Never let you down. ^

Sar2ah59 a écrit:
Jane Doe : Ohhh Oui Mcdreamy est Mais je préfère Patrick quand même

Idem ! Il est moins "lisse" - et non je ne parle pas des cheveux - que ce brave Dereck.

Bon...ne nous égarons pas et revenons à nos moutons ! Ce chapitre ! Je ne peux pas dire que je l'aime, c'est en dessous de la vérité ! J'adore ce chapitre, si tu savais....

J'avais cru, mais un peu vite, que tu ne me ferais plus pleurer sur cette fic.....et bien évidemment je me trompais...ô comme je me trompais ! Mais comme j'aime m'être trompée sur ce coup-là...

L'annonce de la grossesse de Lisbon est assez amusante, avec ce jeu de mot involontaire de Grace et le commentaire "balourd" de Rigsby. C'est finalement Cho qui s'y colle, droit au but...mais finalement sans la précision tellement essentielle, celle du début de cette grossesse.
Alors évidemment, cette scène est ce qui permet de construire tout le chapitre mais voilà bien la preuve que c'était une mauvaise idée que de déléguer à l'équipe le soin d'apprendre cette nouvelle à Lisbon et Jane.
Et j'en veux à l'équipe pour cette maladresse ! Je veux dire : le rapport du légiste ne laissait aucun doute sur ce que subissait les victimes. Ils savent que le viol fait partie des sévices infligées par Waren à ses victimes. Et si j'ai été surprise que l'équipe médicale ne se pose aucune question au regard de l'étendue des blessures de Lisbon, j'en veux à l'équipe, qui, à aucun moment ne demande au médecin si Lisbon a été agressée sexuellement alors qu'ils savent que c'est dans le champ des possibles ! Et annoncer une grossesse sans la dater, supposant d'emblée de jeu que Jane est le père, quand ils savent qu'il est possible qu'elle soit le résultat d'un viol, c'est d'une cruauté certes involontaire mais coupable.

Sar2ah59 a écrit:
Van Pelt : « Oui bien sûr, on est à côté si vous avez besoin de quoique ce soit, et félicitations » dit-elle en quittant la pièce suivit de Cho et Rigsby.

Des félicitations ! C'est le pompon ! Je crois que ça va aller, Grace : vous en avez assez fait comme ça !

La façon dont Jane est attentif aux moindres réactions de Lisbon, notamment à son incapacité à établir un contact visuel, est très touchante. On sent le fardeau qui pèse sur ses épaules si lourdement, et qu'elle finit par verbaliser....des mots difficiles à prononcer pour l'agent et difficiles à entendre pour le consultant...

Quant à ce passage :

Sar2ah59 a écrit:
Lisbon : « Merci d’avoir tenue ta promesse. Merci d’être là, merci de m’avoir sauvé » dit-elle sentant les larmes envahirent ses jolis yeux émeraude.

Jane : « C’est l’équipe qui ta sauver Tess » dit-il ne voyant pas le double sens de cette phrase.

Lisbon : « C’est toi et ta promesse qui m’ont permis de tenir le coup, de ne pas abandonner » dit-elle laissant une larme couler.

oh que je l'ai aimé ! Bien sûr, c'est l'équipe qui (avec du mal ) a fini par délivrer Jane et Lisbon de leur geôlier....mais Jane l'avait identifié avant eux, et ses mots ont fait la différence, permettant à Lisbon de ne pas baisser les bras, de rester en vie jusqu'à l'arrivée des secours.

Sar2ah59 a écrit:Cho : « Arrêtes de hurler comme un gosse Jane, tu vas réveiller tout les vieux qui dorment dans le service » dit-il en croisant les bras sur son torse.

Enfin, Cho donne l'information qui change tout ; enfin il date la grossesse de Lisbon. Et nous lecteurs sommes soulagés du soulagement de nos héros !

Sar2ah59 a écrit:Jane : « Cet enfant est un mini Jane ! » s’exclama t-il fou de joie.

Cho : « Mon dieu, deux Jane pour le prix d’un. Tous aux abris ! » Dit-il en quittant la pièce, un léger sourire sur les lèvres.

Un mini-Jane....lui et Lisbon semblent être les seuls à mesurer ce que ça veut dire...Deux Jane, c'est peut-être deux fois plus d'ennuis mais c'est aussi deux fois plus de bonheur à venir. Du bonheur bien utile pour panser les plaies de la semaine écoulée.

Sar2ah59 a écrit:Dr Shepherd : « Alors, comment vont nos futurs parents ? » demanda t-il un sourire aux lèvres, conscient qu’ils avaient appris la nouvelle.

Ils iraient mieux si tu faisais ton foutu boulot !

Sar2ah59 a écrit:Jane : « Oui c'est en partie vrai... » Dit-il en se pinçant les lèvres « Mais je voudrai surtout pouvoir embrasser ma fiancée ! » déclara t-il.

Lisbon écarquilla les yeux à l’entente du mot « fiancée » et tourna brusquement la tête vers Jane, qui lui offrait désormais un sourire radieux, un sourire d’homme heureux.

Ô ! Une belle impulsion ! ce n'est pas réellement une "demande" en mariage, ça tient plus de l'annonce, avec la lueur de l'évidence et c'est beau, et j'aime ça !

Un chapitre que - tu l'auras compris - j'ai beaucoup, beaucoup aimé ! Je suis ravie que tu prévoies encore quelques chapitres....après avoir souffert avec nos héros, on mérite tous bien ça, non ?

De..Derek?! Je ne m'attendais pas à le trouver ici.
Mais sinon, c'est un chapitre bien écrit, comme toujours. Ta fanfic dérive un peu vers le roman feuilleton,là, (vu le nombre de fois où Lisbon à failli y passer mais est finalement en vie) et, au passage, stp arrêtes de faire ce genre de coups, j'ai une foutue douleur intercostale, qui m'empêche de respirer et qui revient à chaque fois, que tu fais ce genre de coups...

Spoiler:

Voilà pour vous le chapitre 13, J'espère que ça vous plaira !!
Je remercie infiniment ma chère Riza d'avoir corriger ce chapitre et mon orthographe catastrophique ! (Heureusement que j'ai le bac..... )
Bonne lecture


Je regarde ma montre qui affiche 19h30, et comme tous les samedis j’ai dû aller faire les courses. Franchement, quel homme a envie de faire les courses ? Mais bon, il a fallu que je me marie à une femme qui a de l’autorité, mais j’aime qu’elle soit autoritaire avec moi.

Cela va faire maintenant deux ans que nous sommes sortis de l’hôpital, un an et demi que je l’ai épousé et un an que notre petit Yohan est né. J’ai enfin pu retrouver le bonheur de me réveiller chaque matin à côté de ma femme et avoir le plaisir d’élever notre fils.

Au volant de ma DS, et bien oui, je n’ai décidément pas pu me résigner à la vendre, je me dirige en direction de notre domicile en bord de mer. Je me gare devant la maison et sort les paquets du coffre. Pff, qu'est-ce que c’est lourd ces machins !

Je me dirige vers la porte d’entrée et insère la clé dans la serrure. Tiens, bizarrement, la porte est ouverte, Térésa a dû surement sortir et n’a pas refermé, ça ne m’étonnerai pas. Elle est assez tête en l’air pour une chef d’unité, quelle ironie n’est-ce pas ?

La maison est calme, elle est probablement à l’étage à s’occuper de Yohan. Mon fils est capricieux et affreusement têtu, telle mère, tel fils ! Il a un peu de nous deux je trouve, un joli petit brun au regard d’acier, il ne parle pas encore très bien mais il est très éveillé pour son âge.

« Térésa » l’appelais-je sans obtenir de réponse. « Tess tu es là haut ? » répétais-je.

N’obtenant aucune réponse, je me dirige vers l’étage.

Je grimpe l’escalier en métal qui trône au milieu de notre salon. Je longe le couloir et je m’arrête devant la chambre de Yohan qui est vide, il est probablement avec sa mère.

Je me dirige donc vers la porte de notre chambre aveuglement, et ce ne fut qu’une fois devant la porte que la lettre accrochée à la porte attira mon regard.

Non, non pas encore, pas encore une fois. Je décroche d’une main tremblante la lettre qui trône sur le milieu de ma porte de chambre.

« Cher Patrick,

A ce que j’ai pu remarquer, tu n’as pas eu trop de mal à refaire ta vie avec cette charmante Térésa, tu as toujours aimé les femmes autoritaires.

Elle ne m’aura même pas supplié de lui laisser la vie sauve, elle aura juste protégé ton fils jusqu’au bout, c’est pour cela que je l’ai tué en premier, ses braillements m’agaçaient profondément. Après m’être occupé de ton charmant petit garçon, ça a été plus facile avec ta femme, elle implorait ton retour, elle m'a juste dit qu’elle ne voulait pas que tu souffres à nouveau. Et bien qu’en penses-tu, cher Patrick ? Aimes-tu mon cadeau d’anniversaire ? Oui je sais que c’est ton anniversaire aujourd’hui, peu de monde est au courant mais n’oublies pas que je sais tout, je suis partout.

A bientôt mon ami, »

Je tremble, j’ai des sueurs. Ma main tremblante tourne la poignée de la porte et l’ouvre dans un grincement strident. Et là, je le vois. Ce smiley qui m’a hanté pendant des années, qui trônait sur le mur de mon ancienne chambre et maintenant, il trône à nouveau sur le mur face à moi.

Je n’ose pas baisser les yeux, je ne veux pas et pourtant ils se baissent comme par automatisme. Leurs corps ensanglantés gisent sur le sol, le corps de ma jolie femme et de mon fils au pied de notre lit.

Je m’approche doucement, mes larmes coulent par elles mêmes et mon cœur bat à cent à l’heure, je m’agenouille devant cette scène macabre et ferme d’une main tremblante, les jolis yeux émeraudes de ma belle Térésa qui tient fermement notre fils contre elle.

Ma vision se brouille, mes jambes ne me portent plus, je crie leurs noms, le nom des mes amours à nouveau disparus et je me sens tomber dans l’inconscience à côté d’eux, avec pour dernière image leurs visages souriants.


Je me réveille en sursaut et en sueur entouré de deux médecins et de Térésa qui me regarde intriguée. Je regarde autour de moi, je suis toujours dans cette chambre d’hôpital, je pousse un soupir de soulagement, ce n’était qu’un rêve. Enfin plutôt un cauchemar.

Dr Shepherd : « Vous allez bien Patrick ? » me demande-t-il.

« Oui, pourquoi ça n’irait pas ? » demandais-je.
Qu’avais-je pu bien dire ou faire dans mon sommeil pour que ces médecins s’affairent autour de moi ?

Dr Shepherd : « Et bien Térésa nous a fait bipper, vous étiez agité et vous criez son prénom, un cauchemar ? » demande-t-il.

« Non, ça va. » dis-je. Je ne pouvais pas leur dévoiler le contenu de mon cauchemar, Térésa s’en voudrait inconsciemment.

Je sens la main de Térésa serrer ma main. Je tourne la tête vers elle et vois dans son regard une lueur d’inquiétude. Les médecins acquiescent et quittent la pièce.

Térésa n’avait toujours pas relevé le fait que je l’ai qualifié comme ma « fiancée ». Peut-être ne voulait-elle pas se marier ? Peut-être qu’elle voulait simplement qu’on vive ensemble, avec notre enfant et rien de plus ? Cela m’étonnerait quand même compte tenu de son attachement à la religion. La religion n’encourageait-elle pas le mariage ?

Toutes ces questions qui trottent dans mon esprit depuis deux jours sont en train de me ronger de l’intérieur. J’aimerai tellement pouvoir m’initier dans son esprit mais malheureusement, Térésa est l’une des rares personnes que je ne peux pas sonder, à mon plus grand regret.

Térésa : « Patrick, qu’y avait-il dans ton cauchemar ? » me demande-t-elle doucement.

« Rien, tout va bien » dis-je simplement. Je m’en voulais de lui cacher ça mais à la fois, je ne voulais pas qu’elle sache que le monstre qui a ruiné ma vie dix ans plus tôt était revenu hanter mes nuits.

Térésa : « Patrick, tu as beau être mentaliste, tu mens très mal » me lance-t-elle avec un ton de reproche.

« Je fais de mon mieux » répondis-je simplement. J’essaie de me lever mais en vain.
Je commence réellement à en avoir plus qu’assez d’être cloué à ce lit.

Térésa : « Arrêtes, tu vas aggraver ton cas, le médecin t’a dit d’attendre encore un peu » dit-elle doucement.

« J’en ai assez d’attendre ! » dis-je avec agacement.
Cette phrase avait bien sûr un double sens et ça, Térésa le remarqua bien vite.

Térésa : « Je dois le prendre comment ? » demanda t-elle, un ton d’énervement dans la voix. « Tu m’en veux de ne pas avoir relevé le fait que tu m’aie qualifiée comme ta fiancée, c’est ça ? » dit-elle méchamment.

« Non, mais permet moi quand même de me poser des questions Térésa ! » dis-je.
En effet, je me posais des questions et ça commençait visiblement à influencer mon humeur.

Térésa : « Oh, monsieur le mentaliste se pose des questions ! C’est un comble » dit-elle en s’emportant un peu.

Mon dieu, je vais passer un sale quart d’heure.

« Ah ah, tu as fais l’école du rire Tess, tu me l’avais caché ! » dis-je avec agacement. Cette discussion va mal finir, je le sens.

Térésa : « Jane ! Je ne te pensais pas capable de douter de mes sentiments envers toi ! » Dit-elle vexée.

« Je ne doute pas de tes sentiments, seulement de tes intentions en ce qui concerne notre avenir » dis-je simplement.

Térésa : « Patrick, tu sais pertinemment que mon avenir, je le veux avec toi. Tu le sais » dit-elle en baissant les yeux.

Oui je le savais, mais pourquoi n'avait-elle pas répondu à cette demande implicite ?

« Alors pourquoi ne m’as-tu pas répondu ?! » dis-je en ancrant mon regard dans ses beaux yeux émeraude.

Térésa : « Parce que tu ne m’as rien demandé Jane ! » dit-elle tristement.

Je la regarde, hébété. Ainsi donc elle n’avait pas compris que je lui demandais implicitement sa main.

« Oh » dis-je simplement.

Mince, je n’avais pas envisagé cette option. Je vais devoir mettre un genou à terre et lui chanter une sérénade ? Non ce n’est pas mon genre, mais alors pas du tout.

Térésa : « Tu as réellement pensé que je ne voulais pas ? » demanda t-elle les larmes aux yeux.

Mon cœur se serre à cette vision, je déteste la voir triste. Je soupire bruyamment pour lui faire comprendre qu’en effet, j’avais eu un doute. Elle hausse les sourcils et soupire à son tour. Je la vois gesticuler, elle essaie de se lever.

Après de nombreuses acrobaties, elle réussit à se lever et s’approche de moi. Elle prit mon visage entre ses mains si douces, je ferme les yeux à cette caresse.

Térésa : « Je t’aime Patrick et je ne te permets pas d’en douter » souffle-t-elle contre mes lèvres avant d’y déposer un baiser doux et envoutant.
Ça ne faisait qu’une semaine que je n’avais pas sentit ses lèvres douces mais pour moi, c’était une éternité.

« Alors épouses moi, Térésa Lisbon » dis-je de la même façon.

Elle me sourit, les larmes aux yeux et m’embrasse amoureusement. Je prends ça pour un oui.

Je l’attire contre moi et lui rend son baiser. Elle se couche à mes côtés dans ce lit étroit et s’endort sur mon épaule. Sa respiration régulière me fait basculer à nouveau dans un sommeil profond.


Chapitre suivant

merci pour ce merveilleux chapitre...pendant un temps, j'ai cru que tu allais tuer Lisbon, mais vu le nombre de fois où elle se trouve dans une telle dans ta fic,je crains que ça n'arrive un jour...

Comme je te l'ai déjà dit, encore un très bon chapitre !
Je suis sûre qu'il reste des fautes, mais je me suis fais un plaisir de corriger ton chapitre (surtout que je l'ai eu en avant première )
Vivement la suite ! Tu vas nous faire un mariage ?
Bravo !

J'adore ! Ce chapitre était décidément placé sous le signe de "je vais les avoir " et tu m'as eue...seulement à moitié mais quand même.

En fait, en lisant les deux premiers paragraphes, j'ai été déçue de l'ellipse temporelle. j'ai vraiment eu l'impression de me faire avoir parce que ce que je veux, moi, c'est ce qui se passe dans cette chambre d'hôpital ! Alors passer à un an après la naissance de cet enfant à peine conçu, j'ai eu l'impression de me faire avoir. Parce que j'aime beaucoup le procédé de l'ellipse temporelle mais juste pas là, quoi !

Mais bon, confiante, je poursuis ma lecture et l'impression me prend tout de suite que la porte ouverte n'est pas bon signe. Que Lisbon soit étourdie, ça ne colle pas du tout avec l'image que j'ai du personnage mais je veux bien faire l'effort de l'admettre. Mais je ne peux certainement pas croire que son étourderie confine à l'inconscience, l'amenant à négliger sa sécurité et celle de son fils. Certainement pas après ce qu'elle vient de vivre, certainement pas après avoir été enlevée chez elle. Donc un petit voyant rouge se met à clignoter dans mon esprit, renforcé par le silence pesant qui règne dans la maison. La suite de ton chapitre me conforte dans mon impression. En fait, tu m'as eue jusqu'à la lecture du mot de Je sais pas pourquoi mais à ce moment-là, un autre voyant s'est mis à clignoter, me disant "y a un truc qui va pas", en l'occurrence la mention de l'anniversaire de Jane. Je ne saurai pas dire si c'est parce que son évocation par était trop désinvolte ou si c'est parce que je me refuse à envisager que Lisbon envoie Jane faire les courses ce jour-là ou un peu des deux, je sais pas....mais ça a été le moment où je me suis dit que tu étais en train de te jouer de nous . Ça et aussi le fait qu'un passage à l'acte de constituerait une autre fic' mais n'était plus dans l'esprit de la fic' en cours. Du coup, je me suis dit qu'il ne pouvait s'agir que d'un rêve et que, peut-être même, l'ellipse temporelle ne concernait que le rêve de Jane et pas la réalité.

Quel soulagement, donc, de retrouver notre mentaliste en sécurité (au moins physiquement) sur son lit d'hôpital....
En passant, j'aime beaucoup le parallèle entre les manifestations physiques ressenties par Jane dans son rêve et dans la réalité au cours de son rêve :

Sar2ah59 a écrit:
Je tremble, j’ai des sueurs. (...) Ma vision se brouille, mes jambes ne me portent plus, je crie leurs noms, le nom des mes amours à nouveau disparus

(....)

Je me réveille en sursaut et en sueur
(....)
Dr Shepherd : « Et bien Térésa nous a fait bipper, vous étiez agité et vous criez son prénom, un cauchemar ? » demande-t-il.

Nous voilà rassurés, la sécurité physique de Jane et Lisbon est toujours assurée. C'est à un autre type d'insécurité, celle des sentiments, qu'ils vont se trouver confrontés.

Sar2ah59 a écrit:« J’en ai assez d’attendre ! » dis-je avec agacement.
Cette phrase avait bien sûr un double sens et ça, Térésa le remarqua bien vite.

J'ai vraiment beaucoup aimé ! J'ai trouvé que la conversation qui s'annonce était subtilement amenée, avec un cri du coeur qui demandait toutefois à être décodé, ce qui n'est bien évidemment pas un problème pour Lisbon. Le ton monte rapidement....après la semaine écoulée, ils doivent tous les deux avoir les nerfs à vif...

J'adore l'ironie mordante de Lisbon :

Sar2ah59 a écrit:Térésa : « Oh, monsieur le mentaliste se pose des questions ! C’est un comble » dit-elle en s’emportant un peu.

et la lucidité sans appel de Jane :

Sar2ah59 a écrit:Mon dieu, je vais passer un sale quart d’heure. (...) Cette discussion va mal finir, je le sens.

Et là, j'avais juste envie de dire à Jane : "Bah alors arrête ! Change d'attitude !"

Sar2ah59 a écrit:Térésa : « Jane ! Je ne te pensais pas capable de douter de mes sentiments envers toi ! » Dit-elle vexée.

Outch ! "Patrick" est redevenu "Jane"....il semblerait que quelqu'un s'apprête effectivement à passer un sale quart d'heure !

Finalement, on en arrive au coeur du problème :

Sar2ah59 a écrit:« Alors pourquoi ne m’as-tu pas répondu ?! » dis-je en ancrant mon regard dans ses beaux yeux émeraude.

Térésa : « Parce que tu ne m’as rien demandé Jane ! » dit-elle tristement.

Bah oui, tout simplement ! Monsieur le Mentaliste n'est guère doué....
Bon, après, c'est là qu'est mon souci avec l'ensemble de la démarche : dans le chapitre précédent, je trouvais excellent l'idée que Jane ne demande justement pas à Lisbon de l'épouser mais l'affirme. Qu'il ne soit pas dans l'attente de sa réponse parce qu'il l'avait décidé. Je trouvais que ça collait bien au personnage. Du coup, ici, je suis moins séduite par son insécurité....parce que dans la façon dont je m'étais imaginée les choses, Jane n'attendait pas de réponse à sa non-question. Quoique je sois convaincue que Jane est moins arrogant qu'il veut bien le laisser paraître, je trouve néanmoins le degré de vulnérabilité que tu exposes ici surprenant pour le personnage....peut-être peut-on l'imputer aux récents évènements ? Mais malgré cette réserve sur ce qui fonde la scène, j'aime le fait qu'elle permette à ladite scène d'avoir lieu. Je la trouve intelligemment construite, vraiment bien menée.

Sar2ah59 a écrit:Après de nombreuses acrobaties, elle réussit à se lever et s’approche de moi. Elle prit mon visage entre ses mains si douces, je ferme les yeux à cette caresse.

Térésa : « Je t’aime Patrick et je ne te permets pas d’en douter » souffle-t-elle contre mes lèvres avant d’y déposer un baiser doux et envoutant.

Haaaaa ! Enfin un baiser ! Je l'attendais impatiemment !

Sar2ah59 a écrit:« Alors épouses moi, Térésa Lisbon » dis-je de la même façon.

Elle me sourit, les larmes aux yeux et m’embrasse amoureusement. Je prends ça pour un oui.

Alors ça, c'est ....au minimum !

Je remercie dans un commentaire commun toutes les personnes qui ont suivis mes DEUX fics et qui les ont commentés à chaque nouveau chapitre mais malheureusement il n'y aura pas de suite à celle-ci, je vais m'affairer à trouver un sujet pour en écrire une nouvelle Je ne pouvais pas aller plus loin dans cette fic, je ne voulais pas tomber dans le guimauve en vous décrivant la vie quotidienne de notre couple préféré

Merci à Riza , Lisbon, Jane Doe, Ju de m'avoir donné le courage de continuer à écrire, et merci à ceux que j'ai oublié de mentionner et merci à ma Lele8133 de me l'avoir inspiré Merci à vous

Et voilà donc le chapitre 14 et final de cette petite histoire, je vais associer une musique pour la première partie du chapitre, j'espère que vous aimerez cette fin.

Voilà donc la musique à associée à cette partie. (https://www.youtube.com/watch?v=krOBGW4V0kg)


6 mois étaient passés depuis la sortie de l’hôpital de Jane et Lisbon. Jane avait du suivre une rééducation stricte et intense, inutile de spécifier qu’il avait râlé chaque jours pendant ses 2 mois de rééducation.

Et maintenant, il se trouvait là, face à ce miroir depuis 2 bonnes heures déjà. Il réajusté sa cravate toutes les deux minutes, il était nerveux. Un main sur son épaule le fit sortir de sa contemplation.

Rigsby : « Bah alors vieux, t’es nerveux » dit-il d’un ton moqueur.

Jane : « Bah c’est pas tous les jours qu’on épouse la terrible agent Lisbon » dit-il avec un sourire de coin. « C’est marrant quand même, c’est pourtant pas mon premier mariage et pourtant j’ai toujours ce sentiment d’appréhension. » dit-il en reportant son regard sur son reflet.

Rigsby : « Qu’est ce qui t’inquiètes vieux ? » demanda t-il.

Jane : « Qu’elle se rappelle que je suis un insupportable consultant, borné et immature et qu’elle me laisse en plan devant l’hôtel » dit-il en rigolant.

Rigsby : « Mais non, mais non » dit-il en rigolant à son tour en lui donnant une tape sur l’épaule.

Jane tourna le visage vers son ami, et témoin, et le remercia du regard. Il avait voulu proposé à Cho d’être son témoin mais ce dernier aurait refusé, il le savait.

Rigsby : « Allez, on y va » dit-il tout sourire.

Jane soupira d’appréhension et acquiesça en le suivant vers la sortie. Ils prirent la direction de l’hôtel dressé en plein milieu d’un magnifique jardin fleuris, en périphérie de Sacramento.
Il prit place à côté du prêtre et Rigsby s’installa à ses côtés.

Pendant ce temps, dans une pièce non loin de là :

Lisbon se regardait dans ce miroir depuis quelques minutes déjà, elle était heureuse en ce moment et savait qu’elle le serait pour le reste de sa vie, aux côtés de Jane. Grace arriva dans la pièce.

Grace : « Ce que vous êtes Jolie patron ! » dit-elle émerveillée.

Lisbon : « Térésa, Appelles moi Térésa, Grace tu es ma demoiselle d’honneur allons » dit-elle en souriant, ce qui fit rougir la jolie Van Pelt.

Lisbon reporta son regard sur son reflet. Elle était vêtue telle une princesse, une longue robe écrue, ornée de dentelles plus étincelantes les unes que les autres et qui mettaient en valeur ses jolies formes de femme enceinte. Elle avait relevé ses longs cheveux bruns dans un chignon laissant deux mèches solitaires tombées le long de son visage.

Grace : « Vous êtes prête ? » dit-elle en tendant sa main à sa patronne, et amie.

Lisbon : « Oui, allons y » dit-elle en prenant la main que Grace lui tendait.

A ce moment, son frère, Tommy entra dans la pièce.

Lisbon : « Tommy, que fais-tu là ? » demanda t-elle souriante.

Tommy : « Et bien je vais accompagner ma chère grande sœur à l’hôtel » dit-il en l’enlaçant.

Lisbon avait les larmes aux yeux, en effet son père n’était plus là pour la conduire à l’hôtel comme le voulait la tradition. Son frère était là pour elle, elle était encore plus heureuse.

Grace sortit la première, marchant le long de l’allée fleuris, et rejoignant sa place de l’autre côté du prêtre, en face de Rigsby. Jane lui lança un regard interrogateur, il voulait s’assurer qu’elle viendrait et qu’elle ne l’abandonnerait pas, Grace lui sourit pour le rassurer.

Quelques minutes passèrent avant qu’un bruit de porte se fit entendre. Tous les invités, le marié et les témoins levèrent les yeux vers la somptueuse femme qui s’avancée dans l’allée, au bras de son frère.

Jane dut se retenir de hurler d’admiration pour cette femme qui était la plus belle à ses yeux. Elle s’avança, ancrant son regard dans celui de son fiancé sobrement vêtu d’un costume noir qui lui allait à ravir.
Elle arriva en face de lui, Jane lui tendit sa main. Tommy prit la main de Térésa et la déposa dans celle de Jane.

Ils se sourirent et prirent place devant l’homme d’église.

Après quelques minutes de discours, le prêtre les invita à échanger leurs vœux.

Jane se tourna pour faire face à Lisbon.

Jane : « Tu sais que je ne suis pas un adepte des grands discours mais ce n’est pas nécessaire pour te prouver que je t’aime. Tu m’auras supporté pendant presque une décennie et c’est un faible mot. Je t’ai fais une promesse, Je t’ai promis de ne jamais te laisser, ne jamais t’abandonner et te protéger, et aujourd’hui, j’ajoute à cette promesse, celle de chérir jusqu'à la fin, de vous chérir jusqu'à la fin » dit-il en posant sa main sur le ventre de sa future femme. « et je veux finir ma vie à tes côtés, Térésa Lisbon » termina t-il.

Lisbon : « Et je veux finir ma vie à tes côtés Patrick Jane » dit-elle les larmes aux yeux, lui offrant son plus beau sourire.

Jane la regarda intensément, un immense sourire aux lèvres. Sous l’accord du prêtre, Jane glissa un anneau doré sur l’annulaire de sa dulcinée, et elle fit de même.

Puis vint la phrase mythique « Vous pouvez embrasser la mariée », ce que Jane fit sans plus attendre.

Il prit délicatement son visage entre ses mains et l’embrassa amoureusement. Un baiser dans lequel il fit passer tous ses sentiments, toute ses promesses.



1 ans plus tard.

Il était 19H30, un samedi soir d’été. Jane était sortit pour faire des emplettes sous la demande de sa jolie femme qui était aussi, très autoritaire. Il détestait faire le coursier, mais il ne pouvait pas dire non à sa femme.

Il gara sa mythique DS qu’il n’avait pas réussi à quitter et descendit en sortant les paquets du coffre.

Il tourna la poignée de la porte d’entrée, mais celle-ci n’était pas fermée, ce qui l’intrigua.

Il entra et vit que toutes les lumières de la maison étaient éteints.

Jane : « Térésa ? » l’appela t-il sans réponse. « Tess tu es en haut ? » répéta t-il.

Il se dirigea vers l’étage et grimpa l’escalier en métal qui trônait au milieu de leur salon. Il longea le couloir s’arrêta devant une chambre, qui était vide. Il fronça les sourcils et se dirigea vers la porte de sa propre chambre.

Il posa sa main sur la poignée de la porte, cette situation lui rappela étrangement son cauchemar et cela l’angoissait.
Il avait peur que ce rêve ne soit prémonitoire et qu’il trouve le corps de sa femme et son enfant derrière cette porte.

Il tourna donc la poignée et poussa la porte qui s’ouvrit dans un grincement et ce qu’il vit lui serra le cœur.

Sa jolie femme était allongée sur leur lit, tenant fermement contre elle leur petit garçon qui venait de fêter ses 1 ans et qui prononçait tout juste son premier mot. Son cœur se serra de bonheur.

Il entra et s’approcha d’eux. Il caressa doucement la chevelure de sa femme qui gesticula et se réveilla brusquement, resserrant son emprise sur son fils, signe de protection.

Jane : « Du calme Tess, c’est moi » lui souffla t-il en lui embrassant le front, ce qui eut pour effet de la calmer immédiatement. Elle lui sourit et baissa son regard sur leur fils.

Jane prit son fils dans ses bras et lui déposa à son tour un baiser sur le front avant d’aller le déposer délicatement dans son petit lit qui trônait dans la chambre adjacente à celle de Jane et Lisbon.

Il se redressa dans le but de regagner sa chambre mais une petite main s’agrippa à sa veste. Il tourna la tête et vit son fils qui s’agrippait désespérément à lui en lui murmurant le seul mot qu’il savait prononcer.

Il rapprocha son visage de celui de son garçon pour mieux entendre ce qu’il lui soufflait.

« Papa » souffla t-il encore une fois.

Jane sourit, oui le premier mot que son fils avait prononcé était « papa » et quelle joie pour un père.
Il caressa doucement son visage et lui souffla « Chut, rendors toi trésor ».

Il referma doucement la porte et admira l’écriteau au milieu de la porte du petit garçon : « Yohan Jane ».

Il sourit et reprit la direction de sa chambre.

Il se déshabilla rapidement et se glissa dans le lit.

Lisbon s’était déjà rendormie, emportée par la fatigue. Elle enchaînait les rôles de mère et de chef d’unité mais heureusement qu’elle pouvait compter sur Jane qui l’aidait toujours dans les tâches quotidienne mais il n’avait malheureusement pas cessé ses enfantillages au travail. Mais elle ne pouvait pas nier qu’elle aimait son côté enfantin.

Il laissa échapper un bâillement bruyant ce qui eut pour effet de réveiller Lisbon.

Lisbon : « Quelle discrétion » râla t-elle à moitié réveillée.

Jane : « Silence femme, j’essaie de dormir » dit-il en riant. Il aimait l’embêter.

Lisbon : « Si j’avais mon arme à ma portée, je t’aurais fait taire avec » dit-elle tout en se blottissant contre lui.

Jane : « Oui, c’est ce que tu me répètes depuis maintenant 2 ans ma chère » dit-il en refermant ses bras autour de la taille de sa femme.

Lisbon : « Méfies toi, je ne suis peut-être pas très réveillée mais je…. » Mais elle fut interrompu par un baiser de son homme.

Jane : « Chut » dit-il en souriant. « Dors maintenant » lui souffla t-il à l’oreille.

Elle acquiesça dans un murmure et posa sa tête au creux du cou de Jane et s’endormit aussitôt.

Jane resta conscient encore quelques minutes, le temps de se remémorer toutes ces années de collaboration avec Lisbon, toutes ces années où ils s’étaient rapprochés de jours en jours sans jamais vouloir se l’avouer.

Ces moments de souffrances mutuelles, leurs enlèvements, leurs tortures et leurs promesses.

Il s’endormit presque instantanément, bercer par la respiration régulière de Lisbon.
Il s’endormit avec les images de leurs moments passés et ceux à venir.

Je sais que l'on dit que toutes les bonnes choses ont une fin mais je l'a voulais pas celle-la! Pas qu'elle ne soit pas à la hauteur, elle est magnifique! CE mariage, cette tendresse entres eux et leur fils qui dit ses premiers mots! Y a pas à dire les deux fics que tu as faites sont magnifiques et j'aimerai vraiment en relire d'aussi bonnes plus souvent! Pas que les autres ne le sont pas mais celle-ci! y a du niveau!
j'ai été totalement envoûté par cette histoire à la fois dramatique et romantique! du jisbon !!!

Un dernier chapitre emprunt de douceur et de tendresse pour refermer tranquillement la porte de cette (de ces) fic(s) ! On se sépare de nos héros mais sans regret parce qu'effectivement, il faut savoir conclure son histoire et que tu le fais au bon moment !

Un dernier chapitre que j'ai beaucoup apprécié !

Sar2ah59 a écrit:
Jane : « Bah c’est pas tous les jours qu’on épouse la terrible agent Lisbon » dit-il avec un sourire de coin.

J'ai adoré ! J'ai trouvé cette petite remarque très drôle !

Sar2ah59 a écrit:« C’est marrant quand même, c’est pourtant pas mon premier mariage et pourtant j’ai toujours ce sentiment d’appréhension. » dit-il en reportant son regard sur son reflet.

Oh bah ça va, c'est pas son 50ème mariage non plus !

Sar2ah59 a écrit:Jane : « Qu’elle se rappelle que je suis un insupportable consultant, borné et immature et qu’elle me laisse en plan devant l’hôtel » dit-il en rigolant.

Devant l'autel !
Désolée, sur ce mot-là, je suis obligée de le souligner car j'ai dans la tête l'image de Jane attendant devant un hôtel qui ne veut pas partir !

Sar2ah59 a écrit:Tommy : « Et bien je vais accompagner ma chère grande sœur à l’hôtel » dit-il en l’enlaçant.

Une très délicate attention ! Je ne vois rien qui aurait pu faire plus plaisir à la mariée que la présence de son frère à ses côtés..

Sar2ah59 a écrit:Quelques minutes passèrent avant qu’un bruit de porte se fit entendre. Tous les invités, le marié et les témoins levèrent les yeux vers la somptueuse femme qui s’avancée dans l’allée, au bras de son frère.

Jane dut se retenir de hurler d’admiration pour cette femme qui était la plus belle à ses yeux. Elle s’avança, ancrant son regard dans celui de son fiancé sobrement vêtu d’un costume noir qui lui allait à ravir.
Elle arriva en face de lui, Jane lui tendit sa main. Tommy prit la main de Térésa et la déposa dans celle de Jane.

J'aime beaucoup cette scène ! J'imagine complètement Lisbon remontant l'allée, Jane le coeur qui bat à mille à l'heure, leurs regards qui ne se quittent pas une seconde et ce geste symbolique de Tommy qui met la main de Lisbon à sa place : dans celle de l'homme qu'elle aime...

Les voeux de Jane sont très touchants, en particulier :

Sar2ah59 a écrit:
Jane : «Je t’ai fais une promesse, Je t’ai promis de ne jamais te laisser, ne jamais t’abandonner et te protéger, et aujourd’hui, j’ajoute à cette promesse, celle de chérir jusqu'à la fin, de vous chérir jusqu'à la fin » dit-il en posant sa main sur le ventre de sa future femme.

Et comme on sait quelle énergie Jane a mis à tenir cette promesse, on n'est pas inquiet sur sa capacité à tenir celle qu'il y ajoute....ce n'est pas la plus difficile à tenir après tout !

Sar2ah59 a écrit:Il prit délicatement son visage entre ses mains et l’embrassa amoureusement. Un baiser dans lequel il fit passer tous ses sentiments, toute ses promesses.

Sar2ah59 a écrit:
Il posa sa main sur la poignée de la porte, cette situation lui rappela étrangement son cauchemar et cela l’angoissait.
Il avait peur que ce rêve ne soit prémonitoire et qu’il trouve le corps de sa femme et son enfant derrière cette porte.

Dis-moi, ne serait-ce pas là une tentative de jouer avec nos nerfs une dernière fois avant le point final de cette fic ? Parce que ça m'en a tout l'air !
Mais justement, cette scène était tellement proche de son cauchemar que ça m'a paradoxalement rassurée....d'autant que c'était même pas l'anniversaire de Jane !

Yohan serré contre sa maman, puis dans les bras de son papa....prononçant son premier mot, c'est un beau moment de tendresse que tu nous offres là. Finalement, Jane et Lisbon sont toujours....Jane et Lisbon si l'on en croit ce passage :

Sar2ah59 a écrit:Lisbon : « Quelle discrétion » râla t-elle à moitié réveillée.

Jane : « Silence femme, j’essaie de dormir » dit-il en riant. Il aimait l’embêter.

Lisbon : « Si j’avais mon arme à ma portée, je t’aurais fait taire avec » dit-elle tout en se blottissant contre lui.

Jane : « Oui, c’est ce que tu me répètes depuis maintenant 2 ans ma chère » dit-il en refermant ses bras autour de la taille de sa femme.

Et c'est ça qui est bon ! Et finalement, comme Jane et Lisbon se l'étaient dit "On ira bien". De toute évidence, ils vont bien, ce qui nous permet de les quitter sans trop de tristesse.

Un très bel épilogue à cette fic' que j'ai beaucoup aimé ! Merci de nous avoir offert ces 14 chapitres de plaisir !

Ah, depuis le temps que je l'attendais cette fin !
Bravo pour le mariage, ce n'est pas quelque chose de facile à écrire (Je redoute le moment où je devrai en écrire un ! xD).
Cet épilogue est à l'image de cette fiction, juste magnifique !

Super chapitre!
Il y a juste une petite faute d'ortographe, dans une église c'est un autel et non un hôtel...sinon c'est un chapitre excellent. Un Jane toujours comique, attachant.

aaahhhhhh super j'ai vraiment adoré
j'avais commencé à la lire hier soir avant de faire dodo en me disant je lis quelques chapitre et ben non je n'ai pas pu m’empêcher, j'ai tout lu d'un bout à l'autre...
c'était toujours aussi bien écrit..
assez stressant tout du long MAIS j'ai réussi à me déstresser:
quand Lisbon c'est fait enlever je me suis dit "oh jane va la retrouver", quand Jane est arrivé je me suis dit "oh l'équipe va les retrouver"
et alors quand ils se sont retrouvés à l’hôpital et qu'il fait un cauchemar... alors là j'ai paniqué
c'était tellement réel. et ouf
dernier chapitre: extra (comme tous) et re-panique quand il arrive et qu'il revit son cauchemar... je me suis "non c'est pas possible de faire ca!!"
et re-ouf... ca se termine bien..

encore une super fic.. tout en stress et émotion..
merci pour ce bon moment....