses forces commencent à l'abandonner, laissant la douleur gagner comme la vie se plie devant la mort. Elle arrête de me supplier et se contente de se lamenter. Ses cris et ses larmes sont comme un fracas pour les étoiles, une ode pour la lune et un bonheur pour les ténèbres. Ma lame à fait le tour de ce corps si généreusement offert, dont elle est le maitre incontesté et incontestable de cette proie qui est une de plus à mon tableau de chasse. Elle à encore quelque souffle de vie dans ses poumons et quelques battements dans son coeur. Ses cris ont cessés, seuls ses larmes continues de couleur le long de ses joues. Je prend du recul par rapport à mon jouet baignant et nageant dans son propre sang, me repécant de ce spectacle comme les vautours d'une vieille charogne. Ses yeux grands ouverts me fixent pendant que je trempe mes doigts gantés dans son liquide vital. Elle toussote et crache un peu de liquide rouge dans la mare qui l'entoure quand je m'approche du premier mur visible quand on rentre. Elle use ses dernière forces pour crier un "non" quand je dessine mon ultime marque, mon smiley souriant avec son sang, signfiant la fin de la partie, la fin de la bataille que je vient de gagner. Ses yeux grands ouverts fixent ma signature sans conviction, l'étincelle de vie et la flamme ayant disparus de son être. Je regarde encore une dernière fois mon chef-d'oeuvre, le sang, l'expression de sa douleur désormais éternelle, le smiley, c'est la plus belle des scène que j'ai crée de toute ma carrière. J'y jette un dernier coup d'oeil avant de sortir comme je suis entré, tel une ombre, invisible et insésisable. Je pense déjà à la personne qui ouvrira la porte de sa chambre, je connais déjà la réaction de mon ami lorsqu'il découvrira le cadavre de Térésa Lisbon.

Supers OS...
Mais c'est quoi ça tu maîtrise aussi bien que moi, le POV de Lisbon?! J'ai l'impression que le deuxiéme n'est connu et ressemble fortement au délire d'hier soir...ou je me trompe? Et non je n'ai absolument pas peur de toi, !

Je maitrice aussi le POV Lisbon, mais ne soyons pas en concurrence pour ça !
Ensuite, le second Os, je les écrit hier aprem !

C'est pas possible, le POV de Lisbon c'est ma spécialité...

Mais moi aussi !

Nope, demande à d'autres membres, tous mes 10 OS, la fin d'une de mes fics et l'intégralité d'une autre sont de son POV.

superbes OS, surtout celui des coeurs écorchés !

Une catégorie d'OS et de Poèmes vraiment très percutants et très bien écrits. Je t'avais déjà dis que j'avais lu mais pas commenter tes écrits et bien je ne suis toujours pas déçue, je t'assure !

Tu écris très bien le POV de Lisbon, comme TL le fait aussi mais moi ma spécialité se porte plutôt sur le POV de Jane, comme tu le sais Tu m'écrirais un OS rien qu'en POV de Jane pour voir ?

Enfin bref, un topic que j'aime beaucoup et que je vais continuer de suivre

tes 2 OS sont superbes..
j'ai vraiment adoré..

Merci pour tout vos commentaires !
Sarah, bien sur, j'essayerais de faire un POV de Jane dès que j'aurais le temps, et l'histoire.
En attendant, voici ma participation pour la série d'OS sur le même thème de Sar2ah59 et de Riza17200.(http://thementalist.frenchboard.com/t3121-que-ce-serait-il-passe-si)

Que se serait il passé si ça avait été John LeRouge dans la voiture du 4X10 ?
Je regardais son visage angélique à travers la vitre sans tain. Il souriait. Il à tué et détruit des dizaines de vies, et il sourit. Lorsque je l'ai vu pour la première fois, j'ai été troublée. Il ressemble comme deux gouttes d'eau à Jane. Le même, la même corpulence, la même taille, jusqu'aux même traits de visage à la différence que ses cheveux bouclés sont brun/marron, comme ses yeux. Je prend une grande respiration, cela va faire des années qu'on le traque et il est là, face à nous. Si sa disciple n'avait pas prise les balles à sa place, il ne serait pas là aujourd'hui... Pauvre femme, se sacrifier pour ce cinglé. Comment elle s'appelait déjà ? Lorie, Lorelei...? Ca n'a aucune importance. Je sort de la pièce quand mon chef, Luther Wainwrigth m'interpelle :

-Lisbon ?
-Oui patron ?
-Vous l'avez interrogé ?
-Pas encore, j'allais le faire.
-Vous ne pensez pas que...

Cho débarqua et me dit que j'avais un appel pour moi. Le patron me laissa et je me dirigea vers le téléphone dans mon bureau :

-Oui allo, ici l'agent Teresa Lisbon, j'écoute.
-Lisbon, laissez moi au moins lui parler...
-Jane, combien de fois il faudra que je vous le répète, je vous interdit de vous approcher de lui.
-Il est à moi ! A moi et à personne d'autre ! Je vous jure que je le tuerai, quoi qu'il arrive ! Je le tuerais, comme il l'a fait pour ma famille ! Je...

Je raccroche le téléphone. Depuis que je l'ai mit en résidence surveillée pour qu'il ne s'approche pas de son pire ennemi et surtout qu'il ne lui fasse pas la peau, il est assez...hostile et me harcèle plusieurs fois par jour au téléphone. Mais je ne peux pas lui en vouloir, il finira par comprendre que c'est pour son bien. Je me rend dans la salle où réside le tueur en série depuis quelques temps déjà afin de l'interroger. Je m'assoit en face de lui, ses menottes aux poignées ne semblent pas le gêner, il a l'air totalement à l'aise. Il plonge ses yeux dans les miens, il a une attirance magnétique. Il continue de me sourire et je me laisse prendre au jeu quelques instants, le pardonnant presque rien qu'en fixant ses yeux... Je respire un bon coup, cet homme est vraiment doué, je ne dois pas me laisser faire, je sors un dossier et commence à lire :

-Xavier RedShadow, 39ans, 1m78, célibataire, aucun casier, héritier d'une fortune colossale. Vous préférez que je vous appelle par votre vrai nom ou par votre surnom, John LeRouge ?
-Comme vous voulez agent Lisbon.
-....Très bien. Etes vous, oui ou non, celui que l'on appelle John LeRouge et avait ainsi tué un nombre incalculables de femmes, et de personnes qui vous gênaient ?
-Evidement. Vous en doutiez ?
-Pas le moins du monde. Je vous préviens tout de suite, on ne vas pas vous épargner maintenant que l'on vous tient.
-Parce que vous croyez que ces menottes me retiennent ici ? Que ces gardes m'empêchent de partir ? Si je suis ici, c'est que je le veux bien.
-Sans blague ?
-Dans moins de 24H je serai dehors.
-C'est ce qu'on verra.

Je me lève et sort de la pièce. Et s'il avait raison ? Non, ce n'est pas possible. Un boucan vers l'entrée me fit sortir de mes pensées. Je met ma main sur mon flingue comme un réflexe et vais en courant vers les cris provenant de l'accueil. Des policiers entourent une silhouette que je connais bien et l'empêchent d'entrer. Je me précipite dans la foule :

-Laissez passer ! Jane, qu'est ce que vous faites là ?
-Laissez moi le voir ! Laissez moi le voir! Laissez moi le voir !
-Qu'est ce que vous lui diriez ?

Il me montra un revolver dans sa poche. C'est bien ce que je pensais. J'allais amener mon consultant dans mon bureau pour tenter de discuter avec lui quand il tira vers le ciel. Toutes les personnes autour s'écartèrent , moi comprise et il courut jusque dans la cellule de John LeRouge. Oh non. Il entra, et je le poursuivit, tentant de l'empêcher de commettre une bêtise quand il sortit de la pièce, me souleva par le col et me poussa contre un mur.

-Où est il ?
-Dans la salle d'interrogatoire...
-Pourquoi n'y est il pas alors ?
-Il...

Ses paroles me revinrent en tête. Il s'est échappé.

-Oh non...
-Vous ne l'avez pas laissé s'enfuir, n'est ce pas...?
-...

Jane me lâcha et courut jusqu'à l'extérieur. J'étais vraiment confuse. Comment j'avais pu le laisser s'échapper ? Mes agents vinrent vers moi en me demandant ce qu'on l'ont devait faire. Un tir se fit entendre à l'extérieur. Un unique tir et Jane rentra de nouveau dans le bâtiment, mains sur la tête. Je répondis à mon équipe :

-Rien. C'est fini maintenant.

Saluuut à tous !
Je vais vous présneter mon nouvel OS.
Vous n'allez peut être pas tout comprendre, mais c'est parce qu'il est destinée à une fille du fo', une amie qui est infiniment importante à mon coeur et que j'aime très fort.
Elle se reconnaitra.
Bonne lecture !

Sarah.
-Je vous présente la nouvelle et deuxième consultante pour notre équipe. Sarah, avance toi....
Confortablement allongé dans mon canapé, j'écoute Lisbon faire les présentations. Je fais semblant de dormir. Je ne leur suffit pas, c'est ça ? Ils sont obligé d'en prendre une deuxième pour résoudre les enquêtes ? Ca m'enerve. Je suis un peu jaloux... J'étais le seul consultant et là, une deuxième arrive... Pendant que je m'enerve tout seul dans mon coin, j'entend ma patronne dire :
-Wayne, Grace, Kimball.... Et là-bas, le feneant qui dort, c'est Patrick, notre consultant. Jane ? Vous serez gentil de dire bonjour à Sarah.
-Nan.
Je dit ça d'une voix froide et cassante avant de me plongez un peu plus dans mon fidèle canapé qui craque. Quelque instants de silence se passe avant que je ne sente deux petites et douces mains sur moi me tirer vers le sol. Je tombe, evidemment, et toutes l'équipe rit de bon coeur. Je me relève, et me retourne vers la cause de ma chute. Je fixe intensément cette jeune femme à peine majeure, et je la trouve belle. Je ne lui en veut même pas. Je la trouve...belle avec ses yeux brillants et pétillant de joie. Je lui tend la main, dans un sourire :
-Patrick.
Elle prend la main tendu et me répond, dans le plus beau des sourires que j'ai pu voir :
-Sarah.
-Je...eum... Je te proposerais bien un thé ?
-Avec grand plaisir !
On se dirige vers l'OpenSpace sous les yeux amusés de mes "collègues". Depuis que John LeRouge à été capturé et jugé, ils cherchent à tout prix de me caser. Pendant que je prépare le thé à Sarah, elle mange le raisin de Rigsby. Et ça me fait rire. Je m'assoit en face d'elle après lui avoir donné sa tasse. Elle me fixe de ses yeux brillants et me murmure :
-Tu es la flamme qui me guide, la lumière qui m'éclaire et l'eau qui me fait vivre. Tu es la pulsation de mon coeur, tu es le battement de mon âme et le tempo de ma vie. Tu es mon inspiration.
Ses yeux ancrés en moi et ses mots, me troublent. Elle me prend alors la main, et me dit, dans un souffle :
-Et pas seulement celui que tu sembles être. Non, l'homme au fond de toi, le vrai....
Et là, je comprend. Je comprend et lui sourit tendrement. Lisbon nous apelle , et on y va. Elle souhaite nous brieffer sur la nouvelle affaire. M'ennuyant, je dégueris discrétement et me rend aux douches du CBI, pour un prendre une, en attendant qu'elle finisse son discours. L'eau ruisselant sur mes pectoraux parfaits, mes cheveux dégoulinants, je passe ma langue sur mes lèvres pour en retirer l'eau en me retournant. Je l'a vois. Je vois Sarah. C'est sur, elle ne va rien oublier de ce moment...

Oh seigneur... Jeynna, Jeynna, Jeynna... Tu as su trouver le moyen de me remonter le moral en ces jours difficiles
Je suis touchée de cet OS vraiment touchée si tu savais...
Un OS bien construit et moi j'ai vraiment beaucoup aimé (Surtout Jane sous la douche à vrai dire... )

Merci, merci & encore merci Jeynna de mon coeur, Je ne sais pas trop quoi te dire à part "I'll always be there, no matter what. I will" c'est ça l'amitié ! & Je ne remercierais jamais assez les modos & les créateurs qui entretiennent ce forum, c'est grâce à eux que j'ai pu rencontrer des gens comme toi Merci ma belle

Spoiler:

Alors, nouvel OS, un peu plus court cette fois ci. N'hésitez à commentez mes fidèles lecteurs !

Il y a la Vie, tout simplement...
La Haine et l'Amour.
Ces deux sentiments controlent notre vie et fait tourner notre monde. Ils sont le Moins et le Plus, la Nuit et le Jour, le Mal et le Bien. La Haine est si proche et si loin de l'Amour...
Je le vise avec mon revolver. Je le braque, prêt à tirer. Je le hais de toute mon Ame. Tu essaye de me retenir.
Tu me tiens mon bras de ta petite main, si douce et chaude, prête à me stopper dans mon acte. Tu m'aimes de toute ton Ame.
La Peur et le Courage.
Ces deux sentiments changent légérement des détails de notre vie. Et comme tout les détails, cela peut faire basculer notre existence.
Il sort une arme et tire. Je ne bouge plus, j'ai peur, au fin fond de mon coeur.
Tu vois la balle et te précipites. Tu te met devant moi, tu as du courage, au fin fond de ton coeur.
Le Desespoir.
J'aurais pu mettre son égal, l'Espoir. Sauf que je ne l'ai pas ressentie. Je t'ai vu tomber, j'ai ton sang couler, tes yeux se fermer en un sourire, ton dernier souffle s'échapper de tes entrailles. Je me suis jeté sur toi, j'ai pleuré, je t'ai supplié. J'ai sentit ton corps inerte se refroidir. J'ai pleuré, autant de larmes que mes yeux pouvaient en sortir mais tu ne t'ai pas relevé. J'ai sentit un objet métallique glacé sur ma nuque. Mais je n'ai pas bougé. Disparu, Haine et Amour, disparu, Peur et Courage, juste le Desespoir résidait dans ma Vie. Alors je l'ai laissé me l'enlever. Je me suis effondré sur ton corps froid, ma main droite glissa sur ta hanche, la gauche sur ta joue et ma tête dans ton cou, comme si je respirait eternellement tes cheveux de jais. Mes yeux azurs restèrent ouvert sur ton visage si paisible, comme si je voulais avoir éternellement un oeil ouvert sur toi. Je n'ai pas eu le temps de te dire à quel point je t'aimais. Mais qu'importe la Haine, l'Amour, la Peur, le Courage, le Desespoir, il y a la Vie, tout simplement...

Un OS vraiment, vraiment très très émouvant et bien écrit.
Je t'en veux, je t'en veux terriblement d'avoir fais une scène si réaliste et...probable.. Jeynna, t'as tué mon Jane !

Jeynna a écrit: Mes yeux azurs restèrent ouvert sur ton visage si paisible, comme si je voulais avoir éternellement un oeil ouvert sur toi.

Ma phrase préférée et de loin..

Cet OS est vraiment splendide Jeynna, si réaliste et si triste, je me répète mais je perds mes mots..
Refais moi une merveille pareille et je pleure !

Spoiler:

Salut !
Alors comme vous avez du le remarquer, je n'ai pas poster de nouveaux OS depuis un petit moment, presque deux semaines. La raison est simple : Je n'ai plus d'idées. Alors en fouillant dans mes dossiers, j'ai retrouvé un de mes premiers écrits sur Mentalist, un essaye de Drabble que je n'ai jamais poster. Donc pour vous faire patienter en attendant de nouvelles histoires je vous le poste, mais je ne vous en garantie pas la qualité.
Bonne lecture !

Une promesse.
Il pleurait toutes les larmes de son corps.
En ce jour de deuil, il leur avait fait une promesse.
Une promesse sans doute mortelle, promesse de pourchasser sans répit celui qui avait détruit sa vie, promesse de les venger.
De pourchasser sans jamais cesser et afin de ne pas oublier cette promesse, il garderait cette alliance pour l'éternité.
Car depuis qu'il avait vu leurs corps sans vie, sa femme et sa fille morte à cause de son orgeuil, par sa faute, il ne pouvait plus vivre.
Depuis qu'il avait vu le smiley...

comme tu le sais si bien, je ne suis jamais insensible à un écrit sur Jane et encore moins un écrit de ce genre... il est vraiment bien écrit et il ma touché même si j 'aimerai vraiment voir Patrick enlever son alliance

Un très bon écrit ma Jiji adorée et essaie de trouver d'autres de ce genre dans tes dossiers !!! Tu es la meilleure

Spoiler:

Bon, alors, retournement de situation, j'ai eu une inspiration soudaine cette après-midi et j'ai écrit un autre OS. Je remercie Jane Addict pour ses encouragements étant assez sceptique de cette création.
Bonne lecture et commentez !

Une tasse de thé, un calin.
Tu as d'abord refusé. Puis tu as accepté.
Peut être parce que je t'ai fixé de mes yeux bleu azurs où tu aimes tant te plonger.
Ou c'est peut être parce que j'ai passé ma main dans mes bouclettes blondes, les secouant ainsi au vent frais de cette fin d'après-midi. Mais je pense que c'est juste parce que tu avais envie de me voir sourire pendant que tu faisais chauffer l'eau, la stoppant pile avant l'ébullition. Juste parce que tu avais envie de sentir mon regard insistant sur toi, et ma voix caramélisée te guider. Peut être aussi parce que tu avais envie de froler mes mains en me tendant la tasse, ta tasse, la mienne l'ayant briser au sol un jour de colère. Ou juste ton besoin de sentir mon souffle chaud contre ton épaule découverte. Parce que tu avais envie que je te dise "Merci", juste avant d'aller m'assoir sur mon canapé chocolat, là où tu me regardait discrétement depuis l'OpenSpace. Car tu voulais tout simplement me voir porter ta tasse à mes lèvres, et me regarder savourer le liquide né de ton effort, du tremblement de tes doigts, de la douceur de ta peau, du gout de ton corps, d'une partie de ton Ame, celle fragile et instable que tu ne montre qu'à moi. Et moi, peut etre que je te l'ai demandé car je voulais boire le nectar de toi, fermant les yeux et goutant du bout de mes lèvres une gorgée de cette essence vitale. Je devais juste vouloir connaitre le gout de ton Ame, et là je la ressent...Sucrée et légérement caramélisé...Fruité et pourtant si fort en bouche...Une explosion de saveurs, toutes différentes, toutes opposées et se complétant à merveille, teinté par la couleur vert émeraude. Cette gorgée laisse au fond de moi une saveur subtil et étrange, que je ne parviens pas à indentifier... Surement cette partie de toi que je n'arrive pas à connaitre malgré mon talent. Je n'ouvre pas les yeux, voulant garder cette sensation si magique encore un peu en moi. C'est comme si je goutais à ton Ame, comme si je buvais tes sourires et tes larmes.
Cette tasse de thé, elle est comme un calin.
Onirique.

Ah j'adore celui là, l'un de mes préférés ! Si bien écrit et si profond !

Jeynna a écrit:Peut être parce que je t'ai fixé de mes yeux bleu azurs où tu aimes tant te plonger.
Ou c'est peut être parce que j'ai passé ma main dans mes bouclettes blondes, les secouant ainsi au vent frais de cette fin d'après-midi

Perso, il fait ça, je lui donne ce qu'il veut!

Super bien  écrit!  Jeyn' !

Par contre, je n'arrive pas à savoir : "accepter quoi?" ce qui rend cet OS assez mystérieux et laisse place à différentes hypothèses, alors c'est plutôt un point positif,  je trouve