Boum [OS] (Castle)
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Boum [OS] (Castle)
Je vous poste un OS sur Castle. Je le trouve pas... Super 'Enfin bon, vous verrez bien
Bonne lecture
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Boum...
C’est le bruit que faisaient les tambourins dans la rue, lors des défilés ou des carnavals. Faisant briller les yeux des enfants. Briller de joie et d’excitation. Et rendait leurs parents heureux. Heureux de les voir si enthousiaste.
Elle tira le bras de son père, lui demandant à tout bout de chants de regarder où elle voulait. Son père la prit dans ses bras et la souleva dans les airs sous les grands éclats de dire de sa petite fille. Sa mère les voyant faire, sourit.
Elle s’agrippa au cou de son père et elle lui demanda si elle pouvait avoir les mêmes instruments à Noël ou à son anniversaire.
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le corps d’une femme en tombant dans une ruelle sombre, isolée et humide. L’homme ne savait pas qu’il venait d’arracher la vie à une mère et à une épouse. Il ne savait pas que ses proches allaient être dévastés. Il ne savait pas que sa jeune fille, Kate Beckett, allait changer et devenir un redoutable lieutenant de police, juste pour le retrouver et faire enfin vengeance. Il ne savait pas qu’il allait faire plonger le mari dans l’alcool et que se serait sa propre fille qui allait l’en sortir. Il ne savait pas non plus que sa fille allait attacher l’alliance de sa mère autour de son cou pour se rappeler que chaque jour compte.
Alors, Dick Coonan s’en alla d’un pas rassuré de cette ruelle, ne sachant pas qu’un jour, il se retrouvait avec une balle dans l’abdomen et au dessus de lui, une Kate Beckett le suppliant de revenir pour savoir qui l’avait engagé.
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le dossier sur le meurtre de sa mère en tombant violement à terre. Elle foudroya du regard le dossier. Cette affaire lui bouffait toute son énergie mais elle ne devait pas abandonner. Elle devait se venger, d’une quelconque manière. Se venger de la personne qui lui avait arraché l’une des personnes qu’elle aimait le plus au monde, se venger de la faire autant souffrir rien qu’à l’énoncer de sa mère, sa maman. Se venger pour tout simplement passer à autre chose et vivre de nouveau.
Alors elle était là à tuer du regard une affaire non-résolue, son coude sur son bureau et son poing férocement serré contre sa joue. Elle serra les dents et rouvrit le dossier mais les paroles de son père la percutèrent de plein fouet.
« Katie, il faut que tu arrêtes. Tu vas te tuer si tu continues. »
Elle savait qu’il avait raison et elle n’avait aucune excuse pour le contredire. Elle était fatiguée, elle n’avait pas dormis depuis plus de trois jours, n’avait mangé qu’une barre chocolatée de la journée, lisant le dossier du matin jusqu’au soir, non-stop. Et pour finir, l’enquête n’avançait en rien, aucune piste, aucun témoin, aucun indice. Rien, nada.
Les larmes lui montèrent aux yeux puis finirent par couler sur son doux visage. Elle les chassa rageusement d’un revers de main mais bientôt d’autres suivirent les premières. Elle éclata en sanglot faisant secouer ses épaules. Elle cacha son visage dans ses mains, honteuse d’être soudainement aussi faible.
Lentement elle se leva, regarda longuement le dossier au sol et le prit d’une main tremblante.
Elle rentra dans une pièce, prit un carton et mit le dossier dedans. Elle rangea la boîte d’une main tremblotante.
« Affaire classée, renifla-t-elle. Pour l’instant... »
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le livre de Richard Castle en se fermant. Elle venait de découvrir cet écrivain et elle était déjà fan. Elle soupira et ferma les yeux. Cela faisait à peine quelques mois qu’elle avait apprit pour le meurtre de sa mère et c’était très dur. Son père était dévasté, anéantit. Il buvait beaucoup, elle le lui disait mais il lui répondait toujours en souriant et en lui disant de ne pas s’inquiéter, qu’il savait s’arrêter. Elle savait que c’était faux mais, elle n’y pouvait rien.
Son père ne s’en remettait pas mais elle oui, petit à petit. Grâce aux livres de cet auteur qu’elle aimait déjà beaucoup. En quelque sorte, il la sauvait. Oui, car dans ses livres les enquêtes étaient souvent inclassables et tellement difficile qu’elle se disait qu’un jour, elle retrouverait le tueur de sa mère.
Elle le remercia silencieusement en regardant la couverture. Merci de la sauver avec de simples mots, une centaine de pages, une écriture si particulière.
Merci à Richard Castle d'exister.
Boum...
C'est le bruit que faisait la musique dans ses oreilles. Elle était caché derrière un pilier et observait de loin Richard Castle. Elle devait lui demander de la suivre jusqu'au poste mais le fait de se dire qu'elle allait lui parler. Elle dût secouer la tête pour remettre ses idées en place et adopter un comportement neutre auprès de lui. Même si, intérieurement, elle se retenait de lui demander un autographe et de lui sauter au cou.
Boum...
C’est le bruit que faisait le marqueur pour le tableau en tombant au sol. Elle le ramassa et soupira. Oui, aujourd’hui était une mauvaise journée. Une très mauvaise journée.
Ce matin en se levant de sa chaise, elle percuta Castle qui l’arrosa de café. Elle avait alors penché la tête vers son chemisier, qui était devenue transparent, et soupira. Elle releva la tête vers Castle qui regardait la tâche et donc regardait sa poitrine.
Et maintenant, elle faisait tomber son marqueur pour la quatrième fois en mois de cinq minutes.
Boum...
C’est le bruit que faisait Castle lorsqu’il frappait à sa porte. Et de la façon dont il toquait, elle savait que c’était lui avant de lui ouvrir la porte. Et comme à chaque fois, elle souriait comme une idiote.
Mais elle se reprenait toujours avant de lui ouvrir et prenait un air surpris.
Et à chaque fois, ça marchais.
Il venait souvent chez elle pour prendre de ses nouvelles le week-end ou tout simplement pour lui parler de l’enquête mais Kate ne savait pas une chose : il était tellement content d’aller la voir, qu’avant de frapper à sa porte, il soufflait un bon coup et se disait mentalement qu’il fallait qu’il se calme. On aurait pu le prendre pour un adolescent allant chercher sa cavalière pour le balle de fin d’année.
Et il avait le même comportement à chaque fois.
Boum...
C'est le bruit qu'avait fait son appartement en explosant. Lorsqu'elle se jeta dans sa baignoire pour se protéger, elle avait l'impression d'entendre chaque instants la mise en garde du meurtrier. Puis plus tard, les adieux du tueur résonnèrent dans sa tête, comme un écho.
Boum...
C'est le bruit qu'avait la porte de son appartement sous les coups d'épaules de Castle. La porte finit par céder et Castle se retrouva par terre. Il parcourra l'appartement en enjambant des débris et des planches calcinés. Il ne s'arrêtait pas de l'appeler, inquiet. Mais seul un toussotement lui répondit. Il se dirigea vers la provenance de ce son. Il la trouva dans sa baignoire... Complètement nue. D'ailleurs, il en profita.
Boum...
Boum...
C’est le bruit que faisait son cœur, chaque les secondes, lorsque Richard Castle, grand romancier à succès et son coéquipier, posa pour la première fois ses lèvres sur celles de la jeune femme.
Bonne lecture
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Boum
Boum...
C’est le bruit que faisaient les tambourins dans la rue, lors des défilés ou des carnavals. Faisant briller les yeux des enfants. Briller de joie et d’excitation. Et rendait leurs parents heureux. Heureux de les voir si enthousiaste.
Elle tira le bras de son père, lui demandant à tout bout de chants de regarder où elle voulait. Son père la prit dans ses bras et la souleva dans les airs sous les grands éclats de dire de sa petite fille. Sa mère les voyant faire, sourit.
Elle s’agrippa au cou de son père et elle lui demanda si elle pouvait avoir les mêmes instruments à Noël ou à son anniversaire.
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le corps d’une femme en tombant dans une ruelle sombre, isolée et humide. L’homme ne savait pas qu’il venait d’arracher la vie à une mère et à une épouse. Il ne savait pas que ses proches allaient être dévastés. Il ne savait pas que sa jeune fille, Kate Beckett, allait changer et devenir un redoutable lieutenant de police, juste pour le retrouver et faire enfin vengeance. Il ne savait pas qu’il allait faire plonger le mari dans l’alcool et que se serait sa propre fille qui allait l’en sortir. Il ne savait pas non plus que sa fille allait attacher l’alliance de sa mère autour de son cou pour se rappeler que chaque jour compte.
Alors, Dick Coonan s’en alla d’un pas rassuré de cette ruelle, ne sachant pas qu’un jour, il se retrouvait avec une balle dans l’abdomen et au dessus de lui, une Kate Beckett le suppliant de revenir pour savoir qui l’avait engagé.
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le dossier sur le meurtre de sa mère en tombant violement à terre. Elle foudroya du regard le dossier. Cette affaire lui bouffait toute son énergie mais elle ne devait pas abandonner. Elle devait se venger, d’une quelconque manière. Se venger de la personne qui lui avait arraché l’une des personnes qu’elle aimait le plus au monde, se venger de la faire autant souffrir rien qu’à l’énoncer de sa mère, sa maman. Se venger pour tout simplement passer à autre chose et vivre de nouveau.
Alors elle était là à tuer du regard une affaire non-résolue, son coude sur son bureau et son poing férocement serré contre sa joue. Elle serra les dents et rouvrit le dossier mais les paroles de son père la percutèrent de plein fouet.
« Katie, il faut que tu arrêtes. Tu vas te tuer si tu continues. »
Elle savait qu’il avait raison et elle n’avait aucune excuse pour le contredire. Elle était fatiguée, elle n’avait pas dormis depuis plus de trois jours, n’avait mangé qu’une barre chocolatée de la journée, lisant le dossier du matin jusqu’au soir, non-stop. Et pour finir, l’enquête n’avançait en rien, aucune piste, aucun témoin, aucun indice. Rien, nada.
Les larmes lui montèrent aux yeux puis finirent par couler sur son doux visage. Elle les chassa rageusement d’un revers de main mais bientôt d’autres suivirent les premières. Elle éclata en sanglot faisant secouer ses épaules. Elle cacha son visage dans ses mains, honteuse d’être soudainement aussi faible.
Lentement elle se leva, regarda longuement le dossier au sol et le prit d’une main tremblante.
Elle rentra dans une pièce, prit un carton et mit le dossier dedans. Elle rangea la boîte d’une main tremblotante.
« Affaire classée, renifla-t-elle. Pour l’instant... »
Boum...
C’est le bruit qu’avait fait le livre de Richard Castle en se fermant. Elle venait de découvrir cet écrivain et elle était déjà fan. Elle soupira et ferma les yeux. Cela faisait à peine quelques mois qu’elle avait apprit pour le meurtre de sa mère et c’était très dur. Son père était dévasté, anéantit. Il buvait beaucoup, elle le lui disait mais il lui répondait toujours en souriant et en lui disant de ne pas s’inquiéter, qu’il savait s’arrêter. Elle savait que c’était faux mais, elle n’y pouvait rien.
Son père ne s’en remettait pas mais elle oui, petit à petit. Grâce aux livres de cet auteur qu’elle aimait déjà beaucoup. En quelque sorte, il la sauvait. Oui, car dans ses livres les enquêtes étaient souvent inclassables et tellement difficile qu’elle se disait qu’un jour, elle retrouverait le tueur de sa mère.
Elle le remercia silencieusement en regardant la couverture. Merci de la sauver avec de simples mots, une centaine de pages, une écriture si particulière.
Merci à Richard Castle d'exister.
Boum...
C'est le bruit que faisait la musique dans ses oreilles. Elle était caché derrière un pilier et observait de loin Richard Castle. Elle devait lui demander de la suivre jusqu'au poste mais le fait de se dire qu'elle allait lui parler. Elle dût secouer la tête pour remettre ses idées en place et adopter un comportement neutre auprès de lui. Même si, intérieurement, elle se retenait de lui demander un autographe et de lui sauter au cou.
Boum...
C’est le bruit que faisait le marqueur pour le tableau en tombant au sol. Elle le ramassa et soupira. Oui, aujourd’hui était une mauvaise journée. Une très mauvaise journée.
Ce matin en se levant de sa chaise, elle percuta Castle qui l’arrosa de café. Elle avait alors penché la tête vers son chemisier, qui était devenue transparent, et soupira. Elle releva la tête vers Castle qui regardait la tâche et donc regardait sa poitrine.
Et maintenant, elle faisait tomber son marqueur pour la quatrième fois en mois de cinq minutes.
Boum...
C’est le bruit que faisait Castle lorsqu’il frappait à sa porte. Et de la façon dont il toquait, elle savait que c’était lui avant de lui ouvrir la porte. Et comme à chaque fois, elle souriait comme une idiote.
Mais elle se reprenait toujours avant de lui ouvrir et prenait un air surpris.
Et à chaque fois, ça marchais.
Il venait souvent chez elle pour prendre de ses nouvelles le week-end ou tout simplement pour lui parler de l’enquête mais Kate ne savait pas une chose : il était tellement content d’aller la voir, qu’avant de frapper à sa porte, il soufflait un bon coup et se disait mentalement qu’il fallait qu’il se calme. On aurait pu le prendre pour un adolescent allant chercher sa cavalière pour le balle de fin d’année.
Et il avait le même comportement à chaque fois.
Boum...
C'est le bruit qu'avait fait son appartement en explosant. Lorsqu'elle se jeta dans sa baignoire pour se protéger, elle avait l'impression d'entendre chaque instants la mise en garde du meurtrier. Puis plus tard, les adieux du tueur résonnèrent dans sa tête, comme un écho.
Boum...
C'est le bruit qu'avait la porte de son appartement sous les coups d'épaules de Castle. La porte finit par céder et Castle se retrouva par terre. Il parcourra l'appartement en enjambant des débris et des planches calcinés. Il ne s'arrêtait pas de l'appeler, inquiet. Mais seul un toussotement lui répondit. Il se dirigea vers la provenance de ce son. Il la trouva dans sa baignoire... Complètement nue. D'ailleurs, il en profita.
Boum...
- Spoiler:
- C'est le bruit qu'avait fait la porte d'un appartement inconnu, défoncée par le lieutenant Beckett. Lieutenant Beckett certes, mais une lieutenant Beckett très inquiète. Oui car Castle avait été prit en otage par 3xk et était maintenant ligoté à une chaise avec le lieutenant Ryan à terre, légèrement sonné par le coup qu'il avait reçut. Elle soupira de soulagement en voyant que tout allait bien ou presque car Castle culpabilisait de ne pas avoir pu arrêter le meurtrier. Il s'en voulait terriblement. Tellement que lorsqu'elle le vit assit sur un banc plonger dans un profond mutisme qu'elle décida d'inverser les rôles en lui apportant un café.
Pour toute réponse, il lui sourit faiblement et elle le poussa à parler. Il se confia à elle en toute sincérité mais dû s'arrêter en sentant la culpabilité refaire surface. Elle mit alors une main sur son genou, disant qu'elle comprenait ce qu'il ressentait. Son cœur cogna fort dans sa poitrine lorsqu'il entremêla ses doigts aux siens, lui disant que lui aussi comprenait.
Ils ne se parlaient pas, les gestes parlaient pour eux.
Boum...
C’est le bruit que faisait son cœur, chaque les secondes, lorsque Richard Castle, grand romancier à succès et son coéquipier, posa pour la première fois ses lèvres sur celles de la jeune femme.
Nono2b- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick Jane et Teresa Lisbon
Loisirs : Terminale L, l'assommoir rime avec passoire
Localisation : Au bout de ma plume.
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