Red John's victory^

j'avais louper tes deux derniers chapitres !

Déjà que le trois était génial mais celui là vraiment extra !!
attend .. mais ques ta fais à Grace là ?!?!? sava pas non ?
et les souvenirs de Lisbon, génials !

J'ai aimer le rapport de Cho avec la signature

En tout cas ta fic' est toujours aussi prenante et j'ai super hâte de lire la suite !

Ce chapitre est vraiment super, il m'a fait un choque . Tu peux pas nous tuer Van Pelt, t'es vraiment horrible quand tu t'y met . J'espere que Tu vas pas nous tuer aussi Lisbon J'ai hâte davoir la suite

??? Non!!!!!!!!! Tu as tué Grace!!!!!!!!! (ça rien, comparé à ce que je pourrais dire si il arrive quoi que ce soit à ma Lis). Bref, sinon c'est un chapitre super prenant et j'ai envie de savoir la suite...

Remerciement  :

 Riza17200 pour avoir accepté de corriger ce chap à la place de ma fidèle correctrice (MaTessaJane) partie en Allemagne.



Ps: POUR CE CHAP LEGER SPOILER SAISON 5 !


Teresa essaya de bouger mais ses membres était endoloris et le moindre effort lui arrachait un cri de douleur. Elle baissa les yeux et remarqua que sa croix n’était plus à son cou et avait misérablement été remplacée par un fin cordon où pendait une minuscule perle en bois verte. Soudain une porte qu’elle n’avait point vue à cause du manque de luminosité s’ouvrit et laissa entrer un homme, assez grand, brun, les yeux bleus océan et assez bien battit d’environ quarante ans mais sous des airs doux. Lisbon savait qui il était et la vérité ne la réjouissait pas.

« - Alors, vous avez revu votre agent, vous devriez être contente. Hé bah non ! Teresa Lisbon fait encore la tête ! Je vous amène vos amies et vous, vous boudez.»

Il la regarda et la gratifia d’un sourire moqueur.

« - Mais suis-je bête évidement que ce n’est pas elle que tu veux »

Il rit.

« - Ne t’inquiète pas, ton prince charmant ne va plus tarder, j’ai tout prévu pour lui. Même le choix, le choix de choisir la femme qu’il aime la plus au monde. »
Il prit une bouteille d’eau et fit couler le liquide dans la bouche de Teresa alors qu’elle essayait de le recracher.

« - Boit. » Ordonna-t-il.

« - Jamais ! »

Il sourit, s’approcha de son oreille et susurra d’une voie sucrée.

« - Tu finiras comme elles »

Elle observa Grace, les cheveux étalés sur le ciment froid et les yeux à demi-clos. Son visage était d’une pâleur irréelle et le sang coulait avec abondance de son front. Une balle en plein front, bien centrée. Il ne l’avait pas manqué…
Jamais, elle ne cessait de se murmurer ce mot. Jamais elle ne ferait ça à son consultant, jamais elle ne mourait. Angela et Charlotte-Anne avaient été un passage de sa vie, maintenant il fallait qu’il apprenne à tourner la page. C’est ce que lui avait dit Steve Hannigan, l’ancien agent de l’équipe de Lisbon, mais ce jour là, ça avait mal fini avec un Jane le nez en sang. Et même si elle ne savait pas pourquoi elle repensait à ça, ça lui faisait du bien de se rappeler l’arrivée de Patrick Jane dans leurs vies et le joli compliment qu’il lui avait fait sur son nom. Elle sourit, c’était Jane ou elle, oui. Mais à quel prix ?
Elle essaya de se relever, sa tête lui tourna mais elle força. Son corps lui répondait mais elle se surprit à ressentir une douleur le long de son dos à laquelle elle ne s’attendait pas. Elle retomba sur l’horrible ciment.

« - Encore une fois, jusqu’à la fin… »

Jamais elle ne s’arrêtera, toujours elle continuera, un jour elle y arrivera. Elle se promit cette pensée solennelle sans prendre compte des rimes qu’elle venait de créer. Une dernière tentative, la bonne. Elle se releva enfin et essaya de poser ses pieds sur le sol. L’un après l’autre. Toujours, toujours, toujours, jamais. Elle perdit à nouveau l’équilibre et s’effondra, à quelque mètres de la sortie. A quelque mètres de la liberté…

Motel, Californie, Chambre de Patrick Jane :

Il souffla, les larmes aux yeux, il se laissa tomber sur son lit et huma la veste de Teresa. Il avait réussi à la prendre dans son bureau barricadé par trois hommes. Il glissa ses mains sur le cuir et laissa ses doigts se poser à la base de ses poches là et là seulement, il sentit la légère bosse produite dans la poche droite de sa supérieure. La tentation fut trop forte, elle lui en aurait certainement voulu de fouiller ainsi dans ses affaires mais la situation n’était plus la même et c’était à présent la vie de la jeune femme qui était menacée. Il ouvrit la poche et à deux doigts en ressorti le contenu : La clé de ses menottes, et… La croie de sa mère enroulée dans une feuille de papier. Il contempla quelque secondes le pendentif si important aux yeux de la brunette, pour quelle raison l’aurait-elle mis dans sa poche ? Il déplia le papier et lut lentement l’écriture d’ordinateur qui parsemait la feuille.

_________________________________________________

Cher Mr Jane,

Je pus comprendre que la tentation fut trop grande et avec ses simples mots, je vous donne l’occasion de découvrir l’endroit où se trouve votre charmante patronne. Tout d’abord, j’admire votre courage et votre détermination pour la trouver mais vos pistes sont vaines et vous n’avez couvert qu’une infime partie de la Californie, 0,6 km peut être ? Mais qui vous dit qu’elle ou son corps ayant perdu à jamais la lumière se trouve quelque part dans notre état à la vue de tous ? De nos 350 000 habitants. Même cachée, la police qui arpente les rues de notre sublime Californie l’aurait trouvé, vous ne pensez pas ? Trouvez la Patrick. Tic, tac, les aiguilles tournent, seras-tu assez fort pour la retrouver ? Tic, tac, les aiguilles tournent, seras-tu assez fort pour la sauver ? Le tigre rode dans sa cage, ses griffes acérées la retiennent prisonnière, pourras-tu la libérer du dragon tel la princesse dans sa tour ? Il reste à peine 48h…
Tic, tac.

Red John.  
_______________________________________________________________________

Il regarda stupéfait le papier qu’il tenait dans ses mains, la vérité, elle était là, inscrite devant lui ! L’endroit où trouvait Lisbon était indiqué ! Il regroupa chaque chiffre du texte, 0635000048. Le numéro à composer pour retrouver sa patronne, il tapa un à un les chiffres sur le petit clavier de son téléphone et une voie monotone lui répondit simplement.

« - Vous m’avez manqué…»

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
A suivre...  
Verdict ?

Super chap! Mais si jamais tue Lis...!!! (remarque je n'ai rien à dire puisque je l'ai tuée trois fois )

On a la preuve que Van Pelt est vraiment morte ... J'aurais espérée une fausse mort et que tu nous sorte plus tard "en faite elle était juste gravement blessée", tu pourrais quand même nous faire le coup mais ta fic ne serais plus vraiment crédible . J'espère que Jane ne ça pas faire le débile est prévenir les garçons qu'il a une piste sérieuse, la vie de Lisbon en dépant, ça serait vraiment égoïste de sa part qu'il fasse passer sa vengeance avant la sécurité de sa meilleure amie . Sinon VLS (PS: t'inquiète pas, pour la mort de VP j'ai prévue de te détestée seulement 2 semaines, mais c'est juste parce que je t'aime )

Je te l'avais promis, mais j'avais complètement oublié de lire ta fic', désolé ! (Tu me pardonne ? )
J'aime beaucoup la façon dont c'est écrit, l'histoire est très prenante !
Et tu as osé faire mourir Grace !
Peu de personnes l'on fait, mais toi oui, et ça j'aime beaucoup !
Si tu a besoin d'une correctrice, n'hésite pas à me demander, c'est avec plaisir !
Bravo !
J'ai hâte de lire la suite !

Je t'ai déjà dit ce que je pensais de ta fic... Mais je réitère : C'est magnifique !

Je trouve que tu t'es énormement améliorée depuis le tout début !!

Et je t'ai aussi dit que je te trouvais très très très cruelle !!

Mais, tu n'as pas posté le chapitre ? Je te l'ai renvoyer y'a 2/3 jours...

C'est horrible j'ai l'impression d'avoir sautée un  chapitre...  
Donc, merdi de lire et/ou de commenter  

Désolée pour le retard et pour me faire pardonner un chap un peu plus long...
 MaTessaJane pour la correction. :)

remerciement:

Je vous le dis très franchement je n'aime pas ce chap mais MTJ a aimée alors je vous le poste mais je ne suis pas fière de moi et je vous donnerais une bien meilleure qu'alitée au prochain chapitre mais pour le moment ma vie est assez... Compliquée et sans dessus-dessous ont va dire mais dès que ce seras fini la qualité d'avant (du moins j'ésapire qu'il y avait de la qualité) reviendra.


Pov Rigsby :

Je me réveillais en sursaut, je venais de faire un horrible cauchemar. Devant moi se tenait la jeune femme de mes rêves, celle avec qui j’aurais put élever Ben et fonder une magnifique famille. Elle se tenait là devant moi, son corps ayant perdu pour toujours la lumière était allongé sur le sol froid d’une vieille cave toute poussiéreuse, ses magnifiques yeux verts fermés à jamais et ses longs cheveux roux étalés autour de son corps parfait. Grace Van Pelt, la meilleure collègue et amie féminine que j’ai pu rencontrer. J’espérais ne jamais la retrouver comme cela.

Pov Jane :

Je viens de raccrocher. En regardant la pendule au dessus de la machine à café de ma petite chambre de Motel je m’aperçu que cela faisait plus d'une heure que j’étais au téléphone avec le tueur. Et pour quoi finalement ? Rien. Absolument rien. Il n’avait cessé de me répéter qu’en n’agissant point, je l’a tuais à petit feu, qu’il hésitait à chaque instant de s’amuser un peu avec elle et que si je retrouvais un jour son corps ce serait éteint à jamais. Il m’annonça alors que les heures étaient comptées et que bientôt son corps torturé me serait envoyé avec comme cadeau les traces des différentes « activités » qu’il lui aurait infligé. Mon esprit tout entier était embrouillé, je revenais au point de départ, sans indices, sans moyen de la sauver et d’apaiser ma vengeance refoulée pendant tant d’années. J’inspectais une dernière fois la lettre laissée dans la veste de ma patronne. Rien, néant, nada. Avant, il aurait put retracer le numéro de téléphone avec l’aide de Grace mais maintenant il était seul, seul contre le temps.

Pov Extérieur :

Chaques protagonistes étaient en activité pour essayer de percer à jamais le mystère, les agents : Kimball Cho et Waine Rigsby travaillaient sans relâche mais ils devaient se rendre à l’évidence, jamais il ne retrouverait leur patronne et leur collègue, deux amies si chères à leurs yeux. Ils n’avaient aucun indice et Cho s’inquiétait particulièrement pour Jane. L’ancien médium était dans un état désastreux. La veille il l’avait vu tomber alors qu’il marchait sur le parking, il lui avait sourit et dit qu’il avait glissé mais évidement n’importe qui aurait put voir le mensonge, il ne faisait même plus d’effort pour cacher ses sentiments et son état empirait de jours en jours. Il ne mangeait et ne dormait plus, ce qui n’était pas si différent de ses habitudes mais c’est surtout son moral qui en prenait un coup, chacun savait que la capture de John Le Rouge était sa priorité mais que la vie des deux jeunes femmes le préoccupait tout autant. Evidement ils n’étaient pas au courant du mystérieux coup de téléphone ni de la fameuse lettre laissée dans la poche de la veste de leur patronne.

Pov Lisbon :

A moitié allongée sur le sol froid de la pièce j’avais laissé quelques larmes couler le long de la barrière de mes yeux. Je savais au fond de moi-même que mes collègues (s’ils arriveraient) arriveraient trop tard, ils ne pourront pas nous sauver. Ni Grace ni moi. La meilleure option qui se présentait était le suicide mais comme si Red John avait tout prévu pour me garder plus longtemps près de lui il n’y avait pas le moindre objet dans cette pièce à part de la poussière. Pas même une minuscule petite cuillère pour me couper les veines des poignets et mettre à jamais fin à mes jours, après je pouvais encore me pendre avec le reste de vêtement que je portais ou avec l’aide de la chaine qu’il m’avait accroché mais je n’en avais pas le courage. Pas encore…

Pov Extérieur :

Le temps extérieur était de l’humeur de chacun sauf peut-être du tueur le plus réputés de Californie. De grandes bourrasques de vent, une pluie qui tombait en rafale et quelques éclairs s’amusant entre les nuages noirs comme remplis d’une épaisse fumée. Le temps n’était pas à mettre le nez dehors mais contre toute attente un certain tueur en série en avait décidé autrement et c’est seul que dans la nuit il se laissait guider le long d’une route silencieuse et noire comme l’encre sombre qui aurait put s’échapper d’un stylo. Il observait la route qui devant lui formait un long chemin droit et de temps à autre qui tournait et retournait tel un cobra poursuivant sa proie. Son regard vide et son visage inexpressif aurait put donner la chaire de poule à n’importe qui et ses yeux comme injectés de sang pouvait le faire passé pour un ivrogne d’un soir. La voiture roulait, elle n’avait presque plus d’essence. Bientôt il devrait s’arrêter mais il ne pouvait pas. Il devait continuer et aller travailler. Comme d’habitude. Chacun, le prenait pour une personne modèle mais ce n’était qu’un masque qu’il s’était forgé. Son travail était simple et consistait simplement à nettoyer les bureaux d’un certain Bureau Californien d’Investigation mais pour lui c’était bien plus. C’était le moyen d’écouter chaque conversation et de préparer ses plans et ses manœuvres avant que la police n’intervienne. Plus que quelques litres, plus que quelques minutes… Bientôt il pourrait s’amuser.

Pov Red John :

Mon plan était d’une facilité sans pareille, il suffisait d’entrer, de nettoyer, d’écouter et pourquoi pas de tuer une âme qui n’a rien demandée pour faire souffrir ce cher Patrick Jane et installer la peur dans son tendre cœur ? Ca faisait des années que je travaillais ici et au milieu de tous ces policiers. Personne ne m’avait jamais repéré et ils comptaient m’attraper ? Laisser moi rire, aucunes chances, jamais, jamais. J’entre dans les bureaux et passe sous le détecteur de métal, ensuite, je me rends dans une salle avec une plaque en bronze ou est indiquée « Reserve for the staff » et j’attrapais mon balais et mon sceau rempli à ras-bord. Après avoir claqué la porte je m’approchais du réfrigérateur et dans l’ombre j’accrochais un micro, plus rien n’aurait de secret pour moi dans ces locaux mais si j’avais su que dans le recoin d’un couloir se cachait un certain consultant du CBI, la veste et la chemise froissé. Peut-être que je n’aurais pas crié victoire trop vite et… Que je ne me serais pas autant exposé en même temps : qu'est ce qui vous prouve à vous lecteurs de cette folle qui écrit ces quelques mots que je suis vraiment celui que je prétends être ?

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A suivre
Alors ?

Moi j'aime bien ce chapitre
Je comprend tout à fait ton empathie envers Grace, (spoilers saison 5)

Spoiler:

Un bon chapitre, les différents POV sont intéressants, j'aime bien celui de John le Rouge. C'est assez rare de voir le POV d'un tueur, faudrait que j'essaye à l'occasion.
S'il te plait, ne tue pas Lisbon, sinon je vous pond un OS super triste où tout le monde meurt (Je rigole mais j'ai deja toute l'histoire de prête dans mes notes )
Vivement la suite !

Comme je te l'ai redis, tu me tue littéralement avec la fin !!

Tu nous embrouilles, c'est un truc de malade !! xD

Hâte d'avoir ta suite meine kleine Schwester !!

Ps : C'est pas grave du tout, j'ai juste pensé que tu l'avais pas reçu !

Désolée j'ai complètement oubliée de commenter . Je penser pas que c'était possible de ne pas aimer une fille aussi adorable que Grace vous me choquées les filles , enfin chacun son opinion . Sinon ton chapitre était original, c'est pas tout les jours qu'on a des POV RJ , je me demande finalement si c'est vraiment lui vue le nombres de questions qu'on a pût se poser au cours de ce chapitre . Le POV de Lisbon la vraiment de la boule au ventre , j'espère que la Team va la retrouvée avant qu'elle ne fasse une connerie . Une dernière chose à dire VLS VLS VLS

Super chapter. Excellent le mélange des POV. En théorie je n'ai rien à dire sur le sujet mais ne tue pas notre Lis, ça me fait déjà assez mal de l'avoir fait...

Bon sang ! Mais quel Fanfic ! Prenante à souhait! Avec en prime mon Maitre sadique comme jamais...
Vivement la suiiiiiite !

Bonjour à toutes et à tous
Je sais que j'ai laissée ma fanfic' dans les oubliettes et ce pour trop longtemps. Alors, je vous poste cette suite. Le début avait était écrit il y a longtemps et j'ai fait la fin ce matin.

Remerciement <3:

  MaTessaJane, pour la correction, & l'idée du résumé de cette fanfiction. =)
Je vous souhaite un bonne lecture !
Et merci beaucoup pour tous ces sublimes commentaires.   

                                                                           Chapitre 7


Pov Jane :
 

  J’avais aperçu cet homme se glissait derrière le réfrégirateur de notre étage, il me semblait si étrange… J’allais l’intercepter mais je fus attiré pas les cris de Rigsby.

« - J’ai quelque chose ! Les gars ! Les gars ! »

  Je fonçais vers lui et le regardais avec l’envie irrésistible qu’il me donne des nouvelles. Cho (un café à moitié renversé sur sa chemise et sa cravate) arriva complètement impassible

« - J’espère que c’est important, à cause de toi j’ai renversé mon café ! » Fit ce dernier.

« - Heureusement que ce n’était pas mon thé » Murmurai-je pour détendre l’atmosphère mais personne ne réagis. Wayne commença.

« - John Le Rouge nous a envoyé une vidéo ou on voyait une sorte de grande usine de l’extérieur et sur le mur droit on peut apercevoir le reste d’une affiche avec inscrit « visua », j’ai appelé ton grand ami Bret Style et il m’a confirmé que leurs bureaux avait été placés dans une ancienne usine par le passé, j’ai creusé un peu et j’ai eu une adresse. » 


« - John Le Rouge et Visualise ? » Fit Kimball septique mais ce n’était pas le moment de se poser de questions, il fallait retrouver les deux jeunes femmes ! 

« - Oui » répondit le grand brun.

« - On est partit » souffla Cho.

« - Ok ! 

-  Je viens ! » fis-je.

- Quoi ?!


- Non ! » 

  S’exclamèrent à leurs tours les deux officiers.


« - Je… Je dois le faire, pour elles…


- Mais Jane… » Fit Wayne.

« - Laisse-le faire

- Quoi ?! » Fit Rigsby

  Cho me regarda avec compassion et m’expliqua chaque règles que je me devais de suivre. Je lui souris et le suivi, on monta dans nos voitures respectives accompagnées des stups et du SWAT. Arrivés devant l’ancienne usine ayant appartenu à la secte de Bret chacun sorti, arme en main. J’entrais et vis Teresa assise à même le sol, des cernes sombre entouré ses jolie yeux et elle donnait l’impression d’avoir terriblement maigris. 

 

Pov Lisbon :

 

  Je le vis, il était là, face à moi. Jane s'approcha et me caressa gentiment la joue en me murmurant qu’il allait m’aider, qu’il allait me sauver. Je voulu crier pour l’avertir de la présence trouvant derrière lui mais aucun son ne passa mes lèvres, je ne pu que murmurer un minuscule « Patrick… » Mais il ne comprit pas. Soudain, un coup de feu puis le bruit d’un corps tombant sur le sol froid. Je regardais et vis Patrick Jane allongé sur le sol, du sang s’échappant de sa tempe droite. Je regardais son corps inanimé de façon pétrifié pendant qu’un sourire diabolique s’étirait sur les lèvres du tueur en série. Puis un second coup de feu retentit et John tomba lui aussi au sol à côté du premier corps. J’entendis des bruit et eu le temps d’apercevoir mes collègues Kimball Cho et Waine Rigsby me secourir avant de tomber à nouveau dans l’inconscience. Pour oublier, juste oublier mais une seule question demeurait : comment aller Jane ?


Alors ?

Si  Sarah tombe sur ce chap....
enfin, c'est un super chapitre mais la fin m'inquiéte vraiment parce si Jane ne survit pas, j'ose pas imagniner comment réagira Lisbon  , tu brises mon coeur en mille morceau en un seul chapitre....

Je suis vraiment vraiment désolé. Avant de partir en vacance j'avais envoyée ce chapitre à MTJ qu'elle m'a super gentiment corrigé en vitesse éclair mais que je ne pouvais pas postée avec mon portable. Et en rentrant de vacance ça m'ai sortie de la tête. En allant lire une fic' ça a fait tilt donc je vous le poste. Vraiment désolé pour le retard...

Merci MaTessaJane pour la correction .
Merci aussi pour vos com's je n'ai pas trop de temps là mais j'aiditerais pour y répondre personnellement. En tous cas merci beaucoup  , ça fait super plaisir et ça encourage vraiment pour la suite...  .

Chapitre 8

Pov … (point de vue de l’auteur):

Ca faisait deux mois, deux mois entier que toute cette histoire était arrivée. La vie avait-elle reprit son cours ? J’aurais aimé vous le dire mais non. Personne n’avait oublié, au contraire.
Les blessures ne s’étaient pas refermé, les cœurs avaient été brisés. Peut-être à jamais et surtout, surtout les yeux étaient resté fermés.

Jusqu’à ce jour. Des paupières papillonnaient, et deux pupilles rencontrèrent la vie, virent ce plafond maculé de blanc. Celui de l’hôpital. Ca a été leur chambre, leur maison, leur vie pendant deux longs mois. Des mois durs en efforts pour leurs amis. L’effort de ne pas sombrer, de se battre coûte que coûte.

De respirer à nouveau, oui, c’était ça : respirer à nouveau. Chacun avait la tête sous l’eau attendant l’oxygène. Cet oxygène étant le réveil d’une des trois personne sur ses lits d’hôpitaux : Patrick Jane, Teresa Lisbon et enfin le célèbre John-Peter Parisse ou John Le Rouge si vous préférez.


Pov extérieur :

La jeune femme (car c’était une femme) laissa ses yeux émeraude contempler le décors au alentours, pas grand-chose. Une table, quatre chaises, une porte derrière laquelle se trouvait-elle ne savait quoi.

Peut-être une petite salle de bain ? Et enfin, une armoire. Teresa leva le bras jusqu’au bouton d’appel et quelque seconde après une vieille infirmière en blouse blanche entra. Ses cheveux gris tenaient dans un gros chignon fait à la va-vite d’où des mèches rebelles tombaient le long de son doux visage.

Elle approcha et se présenta comme étant Mandy. Mandy comme étant son nom fit quelque tests et sortit de la chambre laissant sa patiente de reposer.


Pov Cho :

Pas d’enquête, aucun rapport à faire c’était le néant au CBI depuis ce fameux jour, à croire que comme Red John avait quitté ce monde pour une durée indéterminé les meurtriers avaient soudain arrêté leur massacre.

Grace aurait surement trouvée ça : « pas si mal » mais Rigsby et moi n’en pouvions plus. Il nous fallait travailler, pour évacuer et peut-être même… Pour oublier les événements déroulés deux mois plus tôt.


FLASH-BACK (pensé de Cho) :

Les ambulances étaient arrivées assez rapidement mais trop tard aussi. Les trois protagonistes avaient perdu connaissance et aucun ne semblait en mesure de vouloir rouvrir les yeux. Wayne et moi essayons de rester fort mais nous avions peur, oui, nous avions peur pour Jane et Lisbon. Encore, John Le Rouge ne serait pas une grosse perte s’il venait à mourir celui-là... Cet homme était une ordure qui mettait en péril la vie du consultant et de ma patronne. Il a aussi tué Grace de sang froid, sans aucun scrupule. Rigsby voulait attendre pour l’enterrer. Il voulait que Jane et Lisbon soit là mais à quoi bon ? Si les deux mourrait, lâchait leur dernier souffle… Non, il ne fallait pas entendre et puis, il fallait respecter le corps de la jeune femme. Je ne pense pas qu’elle aurait apprécié qu’on la laisse à la morgue en attendant ses amis remplit de vie ou bien… Leurs cadavres pour la rejoindre trois pieds sous terre.

FIN DU FLASH-BACK :


Mon portable vibra sur mon bureau, l’hôpital. Cet appel nous l’attendions, nous y étions préparer. La nouvelle allait arriver, belle, triste ? L’un d’eux était mort, avait rendu l’âme ou au contraire s’était réveiller ?

Cet appel allait tout changer aller les rendre heureux ou désemparés. Un coup de fil. Un coup de fil suffisait à tout changer. A changer la vie de deux agents du Bureau Californien d’Investigation. Un seul coup de fil suffisait…


Pov Rigsby :

Le temps s’était comme arrêté. Dès que la sonnerie retentit dans l’espace de travail je couru vers Kimball. Quand il me montre l’appelant je retins mon souffle, il appelait enfin. C’est avec appréhension que mon collègue et ami accepta l’appel et colla l’appareil à son oreille.

Je lui en voulu un peu de ne pas me faire partager sa conversation en mettant le haut-parleur et puis je ne pouvais même pas décrypter les traits de son visage, il restait à jamais impassible. Il raccrocha un petit quart d’heure plus tard et me demanda nonchalament.

« - Ca te dirai d’aller faire un petit bonjour au patron ?
- Je conduis ! »

Je n’avais même pas réfléchi en répondant, tous de suite. On devait y aller tous de suite. Teresa Lisbon était vivante. L’espoir revenait, la vie aussi.

A suivre….


So ? ....

Trés bonne suite, ma Lo' et trés bien écrite.
Le mélange des POVs et l'utilisation du flash-back sont une trés bonne idée. Toujours pas de nouvelles de Jane, en théorie, on dit : "pas de nouvelle, bonne nouvelle" mais avec , se serait plutôt "pas de nouvelle, mauvaise nouvelle". VLS!

Après une (très longue) absence de près d'un mois voilà la suite:
Merci MTJ pour la correction (aussi rapide !) .
@TL: Merci beaucoup pour ton commentaire et d'être aussi fidèle à cette fiction, ce chapitre ne sera constituer que d'un seul "Pov'" et ne contiendra pas de Flash-Back (désolée.. ), pour Jane ? Tu va avoir une réponse..... (Il ne vaut mieux que je ne dise plus rien ou je risque de me faire ).

Je dédicace ce chapitre à MaTessaJane et Teresa Lisbon (le membre du forum, mais tant qu'on y est je le dédicace aussi à la Teresa de la série ).

EDIT: Mon chapitre étant trop court par rapport à la charte, j'ai rajoutée un bout que je mettrais entre crochet pour que ce qui ont déjà lue le chapitre non corrigé s'y retrouve facilement. Comme j'ai dut faire vite le "nouveau bout de chapitre" n'est pas encore corrigé mais j'éditerais au plus vite promis :).

Spoiler saison 6:

Derrière un rêve peux se cacher la terrible réalité…

Pov Lisbon :

J’ouvris les yeux avec l’appréhension de ce que j’allais trouver à mes côtés. Les souvenirs remontaient et s’infiltraient dans tous les pores de ma peau. J’avais peur, oui, à quoi bon le cacher ? La vie m’avait épargnée mais si elle n’avait pas fait de même pour Jane ? Si il était parti…

Il ne m’avait jamais rien dit, ne m’avait jamais rien promis mais au fond de moi je pensais peut-être à un happy end. Qui sait, je deviens peut-être folle mais au fond de moi, nous c’était ça un duo attristé par la vie.
Deux personnes brisées par leurs passés respectif mais ce qui est casser peut être réparer non ?

Enfin bref… Mes paupières papillonnèrent et mes iris couleur émeraude entrèrent en contact avec celle bleu océan de mon consultant. Il était donc en vie ! Les coins de ma bouche s’étirèrent et malgré moi un sourire se forma sur mon visage pâle. Il avait survécu, il était revenu des ténèbres, pour moi ?

Soudain, il se pencha et avec (pour une fois) un réel sourire sur les lèvres, un sourire tellement rare de sa part. Un de ses sourires qui vous dit « je suis en vie, je vais bien, nous allons bien ». Oui, un magnifique sourire.

Il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur ma joue, je fermais les yeux et il se mit à tripoter entre deux de ses doigts une mèche de mes cheveux ébène.

Il se releva et se repositionna sur son siège inconfortable juste à côté de mon lit d’hôpital. Il releva ses iris bleus/verts et encra ses yeux dans les miens, comme pour lire en moi.

Qu’il lise ! Qu’il comprenne ce que je ressente !

J’avais voulu le cacher, pendant tant d’années j’ai essayé et il a tout gâché. Il m’a embrassé ce soir là et quand enfin j’ai pu reprendre mes sens et approfondir l’échange il s’est enfuis. On n’en a plus jamais reparlé mais… Après avoir frôlé la mort à de trop nombreuse reprise et à présent voir son regard hypnotisant braqué sur moi, tout ce que je souhaite c’est qu’il repose ses lèvres sucré sur les miennes.

Tous ce que je désirais c’est qu’il ne m’abandonne plus, qu’il tire un trait sur John Le Rouge ou du moins qu’il n’y pense plus tous les jours, toutes les heures, chaque minute et chaque seconde de sa vie.

Je m’apprêtais à ouvrir la bouche pour lui parler mais il me coupa en déposant deux doigt sur mes lèvres, je lui lançai un regard curieux mais il ne cessa de me fixer avec ce tendre regard, je n’eu rien à dire, je n’en nu pas le temps.
Il s’approcha et déposa ses lèvres sur les miennes. J’eu juste le temps de fermer les yeux et…
De ne plus rien sentir, en rouvrant les yeux je tombais sur cette chambre froide et impersonnelle qu’étaient les chambres d’hôpital, plus de chaise inconfortable près de mon lit, plus de Patrick Jane. Seulement ce minuteur et ces machines médicale qui me reliaient à la vie.

Un rêve, c’était seulement un rêve.

Je soupirai et scruta mon environnement lorsque soudain la porte s’ouvrit dans un grincement.

Y avait-il une chance pour que rêve et réalité se confonde ?

Juste un seconde,
juste une minutes,
juste une journée,
juste le temps d’oublier Red John…

[Pov Jane :
J’avais mal à la tête, mal aux bras, mal au ventre, mal aux jambes, mon corps tout entier me faisait horriblement souffrir. J’ouvris lentement, très lentement les yeux. Je sentis un souffle à mes côtés et avec précaution je tournais la tête et mes yeux rencontrèrent les iris noisette d’un homme blanc. La cinquantaine, cheveux noirs un peu blancs, propre sur lui et une barbe de trois jours, à ses pieds : une sacoche noire. Il se présenta comme étant l’agent spécial Johns, du Bureau Fédéral d’Investigation, je ne bronchai pas. Il commença à me parler, doucement, lentement, comme pour que chaque mot s’infiltrent dans une cellule de mon cerveau, comme pour que j’imprime à jamais ses paroles dans ma tête. Je me sentais partir, je m’épuisais à rien faire. J’aurais voulu lui dire d’arrêter de parler, de me laisser me reposer mais je n’en fis rien. Sa voix mélodieuse m’appelait vers un sommeille certains. Mes paupières se firent lourdes. Je luttais pour me tenir éveillé mais la fatigue reprenait ses droits, m’obligeant à fermer les yeux. Ma tête glissa sur le côté, au bord de l’oreiller. Mon esprit partit, lentement, surement, vers un pays différent, un monde plus joyeux, un endroit simple, calme, un endroit ou je serais en sécurité, un endroit où j’aurais le droit d’aimer. Oui, un endroit réellement parfait. Je m’endormis en quelque minute, rêvant de ce pays, de cet endroit où je m’offrirais de nouveaux souvenirs, de nouveaux rires, de nouveaux sourires. Un endroit ou ma famille serait présente, mes amies aussi, et Lisbon, oui, surtout Lisbon.

Elle avait la place dans ce royaume. Dans cet endroit, je lui en ouvrais les portes. Lui permettant d’y entrer et de voir, de voir, qui je pourrais être si il n’y avait pas la menace de John Le Rouge, si il n’y avait le CBI, si ont s’était rencontrer dans ce passé, ce passé ou je respirais encore la joie de vivre mais à cette époque m’aurait-elle autant intéressé qu’à présent ? Probablement pas. Je ressentis soudain le besoin de respirer, mes yeux s’ouvrir largement et je pus voir l’agent spécial Johns au dessus de moi, sa main sur ma bouche empêchait l’air de s’infiltrait dans mes poumons, je me débattis durant ce qui me sembla une éternité mais il resserrât sa prise sur moi. Il avait le regard dur, impassible.


Pov Extérieur :

Il gagnerait et il le savait tous les deux. Jane ne pourrait pas se débattre éternellement et l’homme était dans de meilleures conditions physiques, et pas cloué à un lit inconfortable d’hôpital. Je bougeai la tête, je suffoquai, j’allais lâcher, abandonné. Abandonné ceux pour quoi je me battais depuis si longtemps. L’homme se pencha et mon oreille et chuchota « Tigre, tigre » comme il y a des années, comme John Le Rouge le jour ou il m’avait enlevé. Mes yeux s’élargirent de stupeurs et mes pupilles se dilatèrent du au manque d’oxygène puis plus rien, le trou noir, je sentais les mains de l’homme se posait sur mes épaules pour me remettre normalement sur le lit, il recouvrit mon corps de la couverture et sortit sans un mot. Les minuteurs s’affolèrent, les infirmières et le médecin entrèrent dans la chambre, trop tard. Il n’y avait plus de vie qui sortirait de ce cor, sa dernière pensée fut pour sa belle Charlotte-Anne qu’il allait enfin retrouvée, oui, il allait retrouver sa femme et sa fille. Il quittait une vie pour en obtenir une autre auprès de sa défunte famille.

Il aurait juste voulut dire au revoir à l’équipe avant, et à Lisbon, Teresa. Si elle était en vie il savait qu’elle ne s’en remettra pas, jamais. C’était surement pour ça qu’il sentit une vague de tristesse le submergeai et atteindre son cœur, oui, surement pour ça. Sa vie ici était terminé, une nouvelle chance arrivait, et là-bas, il ferait tout ce qui est en son pouvoir pour la saisir et l’utiliser à bon escient, cette fois, il ferait les bons choix et s’attacherait aux bonnes personnes et pas à celles qui pourraient le regretter.]

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A suivre.... (il ne reste plus beaucoup de chapitre avant la fin).

Merci pour la dédicace, ma Lo'!

mais tant qu'on y est je le dédicace aussi à la Teresa de la série

,  pourquoi pas.
J'aime bien aussi un seul POV surtout quand c'est celui de ma Lis et que tu le maîtrise aussi bien.

Derrière un rêve peux se cacher la terrible réalité…

ne me dit pas que ce je pense vient d'arriver... ...

Je soupirai et scruta mon environnement lorsque soudain la porte s’ouvrit dans un grincement.

ça c'est vraiment ce que l'on peut appeler rassurant, je suis presque sûre que celui qui entre est RJ ou un de ces complices (en espérant tout de même que Jane ne soit pas mort et que ce soit lui qui rentre mais cela dit il y  a peu de chances que ce soit le cas...).

Y avait-il une chance pour que rêve et réalité se confonde ?

Je ne sais plus si je dois espérer parce que théoriquement ça dépend et du rêve et de la réponse que l'on apporte à cette question... Bref,  en tant qu'auteur, j'aime bien ce genre de question qui séme le doute dans l'esprit des lecteurs mais en tant que lecteur, c'est autre chose.

Juste un seconde, juste une minutes, juste une journée

j'aime bien ce décompte en sens inverse.

juste le temps d’oublier Red John…

, est-ce vraiment possible ? Et là mon pressentiment se précice, j'ai de en plus en plus l'impression que l'homme que  l'on va voir franchir la porte,dans le prochain chapitre est RJ et qu'il ne va pas être porteur de bonnes nouvelles... Mais VLS la suite tout de même!!