The Real Victory ^

Bonsoir tout le monde !
Voilà un petit OS sans prétention aucune et qui, j'espère, vous plaira
C'est pas forcement très joyeux et je tiens à dire que je suis désolée si j'ai "copié" involontairement quelqu'un car je suis persuadée que le sujet à déjà été mainte fois abordé
Comme d'habitude, désolée pour les petites fautes qui peuvent m'échapper
Bonne lecture

The Real Victory

Jane : Je vous déteste pour m’avoir fait ça ! Vous n’aviez aucun droit de le faire !
Lisbon : Pardon ?! Je n’avais aucun droit de vous empêchez de tuer quelqu’un ?!
Jane : Ce n’était pas juste quelqu’un. C’était lui. C’était l’homme qui à détruit ma vie et vous m’avez empêchez de lui détruire la sienne.
Lisbon : Je l’ai fait pour vous, maintenant il est mort, il ne tuera plus personne et vous vous ne pensez qu’au fait que ce ne soit pas vous qui ayez appuyé sur la gâchette ?!
Jane : C’était mon unique but dans la vie et vous me l’avez retirez. Je me battais uniquement pour ce jour. Vous le saviez. Vous saviez que c’était important pour moi et vous ne m’avez pas laissez faire.
Lisbon : C’était pour votre bien Jane. Et ça aussi vous le savez.
Jane : Jamais je ne vous le pardonnerais.

Une gifle. Simple. Cinglante. Attendue. Ce mouvement de colère et d’une rapidité époustouflante était dirigé contre Jane. Et la propriétaire de la main fatale n’était autre que Lisbon. Aujourd’hui, ils avaient passés tous les deux une journée absolument horrible. C’était un jour redouté par tous et en particulier eux deux car ils savaient que le moment où ils retrouveraient John Le Rouge, ni elle ni lui n’arriveraient à se contrôler. Il avait essayé de tirer mais elle l’avait fait avant lui. Elle ne voulait pas le voir aller en prison. Et même si elle avait fait son devoir, que ce tir était juste et justifié, la colère qu’elle ressentait envers Jane était immense. Il avait tout fait pour la mettre à l’écart, pour qu’il puisse accomplir seul son dessin. Mais elle s’était juré qu’elle ne le laisserait jamais tout seul à ce moment là, que lorsque John Le Rouge serait retrouvé elle serait là pour le protéger du tueur et surtout de lui-même.

Le pire n’avait pas été de tuer John Le Rouge. Loin de là. Lorsque la balle était sortit de l’arme de Lisbon, suivant son inexorable course jusqu’à la poitrine du tueur au smiley, elle crut voir son consultant s’effondrer de l’intérieur. Il avait hurlé. D’un cri si profondément enfouit en lui que Lisbon en eut des frissons. Cela lui faisait tellement mal de le voir ainsi. Sa souffrance était visible et quand il disait que tuer John Le Rouge était son seul but dans la vie, elle aurait eut tendance à le croire à ce moment là. Il s’était rué sur lui, l’assénant de coups rageurs. Il pleurait, ne cachant plus toute la haine qu’il éprouvait envers cet homme et contre le monde entier pour lui avoir prit sa femme et sa petite fille. Lisbon le laissa faire. Cette scène était insupportable pour elle, elle aurait voulu le prendre dans ses bras pour le réconforter. Pour lui montrer qu’elle était là pour lui. Mais dès qu’elle fit un pas vers lui, il leva les yeux vers elle et ce qu’elle vit dans les yeux assombris de larmes de Jane lui fit extrêmement peur. Il semblait sur le point d’imploser et ses prunelles grises lançaient des éclairs. Fou de rage, il s’avança vers la jeune femme. Malgré elle, Lisbon recula de quelques pas, sentant toute la haine que Jane dégageait de son corps. Il la toisait durement du regard. Personne ne parlait et d’autres agents arrivèrent sur place, brisant ainsi quelque peu l’atmosphère tendue qui régnait. Alors Jane se retourna et partit à grandes enjambées en direction de la voiture de Lisbon. Il l’attendit à l’intérieur et Lisbon ne comprit pas tout de suite son geste. Pourquoi n’avait-il pas fuit ? Pourquoi vouloir l’affronter alors qu’il était si facile pour lui de partir loin d’elle ? Elle monta à son tour dans le SUV et regarda son ami meurtri. Il voulait parler. A cet instant, il était facile de lire en Patrick Jane.

Ils se dirigèrent vers la plage, silencieux et anxieux, attendant avec appréhension ce qui allait se produire. Arrivés au bord de l’eau, il fit volte-face vers Lisbon et explosa.
Mais elle s’y attendait et elle s’était promis de tenir bon devant lui alors cette gifle partit. Il fallait qu’elle lui tienne tête à lui et à sa colère.

Lisbon : Je vous interdis de dire que c’était la seule chose qui vous raccrochait à la vie.
Jane : Vous n’avez absolument rien à m’interdire Lisbon ! Ce n’est pas à vous d’être en colère mais à moi !
Lisbon : Sale égoïste ! Comme si vous deviez être le seul à détester ce monstre ! Est-ce que vous vous imaginez la peine que cela m’a fais de vous voir comme ça !?

Jane resta silencieux quelques secondes, baissant les yeux, essayant de comprendre les paroles qu’elle prononçait. Mais c’était peine perdue, ses pensées étaient complètement brouillées et il ne voyait pas pourquoi elle disait ça. Il se rapprocha alors dangereusement d’elle, plongeant son regard glacé dans le sien.

Jane : Et vous ? Vous vous imaginez ce que cela m’a fais ? Non je ne crois pas. Vous ne pouvez même pas concevoir le besoin que j’avais de le tuer. C’était vital pour moi Lisbon. J’avais besoin d’achever sa vie. Toute la tristesse… Le chagrin et la haine que j’ai… Tout ça aurait dut partir en même temps que lui et à cause de vous c’est toujours là.

Il recommençait à pleurer. Les larmes qui inondaient son visage le rendaient méconnaissable. Il se tourna vers l’océan, laissant Lisbon abattue par ce qu’elle voyait. Elle avait pourtant prié pour que ce moment n’arrive jamais. L’instant où elle le verrait sous ce jour, cette facette qu’elle savait existante mais qu’elle aurait préféré ignorer pour le reste de sa vie.

Elle fit un pas vers lui mais s’arrêta lorsqu’il ouvrit la bouche pour prononcer des paroles qu’elle redoutait beaucoup.

Jane : Qu’est-ce que je vais faire maintenant…

Ce fut au tour de Lisbon de laisser son chagrin l’envahir. Des larmes perlèrent sur son visage triste. Il se retourna vers elle et eut un instant de remord. Mais juste un instant car immédiatement sa colère réapparue.

Jane : Je vous en prie Lisbon… Je n’ai pas besoin de votre pitié. Vous avez fait vos choix alors assumez bon sang !
Lisbon : Quoi !? Je n’y crois pas ! Vous croyez que c’est de la pitié ce que je ressens là, maintenant ? Vous n’êtes qu’un imbécile Jane ! Je ne mérite pas que vous me fassiez souffrir comme vous le faîtes. Vous ne comprenez pas… Vous n’avez jamais compris et j’ai l’impression que vous ne comprendrez jamais. J’ai voulu vous protéger. De lui et de vous-même. Parce que vous vous faîtes du mal et à moi aussi par la même occasion. Vous me faîtes peur. C’est terrifiant de vous voir ainsi.

Elle reprenait son souffle. Elle s’assit sur le sable et se recroquevilla sur elle-même, entourant de ses bras ses genoux.

Lisbon : Je veux que ça s’arrête Jane…

Il était resté debout, cherchant un sens à tout ce qu’elle venait de dire. Mais elle avait raison, il fallait que tout cela s’arrête, même s’il ignorait comment. Il resta silencieux, incapable de répondre quoique se soit.

Soudain Lisbon eut une idée. Elle se leva et se mit en face de Jane.

Lisbon : Frappez-moi.
Jane : Je vous demande pardon ?
Lisbon : Allez-y, frappez-moi.
Jane : Vous dîtes n’importe quoi Lisbon.
Lisbon : Je ne plaisante pas Jane. Et puis je suis sûre que cette idée vous a déjà traversée l’esprit.
Jane : Je n’ai jamais pensé à vous faire du mal ainsi.
Lisbon : Ah oui c’est vrai ! Vous, vous préférez me faire du mal moralement. Autant pour moi.
Jane : Comme si je l’avais choisi !
Lisbon : Bien sûr que vous l’avez choisi ! Vous avez dû y penser, au moins une fois dans votre triste vie, au mal que vous pourriez me faire. Vous êtes un lâche monsieur Jane ! Un lâche doublé d’un pauvre égoïste qui ne réalise même pas le mal qu’il fait autour de lui !

S’en était trop pour Jane. Une vague de chaleur déferla en lui et sans pouvoir se contrôler, il se saisit de Lisbon par les épaules et l’allongea brutalement sur le sol. Il était sur elle et l’a maintenait immobile. Mais en voyant ses deux émeraude effrayés, Jane compris soudain. Il ferma les yeux, lâcha sa prise sur la jeune femme et posa sa tête douloureuse sur l’épaule de Lisbon. Il ouvrit la bouche et un son indescriptible en sortit. Il hurla de tout son cœur, exprimant comme il le pouvait les émotions qu’il avait en lui.

Jane : Je… Je suis désolé…

Ses pleurs redoublèrent d’intensité. Il avait honte, tellement honte de lui. Encore plus qu’auparavant. Ce sentiment de culpabilité qui le rongeait de l’intérieur depuis tant d’années faisait surface violemment et il aurait voulu mourir en cet instant. Il se disait que finalement tout ces gens auraient été bien mieux sans lui. Que s’il n’avait pas existé, rien de tout cela ne se serait produit. Il voulu se relever et partir loin, très loin de cette merveilleuse femme qui avait tant fait pour lui. A présent il n’était plus en colère contre elle mais contre lui-même. Il réalisait petit à petit toute la douleur qu’il lui avait infligé, la souffrance qu’elle avait ressenti en le voyant ainsi, le chagrin qu’elle avait éprouvé pendant toutes ces années à ces côtés. Il ne pensait pas qu’en ce jour il aurait pu se sentir de plus en plus mal.

Mais alors qu’il se redressait, les mains de Lisbon l’entourèrent étroitement. Elle serra ses bras autour de ses épaules, lui intimant ainsi de rester près d’elle. Sauf qu’il ne voulait pas, il n’était pas calmé et il ne voulait plus lui faire du mal. Il résista à son étreinte et se leva finalement. Une fois debout il l’a regarda pour ce qu’il pensait être la dernière fois et se mit à courir le plus vite qu’il pouvait. Sous le choc, Lisbon mit du temps à réagir mais se leva à son tour et se mit à sa poursuite. Ca ne pouvait pas finir comme cela. Pas de cette façon. Elle lui hurlait dessus, l’implorant de revenir. Il ne se retourna pas vers elle, courant de plus en plus vite loin de la jeune femme. Mais Lisbon ne mit pas de temps à le rattraper.

Elle se jeta sur lui, lui imposant tout son poids. Il s’effondra de tout son long, la jeune femme le retourna et s’assit sur lui. Elle le regarda avec incompréhension. Il paraissait si fragile, si petit sous elle. Il avait caché son visage de ses mains, n’osant pas croiser son regard.

Lisbon : Regardez-moi Jane.
Jane : Je ne peux pas.
Lisbon : Jane…
Jane : Non je vous assure, je ne peux pas : j’ai du sable plein les yeux à cause de vous.

Elle ne put s’empêcher d’émettre un rire. Un rire doux et sincère. Et Jane ne put retenir un sourire en entendant ce son. L’entendre rire était certainement la plus belle chose qu’il lui était arrivé aujourd’hui. Lisbon le regarda à nouveau, soudain emplie de tendresse pour cet homme. Elle prit les mains tremblantes de Jane dans les siennes pour voir son visage. Il paraissait tellement blessé par la vie, tellement fébrile face au monde qui s’acharnait sur lui. Elle voulait que cette douleur disparaisse, elle voulait l’aimer et lui donner tout ce qu’elle possédait de bon en elle pour qu’il se rende compte à quel point il avait tord quand il croyait que l’univers entier le détestait.

Alors elle se pencha vers lui et déposa sur les lèvres salées de larmes de Jane un baiser plein de douceur. Elle sentit sa surprise et sa respiration se bloquer. Il resta quelques instants immobile, ne comprenant pas. Puis il sentit dans tout son être, à travers chaque partie de son corps affaibli, tout ce qu’elle lui donnait par ce geste. Son cœur s’arrêta de battre quelques instants pour ensuite commencer une folle danse dans sa poitrine. Il détacha ses mains encore entrelacées dans celle de Lisbon pour se saisir de son visage et l’embrassa à pleine bouche. Tous les sentiments forts qu’il avait éprouvé cette journée, il les déversa en elle. Comme si elle avait toujours été là pour ça, dans ce but précis. Elle était son catalyseur, celle qui avait pour rôle de le soutenir dans son malheur et de prendre en elle toute sa peine. Il l’embrassa passionnément, ne pouvant se détacher d’elle, réalisant l’importance qu’avait cette femme dans sa vie. Il ne voulait plus réfléchir, ne plus penser à cette journée, juste profiter de ce moment à part. Mais il s’éloigna d’elle et posa son front contre son menton. Lisbon pouvait sentir la douceur de ses cheveux, les caresser à volonté, comme s’ils étaient aussi précieux que leur propriétaires. Après quelques minutes de silence, Lisbon fit remonter son visage vers le sien et le regarda droit dans les yeux. Il paraissait déboussolé, plus perdu que jamais. Elle nicha alors sa tête dans le creux de son cou et le serra fort dans ses bras. Il se laissa faire, essayant de capter la moindre parcelle de chaleur qu’elle lui donnait.

Jane : Pardon… Je vous demande pardon pour tout ce que je vous ai dit.
Lisbon : Je sais Jane, je sais qu’aujourd’hui c’était probablement l’un des pires jours de votre vie et je me devais d’être là pour vous. Il fallait que vous explosiez.
Jane : Oui mais je vous ai fais du mal, encore…
Lisbon : Vous savez, on dit qu’il faut parfois souffrir avec ceux qu’on aime, les aider à porter leur chagrin… C’est ce que j’ai fais et je le referais sans hésiter.

Il resserra son étreinte contre elle en entendant ces mots. Il aurait tellement voulu pouvoir lui dire merci assez fort pour qu’elle réalise ce qu’elle venait de faire pour lui. Il n’aurait jamais eut assez de voix ni de force pour le faire. Alors il se laissa aller dans ces bras si rassurant, se disant que maintenant, toute de suite, elle était la seule chose qui comptait pour lui.

Et pourtant il savait. Il était persuadé qu’il n’arriverait jamais à surmonter tout ça, que cette haine de lui-même et contre cet homme cruel était quelque part son moteur, sa source d’énergie pour se lever le matin. Etre débarrassé de ce poids, il n’avait fait que l’imaginer. La sensation qu’il éprouvait en ce moment était loin de ce qu’on pourrait appeler du soulagement. Mais il espérait de tout cœur, de toute son âme blessée par la vie, que la femme qu’il tenait dans ses bras allait rester avec lui. Elle et son corps, elle et son humour, elle et sa vision si particulière des choses. Elle était là, tout près de lui et sentir son cœur battre si près du sien le fit sourire. Il réalisait enfin la chance qu’il avait et se dit qu’après tout, même s’il n’avait pas vaincu lui-même son ennemi, c’était elle, sa victoire.

THE END

C'est Juste Sublime
Ça pourrait être une fin admirable car ca reste dans l'esprit de la série ! Bravo et Merci

C'est vrai que c'est pas très joyeux mais c'est cela qui fait que ton OS est très réaliste et j'adooore !

( Franchement une fin comme ça j'en rêve . . . )

Ohlalalalalalalalala!!! Cet OS est MA-GNI-FI-QUE !!!

Je ne trouve pas les mots tellement c'est...
Trop beau ... trop romantique ... trop émouvant ...trop JISBON
Que t'as même réussi à me faire pleurer du début à la fin

C'est sublimement bien écrit Aphraël !!
Je dis vraiment... RESPECT!!!

BRAVO BRAVO !!!

que dire d'autre que
c'est superbement écrit c'est dur, violent...tendre

Love-Story: Merci beaucoup c'est vrai que moi aussi c'est le genre de sénario que j'imagine bien pour la fin de la série Contente que tu ais trouvé ça réaliste, c'est un compliment qui me fait très plaisir

JA: J'aime toujours autant tes commentaires JA, c'est toujours très coloré Mais je voulais pas te faire pleurer Le prochain sera plus drôle ou plus , promis Merci beaucoup en tout cas

Johel: Merci beaucoup Johel, ton commentaire me fait très plaisir J'avais peur de faire trop dur justement C'est gentil en tout cas

magnifique tout simplement j'adore

Ça a l'air si réaliste si beau... C'est tendre, dure a la fois ... J'en ai les larmes aux yeux !! Tu as du talent!

Ah j'ai une question: quelle est la musique jouée au piano par la mère et la fille de Ptrick Jane ?


Galway Girl, rien que pour toi.

C'est vraiment magnifique
Sûrement un des plus beaux os que j'ai pu lire sur la mort de RJ
C'est superbement bien écrit et plein d'émotions, du rire aux larmes, franchement chapeau

D'accord avec tout se que les autres on dit !!
Je verrais bien cette fin pour la série :) !!
Ton Os est MAGNIFIQUE!!!
:)

Aphraël a écrit:JA: J'aime toujours autant tes commentaires JA, c'est toujours très coloré Mais je voulais pas te faire pleurer Le prochain sera plus drôle ou plus , promis Merci beaucoup en tout cas

Mais derien , tu le mérites
Vraiment RESPECT pour ton OS
Oui, je sais. Je suis très fantaisiste et enthousiaste (non, je ne suis pas une hippie ) Je sais que tu ne voulais pas me faire pleurer mais désolée, je suis super émotive
Prochain OS drôle et , j'ai hâte j'ai hâte
Ca se déroulera où ... Salle de bain ? Douche ? Ascenseur ? Cuisine ? Y aura les menottes ?
(Grosse perverse mais fière de l'être )

Vivement ton prochain OS

la musique c'est Bach prelude in C major

Les réponses à vos commentaires sont dans le spoiler

Spoiler:

Merci encore Vous êtes toutes très gentilles de me dire ça

Je ne trouve pas les mots pour te dire à quel point c'est ... Magnifique ? Extra ? Sublime ? Bien plus que ça . Ce que tu as fait est génial !!!!!!!!! Wahou !!!!! Et j'ai adoré la petite touche d'humour :

Lisbon : Regardez-moi Jane.
Jane : Je ne peux pas.
Lisbon : Jane…
Jane : Non je vous assure, je ne peux pas : j’ai du sable plein les yeux à cause de vous.

Le reste est très touchant, réaliste et si jisbon !!!!!!!
Merci beaucoup.

Aphraël a écrit:JA: C'est vraiment très gentil de me dire ça Et je me doutais que l'annonce d'un OS un peu hot te ferais Mais je te laisse la surprise

Mais je t'en prie
Ah! Tu ne serais pas un peu mentaliste ?

Arrrhhhh! C'est sadique ça
Mais j'ai hâte j'ai hâte de connaître la surprise

T'en fais pas ma JA, tu sera la première au courant

Merci beaucoup kifette Je me sens très 'Lisbon' quand je vois à quel point vos commentaires me font rougir Et ça me fais plaisir que tu ais remarqué la touche d'humour que j'ai essayé de mettre Et Dieu sait si je ne me suis pas creuser la tête sur ce passage Vraiment merci

Ton OS est magique!! Elle est magnifiquement écrite, on ressent toutes les émotions avec profondeur. Je ne l'ai pas lu je l'ai consommé et j'en ai savouré chaque ligne. Merci pour ce très beau passage.

Aphraël a écrit:T'en fais pas ma JA, tu sera la première au courant

Ah! Merci c'est gentil Vivement :vivement: :vivement:
Puis tu seras aussi la première informée quand mon 1er OS sera en ligne

Il est magnifique cet OS

Un très bon OS, très bien écrit tout en douceur, en subtilité. Tu ne vas pas dans la niaiserie, tu écris avec justesse les émotions de Jane et Lisbon sans tomber dans le mélo.

Moi qui ait décroché un peu des fics, je suis contente d'avoir lu ton OS qui est un peu bonheur de lecture.

Les réponses à vos com's dans le spoiler
Vous avez certainement dû noter que je radote énormement Sachez que c'est pire en vrai

Spoiler:

Encore merci pour tout vos compliments, ca me va droit au coeur

Aphraël a écrit:JA: J'ai trop hâte de voir ça

Mais malheureusement, je ne pense pas de pouvoir le faire car j'ai essayé de le faire 2 fois avec 2 trucs différents depuis hier mais je voue à l'échec
Les OS ce n'est vraiment pas pour moi

MAGNIFIQUE

j'étais tout le long.

Trop beau, j'adore toujours comme tu écris

JA: Courage ! Je suis sûre que tu peux y arriver, y a pas de raison

Chizuru300: C'est trop gentil ma connexion Je comprends toujours pas comment il se fait que nous ayons souvent les même idées en même temps mais j'ai trop hâte de lire ta song-fic en tout cas Contente que l'inspiration te soit revenue Et merci beaucoup pour ta critique, ça m'aide à améliorer mon écriture

alamanga: Merci beaucoup 'manga Je suis contente que ça t'ai plu et j'espère ne pas t'avoir fait pleurer Ton compliment me va droit au coeur