Red John's victory^
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Re: Red John's victory^
Si Sarah tombe sur ce chap....
enfin, c'est un super chapitre mais la fin m'inquiéte vraiment parce si Jane ne survit pas, j'ose pas imagniner comment réagira Lisbon , tu brises mon coeur en mille morceau en un seul chapitre....
enfin, c'est un super chapitre mais la fin m'inquiéte vraiment parce si Jane ne survit pas, j'ose pas imagniner comment réagira Lisbon , tu brises mon coeur en mille morceau en un seul chapitre....
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Red John's victory^
Je découvre ta fic, je dévore les chapitres un par un, et boum, le dernier chapitre que je lis, tu fais du mal à mon pauvre Jane et tu nous laisses comme ça sans savoir s'il est mort ou pas Mais comment peux-tu nous faire ça ? Et surtout lui faire ça ?
J'ai légèrement peur du déroulement de ta fic vu ton titre qui signifie clairement que va en sortir victorieux ... J'espère me tromper tout de même
En tout cas, j'aime beaucoup ta fic et je suis impatiente d'avoir la suite
Caroline18121995- Distributeur de café
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Re: Red John's victory^
Je suis vraiment vraiment désolé. Avant de partir en vacance j'avais envoyée ce chapitre à MTJ qu'elle m'a super gentiment corrigé en vitesse éclair mais que je ne pouvais pas postée avec mon portable. Et en rentrant de vacance ça m'ai sortie de la tête. En allant lire une fic' ça a fait tilt donc je vous le poste. Vraiment désolé pour le retard...
Merci MaTessaJane pour la correction .
Merci aussi pour vos com's je n'ai pas trop de temps là mais j'aiditerais pour y répondre personnellement. En tous cas merci beaucoup , ça fait super plaisir et ça encourage vraiment pour la suite... .
Pov … (point de vue de l’auteur):
Ca faisait deux mois, deux mois entier que toute cette histoire était arrivée. La vie avait-elle reprit son cours ? J’aurais aimé vous le dire mais non. Personne n’avait oublié, au contraire.
Les blessures ne s’étaient pas refermé, les cœurs avaient été brisés. Peut-être à jamais et surtout, surtout les yeux étaient resté fermés.
Jusqu’à ce jour. Des paupières papillonnaient, et deux pupilles rencontrèrent la vie, virent ce plafond maculé de blanc. Celui de l’hôpital. Ca a été leur chambre, leur maison, leur vie pendant deux longs mois. Des mois durs en efforts pour leurs amis. L’effort de ne pas sombrer, de se battre coûte que coûte.
De respirer à nouveau, oui, c’était ça : respirer à nouveau. Chacun avait la tête sous l’eau attendant l’oxygène. Cet oxygène étant le réveil d’une des trois personne sur ses lits d’hôpitaux : Patrick Jane, Teresa Lisbon et enfin le célèbre John-Peter Parisse ou John Le Rouge si vous préférez.
Pov extérieur :
La jeune femme (car c’était une femme) laissa ses yeux émeraude contempler le décors au alentours, pas grand-chose. Une table, quatre chaises, une porte derrière laquelle se trouvait-elle ne savait quoi.
Peut-être une petite salle de bain ? Et enfin, une armoire. Teresa leva le bras jusqu’au bouton d’appel et quelque seconde après une vieille infirmière en blouse blanche entra. Ses cheveux gris tenaient dans un gros chignon fait à la va-vite d’où des mèches rebelles tombaient le long de son doux visage.
Elle approcha et se présenta comme étant Mandy. Mandy comme étant son nom fit quelque tests et sortit de la chambre laissant sa patiente de reposer.
Pov Cho :
Pas d’enquête, aucun rapport à faire c’était le néant au CBI depuis ce fameux jour, à croire que comme Red John avait quitté ce monde pour une durée indéterminé les meurtriers avaient soudain arrêté leur massacre.
Grace aurait surement trouvée ça : « pas si mal » mais Rigsby et moi n’en pouvions plus. Il nous fallait travailler, pour évacuer et peut-être même… Pour oublier les événements déroulés deux mois plus tôt.
FLASH-BACK (pensé de Cho) :
Les ambulances étaient arrivées assez rapidement mais trop tard aussi. Les trois protagonistes avaient perdu connaissance et aucun ne semblait en mesure de vouloir rouvrir les yeux. Wayne et moi essayons de rester fort mais nous avions peur, oui, nous avions peur pour Jane et Lisbon. Encore, John Le Rouge ne serait pas une grosse perte s’il venait à mourir celui-là... Cet homme était une ordure qui mettait en péril la vie du consultant et de ma patronne. Il a aussi tué Grace de sang froid, sans aucun scrupule. Rigsby voulait attendre pour l’enterrer. Il voulait que Jane et Lisbon soit là mais à quoi bon ? Si les deux mourrait, lâchait leur dernier souffle… Non, il ne fallait pas entendre et puis, il fallait respecter le corps de la jeune femme. Je ne pense pas qu’elle aurait apprécié qu’on la laisse à la morgue en attendant ses amis remplit de vie ou bien… Leurs cadavres pour la rejoindre trois pieds sous terre.
FIN DU FLASH-BACK :
Mon portable vibra sur mon bureau, l’hôpital. Cet appel nous l’attendions, nous y étions préparer. La nouvelle allait arriver, belle, triste ? L’un d’eux était mort, avait rendu l’âme ou au contraire s’était réveiller ?
Cet appel allait tout changer aller les rendre heureux ou désemparés. Un coup de fil. Un coup de fil suffisait à tout changer. A changer la vie de deux agents du Bureau Californien d’Investigation. Un seul coup de fil suffisait…
Pov Rigsby :
Le temps s’était comme arrêté. Dès que la sonnerie retentit dans l’espace de travail je couru vers Kimball. Quand il me montre l’appelant je retins mon souffle, il appelait enfin. C’est avec appréhension que mon collègue et ami accepta l’appel et colla l’appareil à son oreille.
Je lui en voulu un peu de ne pas me faire partager sa conversation en mettant le haut-parleur et puis je ne pouvais même pas décrypter les traits de son visage, il restait à jamais impassible. Il raccrocha un petit quart d’heure plus tard et me demanda nonchalament.
« - Ca te dirai d’aller faire un petit bonjour au patron ?
- Je conduis ! »
Je n’avais même pas réfléchi en répondant, tous de suite. On devait y aller tous de suite. Teresa Lisbon était vivante. L’espoir revenait, la vie aussi.
A suivre….
So ? ....
Merci MaTessaJane pour la correction .
Merci aussi pour vos com's je n'ai pas trop de temps là mais j'aiditerais pour y répondre personnellement. En tous cas merci beaucoup , ça fait super plaisir et ça encourage vraiment pour la suite... .
Chapitre 8
Pov … (point de vue de l’auteur):
Ca faisait deux mois, deux mois entier que toute cette histoire était arrivée. La vie avait-elle reprit son cours ? J’aurais aimé vous le dire mais non. Personne n’avait oublié, au contraire.
Les blessures ne s’étaient pas refermé, les cœurs avaient été brisés. Peut-être à jamais et surtout, surtout les yeux étaient resté fermés.
Jusqu’à ce jour. Des paupières papillonnaient, et deux pupilles rencontrèrent la vie, virent ce plafond maculé de blanc. Celui de l’hôpital. Ca a été leur chambre, leur maison, leur vie pendant deux longs mois. Des mois durs en efforts pour leurs amis. L’effort de ne pas sombrer, de se battre coûte que coûte.
De respirer à nouveau, oui, c’était ça : respirer à nouveau. Chacun avait la tête sous l’eau attendant l’oxygène. Cet oxygène étant le réveil d’une des trois personne sur ses lits d’hôpitaux : Patrick Jane, Teresa Lisbon et enfin le célèbre John-Peter Parisse ou John Le Rouge si vous préférez.
Pov extérieur :
La jeune femme (car c’était une femme) laissa ses yeux émeraude contempler le décors au alentours, pas grand-chose. Une table, quatre chaises, une porte derrière laquelle se trouvait-elle ne savait quoi.
Peut-être une petite salle de bain ? Et enfin, une armoire. Teresa leva le bras jusqu’au bouton d’appel et quelque seconde après une vieille infirmière en blouse blanche entra. Ses cheveux gris tenaient dans un gros chignon fait à la va-vite d’où des mèches rebelles tombaient le long de son doux visage.
Elle approcha et se présenta comme étant Mandy. Mandy comme étant son nom fit quelque tests et sortit de la chambre laissant sa patiente de reposer.
Pov Cho :
Pas d’enquête, aucun rapport à faire c’était le néant au CBI depuis ce fameux jour, à croire que comme Red John avait quitté ce monde pour une durée indéterminé les meurtriers avaient soudain arrêté leur massacre.
Grace aurait surement trouvée ça : « pas si mal » mais Rigsby et moi n’en pouvions plus. Il nous fallait travailler, pour évacuer et peut-être même… Pour oublier les événements déroulés deux mois plus tôt.
FLASH-BACK (pensé de Cho) :
Les ambulances étaient arrivées assez rapidement mais trop tard aussi. Les trois protagonistes avaient perdu connaissance et aucun ne semblait en mesure de vouloir rouvrir les yeux. Wayne et moi essayons de rester fort mais nous avions peur, oui, nous avions peur pour Jane et Lisbon. Encore, John Le Rouge ne serait pas une grosse perte s’il venait à mourir celui-là... Cet homme était une ordure qui mettait en péril la vie du consultant et de ma patronne. Il a aussi tué Grace de sang froid, sans aucun scrupule. Rigsby voulait attendre pour l’enterrer. Il voulait que Jane et Lisbon soit là mais à quoi bon ? Si les deux mourrait, lâchait leur dernier souffle… Non, il ne fallait pas entendre et puis, il fallait respecter le corps de la jeune femme. Je ne pense pas qu’elle aurait apprécié qu’on la laisse à la morgue en attendant ses amis remplit de vie ou bien… Leurs cadavres pour la rejoindre trois pieds sous terre.
FIN DU FLASH-BACK :
Mon portable vibra sur mon bureau, l’hôpital. Cet appel nous l’attendions, nous y étions préparer. La nouvelle allait arriver, belle, triste ? L’un d’eux était mort, avait rendu l’âme ou au contraire s’était réveiller ?
Cet appel allait tout changer aller les rendre heureux ou désemparés. Un coup de fil. Un coup de fil suffisait à tout changer. A changer la vie de deux agents du Bureau Californien d’Investigation. Un seul coup de fil suffisait…
Pov Rigsby :
Le temps s’était comme arrêté. Dès que la sonnerie retentit dans l’espace de travail je couru vers Kimball. Quand il me montre l’appelant je retins mon souffle, il appelait enfin. C’est avec appréhension que mon collègue et ami accepta l’appel et colla l’appareil à son oreille.
Je lui en voulu un peu de ne pas me faire partager sa conversation en mettant le haut-parleur et puis je ne pouvais même pas décrypter les traits de son visage, il restait à jamais impassible. Il raccrocha un petit quart d’heure plus tard et me demanda nonchalament.
« - Ca te dirai d’aller faire un petit bonjour au patron ?
- Je conduis ! »
Je n’avais même pas réfléchi en répondant, tous de suite. On devait y aller tous de suite. Teresa Lisbon était vivante. L’espoir revenait, la vie aussi.
A suivre….
So ? ....
Dernière édition par LOjisbonVE le Lun 28 Oct 2013 - 15:14, édité 1 fois
Re: Red John's victory^
Trés bonne suite, ma Lo' et trés bien écrite.
Le mélange des POVs et l'utilisation du flash-back sont une trés bonne idée. Toujours pas de nouvelles de Jane, en théorie, on dit : "pas de nouvelle, bonne nouvelle" mais avec , se serait plutôt "pas de nouvelle, mauvaise nouvelle". VLS!
Le mélange des POVs et l'utilisation du flash-back sont une trés bonne idée. Toujours pas de nouvelles de Jane, en théorie, on dit : "pas de nouvelle, bonne nouvelle" mais avec , se serait plutôt "pas de nouvelle, mauvaise nouvelle". VLS!
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Red John's victory^
Après une (très longue) absence de près d'un mois voilà la suite:
Merci MTJ pour la correction (aussi rapide !) .
@TL: Merci beaucoup pour ton commentaire et d'être aussi fidèle à cette fiction, ce chapitre ne sera constituer que d'un seul "Pov'" et ne contiendra pas de Flash-Back (désolée.. ), pour Jane ? Tu va avoir une réponse..... (Il ne vaut mieux que je ne dise plus rien ou je risque de me faire ).
Je dédicace ce chapitre à MaTessaJane et Teresa Lisbon (le membre du forum, mais tant qu'on y est je le dédicace aussi à la Teresa de la série ).
EDIT: Mon chapitre étant trop court par rapport à la charte, j'ai rajoutée un bout que je mettrais entre crochet pour que ce qui ont déjà lue le chapitre non corrigé s'y retrouve facilement. Comme j'ai dut faire vite le "nouveau bout de chapitre" n'est pas encore corrigé mais j'éditerais au plus vite promis :).
Derrière un rêve peux se cacher la terrible réalité…
Pov Lisbon :
J’ouvris les yeux avec l’appréhension de ce que j’allais trouver à mes côtés. Les souvenirs remontaient et s’infiltraient dans tous les pores de ma peau. J’avais peur, oui, à quoi bon le cacher ? La vie m’avait épargnée mais si elle n’avait pas fait de même pour Jane ? Si il était parti…
Il ne m’avait jamais rien dit, ne m’avait jamais rien promis mais au fond de moi je pensais peut-être à un happy end. Qui sait, je deviens peut-être folle mais au fond de moi, nous c’était ça un duo attristé par la vie.
Deux personnes brisées par leurs passés respectif mais ce qui est casser peut être réparer non ?
Enfin bref… Mes paupières papillonnèrent et mes iris couleur émeraude entrèrent en contact avec celle bleu océan de mon consultant. Il était donc en vie ! Les coins de ma bouche s’étirèrent et malgré moi un sourire se forma sur mon visage pâle. Il avait survécu, il était revenu des ténèbres, pour moi ?
Soudain, il se pencha et avec (pour une fois) un réel sourire sur les lèvres, un sourire tellement rare de sa part. Un de ses sourires qui vous dit « je suis en vie, je vais bien, nous allons bien ». Oui, un magnifique sourire.
Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur ma joue, je fermais les yeux et il se mit à tripoter entre deux de ses doigts une mèche de mes cheveux ébène.
Il se releva et se repositionna sur son siège inconfortable juste à côté de mon lit d’hôpital. Il releva ses iris bleus/verts et encra ses yeux dans les miens, comme pour lire en moi.
Qu’il lise ! Qu’il comprenne ce que je ressente !
J’avais voulu le cacher, pendant tant d’années j’ai essayé et il a tout gâché. Il m’a embrassé ce soir là et quand enfin j’ai pu reprendre mes sens et approfondir l’échange il s’est enfuis. On n’en a plus jamais reparlé mais… Après avoir frôlé la mort à de trop nombreuse reprise et à présent voir son regard hypnotisant braqué sur moi, tout ce que je souhaite c’est qu’il repose ses lèvres sucré sur les miennes.
Tous ce que je désirais c’est qu’il ne m’abandonne plus, qu’il tire un trait sur John Le Rouge ou du moins qu’il n’y pense plus tous les jours, toutes les heures, chaque minute et chaque seconde de sa vie.
Je m’apprêtais à ouvrir la bouche pour lui parler mais il me coupa en déposant deux doigt sur mes lèvres, je lui lançai un regard curieux mais il ne cessa de me fixer avec ce tendre regard, je n’eu rien à dire, je n’en nu pas le temps.
Il s’approcha et déposa ses lèvres sur les miennes. J’eu juste le temps de fermer les yeux et…
De ne plus rien sentir, en rouvrant les yeux je tombais sur cette chambre froide et impersonnelle qu’étaient les chambres d’hôpital, plus de chaise inconfortable près de mon lit, plus de Patrick Jane. Seulement ce minuteur et ces machines médicale qui me reliaient à la vie.
Un rêve, c’était seulement un rêve.
Je soupirai et scruta mon environnement lorsque soudain la porte s’ouvrit dans un grincement.
Y avait-il une chance pour que rêve et réalité se confonde ?
Juste un seconde,
juste une minutes,
juste une journée,
juste le temps d’oublier Red John…
[Pov Jane :
J’avais mal à la tête, mal aux bras, mal au ventre, mal aux jambes, mon corps tout entier me faisait horriblement souffrir. J’ouvris lentement, très lentement les yeux. Je sentis un souffle à mes côtés et avec précaution je tournais la tête et mes yeux rencontrèrent les iris noisette d’un homme blanc. La cinquantaine, cheveux noirs un peu blancs, propre sur lui et une barbe de trois jours, à ses pieds : une sacoche noire. Il se présenta comme étant l’agent spécial Johns, du Bureau Fédéral d’Investigation, je ne bronchai pas. Il commença à me parler, doucement, lentement, comme pour que chaque mot s’infiltrent dans une cellule de mon cerveau, comme pour que j’imprime à jamais ses paroles dans ma tête. Je me sentais partir, je m’épuisais à rien faire. J’aurais voulu lui dire d’arrêter de parler, de me laisser me reposer mais je n’en fis rien. Sa voix mélodieuse m’appelait vers un sommeille certains. Mes paupières se firent lourdes. Je luttais pour me tenir éveillé mais la fatigue reprenait ses droits, m’obligeant à fermer les yeux. Ma tête glissa sur le côté, au bord de l’oreiller. Mon esprit partit, lentement, surement, vers un pays différent, un monde plus joyeux, un endroit simple, calme, un endroit ou je serais en sécurité, un endroit où j’aurais le droit d’aimer. Oui, un endroit réellement parfait. Je m’endormis en quelque minute, rêvant de ce pays, de cet endroit où je m’offrirais de nouveaux souvenirs, de nouveaux rires, de nouveaux sourires. Un endroit ou ma famille serait présente, mes amies aussi, et Lisbon, oui, surtout Lisbon.
Elle avait la place dans ce royaume. Dans cet endroit, je lui en ouvrais les portes. Lui permettant d’y entrer et de voir, de voir, qui je pourrais être si il n’y avait pas la menace de John Le Rouge, si il n’y avait le CBI, si ont s’était rencontrer dans ce passé, ce passé ou je respirais encore la joie de vivre mais à cette époque m’aurait-elle autant intéressé qu’à présent ? Probablement pas. Je ressentis soudain le besoin de respirer, mes yeux s’ouvrir largement et je pus voir l’agent spécial Johns au dessus de moi, sa main sur ma bouche empêchait l’air de s’infiltrait dans mes poumons, je me débattis durant ce qui me sembla une éternité mais il resserrât sa prise sur moi. Il avait le regard dur, impassible.
Pov Extérieur :
Il gagnerait et il le savait tous les deux. Jane ne pourrait pas se débattre éternellement et l’homme était dans de meilleures conditions physiques, et pas cloué à un lit inconfortable d’hôpital. Je bougeai la tête, je suffoquai, j’allais lâcher, abandonné. Abandonné ceux pour quoi je me battais depuis si longtemps. L’homme se pencha et mon oreille et chuchota « Tigre, tigre » comme il y a des années, comme John Le Rouge le jour ou il m’avait enlevé. Mes yeux s’élargirent de stupeurs et mes pupilles se dilatèrent du au manque d’oxygène puis plus rien, le trou noir, je sentais les mains de l’homme se posait sur mes épaules pour me remettre normalement sur le lit, il recouvrit mon corps de la couverture et sortit sans un mot. Les minuteurs s’affolèrent, les infirmières et le médecin entrèrent dans la chambre, trop tard. Il n’y avait plus de vie qui sortirait de ce cor, sa dernière pensée fut pour sa belle Charlotte-Anne qu’il allait enfin retrouvée, oui, il allait retrouver sa femme et sa fille. Il quittait une vie pour en obtenir une autre auprès de sa défunte famille.
Il aurait juste voulut dire au revoir à l’équipe avant, et à Lisbon, Teresa. Si elle était en vie il savait qu’elle ne s’en remettra pas, jamais. C’était surement pour ça qu’il sentit une vague de tristesse le submergeai et atteindre son cœur, oui, surement pour ça. Sa vie ici était terminé, une nouvelle chance arrivait, et là-bas, il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour la saisir et l’utiliser à bon escient, cette fois, il ferait les bons choix et s’attacherait aux bonnes personnes et pas à celles qui pourraient le regretter.]
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
A suivre.... (il ne reste plus beaucoup de chapitre avant la fin).
Merci MTJ pour la correction (aussi rapide !) .
@TL: Merci beaucoup pour ton commentaire et d'être aussi fidèle à cette fiction, ce chapitre ne sera constituer que d'un seul "Pov'" et ne contiendra pas de Flash-Back (désolée.. ), pour Jane ? Tu va avoir une réponse..... (Il ne vaut mieux que je ne dise plus rien ou je risque de me faire ).
Je dédicace ce chapitre à MaTessaJane et Teresa Lisbon (le membre du forum, mais tant qu'on y est je le dédicace aussi à la Teresa de la série ).
EDIT: Mon chapitre étant trop court par rapport à la charte, j'ai rajoutée un bout que je mettrais entre crochet pour que ce qui ont déjà lue le chapitre non corrigé s'y retrouve facilement. Comme j'ai dut faire vite le "nouveau bout de chapitre" n'est pas encore corrigé mais j'éditerais au plus vite promis :).
- Spoiler saison 6:
- Dans la saison 6, il y a l'ascociation "Tyger, tyger" mais pour ceux qui ne l'ont pas vue je n'en parle pas et quand je parle des mots "tigre, tigre" ils font référence à l'enlevement de Jane dans le final de la saison 2.
Chapitre 9
Derrière un rêve peux se cacher la terrible réalité…
Pov Lisbon :
J’ouvris les yeux avec l’appréhension de ce que j’allais trouver à mes côtés. Les souvenirs remontaient et s’infiltraient dans tous les pores de ma peau. J’avais peur, oui, à quoi bon le cacher ? La vie m’avait épargnée mais si elle n’avait pas fait de même pour Jane ? Si il était parti…
Il ne m’avait jamais rien dit, ne m’avait jamais rien promis mais au fond de moi je pensais peut-être à un happy end. Qui sait, je deviens peut-être folle mais au fond de moi, nous c’était ça un duo attristé par la vie.
Deux personnes brisées par leurs passés respectif mais ce qui est casser peut être réparer non ?
Enfin bref… Mes paupières papillonnèrent et mes iris couleur émeraude entrèrent en contact avec celle bleu océan de mon consultant. Il était donc en vie ! Les coins de ma bouche s’étirèrent et malgré moi un sourire se forma sur mon visage pâle. Il avait survécu, il était revenu des ténèbres, pour moi ?
Soudain, il se pencha et avec (pour une fois) un réel sourire sur les lèvres, un sourire tellement rare de sa part. Un de ses sourires qui vous dit « je suis en vie, je vais bien, nous allons bien ». Oui, un magnifique sourire.
Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur ma joue, je fermais les yeux et il se mit à tripoter entre deux de ses doigts une mèche de mes cheveux ébène.
Il se releva et se repositionna sur son siège inconfortable juste à côté de mon lit d’hôpital. Il releva ses iris bleus/verts et encra ses yeux dans les miens, comme pour lire en moi.
Qu’il lise ! Qu’il comprenne ce que je ressente !
J’avais voulu le cacher, pendant tant d’années j’ai essayé et il a tout gâché. Il m’a embrassé ce soir là et quand enfin j’ai pu reprendre mes sens et approfondir l’échange il s’est enfuis. On n’en a plus jamais reparlé mais… Après avoir frôlé la mort à de trop nombreuse reprise et à présent voir son regard hypnotisant braqué sur moi, tout ce que je souhaite c’est qu’il repose ses lèvres sucré sur les miennes.
Tous ce que je désirais c’est qu’il ne m’abandonne plus, qu’il tire un trait sur John Le Rouge ou du moins qu’il n’y pense plus tous les jours, toutes les heures, chaque minute et chaque seconde de sa vie.
Je m’apprêtais à ouvrir la bouche pour lui parler mais il me coupa en déposant deux doigt sur mes lèvres, je lui lançai un regard curieux mais il ne cessa de me fixer avec ce tendre regard, je n’eu rien à dire, je n’en nu pas le temps.
Il s’approcha et déposa ses lèvres sur les miennes. J’eu juste le temps de fermer les yeux et…
De ne plus rien sentir, en rouvrant les yeux je tombais sur cette chambre froide et impersonnelle qu’étaient les chambres d’hôpital, plus de chaise inconfortable près de mon lit, plus de Patrick Jane. Seulement ce minuteur et ces machines médicale qui me reliaient à la vie.
Un rêve, c’était seulement un rêve.
Je soupirai et scruta mon environnement lorsque soudain la porte s’ouvrit dans un grincement.
Y avait-il une chance pour que rêve et réalité se confonde ?
Juste un seconde,
juste une minutes,
juste une journée,
juste le temps d’oublier Red John…
[Pov Jane :
J’avais mal à la tête, mal aux bras, mal au ventre, mal aux jambes, mon corps tout entier me faisait horriblement souffrir. J’ouvris lentement, très lentement les yeux. Je sentis un souffle à mes côtés et avec précaution je tournais la tête et mes yeux rencontrèrent les iris noisette d’un homme blanc. La cinquantaine, cheveux noirs un peu blancs, propre sur lui et une barbe de trois jours, à ses pieds : une sacoche noire. Il se présenta comme étant l’agent spécial Johns, du Bureau Fédéral d’Investigation, je ne bronchai pas. Il commença à me parler, doucement, lentement, comme pour que chaque mot s’infiltrent dans une cellule de mon cerveau, comme pour que j’imprime à jamais ses paroles dans ma tête. Je me sentais partir, je m’épuisais à rien faire. J’aurais voulu lui dire d’arrêter de parler, de me laisser me reposer mais je n’en fis rien. Sa voix mélodieuse m’appelait vers un sommeille certains. Mes paupières se firent lourdes. Je luttais pour me tenir éveillé mais la fatigue reprenait ses droits, m’obligeant à fermer les yeux. Ma tête glissa sur le côté, au bord de l’oreiller. Mon esprit partit, lentement, surement, vers un pays différent, un monde plus joyeux, un endroit simple, calme, un endroit ou je serais en sécurité, un endroit où j’aurais le droit d’aimer. Oui, un endroit réellement parfait. Je m’endormis en quelque minute, rêvant de ce pays, de cet endroit où je m’offrirais de nouveaux souvenirs, de nouveaux rires, de nouveaux sourires. Un endroit ou ma famille serait présente, mes amies aussi, et Lisbon, oui, surtout Lisbon.
Elle avait la place dans ce royaume. Dans cet endroit, je lui en ouvrais les portes. Lui permettant d’y entrer et de voir, de voir, qui je pourrais être si il n’y avait pas la menace de John Le Rouge, si il n’y avait le CBI, si ont s’était rencontrer dans ce passé, ce passé ou je respirais encore la joie de vivre mais à cette époque m’aurait-elle autant intéressé qu’à présent ? Probablement pas. Je ressentis soudain le besoin de respirer, mes yeux s’ouvrir largement et je pus voir l’agent spécial Johns au dessus de moi, sa main sur ma bouche empêchait l’air de s’infiltrait dans mes poumons, je me débattis durant ce qui me sembla une éternité mais il resserrât sa prise sur moi. Il avait le regard dur, impassible.
Pov Extérieur :
Il gagnerait et il le savait tous les deux. Jane ne pourrait pas se débattre éternellement et l’homme était dans de meilleures conditions physiques, et pas cloué à un lit inconfortable d’hôpital. Je bougeai la tête, je suffoquai, j’allais lâcher, abandonné. Abandonné ceux pour quoi je me battais depuis si longtemps. L’homme se pencha et mon oreille et chuchota « Tigre, tigre » comme il y a des années, comme John Le Rouge le jour ou il m’avait enlevé. Mes yeux s’élargirent de stupeurs et mes pupilles se dilatèrent du au manque d’oxygène puis plus rien, le trou noir, je sentais les mains de l’homme se posait sur mes épaules pour me remettre normalement sur le lit, il recouvrit mon corps de la couverture et sortit sans un mot. Les minuteurs s’affolèrent, les infirmières et le médecin entrèrent dans la chambre, trop tard. Il n’y avait plus de vie qui sortirait de ce cor, sa dernière pensée fut pour sa belle Charlotte-Anne qu’il allait enfin retrouvée, oui, il allait retrouver sa femme et sa fille. Il quittait une vie pour en obtenir une autre auprès de sa défunte famille.
Il aurait juste voulut dire au revoir à l’équipe avant, et à Lisbon, Teresa. Si elle était en vie il savait qu’elle ne s’en remettra pas, jamais. C’était surement pour ça qu’il sentit une vague de tristesse le submergeai et atteindre son cœur, oui, surement pour ça. Sa vie ici était terminé, une nouvelle chance arrivait, et là-bas, il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour la saisir et l’utiliser à bon escient, cette fois, il ferait les bons choix et s’attacherait aux bonnes personnes et pas à celles qui pourraient le regretter.]
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A suivre.... (il ne reste plus beaucoup de chapitre avant la fin).
Dernière édition par LOjisbonVE le Ven 8 Nov 2013 - 17:22, édité 3 fois (Raison : Rajout du bout du chapitre)
Re: Red John's victory^
Merci pour la dédicace, ma Lo'!
J'aime bien aussi un seul POV surtout quand c'est celui de ma Lis et que tu le maîtrise aussi bien.
, pourquoi pas.mais tant qu'on y est je le dédicace aussi à la Teresa de la série
J'aime bien aussi un seul POV surtout quand c'est celui de ma Lis et que tu le maîtrise aussi bien.
ne me dit pas que ce je pense vient d'arriver... ...Derrière un rêve peux se cacher la terrible réalité…
ça c'est vraiment ce que l'on peut appeler rassurant, je suis presque sûre que celui qui entre est RJ ou un de ces complices (en espérant tout de même que Jane ne soit pas mort et que ce soit lui qui rentre mais cela dit il y a peu de chances que ce soit le cas...).Je soupirai et scruta mon environnement lorsque soudain la porte s’ouvrit dans un grincement.
Je ne sais plus si je dois espérer parce que théoriquement ça dépend et du rêve et de la réponse que l'on apporte à cette question... Bref, en tant qu'auteur, j'aime bien ce genre de question qui séme le doute dans l'esprit des lecteurs mais en tant que lecteur, c'est autre chose.Y avait-il une chance pour que rêve et réalité se confonde ?
j'aime bien ce décompte en sens inverse.Juste un seconde, juste une minutes, juste une journée
, est-ce vraiment possible ? Et là mon pressentiment se précice, j'ai de en plus en plus l'impression que l'homme que l'on va voir franchir la porte,dans le prochain chapitre est RJ et qu'il ne va pas être porteur de bonnes nouvelles... Mais VLS la suite tout de même!!juste le temps d’oublier Red John…
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
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