Red John's victory^

Coucou tous le monde  
Je sais que j'ai déjà une fanfiction en cours: un fiancer trop parfait.
Mais l'histoire tourne autour du pot et devient un peu n'importe quoi, d'après moi. Bref, je me lance dans cette fanfiction qui est un tout nouveau style d'écriture.
Je ne sais pas si il y auras du jisbon....
Un type de fanfiction beaucoup plus sombre tourné sur    et sur les enquêtes.

La Fiche:

Titre: Red John's victory (la victoire de John Le Rouge)
Genre: Policier, suspens, drame, humour (un tout petit peu) et peut être de la romance...
Rating: ???
Les images: Les images sont la propriété de Google Image.
Personnages: Jane, Lisbon, Red John, la team, Bertram en chef du CBI et d'autre personnage sortie de mon imagination.
Résumé: Lors d'une enquête sur John Le Rouge et d'un moment de faiblesse Jane et Lisbon s'embrasse mais tout tourne mal et Teresa se rend compte qu'elle n'est pas en sécurité et surtout pas à Sacramento car l'ombre de Red John plane toujours...
Discriminer: Cette série ne m'appartient pas (dommage...   ) les personnages sont à Bruno Heller sauf ceux tirer de mon imagination.

MaTessaJane pour la correction, l'idée du résumé de cette fanfiction et les textes coupés en paragraphe.

Chapitres:
-Chapitre 1 - Dans ce poste
-Chapitre 2 - ici
-Chapitre 3 - ici
-Chapitre 4 - ici
-Chapitre 5 - ici
-Chapitre 6 - ici
-Chapitre 7 - ici
-Chapitre 8 - ici
-Chapitre 9 - ici



Encore une enquête compliquée amené par Red John, et pas n’importe quelle enquête. Lisbon savait que celle-ci avait particulièrement touché Jane, car les victimes étaient une femme et sa petite fille. La petite, comme Charlotte, avait une longue chevelure blonde bouclée et ce parfum à la fraise si connu des enfants.

Pendant toute la durée de l’enquête Patrick était resté enfermé dans son grenier et il n’en était sorti que deux fois, la première pour parler au veuf en lui expliquant qu’il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour retrouver l’auteur de ce massacre, et la seconde fois pour élaborer son plan et attraper le meurtrier. Avec des aveux, évidement.

Une nouvelle enquête de bouclée, mais aucun indice sur John Le Rouge, Jane et Lisbon y avait cru une seconde en trouvant un minuscule cheveux brun sur la chemise de nuit de la victime, mais il s’était avéré que ce cheveux appartenait à son amant qu’elle avait viré de chez elle, pour vivre pleinement son amour avec son mari et rassuré sa petite fille.

Teresa senti les courbatures venir et elle se dit qu’une petite marche ne pourrait pas lui faire de mal, elle posa son stylo à bille et leva les yeux de ces rapports pour trouver tout les bureaux vides et éteint, sauf une petite lumière dans l’open-space de son équipe était resté allumé ce qui donnait une ambiance légèrement tamisé à la pièce.

En regardant dehors, la belle brunette vu un ciel noir encre sans étoile, une pluie fine tombait à l’extérieur et un bruit de klaxon interrompit sa rêverie. Elle se leva et sortie de son bureau dans l’espoir de faire disparaître ses courbatures et de trouver l’inspiration pour son rapport.

La fraicheur de la pièce la troubla mais elle se dirigea quand même vers le canapé de son consultant, le médium était allongé et observé du coin de l’œil la tache d’Elvis dans la pénombre du plafond.

« - Bonsoir Lisbon, la salua-t-il.
- Salut Jane.»

Ce fut leur seuls mots, il se releva et lui laissa une place à côté de lui, le silence
régnait. Pas de parole, aucun mot n’étaient nécessaire, seule les regards, un combat.

L’océan contre l’émeraude, deux personnes brisés par leur passé et par leurs vies.

Doucement, tendrement, il se rapprocha d’elle et posa ses lèvres sur les siennes.

Pour n’importe qui, ce simple geste aurait put sembler anodin, vu leur relation mais pour eux c’était tous simplement incroyable, extraordinaire voir plus.

Lisbon ressentit le besoin de ressentir plus et approfondit le baiser, mais au plus grand étonnement de la brunette, le jeune homme s’écarta et lui susurra un délicat pardon avant s’enfuir dans la nuit tel un voleur.
Les portes de l’ascenseur grincèrent et emmenèrent son cœur, cette boite de métal amena son amour de toujours.

Des larmes se formèrent au coin de ces yeux, mais Teresa étais une femme forte, non, elle ne pleurerait pas. Elle se leva et jeta un regard de dégout à ce rapport, où sur plusieurs lignes elle avait écrit les louanges de son consultant.

Elle se rassit mais ses pensées divaguèrent sur ce baiser. Il avait eu un gout de cerise, probablement venant de son dernier thé, et un léger gout de rose.

Elle grimaça en se souvenant de la manière dont l'avait sauvagement embrassé la sœur du veuf qui était censé remonter le moral de son frère et qui c’était retrouvé à filtrer puis à embrasser langoureusement un Patrick désemparé au milieu du Bureau Californien d’Investigation devant une quinzaine d’agents mort de rire et de son mari qui avait fait la tête sur le coup, mais qui c’était ressaisit.

Il fallait dire que madame DeRochetour était une femme sublime du genre qui a passé sa vie à se nourrir de jus de pamplemousse. Des formes parfaites, pas un kilo en trop et ses courbes mises exactement au bon endroit, une démarche féminine. Cette jeune femme était une séductrice invétérée, elle n’avait que vingt et un ans mais avait tout laissé tomber pour ce marier avec ce bourgeois radin de plus de soixante-dix ans. Le premier mot venant à la tête de Lisbon pour clarifier cette femme fut : folle.


Elle regarda péniblement son écran. Si elle avait pu, elle aurait remit tout ça au lendemain, mais son directeur, l’agent spécial Bertram, ne supportait pas les retards et des hurlements de la part de son patron était bien la dernière chose dont elle avait besoin en vu des circonstances.

Elle se rassit donc lourdement sur sa chaise de bureau et continua son travail non sans faire quelque allusion sur son maudit, magnifique, horrible, fantastique consultant (barrer les deux adjectifs inutile). Le rapport fini, elle se releva, se dirigea vers la porte, la ferma et se dirigea vers l’escalier. Oui pas l’ascenseur, pourquoi ? C’est très simple Lisbon a toujours eu la phobie de ces engins, avec d’autre personne ça ne lui pose pas de problème mais seule elle ne supportait pas de monter là dedans.

Arrivée à sa voiture complètement essoufflée (nda : tu m’étonnes après cinq étages !) elle monta dans sa voiture et, contrairement à ses plans pour la soirée, se dirigea vers son appartement et non vers un pub Irlandais choisi au hasard parmi tant d’autre dans les ruelles sombre de Sacramento.

Elle chercha pendant plus de dix minutes ses clés dans son sac à main et ne fut pas surprise de les retrouver dans le chargeur à moitié vide de son arme. Il faut dire que depuis ce fameux baiser, l’esprit de la belle était complètement embrouillé.

Arrivés dans l’entrée, elle posa son sac sur le sol, son manteau sur le porte manteau et son insigne, son arme et ses menottes dans un coffre où était réunit tous ce qui touchait de près ou de loin au CBI. Elle ne sut que faire, elle cette petite brunette seule au milieu de son grand salon rempli de quelque carton et de meuble clair qui n’avait pas été changé depuis des années. Même les tableaux venaient des anciens propriétaires.

Elle se servit un verre, mangea une part de pizza surgelée et s’assit sur son canapé beige devant son écran. Un film passait sur la première chaine, une sorte de comédie à l'eau de rose. Pas du tout mon genre, pensa-t-elle.

La fin arriva bien trop vite au gout de la jeune femme qui avait commencé à regarder le film alors qu’il en était déjà aux trois/quarts, l’histoire n’avait rien de très intéressant en soi Le coup classique.

L’homme qui trompe sa femme, elle sent rend compte et veut se donner la mort tellement elle est désespérée mais au dernier moment son mari arrivé lui dit qu’il voulait la rendre jalouse pour voir sa réaction et ils se remettent ensemble. Pas du tout original et complètement nul d’après la brunette mais bon, c’était fini et c’était le principal.

Elle monta une à une les marches mais arrivée à sa chambre sur le mur face à la porte un smiley dessiné avec du sang la nargue de son grand sourire sadique et ensanglanté…

............................................................................................................................
A suivre....? C'est comment ?  
ici

SUPER
La suite please

J'adore, c'est trop bien. On voie bien la relation entre Jane et Lisbon. C'est top.
A quand la suite ?
VLS !!!!

Non mais ! reviens ici tout de suite LOjisbonVE !! Tu as interêt à nous mettre la suite rapidement je te surveille !!

Vraiment bien j'adore ,C'est un super bon debut !
Stôplait, remet nous juste un tout piti peu de jisbon dans ta fic

Alors qu'une chose à dire : VLS

Oh lala, quel début, j'adore

VLS

Remerciement  :

 MaTessaJane pour la correction, l'idée du résumé de cette fanfiction et les textes coupés en paragraphe.




Sa première envie fut d'hurler, mais elle en était incapable tellement la frayeur s’infiltrait en elle. De léger picotements passèrent entre ses doigts, ses dents claquèrent et son visage devint tout à coup très pale, presque translucide. Son instinct de flic prit le dessus et elle posa sa main à sa ceinture mais étant chez elle, elle ne portait pas son arme.


Silencieusement elle s'approcha du visage et arrivée à sa hauteur, elle soupira en sentant l’odeur de sauce tomate s’en échapper. Mais ses frissons reprirent quand elle se rendit compte que l’homme était peut-être encore chez elle. Si c’était le cas, il se cachait et attendait patiemment qu’elle sorte de la pièce pour finir son travail. Ou n’était-ce juste une menace ? Elle ne saurait que dire, mais elle sortie tout de même silencieusement de la chambre et inspecta chaque pièce dans le plus grand silence.


Après son tour d’inspection, elle se rendit dans sa chambre et effaça ce visage qui l’a narguait, la tache finie, elle partit dans son salon et trouva une enveloppe brune sur la table. Elle aurait pu mettre sa main à couper que l’enveloppe n’étais pas là à son arrivée.


Elle s’assit en tremblant sur le canapé et ouvrit l’enveloppe de ses longs ongles manucuré en blanc, des dizaines de photos tombèrent sur ses genoux. Teresa les inspecta les une après les autres et ne vu que des photos d’elle, elle au bar d’un café, elle sur le terrain avec son arme à la main, elle sous la douche, elle dans son lit... La personne qui avait prit ses photos étais là en ce moment et la surveillaot, il était partout !


Des larmes se formèrent au coin de ses yeux et elle les laissa couler librement, Lisbon sorti péniblement son téléphone de la poche arrière de son jean et composa un numéro…

« - Allo ? Fit l’homme à l’autre bout du fil.

C’est Teresa Lisbon.
- Ha Teresa, j’attendais votre appel fit l’homme d’une voie rauque.
- Que me voulez-vous ?
- Votre mort... Fit l’homme inconnu en raccrochant le sourire aux lèvres. »

Son sang ne fit qu’un tour, son interlocuteur était John-Peter Parisse, plus connu sous le nom de : John Le Rouge. Il avait commencé à la contacter il y a environ trois mois et à présent il ne l’a lâchait plus, chaque soir une fois par semaine il l’appelait et lui demander des informations sur Jane et chaque fois elle refusait bien évidement.


Elle attendit face à son portable, Teresa n’avait pas eu le courage d’en parler à son équipe et surtout pas à Jane. Elle s’effondra sur son canapé et trembla. Elle avait peur, oui elle l’agent sénior Irlando-Américaine Teresa Lisbon ou Sainte Teresa par le passé. Celle qui avait passé sa vie à s’occuper des autres avant de s’occuper d’elle-même avait soudain très peur de son bien être et de ce que cette correspondance avec le tueur pourrait engendrer. Une seule solution s’offrait à elle, partir, partir pour toujours sans jamais revenir et ne jamais rien dire à personne.

Elle se doutait que les gens le devineraient (surtout Jane) mais quand il s’en rendra compte elle aurait déjà disparue à l’autre bout du pays. Elle ne se posa pas de question et son instinct rationnel lui disait de partir immédiatement. Seuls deux mots passaient en boucle dans sa tête : Partir et… Jane… Elle soupira et se rendit compte qu’il n’y avait aucune issus à son problème, c’était elle ou lui, et pour lui elle serait capable de tout...


Les vêtements éparpillé autour d’elle montrait sa confusion et ses larmes coulaient de plus belle quand ses yeux se posèrent sur l’objet de ses frissons, ce visage sombre au mille regards perçant qui la frigorifiait Dans sa tête tout se mélangeait, sauf ses songes… Le visage au milles regard encadré de bouclette blondes et étincelantes grâce à ses yeux d’un bleu azur passèrent devant son visage. Jane, Patrick, un consultant, un ami, un confident, ou plus ? Elle ne saurait que dire, Patrick Jane était tout pour elle, il était sa vie, son oxygène, il était son amo… Non, Jane n’était rien. Du moins essayait-elle de s’en convaincre.

A suivre !
Et moi je vais me planquais....      



Chapitre 3  

J'adore ta fic, elle est super bien . J'espère que Lisbon ne va pas faire une bêtise et qu'elle va aller voir Jane et l'équipe, si elle essaye de mener se "combat" (plutôt sa fuite mais je dis combat parce que ça va pas plaire à ) seule contre RJ on la retrouvera morte dans une ruelle . Il m'énerve se Jane, il embrasse Teresa et il s'enfuit quand elle veut approfondir le baisé, bon après je peux le comprendre un peu il se sent coupable de la mort de sa femme et sa fille mais si il savait qu'il était pas prêt pourquoi il l'a embrasser . Bon je me suis un peu emporter mais tu peux me comprendre mieux que personnes . J'ai hâte que tu postes la suite

OUah cette fic est comment dire... INTENSE Le retour de ne présage rien de bon, que ce soit pour la belle lisbon ou notre bon vieux Jane.. et le titre de ta fic confirme mon présentiment... si tu tue Jane ou Lisbon, je te tueeeeee
Et le petit moment Jisbon est trop mimi

Wahoo... Super suite
Ta fin nous donnes envie d'avoir la suite !
Lisbon va elle partir ?
Qui RJ va t-il tuer ? (car on imagine que vue le titre il y aura un mort)
Tout ça en supsens alors:

VLS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

remerciement  :

MaTessaJane pour la correction, l'idée du résumé de cette fanfiction et les textes coupés en paragraphe.

Voilà un nouveau (petit) chapitre  
Merci pour tout vos com's ça me fait super plaisir    




Chez Lisbon :

La première chose que je senti fut un mal de crâne carabiné. Je m’assis sur mon lit et posais mes pieds sur le sol. Une nausée monta, un frisson, un étourdissement. Je ne contrôlais plus mon corps ni mon cœur qui battait la chamade. Je ne me contrôlais plus et le pire c’est que je ne savais même pas pourquoi. Mon esprit se chamboulait, ma tête tournait et je ne sentis plus le sang coulait dans mes veines. Je m’évanouis, le teint blanc et les yeux injectés de sang. Je ne savais pas ce qui m’arrivait.

******************

Teresa referma d’un coup sec son livre. Elle avait mal et lire ses lignes qui ne lui rappelaien que trop bien son état était atroce. Elle ferma les yeux et compta lentement jusqu’à vingt. C’est quelque chose que par le passé faisait sa mère quand elle n’en pouvait plus de ses frères et elle.

Flash back :

Teresa courait dans l’escalier et arriva dans une petite cuisine ou une femme sublime à la peau clair, aux cheveux ébène et aux vert émeraude lui tournait le dos et préparait minutieusement le petit déjeuner. La petite fille de huit ans s’approcha de la jeune femme et l’observa lentement, complètement inconsciente que quatre ans plus tard sa vie aller basculer pour l’éternité...

La petite sauta sur le dos de sa mère qui en renversa le verre de jus d’orange qu’elle tenait dans sa main droite. Teresa Lisbon n’étais pas une petite fille qui laissait passer ses émotions mais avec sa mère tout changait, elle pouvait tout dire, tout raconter, tout expliquer. Elle pouvait lui parler. La mère souri et dit à sa fille d’une voie douce qu’elle était insupportable. La belle brunette rendi le sourire à sa mère d’un sourire ou dépassé deux petits trou, elle avait très récemment perdu ses dents deux petites canines nacré. La mère de la petite fille rie et lui demanda de mettre la table mais dès qu'elle attrapa les verres en disant à sa mère qu’elle pouvait tous les porté car elle était « grande » elle en fit tomber la moitié sur le sol qui s’éclatèrent dans un bruit fracassent. La femme poussa un petit cri et son premier réflexe fut de soulever sa fille car elle était pied nue sur le carrelage de la cuisine. Les morceaux de verre éparpiller un peu partout la jeune femme posa Teresa sur le plan de travaille et compta jusqu’à vingt en fermant ses beaux yeux vert.

« - Pourquoi tu compte maman ?
- Teresa… Tu sais parler ? On dit : pourquoi comptes-tu ?
- Pourquoi comptes-tu maman ?
- Parce que j’ai l’impression d’avoir cinq garçons dans cette maison.
- Mais… Je suis un fille » Fit la petite après une hésitation.
Sa mère sourit et lui dit qu’elle était la plus jolie petite princesse qu’elle est vue. Et pour nouer cette promesse secrète elle défit sa croix et la mit autours du cou de sa fille.
« - Ou que je sois, touche cette croix et je serais là »

Fin du flash back

Teresa porta ses mains sur sa croix et la serra du plus fort qu’elle le put.

« - J’ai besoin de toi maman, j’ai besoin de toi maman, j’ai besoin de toi maman, J’ai besoin de toi maman, j’ai besoin de toi maman, j’ai besoin de toi maman, j’ai besoin de toi maman… »

Des larmes silencieuses coulèrent aujourd’hui plus que n’importe quel jour elle avait besoin d’une mère, elle avait besoin de sa mère. Elle se leva et par pur automanisme se prépara. Une personne était peut-être morte et le dossier l’attendait sur son bureau. Si c’était le cas elle résoudrait cette enquête et après, seulement après elle s’occuperait de sa vie personnelle et comme pour nouer cette promesse elle toucha sa croix d’un geste solennelle.

Si elle avait écouté ce que lui disait son cœur qui lui criait de rester chez elle peut-être qu’elle ne serait pas là ou elle est à présent…

 A suivre...  
Retenez votre coeur et ne me tuez pas au prochain chapitre  

Chapitre 4

ma Belle !

Ahh tu me donne envie avec ton "Ne me tuez pas au prochain chapitre". Mais qu'est-ce que tu nous prépares?

VLS VLS !!!

J'adore de chapitre , le flashback de Teresa est vraiment adorable . J'espère vraiment que Lisbon fera le bon choix et ira chercher de l'aide auprès de l'équipe (je sais, je me répète mais j'essaye de te mettre l'idée dans la tête ). Comme le dit Lisa je me demande se que tu nous prépare pour nous dire "Ne me tuez pas au prochain chapitre" . J'accroche de plus en plus à ta fic VLS

Si tu tues Lisbon (Ou Jane), je commet un meurtre

Super suite !
Bravo et:

VLS !!!!!!!!!!

 

remerciement :

MaTessaJane pour la correction, l'idée du résumé de cette fanfiction et les textes coupés en paragraphe.

Voilà un nouveau (beaucoup plus grand) chapitre
Merci de prendre le temps de lire et de laisser un com ça me fait super plaisir    




Elle ouvrit lentement les yeux, sa tête lui faisait mal, le sang séché restait collé sur son visage d’une pâleur inquiétante, ses yeux émeraude étaient restés obstinément fermés pendant plus de trois heures, trois heures d’horreur ou meurtre s’était accumulé. Elle regarda aux alentours mais la pièce était dans un noir complet sauf une légère lumière au dessus de sa tête qui lui rappelait ce fameux jour, ce fameux baiser.

FLASH-BACK

Teresa senti les courbatures venir et se dit qu’une petite marche ne pourrais pas lui faire de mal, elle posa son stylo à bille et leva les yeux de ces rapports pour trouver tous les bureaux vides et éteint, sauf une petite lumière dans l’open-space de son équipe était restée allumé.

FIN DU FLASH-BACK

Cette même lumière tamisait éclairait la salle, Teresa relevât douloureusement la tête et aperçu un smiley rouge sang sur le mur sombre de la pièce. Et en baissant ses magnifiques yeux verts, elle tomba sur un cadavre… Elle voulut crier mais sa bouche restait obstinément fermée du temps qu’elle avait passé sans boire. Elle plissa les yeux mais n’aperçu qu’une longue chevelure rousse, ce fut suffisant. Suffisant pour comprendre qui était devant elle. Son plus jeune agent avait donnée sa vie, pour elle. Si elle arrivait à sortir d’ici elle se promit de faire la plus belle cérémonie qui soit pour son subordonné. Malgré le corps, Teresa n’arrivait toujours pas à y croire. Grace Van-Pelt était morte.

1 heure plus tôt :

Patrick hurla et frappa le bureau de Van-Pelt, ça faisait plus de trois heures que sa patronne avait disparue dans cet incendie et maintenant Grace.

« - Hé vieux ! Calme-toi. » Fit le grand brun.

« - J’aimerais bien t'y voir ! Si ça avait était Grace…

- Ca tombe mal, c’est elle. »

Jane se rendit compte de l’absurdité de sa phrase et regarda son collègue qui avec le temps était devenu plus. Il était devenu un ami, un ami qui aujourd’hui tout comme lui s’inquiétait pour celle qu'il aime. Qu’il aime et qu’il serait prêt à sauver. A sauver, oui mais à quel prix ? Un bruit de pas des plus pressé se fit entendre et les deux hommes se retournèrent. L’agent spécial Gall Bertram se tenait devant eux complètement essoufflé, il regarda l’agent Kimball Cho et lui dit d’une voix forte pour se faire entendre de tout l’auditoire du Bureau Californien d’Investigation.

«- Cho ! Je veux un rapport complet des derniers événements sur mon bureau dans huit minutes précisément et je souhaite qu’en vu des événements récents et de l’indisponibilité de l’agent sénior Teresa Lisbon vous preniez les rennes de cette équipe.

- Mais monsieur…

- Pas de mais, agent Cho ! » Il jeta un coup d’œil à sa montre.

«- Il ne vous reste pus que sept minutes trente-deux secondes, dépêchez vous !»

Les trois hommes se regardèrent sidéré. Kimball devina les pensé du consultant et murmura d’une voix étonnamment douce pour un homme de sa carrure.

« - Ne t’inquiète pas. Jamais je ne remplacerais Lisbon, dès que le grand patron saura la vérité il… Il changera d’avis.» Fit-il d’une voie sereine. Mais malheureusement, tous voyait que pour cette phrase il devait se forcer à mentir.
Agent Kimball Cho. Pour l’Agent spécial Gall Bertram.
Fait le 4 mars 2013.
A 10:17 du matin.
Au Bureau Californien d’Investigation.


Agent Kimball Cho. Pour l’Agent spécial Gall Bertram.
Signature :
KimballCHO

Toc, toc, toc…

« - Entré !

- Monsieur Bertram, voici le rapport que vous m’avez demandez.

- Bien. Merci agent Cho.»
Mais alors que Kimball allait sortir du bureau du patron du CBI.

« - Resté, j’ai à vous parlez.»
Il s’assit sur une chaise et attendit des mots qui ne vinrent pas. Bertram lue attentivement le dossier puis le reposa doucement sur son bureau et dit :

« - Agent Cho.» Il baissa la voix.

« - Ce que j’ai à vous dire est d’une importance capitale, me jurez vous de n’en parler à personne sauf mon autorisation.

- Je le jure.

- Bien, il se trouve que je suis entré récemment en contact avec votre ancienne patronne, madame Madeleine Higthower. Nous avons tous les deux minutieusement éplucher ce dossier et nous avons peut-être un indice. »
Il regarda la réaction de l’agent. Pas celle espérée, pas même un sourire. Non, juste son regard froid habituel.

« - Bon, nous pensons que John Le Rouge pourrait être derrière tous ça, mais j’aimerais que vous fassiez votre enquête avant de devoir en parler avec les journalistes. C’est pour ça que vous allez devoir être le plus silencieux possible dans tous vos déplacements. Vous devez être l’ombre de vous-même pour que personne ne vous repère ce qui inclut que vous n’aurez pas le droit au mandat, à l’appui du juge ou du procureur et tous ce qui va avec. Est-ce clair ?

- Très clair monsieur, nous nous mettons au travail au plus vite. »
Sauf que derrière le mur du bureau du patron dans la deuxième salle d’interrogatoire personne ne se doutait que dans cette pièce sombre se trouvait Brenda, la célèbre journaliste qui a pour travail de relater les événements du CBI mais en sortant son téléphone à la place d’appeler la presse elle composa le numéro d’un certain John-Peter Parisse.

« - Ils ont de nouvelles informations.»
Elle attendit une réponse qui ne vint pas. Seule un sourire cynique se posa sur le visage du tueur.

« - Et bien, nous allons nous amusez avec l’une des choses qui tient le plus pour eux.»
Puis une arme se déclencha, une morte, Grace Van-Pelt. John reprit son portable et dit :

« - Gardons la plus belle pour le dessert de ce cher Patrick.»
Et la ligne fut coupée…

Alors....?    
 A suivre  

[url=ici]Chapitre 5  

Nouveau chapitre très prenant !!! hâte de voir la suite

j'avais louper tes deux derniers chapitres !

Déjà que le trois était génial mais celui là vraiment extra !!
attend .. mais ques ta fais à Grace là ?!?!? sava pas non ?
et les souvenirs de Lisbon, génials !

J'ai aimer le rapport de Cho avec la signature

En tout cas ta fic' est toujours aussi prenante et j'ai super hâte de lire la suite !

Ce chapitre est vraiment super, il m'a fait un choque . Tu peux pas nous tuer Van Pelt, t'es vraiment horrible quand tu t'y met . J'espere que Tu vas pas nous tuer aussi Lisbon J'ai hâte davoir la suite

??? Non!!!!!!!!! Tu as tué Grace!!!!!!!!! (ça rien, comparé à ce que je pourrais dire si il arrive quoi que ce soit à ma Lis). Bref, sinon c'est un chapitre super prenant et j'ai envie de savoir la suite...

Remerciement  :

 Riza17200 pour avoir accepté de corriger ce chap à la place de ma fidèle correctrice (MaTessaJane) partie en Allemagne.



Ps: POUR CE CHAP LEGER SPOILER SAISON 5 !


Teresa essaya de bouger mais ses membres était endoloris et le moindre effort lui arrachait un cri de douleur. Elle baissa les yeux et remarqua que sa croix n’était plus à son cou et avait misérablement été remplacée par un fin cordon où pendait une minuscule perle en bois verte. Soudain une porte qu’elle n’avait point vue à cause du manque de luminosité s’ouvrit et laissa entrer un homme, assez grand, brun, les yeux bleus océan et assez bien battit d’environ quarante ans mais sous des airs doux. Lisbon savait qui il était et la vérité ne la réjouissait pas.

« - Alors, vous avez revu votre agent, vous devriez être contente. Hé bah non ! Teresa Lisbon fait encore la tête ! Je vous amène vos amies et vous, vous boudez.»

Il la regarda et la gratifia d’un sourire moqueur.

« - Mais suis-je bête évidement que ce n’est pas elle que tu veux »

Il rit.

« - Ne t’inquiète pas, ton prince charmant ne va plus tarder, j’ai tout prévu pour lui. Même le choix, le choix de choisir la femme qu’il aime la plus au monde. »
Il prit une bouteille d’eau et fit couler le liquide dans la bouche de Teresa alors qu’elle essayait de le recracher.

« - Boit. » Ordonna-t-il.

« - Jamais ! »

Il sourit, s’approcha de son oreille et susurra d’une voie sucrée.

« - Tu finiras comme elles »

Elle observa Grace, les cheveux étalés sur le ciment froid et les yeux à demi-clos. Son visage était d’une pâleur irréelle et le sang coulait avec abondance de son front. Une balle en plein front, bien centrée. Il ne l’avait pas manqué…
Jamais, elle ne cessait de se murmurer ce mot. Jamais elle ne ferait ça à son consultant, jamais elle ne mourait. Angela et Charlotte-Anne avaient été un passage de sa vie, maintenant il fallait qu’il apprenne à tourner la page. C’est ce que lui avait dit Steve Hannigan, l’ancien agent de l’équipe de Lisbon, mais ce jour là, ça avait mal fini avec un Jane le nez en sang. Et même si elle ne savait pas pourquoi elle repensait à ça, ça lui faisait du bien de se rappeler l’arrivée de Patrick Jane dans leurs vies et le joli compliment qu’il lui avait fait sur son nom. Elle sourit, c’était Jane ou elle, oui. Mais à quel prix ?
Elle essaya de se relever, sa tête lui tourna mais elle força. Son corps lui répondait mais elle se surprit à ressentir une douleur le long de son dos à laquelle elle ne s’attendait pas. Elle retomba sur l’horrible ciment.

« - Encore une fois, jusqu’à la fin… »

Jamais elle ne s’arrêtera, toujours elle continuera, un jour elle y arrivera. Elle se promit cette pensée solennelle sans prendre compte des rimes qu’elle venait de créer. Une dernière tentative, la bonne. Elle se releva enfin et essaya de poser ses pieds sur le sol. L’un après l’autre. Toujours, toujours, toujours, jamais. Elle perdit à nouveau l’équilibre et s’effondra, à quelque mètres de la sortie. A quelque mètres de la liberté…

Motel, Californie, Chambre de Patrick Jane :

Il souffla, les larmes aux yeux, il se laissa tomber sur son lit et huma la veste de Teresa. Il avait réussi à la prendre dans son bureau barricadé par trois hommes. Il glissa ses mains sur le cuir et laissa ses doigts se poser à la base de ses poches là et là seulement, il sentit la légère bosse produite dans la poche droite de sa supérieure. La tentation fut trop forte, elle lui en aurait certainement voulu de fouiller ainsi dans ses affaires mais la situation n’était plus la même et c’était à présent la vie de la jeune femme qui était menacée. Il ouvrit la poche et à deux doigts en ressorti le contenu : La clé de ses menottes, et… La croie de sa mère enroulée dans une feuille de papier. Il contempla quelque secondes le pendentif si important aux yeux de la brunette, pour quelle raison l’aurait-elle mis dans sa poche ? Il déplia le papier et lut lentement l’écriture d’ordinateur qui parsemait la feuille.

_________________________________________________

Cher Mr Jane,

Je pus comprendre que la tentation fut trop grande et avec ses simples mots, je vous donne l’occasion de découvrir l’endroit où se trouve votre charmante patronne. Tout d’abord, j’admire votre courage et votre détermination pour la trouver mais vos pistes sont vaines et vous n’avez couvert qu’une infime partie de la Californie, 0,6 km peut être ? Mais qui vous dit qu’elle ou son corps ayant perdu à jamais la lumière se trouve quelque part dans notre état à la vue de tous ? De nos 350 000 habitants. Même cachée, la police qui arpente les rues de notre sublime Californie l’aurait trouvé, vous ne pensez pas ? Trouvez la Patrick. Tic, tac, les aiguilles tournent, seras-tu assez fort pour la retrouver ? Tic, tac, les aiguilles tournent, seras-tu assez fort pour la sauver ? Le tigre rode dans sa cage, ses griffes acérées la retiennent prisonnière, pourras-tu la libérer du dragon tel la princesse dans sa tour ? Il reste à peine 48h…
Tic, tac.

Red John.  
_______________________________________________________________________

Il regarda stupéfait le papier qu’il tenait dans ses mains, la vérité, elle était là, inscrite devant lui ! L’endroit où trouvait Lisbon était indiqué ! Il regroupa chaque chiffre du texte, 0635000048. Le numéro à composer pour retrouver sa patronne, il tapa un à un les chiffres sur le petit clavier de son téléphone et une voie monotone lui répondit simplement.

« - Vous m’avez manqué…»

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
A suivre...  
Verdict ?

Super chap! Mais si jamais tue Lis...!!! (remarque je n'ai rien à dire puisque je l'ai tuée trois fois )

On a la preuve que Van Pelt est vraiment morte ... J'aurais espérée une fausse mort et que tu nous sorte plus tard "en faite elle était juste gravement blessée", tu pourrais quand même nous faire le coup mais ta fic ne serais plus vraiment crédible . J'espère que Jane ne ça pas faire le débile est prévenir les garçons qu'il a une piste sérieuse, la vie de Lisbon en dépant, ça serait vraiment égoïste de sa part qu'il fasse passer sa vengeance avant la sécurité de sa meilleure amie . Sinon VLS (PS: t'inquiète pas, pour la mort de VP j'ai prévue de te détestée seulement 2 semaines, mais c'est juste parce que je t'aime )

Je te l'avais promis, mais j'avais complètement oublié de lire ta fic', désolé ! (Tu me pardonne ? )
J'aime beaucoup la façon dont c'est écrit, l'histoire est très prenante !
Et tu as osé faire mourir Grace !
Peu de personnes l'on fait, mais toi oui, et ça j'aime beaucoup !
Si tu a besoin d'une correctrice, n'hésite pas à me demander, c'est avec plaisir !
Bravo !
J'ai hâte de lire la suite !

Je t'ai déjà dit ce que je pensais de ta fic... Mais je réitère : C'est magnifique !

Je trouve que tu t'es énormement améliorée depuis le tout début !!

Et je t'ai aussi dit que je te trouvais très très très cruelle !!

Mais, tu n'as pas posté le chapitre ? Je te l'ai renvoyer y'a 2/3 jours...

C'est horrible j'ai l'impression d'avoir sautée un  chapitre...  
Donc, merdi de lire et/ou de commenter  

Désolée pour le retard et pour me faire pardonner un chap un peu plus long...
 MaTessaJane pour la correction. :)

remerciement:

Je vous le dis très franchement je n'aime pas ce chap mais MTJ a aimée alors je vous le poste mais je ne suis pas fière de moi et je vous donnerais une bien meilleure qu'alitée au prochain chapitre mais pour le moment ma vie est assez... Compliquée et sans dessus-dessous ont va dire mais dès que ce seras fini la qualité d'avant (du moins j'ésapire qu'il y avait de la qualité) reviendra.


Pov Rigsby :

Je me réveillais en sursaut, je venais de faire un horrible cauchemar. Devant moi se tenait la jeune femme de mes rêves, celle avec qui j’aurais put élever Ben et fonder une magnifique famille. Elle se tenait là devant moi, son corps ayant perdu pour toujours la lumière était allongé sur le sol froid d’une vieille cave toute poussiéreuse, ses magnifiques yeux verts fermés à jamais et ses longs cheveux roux étalés autour de son corps parfait. Grace Van Pelt, la meilleure collègue et amie féminine que j’ai pu rencontrer. J’espérais ne jamais la retrouver comme cela.

Pov Jane :

Je viens de raccrocher. En regardant la pendule au dessus de la machine à café de ma petite chambre de Motel je m’aperçu que cela faisait plus d'une heure que j’étais au téléphone avec le tueur. Et pour quoi finalement ? Rien. Absolument rien. Il n’avait cessé de me répéter qu’en n’agissant point, je l’a tuais à petit feu, qu’il hésitait à chaque instant de s’amuser un peu avec elle et que si je retrouvais un jour son corps ce serait éteint à jamais. Il m’annonça alors que les heures étaient comptées et que bientôt son corps torturé me serait envoyé avec comme cadeau les traces des différentes « activités » qu’il lui aurait infligé. Mon esprit tout entier était embrouillé, je revenais au point de départ, sans indices, sans moyen de la sauver et d’apaiser ma vengeance refoulée pendant tant d’années. J’inspectais une dernière fois la lettre laissée dans la veste de ma patronne. Rien, néant, nada. Avant, il aurait put retracer le numéro de téléphone avec l’aide de Grace mais maintenant il était seul, seul contre le temps.

Pov Extérieur :

Chaques protagonistes étaient en activité pour essayer de percer à jamais le mystère, les agents : Kimball Cho et Waine Rigsby travaillaient sans relâche mais ils devaient se rendre à l’évidence, jamais il ne retrouverait leur patronne et leur collègue, deux amies si chères à leurs yeux. Ils n’avaient aucun indice et Cho s’inquiétait particulièrement pour Jane. L’ancien médium était dans un état désastreux. La veille il l’avait vu tomber alors qu’il marchait sur le parking, il lui avait sourit et dit qu’il avait glissé mais évidement n’importe qui aurait put voir le mensonge, il ne faisait même plus d’effort pour cacher ses sentiments et son état empirait de jours en jours. Il ne mangeait et ne dormait plus, ce qui n’était pas si différent de ses habitudes mais c’est surtout son moral qui en prenait un coup, chacun savait que la capture de John Le Rouge était sa priorité mais que la vie des deux jeunes femmes le préoccupait tout autant. Evidement ils n’étaient pas au courant du mystérieux coup de téléphone ni de la fameuse lettre laissée dans la poche de la veste de leur patronne.

Pov Lisbon :

A moitié allongée sur le sol froid de la pièce j’avais laissé quelques larmes couler le long de la barrière de mes yeux. Je savais au fond de moi-même que mes collègues (s’ils arriveraient) arriveraient trop tard, ils ne pourront pas nous sauver. Ni Grace ni moi. La meilleure option qui se présentait était le suicide mais comme si Red John avait tout prévu pour me garder plus longtemps près de lui il n’y avait pas le moindre objet dans cette pièce à part de la poussière. Pas même une minuscule petite cuillère pour me couper les veines des poignets et mettre à jamais fin à mes jours, après je pouvais encore me pendre avec le reste de vêtement que je portais ou avec l’aide de la chaine qu’il m’avait accroché mais je n’en avais pas le courage. Pas encore…

Pov Extérieur :

Le temps extérieur était de l’humeur de chacun sauf peut-être du tueur le plus réputés de Californie. De grandes bourrasques de vent, une pluie qui tombait en rafale et quelques éclairs s’amusant entre les nuages noirs comme remplis d’une épaisse fumée. Le temps n’était pas à mettre le nez dehors mais contre toute attente un certain tueur en série en avait décidé autrement et c’est seul que dans la nuit il se laissait guider le long d’une route silencieuse et noire comme l’encre sombre qui aurait put s’échapper d’un stylo. Il observait la route qui devant lui formait un long chemin droit et de temps à autre qui tournait et retournait tel un cobra poursuivant sa proie. Son regard vide et son visage inexpressif aurait put donner la chaire de poule à n’importe qui et ses yeux comme injectés de sang pouvait le faire passé pour un ivrogne d’un soir. La voiture roulait, elle n’avait presque plus d’essence. Bientôt il devrait s’arrêter mais il ne pouvait pas. Il devait continuer et aller travailler. Comme d’habitude. Chacun, le prenait pour une personne modèle mais ce n’était qu’un masque qu’il s’était forgé. Son travail était simple et consistait simplement à nettoyer les bureaux d’un certain Bureau Californien d’Investigation mais pour lui c’était bien plus. C’était le moyen d’écouter chaque conversation et de préparer ses plans et ses manœuvres avant que la police n’intervienne. Plus que quelques litres, plus que quelques minutes… Bientôt il pourrait s’amuser.

Pov Red John :

Mon plan était d’une facilité sans pareille, il suffisait d’entrer, de nettoyer, d’écouter et pourquoi pas de tuer une âme qui n’a rien demandée pour faire souffrir ce cher Patrick Jane et installer la peur dans son tendre cœur ? Ca faisait des années que je travaillais ici et au milieu de tous ces policiers. Personne ne m’avait jamais repéré et ils comptaient m’attraper ? Laisser moi rire, aucunes chances, jamais, jamais. J’entre dans les bureaux et passe sous le détecteur de métal, ensuite, je me rends dans une salle avec une plaque en bronze ou est indiquée « Reserve for the staff » et j’attrapais mon balais et mon sceau rempli à ras-bord. Après avoir claqué la porte je m’approchais du réfrigérateur et dans l’ombre j’accrochais un micro, plus rien n’aurait de secret pour moi dans ces locaux mais si j’avais su que dans le recoin d’un couloir se cachait un certain consultant du CBI, la veste et la chemise froissé. Peut-être que je n’aurais pas crié victoire trop vite et… Que je ne me serais pas autant exposé en même temps : qu'est ce qui vous prouve à vous lecteurs de cette folle qui écrit ces quelques mots que je suis vraiment celui que je prétends être ?

------------------------------------------------------------------------------------
A suivre
Alors ?

Moi j'aime bien ce chapitre
Je comprend tout à fait ton empathie envers Grace, (spoilers saison 5)

Spoiler:

Un bon chapitre, les différents POV sont intéressants, j'aime bien celui de John le Rouge. C'est assez rare de voir le POV d'un tueur, faudrait que j'essaye à l'occasion.
S'il te plait, ne tue pas Lisbon, sinon je vous pond un OS super triste où tout le monde meurt (Je rigole mais j'ai deja toute l'histoire de prête dans mes notes )
Vivement la suite !