Effet de société
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Effet de société
Bonsoir à tous !
Possédant un blog depuis 5 mois presque 6 maintenant, je me suis décidé à venir poster mes créations (poèmes, recueilles) sur ce site !
J'espère que ça plaira... :)
Et pour commencer, voici mes tous premiers !
Rajeunissement
Un texto d'elle me fait sourire
Un sourire d'elle me fait vivre d'enivrement
Un rapprochement de sa part me fait devenir toute chose
Un touché de sa part me fait vivre chez les anges
Comme un ange descendu du ciel juste pour toi...
Un souvenir qui ne mourra jamais, une présence qui ne s'effacera jamais...
C'est mon ying, je suis le yong.
L'absence
Son visage est gravé dans ma mémoire, son sourire sur mes lèvres, sa beauté m'ensorcelle, je deviens esclave de son parfum, ces cheveux gravés dans mon cou, ces doigts sur mon visage, aussi simple que le mot je t'aime, aussi beau que les touchés qu'elle me donne à respiré.
Le temps n'étant plus que le vestige d'une civilisation disparue, qui ne revient que pour m'apprendre le sens du terme : disparu sans elle
Matter of perception
Elle altère ma conscience, amplifie mes bonheurs, fleurie mes malheurs,
change ma perception du monde, modifie ma vision de l'être, mon âme est
hantée par son être. Je suis amoureux d'elle, je l'ai toujours était...
L'amour d'un conte de fée, élevé par un monde hostile.
Missing life
Le regard peut changer l'âme
Le sourire peut changer la perdition
Le touché peut changer le monde
Chacun de mes regards, sourires, touchés, ont changés la vie à jamais
La vie m'a changée, je ne peux plus la regarder sans y ressentir un profond sourire intérieur, plus la toucher sans y ressentir une profonde humilité.
La vie est cette fille que je ne trouve plus que par de volatile regard, sourire ou touché furtif...
Ciel blanc
Observant la neige tomber du ciel, une seule chose m'est venu en tête
La féérie d'une enfance féérique, tombe devant mes yeux
Si froid, mais si blanc comme la pureté d'une âme d'enfant
L'innocence s'en va, mais son sourire reste, et ces rêves brillent dans ma tête
Le bonheur est là, il stagne dans un décors parsemé de joie
...Ni le froid, ni le blanc m'atteignent, juste l'idée de l’Éden...
Possédant un blog depuis 5 mois presque 6 maintenant, je me suis décidé à venir poster mes créations (poèmes, recueilles) sur ce site !
J'espère que ça plaira... :)
Et pour commencer, voici mes tous premiers !
Rajeunissement
Un texto d'elle me fait sourire
Un sourire d'elle me fait vivre d'enivrement
Un rapprochement de sa part me fait devenir toute chose
Un touché de sa part me fait vivre chez les anges
Comme un ange descendu du ciel juste pour toi...
Un souvenir qui ne mourra jamais, une présence qui ne s'effacera jamais...
C'est mon ying, je suis le yong.
L'absence
Son visage est gravé dans ma mémoire, son sourire sur mes lèvres, sa beauté m'ensorcelle, je deviens esclave de son parfum, ces cheveux gravés dans mon cou, ces doigts sur mon visage, aussi simple que le mot je t'aime, aussi beau que les touchés qu'elle me donne à respiré.
Le temps n'étant plus que le vestige d'une civilisation disparue, qui ne revient que pour m'apprendre le sens du terme : disparu sans elle
Matter of perception
Elle altère ma conscience, amplifie mes bonheurs, fleurie mes malheurs,
change ma perception du monde, modifie ma vision de l'être, mon âme est
hantée par son être. Je suis amoureux d'elle, je l'ai toujours était...
L'amour d'un conte de fée, élevé par un monde hostile.
Missing life
Le regard peut changer l'âme
Le sourire peut changer la perdition
Le touché peut changer le monde
Chacun de mes regards, sourires, touchés, ont changés la vie à jamais
La vie m'a changée, je ne peux plus la regarder sans y ressentir un profond sourire intérieur, plus la toucher sans y ressentir une profonde humilité.
La vie est cette fille que je ne trouve plus que par de volatile regard, sourire ou touché furtif...
Ciel blanc
Observant la neige tomber du ciel, une seule chose m'est venu en tête
La féérie d'une enfance féérique, tombe devant mes yeux
Si froid, mais si blanc comme la pureté d'une âme d'enfant
L'innocence s'en va, mais son sourire reste, et ces rêves brillent dans ma tête
Le bonheur est là, il stagne dans un décors parsemé de joie
...Ni le froid, ni le blanc m'atteignent, juste l'idée de l’Éden...
Re: Effet de société
Salut.
Tes photos et tes écrits sont très jolis.
Par contre je me permet de te signaler que l'endroit où tu as posté n'est pas le bon car ici on est sur le topic des créations en rapport avec The Mentalist et j'ai pas vu Jane sur la plage..... Donc je déplace ton sujet dans les autres créations.
https://the-mentalist.frenchboard.com/f70-fanarts
Merci et à bientôt.
Tes photos et tes écrits sont très jolis.
Par contre je me permet de te signaler que l'endroit où tu as posté n'est pas le bon car ici on est sur le topic des créations en rapport avec The Mentalist et j'ai pas vu Jane sur la plage..... Donc je déplace ton sujet dans les autres créations.
https://the-mentalist.frenchboard.com/f70-fanarts
Merci et à bientôt.
Re: Effet de société
Très jolies phots et très beau coucher de soleil
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: Effet de société
Thanks you very much voila et luciole ! :)
En voilà d'autres
Sa présence
Je l'observe, je la touche, je l'agrippe de mes poings d'aciers
Glacés dans ce blanc, glacés dans mon cœur, glacé dans ma tête
Chaleur chaleur, vient à moi, je ne peux plus me regarder !
Le froid s'impose, la chaleur disparait, mes membres se crispent
Aide-moi ! aide-moi petite chaleur ! Reste à mes cotés !
...Ensemble, nous restons là...
Seul elle et moi subsistons dans ce décors parsemés de glaçons
Miroir
Le passé, un évènement incrusté dans ma tête,
Il m'a changé à tout jamais,
Taciturne, timide, mais chaleureux et grand joueur,
Une rencontre avec cette fille qui a tout changée, aussi belle et lumineuse que mon âme d'enfant,
Un futur parsemé d'embuche,
...Voilà ce que je représente...
Étreinte
On se cajole, on se chouchoute, on se confie dans les moments pourris
On se refuge, on se taire des prédateurs de la nuit, du jour, et du toujours
On perd toute essence d'humanité confronté à la pire des impolitesses
L'essence de notre âme se meurt, alors on se fuit de nous même
Va ainsi le monde de la vie
...La règle selon Darwin.
Poète du cœur
Poète dans l’âme, mais seul dans mon cœur...
Solitude qui m’étreint, solitude qui me harcèle, solitude qui m'abandonne
Respirer, courir, envie de m'échapper, envie de tout casser
Qu'une seule envie, l'exile sur une ile du pacifique
Âme écarlate comme l'eau de l'océan dans laquelle je nage dans les moments de désespoir
...Envie de respirer, de m'éclater, de vivre la joie à m'en exploser le cœur..
Définition
Observateur, passionné, chaleureux, délicat, triste, délireur
Adjectifs qui me qualifie, adjectifs qui me définie
Juste un être qui tente de se définir dans le monde définie par Darwin
Prédateurs, tenter de capturer mon âme, je vous y donnerais désolation
Acceptation de l’être, livré au soutient du mal qui redresse les torts de mes mal
...O mal ! O détresse ! O désespoir ! Laissez moi devinez, laissez moi respirer...
Sensibilité
Délicatesse, ne soit pas si détresse avec moi meme !
Il ne t'a rien fait de mal, à part vivre de mon etre !
Juste etre moi meme dans les moments de tristesse..
Retrouver le miroir, retrouver son visage, retrouver son regard d'espoir
Crier, souffrir, gueuler, respirer, voilà ce que je ressens lorsque tu m'abandonne !
...Prendre mon visage, et le confronter aux défauts, comme eau trouble venant briser le cycle du miroir
En voilà d'autres
Sa présence
Je l'observe, je la touche, je l'agrippe de mes poings d'aciers
Glacés dans ce blanc, glacés dans mon cœur, glacé dans ma tête
Chaleur chaleur, vient à moi, je ne peux plus me regarder !
Le froid s'impose, la chaleur disparait, mes membres se crispent
Aide-moi ! aide-moi petite chaleur ! Reste à mes cotés !
...Ensemble, nous restons là...
Seul elle et moi subsistons dans ce décors parsemés de glaçons
Miroir
Le passé, un évènement incrusté dans ma tête,
Il m'a changé à tout jamais,
Taciturne, timide, mais chaleureux et grand joueur,
Une rencontre avec cette fille qui a tout changée, aussi belle et lumineuse que mon âme d'enfant,
Un futur parsemé d'embuche,
...Voilà ce que je représente...
Étreinte
On se cajole, on se chouchoute, on se confie dans les moments pourris
On se refuge, on se taire des prédateurs de la nuit, du jour, et du toujours
On perd toute essence d'humanité confronté à la pire des impolitesses
L'essence de notre âme se meurt, alors on se fuit de nous même
Va ainsi le monde de la vie
...La règle selon Darwin.
Poète du cœur
Poète dans l’âme, mais seul dans mon cœur...
Solitude qui m’étreint, solitude qui me harcèle, solitude qui m'abandonne
Respirer, courir, envie de m'échapper, envie de tout casser
Qu'une seule envie, l'exile sur une ile du pacifique
Âme écarlate comme l'eau de l'océan dans laquelle je nage dans les moments de désespoir
...Envie de respirer, de m'éclater, de vivre la joie à m'en exploser le cœur..
Définition
Observateur, passionné, chaleureux, délicat, triste, délireur
Adjectifs qui me qualifie, adjectifs qui me définie
Juste un être qui tente de se définir dans le monde définie par Darwin
Prédateurs, tenter de capturer mon âme, je vous y donnerais désolation
Acceptation de l’être, livré au soutient du mal qui redresse les torts de mes mal
...O mal ! O détresse ! O désespoir ! Laissez moi devinez, laissez moi respirer...
Sensibilité
Délicatesse, ne soit pas si détresse avec moi meme !
Il ne t'a rien fait de mal, à part vivre de mon etre !
Juste etre moi meme dans les moments de tristesse..
Retrouver le miroir, retrouver son visage, retrouver son regard d'espoir
Crier, souffrir, gueuler, respirer, voilà ce que je ressens lorsque tu m'abandonne !
...Prendre mon visage, et le confronter aux défauts, comme eau trouble venant briser le cycle du miroir
Re: Effet de société
Thanks you WinJane ! =)
Et non, je ne suis pas photographe, je fais ça juste pour le plaisir
En voilà d'autres !
Life
Les films sont ma génération
Les films sont m'ont exutoire
Tout comme le net est mon apprentissage
Élevé par l'un, nourrit par l'autre,
Je vis au rythme de ces neurones qui ne me contrôle pas,
...Électron et neutron, sont ma raison de vivre,
Le supplice de tantales est mon fruit défendu...
Indescriptible
J'observe ces scènes et je ressens mon être
L'âme qui tambourine dans ma poitrine
Émotion qui grimpe, qui m'encerclent, qui me déserte...
...La tristesse qui m'envahit
Je lui souris, je lui cède l'envie
...Un film, une histoire, une vie, une envie, émotive et sans isoloir...
Voilà comment je ressens au quotidien
Larme
Pleurer...
Devant un film
Devant mon miroir
Devant une série télé
Extérioriser la tristesse de l'être...
...Naviguant toujours à l'eau trouble, le bleu infinie est mon amie
Comment dire "je t'aime", sans pleurer ?
Jtm...
Envie d'une vie
L'égo, l'ennemi du bon sens
Ne vouloir vivre que son bonheur
Ignorer le malheur des autres
Refuser de le porter dans son cœur
L'ennemi du catharsis, de l'envie du bonheur,
...Comment vivre sans l'envie d'être réunis ?
La douleur me réunit chez ma famille et mes ami(e)s...
See
Les retrouvailles, les mots du cœur
Une confession, une exagération
Une libération, un amour
Aussi blanc que la neige qui tombe, qu'un je t'aime contre l'oreille
Je la touche d'un souvenir
...Les mots qu'il faut...
Enivrement
Une danse, un pas de danse
Un touché, une caresse
Un bisous, un mouvement au corps à corps
Ne faisant plus qu'un...
Le regard plongé, les mots étincelants, le sourire effacé
... L'émotion, le sentiment, aussi vivant que mes pas qui se dérobe sous le sol
Oublier
Les mots qu'il faut
Oublier une erreur passé
Le souvenir d'un touché, que je ne peux plus toucher
Un désir aussi volatile que l'envie de la voir revenir
Je la contemples comme le temple d'Atlantis
...Plus qu'un souvenir qui reste indélébile...
Poésie
Une question sur moi ?
Un épilogue, une histoire, un récit
Une émotion, une idée, un embryon de métamorphose
La vague d'un changement, d'une source d'inspiration
Comme l'écriture de ce Lyrique née d'une émotion pure vécue sous l'instant du moment...
Grace
Engourdissement dans les jambes ou les mains
Un état d'existence, un délice de l'esprit
Ni peur, ni colère, ni tristesse
Aucune tension, juste l'envie d'être soit même
Perdu dans l'âme d'un être de poète
Sans drogue, juste par le pouvoir de l'âme
...Grace à l'esprit éduqué dans la douleur...
Une vie
Une apparence misérable
Un boom boom dans ma poitrine
Une vision du monde très philosophique
Un état de pensée très elliptique
Ce que je suis ne me définie pas totalement
....Seul ma vie entière pourrait me définir à ma juste valeur...
Et non, je ne suis pas photographe, je fais ça juste pour le plaisir
En voilà d'autres !
Life
Les films sont ma génération
Les films sont m'ont exutoire
Tout comme le net est mon apprentissage
Élevé par l'un, nourrit par l'autre,
Je vis au rythme de ces neurones qui ne me contrôle pas,
...Électron et neutron, sont ma raison de vivre,
Le supplice de tantales est mon fruit défendu...
Indescriptible
J'observe ces scènes et je ressens mon être
L'âme qui tambourine dans ma poitrine
Émotion qui grimpe, qui m'encerclent, qui me déserte...
...La tristesse qui m'envahit
Je lui souris, je lui cède l'envie
...Un film, une histoire, une vie, une envie, émotive et sans isoloir...
Voilà comment je ressens au quotidien
Larme
Pleurer...
Devant un film
Devant mon miroir
Devant une série télé
Extérioriser la tristesse de l'être...
...Naviguant toujours à l'eau trouble, le bleu infinie est mon amie
Comment dire "je t'aime", sans pleurer ?
Jtm...
Envie d'une vie
L'égo, l'ennemi du bon sens
Ne vouloir vivre que son bonheur
Ignorer le malheur des autres
Refuser de le porter dans son cœur
L'ennemi du catharsis, de l'envie du bonheur,
...Comment vivre sans l'envie d'être réunis ?
La douleur me réunit chez ma famille et mes ami(e)s...
See
Les retrouvailles, les mots du cœur
Une confession, une exagération
Une libération, un amour
Aussi blanc que la neige qui tombe, qu'un je t'aime contre l'oreille
Je la touche d'un souvenir
...Les mots qu'il faut...
Enivrement
Une danse, un pas de danse
Un touché, une caresse
Un bisous, un mouvement au corps à corps
Ne faisant plus qu'un...
Le regard plongé, les mots étincelants, le sourire effacé
... L'émotion, le sentiment, aussi vivant que mes pas qui se dérobe sous le sol
Oublier
Les mots qu'il faut
Oublier une erreur passé
Le souvenir d'un touché, que je ne peux plus toucher
Un désir aussi volatile que l'envie de la voir revenir
Je la contemples comme le temple d'Atlantis
...Plus qu'un souvenir qui reste indélébile...
Poésie
Une question sur moi ?
Un épilogue, une histoire, un récit
Une émotion, une idée, un embryon de métamorphose
La vague d'un changement, d'une source d'inspiration
Comme l'écriture de ce Lyrique née d'une émotion pure vécue sous l'instant du moment...
Grace
Engourdissement dans les jambes ou les mains
Un état d'existence, un délice de l'esprit
Ni peur, ni colère, ni tristesse
Aucune tension, juste l'envie d'être soit même
Perdu dans l'âme d'un être de poète
Sans drogue, juste par le pouvoir de l'âme
...Grace à l'esprit éduqué dans la douleur...
Une vie
Une apparence misérable
Un boom boom dans ma poitrine
Une vision du monde très philosophique
Un état de pensée très elliptique
Ce que je suis ne me définie pas totalement
....Seul ma vie entière pourrait me définir à ma juste valeur...
Re: Effet de société
Vraiment jolies photos
Tes textes sortent de l'imagination?????
Tes textes sortent de l'imagination?????
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: Effet de société
Merci Luciole
Et oui tous les textes sont de moi
En voici d'autres
O promesse ! O tendresse !
Sociabilité que je te prend
Sociabilité que je te surprend
Tu est là devant moi
Tu me tend les mains, irascibilité montre le bout de son nez
Le sourire, les yeux, l’œil, la larme... Que tu me donne à voir
Je combat, je désengage
Je fuis, je détruit
Je revient, je souris
Je tremblote, tu me cajole...
... Te voir sans cette cape, ce sourire factice, cette promesse
Et j'embrasse...
In my mind
Écrire, se fondre dans la masse
Espérer un regard, un échange, un mot, une lettre
Mais je n'arrive plus à espérer, à oublier
Toujours dans ma tête, dans mon esprit
Tenter de tourner la page, mais quoique je fasse...
...Que je dise, est illusoire
Je te vois là, mais je ne peux dire les mots qu'il faut tant que tu me trouvera des défauts
Cette lumière qui stagne, qui reste devant toi, qui te tend la main
Je n'arrive plus à sourire...
Je te vois, mais je ne peux avancer tant que tu ne me dira pas les mots qu'il faut
Alors je reste là, à avancer dans l'ombre, dans la colère, dans la tristesse
Une larme au bord de l’œil, qui se cristallise par la froideur de mon âme...
Espoir
Paisible sur un lit
Allongé, le souffle court
Respirer profondément
Paisible dans la tête, dans l’âme
Une sérénade dans ma poitrine
Un sifflement dans l'oreille
Entendre les battements de son cœur, de son âme, de son esprit
Giser sur le lit moelleux et froid
Fermer les yeux, penser au douce présence de cette fille
Ces mots échos à mon maux
Virulente et sans pitié, mais je ne peux me résigner à abandonner
Je resterais là tant qu'elle ne me verra pas, parce que l'amour aveugle rend aveugle au sens de l'espoir...
Indélébile
Je suis là, face à elle
Paralysée de la tête au pied
Le temps d'une vie me dit-elle
Je la touche, plus qu'un souvenir
Une entité lumineuse, que je tente de briser par le baiser sacré
Comment briser le cycle d'une nuit sans sommeil...
...Sans rêve, sans souvenir de ces rêves...
Je m'avance vers elle, à sentir sa chaleur, sa peur, sa tristesse du passé
Je lui murmure une chose à l'oreille, qu'elle s'empresse de rejeter par une larme...
Je me retourne, face à mes erreurs, elle m'enlace et prend ma main
Amour indélébile d'un souvenir
Mot à mot
Présence, soit présente
Sourire, sourie à ma vie
Juste là, devant moi
Désire qui m'envahit, qui m'étourdit, qui me paralyse
Excitation qui monte, qui me rend humain
Plus de limite, excepté l'envie
Plus de limite, excepté le désir
Face à face, cote à cote, parler, se coller
Dé-consolidé, catatonisé, déboussolé
Liberatam
Une vie qui prend un sens dès que son visage me caresse
Une lumière qui devient étincelante lorsque son sourire me caresse
Transformatio
Je prend soin d'elle, par les mots, que je n'ai su dire par les lèvres
Ainsi va la vie lorsque son sourire prend un sens à ma vie
Une vie que je n'ai su dire, par l'excitation elle se traduit et se consolide
... Libération, transformation
Et oui tous les textes sont de moi
En voici d'autres
O promesse ! O tendresse !
Sociabilité que je te prend
Sociabilité que je te surprend
Tu est là devant moi
Tu me tend les mains, irascibilité montre le bout de son nez
Le sourire, les yeux, l’œil, la larme... Que tu me donne à voir
Je combat, je désengage
Je fuis, je détruit
Je revient, je souris
Je tremblote, tu me cajole...
... Te voir sans cette cape, ce sourire factice, cette promesse
Et j'embrasse...
In my mind
Écrire, se fondre dans la masse
Espérer un regard, un échange, un mot, une lettre
Mais je n'arrive plus à espérer, à oublier
Toujours dans ma tête, dans mon esprit
Tenter de tourner la page, mais quoique je fasse...
...Que je dise, est illusoire
Je te vois là, mais je ne peux dire les mots qu'il faut tant que tu me trouvera des défauts
Cette lumière qui stagne, qui reste devant toi, qui te tend la main
Je n'arrive plus à sourire...
Je te vois, mais je ne peux avancer tant que tu ne me dira pas les mots qu'il faut
Alors je reste là, à avancer dans l'ombre, dans la colère, dans la tristesse
Une larme au bord de l’œil, qui se cristallise par la froideur de mon âme...
Espoir
Paisible sur un lit
Allongé, le souffle court
Respirer profondément
Paisible dans la tête, dans l’âme
Une sérénade dans ma poitrine
Un sifflement dans l'oreille
Entendre les battements de son cœur, de son âme, de son esprit
Giser sur le lit moelleux et froid
Fermer les yeux, penser au douce présence de cette fille
Ces mots échos à mon maux
Virulente et sans pitié, mais je ne peux me résigner à abandonner
Je resterais là tant qu'elle ne me verra pas, parce que l'amour aveugle rend aveugle au sens de l'espoir...
Indélébile
Je suis là, face à elle
Paralysée de la tête au pied
Le temps d'une vie me dit-elle
Je la touche, plus qu'un souvenir
Une entité lumineuse, que je tente de briser par le baiser sacré
Comment briser le cycle d'une nuit sans sommeil...
...Sans rêve, sans souvenir de ces rêves...
Je m'avance vers elle, à sentir sa chaleur, sa peur, sa tristesse du passé
Je lui murmure une chose à l'oreille, qu'elle s'empresse de rejeter par une larme...
Je me retourne, face à mes erreurs, elle m'enlace et prend ma main
Amour indélébile d'un souvenir
Mot à mot
Présence, soit présente
Sourire, sourie à ma vie
Juste là, devant moi
Désire qui m'envahit, qui m'étourdit, qui me paralyse
Excitation qui monte, qui me rend humain
Plus de limite, excepté l'envie
Plus de limite, excepté le désir
Face à face, cote à cote, parler, se coller
Dé-consolidé, catatonisé, déboussolé
Liberatam
Une vie qui prend un sens dès que son visage me caresse
Une lumière qui devient étincelante lorsque son sourire me caresse
Transformatio
Je prend soin d'elle, par les mots, que je n'ai su dire par les lèvres
Ainsi va la vie lorsque son sourire prend un sens à ma vie
Une vie que je n'ai su dire, par l'excitation elle se traduit et se consolide
... Libération, transformation
Re: Effet de société
A présent, une succession de 13 poèmes englobant mon état d'être d'hier et d'aujourd'hui, lorsque je fus à mi chemin entre conscience malade et saine d'un traumatisme, le tout agrémenté de photo mélancolique...
Petite connotation : certains des 13 poèmes sont parfois assez osés dans les détails sexuels...
1er poème :
Faire appel à la douleur
Faire appel à l'amour, c'est faire disparaitre la douleur
Faire appel à la douleur, c'est faire apparaitre l'amour
Ne jamais fuir, ne jamais se désister, ne jamais refuser, ne jamais apprendre...
Aussi vite qu'une roue sortie de son axe, traversant le périphérique à toute allure,
La seule allure qui m'aille, c'est l'appel à la douleur
Un périphérique aussi bondé qu'un week end en centre ville, qu'une plage aussi dépeuplé qu'un océan ravagé par la tempête du siècle
Je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, je ne peux apprendre...
Faire face à la douleur, faire face à l'amour, c'est faire face à soit même,
Une erreur d'antan, aussi frappante qu'un coup de poing, aussi irréversible que la cicatrice corporelle, aussi irrésistible qu'une cicatrise psychologique,
Je ne peux apprendre, je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir...
Je cours aussi vite que le vent, je cours aussi vite que les vagues, mais quoique je tente de faire, ça me rattrape, alors je fais volte face...
Mais quoique je tente de faire, je fuis aussi vite que l'amour, aussi vite que l'incidence d'une cicatrice de l'esprit, et je deviens incontrôlable
L'âme sort de mon être, divague autour de ma tête, et se crash sur le vestige perdu d'une ile apparemment déserte
Je me refuges dans l'antre du dragon, dans la niche d'un renard, mais peu importe mes ruses, le vent est trop puissant, et finit toujours par me rattraper, tel une tempête tropicale
Un antre aussi noir que la désespérance, aussi divergente qu'une émotion vacillante, perdu dans le méandre d'un esprit assaillis par la douleur
Le dragon s'approche de moi, mais je ne peux le fuir, je ne peux le désister, je ne peux le refuser, je ne peux apprendre à lui faire peur
Ces yeux perçants me regardent, je ne bouges pas, je reste immobile, le sourire à la lèvre
Peu importe sa signification, ça me donne la force de rester immobile...
Je ne peux refuser la cause, je ne peux qu'accepter la déchéance
Aussi perdu qu'une baleine échouée sur une plage, criant de tous ces poumons pour s'en sortir, mais ne pouvant émettre qu'un signale de détresse, par des ondes de choc qui choque mon esprit, aussi choquant qu'un appel à l'aide ignorer, aussi choquant qu'un appel au feu qui soit l'unique respecter, mais il n'y a que le feu pour éteindre mes ardeurs
Je tente de me calmer, mais rien à faire, le feu m'assaille de toute part, et fait fondre ma colère
Je tente de me fuir, mais rien à faire, le doute m'assaille de toute part, et fait fondre mon incompréhension
Devenant aussi transparent qu'un linge blanc au tissu très fin, aussi fin que ma psychologie, qui vole en éclat lorsqu'elle se confronte à une tempête tropicale,
Je suis désespéré, je suis remué, je suis solitude, je suis désinvolture, je suis et je deviens moi-même, et je resterais aussi brulant qu'une flamme traversant mon âme
Mon âme aussi sauve qu'une vierge entourée de prédateur, O je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, mais je peux apprendre, parce que l'apprentissage peut m'aider à apprendre à séduire la vierge, qui se tord de douleur
D'une douleur d'un monde symbolique, aussi perçant que la symbolique d'un mot, je ne peux la charmer qu'avec mes mots, qu'avec mon monde, qu'avec mes paroles aussi lourde en symbolique que la symbolique d'un charme, qui la charme aussi certainement qu'elle s'ouvre, qu'elle ouvre à moi ces jambes m'entourant
La colère m'assaillis, la désinvolture me brule l'âme, je ne peux fuir cette vierge, je ne peux fuir son amour, je ne peux que fuir sa beauté, qui est synonyme de douleur pour mon âme d'enfant brulé...
Une brulure aussi perçante que l'orgasme qu'elle se procure pour faire fondre mes doutes, pour faire fondre mon incompréhension, parce que je lis en elle comme dans un livre ouvert
Elle me réconforte dans son idée de me séduire, je l'a réconforte dans mon idée de la séduire
Mais je ne peux apprendre, je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir, je suis prisonnier de son charme aujourd'hui et à jamais, parce que son charme est tout ce que mon âme brulé me reste
Alors j'accepte, j'acquiesce, je reste, et j'observe, parce que mon âme est tout ce qu'il me reste...
2e poème :
L'amour de mon âme d'enfant brulé
Faire appel à la douleur, c'est comme faire appel au monstre qui est en nous
Un diable en sommeil, qui se réveille dans une âme désolé, aussi désolation qu'une ville en flamme
Je peux mourir, je peux vivre, mais je ne peux refuser, ni fuir...
Une âme au service du diable, une âme au service de la mort, je peux vivre, mais je ne peux mourir
Et je reste là, à observer la vierge se donner plaisir, aussi plaisant qu'un ébat amoureux poignant d'intimité, mais je ne peux vivre, je ne peux mourir...
Je suis et je resterais là, à son service, parce que la vierge tient l'emprise de mon âme d'enfant brulé, et quoique je tente de faire, elle reste mienne pour l'éternité, au service du diable qui tient mon âme dans sa main
Un diable qui n'a pas d'âme, qui n'a pas de vif, qui n'a pas d'œil, qui n'a rien d'autre que la volonté de diabolisé son âme d'enfant désolé
Une volonté qui n'a d'égale que son inégal démesure de me séduire
Et je reste là, à l'observer, parce que je ne peux vivre, ni ne peux mourir
Et tandis que la vierge m'observe, je reste là, à la contempler, parce qu'elle me fait oublier l'envie de vivre, l'envie d'éternité de la mort qui vient à moi
Tous ce que je peux faire, c'est regarder le diable, retournant son regard d'œil de prédateur
Et je là vois, elle, s'allonger dans un lit de feu, de plume, de soie, mettre sa main dans son vagin, et se toucher aussi intimement qu'un amant toucherait sa poitrine en feu
Un feu provoqué par la présence du diable qui est en moi, parce qu'elle aime être observé par mon âme d'enfant brulé, aussi brulé que ma main qui tente de la toucher
Et reste là, à m'observer, à se donner du plaisir, me donnant une sueur froide
Une sueur froide que je ne peux écouter, que je ne peux fuir, que je ne peux désister, mais qui peux m'apprendre que la douleur est le synonyme d'un amour perdu
Perdu sur le sable d'une ile perdu, sur l'essence de son existence, sur l'essence de sa volonté à m'enflammer dans un tourbillon orgasmique de plaisir et de châtiment,
Elle s'approche de moi, entièrement nu, m'observant avec ces yeux d'enfant brulé, et je ne peux m'ouvrir, je ne peux lui sourire, je ne peux que l'encerclé avec mes bras, lui touché ces lèvres, lui rendre un touché
Ce touché est le touché de mon âme perdu d'une ile de désolation d'un sable brulant comme la flamme de mon âme qui erre autour de mon crane, et je ne peux l'oublier, mais je décide de l'ignorer...
Et j'avance vers elle, j'oublie le diable qui tient dans sa main mon âme, j'oublie la sueur froide qui stagne sur mon front, j'oublie la fièvre du feu qui emprisonne mon âme, parce que l'enfant brulé qui est en moi, restera mienne pour l'éternité, aussi certainement que le diable est une partie de moi, aiguisé d'un sourire qui poigne mon cœur
La peur m'emprisonne, et quoique je tente de dire, cela ne restera que des mots, qui toucheront son cœur, mais qui resteront malgré tout mon ombre
Une ombre aussi épaisse que la cicatrice d'une blessure psychologique
Fuir, aimer, se résigner, parcourir, faire volte face, comme la face du vent qui me fait face, frôlant mes cheveux, frôlant ma peau avec sa douceur prisonnière de mon inexistence qui hurle de toute ces forces pour subsister
Quoique je dise, quoique je fasse, elle restera mienne pour l'éternité, aussi certainement que mes mots qui ne peuvent la séduire, parce que la séduction fait partie de mon passé brulé par mon âme d'enfant brulé, et je reste là, à l'observer, à tendre ma langue, car elle est l'outil de son plaisir
Je me rapproche d'elle, je la touche, je la caresse, mes doigts touchent ces sains, et je suis terrifié...
Aussi terrifié qu'un enfant qui tente de demander à l'aide d'un prédateur qui l'a poursuivi pour capturer l'innocence de son essence d'âme d'enfant perdue
Elle m'observe et me touche, et je reste là, tétanisé par sa beauté, par sa chaleur, par son ora
Je la regarde, j'approche mes doigts, et je touche ces lèvres avec mes lèvres, l'enfant brulé est devenu le diable qui brule mon âme...
Son parfum m'enivre de plaisir, déboussole tous mes repères, et je reste là, mon pénis dans l'antre de sa virginité
Je ne peux fuir, je ne peux me désister, je ne peux oublier, mais je peux apprendre de sa chaleur, parce qu'elle me fait oublier sa brulure qui n'est plus que cicatrice, et qui fait glisser mes doigts sur sa peau, et qui fait provoquer jouisse-ment et tumulte-ment de son âme
Une cicatrice, une brulure qui n'est visible que dans les yeux de l'autre, parce qu'à présent, nous partageons la même vision d'un amour athée et pressé par les tumultes d'un monde en proie à la tétanisation, au délivre et sacrement d'une bible, d'un prêche perdue et oubliée depuis longtemps
Elle ne me dit pas un mot, elle m'observe et me sourit, parce qu'à présent, je ne peux regarder, observer l'antre de ce dragon sans me dire que son regard perçant à changer ma vision du monde, à changer le regard du diable de mon âme qui brule à présent dans son crane, et j'échange alors son regard par un baiser aussi rigoureux et volatile qu'un je t'aime qui n'a d'importance que par la cicatrice de mon esprit qui se cicatrise avec le temps d'un souffle déconcertant, et qui concerne mon réconfort d'enfant brulé...
3e poème :
Son regard, sa présence
La société qui me regarde, et m'efface de son regard, qui perce mon front,
Le souvenir de ce dragon brulé me hante jour et nuit, mais je ne peux l'effacer de mon esprit
Je parcours la plaine verte tel un souvenir fané par la tempête tropical qui a fait rage
J'observe les décors, l'herbe mouillée me fait penser à cette fameuse nuit de similitude avec l'amour, prononcé par l'être aimé de mon âme qui séjourne en le diable le temps d'un souffle qui perdure
Je touche cette herbe et j'entre alors en communion avec cette déesse qui m'observe de par ces nuages tumultueux, se tordant dans tous les sens, criant de rage, où le vent fait rage
Je m'allonge et pense à elle, à cette nuit où elle fut mienne, et qui reste mienne pour l'éternité qui me sert maintenant de bloc note à mes idées perdues sur cette ile perdue, au sable s'étant transformé en herbe verte
Que faire, que dire de tous cet amour que je porte en moi, et qui ne peut sortir de ma bouche que par la solitude qui trotte de par l'essence de mon existence qui me sert de bouclier au ravage du temps qui s'effrite sous mes pieds
Je ne peux bouger par la plénitude de cette plaine au ravage de mon âme qui erre sans but autour de mon esprit
Lorsque je la vois, je l'a vois séjourné à mes cotés, debout, d'un regard adoucis par la douceur de ma présence, mais je ne peux toujours pas la touché, parce que le touché signifie sacrifié cet instant de plaisir perduré par sa présence aussi légère que le papillon qui vole à mes cotés et qui se pose par une fleur blanche
J'approche ma main de sa hanche, qui s'empresse de me la prendre pour la poser contre sa joue qui provoque triple battement du cœur avant de l'embrasser d'un baisser aussi rigoureux qu'un je t'aime qui fut échanger lors de cette fameuse nuit où je fus sienne
Elle me touche les cheveux, engouffre sa main dans mes cheveux effrité par le doux vent que me procure cette tempête qui fait rage au dessus de nos têtes, mais que l'on ignore parce que la peur m'habite et ne peut me déloger de cette habita d'herbe aussi verte qu'une plaine envers qui je repose pied et jambe, par un amour sans fin, aussi fin qu'une fine couche de peau qui se peaufine sur les contours de ces yeux et qui me regardent attendrissement
Je suis attendri, je m'écroule sous l'effort d'un fort qui se pose sur mes épaules, aussi lourd qu'un chagrin, qu'un char qui dévale mon cou, et ma larme qui s'écroule sur mes joues
Je pleurs, et je l'a regardes, mon amour ne peut rivaliser avec les feux qui diable qui brule en moi, le dragon vivant encore en moi, perduré par la terreur qui m'habite par l'égo qui me décortique
Et je pleurs, de nouveau, et encore, pour que le pleur se transforme en fleur blanche au fine couche de tristesse qui emballe ma larme qui séjourne sur mes joues,
Je vole, j'abrite, je fuis et je sors de son sors qui m'encercle et me délivres de ce point qu'est son amour transporté par l'éternité de son baiser qui s'engouffre et engouffre dans son sillage
Je suis délivré...
Une délivrance qui n'a de prix que par la douleur d'un chant d'automne qui arrache les feuilles d'un arbre mourant par l'effritement d'une larme d'un orage qui gronde dans mon être meurtris par ce regard du diable qui m'habite à jamais, au sein de mes rêves...
4e poème :
La douleur qu'elle me donne par amour
Le rêve qui me hante est comme sa présence qui me touche la poitrine avec ces mains d'ange déchus
Elle, comme moi avons vécus une cicatrise psychologique qui hante nos jours et endors nos nuits
Une hantise qui se transforme en désire qu'elle s'efforce de me faire ressentir,
Une hantise qui disparait grâce à ces mains qui encercle mes cheveux pour me faire oublier le rêve qui hante mes rêves
Les yeux de ce regard de diable qui me hante et qui me fait oublier la douleur de ce monde, et de mon âme meurtris par sa présence
Je ne peux lui demander de m'échanger un regard. Ce regard étant emprunt d'une emprunte d'amour éternel, issue de la vie éternelle
Je ne peux lui offrir mon amour, cela serait comme trahir l'amour qu'elle porte en la vie, et que la vie elle-même lui a conférée le droit de donner la vie
Mais je peux lui offrir mon cœur, en guise de cadeau éternel, guise d'un amour sans limite, retranscris par ma douleur éternelle, car je ne suis pas un amour vif, je ne suis que la vive émotion d'un mal pervertis
L'émotion du mal qui m'habite est aussi pure que la douleur que l'on ressent lorsque le mal nous trahis, aussi pure qu'un poignard en plein cœur, qui nous habite comme acier d'une lame aussi froide que la douleur qui déguise mon habileté en étroitesse
Une lame aussi froide, aussi aiguisée que la lame du mal qui transcende mon âme,
Une lame aussi froide, aussi pervertis que le regard qui me regarde chaque fois que je la regarde
Je ne peux m'empêcher de la désirer plus que mon propre mal, parce qu'elle est mon mal
Un mal qui ne peux s'expliquer par des mots, mais uniquement par le touché d'un baiser transcendé par le froid d'un vent qui me traverse à chacun de mes touchés contre sa peau
O fille, O diluvienne, pourquoi es-tu si douce ? Pourquoi es-tu si inaccessible ? Pourquoi restes-tu ?
Se contente de me répondre par le regard d'une vierge, secouru d'une menace virginale par la présence de ma posture, par la présence de mon sourire m'ayant transpercé par l'orgasme qu'elle s'est procuré, son vagin aussi symbolique que l'antre de ma souffrance
Feuillage, humidité, c'est ce que représente l'inaccessibilité de son amour, aussi abondant qu'un plaisir sans fin, aussi fin qu'une envie émotive traversée par le plaisir malsain qu'elle me procure par amour d'âme égale
Aussi égal, aussi vain que l'envie de fuir cette ile perdue des eaux, au nulle part inexplicable, aussi vain que ce sable transformait miraculeusement en plaine verte, un miracle qui ne se produit qu'une fois tous les millénaires, parce que la fille me fait voir la miraculeuse de la vie qu'une fois toutes les morts, qu'une fois tous les mal perfidies, qu'une fois tous les mal transpercés
Elle me dit « n'est pas peur », et me touche la peau, me touche les lèvres, me touche les oreilles, me touche mon antre jambe, que je ne peux refuser, telle une offrande au mal absolu, à la douleur trompée par une vérité sans fin
Je ne peux l'éloigner par ma main en feux, qui représente l'âme meurtris qui me tournois autour, et qui représente son âme coupé en deux,
Je ne peux qu'accepter cette offrande, je ne peux qu'accepter la douleur qu'elle me donne par amour
Petite connotation : certains des 13 poèmes sont parfois assez osés dans les détails sexuels...
1er poème :
Faire appel à la douleur
Faire appel à l'amour, c'est faire disparaitre la douleur
Faire appel à la douleur, c'est faire apparaitre l'amour
Ne jamais fuir, ne jamais se désister, ne jamais refuser, ne jamais apprendre...
Aussi vite qu'une roue sortie de son axe, traversant le périphérique à toute allure,
La seule allure qui m'aille, c'est l'appel à la douleur
Un périphérique aussi bondé qu'un week end en centre ville, qu'une plage aussi dépeuplé qu'un océan ravagé par la tempête du siècle
Je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, je ne peux apprendre...
Faire face à la douleur, faire face à l'amour, c'est faire face à soit même,
Une erreur d'antan, aussi frappante qu'un coup de poing, aussi irréversible que la cicatrice corporelle, aussi irrésistible qu'une cicatrise psychologique,
Je ne peux apprendre, je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir...
Je cours aussi vite que le vent, je cours aussi vite que les vagues, mais quoique je tente de faire, ça me rattrape, alors je fais volte face...
Mais quoique je tente de faire, je fuis aussi vite que l'amour, aussi vite que l'incidence d'une cicatrice de l'esprit, et je deviens incontrôlable
L'âme sort de mon être, divague autour de ma tête, et se crash sur le vestige perdu d'une ile apparemment déserte
Je me refuges dans l'antre du dragon, dans la niche d'un renard, mais peu importe mes ruses, le vent est trop puissant, et finit toujours par me rattraper, tel une tempête tropicale
Un antre aussi noir que la désespérance, aussi divergente qu'une émotion vacillante, perdu dans le méandre d'un esprit assaillis par la douleur
Le dragon s'approche de moi, mais je ne peux le fuir, je ne peux le désister, je ne peux le refuser, je ne peux apprendre à lui faire peur
Ces yeux perçants me regardent, je ne bouges pas, je reste immobile, le sourire à la lèvre
Peu importe sa signification, ça me donne la force de rester immobile...
Je ne peux refuser la cause, je ne peux qu'accepter la déchéance
Aussi perdu qu'une baleine échouée sur une plage, criant de tous ces poumons pour s'en sortir, mais ne pouvant émettre qu'un signale de détresse, par des ondes de choc qui choque mon esprit, aussi choquant qu'un appel à l'aide ignorer, aussi choquant qu'un appel au feu qui soit l'unique respecter, mais il n'y a que le feu pour éteindre mes ardeurs
Je tente de me calmer, mais rien à faire, le feu m'assaille de toute part, et fait fondre ma colère
Je tente de me fuir, mais rien à faire, le doute m'assaille de toute part, et fait fondre mon incompréhension
Devenant aussi transparent qu'un linge blanc au tissu très fin, aussi fin que ma psychologie, qui vole en éclat lorsqu'elle se confronte à une tempête tropicale,
Je suis désespéré, je suis remué, je suis solitude, je suis désinvolture, je suis et je deviens moi-même, et je resterais aussi brulant qu'une flamme traversant mon âme
Mon âme aussi sauve qu'une vierge entourée de prédateur, O je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, mais je peux apprendre, parce que l'apprentissage peut m'aider à apprendre à séduire la vierge, qui se tord de douleur
D'une douleur d'un monde symbolique, aussi perçant que la symbolique d'un mot, je ne peux la charmer qu'avec mes mots, qu'avec mon monde, qu'avec mes paroles aussi lourde en symbolique que la symbolique d'un charme, qui la charme aussi certainement qu'elle s'ouvre, qu'elle ouvre à moi ces jambes m'entourant
La colère m'assaillis, la désinvolture me brule l'âme, je ne peux fuir cette vierge, je ne peux fuir son amour, je ne peux que fuir sa beauté, qui est synonyme de douleur pour mon âme d'enfant brulé...
Une brulure aussi perçante que l'orgasme qu'elle se procure pour faire fondre mes doutes, pour faire fondre mon incompréhension, parce que je lis en elle comme dans un livre ouvert
Elle me réconforte dans son idée de me séduire, je l'a réconforte dans mon idée de la séduire
Mais je ne peux apprendre, je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir, je suis prisonnier de son charme aujourd'hui et à jamais, parce que son charme est tout ce que mon âme brulé me reste
Alors j'accepte, j'acquiesce, je reste, et j'observe, parce que mon âme est tout ce qu'il me reste...
2e poème :
L'amour de mon âme d'enfant brulé
Faire appel à la douleur, c'est comme faire appel au monstre qui est en nous
Un diable en sommeil, qui se réveille dans une âme désolé, aussi désolation qu'une ville en flamme
Je peux mourir, je peux vivre, mais je ne peux refuser, ni fuir...
Une âme au service du diable, une âme au service de la mort, je peux vivre, mais je ne peux mourir
Et je reste là, à observer la vierge se donner plaisir, aussi plaisant qu'un ébat amoureux poignant d'intimité, mais je ne peux vivre, je ne peux mourir...
Je suis et je resterais là, à son service, parce que la vierge tient l'emprise de mon âme d'enfant brulé, et quoique je tente de faire, elle reste mienne pour l'éternité, au service du diable qui tient mon âme dans sa main
Un diable qui n'a pas d'âme, qui n'a pas de vif, qui n'a pas d'œil, qui n'a rien d'autre que la volonté de diabolisé son âme d'enfant désolé
Une volonté qui n'a d'égale que son inégal démesure de me séduire
Et je reste là, à l'observer, parce que je ne peux vivre, ni ne peux mourir
Et tandis que la vierge m'observe, je reste là, à la contempler, parce qu'elle me fait oublier l'envie de vivre, l'envie d'éternité de la mort qui vient à moi
Tous ce que je peux faire, c'est regarder le diable, retournant son regard d'œil de prédateur
Et je là vois, elle, s'allonger dans un lit de feu, de plume, de soie, mettre sa main dans son vagin, et se toucher aussi intimement qu'un amant toucherait sa poitrine en feu
Un feu provoqué par la présence du diable qui est en moi, parce qu'elle aime être observé par mon âme d'enfant brulé, aussi brulé que ma main qui tente de la toucher
Et reste là, à m'observer, à se donner du plaisir, me donnant une sueur froide
Une sueur froide que je ne peux écouter, que je ne peux fuir, que je ne peux désister, mais qui peux m'apprendre que la douleur est le synonyme d'un amour perdu
Perdu sur le sable d'une ile perdu, sur l'essence de son existence, sur l'essence de sa volonté à m'enflammer dans un tourbillon orgasmique de plaisir et de châtiment,
Elle s'approche de moi, entièrement nu, m'observant avec ces yeux d'enfant brulé, et je ne peux m'ouvrir, je ne peux lui sourire, je ne peux que l'encerclé avec mes bras, lui touché ces lèvres, lui rendre un touché
Ce touché est le touché de mon âme perdu d'une ile de désolation d'un sable brulant comme la flamme de mon âme qui erre autour de mon crane, et je ne peux l'oublier, mais je décide de l'ignorer...
Et j'avance vers elle, j'oublie le diable qui tient dans sa main mon âme, j'oublie la sueur froide qui stagne sur mon front, j'oublie la fièvre du feu qui emprisonne mon âme, parce que l'enfant brulé qui est en moi, restera mienne pour l'éternité, aussi certainement que le diable est une partie de moi, aiguisé d'un sourire qui poigne mon cœur
La peur m'emprisonne, et quoique je tente de dire, cela ne restera que des mots, qui toucheront son cœur, mais qui resteront malgré tout mon ombre
Une ombre aussi épaisse que la cicatrice d'une blessure psychologique
Fuir, aimer, se résigner, parcourir, faire volte face, comme la face du vent qui me fait face, frôlant mes cheveux, frôlant ma peau avec sa douceur prisonnière de mon inexistence qui hurle de toute ces forces pour subsister
Quoique je dise, quoique je fasse, elle restera mienne pour l'éternité, aussi certainement que mes mots qui ne peuvent la séduire, parce que la séduction fait partie de mon passé brulé par mon âme d'enfant brulé, et je reste là, à l'observer, à tendre ma langue, car elle est l'outil de son plaisir
Je me rapproche d'elle, je la touche, je la caresse, mes doigts touchent ces sains, et je suis terrifié...
Aussi terrifié qu'un enfant qui tente de demander à l'aide d'un prédateur qui l'a poursuivi pour capturer l'innocence de son essence d'âme d'enfant perdue
Elle m'observe et me touche, et je reste là, tétanisé par sa beauté, par sa chaleur, par son ora
Je la regarde, j'approche mes doigts, et je touche ces lèvres avec mes lèvres, l'enfant brulé est devenu le diable qui brule mon âme...
Son parfum m'enivre de plaisir, déboussole tous mes repères, et je reste là, mon pénis dans l'antre de sa virginité
Je ne peux fuir, je ne peux me désister, je ne peux oublier, mais je peux apprendre de sa chaleur, parce qu'elle me fait oublier sa brulure qui n'est plus que cicatrice, et qui fait glisser mes doigts sur sa peau, et qui fait provoquer jouisse-ment et tumulte-ment de son âme
Une cicatrice, une brulure qui n'est visible que dans les yeux de l'autre, parce qu'à présent, nous partageons la même vision d'un amour athée et pressé par les tumultes d'un monde en proie à la tétanisation, au délivre et sacrement d'une bible, d'un prêche perdue et oubliée depuis longtemps
Elle ne me dit pas un mot, elle m'observe et me sourit, parce qu'à présent, je ne peux regarder, observer l'antre de ce dragon sans me dire que son regard perçant à changer ma vision du monde, à changer le regard du diable de mon âme qui brule à présent dans son crane, et j'échange alors son regard par un baiser aussi rigoureux et volatile qu'un je t'aime qui n'a d'importance que par la cicatrice de mon esprit qui se cicatrise avec le temps d'un souffle déconcertant, et qui concerne mon réconfort d'enfant brulé...
3e poème :
Son regard, sa présence
La société qui me regarde, et m'efface de son regard, qui perce mon front,
Le souvenir de ce dragon brulé me hante jour et nuit, mais je ne peux l'effacer de mon esprit
Je parcours la plaine verte tel un souvenir fané par la tempête tropical qui a fait rage
J'observe les décors, l'herbe mouillée me fait penser à cette fameuse nuit de similitude avec l'amour, prononcé par l'être aimé de mon âme qui séjourne en le diable le temps d'un souffle qui perdure
Je touche cette herbe et j'entre alors en communion avec cette déesse qui m'observe de par ces nuages tumultueux, se tordant dans tous les sens, criant de rage, où le vent fait rage
Je m'allonge et pense à elle, à cette nuit où elle fut mienne, et qui reste mienne pour l'éternité qui me sert maintenant de bloc note à mes idées perdues sur cette ile perdue, au sable s'étant transformé en herbe verte
Que faire, que dire de tous cet amour que je porte en moi, et qui ne peut sortir de ma bouche que par la solitude qui trotte de par l'essence de mon existence qui me sert de bouclier au ravage du temps qui s'effrite sous mes pieds
Je ne peux bouger par la plénitude de cette plaine au ravage de mon âme qui erre sans but autour de mon esprit
Lorsque je la vois, je l'a vois séjourné à mes cotés, debout, d'un regard adoucis par la douceur de ma présence, mais je ne peux toujours pas la touché, parce que le touché signifie sacrifié cet instant de plaisir perduré par sa présence aussi légère que le papillon qui vole à mes cotés et qui se pose par une fleur blanche
J'approche ma main de sa hanche, qui s'empresse de me la prendre pour la poser contre sa joue qui provoque triple battement du cœur avant de l'embrasser d'un baisser aussi rigoureux qu'un je t'aime qui fut échanger lors de cette fameuse nuit où je fus sienne
Elle me touche les cheveux, engouffre sa main dans mes cheveux effrité par le doux vent que me procure cette tempête qui fait rage au dessus de nos têtes, mais que l'on ignore parce que la peur m'habite et ne peut me déloger de cette habita d'herbe aussi verte qu'une plaine envers qui je repose pied et jambe, par un amour sans fin, aussi fin qu'une fine couche de peau qui se peaufine sur les contours de ces yeux et qui me regardent attendrissement
Je suis attendri, je m'écroule sous l'effort d'un fort qui se pose sur mes épaules, aussi lourd qu'un chagrin, qu'un char qui dévale mon cou, et ma larme qui s'écroule sur mes joues
Je pleurs, et je l'a regardes, mon amour ne peut rivaliser avec les feux qui diable qui brule en moi, le dragon vivant encore en moi, perduré par la terreur qui m'habite par l'égo qui me décortique
Et je pleurs, de nouveau, et encore, pour que le pleur se transforme en fleur blanche au fine couche de tristesse qui emballe ma larme qui séjourne sur mes joues,
Je vole, j'abrite, je fuis et je sors de son sors qui m'encercle et me délivres de ce point qu'est son amour transporté par l'éternité de son baiser qui s'engouffre et engouffre dans son sillage
Je suis délivré...
Une délivrance qui n'a de prix que par la douleur d'un chant d'automne qui arrache les feuilles d'un arbre mourant par l'effritement d'une larme d'un orage qui gronde dans mon être meurtris par ce regard du diable qui m'habite à jamais, au sein de mes rêves...
4e poème :
La douleur qu'elle me donne par amour
Le rêve qui me hante est comme sa présence qui me touche la poitrine avec ces mains d'ange déchus
Elle, comme moi avons vécus une cicatrise psychologique qui hante nos jours et endors nos nuits
Une hantise qui se transforme en désire qu'elle s'efforce de me faire ressentir,
Une hantise qui disparait grâce à ces mains qui encercle mes cheveux pour me faire oublier le rêve qui hante mes rêves
Les yeux de ce regard de diable qui me hante et qui me fait oublier la douleur de ce monde, et de mon âme meurtris par sa présence
Je ne peux lui demander de m'échanger un regard. Ce regard étant emprunt d'une emprunte d'amour éternel, issue de la vie éternelle
Je ne peux lui offrir mon amour, cela serait comme trahir l'amour qu'elle porte en la vie, et que la vie elle-même lui a conférée le droit de donner la vie
Mais je peux lui offrir mon cœur, en guise de cadeau éternel, guise d'un amour sans limite, retranscris par ma douleur éternelle, car je ne suis pas un amour vif, je ne suis que la vive émotion d'un mal pervertis
L'émotion du mal qui m'habite est aussi pure que la douleur que l'on ressent lorsque le mal nous trahis, aussi pure qu'un poignard en plein cœur, qui nous habite comme acier d'une lame aussi froide que la douleur qui déguise mon habileté en étroitesse
Une lame aussi froide, aussi aiguisée que la lame du mal qui transcende mon âme,
Une lame aussi froide, aussi pervertis que le regard qui me regarde chaque fois que je la regarde
Je ne peux m'empêcher de la désirer plus que mon propre mal, parce qu'elle est mon mal
Un mal qui ne peux s'expliquer par des mots, mais uniquement par le touché d'un baiser transcendé par le froid d'un vent qui me traverse à chacun de mes touchés contre sa peau
O fille, O diluvienne, pourquoi es-tu si douce ? Pourquoi es-tu si inaccessible ? Pourquoi restes-tu ?
Se contente de me répondre par le regard d'une vierge, secouru d'une menace virginale par la présence de ma posture, par la présence de mon sourire m'ayant transpercé par l'orgasme qu'elle s'est procuré, son vagin aussi symbolique que l'antre de ma souffrance
Feuillage, humidité, c'est ce que représente l'inaccessibilité de son amour, aussi abondant qu'un plaisir sans fin, aussi fin qu'une envie émotive traversée par le plaisir malsain qu'elle me procure par amour d'âme égale
Aussi égal, aussi vain que l'envie de fuir cette ile perdue des eaux, au nulle part inexplicable, aussi vain que ce sable transformait miraculeusement en plaine verte, un miracle qui ne se produit qu'une fois tous les millénaires, parce que la fille me fait voir la miraculeuse de la vie qu'une fois toutes les morts, qu'une fois tous les mal perfidies, qu'une fois tous les mal transpercés
Elle me dit « n'est pas peur », et me touche la peau, me touche les lèvres, me touche les oreilles, me touche mon antre jambe, que je ne peux refuser, telle une offrande au mal absolu, à la douleur trompée par une vérité sans fin
Je ne peux l'éloigner par ma main en feux, qui représente l'âme meurtris qui me tournois autour, et qui représente son âme coupé en deux,
Je ne peux qu'accepter cette offrande, je ne peux qu'accepter la douleur qu'elle me donne par amour
Dernière édition par Seb le Jeu 2 Juin 2011 - 11:23, édité 1 fois
Re: Effet de société
On va être pote alors si tu fais de la photo^^
Moi c'est plutôt roman pour les écrits... je devrais etre publier très bientôt^^
Tu utilises quoi comme appareil photo? Un reflex? Moi je fais de le photo avec un reflex Canon EOS 350D^^
Moi c'est plutôt roman pour les écrits... je devrais etre publier très bientôt^^
Tu utilises quoi comme appareil photo? Un reflex? Moi je fais de le photo avec un reflex Canon EOS 350D^^
Invité- Invité
Re: Effet de société
J'utilise un simple portable
Le nokia x6 (5 mega pixels)
Mais avant celui la, c'était un samsung je sais plus quoi (3x2 mega pixels)
Et oui, la photo j'adore ça ! Ça me permet d'exprimer de manière émotionnelle les poèmes que j'écris (comme la musique pour un film ), mais également d'immortaliser de magnifique paysage qu'il m'est donné de voir
Le nokia x6 (5 mega pixels)
Mais avant celui la, c'était un samsung je sais plus quoi (3x2 mega pixels)
Et oui, la photo j'adore ça ! Ça me permet d'exprimer de manière émotionnelle les poèmes que j'écris (comme la musique pour un film ), mais également d'immortaliser de magnifique paysage qu'il m'est donné de voir
Re: Effet de société
5e poème :
(Pour cette 5e poésie, je vous donnes rendez vous sur cette page --> https://the-mentalist.frenchboard.com/post?f=76&mode=newtopic )
6e poème :
O fille, O sentiment
Je ne peux la reculer, je ne peux la repousser, je ne peux l'accoupler, je ne peux l'embrasser
Pourquoi, pourquoi êtres si cruel, pourquoi être si doux avec moi-même ?
Les vœux de douleur chers à mon cœur ne peuvent-ils être rompus que par l'affront d'un baisé qu'elle m'a rendu lors de cette folle nuit qui était nous et sienne à moi pour l'éternité du mal à jamais ?
Un mal qui ne peut être ignoré, qui ne peut être congédié, parce que ce mal est moi, et je lui ai fait vœux d'éternité...
Mais alors, comment accepter son amour ? Est-ce par l'affrontement de douleur d'un au revoir ? Je ne peux faire cela à une vierge qui a vu sa fleure rougir de bonheur à la vue de mon fol œil...
Allongé à mes cotés, assis, œil fixé sur le lit qui lui sert de repos à la Joconde, le doux drap blanc posé sur sa douce verge, les seins reposés contre son corps
J'observe le miroir, qui reflète le reflet de mon ombre pesante, aussi pesant que l'invraisemblance qui m'habite, qui me ronge, qui me désole, que je ne peux fuir ni accepter parce que cela serait comme un affront à l'offrande de ma libération pour avoir aimé la belle fille allongée sur mon lit
Je retourne à son lit, à son pieux repos, je caresse son dos, sa bouche, son nez, ces oreilles, que je peux contempler avec fierté tel un pro chevalier de retour de croisade pour avoir voulu posséder la douce emprunte d'une vie sans vie, d'une emprunte invisible, aussi invisible que l'emprunte de mon baiser posé sur sa peau, que je ne peux effacer par un arrêt sur image. Le seul pouvoir qui m'est conféré est celui d'observer, de contempler, d'apprécier cette fleure qui n'est mienne que par accouplement de nos deux espèces
Une espèce aussi fragile que la fragilité de ma sensibilité, aussi fragile que l'épaisseur psychique de mon esprit, qui ne peut s'exprimer que par des mots invisibles, aussi visible qu'un vent d'été, se posant lentement sur sa douce et fleurette présence qu'elle me donne à voir, parce que mes yeux ne me donnent à voir que cette valeureuse
Une espèce aussi différente, aussi invraisemblable, aussi exaltante que le baiser qu'elle me fait, sur le cou de mon courageux silence imposé à ces cotés,
Une espèce aussi mystérieuse que pénétrante de virtuosité, qui n'a d'égal que son grain de peau, que son grain d'image aussi imaginé que l'image de sa beauté
Mon opposé, ma fleure, mon tout, mon rien créé d'un tout, O fillette, O garçon, O brulure d'antant, pourquoi me fais-tu encore ressentir cette enivrante chaleur, cette enivrante paroi créé par l'essence d'une cicatrise, par l'erreur commise d'un bête aussi sot qu'un seau où l'ont verse de l'eau, et qui se renverse, pour mieux le resservir ?
Elle me chuchote des choses à l'oreille que je n'entends guerre, pour ainsi mieux approcher mon oreille de ces lèvres, pour ainsi mieux entendre son doux et gracieux discours d'un remerciement sans exaltation, sans pénétration, comme la pénétration commise par mon pénis jadis
Je les entends, je les écoutes, je leur fait preuve de prière, pour mieux écarter leur primaire provocation qu'est la tentation du sexe féminin contre la paroi de ma vacante douleur du soir
Je me retourne, face à son regard, face à ces lèvres, je les touches, je les observe, mais je ne peux la refuser, je ne peux que l'accepter, parce qu'elle est mienne, et restera mienne à jamais et pour toujours tant que la douleur existera en moi
Des sentiments aussi inviolables par les mots qu'inexistants par le touché, je suis et je resterais tienne, mais seul l'éternité pourra répondre à mon salut d'une âme en perdition, et je ne pourrais me libérer de ma promesse qu'en acceptant ce dont qu'il m'est offert
7e poème :
L'offrande
Une offrande aussi pointue que la lame d'un couteau, aussi froide que la rosée d'un matin, aussi humidifiée que la grotte d'un fleuve qui représente l'eau de la vie, aussi vitale que l'équilibre dont la vie à besoin pour vivre
Que dire sur cette offrande qu'il m'eu offert étant jeune, et qui changea ma vie à jamais ?
Que dire d'une offrande aussi douce que la nuit d'un été, aussi noir que le jour d'un hiver ?
Une qui m'eu donné lorsque j'étais jeune, et pour qui l'étape fut difficile à franchir, aussi difficile que la franchise d'une promesse sur la mort de ma vie que je ne peux dissoudre que par la lointaine pensée de mon être
Une prison de verre, une prison de l'état d'être, une prison d'un esprit échelé
Je le regarde, je l'embrasse, je la convoite, je lui fais convoitise, telle une friandise que je donne à un nouveau né, aussi frais que le jour, aussi triste que la nuit
Je suis comme cette femme qui m'observes sans fête, sans divagation de son état d'être, elle ne peut se résoudre à s'éloigner de mes yeux, aussi longtemps que je vivrais, aussi longtemps qu'elle m'observera avec ces yeux envieux
Elle est mienne, elle est ma moitié, je ne puis penser sans elle, sans qu'elle me donne une partie de son âme perdu au 4e étage
Un chiffre qui me fait froid dans le dos
Un chiffre qui recèle tant de mystères, et tant de larmes au croché d'yeux qui s'enfuis à deux
Elle me tant la main, une promesse d'entant, qui me rappel cet enfant brulé, brulé par les larmes du mal, qui fut mienne le temps d'une escapade inconsciente avec le mal du joute de l'hymen
Un hymen aussi sensible que la sensiblerie de cette demoiselle qui m'eu était donné de voir le temps d'un loir de sommeil, percé par le poignard de ma vie, poigné par le mal d'un froid aussi rigide qu'exaltant qui reste derrière moi
Il s'approche de moi, je le regarde, il me touche les lèvres, je lui touche les yeux, il me touche le sexe, je lui touche les seins, promesse faite, promesse rendu, aussi perdu que mes yeux qui pleurent tous seuls
Il me tient la tête, je recule, puis avances, il me sourie, je lui montre mes dents, il me montre sa langue, je lui montre mon poignard d'acier trempé, il s'approche de moi, je le transperce, le sang s'écoule le long du froid et touche mes doigts
Je la retire, il se tient debout et me fixes, me sourit et meurt
Je l'observe allongé là, sur le lit, sa position ressemble étrangement à cet être qui fut mien le temps d'un souffle extirpé de mes mains glaciales, tachées de sang
Je la touche, je la tache de mon sang, qui n'est plus le mien, mais celui à qui j'ai extirpé la vie pour enfin être libre
Un touché, une sépulture, une architecture, l'offrande d'une vie, l'offrande de toute ma vie, je ne peux l'oublier, je ne peux le satisfaire, je ne peux le refuser que par l'envie de lui donner plaisir dans l'antre de cette hymen violé, je suis là, je me tient là, à sa disposition, parce que je ne suis plus son esclave, je suis enfin libre de toute ma vie, et que j'ai attendu cette liberté, que par la violation de mon bien aimé, qui fut vierge, qui ne l'est plus
Je la regarde, et je vois lui, je la regarde, et je vois elle, parce qu'il est à présent à mes cotés, depuis ce fameux moment, où il fut mien, mais comment m'en détacher ?
8e poème :
Le reste...
Impulsivité, impulsivité, pourquoi es-tu si impulsive ?
Je me regarde dans le miroir, et se reflète le reflet de mon âme, qui souffre d'une profonde souffrance, aussi profonde que la profondeur de l'abyssale douleur d'une âme en perdition
Je recherche des réponses, depuis toute ma vie, je n'y trouve rien, juste des émotions et de la réflexion, comme au temps des cerfs du moyen âge
Je ne peux la trouver, je ne peux la remercier, je ne peux la réconforter, je ne peux que pleurer sur son absence, parce que son absence est mon absence du temps, aussi désolé que la désolation
Je recherche, je la trouve, elle me touche, et je pleurs...
De toutes mes larmes, juste la tristesse et la réflexion en ressortent
Suis-je fait que de ça ? De cette envie de réflexion sur les choses qui m'entourent ?
Pourquoi m'offrir un tel dilemme, si je ne peux en profiter comme un être normal ?
Comme un être humain dénué de solitude et de compassion...
Je ne peux fuir, je ne peux refuser, je ne peux me désister, je ne peux que comprendre, parce que la réflexion et l'émotion est tous ce qu'ils me restent dans ce monde peuplé d'impulsive au regard aussi vitreux que la vitre par laquelle il me regarde
Je ne peux leur demander de fuir, je ne peux leur demander de m'accepter, je ne peux que leur demander de m'accueillir dans leur monde, qui n'est pas le mien, qui n'est qu'emprunt d'une joie sans fin, aussi fine que la fine lame du couteau qui est tenu dans ma main
Je peux m'en servir, je peux me soulager, mais je ne le fais pas, parce que le refuse est tout ce qu'il me reste est le refus de ce monde abstrait qui n'existe que pour servir mon exigence, mon indulgence d'être perdu dans un monde dupe aussi dupé qu'il ne l'a jamais était
Voilà ce pourquoi je le garde en moi, voilà ce pourquoi je ne peux que l'accepter, même si je le hais, même si je préfère en mourir, même si je préfère le voir partir, parce qu'il n'existe que dans ma douleur d'isolateur
Pourquoi suis-je ainsi ? Je ne le sais pas, je ne le peux pas, je ne peux pas répondre à cette question, parce que la réponse existe en cette émotivité aussi rapide qu'un toran de lave qui m'emporte dans son sillage
La réflexion fait que je m'en sors, aussi sobrement qu'un alcoolique après une fête bien arrosé
Ne me restant alors que ça, une impulsivité, un amour, un orgueil, une fierté, une idolâtrie, une désolation, une question, une réflexion, un état d'être, un reflet de l'être, un miroir, miroitant que le fondement de mon antre
Et elle y entre, par demande...
Je ne puis la refuser, je ne puis la repousser,
Elle me tend la main, je la prends et m'accompagne...
9e poème :
Pénétrant...
Pénétrant, humide, telle une grotte, mystérieuse, indéchiffrable, exubérante
Un fantasme si immense, je ne peux trouver de mot, de mot juste, pour décrire cette beauté sans nom, aussi innommable que la beauté qui l'incarne,
Je suis en elle, elle respire, je m'enfonce, elle gémit de plaisir, je me retire délicatement, elle remue légèrement, suis-je au cœur de son vagin ? Je pense que je suis au centre de son être...
La contemplant, je suis terrifié, consterné, un viole que je lui omets de précisé, je lui omets de dire l'effet, rien ne peut le remplacé, un immense plaisir aussi inviolable qu'un fantasme que je viole à chacune de ces respirations
Je suis enfermé, elle désire plus
Elle n'est que la parcelle de mon existence, et je suis nu, nu devant une plage, une mer, une vague, une eau aussi salée, aussi humide que l'humidité de son antre qu'est et qu'était mon enfant brulé, qui m'observe, debout au coté du lit, je ne puis l'ignorer, il s'approche de moi, je la désire plus que tout, il me touche, elle m'embrasse
Vient ainsi le mariage, un accouplement tant attendu, et je suis seul, face à elle, incapable d'un mot, d'une douce syllabe, d'une promesse
Elle me regarde, en sueur, me sourit, mon poignard dans son vagin, ces jambes autour de mes hanches
Je la souris, je ne puis dire un rire
Elle contemple mon antre, je suis retourné, mitigé, catatonique, consterné, humilié, gêné
J'aimerais la touché, mais mon ombre ne me reflète plus dans cette obscure grotte
Mon âme y est reflétée comme peinture murale, peinture rupestre du moyen âge, et je les touches, contemplant mon moi
Elle avance, je ne puis l'empêcher, je la désire plus que tout, mais je suis là, incapable de bouger, tant qu'elle ne connaitra pas mon désir inassouvis, je serais là, à la contempler
Je suis toujours en elle, elle me connait, me déchiffre, chaque émotions tirées est comme un sous titre pour me dire je t'aime, mais je suis là, devant elle, incapable de dire un mot, aveuglé, consterné, humilié, par l'apaisante légèreté de son être, aussi être que son âme qui flirt autour de moi, et qui m'effleure
Je lui touche les cuisses, elle est là, à m'en toucher les mains
Les décors se dévalent devant nous, nous, obscurité, sans ambigüité, que celle de ma présence à ces cotés
Ni elle, ni moi ne sont capables de décrire la réalité de ce sentiment
Elle me sourit, je suis là, à sourire avant d'esquiver ce sentiment qui me crève le cœur, observant les décors qui se dévalent devant moi, chaque couleur dépeint de ma couleur, de mon humeur, aussi dévalant d'une pente qui ne demande qu'à être dévalé dans l'obscurité
Elle me fait un bisou sur la joue, tendrement je le lui rends par un sourire aussi timide qu'intimidé
Voilà ce pourquoi je suis terrifié, pourquoi je l'envie, pourquoi je suis là, sans être là, voilà pourquoi je la désire plus que tout, pourquoi aucun membre ne peut bouger, son amour qui me paralyse les membres
Et je suis là, à ces cotés, abandonnant finalement les règles d'usages, envie de succomber au fruit sacré
Je m'arrête dans un coin, et je l'embrasse aussi vigoureusement qu'elle y met la langue, pour ne faire qu'un avec ma langue
Je suis effondré, elle me sourie
J'ai réussi...
10e poème :
Mon poignard
Au centre d'une plaine, seul avec elle,
Mes sentiments, aussi poignant que le cœur d'un battement du cœur qui bat dans ma poitrine
Qui arrache ma cage thoracique, mes émotions aussi délicates qu'une fleure de lice qui se laisse envahir par un champ de mine qui ne demande qu'à m'exterminer
Elle s'allonge sur mon torse, le vent caresse nos corps, nos cheveux s'exaltent dans la pénombre d'un soleil timide de se montrer
Mes doigts autour des siens, je suis et je resterais ainsi, autour d'elle, de lui,
Son rayon m'aveugle les yeux, à tel point que je ne vois plus qu'un soleil à la place d'elle, aussi luminescente et aveuglante qu'un poème
J'ouvre la bouche, elle m'écoute, je me tais, elle me tait par un long baiser
Mon antre est tranquillement assis à mes cotés, l'observant avec des yeux envieux
Elle n'est pas pour toi, elle ne le sera jamais
Elle est mienne pour l'éternité, mais tu peux la contempler car c'est ce que tes yeux savent faire de mieux
Et je l'observe, avec des yeux envieux, dévorant d'apaisement, dévorant de faim, aussi poignant qu'un poignard caché sous la hutte de mon antre secrète
Je me relève, du haut de la plaine, l'herbe sous mes pieds, assis sur la couverture, le soleil face à moi, qui me caresse le visage, je souris seul, bêtement, les souvenirs plein mon crane, plein mon esprit, 14 heures de l'après midi, qui divague entre les diverses marées blanche du sable blanc qui nous fais face
La marrée est montante, la vue est magnifique, les brindilles sont divergentes, caressées par l'écume des vagues qui ne peuvent être touchés par le commun des mortelles, où pareille beauté ne peut être comprise que par l'incomprise de mon esprit, qui observe le tout avec un regard béat, contemplant un spectacle que nul autre ne pourrait effacer de son esprit, imprimer comme un tampon sur le front
Je souris bêtement en m'approchant de cette dernière, mes pieds touchent le sable humide, et s'enfoncent dans la pénombre d'un soleil qui m'éclaire, mes pommettes jouissent du temps sans méandre,
J'avance, je m'enfonces dans l'eau humide de cette antre diabolique, magnifique, d'un sens, aussi explicite que l'amour que je ressens à ce moment, aussi pure que l'aire que je respires par mes poumons emplis de liquide qui m'aide à éclaircir mes pensées sans me raisonner
Je suis à présent à mi hauteur, mon fessier et mon pénis sont effleurés par l'eau de la méditerranée, je plonge, le corps immergé, je reviens à la surface, elle est toujours là, mon envie aussi brulante qu'une braise d'automne
Plus je m'enfonce, plus je l'oublie, plus je reviens, plus elle me revient, le dilemme de toute ma vie...
Assouvir mes pulsions, ou la douce présence qui me rend vulnérable dans ces bras ?
Quelle douce rancune...
Une vulnérabilité que seule cette eau connait sur le bout des doigts, aussi claire que cette eau qui m'entoure, aussi salée que la salive qui me sert à exprimer cette lacune qu'est l'amour inassouvie
Je suis face à moi-même, mon poignard entré dans son étui, l'antre de mon enfance me brule les tripes, mais n'est pas avec moi
Au loin, il me regarde et me sourie
Je ne suis plus son esclave, il flotte, et s'éloigne
Mon poignard, tenu dans ma main, noyé par l'écume des vagues
Je ressors de l'eau, nu comme un verre, me dirigeant vers ma promise, mon éveil, mon poignard tenu dans ma main, effacé du sang jadis laissé par mon effroyable offrande...
11e poème :
Seul, face à mon être...
Seul face à moi-même, aussi solitude que les déchéances que je ressens à vouloir rester à ces cotés
Chacune de ces crises de colère, chacune de ces crises de jalousies, chacune de mes envies de l'écouter font que je m'étouffe avec mes émotions refoulées par le désir de fouler la terre battue, battue par une sempiternelle bataille qui fait rage depuis que je suis rage
Mais je reste là, à ces cotés, parce que l'offrande qu'elle a à m'offrir en retour est meilleur que l'offrande du don qui m'es était donné d'accepter lors de cette 4e année, où tout furent aussi sombre que l'âme desséchée par la colère de mon être échelé
Je reste à ces cotés, parce que la souffrance qu'elle m'offre en offrande de mon âme brulée, née de l'enfant disparu dans les eaux de cette méditerranée, est aussi trouble que cette eau qui fut mienne durant plusieurs minutes
Mon poignard a disparu, mon enfance a disparue, mes brulures ont cicatrisées, mais je reste quand même là, à contempler une déesse, une obsession sans nom, qui me force à devenir sobre dans les moments de grande solitude, seul face à moi-même, devant se miroir enchanteresse
Et je suis là, entouré de building, aussi étincelant que sombre, qui reflète mon âme, entouré de souvenirs, qui m'accompagnent, d'elle, qui reste elle-même, et nous revisitons tous nos souvenirs
Chacun des endroits, me fait ressentir boomerang dans mon âme, la tête tournante.
Je suis entouré de sentiments ! Mais impossible de divaguer !
Je suis sur le ponton de l'espoir, qui retire mon désespoir d'enfant brulé, qui me guérie, et je me retourne vers elle, et lui caresse le visage
Je m'approche de son oreille, lui chuchote quelque chose, elle sourie et se retourne, continue, et marche vers la marche des souvenirs ensevelis
Et je suis là, à la contempler, autour de building, aussi étincelant que sombre, qui reflète mon âme, entouré de souvenir, qui m'accompagne, d'elle, qui s'éloigne, et je visite tous mes souvenirs
Ironie du sort, je peux l'arrêter, l'embrasser, reprendre mon poignard, le planté dans la chair de l’inassouvie, mais je n'en ferais rien
Elle est mienne, est restera mienne pour l'éternité
Un chuchotement de réconfort présent dans mon cœur, présent en son cœur, aussi lourd que le passé qui a constitué notre passif
Et je l'accepte, aussi surement que j'accepte ma douleur qui me sert de trou pour tous les indisciplinés qui douteraient de moi.
Impossible de la refuser ! Mais impossible de la faire entrer dans ma vie !
Ce murmure prononcé est comme la valse d'un sentiment, touchant ces hanches.
Je ne peux la refuser !
Elle est douce et taciturne, je suis doux et mélancolique, et nous avançons, sur le rythme de la chanson.
Je lui touche le coté de son visage avec mon visage emplis de passion, je touche ces cheveux, doux, je ne peux m'empêcher de la toucher !
Et je retourne alors autour de ces buildings, aussi sombres que mon âme, qui ne peut se guérir de la blessure subit, une présence m'est nécessaire à la guérison de mon être, aussi certainement que la douce présence d'une femme pour éponger mes douleurs, et réconforter mon cœur échelé par la souffrance d'un amour inachevé...
Elle recherchait la douceur, je recherchais l'amour, tel est le dilemme pour lequel mon âme est en perpétuel combat.
Aussi paumé l'un que l'autre, nous avons pensés nos blessures avec le charme d'une danse collé serré, de voyages initiatiques, où se défilait les décors de nos vies, où se fut échanger des paroles aussi poignantes que sincères, que mon cœur cherche encore à étincelé
Mais la vérité est que nous firent nous-mêmes paumé, et perdus dans le temps des méandres de la tangible réalité des sentiments, et des amertumes du temps passés à nous regardaient...
Ainsi cela est une vérité, et restera vérité tant que nous n'accepteront pas que la souffrance, endurée par nos âmes accouplées, nous aura servis à accepter la douleur d'antan de nos âmes trahis par l'entente du diable.
12e poème :
La maturité de mon être
Mon âme, retrouvé seul, flottant devant une photo, photographie que je ne peux oublier, qui restera mienne pour les temps à venir, parce que l'éternité à disparue sous mes pieds, tel un sol enrobé par l'incertitude du temps qui passe à nous échauffé...
La lumière de la fenêtre se reflète sur l'épaule de mon âme accepté, et je prends la photo, photographie qui dance avec moi, je la repose à sa place, et me sourit, aussi éternelle qu'envieuse, aussi détestable, aussi acceptable que la douleur ressentis en sa compagnie
Elle se regarde dans le miroir, et ne voit que transparence, aussi transparente qu'elle le fut avec moi, que je ne peux éponger par une présence qu'elle oublierait de sitôt
Et j'avance, au-delà du reflet de la fenêtre, passe au travers, et m'envole, parce que sa présence me donne des ailes, que je puisse oublier par la tangibilité de la réalité, aussi inexistant qu'une promesse fait d'un bisou d'air, aussi inexistant que sa présence qui fut à mes cotés durant plusieurs minutes de souffrance interminable
Sa souffrance que je ressentais, calmés mon souffle de camé, où je restais totalement à son service, totalement abat de tous sentiments humains, agenouillés la suivant comme son ombre malade d'une maladie sans nom que celle de la maladie de l’inassouvi amour
Aussi tendre que l'amour qu'elle me portait, un amour aussi faux jeton que son amour promis à ma promise
Je peux enfin accepter qu'elle n'était qu'un doux rêve, aussi puissant que le sub conscient te fait revivre les pires situations de ta conscience qui tente d'éponger avec mal, la douleur du mal que le diable te fait ressentir par le poignard qu'il tient entre ces mains, où goutte-goutte les goutes aussi lourdes que le sang rouge qui se profile vers moi
La maturité de mon âme, se guérie d'elle-même, par la poésie d'une légère sensation de légèreté, aussi légère qu'un champ d'oiseau
Elle se guérie d'elle-même et mon être s'en va aussi loin qu'un lointain souvenir accroché à l'antre de mon passé
Je suis là, à le tenir entre mes mains, des mains ensanglantées d'un vide de sensation humaine
Je suis mon âme, invisible et sans poids
Je la tiens, je la remet sur mes épaules, elle se bouge et bouge en moi
Je suis de nouveau accompli d'une ombre !
Et j'entre dans l'antre de mon antre, sans nom et sans odeur, sans paroi et sans dessin, aussi sec, aussi oublié qu'un livre poussiéreux où se récitent les dix plaît d’Égypte
Les parois humides, me font penser à l'humidité de son vagin
Les herbes vertes se miroitent dans l'eau immortelle de l'immortalité de sa brillance sans nom
J'y goute, je ressens, et j'oublie
J'oublie la douce péripétie que fut mon amour porté en son nom, aussi péripétie que furent mes péripéties à oublier son amour de me réconforter
Et je goutte à la source de sa vie, à la source de ces souvenirs, aussi changeant qu'un souvenir changé par le totem de ma vie
J'oublie et je me rappel de sa vie, tel un flash souvenir que je n'ai jamais oublié tantôt que je m'en suis rappelé
Elle est là, à mes cotés, à me réconforter, à me faire éprouver des douleurs, que l'amour se sert pour se rappeler de l'amour porter en l'être aimé
Je me tiens là, à ces cotés, et je ne peux me déplacer, juste respirer tant que son charme me monopolisera
Et je me déplace, dans mon antre, dans l'antre de son sub conscient, et j'accepte, parce que la source de vie, de sa vie, de son souvenir, de sa présence, m'a fait oublier la douleur du 4e étage que j'ai vécu 4 ans avant le démarrage de mon âme meurtris par la guérison aussi brutale que certaine de son souvenir, par ces paroles
13e poème :
L'antre devenu...
L'antre devenu...
L'antre devenu...
A vrai dire, je ne connais pas son apparence définitive...
Je sais qu'elle est belle, contemplatrice, telle une architecture spirituelle que l'on s'aime à regarder de près, sans y toucher.
Aussi imperceptible qu'une émotion sans nom, sans apparence, sans physique, aussi transparente que le vent, mais qui nous touchent aussi profondément qu'un esprit guérie.
Je sais qu'elle est belle, magnifique, et qu'elle contient le salut de mon être, mais malheureusement, qui ne peut être pris, bue, ou dévalisée !
Elle est moi, elle est mon ombre, elle est ce qu'il me reste de mon passé, elle est ce qu'il reste de moi, et je ne peux le refuser, je ne peux ne pas l'accepter !
Je l'accepte, parce qu'elle fait partie de moi...
L'antre est devenu ce que je suis aujourd'hui, voilà ce que je peux vous dire,
Mais comme je ne puis me décrire tout seul, je vous laisse juger de son apparence définitive,
Et bien que je sache qu'elle sera différente selon les individus, elle aura toujours le même aspect, malgré ces parois changeantes, sa lumière restera la même...
La poésie, ma seule arme contre le mal, le pansement d'une blessure psychologique, d'antan et de toujours.
Devenu le poète au passé adulé par l'adulation de ma volonté à lui ressembler.
La peur n'est plus, elle est en moi, mais ne m'atteint plus, autre que pour faire évoluer l'âme de mon être.
Et j'aime l'avoir à mes cotés, pare qu'elle n'est plus que la souffrance de l'amour que je ressens à chaque instant, et qui m'aide à accepter les péripéties de la douleur du diable qui me visite chaque jour de la journée.
Mais je sais au fond de moi, qu'elle m'aidera à m'accomplir, peut importe qui, elle pensera les blessures de ma terreur, du tremblement de mon touché à son touché, et me prendra la main, me caressera le visage avec ces doigts d'or, parce que je suis incapable de faire du mal tant que le diable vivra en moi...
Elle est ma peur, ma joie, ma tristesse, mon antre secrète, la tapisserie de ma vie, le décor de ma vie !
Avec elle je traverserais les charbons ardents, le monde d'une plage aussi dépeuplé qu'un océan ravagé par une tempête tropicale, le périphérique bondé d'un centre ville,
Car faire appel à elle, c'est faire appel à l'amour, c'est faire disparaitre la douleur
Faire appel à la douleur, c'est faire apparaitre l'amour,
Ne jamais fuir, ne jamais se désister, ne jamais refuser, toujours apprendre...
Je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, mais je peux apprendre...
Je peux apprendre, mais je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir...
Je peux apprendre, mais je ne peux refuser, je ne peux me désister, je ne peux me fuir, je suis encerclé par son charme aujourd'hui et à jamais, parce que son charme est tout ce que mon âme brulé me reste, parce qu'elle sera mienne !
La colère m'assaillis ! La désinvolture me brule l'âme ! Je ne peux fuir cette fille ! Je ne peux fuir son amour ! Je ne peux fuir sa beauté, qui est synonyme de douleur pour mon âme d'enfant brulé, qui ne l'est plus désormais, parce que l'antre est devenu...
Une présence aussi perçante que l'orgasme qu'elle s'est procurée pour faire fondre mes doutes, pour faire fondre mon incompréhension, parce que je lis en elle à présent comme dans un livre ouvert...
Elle me réconforte dans son idée de me séduire, je l'a réconforte dans mon idée de la séduire.
Alors j'accepte, j'acquiesce, je reste, et j'observe, parce que mon âme est tout ce qu'il me reste...
(Pour cette 5e poésie, je vous donnes rendez vous sur cette page --> https://the-mentalist.frenchboard.com/post?f=76&mode=newtopic )
6e poème :
O fille, O sentiment
Je ne peux la reculer, je ne peux la repousser, je ne peux l'accoupler, je ne peux l'embrasser
Pourquoi, pourquoi êtres si cruel, pourquoi être si doux avec moi-même ?
Les vœux de douleur chers à mon cœur ne peuvent-ils être rompus que par l'affront d'un baisé qu'elle m'a rendu lors de cette folle nuit qui était nous et sienne à moi pour l'éternité du mal à jamais ?
Un mal qui ne peut être ignoré, qui ne peut être congédié, parce que ce mal est moi, et je lui ai fait vœux d'éternité...
Mais alors, comment accepter son amour ? Est-ce par l'affrontement de douleur d'un au revoir ? Je ne peux faire cela à une vierge qui a vu sa fleure rougir de bonheur à la vue de mon fol œil...
Allongé à mes cotés, assis, œil fixé sur le lit qui lui sert de repos à la Joconde, le doux drap blanc posé sur sa douce verge, les seins reposés contre son corps
J'observe le miroir, qui reflète le reflet de mon ombre pesante, aussi pesant que l'invraisemblance qui m'habite, qui me ronge, qui me désole, que je ne peux fuir ni accepter parce que cela serait comme un affront à l'offrande de ma libération pour avoir aimé la belle fille allongée sur mon lit
Je retourne à son lit, à son pieux repos, je caresse son dos, sa bouche, son nez, ces oreilles, que je peux contempler avec fierté tel un pro chevalier de retour de croisade pour avoir voulu posséder la douce emprunte d'une vie sans vie, d'une emprunte invisible, aussi invisible que l'emprunte de mon baiser posé sur sa peau, que je ne peux effacer par un arrêt sur image. Le seul pouvoir qui m'est conféré est celui d'observer, de contempler, d'apprécier cette fleure qui n'est mienne que par accouplement de nos deux espèces
Une espèce aussi fragile que la fragilité de ma sensibilité, aussi fragile que l'épaisseur psychique de mon esprit, qui ne peut s'exprimer que par des mots invisibles, aussi visible qu'un vent d'été, se posant lentement sur sa douce et fleurette présence qu'elle me donne à voir, parce que mes yeux ne me donnent à voir que cette valeureuse
Une espèce aussi différente, aussi invraisemblable, aussi exaltante que le baiser qu'elle me fait, sur le cou de mon courageux silence imposé à ces cotés,
Une espèce aussi mystérieuse que pénétrante de virtuosité, qui n'a d'égal que son grain de peau, que son grain d'image aussi imaginé que l'image de sa beauté
Mon opposé, ma fleure, mon tout, mon rien créé d'un tout, O fillette, O garçon, O brulure d'antant, pourquoi me fais-tu encore ressentir cette enivrante chaleur, cette enivrante paroi créé par l'essence d'une cicatrise, par l'erreur commise d'un bête aussi sot qu'un seau où l'ont verse de l'eau, et qui se renverse, pour mieux le resservir ?
Elle me chuchote des choses à l'oreille que je n'entends guerre, pour ainsi mieux approcher mon oreille de ces lèvres, pour ainsi mieux entendre son doux et gracieux discours d'un remerciement sans exaltation, sans pénétration, comme la pénétration commise par mon pénis jadis
Je les entends, je les écoutes, je leur fait preuve de prière, pour mieux écarter leur primaire provocation qu'est la tentation du sexe féminin contre la paroi de ma vacante douleur du soir
Je me retourne, face à son regard, face à ces lèvres, je les touches, je les observe, mais je ne peux la refuser, je ne peux que l'accepter, parce qu'elle est mienne, et restera mienne à jamais et pour toujours tant que la douleur existera en moi
Des sentiments aussi inviolables par les mots qu'inexistants par le touché, je suis et je resterais tienne, mais seul l'éternité pourra répondre à mon salut d'une âme en perdition, et je ne pourrais me libérer de ma promesse qu'en acceptant ce dont qu'il m'est offert
7e poème :
L'offrande
Une offrande aussi pointue que la lame d'un couteau, aussi froide que la rosée d'un matin, aussi humidifiée que la grotte d'un fleuve qui représente l'eau de la vie, aussi vitale que l'équilibre dont la vie à besoin pour vivre
Que dire sur cette offrande qu'il m'eu offert étant jeune, et qui changea ma vie à jamais ?
Que dire d'une offrande aussi douce que la nuit d'un été, aussi noir que le jour d'un hiver ?
Une qui m'eu donné lorsque j'étais jeune, et pour qui l'étape fut difficile à franchir, aussi difficile que la franchise d'une promesse sur la mort de ma vie que je ne peux dissoudre que par la lointaine pensée de mon être
Une prison de verre, une prison de l'état d'être, une prison d'un esprit échelé
Je le regarde, je l'embrasse, je la convoite, je lui fais convoitise, telle une friandise que je donne à un nouveau né, aussi frais que le jour, aussi triste que la nuit
Je suis comme cette femme qui m'observes sans fête, sans divagation de son état d'être, elle ne peut se résoudre à s'éloigner de mes yeux, aussi longtemps que je vivrais, aussi longtemps qu'elle m'observera avec ces yeux envieux
Elle est mienne, elle est ma moitié, je ne puis penser sans elle, sans qu'elle me donne une partie de son âme perdu au 4e étage
Un chiffre qui me fait froid dans le dos
Un chiffre qui recèle tant de mystères, et tant de larmes au croché d'yeux qui s'enfuis à deux
Elle me tant la main, une promesse d'entant, qui me rappel cet enfant brulé, brulé par les larmes du mal, qui fut mienne le temps d'une escapade inconsciente avec le mal du joute de l'hymen
Un hymen aussi sensible que la sensiblerie de cette demoiselle qui m'eu était donné de voir le temps d'un loir de sommeil, percé par le poignard de ma vie, poigné par le mal d'un froid aussi rigide qu'exaltant qui reste derrière moi
Il s'approche de moi, je le regarde, il me touche les lèvres, je lui touche les yeux, il me touche le sexe, je lui touche les seins, promesse faite, promesse rendu, aussi perdu que mes yeux qui pleurent tous seuls
Il me tient la tête, je recule, puis avances, il me sourie, je lui montre mes dents, il me montre sa langue, je lui montre mon poignard d'acier trempé, il s'approche de moi, je le transperce, le sang s'écoule le long du froid et touche mes doigts
Je la retire, il se tient debout et me fixes, me sourit et meurt
Je l'observe allongé là, sur le lit, sa position ressemble étrangement à cet être qui fut mien le temps d'un souffle extirpé de mes mains glaciales, tachées de sang
Je la touche, je la tache de mon sang, qui n'est plus le mien, mais celui à qui j'ai extirpé la vie pour enfin être libre
Un touché, une sépulture, une architecture, l'offrande d'une vie, l'offrande de toute ma vie, je ne peux l'oublier, je ne peux le satisfaire, je ne peux le refuser que par l'envie de lui donner plaisir dans l'antre de cette hymen violé, je suis là, je me tient là, à sa disposition, parce que je ne suis plus son esclave, je suis enfin libre de toute ma vie, et que j'ai attendu cette liberté, que par la violation de mon bien aimé, qui fut vierge, qui ne l'est plus
Je la regarde, et je vois lui, je la regarde, et je vois elle, parce qu'il est à présent à mes cotés, depuis ce fameux moment, où il fut mien, mais comment m'en détacher ?
8e poème :
Le reste...
Impulsivité, impulsivité, pourquoi es-tu si impulsive ?
Je me regarde dans le miroir, et se reflète le reflet de mon âme, qui souffre d'une profonde souffrance, aussi profonde que la profondeur de l'abyssale douleur d'une âme en perdition
Je recherche des réponses, depuis toute ma vie, je n'y trouve rien, juste des émotions et de la réflexion, comme au temps des cerfs du moyen âge
Je ne peux la trouver, je ne peux la remercier, je ne peux la réconforter, je ne peux que pleurer sur son absence, parce que son absence est mon absence du temps, aussi désolé que la désolation
Je recherche, je la trouve, elle me touche, et je pleurs...
De toutes mes larmes, juste la tristesse et la réflexion en ressortent
Suis-je fait que de ça ? De cette envie de réflexion sur les choses qui m'entourent ?
Pourquoi m'offrir un tel dilemme, si je ne peux en profiter comme un être normal ?
Comme un être humain dénué de solitude et de compassion...
Je ne peux fuir, je ne peux refuser, je ne peux me désister, je ne peux que comprendre, parce que la réflexion et l'émotion est tous ce qu'ils me restent dans ce monde peuplé d'impulsive au regard aussi vitreux que la vitre par laquelle il me regarde
Je ne peux leur demander de fuir, je ne peux leur demander de m'accepter, je ne peux que leur demander de m'accueillir dans leur monde, qui n'est pas le mien, qui n'est qu'emprunt d'une joie sans fin, aussi fine que la fine lame du couteau qui est tenu dans ma main
Je peux m'en servir, je peux me soulager, mais je ne le fais pas, parce que le refuse est tout ce qu'il me reste est le refus de ce monde abstrait qui n'existe que pour servir mon exigence, mon indulgence d'être perdu dans un monde dupe aussi dupé qu'il ne l'a jamais était
Voilà ce pourquoi je le garde en moi, voilà ce pourquoi je ne peux que l'accepter, même si je le hais, même si je préfère en mourir, même si je préfère le voir partir, parce qu'il n'existe que dans ma douleur d'isolateur
Pourquoi suis-je ainsi ? Je ne le sais pas, je ne le peux pas, je ne peux pas répondre à cette question, parce que la réponse existe en cette émotivité aussi rapide qu'un toran de lave qui m'emporte dans son sillage
La réflexion fait que je m'en sors, aussi sobrement qu'un alcoolique après une fête bien arrosé
Ne me restant alors que ça, une impulsivité, un amour, un orgueil, une fierté, une idolâtrie, une désolation, une question, une réflexion, un état d'être, un reflet de l'être, un miroir, miroitant que le fondement de mon antre
Et elle y entre, par demande...
Je ne puis la refuser, je ne puis la repousser,
Elle me tend la main, je la prends et m'accompagne...
9e poème :
Pénétrant...
Pénétrant, humide, telle une grotte, mystérieuse, indéchiffrable, exubérante
Un fantasme si immense, je ne peux trouver de mot, de mot juste, pour décrire cette beauté sans nom, aussi innommable que la beauté qui l'incarne,
Je suis en elle, elle respire, je m'enfonce, elle gémit de plaisir, je me retire délicatement, elle remue légèrement, suis-je au cœur de son vagin ? Je pense que je suis au centre de son être...
La contemplant, je suis terrifié, consterné, un viole que je lui omets de précisé, je lui omets de dire l'effet, rien ne peut le remplacé, un immense plaisir aussi inviolable qu'un fantasme que je viole à chacune de ces respirations
Je suis enfermé, elle désire plus
Elle n'est que la parcelle de mon existence, et je suis nu, nu devant une plage, une mer, une vague, une eau aussi salée, aussi humide que l'humidité de son antre qu'est et qu'était mon enfant brulé, qui m'observe, debout au coté du lit, je ne puis l'ignorer, il s'approche de moi, je la désire plus que tout, il me touche, elle m'embrasse
Vient ainsi le mariage, un accouplement tant attendu, et je suis seul, face à elle, incapable d'un mot, d'une douce syllabe, d'une promesse
Elle me regarde, en sueur, me sourit, mon poignard dans son vagin, ces jambes autour de mes hanches
Je la souris, je ne puis dire un rire
Elle contemple mon antre, je suis retourné, mitigé, catatonique, consterné, humilié, gêné
J'aimerais la touché, mais mon ombre ne me reflète plus dans cette obscure grotte
Mon âme y est reflétée comme peinture murale, peinture rupestre du moyen âge, et je les touches, contemplant mon moi
Elle avance, je ne puis l'empêcher, je la désire plus que tout, mais je suis là, incapable de bouger, tant qu'elle ne connaitra pas mon désir inassouvis, je serais là, à la contempler
Je suis toujours en elle, elle me connait, me déchiffre, chaque émotions tirées est comme un sous titre pour me dire je t'aime, mais je suis là, devant elle, incapable de dire un mot, aveuglé, consterné, humilié, par l'apaisante légèreté de son être, aussi être que son âme qui flirt autour de moi, et qui m'effleure
Je lui touche les cuisses, elle est là, à m'en toucher les mains
Les décors se dévalent devant nous, nous, obscurité, sans ambigüité, que celle de ma présence à ces cotés
Ni elle, ni moi ne sont capables de décrire la réalité de ce sentiment
Elle me sourit, je suis là, à sourire avant d'esquiver ce sentiment qui me crève le cœur, observant les décors qui se dévalent devant moi, chaque couleur dépeint de ma couleur, de mon humeur, aussi dévalant d'une pente qui ne demande qu'à être dévalé dans l'obscurité
Elle me fait un bisou sur la joue, tendrement je le lui rends par un sourire aussi timide qu'intimidé
Voilà ce pourquoi je suis terrifié, pourquoi je l'envie, pourquoi je suis là, sans être là, voilà pourquoi je la désire plus que tout, pourquoi aucun membre ne peut bouger, son amour qui me paralyse les membres
Et je suis là, à ces cotés, abandonnant finalement les règles d'usages, envie de succomber au fruit sacré
Je m'arrête dans un coin, et je l'embrasse aussi vigoureusement qu'elle y met la langue, pour ne faire qu'un avec ma langue
Je suis effondré, elle me sourie
J'ai réussi...
10e poème :
Mon poignard
Au centre d'une plaine, seul avec elle,
Mes sentiments, aussi poignant que le cœur d'un battement du cœur qui bat dans ma poitrine
Qui arrache ma cage thoracique, mes émotions aussi délicates qu'une fleure de lice qui se laisse envahir par un champ de mine qui ne demande qu'à m'exterminer
Elle s'allonge sur mon torse, le vent caresse nos corps, nos cheveux s'exaltent dans la pénombre d'un soleil timide de se montrer
Mes doigts autour des siens, je suis et je resterais ainsi, autour d'elle, de lui,
Son rayon m'aveugle les yeux, à tel point que je ne vois plus qu'un soleil à la place d'elle, aussi luminescente et aveuglante qu'un poème
J'ouvre la bouche, elle m'écoute, je me tais, elle me tait par un long baiser
Mon antre est tranquillement assis à mes cotés, l'observant avec des yeux envieux
Elle n'est pas pour toi, elle ne le sera jamais
Elle est mienne pour l'éternité, mais tu peux la contempler car c'est ce que tes yeux savent faire de mieux
Et je l'observe, avec des yeux envieux, dévorant d'apaisement, dévorant de faim, aussi poignant qu'un poignard caché sous la hutte de mon antre secrète
Je me relève, du haut de la plaine, l'herbe sous mes pieds, assis sur la couverture, le soleil face à moi, qui me caresse le visage, je souris seul, bêtement, les souvenirs plein mon crane, plein mon esprit, 14 heures de l'après midi, qui divague entre les diverses marées blanche du sable blanc qui nous fais face
La marrée est montante, la vue est magnifique, les brindilles sont divergentes, caressées par l'écume des vagues qui ne peuvent être touchés par le commun des mortelles, où pareille beauté ne peut être comprise que par l'incomprise de mon esprit, qui observe le tout avec un regard béat, contemplant un spectacle que nul autre ne pourrait effacer de son esprit, imprimer comme un tampon sur le front
Je souris bêtement en m'approchant de cette dernière, mes pieds touchent le sable humide, et s'enfoncent dans la pénombre d'un soleil qui m'éclaire, mes pommettes jouissent du temps sans méandre,
J'avance, je m'enfonces dans l'eau humide de cette antre diabolique, magnifique, d'un sens, aussi explicite que l'amour que je ressens à ce moment, aussi pure que l'aire que je respires par mes poumons emplis de liquide qui m'aide à éclaircir mes pensées sans me raisonner
Je suis à présent à mi hauteur, mon fessier et mon pénis sont effleurés par l'eau de la méditerranée, je plonge, le corps immergé, je reviens à la surface, elle est toujours là, mon envie aussi brulante qu'une braise d'automne
Plus je m'enfonce, plus je l'oublie, plus je reviens, plus elle me revient, le dilemme de toute ma vie...
Assouvir mes pulsions, ou la douce présence qui me rend vulnérable dans ces bras ?
Quelle douce rancune...
Une vulnérabilité que seule cette eau connait sur le bout des doigts, aussi claire que cette eau qui m'entoure, aussi salée que la salive qui me sert à exprimer cette lacune qu'est l'amour inassouvie
Je suis face à moi-même, mon poignard entré dans son étui, l'antre de mon enfance me brule les tripes, mais n'est pas avec moi
Au loin, il me regarde et me sourie
Je ne suis plus son esclave, il flotte, et s'éloigne
Mon poignard, tenu dans ma main, noyé par l'écume des vagues
Je ressors de l'eau, nu comme un verre, me dirigeant vers ma promise, mon éveil, mon poignard tenu dans ma main, effacé du sang jadis laissé par mon effroyable offrande...
11e poème :
Seul, face à mon être...
Seul face à moi-même, aussi solitude que les déchéances que je ressens à vouloir rester à ces cotés
Chacune de ces crises de colère, chacune de ces crises de jalousies, chacune de mes envies de l'écouter font que je m'étouffe avec mes émotions refoulées par le désir de fouler la terre battue, battue par une sempiternelle bataille qui fait rage depuis que je suis rage
Mais je reste là, à ces cotés, parce que l'offrande qu'elle a à m'offrir en retour est meilleur que l'offrande du don qui m'es était donné d'accepter lors de cette 4e année, où tout furent aussi sombre que l'âme desséchée par la colère de mon être échelé
Je reste à ces cotés, parce que la souffrance qu'elle m'offre en offrande de mon âme brulée, née de l'enfant disparu dans les eaux de cette méditerranée, est aussi trouble que cette eau qui fut mienne durant plusieurs minutes
Mon poignard a disparu, mon enfance a disparue, mes brulures ont cicatrisées, mais je reste quand même là, à contempler une déesse, une obsession sans nom, qui me force à devenir sobre dans les moments de grande solitude, seul face à moi-même, devant se miroir enchanteresse
Et je suis là, entouré de building, aussi étincelant que sombre, qui reflète mon âme, entouré de souvenirs, qui m'accompagnent, d'elle, qui reste elle-même, et nous revisitons tous nos souvenirs
Chacun des endroits, me fait ressentir boomerang dans mon âme, la tête tournante.
Je suis entouré de sentiments ! Mais impossible de divaguer !
Je suis sur le ponton de l'espoir, qui retire mon désespoir d'enfant brulé, qui me guérie, et je me retourne vers elle, et lui caresse le visage
Je m'approche de son oreille, lui chuchote quelque chose, elle sourie et se retourne, continue, et marche vers la marche des souvenirs ensevelis
Et je suis là, à la contempler, autour de building, aussi étincelant que sombre, qui reflète mon âme, entouré de souvenir, qui m'accompagne, d'elle, qui s'éloigne, et je visite tous mes souvenirs
Ironie du sort, je peux l'arrêter, l'embrasser, reprendre mon poignard, le planté dans la chair de l’inassouvie, mais je n'en ferais rien
Elle est mienne, est restera mienne pour l'éternité
Un chuchotement de réconfort présent dans mon cœur, présent en son cœur, aussi lourd que le passé qui a constitué notre passif
Et je l'accepte, aussi surement que j'accepte ma douleur qui me sert de trou pour tous les indisciplinés qui douteraient de moi.
Impossible de la refuser ! Mais impossible de la faire entrer dans ma vie !
Ce murmure prononcé est comme la valse d'un sentiment, touchant ces hanches.
Je ne peux la refuser !
Elle est douce et taciturne, je suis doux et mélancolique, et nous avançons, sur le rythme de la chanson.
Je lui touche le coté de son visage avec mon visage emplis de passion, je touche ces cheveux, doux, je ne peux m'empêcher de la toucher !
Et je retourne alors autour de ces buildings, aussi sombres que mon âme, qui ne peut se guérir de la blessure subit, une présence m'est nécessaire à la guérison de mon être, aussi certainement que la douce présence d'une femme pour éponger mes douleurs, et réconforter mon cœur échelé par la souffrance d'un amour inachevé...
Elle recherchait la douceur, je recherchais l'amour, tel est le dilemme pour lequel mon âme est en perpétuel combat.
Aussi paumé l'un que l'autre, nous avons pensés nos blessures avec le charme d'une danse collé serré, de voyages initiatiques, où se défilait les décors de nos vies, où se fut échanger des paroles aussi poignantes que sincères, que mon cœur cherche encore à étincelé
Mais la vérité est que nous firent nous-mêmes paumé, et perdus dans le temps des méandres de la tangible réalité des sentiments, et des amertumes du temps passés à nous regardaient...
Ainsi cela est une vérité, et restera vérité tant que nous n'accepteront pas que la souffrance, endurée par nos âmes accouplées, nous aura servis à accepter la douleur d'antan de nos âmes trahis par l'entente du diable.
12e poème :
La maturité de mon être
Mon âme, retrouvé seul, flottant devant une photo, photographie que je ne peux oublier, qui restera mienne pour les temps à venir, parce que l'éternité à disparue sous mes pieds, tel un sol enrobé par l'incertitude du temps qui passe à nous échauffé...
La lumière de la fenêtre se reflète sur l'épaule de mon âme accepté, et je prends la photo, photographie qui dance avec moi, je la repose à sa place, et me sourit, aussi éternelle qu'envieuse, aussi détestable, aussi acceptable que la douleur ressentis en sa compagnie
Elle se regarde dans le miroir, et ne voit que transparence, aussi transparente qu'elle le fut avec moi, que je ne peux éponger par une présence qu'elle oublierait de sitôt
Et j'avance, au-delà du reflet de la fenêtre, passe au travers, et m'envole, parce que sa présence me donne des ailes, que je puisse oublier par la tangibilité de la réalité, aussi inexistant qu'une promesse fait d'un bisou d'air, aussi inexistant que sa présence qui fut à mes cotés durant plusieurs minutes de souffrance interminable
Sa souffrance que je ressentais, calmés mon souffle de camé, où je restais totalement à son service, totalement abat de tous sentiments humains, agenouillés la suivant comme son ombre malade d'une maladie sans nom que celle de la maladie de l’inassouvi amour
Aussi tendre que l'amour qu'elle me portait, un amour aussi faux jeton que son amour promis à ma promise
Je peux enfin accepter qu'elle n'était qu'un doux rêve, aussi puissant que le sub conscient te fait revivre les pires situations de ta conscience qui tente d'éponger avec mal, la douleur du mal que le diable te fait ressentir par le poignard qu'il tient entre ces mains, où goutte-goutte les goutes aussi lourdes que le sang rouge qui se profile vers moi
La maturité de mon âme, se guérie d'elle-même, par la poésie d'une légère sensation de légèreté, aussi légère qu'un champ d'oiseau
Elle se guérie d'elle-même et mon être s'en va aussi loin qu'un lointain souvenir accroché à l'antre de mon passé
Je suis là, à le tenir entre mes mains, des mains ensanglantées d'un vide de sensation humaine
Je suis mon âme, invisible et sans poids
Je la tiens, je la remet sur mes épaules, elle se bouge et bouge en moi
Je suis de nouveau accompli d'une ombre !
Et j'entre dans l'antre de mon antre, sans nom et sans odeur, sans paroi et sans dessin, aussi sec, aussi oublié qu'un livre poussiéreux où se récitent les dix plaît d’Égypte
Les parois humides, me font penser à l'humidité de son vagin
Les herbes vertes se miroitent dans l'eau immortelle de l'immortalité de sa brillance sans nom
J'y goute, je ressens, et j'oublie
J'oublie la douce péripétie que fut mon amour porté en son nom, aussi péripétie que furent mes péripéties à oublier son amour de me réconforter
Et je goutte à la source de sa vie, à la source de ces souvenirs, aussi changeant qu'un souvenir changé par le totem de ma vie
J'oublie et je me rappel de sa vie, tel un flash souvenir que je n'ai jamais oublié tantôt que je m'en suis rappelé
Elle est là, à mes cotés, à me réconforter, à me faire éprouver des douleurs, que l'amour se sert pour se rappeler de l'amour porter en l'être aimé
Je me tiens là, à ces cotés, et je ne peux me déplacer, juste respirer tant que son charme me monopolisera
Et je me déplace, dans mon antre, dans l'antre de son sub conscient, et j'accepte, parce que la source de vie, de sa vie, de son souvenir, de sa présence, m'a fait oublier la douleur du 4e étage que j'ai vécu 4 ans avant le démarrage de mon âme meurtris par la guérison aussi brutale que certaine de son souvenir, par ces paroles
13e poème :
L'antre devenu...
L'antre devenu...
L'antre devenu...
A vrai dire, je ne connais pas son apparence définitive...
Je sais qu'elle est belle, contemplatrice, telle une architecture spirituelle que l'on s'aime à regarder de près, sans y toucher.
Aussi imperceptible qu'une émotion sans nom, sans apparence, sans physique, aussi transparente que le vent, mais qui nous touchent aussi profondément qu'un esprit guérie.
Je sais qu'elle est belle, magnifique, et qu'elle contient le salut de mon être, mais malheureusement, qui ne peut être pris, bue, ou dévalisée !
Elle est moi, elle est mon ombre, elle est ce qu'il me reste de mon passé, elle est ce qu'il reste de moi, et je ne peux le refuser, je ne peux ne pas l'accepter !
Je l'accepte, parce qu'elle fait partie de moi...
L'antre est devenu ce que je suis aujourd'hui, voilà ce que je peux vous dire,
Mais comme je ne puis me décrire tout seul, je vous laisse juger de son apparence définitive,
Et bien que je sache qu'elle sera différente selon les individus, elle aura toujours le même aspect, malgré ces parois changeantes, sa lumière restera la même...
La poésie, ma seule arme contre le mal, le pansement d'une blessure psychologique, d'antan et de toujours.
Devenu le poète au passé adulé par l'adulation de ma volonté à lui ressembler.
La peur n'est plus, elle est en moi, mais ne m'atteint plus, autre que pour faire évoluer l'âme de mon être.
Et j'aime l'avoir à mes cotés, pare qu'elle n'est plus que la souffrance de l'amour que je ressens à chaque instant, et qui m'aide à accepter les péripéties de la douleur du diable qui me visite chaque jour de la journée.
Mais je sais au fond de moi, qu'elle m'aidera à m'accomplir, peut importe qui, elle pensera les blessures de ma terreur, du tremblement de mon touché à son touché, et me prendra la main, me caressera le visage avec ces doigts d'or, parce que je suis incapable de faire du mal tant que le diable vivra en moi...
Elle est ma peur, ma joie, ma tristesse, mon antre secrète, la tapisserie de ma vie, le décor de ma vie !
Avec elle je traverserais les charbons ardents, le monde d'une plage aussi dépeuplé qu'un océan ravagé par une tempête tropicale, le périphérique bondé d'un centre ville,
Car faire appel à elle, c'est faire appel à l'amour, c'est faire disparaitre la douleur
Faire appel à la douleur, c'est faire apparaitre l'amour,
Ne jamais fuir, ne jamais se désister, ne jamais refuser, toujours apprendre...
Je ne peux fuir, je ne peux désister, je ne peux refuser, mais je peux apprendre...
Je peux apprendre, mais je ne peux refuser, je ne peux désister, je ne peux fuir...
Je peux apprendre, mais je ne peux refuser, je ne peux me désister, je ne peux me fuir, je suis encerclé par son charme aujourd'hui et à jamais, parce que son charme est tout ce que mon âme brulé me reste, parce qu'elle sera mienne !
La colère m'assaillis ! La désinvolture me brule l'âme ! Je ne peux fuir cette fille ! Je ne peux fuir son amour ! Je ne peux fuir sa beauté, qui est synonyme de douleur pour mon âme d'enfant brulé, qui ne l'est plus désormais, parce que l'antre est devenu...
Une présence aussi perçante que l'orgasme qu'elle s'est procurée pour faire fondre mes doutes, pour faire fondre mon incompréhension, parce que je lis en elle à présent comme dans un livre ouvert...
Elle me réconforte dans son idée de me séduire, je l'a réconforte dans mon idée de la séduire.
Alors j'accepte, j'acquiesce, je reste, et j'observe, parce que mon âme est tout ce qu'il me reste...
Dernière édition par Seb le Dim 12 Juin 2011 - 13:58, édité 1 fois
Re: Effet de société
Et voilà ! A présent, encore un poème plutôt triste, qui va suivre une succession de poèmes de plus en plus joyeux (avec des photos très joyeuses également )
ps : le traitement de texte des 13 poèmes n'a pas été respecté, car, étant donné qu'il n'existe pas toute la palette de couleurs, ni de caractères que sur mon blog, et comme je devais faire un paragraphe à la fois (bien trop laborieux, vu le nombre de paragraphe!) j'ai préféré laissé comme tel (triste certes, m'enfin, vous aurez de quoi vous consolez avec les photos, ou bien les poèmes à venir ). Mais si vous voulez voir le résultat dans sa véritable forme, je vous invites sur mon blog (dont je vais afficher l'adresse en compagnie de ma signature )
Régalez vous !
Et comme d'hab, si vous voulez émettre un commentaire quel qu'il soit, vous êtes bien entendu le bienvenu ! (Qu'il soit en bien ou en mal, j’accepte tous !)
A présent, le poème :
Somnambulisme
Nightmares... Nigtmares...
I don't care about others aboard !
I just want to go home...
Like the others, others to me
But I not afraid !
I walk through these multiples shores, sun the wind behind me...
I just want to go home...
Back to me, is to me, think without you I can not do !
The shadows of the sun burns my retinas...
Glimmer of hope, I can not do anything for you, I can help you
Cauchemars... Cauchemars...
Je me fous des autres à bord !
Je veux juste rentrer chez moi...
Comme ces autres, autres pour moi
Mais je n'ai pas peur !
Je marche au travers ces multiples rivages, soleil le vent derrière moi...
Je veux juste rentrer chez moi...
Revient à moi, revient à moi, sans toi je ne peux plus penser !
L'ombre du soleil me brule les rétines...
Lueur d'espoir, je ne peux rien faire pour toi, je ne peux t'aider
ps : le traitement de texte des 13 poèmes n'a pas été respecté, car, étant donné qu'il n'existe pas toute la palette de couleurs, ni de caractères que sur mon blog, et comme je devais faire un paragraphe à la fois (bien trop laborieux, vu le nombre de paragraphe!) j'ai préféré laissé comme tel (triste certes, m'enfin, vous aurez de quoi vous consolez avec les photos, ou bien les poèmes à venir ). Mais si vous voulez voir le résultat dans sa véritable forme, je vous invites sur mon blog (dont je vais afficher l'adresse en compagnie de ma signature )
Régalez vous !
Et comme d'hab, si vous voulez émettre un commentaire quel qu'il soit, vous êtes bien entendu le bienvenu ! (Qu'il soit en bien ou en mal, j’accepte tous !)
A présent, le poème :
Somnambulisme
Nightmares... Nigtmares...
I don't care about others aboard !
I just want to go home...
Like the others, others to me
But I not afraid !
I walk through these multiples shores, sun the wind behind me...
I just want to go home...
Back to me, is to me, think without you I can not do !
The shadows of the sun burns my retinas...
Glimmer of hope, I can not do anything for you, I can help you
Cauchemars... Cauchemars...
Je me fous des autres à bord !
Je veux juste rentrer chez moi...
Comme ces autres, autres pour moi
Mais je n'ai pas peur !
Je marche au travers ces multiples rivages, soleil le vent derrière moi...
Je veux juste rentrer chez moi...
Revient à moi, revient à moi, sans toi je ne peux plus penser !
L'ombre du soleil me brule les rétines...
Lueur d'espoir, je ne peux rien faire pour toi, je ne peux t'aider
Re: Effet de société
Guerre froide
Ego du démesure, égo de l'incertitude
Dire un oui qui représente un non, dire un non qui représente un oui
Une fierté, un égo, une colère, une envie
Une volonté, une crise, un délire
Comme l'inspiration, un bébé qui n'attend pas. Il se réveille au beau milieu de n'importe quel moment, et ne nous lâche plus. Ces pleurs symbolisent la volonté d'exister, et lorsqu'on le couche, il ne dit plus un mot, à part un petit sourire, voir regard de la satisfaction.
Se reprendre d'une vie, d'une idée, aussi fuguasse que l'envie de faire l'amour à une fille...
J'accepte l'idée de devenir esclave d'un monde, tant que mon cœur est libéré de toute contrainte...
Parce que je ne veux pas devenir comme tous ces moutons qui m'encerclent jour après jour...
S'assoir sur le rebord d'une entrée, observant le soleil, les nuages, les passants, et ces belles filles assises avec sa compagnie qu'elles s'est choisies. J'écoute ma musique, en ayant fait mon trou dans une société qui ne prime que l'apparence physique, la mienne est bordé de trouble et de regard dénué de volonté à plaire.
J'attends simplement, je marche simplement, croisant ces regards, déçu ou fier, mais qu'importe, juste le moment du regard prime dans celui de l'apparence, parce que seul le regard et les merveilleux corps transmettent l'émotion dont j'ai besoin pour vivre...
Et jour à après jour j'observe ces filles, ces merveilleux corps qui me transmettent mille et un mot, mille et une phrase, mille et un poème, aussi fuguasse que ce bébé qui me réclame.
Muscle tendu, tension en flèche, transpiration intense, sourire gêné, observation de mon état d'être, de son état d'esprit, aussi fébrile que son regard, son sourire qu'elle tente de me cacher par fierté qui lui gonfle les joues, la tête, qui la chauffe, et se transforme en torche humaine...
Regard échangé, déplacement confus, et je me libère alors de toute confusion des genres, de cette confusion de la guerre des sexes, par ce doux parfum, douce chevelure, douce poitrine, doux vêtement moulant, aussi magnifique à regarder que les muscles d'un homme.
Rompu au silence par ce mot écrit en majuscule : VOUS ÊTES TRÈS JOLIE, agrémenté d'un smiley souriant, suivie d'un petit "si vous voulez 06 71 49 89 17" dans le fine espoir d'un lien féminin masculin...
Ego du démesure, égo de l'incertitude
Dire un oui qui représente un non, dire un non qui représente un oui
Une fierté, un égo, une colère, une envie
Une volonté, une crise, un délire
Comme l'inspiration, un bébé qui n'attend pas. Il se réveille au beau milieu de n'importe quel moment, et ne nous lâche plus. Ces pleurs symbolisent la volonté d'exister, et lorsqu'on le couche, il ne dit plus un mot, à part un petit sourire, voir regard de la satisfaction.
Se reprendre d'une vie, d'une idée, aussi fuguasse que l'envie de faire l'amour à une fille...
J'accepte l'idée de devenir esclave d'un monde, tant que mon cœur est libéré de toute contrainte...
Parce que je ne veux pas devenir comme tous ces moutons qui m'encerclent jour après jour...
S'assoir sur le rebord d'une entrée, observant le soleil, les nuages, les passants, et ces belles filles assises avec sa compagnie qu'elles s'est choisies. J'écoute ma musique, en ayant fait mon trou dans une société qui ne prime que l'apparence physique, la mienne est bordé de trouble et de regard dénué de volonté à plaire.
J'attends simplement, je marche simplement, croisant ces regards, déçu ou fier, mais qu'importe, juste le moment du regard prime dans celui de l'apparence, parce que seul le regard et les merveilleux corps transmettent l'émotion dont j'ai besoin pour vivre...
Et jour à après jour j'observe ces filles, ces merveilleux corps qui me transmettent mille et un mot, mille et une phrase, mille et un poème, aussi fuguasse que ce bébé qui me réclame.
Muscle tendu, tension en flèche, transpiration intense, sourire gêné, observation de mon état d'être, de son état d'esprit, aussi fébrile que son regard, son sourire qu'elle tente de me cacher par fierté qui lui gonfle les joues, la tête, qui la chauffe, et se transforme en torche humaine...
Regard échangé, déplacement confus, et je me libère alors de toute confusion des genres, de cette confusion de la guerre des sexes, par ce doux parfum, douce chevelure, douce poitrine, doux vêtement moulant, aussi magnifique à regarder que les muscles d'un homme.
Rompu au silence par ce mot écrit en majuscule : VOUS ÊTES TRÈS JOLIE, agrémenté d'un smiley souriant, suivie d'un petit "si vous voulez 06 71 49 89 17" dans le fine espoir d'un lien féminin masculin...
Rime irréfléchie
Souris city, souris des villes
Elles s'immiscent dans le quotidien et hante nos esprits
Maquillage, boucles d'oreilles, rien ne peut nous détacher de leur regard
Et je suis hypnotisé par leur beauté du lendemain
Aussi transparente qu'une eau, qui ruissèle sur la tamise
Leurs regards nous emprisonnent dans une fureur et une irrépressible envie de flatter leurs iris
Et je l'observe, du haut de ma montagne, de ma musique mis à plein volume
L'échappatoire du mal, du surpeuplement, de la consommation : cette dame au rime irréfléchie
Aussi glaciale que grisaille
Cette souris des villes, souris city, ne peut m'emmener avec elle dans sa tamise fait de pavé
Il reflète le reflet des lumières larmoyantes qui nous pousse à l'exile
Petite insoupçonné, surdoué, irréfléchie, et rigolote à la méchanceté
Elle qui m'enivre, qui m'excite, qui m'exile sur une ile du pacifique, elle peut m'emprisonner dans ces ailes tant que mon cœur est accroché à sa main
Souris city, souris des villes
Elles s'immiscent dans le quotidien et hante nos esprits
Maquillage, boucles d'oreilles, rien ne peut nous détacher de leur regard
Et je suis hypnotisé par leur beauté du lendemain
Aussi transparente qu'une eau, qui ruissèle sur la tamise
Leurs regards nous emprisonnent dans une fureur et une irrépressible envie de flatter leurs iris
Et je l'observe, du haut de ma montagne, de ma musique mis à plein volume
L'échappatoire du mal, du surpeuplement, de la consommation : cette dame au rime irréfléchie
Aussi glaciale que grisaille
Cette souris des villes, souris city, ne peut m'emmener avec elle dans sa tamise fait de pavé
Il reflète le reflet des lumières larmoyantes qui nous pousse à l'exile
Petite insoupçonné, surdoué, irréfléchie, et rigolote à la méchanceté
Elle qui m'enivre, qui m'excite, qui m'exile sur une ile du pacifique, elle peut m'emprisonner dans ces ailes tant que mon cœur est accroché à sa main
Juste ce qu'il faut
Power of love, power of sade, power of redemption
Comment décrire une larme ?
Comment décrire une joie ?
Comment décrire un rire ?
Je suis là devant toi, et je te vois sourire
Ce petit bijou me rempli de joie, parce que tu es devenu le soleil de mon inspiration.
Une inspiration comme expliqué dans un autre poème, ça n'attend pas. Ça vient quand bon lui semble, la plupart du temps, lorsque tu es émue. Tristesse ou de joie. Mais peu importe au final...
La tristesse c'est la mélancolie du cœur, elle t'aide à exprimer ce que les mots n'ont pas su exprimer, parce qu'ils n'ont pas trouvé la sortie.
La joie c'est la joie du cœur, elle t'aide à exprimer ce que les mots n'ont pas suffis à exprimer, parce qu'ils n'ont pas été assez nombreux à sortir.
Et entre les deux, il y a l'inspiration.
Cette petite chose que l'on appel des mots qui fourmille dans ton esprit, et supplie pour sortir. Ces petites fourmilles qui taquinent la matière grise.
L'inspiration est une émotion. Une enveloppe qui ne demande qu'à s'ouvrir. L'esprit tourmentée d'une histoire qui se lève le matin, et se couche le soir, en fermant les yeux, et se remplie de rêve.
L'inspiration est un "il était une fois" sans le happy end final, car chaque poème a sa propre fin. Mélancolique, tragique, destructrice, révélatrice, ou rédemptrice.
Univers parallèle...
Prendre sa voiture, dans une destination inconnue, en n'ayant qu'une seule envie en tête: se vider l'esprit...
Direction un centre commercial, je gare ma voiture, et effectue mes achats. La sensation de plaire est omniprésent, mais seul le regard franc et authentique m'intéresse. Le reste n'est qu'accessoire, illusoire, et c'est malheureusement uniquement ce qui m'entoure à ce jour...
Une fois l'achat terminé, et la tête tournée, direction un lac sous un magnifique soleil. Une fois sur place, je m'installe, m'allonge sur l'herbe fraiche au bord d'une eau reflétant les battements du soleil. Les auréoles de son scintillement me font rêver, tout comme les formes féminines qui m'entourent. Je n'ai qu'une seule envie, être abordé par une magnifique créature aux contour ornés de lumière blanche.
Autour de moi, les groupes se font, les regards se croisent, c'est une évidence, je plais beaucoup...
En particulier, deux filles installées non loin de ma position. Leurs regards, leurs rires, leurs vêtements me font rêver. Elles sont là, en particulier une, qui me croisent du regard quand la timidité et la peur se fait moins présente.
Mais malgré tous, ma paralysie des membres, la fraicheur du vent, et le soleil qui tape sur la tête, m'empêchant d'aller lui parler. Me résoudre est mon seule vice, que je ne peux dévisser... Que dirais-je à part des claquements de dents provoqués par ma terreur, amplifiés par le vent qui me semble glacial ?
Alors je restes là, et je décides de m'allonger, lunette de soleil sur le nez.
Je m'assoupis légèrement, et deviens une ombre parmi toutes ces formes qui ne demande qu'une chose : les touchés, les caresser, les embrasser, et accessoirement, leurs faire l'amour...
L'envie est ici, mais je ne cèdes, à cause de cette peur qui me harcèles.
Je me relèves et m'aperçois que la fille en question s'est approché de ma position, dans le grand étonnement de sa copine, mais je ne peux me résoudre à aller la voir, par pour l'instant du moins... :No:
Plus le temps passe, plus son comportement est explicite : "vient me voir s'il te plait, tu me plais beaucoup"...
Et quand je me décides enfin d'aller la voir, deux chimpanzés s'approchent et s'installent à coté d'eux. Et voilà, le rêve est brisé !
A attendre patiemment qu'ils partent, autant dire user de la patience de cette charmante demoiselle qui n'a qu'une envie, flirter avec mon regard, mon sourire, mon corps... !
Plusieurs mots me viennent en tête : incapacité, tremblement, terreur, froideur, excitation, timidité.
Mais mon inexpérience dans ce domaine, et le fait de ne pas avoir vécu comme les jeunes de mon age. Dans l'oublie de mon corps et de mon esprit pendant 6 ans, m'a fait transformé en E.T.
Un être doux et gentil, mais doué de cette incapacité à ce fondre entièrement dans la masse. Remarqué par ces différences qui tend à les rendre factice, mais qui ne le sont pas...
Elles partent, en s'approchant de moi, je peux sentir leurs présences, leurs doux vagins, leurs douces jambes, et par dessus tout, leurs inaccessibilité parce que nous ne nous trouvons pas dans la même galaxie... Un monde parallèle où les membranes sont si fines que je peux presque les toucher....
Autant de qualificatif qui décrit cette scène haut en émotion !
Haut en couleur est la vie, inaccessibilité est le rêve transformé en fantasme.
Sans bruit...
Comme l'achève d'une rivière, la sentence d'un amour, plus tranchant qu'un baiser
Mourir pour deux, vivre pour une seule personne, la sentence d'un amour
Le baiser aussi délicat qu'un « je t'aime », aussi doux qu'un touché, aussi virevoltant qu'une étreinte
Comme le doux chant d'une rivière, le court scintillant reflétant les battements d'un soleil de midi
Le bruit d'un criquet, aussi silencieux à l'entente qu'un baiser dans le cou, aussi tendre qu'une étreinte
Rien ne pourrait remplacer le doux silence d'un chœur
Je ne peux dire un mot
Je ne peux dire une syllabe
Le son de ma voix est emporté par le courant de la rivière qui me suit en parallèle de mon sentiment d'inconscience
Juste dire « ... » à l'être aimé
Parce que les mots sont inutiles lorsque le regard transmet toute la passion
Je l'ai traduits par un doux poème qui est le reflet d'un sentiment naissant
Non comme une déclaration d'amour, mais plus avec une étreinte que peuvent générer ces mots
Le désir voulu : te faire sourire à la lecture de ces mots, comme la plus vertigineuse de mes conneries qui peuvent être prononcés, et qui te font tant sourire...
1er poème pour ma demoiselle
Pied nu devant un désert
Le doux chant du vent... Caresser ma peau comme la douceur de sa peau
Observant l'horizon
Nul doute de ce que je vois... La beauté du paysage recèle autant de mystère que la beauté de son regard
Toucher le sable chaud
Le doux chant de sa voix, nul comparaison à la chaleur de sa présence
Aucun parfum ne pourrait égaler la béatitude de ces yeux
Sa coiffure, reflet d'éblouissement, d'impénétrable légèreté de l'être
Seul comparaison à l'abime de son sourire
Plongé dans un mystère sans fond, telle la chaleur d'un soleil, le calme d'un lac
Le mystère de son humour, aussi impénétrable que le mystère de sa beauté
Me faisant quitter terre, flirtant avec les nuages, comme je flirtes avec sa peau
Je ne pourrais mieux exprimer ce sentiment de plénitude que par la poésie d'un chant
L'éternel voyage d'un mot au travers les sens d'une émotion
Le vol d'un chant, le touché d'une enveloppe, le sifflement d'un oiseau
M'allonger sur le sable
L'âme aussi calme et mystérieux qu'une cabane au fin fond d'une foret
Humidifié par la rosé d'un matin, n'inspirant qu'abysse ténébreuse
Abyssale, impénétrable, indéchiffrable, l'amour et la passion d'une philosophie, transporté par la magie d'un mot
Le chatouillement d'un rire, comment pourrais-je m'en passer ?
L'étourdissante réflexion que pose la chaleur de sa présence, rien ne serait comparable à cette poésie
Je ne peux ignorer le son de sa voix, occupant toutes mes pensées, toutes les parties de mon cœur
Il s'emballe, je ne peux qu'être enivré, étourdi par tant de beauté
Je ne peux l'arrêter, je ne peux qu'être étourdi
Comment ignorer la passion de sa présence ? Comme une flamme dans mon cœur...
Je m'enfonce
Cette flamme, aussi brulante que l'amour, la passion dont je te portes, ne peut s'éteindre
Ne peut que s'évaporer par la béatitude de ta présence
Comme un chant que je ne peux qu'écouter...
Comme l'achève d'une rivière, la sentence d'un amour, plus tranchant qu'un baiser
Mourir pour deux, vivre pour une seule personne, la sentence d'un amour
Le baiser aussi délicat qu'un « je t'aime », aussi doux qu'un touché, aussi virevoltant qu'une étreinte
Comme le doux chant d'une rivière, le court scintillant reflétant les battements d'un soleil de midi
Le bruit d'un criquet, aussi silencieux à l'entente qu'un baiser dans le cou, aussi tendre qu'une étreinte
Rien ne pourrait remplacer le doux silence d'un chœur
Je ne peux dire un mot
Je ne peux dire une syllabe
Le son de ma voix est emporté par le courant de la rivière qui me suit en parallèle de mon sentiment d'inconscience
Juste dire « ... » à l'être aimé
Parce que les mots sont inutiles lorsque le regard transmet toute la passion
Je l'ai traduits par un doux poème qui est le reflet d'un sentiment naissant
Non comme une déclaration d'amour, mais plus avec une étreinte que peuvent générer ces mots
Le désir voulu : te faire sourire à la lecture de ces mots, comme la plus vertigineuse de mes conneries qui peuvent être prononcés, et qui te font tant sourire...
1er poème pour ma demoiselle
Pied nu devant un désert
Le doux chant du vent... Caresser ma peau comme la douceur de sa peau
Observant l'horizon
Nul doute de ce que je vois... La beauté du paysage recèle autant de mystère que la beauté de son regard
Toucher le sable chaud
Le doux chant de sa voix, nul comparaison à la chaleur de sa présence
Aucun parfum ne pourrait égaler la béatitude de ces yeux
Sa coiffure, reflet d'éblouissement, d'impénétrable légèreté de l'être
Seul comparaison à l'abime de son sourire
Plongé dans un mystère sans fond, telle la chaleur d'un soleil, le calme d'un lac
Le mystère de son humour, aussi impénétrable que le mystère de sa beauté
Me faisant quitter terre, flirtant avec les nuages, comme je flirtes avec sa peau
Je ne pourrais mieux exprimer ce sentiment de plénitude que par la poésie d'un chant
L'éternel voyage d'un mot au travers les sens d'une émotion
Le vol d'un chant, le touché d'une enveloppe, le sifflement d'un oiseau
M'allonger sur le sable
L'âme aussi calme et mystérieux qu'une cabane au fin fond d'une foret
Humidifié par la rosé d'un matin, n'inspirant qu'abysse ténébreuse
Abyssale, impénétrable, indéchiffrable, l'amour et la passion d'une philosophie, transporté par la magie d'un mot
Le chatouillement d'un rire, comment pourrais-je m'en passer ?
L'étourdissante réflexion que pose la chaleur de sa présence, rien ne serait comparable à cette poésie
Je ne peux ignorer le son de sa voix, occupant toutes mes pensées, toutes les parties de mon cœur
Il s'emballe, je ne peux qu'être enivré, étourdi par tant de beauté
Je ne peux l'arrêter, je ne peux qu'être étourdi
Comment ignorer la passion de sa présence ? Comme une flamme dans mon cœur...
Je m'enfonce
Cette flamme, aussi brulante que l'amour, la passion dont je te portes, ne peut s'éteindre
Ne peut que s'évaporer par la béatitude de ta présence
Comme un chant que je ne peux qu'écouter...
Une larme est coulée...
Une larme est coulée...
Un chapitre est tournée...
Et je suis là, par delà ce paysage ensoleillé à l'écouter, à m'exprimer
Cette fenêtre non teintée ne peut déguisée mes émotivités, transparente grâce à ce soleil qui me caresse la peau
Grace à ce vent glacial qui me fait défaut...
Mes yeux collés au paysage écarlate que sont mes iris photographiés par la lueur d'une lumière
L'authenticité est présent, je le sens, à chaque respiration
Jamais il n'a était comme ça avec moi, jamais il n'a été dans cet état, et surtout pas devant moi...
Re: Effet de société
Bravo, tes photos sont vraiment très belles et tout ça avec un portable, chapo parce que je trouve que tu as du talent
Invité- Invité
Re: Effet de société
j'aime beaucoup tes photos!
c'est très artistique (il a beaucoup de lumière et c'est ce que j'aime bien!)
très sympa tes écrits, c'est toujours bien d'écrire de toute façon!
c'est très artistique (il a beaucoup de lumière et c'est ce que j'aime bien!)
très sympa tes écrits, c'est toujours bien d'écrire de toute façon!
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Effet de société
Thanks you very much alamanga
Tu te doutes que cela me touche beaucoup
Idem ! Et ce n'est que les 1eres photos. Parce que j'en ai pris d'autres autre temps, qui illustre des poèmes à venir
Tu te doutes que cela me touche beaucoup
(il a beaucoup de lumière et c'est ce que j'aime bien!)
Idem ! Et ce n'est que les 1eres photos. Parce que j'en ai pris d'autres autre temps, qui illustre des poèmes à venir
Re: Effet de société
A présent, une ou deux bannières provenant de films coups de cœurs ! A vous de deviner de quel film il s'agit
Re: Effet de société
Super les écrits et les photos , j'adore l'effet que ça donne c'est calme serein!!!!
Des photos d'artistes, tu as l'air d'avoir une âme sensible et sentimental pour prendre ce genre de photos^^
Euh par contre pour les films je me prononce pas
Des photos d'artistes, tu as l'air d'avoir une âme sensible et sentimental pour prendre ce genre de photos^^
Euh par contre pour les films je me prononce pas
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: Effet de société
Je me lance^^
Premier : Sectum
Deuxième : Le livre d'Elie
Et non ! Et tu en es même très loin lol
Un autre essai ? :bounce:
Super les écrits et les photos , j'adore l'effet que ça donne c'est calme serein!!!!
Des photos d'artistes, tu as l'air d'avoir une âme sensible et sentimental pour prendre ce genre de photos^^
Merci et oui en effet, j'ai une âme très sensible et sentimental. Je dirais même plus, une hyper sensibilité
J'adore les photos qui illustre tes textes
elles sont trop jolie
Merci Hisysse J'apprécie ....
Euh par contre pour les films je me prononce pas
Pourquoi ? Peur d'aller au buffet ?
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