Effet de société
+2
voilà
Seb
6 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: Effet de société
Et maintenant, un petit elixire de vie avant d'aller me coucher !
Bisous bisous tout le monde ! Et régalez vous donc avec cette petite douceur
Le "je" du "moi"
Entre ceux qui aime rire, et ceux qui aime se faire rire
Entre ceux qui aime pleurer, et ceux qui aime se faire pleurer
Une vaste étendue de personne ne pourrait témoigner de cette envergure démonstratif
Et pourtant nous sommes là, à observer, à rire, et pleurer, ou tout simplement à vivre
Mais au fond nous sommes de la même substance
Un neurone, une vie, une envie
Aussi relatif que le délire de vivre
Aussi démonstratif que l'est cette petite fille au rire mercantile
Une personnalité, un "je", un "moi"
Le jeu du mois
La rareté du "lui"
Et pourtant nous sommes là
Il est là, il nous regardent
On en rie, ou on en pleur
On s'en moque, ou on s'en reflète
La différence c'est que là, nous lisons cette rime, cette poésie
On l'aime ou on la déteste, mais nous sommes toujours là
Et pourtant, cette poésie appartient à E.T
Celui que vous croisez dans la rue, avec admiration ou méfiance
Et comme toujours, vous l'esquivez du regard, ou vous restez stoïque devant sa beauté délurique
Une rimique, un délire passer à autrui
Un rire, transmis à ces ami(e)s
Le "je" du "moi", qui se cache derrière ?
A venir, "Au lendemain", "rime du pacifique", "le "je" du "toi"", et enfin "arbre de vie"
Bisous bisous tout le monde ! Et régalez vous donc avec cette petite douceur
Le "je" du "moi"
Entre ceux qui aime rire, et ceux qui aime se faire rire
Entre ceux qui aime pleurer, et ceux qui aime se faire pleurer
Une vaste étendue de personne ne pourrait témoigner de cette envergure démonstratif
Et pourtant nous sommes là, à observer, à rire, et pleurer, ou tout simplement à vivre
Mais au fond nous sommes de la même substance
Un neurone, une vie, une envie
Aussi relatif que le délire de vivre
Aussi démonstratif que l'est cette petite fille au rire mercantile
Une personnalité, un "je", un "moi"
Le jeu du mois
La rareté du "lui"
Et pourtant nous sommes là
Il est là, il nous regardent
On en rie, ou on en pleur
On s'en moque, ou on s'en reflète
La différence c'est que là, nous lisons cette rime, cette poésie
On l'aime ou on la déteste, mais nous sommes toujours là
Et pourtant, cette poésie appartient à E.T
Celui que vous croisez dans la rue, avec admiration ou méfiance
Et comme toujours, vous l'esquivez du regard, ou vous restez stoïque devant sa beauté délurique
Une rimique, un délire passer à autrui
Un rire, transmis à ces ami(e)s
Le "je" du "moi", qui se cache derrière ?
A venir, "Au lendemain", "rime du pacifique", "le "je" du "toi"", et enfin "arbre de vie"
Re: Effet de société
Le 1er est la "suite" (même si il n'ont pas les mêmes acteurs...) d'open water, le second à été réalité par tony scott, et le 3e est un "thriller" très comique axé sur le meurtre d'une actrice.
Re: Effet de société
Ah oui, le premier c'est donc Derive Mortel (Open Water 2)
Le deuxième avec Denzel je pense que c'est Man of Fire et dieu sait que Denzel en a fait des films avec Tony!!!
et le dernier si je ne me trompe pas, c'est Date Limite^^
sinon, j'aurais essayé lol
Le deuxième avec Denzel je pense que c'est Man of Fire et dieu sait que Denzel en a fait des films avec Tony!!!
et le dernier si je ne me trompe pas, c'est Date Limite^^
sinon, j'aurais essayé lol
Invité- Invité
Re: Effet de société
Presque un sans faute !!!!
Le dernier c'est "kiss kiss bang bang"
(date limite j'ai détesté, pas assez de punch par rapport à kiss kiss bang bang. Les ressorts comiques sont lourds, et robert en fait des tonnes)
Le dernier c'est "kiss kiss bang bang"
(date limite j'ai détesté, pas assez de punch par rapport à kiss kiss bang bang. Les ressorts comiques sont lourds, et robert en fait des tonnes)
Re: Effet de société
Me revoilà pour de nouveaux poèmes !!!!!
Au lendemain
Tout ce que je suis est décrit dans mon profil
Tout comme la description de mon être est décrite dans mon blog
Cœur ou rancœur y est décrit
Tout comme amour et tristesse !
Grand corps malade vous le dirait surement mieux que moi
"Je viens de là"
Rencontre d'une joie ou d'une tristesse
D'une colère ou d'un amour
D'une amitié qui est toujours à mes cotés
Et pourtant je reste encore et toujours ce petit être que vous croisez dans la rue
Infiniment petit par la taille, infiniment grand dans la grandeur
L'amour que je décris est aussi brut que l'émeraude qui me caractérise
Openask me décrirait surement mieux que moi
Amour, tendresse, manipulateur ?
Tient, tient...
Et pourtant, je reste ce gros nounours que vous êtes prêt à aimer à vous en arracher la plaie
Et pourtant, je reste ce gros mystérieux que vous êtes prêt à détester lorsqu'un coupable est dressé
Ni coupable, ni innocent
Une corde raide qui pourrait me définir tant cette raideur est aussi fine que la lame d'un samouraï
Sensibilité, décadence, et dextérité sont mes armes du lendemain
Sauvetage, leader, grandiloquences de l'être sont les peines de dexter
Murmurer l'amour d'un disparu pourrait sauver une peine en état de peine
Aussi surement que je pourrais vous dire le mal qui me ronge
Alors que pourrais-je vous dire après ces quelques mots ?
Rime du pacifique
Une vague qui s'écrase...
Le rivage qui me regarde...
Voilà ce que reflète ma personnalité fragmenté
Voilà ce que reflète ces poèmes aux rimes mélancoliques
Que pourrais-je vous dire à part que je suis désolé...
Désolé du temps ensoleillé, désolé pour toutes ces personnes qui se sentent comme Alice perdu dans le terrier du lapin blanc
Un saint patron des causes perdues, parce que ma peine est aussi perdue que ce blog qui arpente une surface de glace...
Un coup d'éclat, une pièce manquante
Un poème qui fut adulé, son ombre qui en fut détérioré
Parce que, malgré tous ces efforts pour existait, il se retrouve de nouveau perdue...
Un touché, une caresse, un baiser
Voilà ce en quoi je n'aurais droit
Droit de regarder, de baver, mais de ne pas y toucher
Sous peine d'une mort prolongée
Un sourire qui tombe dans l'oublie
Aussi désuète qu'est cette bibliothèque où j'y entrepose toute ma médiathèque de souvenir d'oubliette
Et maintenant je restes bloqués à cette rime archie comblé par un douloureux passé
Cantonné, déprimé, emprisonné !
Un pleure par heure, une larme par samouraï
Mais que viens donc faire ce samouraï parmi toutes ces rimes diptyques !?
Il est moi, il est mon œuvre, il est mon visage, il est mon miroir...
Une délicatesse, une ivresse, une noblesse !
L'ile du pacifique où est terré cette antre, où est niché le dragon que j'avais jadis couché sur du papier
Me fait encore face...
Face parce que ces flammes ne sont plus que cendres par un océan où la tempête fait de nouveau rage...
Et resté stoïque, debout devant ces vagues...
... Ce vent qui me caresse le visage
... Ce soleil qui me chatouille l'iris
Marché sur l'eau salée, trempés mes pieds
Arrivée à mi chemin, entre mer et océan, vient la couleur vert-bleu
Reflet de mes yeux...
Et nagé parmi ces vagues qui me harcèlent, qui me chatouilles les lèvres, j'observe le rivage, et je me dis...
Le "je" du "toi"
Un "je" du "moi" de l'année passée
Un "je" du "toi" de cette année
Le jeu du toit, est comme son titre l'indique, un jeu qui consiste à dénaturer la loi du "moi"
Cet homme qui marche sur les toits, et crie haut et fort son nom
Il hurle aussi fort qu'il le peut, parce qu'il n'a que sa voie pour se dénaturer de la loi
Et maintenant prenons toi, lecteur qui lit cette poésie en rime
Il doit se dire "mais où veut-il en venir !?"
Et bien je vais te le dire... En lisant cet extrait lyrique, vous vous souviendrez de mon pseudo
Tout comme mon précédent essai, qui fut couronnée de succès...
Ce pseudo que j'utilise, qui me reflète, aussi surement que le jeu de mot qui me raquette chaque lettre de mon bien être
Et bien mon véritablement nom est Pruvost Sébastien...
Retenez le bien, parce qu'au travers cet essai je compte démontrer que tu n'es pas si différend de moi, même si tu t'efforce de le nier !
Et au travers cet essai je compte te démontrer que tes commentaires sont aussi exemplaires que mon envie d'être...
Une envie d'être, une envie de plaire, aussi subtile qu'un coup d'œil jeté à une inconnue qui me croise dans la rue
Une envie d'être, une envie de paraitre, aussi subtilement que l'est ce gout vestimentaire que tu t'évertues de symboliser par les traits de ton beau fessier
"Vulgaire !" Vous me dites ?
Soyons réalistes ! Ces mots ne vous emportent que parce que cette colère ce trouve dans les rivages de la vérité !
Avec autant de rage que vous vous efforcez de le nier !
Le "je" du "toi" est comme son titre l'indique, un jeu qui peut me faire passer pour toi
un jeu qui peut Te faire passer pour moi
Le jeu du miroir qui se tient devant ton visage
Et comme le maquillage que tu t'efforces d'appliquer sur ton beau visage et qui ne fait que te refléter cette vérité...
Toi et moi savons parfaitement que la seule vérité que tu t'efforces de te cacher n'est que le reflet du miroir qui se tend devant ton visage, et qui ne fait que te murmurer une chose : y'en a plein le cul de tout ce paraitre qui dénature mon bien être !
Alors après toutes ces phrases, qui de vous est moi ?
et sur quel toit comptes tu hurler ta vérité... ?
Une seule chose est sur après tout cela ! Beauté est synonyme de reflet...
Arbre de vie
Un héros, qu'est-ce que c'est ?
Hum... Très bonne question n'est-ce pas ?
Et pour tout vous dire, vous donner une réponse simple et concise est impossible, alors je me contenterais de vous décrire mes émotions à ce sujet...
Une personne est en danger
Une personne pleure
Une personne rie
C'est une personne qui sait vous donner du courage là où la douleur fait rage...
Solide, agile, résistant, habile, tellement dérisoire comme qualificatif
Après tout, on ne lui demande pas d'être un dieux de l'olympe
Juste d'être immortel...
Et c'est bien là le problème...
Un héros ne peut être immortel, il ne peut vivre pour l'éternité
Parce qu'un héros n'est fait que de chair et de sang
Une peau, des os, des veines, un cœur, des poumons
Il vieillit, et ne peut rajeunir...
Distant, vulnérable, fragile
Un tuteur, un exemple
Un guide, un chef
Spirituel dans nos têtes
Un héros
Un souvenir indélébile qui grandit dans nos esprits
Immortel dans nos têtes
Il sait vous donner le sourire au lèvre
Il sait vous donner la larme à l'œil
Il sait vous secourir si vous êtes en danger
Il sait tous faire, sauf être vous même...
Il sait donner sa vie, mais ne pourra revenir
A vos cotés, vous consoler, parce que sa vie c'est ce qui lui donne la vie
Merci si vous m'avez écoutés, lus et d'avoir été émus...
Beginning
Darkness...
Quand je te regarde, je me vois moi, adolescent
J'arpente les couloirs, seuls, malgré la foule autour de moi
Ils me fixent
Et je fixe un reflet qui me gifle
Cette vitre...
Une personne s'installe alors à coté de moi
J'ai peur, très peur... Je suis terrifié par tant de raideur
Elle me parle, mais je ne l'écoute guère
Elle s'éloigne, je respires enfin
Puis des mots surviennent... Quel calvaire
Le cauchemars commencent
Le diable est dans cette classe
Une invitation à la douleur
Un petit etre l'observe, mais je ne peux bouger
Esclave de son regard...
Des humiliations, des mots qui me blesse l'etre
Ils surviennent, ils repartent, et je m'isole
Un coin de pénombre, d'ombre de la honte
Et je tremble...
Je résiste, mais je rend finalement l'ame...
En face de moi se trouve un adulte, il a grandit
Il me fixe, et me sourie
Puis quand la lumière est braqué sur moi, je deviens honte et m'enfouis dans ma pénombre de la honte
Un petit garcon le remplace, et s'exile dans son esprit, une simple ile du pacifique
Qu'est-ce que j'aimerais le rendre visite, et lui dire...
"It's only the beginning"
Un jour, la douleur te transfigurera et te remplacera...
Au lendemain
Tout ce que je suis est décrit dans mon profil
Tout comme la description de mon être est décrite dans mon blog
Cœur ou rancœur y est décrit
Tout comme amour et tristesse !
Grand corps malade vous le dirait surement mieux que moi
"Je viens de là"
Rencontre d'une joie ou d'une tristesse
D'une colère ou d'un amour
D'une amitié qui est toujours à mes cotés
Et pourtant je reste encore et toujours ce petit être que vous croisez dans la rue
Infiniment petit par la taille, infiniment grand dans la grandeur
L'amour que je décris est aussi brut que l'émeraude qui me caractérise
Openask me décrirait surement mieux que moi
Amour, tendresse, manipulateur ?
Tient, tient...
Et pourtant, je reste ce gros nounours que vous êtes prêt à aimer à vous en arracher la plaie
Et pourtant, je reste ce gros mystérieux que vous êtes prêt à détester lorsqu'un coupable est dressé
Ni coupable, ni innocent
Une corde raide qui pourrait me définir tant cette raideur est aussi fine que la lame d'un samouraï
Sensibilité, décadence, et dextérité sont mes armes du lendemain
Sauvetage, leader, grandiloquences de l'être sont les peines de dexter
Murmurer l'amour d'un disparu pourrait sauver une peine en état de peine
Aussi surement que je pourrais vous dire le mal qui me ronge
Alors que pourrais-je vous dire après ces quelques mots ?
Rime du pacifique
Une vague qui s'écrase...
Le rivage qui me regarde...
Voilà ce que reflète ma personnalité fragmenté
Voilà ce que reflète ces poèmes aux rimes mélancoliques
Que pourrais-je vous dire à part que je suis désolé...
Désolé du temps ensoleillé, désolé pour toutes ces personnes qui se sentent comme Alice perdu dans le terrier du lapin blanc
Un saint patron des causes perdues, parce que ma peine est aussi perdue que ce blog qui arpente une surface de glace...
Un coup d'éclat, une pièce manquante
Un poème qui fut adulé, son ombre qui en fut détérioré
Parce que, malgré tous ces efforts pour existait, il se retrouve de nouveau perdue...
Un touché, une caresse, un baiser
Voilà ce en quoi je n'aurais droit
Droit de regarder, de baver, mais de ne pas y toucher
Sous peine d'une mort prolongée
Un sourire qui tombe dans l'oublie
Aussi désuète qu'est cette bibliothèque où j'y entrepose toute ma médiathèque de souvenir d'oubliette
Et maintenant je restes bloqués à cette rime archie comblé par un douloureux passé
Cantonné, déprimé, emprisonné !
Un pleure par heure, une larme par samouraï
Mais que viens donc faire ce samouraï parmi toutes ces rimes diptyques !?
Il est moi, il est mon œuvre, il est mon visage, il est mon miroir...
Une délicatesse, une ivresse, une noblesse !
L'ile du pacifique où est terré cette antre, où est niché le dragon que j'avais jadis couché sur du papier
Me fait encore face...
Face parce que ces flammes ne sont plus que cendres par un océan où la tempête fait de nouveau rage...
Et resté stoïque, debout devant ces vagues...
... Ce vent qui me caresse le visage
... Ce soleil qui me chatouille l'iris
Marché sur l'eau salée, trempés mes pieds
Arrivée à mi chemin, entre mer et océan, vient la couleur vert-bleu
Reflet de mes yeux...
Et nagé parmi ces vagues qui me harcèlent, qui me chatouilles les lèvres, j'observe le rivage, et je me dis...
Le "je" du "toi"
Un "je" du "moi" de l'année passée
Un "je" du "toi" de cette année
Le jeu du toit, est comme son titre l'indique, un jeu qui consiste à dénaturer la loi du "moi"
Cet homme qui marche sur les toits, et crie haut et fort son nom
Il hurle aussi fort qu'il le peut, parce qu'il n'a que sa voie pour se dénaturer de la loi
Et maintenant prenons toi, lecteur qui lit cette poésie en rime
Il doit se dire "mais où veut-il en venir !?"
Et bien je vais te le dire... En lisant cet extrait lyrique, vous vous souviendrez de mon pseudo
Tout comme mon précédent essai, qui fut couronnée de succès...
Ce pseudo que j'utilise, qui me reflète, aussi surement que le jeu de mot qui me raquette chaque lettre de mon bien être
Et bien mon véritablement nom est Pruvost Sébastien...
Retenez le bien, parce qu'au travers cet essai je compte démontrer que tu n'es pas si différend de moi, même si tu t'efforce de le nier !
Et au travers cet essai je compte te démontrer que tes commentaires sont aussi exemplaires que mon envie d'être...
Une envie d'être, une envie de plaire, aussi subtile qu'un coup d'œil jeté à une inconnue qui me croise dans la rue
Une envie d'être, une envie de paraitre, aussi subtilement que l'est ce gout vestimentaire que tu t'évertues de symboliser par les traits de ton beau fessier
"Vulgaire !" Vous me dites ?
Soyons réalistes ! Ces mots ne vous emportent que parce que cette colère ce trouve dans les rivages de la vérité !
Avec autant de rage que vous vous efforcez de le nier !
Le "je" du "toi" est comme son titre l'indique, un jeu qui peut me faire passer pour toi
un jeu qui peut Te faire passer pour moi
Le jeu du miroir qui se tient devant ton visage
Et comme le maquillage que tu t'efforces d'appliquer sur ton beau visage et qui ne fait que te refléter cette vérité...
Toi et moi savons parfaitement que la seule vérité que tu t'efforces de te cacher n'est que le reflet du miroir qui se tend devant ton visage, et qui ne fait que te murmurer une chose : y'en a plein le cul de tout ce paraitre qui dénature mon bien être !
Alors après toutes ces phrases, qui de vous est moi ?
et sur quel toit comptes tu hurler ta vérité... ?
Une seule chose est sur après tout cela ! Beauté est synonyme de reflet...
Arbre de vie
Un héros, qu'est-ce que c'est ?
Hum... Très bonne question n'est-ce pas ?
Et pour tout vous dire, vous donner une réponse simple et concise est impossible, alors je me contenterais de vous décrire mes émotions à ce sujet...
Une personne est en danger
Une personne pleure
Une personne rie
C'est une personne qui sait vous donner du courage là où la douleur fait rage...
Solide, agile, résistant, habile, tellement dérisoire comme qualificatif
Après tout, on ne lui demande pas d'être un dieux de l'olympe
Juste d'être immortel...
Et c'est bien là le problème...
Un héros ne peut être immortel, il ne peut vivre pour l'éternité
Parce qu'un héros n'est fait que de chair et de sang
Une peau, des os, des veines, un cœur, des poumons
Il vieillit, et ne peut rajeunir...
Distant, vulnérable, fragile
Un tuteur, un exemple
Un guide, un chef
Spirituel dans nos têtes
Un héros
Un souvenir indélébile qui grandit dans nos esprits
Immortel dans nos têtes
Il sait vous donner le sourire au lèvre
Il sait vous donner la larme à l'œil
Il sait vous secourir si vous êtes en danger
Il sait tous faire, sauf être vous même...
Il sait donner sa vie, mais ne pourra revenir
A vos cotés, vous consoler, parce que sa vie c'est ce qui lui donne la vie
Merci si vous m'avez écoutés, lus et d'avoir été émus...
L'éclat de vie
Un bout de verre que je tient dans ma main
Un bout de vie qui m'éblouis
Je l'observe, mais le reflet qui m’embête
Une lumière aussi vive que mon envie de vivre
Et cette arbre qui entre dans ma vie...
Cette photo, reflet noir et blanc de l'innocence
Je tiens l'appareil photo dans ma main, et immortalise ce paysage
Une poésie s'en ressort
Et Une fleur frisonne...
Elle danse dans le vent
Je l'observe de part mon objectif, elle me sourie
Non de sa bouche, parce qu'elle n'en a pas pour me faire rougir
Mais par delà ce jour qui me déroute...
Une telle clarté, comment peut-elle être vrai ?
Une telle lumière, et je fond devant elle...
Et ce bout de verre qui me reflète
Il me tient tête, et m'observe
Je ris, sourire qui me rie
Un nez, une bouche, des yeux, des joues, un visage...
Mais qu'est cette femme qui me regarde ?
Je soulève alors mon visage, et l'a regarde...
Stoïque devant sa beauté
Affublé devant son naturel tiraillé par tant de clarté
Comment telle beauté peut exister ?
Mais pour finir, je ries quand même à la vie !
.... Parce que la musique est dans ma vie !
.... Et parce que ce bout de vie, cet éclat de vie est tout ce qui me reste de cette lumière qui me permet de figer cet instant magique...
Un bout de verre que je tient dans ma main
Un bout de vie qui m'éblouis
Je l'observe, mais le reflet qui m’embête
Une lumière aussi vive que mon envie de vivre
Et cette arbre qui entre dans ma vie...
Cette photo, reflet noir et blanc de l'innocence
Je tiens l'appareil photo dans ma main, et immortalise ce paysage
Une poésie s'en ressort
Et Une fleur frisonne...
Elle danse dans le vent
Je l'observe de part mon objectif, elle me sourie
Non de sa bouche, parce qu'elle n'en a pas pour me faire rougir
Mais par delà ce jour qui me déroute...
Une telle clarté, comment peut-elle être vrai ?
Une telle lumière, et je fond devant elle...
Et ce bout de verre qui me reflète
Il me tient tête, et m'observe
Je ris, sourire qui me rie
Un nez, une bouche, des yeux, des joues, un visage...
Mais qu'est cette femme qui me regarde ?
Je soulève alors mon visage, et l'a regarde...
Stoïque devant sa beauté
Affublé devant son naturel tiraillé par tant de clarté
Comment telle beauté peut exister ?
Mais pour finir, je ries quand même à la vie !
.... Parce que la musique est dans ma vie !
.... Et parce que ce bout de vie, cet éclat de vie est tout ce qui me reste de cette lumière qui me permet de figer cet instant magique...
Beginning
Darkness...
Quand je te regarde, je me vois moi, adolescent
J'arpente les couloirs, seuls, malgré la foule autour de moi
Ils me fixent
Et je fixe un reflet qui me gifle
Cette vitre...
Une personne s'installe alors à coté de moi
J'ai peur, très peur... Je suis terrifié par tant de raideur
Elle me parle, mais je ne l'écoute guère
Elle s'éloigne, je respires enfin
Puis des mots surviennent... Quel calvaire
Le cauchemars commencent
Le diable est dans cette classe
Une invitation à la douleur
Un petit etre l'observe, mais je ne peux bouger
Esclave de son regard...
Des humiliations, des mots qui me blesse l'etre
Ils surviennent, ils repartent, et je m'isole
Un coin de pénombre, d'ombre de la honte
Et je tremble...
Je résiste, mais je rend finalement l'ame...
En face de moi se trouve un adulte, il a grandit
Il me fixe, et me sourie
Puis quand la lumière est braqué sur moi, je deviens honte et m'enfouis dans ma pénombre de la honte
Un petit garcon le remplace, et s'exile dans son esprit, une simple ile du pacifique
Qu'est-ce que j'aimerais le rendre visite, et lui dire...
"It's only the beginning"
Un jour, la douleur te transfigurera et te remplacera...
Re: Effet de société
En avant première, une poésie encore non postée sur mon blog !
Simple, authentique, agrémenté de photo mélancolique voir tristesse, et rédemptrice.
Enjoy !
Quand la larme se fait porter pale...
J'inspire l'apaisement
Comme le bébé qui inspire la vie
Par un cri, un pleur...
Il réclame l'attention
Et ne demande que notre attention
Comme moi, assis par terre
Tentant de tromper la solitude et l'amertume
En exhumant les cadavres enterrés
Ceux que le monde oublie par soucis de vérité
Afin de bien vivre leur vie
Et tout comme ce bébé
Qui tente de vivre en pleurant de vie
Je tente moi de déterrer les vérités longtemps enterrées
Non par soucis de vérité
Mais par soucis de vivre correctement ma vie
Parce que la poésie apaise mes soucis
Rend discret mes peines antérieurs
Et transforme en rock mes problèmes ...
... Disposer dans une bibliothèque en prenant la poussière
Alors le bébé se sent apaisé lorsque l'on sèche ces larmes
Plus serein devient donc notre cœur d'Erin
Parce que très fragile est notre esprit absent du rire
Où sentiment d'abandon se fait sentir
Isolation de l’âme se fait ressentir
Et comme le bébé ne rie plus
Alors la rime disparait de mon esprit
Et plus rien n'a alors d'importance...
Tristesse et faiblesse, je me sens affabulé dans l’ivresse
Que le temps change par sa constante décadence
Et où l'originalité de chaque mot…
… Chaque phrase et terminaison
Me donne assez d'inspiration pour la phrase suivante…
Ainsi, je ne m'investis plus par l'esprit
Mais par l'émotivité
Car chaque strophe est une victoire sur le virus qui m'emporte
Qui vie en moi
Qui m'irrite et me déstabilise
Un virus qui change de forme après chacune de mes rimes
Alors le vaccin, habité par ma main
Devient le malin que mon crane guide à coup de stylo bique
Alors j’espère sincèrement que Darwin sera condamné à l'oublie
Et que le maitre des rêves et des trêves entendra mes prières
En transformant mes peines en rêves
Dans l'espoir de pouvoir à nouveau respirer de l'oxygène
Et touché le sourire d'une fille sous aspirine de ce monde en folie
Simple, authentique, agrémenté de photo mélancolique voir tristesse, et rédemptrice.
Enjoy !
Quand la larme se fait porter pale...
J'inspire l'apaisement
Comme le bébé qui inspire la vie
Par un cri, un pleur...
Il réclame l'attention
Et ne demande que notre attention
Comme moi, assis par terre
Tentant de tromper la solitude et l'amertume
En exhumant les cadavres enterrés
Ceux que le monde oublie par soucis de vérité
Afin de bien vivre leur vie
Et tout comme ce bébé
Qui tente de vivre en pleurant de vie
Je tente moi de déterrer les vérités longtemps enterrées
Non par soucis de vérité
Mais par soucis de vivre correctement ma vie
Parce que la poésie apaise mes soucis
Rend discret mes peines antérieurs
Et transforme en rock mes problèmes ...
... Disposer dans une bibliothèque en prenant la poussière
Alors le bébé se sent apaisé lorsque l'on sèche ces larmes
Plus serein devient donc notre cœur d'Erin
Parce que très fragile est notre esprit absent du rire
Où sentiment d'abandon se fait sentir
Isolation de l’âme se fait ressentir
Et comme le bébé ne rie plus
Alors la rime disparait de mon esprit
Et plus rien n'a alors d'importance...
Tristesse et faiblesse, je me sens affabulé dans l’ivresse
Que le temps change par sa constante décadence
Et où l'originalité de chaque mot…
… Chaque phrase et terminaison
Me donne assez d'inspiration pour la phrase suivante…
Ainsi, je ne m'investis plus par l'esprit
Mais par l'émotivité
Car chaque strophe est une victoire sur le virus qui m'emporte
Qui vie en moi
Qui m'irrite et me déstabilise
Un virus qui change de forme après chacune de mes rimes
Alors le vaccin, habité par ma main
Devient le malin que mon crane guide à coup de stylo bique
Alors j’espère sincèrement que Darwin sera condamné à l'oublie
Et que le maitre des rêves et des trêves entendra mes prières
En transformant mes peines en rêves
Dans l'espoir de pouvoir à nouveau respirer de l'oxygène
Et touché le sourire d'une fille sous aspirine de ce monde en folie
Re: Effet de société
Me revoilà pour de nouveaux poèmes (une sacré flopée) ! Et comme d'hab, n'hésitez pas à me dire votre avis, parce que je l'attends avec impatience :bounce:
Mon Rêve...
Le réveille avant l'éveil d'un rêve...
Paranoïaque, psychopathe, fou furieux
Je ne laisserais personne me marcher sur le pied
Je planterais le premier qui se dressera sur ma route
Je m'enverrais en exile lorsque vengeance aura été faite
Assis sur le sable chaud du pacifique
Observer les vagues d'une tempête lointaine
Une arme de poing posé à mes cotés
Souriant à ce magnifique soleil articulé de nuage
Galopant, dévalant les multiples rivages
Debout devant cet océan qui me défigure
La violence est maitresse de moi même
Le couteau armé à mon poigné
Je marche le long de cette ligne directrice
Le long de cette eau miroitant le bleu du grand bleu
Je me tiens debout, la couche brumeuse de mes péchés remplies mes jambes
Mouvement aléatoire du courant
Cette tornade au loin qui me fixe
Cet œil qui me dévisage
Cette affablement d'eau qui m'éclabousse
Une attirance inexplicable m'attire au loin
Abandonnant ce qui me relié à eux
Nageant au beau milieu de cette eau
Je fixe l'horizon
Colline et sable tourbillonnant mon au revoir
Une vue d'ensemble se révèle à moi
Mes yeux ébahis ne fixent que cet axe fixe
Une chose se prépare devant mes yeux
Je pourrais nager vers cet objectif qui me rend tout fébrile
Symbole de cette fille qui me fixe
Qui m'obsède et me résiste
Qui me parle et me dévisage
Qui m'envie et me désire
Mais rien qu'un fantasme...
Et je suis de nouveau debout sur ce sable, de retour vers l'inévitable
La chaleur d'une couverture chaude m'envahit les tripes
Je suis à ces cotés, au coté d'un vide rigide
Elle se vide et me remplie de mélancolie
Mais rien qu'un fantasme qui me dévisage...
Cet homme qui me fixe au loin
J'aimerais, j'aimerais vraiment qu'il s'en aille...
Il me fixe au beau milieu de cette digue
Il me sourie par un sourire mélancolique
Blessure par balle au crane
Aspergé d'un liquide
Il délivre une allumette et s'allume comme un réveil
Toute feu toute flamme, il avance vers le rivage
Trempe son corps dans cette eau glacial
Bientôt les flammes disparaissent pour ne laisser apparaitre qu'un corps mutilé
J'aimerais, j'aimerais vraiment qu'il s'en aille...
Puis assis sur le sable à écrire des vers
Totalement défiguré de la tête au pied
Un crayon à la main, il décrit des rimes
Affreusement charitable dans ces phrases
Soulève sa tête et me regarde
Il me sourit puis se replonge dans sa passion
Une fine membrane nous sépare
Pas assez pour oublier
Pas assez pour ignorer
Accepter son envie
Accepté son délire de détruire
Son simple reflet me fait sourire d'envie
Être proche de lui et ma seule envie...
Je suis à ces cotés, à l'observer
Il écrit, décrit, et me fixe
Il me touche, cette fille en débouche
Elle me sourie et me désire
Apparue de nulle part, elle prend part à mon fantasme...
Elle est mon reflet
Elle est le poète
Elle est le reflet du poète brulé
Elle est la constante dans cette ligne du temps en totale dissonance...
Déstabilisé, apeuré, tétanisé
Elle m'embrasse, tout s'embrase...
Elle m'enlace avant que tout ne passe
Avant que ce fantasme ne se finisse...
Et qu'elle ne disparaisse avec mon rêve d'argile...
Smile
La drogue d'un poète
Poésie d'héroïne
Émancipation de l'esprit
Vagabondage d'un esprit fugace
Cacher son sourire
Cacher une joie démonstrative
Ne vouloir que le désir sans conséquence
Juste le plaisir de jouir
Ainsi va la vie selon Darwin
Érigée d'un faux sourire
D'un cache non rire
Où seul la mythomanie et la bêtise permettent à la dépression d'une génération de souffrir dans l'idylle d'un souvenir disparue, depuis que nos ancêtres ont inventés l'existence d'un babe boom radioactive
Explosion de la fécondité
La Joconde en rougie d'avance
Attachée d'un sourire accalmie avant la grande tempête du siècle
Où cette belle petite fille verra son sourire échangé par l'accoutumance d'un pince sourire dans l'espoir d'obtenir une dépression et ainsi se sortir d'un délire affectif, avec en prime l'irrépressible envie de bien vouloir vivre pour autrui
Et à présent, 2 suites de 6 poèmes, qui représente deux histoires en filigranes.
1 - Ma génération
Je cours
Je cours
Encore et toujours
Je cours aussi vite que je peux
Plus vite que cette roue qui passe par l'autoroute
Elle me rattrape alors que je cours encore plus vite
Je peux l'apercevoir au loin
Elle me rattrape et me double
Elle s'éloigne et me dépasse
Elle contourne cette rue et se défile devant une flopée de fille
Regard aiguisé, sourire acquis
Rien n'a plus d'important que cette fille qui me fixe
autant d'importance
Elle me dévisage au loin
La roue bien sur est toujours là !
Mais cette créature rattrape mon regard et déguise mon attention
Je peux presque la toucher
Sentir ces cheveux lisser
Mais la roue me percute
Et l'hypercute me renvoi à la renverse par un état d'ivresse
Gueule contre terre, la tempête fait rage
Elle me gronde et me somme de me relever
Je cours
Je cours
Encore et toujours plus vite que mon ombre
2 - Le masque du sourire
De métal de classe
Inférieur est ma gueule
Rêver d'elle la nuit me permet de vivre de sourire
Même si le sourire n'est plus réellement ce qu'il était
Était, être par un été déguisé
Ravager par tant de ravage culturel
Suivre le courant est devenu aussi fugace que cette fugacité de plaire à cette superficialité
Dominer par l'irréalité d'un dommage collatéral
Et ce dommage est bien là !
Explosé, transfiguré
Rattraper par un délire affectif
Affecté par ce virus biologique qui s'immisce dans tout organisme comme un virus informatique
Rien ne sera plus jamais comme avant
Plus rien ne sera idéalisé
aimé
ou adoré
Parce que cette roue qui dévale tout, détruit tout et rend champ de ruine ce qui était avant beauté d'antan
3 - Les regrets du tord
Et cette fille qui était avant décors d'un champ d'écorce
N'est plus aujourd'hui qu'une image masturbatoire
Devenu irréel, mitigé par tant de froideur
Aussi glaçon qu'un touché de peau sur l'asphalte du macadam
Plus rien ne sera jamais comme avant
Clarté, clarine, une claire qui avant me voyait comme son sauveur est devenu aujourd'hui aussi rigide qu'une huitre
Aussi tempéré qu'une tempête tropicale où larme et rire sont devenus paradoxalement vide
Parapluie ou non, manteau de la dérision
La pluie de cendre finira par te réduire à l'état d'esclave
Où le volcan du temps entrera en éruption accompagné des 10 plaies d'Égypte érigé par Nostradamus
Prédit de l'ancêtre de nos pères
Chamane d'une vision du futur
Einstein préconise la relativité générale
Newton la relativisa grâce à cette pomme restreinte
Une fine fleure du temps, que l'arbre de Rosen décrira comme un couloir d'interclasse
Une issue à toute cette folie délicieuse contaminée jadis par la pomme pourrie
Adam et Ève nos ancêtres ancestraux
Parents d'un rêve existentiel
Enfant terrible d'une futur crise où les regrets de la vie, les regrets du tords deviennent nos tords
4 - Frasque indélébile
Incapable d'y faire face
Cette troupe qui avance
Aveuglé par l'aveuglement d'une haine
Maintenant devenue l'adhésif qui maintient en l'air cette fresque généalogique
Fresque devenue frasque grâce à cette garce qui prend plaisir à te faire souffrir
Alors la guerre des sexes commença
La guerre des faux semblants débuta
Froid dans les gestes du quotidien
Contaminant nos gestes aussi infiniment transparent que l'égo en repos
Une transparence, un idéologique que même le sage ne pourrait déguiser par ces paroles angéliques
Une génération du virtuelle devenue victime d'une souffrance que l'on tente de canaliser par l'ardeur d'une flamme
Et finalement la fin de ce poème donne autant de douleur car aucun mot ne pourrait suffire ma création d'une façon concluante tellement le convenable et le raisonnable sont asphyxié par ces tords que nous ont donné des regrets non oxygénés par le masque du sourire maintenant invisible et érudit
Obsolète et désuète
1 - Reflet d'une création
J'essaie
J'essaie
Aussi fort que je peux
Se reflet est devant moi
Il m'observe et j'essaie de lui ressembler
J'essaie de me mettre dans la peau de Bogart
Flingue à la main
Pinceau à la bouche
Je dessine ma propre détermination
Humanisation à l'appuie
Larme qui coule, ancre qui coule
Cool est cette fraiche plume qui me chatouille l'esprit !
Herbe fraiche, reflet de l'herbe
File du courant, fil au coin en courant !
Articule ton petit poing autour de cette feuille blanche
Transforme ce qui est blanc
Ce qui est humanitaire en terre d'oubliette
Ni maladie, ni dénie m'encombre l'esprit parce que je fabrique ce que je vis
Ni rancune ne peut affaiblir ce que je désire parce que mon désir est chose de toute chose
2 - Petite fille dézingué
L'esprit du voguer vogue sur cet océan
Courant à l'ouest il surfe sur la vogue d'un succès improbable
Démystifié, sourire non dissimulé
Je reste là à l'observer, à chanter
Mais aucune parole ne peut atteindre mon repos
Aucun guerrier ne pourrait subsister à ces cotés
Fraicheur d'une société
Reflet d'un idéalisme onirique
Mais rien au monde ne pourrait me faire abandonner cette idée
Cette matière grise qui grésille dans mon esprit
Qui s'immisce dans ton iris et te fait voir 1000 malices
1000 églises où le prêtre déguise ce qui est possédé en contre culture pop folk
Une gamine du propre, futur d'un défilé magnifié
Coiffure enflé, où bouclette boucle d'oreille accroché à l'oreille
Juste une envie, un coup de passage à vide
Rigide comme la pluie, cette petite est perdue par tout ceci
Une constante est l'instance d'un moment de détente
Utile est cette dépendance
Mais rien ne pourrait aire son désir d'être ivre
3 - Copyright
Bouteille à la main
Bouquin au chevet
La société lui a fait voir que rien n'était d'ivoire
Mais voir cette illusoire n'a pas baissé sa plaie
Cela a amplifié son reflet
Grossit son tour de poitrine
Une caméra tenue à la main
Vivre par delà cet objectif véhiculant 36 messages mystifiés
Où la réalité fait figure de copyright
Tellement la réalité transfigurée atténue les douleurs d'hier
Et figure d'auto destruction
Figuration, figurine de ce téléfilm d'une après midi
Ensoleillé, sentiment du ré
Durer par transmission du virus du délirium
Délirium, revisité par la théorie du chaos par l'auto empereur des temps anciens, orateur d'un compteur
Une théorie de l'infiniment petit
Petit pas de géant, vent latéral pour caméra déguisé
Va ainsi la vie selon laquelle tout est réduit à l'état miniature
Apollo 18, mensonge par omission
Dérision du raille
Raillerie d'une décision unanime
4 - Borderline
Rien ne pourrait cacher
Dénaturer le vraie du faux
Parce que ce borderline est ainsi fait
Ni ami, ni ennemi
Un monde où les terres de mes ancêtres sont épithètes
Est où la colle-rie d'une colle fait office de scotch aux multiples ressorts du diable qui est en chacun de nous
Multiples démonstrations, démonstratif de sa manipulation de l'esprit
Rien ne pourrait prévaloir son ingéniosité
Son sens du cacher
Parmi ces innombrables cashback
Déguisé en bataille pour le monde de demain
Darwin est un être inarticulé
Articulée pour le besoin de l'illusion
Ruse et cruauté sont règne du maitre
Inaccessibilité d'une compréhension orageuse
Où prône l'orage d'une révolution organisé par le magicien d'oz
Osé son silence, rompre les rangs
Désarticulé ces membres pour la liberté d'exister
Le soldat pourrait ainsi vous le dire
Gentil et petit son la lune noir du désire noire, ce qu'était l'illusoire d'un cirque
Devient un cirque grand public pour les plus petits
5 - Insaisissable
Percher sur cette grille
Admirer l'essence du magicien
Tour à tour, admiratif et pif dans le bec
Bec et ongle se batte en combat de coque
Jalousie est réduite à l'oublie
Tête réduite est vide d'esprit
Alors je m'assoies et je pries
Prie pour me faire prier d'une insignifiante débâcle
Pour que policier et insigne d'une insignifiante légende soit réduite à l'état de cendres
Pour rendre à Zeus et à apollon ce qui était avant à apollo
Oublions alors ce qui était auparavant vu
Et rendons justice à ce justicier de la nuit
Justifier pour nous avoir rendu libre de pensée
Liberté du mur
Graffiti
Art du contemporain
Bansky, l'artiste de l'insaisissable
Mr Lavage de cerveau, dit Brainwash in English nous rendent postiche de son talent d'antan
Génie de la fabrication instantanée
Rédige un postiche, poster d'une caméra
Équipée d'une épopée
6 - L'effigie d'une vie
Croisade d'une rare existence
Vivre pour l'insaisissable
Capturer l'incapturable
Le rendre en image
Fondre l'image de fond en une colorie photographique
Vert et bleu, bleuté d'une beauté sans nom
Long métrage, court métrage du miroir
Filmer une vie entière
A et B préparatoire d'une genèse du son
Débâcle pour conservatoire ancestral
Préparatoire pour vivre la fin d'une époque
Roder le bouton Off, On sur Marche / Arrêt et arrêter la filmographie d'une célébrité
Pied d'Étal et pitrerie du rire
Sauvegarder l'instant magique pour mieux le vivre
Et rendre unique ce qui est effigie
Parce que l'effigie d'une vie non vécue, a autant d'importance qu'une expérience dont l'émotion est vide de tout sens
Et par ce procédé, en voilà un poème qui se termine avec le sourire à la lèvre, et mot de fin digne d'une épopée sauvage où le cheval en rie avec son Cow Boy solitaire
Digne et solitaire
Créateur de l'Éden, je rie aux lèvres de ton existence sans identité d'exister que pour toi même
Haut en couleur !
Haut en couleur est la vie
Haut en couleur est le délire
Vivre pour une vie
S'accoutumer à l'existence d'un livre
Résumer d'exploit, exploiter le potentiel du libre arbitre
Arbitrer un match de boxe
Tel boxon est mon anagramme indéchiffrable
Chiffrable est la beauté sans voleur
Parce qu'au travers son rêve nous pouvons y percevoir ces souvenirs
Électrique, électromagnétique est le secret de la vie
Marrer à s'en éclater le cœur
Tel est le cœur de l'ouvrage où le livre s'ouvre lors d'un moment d'accalmie
Moment de paix, soulagement de l'âme
Un écrit qui ne peut se décrire que par l'écrit d'une rime ou d'un texte éponyme
Courir, manger, sauter haut ! Tel est le cri du barbare avec un grand cri rock
"WRAAP ! Quel sang bleu !"
Ainsi le pirate exploite ces collègues de mer et traverse les océans à la recherche de la fontaine de jouvence
Océan marin
Plonger en sous marin
Marin est ce plongeur plongeant dans l'abysse d'un océan
Perdu dans l'Atlantide
Ces ruines échouées sous la croute terrestre
Noyé par tant d'ardeur
Où ne résulte qu'une odeur de mystère
Bulle, bullé face à cette découverte
Explorer son abyssal démesuré mystère
Indescriptible champ maritime
Croute terrestre, examen d'une tête
Statue de sel, délivrance de l'être
Infraction au code de la route
Dans l'espoir d'y apercevoir une once d'ombre
Décrypter son existence, entrecouper sa soif d'errance
Enivrer par tant de beauté, enivrement d'une existence sous-jacente
L'océan marin délivre ces secrets au compte goutte
Une goutte qui déroute les plus intrépides
Ne recherchant qu'une chose, la jauge du spectaculaire
Spectaculaire, clarté
Tel est le coté sombre du tueur aux 1000 tentaculaires
Tel est le coté sombre d'une vague faisant 1000 mètres de hauteur, accusé à tord de crime contre l'humanité qu'elle n'a pas commise
Mère nature face à ces accusations, ne délivre finalement qu'un seul message :
- Écrouler les runes d'une civilisation disparue afin de mieux reconquérir ce qui est sans racine
Vague de crime
Couteau au poing
Dague aiguisé jusqu'à la pointe
Gout vestimentaire d'un guerrier au aboie
Recherchant l'inspiration du sang
Odeur léché, gout séché, couleur d'une douceur impénétrable
Insaisissable est ce tueur aux dents longues
Aux griffes acérées
Seul l'air contaminé d'un cadavre putride lui permet de vivre un siècle et demi
Combinaison blanche
Respiration lente
Sang qui s'écoule le long de sa hanche
Vague de sang
Reflet de mon sang
Poésie d'héroïne
Empoigne-ment d'un couteau blanc
Snifer de la poudre blanche
Vivre d'extasie lui permet de longer les vies
De voler leur ivre vie, sécuritaire d'un domicile
Parce qu'un domicile est tout ce qu'il risque pour vivre
Sans attache est sa vie...
"FREEZE ! Don't move !"
Policier par héritier a enfin retrouver sa planque
Planquer dans un entrepôt réaménagé en sous sol désaffecté
Aucune autre solution que de se suicider à couteau tiré plutôt que de vivre le reste de son éternité emprisonnée dans une cellule capitonnée
Poésie fragmentée
Fragmentée l'idéologique
Déboussolé le rythme établie
Secouer l'anarchie pour rétablir le système planétaire
Un coup de ballet sur cette rime
Inverser les vers
Délivrer un message de paix
Paix dans le monde est mon initiation
Fracturer la porte de la classe inférieure
Source supérieur est mon inspiration
Goutter à la joie d'une sauce rodée à la testostérone
Bien mal est ce mal après avoir goutée à la poésie d'une rime arythmie
Extasier, dénaturer, asexué
Cœur qui badoche, ronde sont ces badoches
Dégoutés sont ces pupilles gustatives
Parce que seule l'apparition d'une autre juxtaposition pourrait lui faire oublier ce mal qui le ronge
Ne suppliant qu'une chose : la ré ouverture de cette bibliothèque où est entreposé 1000 racines ensevelis sous 6 tonnes de papiers d'Égypte
Motif et hiéroglyphes y sont exposés en papyrus
Sous l'essence de cette syntaxe, le message de paix est délivré par tranches de 6 lettres bien distinctes
Nom parsemés : Poésie
Fragmentée
Tel est le message de paix mis sous scellée
Intimity
Féminin au masculin
Descriptions qui réclament une rançon pour garçon
Observer la gente féminine, qui réclame une once d'intimité masculine
S'offrir en spectacle devant les beaux yeux de ces mâles
Accepter l'offrande d'une bague
Enivrer ce moment d'intense châtiment
Accepter, illusionné, nié l'existence du cristal doré
Émeraude d'éclat, lorsque l'aurore vole en éclat
Jouer franc jeux pour le beau plaisir des yeux
Une gente qui ne demande qu'une demande
A s'agenouiller pour se faire courtiser
Balcon, charmant, fleur accroché à la bouche du prince charmant
Parfum
Enivrer par tant d'éclat de raison
Senteur de rose
Rien ne pourrait rosi-fié cette douce et ecclésiastique petite fille qui sommeil en cette fille au courbe magnifique
Permettre à la lune noire de sanctifié ce lendemain
Pour une promesse sans lendemain
Vœux, désireux, baisé fougueux
Héros d'une vie, héros malgré lui
"If we don't leave together, we die alone !" (si nous ne pouvons vivre ensemble, nous mourrons seul)
Telles sont les paroles du héros
Un personnage d'apparence lambda
Un inconnu
Qui devient malgré lui un héros
Vivre pour les autres, mourir pour soit même
Étouffer par sa vie
par ces émotions
par ces frustrations
Un groupe d'étranger
Un vol d'étranger
Une situation de danger
Armé et prêt à tuer
Des mots qui raisonnent fort dans nos cœurs
Des mots qui ont un écho fort dans l'actualité
Un instinct de survie
Un sens du sacrifice
Une liberté à venir
Le martyr à permit ces mots d'être prononcés, aux pas d'être suivis
Paria d'une vie, destin or du commun
Combattre pour la liberté
Combattre ces propres peurs infantiles
Combattre son père
Meurtrie par tant de froideur originaire d'un mal ancestral
Philosophie, paria, des mots oubliés dans la civilisation d'aujourd'hui
Mais pourtant ces mots sauvent la vie chaque jour
Et pourtant aucun remerciement n'est de mise pour cet être au diapason des statistiques
Solitaire dans ces gestes du quotidien
Solitaire dans ces mots prononcés
Il ne permet d'une seule chose en réalité :
- Être le martyr d'un peuple meurtri par tant de colère frénétique, irréfléchie et dévastatrice
Au sens déshabillé
et rectifié
Taché, effacé et barré tellement de fois que sa foie eu fut à jamais ébranlé
Manipulateurs en ont fait leur paria, leurs délivrances
Pour finalement être au aboie envers cet homme or du commun
Héros d'un jour, héros de toujours
Que seul l'arbre de vie, le héros du mérite, pourrait lui rendre hommage par un souvenir du temps où ils étaient encore amis...
Je me contente, tu te défends
Lorsqu'une femme se contente
Un homme se force sur l'instant
Elle en rie, il en supplie
Elle en glisse, il en esquisse
Un homme se force à être dans le paraitre
Lorsqu'une femme se réserve dans des circonstances similaires
Mais lire cela sur un panneau d'information
La phrase du jour
Au milieu d'un rayon du commerce
J'en es rie tellement la situation se prêtait au comique
Tellement la vérité ne pouvait contre carrer cette vérité au sens infinie
Résumer d'une société
Résumer d'une guerre des sexes
Phénomène de société, où je ne pourrais jamais y déniché un drapeau blanc, drapeau de paix, symbolique d'un cynisme
Où guerre et paria sont derrière nous
Mais où leurs effets sont nos ombres que l'on retrouve jour après jour tel un boulet qui ne demande qu'à se que l'on brise ces chaines
Politesse mal placée
Ego déplacée
Psychologie du plaisir sont nos amies
Notre Boué de sauvetage vers une fin dénie
Où le puceau de 21 ans en gagne en expérience de l'inédit
Tellement sa verge en est devenue un ami intime du vagin de la jeune demoiselle en détresse
Vulnérabilité
Douche d'un sourd
Eau chaude pour oublier la douleur d'une émotivité déstabilisant ma psyché
Respirer la chaleur de la vapeur
État décontracté, évasion des muscles faciales
Je m'en relève non sans peine
Sans rancune d'une amertume
Sans rancœur dans le cœur
L'intensité de ma pression sanguine fait effort sur mon spiritualisme
Aucun mot ne pourrait calmer cette détresse tapie au fond de mon être
Même si j'avoue que la caresse d'une femme adoucira mes traits déstabilisés
décoincera mon findyourself perdu dans un labyrinthe des sentiments
A présent nu dans cette pièce obscure
Le givre remplaçant mon dégout du rire
Je me rhabille sans prière, sans révéler l'entièreté de mon être parce que l'expression de mes sentiments sont enfermés dans un coffre scellé au code que je suis sur le point de casser
Et je rouvre cette porte qui me sépare du dehors
Où l'air ambiant emplie mes narines et oxygène mes poumons qui m'empresse qu'écrire un autre poème
Etat de conscience
Inspiration
Posé son stylo sur le papier et se laisser aller
Oublier le monde et la pollution
Le bruit et ces artificiers
Juste respirer la liberté
L'état de sobriété
Ne vouloir du non dit que pour un code du réussit
High Tech est ma médiathèque
Ma bibliothèque du être ou ne pas être
Une devise de l'être
Une résistance archi contemplatrice
Aussi bien dans le miroir que dans le visage
Un Amat de fil électrique
Établir l'équilibre
Prendre le large et écrire une poésie
S'abandonner à son état d'esprit
Un fantôme dans l'oublie
Une métamorphose, une ascension
Une délectation
Un sourire, un rire
Une timidité méditée
Un silence qui est d'or...
... Et qui dort
Parce que l'état de conscience est d'or lorsque l'on s'endort à l'aurore
Virtuel, reflet de l’être
Code à l'honneur
Vert et jaune à l'horreur
Une mystification dès lors oublié de la foule
Une auréole qui rend fou
Orné d'une ombre du jour et de la nuit
Extrapolation d'une ondulation
Conséquence d'un acte considéré comme fou
Existence d'une rareté non dissimulée
Rare est cet être qui pleur par joie
Une once de joie étant or pour celui qui la contemple
Un rêve pour celui qui rêve
Une matrice, une hallucination virtuelle
Un codage d'un ratage complet
Reboot du système, mise à jour de l'être
Émotion, joie, colère, tristesse, amertume
Toute une palette d'émotions pour dévotion du spectaculaire
Dévoué à l'oculaire et au paraitre
Rien ni personne ne pourrait empêcher cet avènement d'avoir lieu
Tant la volonté d'échouer n'existerait que pour contempler l'échec assurer
L'instant de survie ne servant que pour l'envie de vivre
Rembobiner l'échec, et compter l'extraordinaire de l'être
Un reflet qui ne demande qu'à exister tant l'égo est démesuré
Ce besoin d'exister
Besoin de reconnaissance
De se faire entendre
D'être la pour la délivrance
Vivre toute une vie
Attendre un merci
un sourire
une accalmie
Pour au finir ne rien obtenir qu'une insulte, une injuste méprise
Et se haïr d'être aussi naïf
Une mort n'est-elle pas plus douce ?
Après tout, un monde régit par la loi de Darwin : survivre ou mourir
Est-il suffisant pour exister au travers ces prédateurs ?
Ces animaux déguisés en mouton
Qui manipule son petit monde par hypocrisie
par envie de faire souffrir
Inutile d'être là pour ça
Inutile d'être aussi ponctuel à la pointe le matin
Après tout, la seule envie d'exister, d'être supplier, de démasqué, ne fait que nous ramener vers ce qui nous a créé
A savoir la curiosité et le besoin d'évoluer
Alors seule alternative à la mort, et de donner la mort à cette horreur qui envahit notre quotidien, et de zapper son besoin de nous rabaisser
L'imaginaire
Marcher le long de ce chemin de terre
Être habillé de la tête au pied
Évoluer vers une constante évolution
Une ébullition qui ne demande qu'une explosion
L'évolution est ce qui nous rend si sourd à la trahison
La course à la randonnée nous rend si aigrie que l'on a perdu la grande aiguille
Cette constante si chère à nos cœurs que notre imagination remplace cette souffrance au quotidien par...
... Tous en rimes
en musique
en vivre d'être libre
en envie de sourire
Pour une vie transformer en clip
en comédie
en jouissif désire de danser
de crier
d'être illusionné
Rien de tel pour l'imaginaire que cet exercice de style
Rien de tel que l'imaginaire pour ce faire oublier de la planète
Et être aussi libre que la musique pour devenir ordre ce qui était auparavant chaos d'imprésario et de désillusion
Le ying et le yang
Ying d'une fille
Sans merci
Qui délivre un message à autrui
Celui de la vie
du rire et du délire
A contrario il y a ce yang
Ce grand n'ayant vécu que 1000 souffrances
1000 tourments pour ne trouver que plus grand que soit dans une lutte sans merci
Le paria d'un Némésis au aboie
Et au milieu il y a ce A créé d'un rien
Cette rencontre du hasard
Cette collision pour une désillusion
Une délivrance pour 2 âmes en errance
Parler, échanger, rire, sourire
4 expressions qui résument notre relation
Un rond pour accomplissement mutuel
Complémentaire dans les gestes, implosion dans la dévotion des mots
Avoir été accro pendant plus d'un siècle m'a rendu immortel
Et m'a donné qu'une envie : retrouver son évolution
Aussi bien dans la mentalité que dans le sens de la description :
Pour rire et vivre pour l'éternité à venir
Le pouvoir des mots
Vivre d'un rire
Vivre d'une poésie
Une envie pressante
Un bébé qui n'attend pas
Je ne peux ignorer l'inspiration
Je ne peux ignorer le nectar des vers qui se concocte dans ma bouche
Mon esprit est envahit par ces fourmis qui parcours mon corps à la recherche d'une sortie
Cette fille qui m'écoute
qui aimerait bien se résoudre à faire plus qu'être à mon écoute
Parce que de mon coté, même si une fille entrait dans ma vie, et me glissait un petit Kiss, jamais je ne pourrais me résigner à arrêter ces poésies qui remplacent la parole, chose dont je ne suis l'hôte
Et cela résume ma vie et enivre les filles qui aurait aimé que l'homme des mauvais temps se transforment en prince charmant des romans
De mon coté, je n'ai ni l'expérience du sexe, ni celui du baiser, et encore moins celui du toucher
Mais j'ai celui du mot
Du nectar qui enjolive les mots et les rends aussi savoureux qu'un gâteau fait par maman gâteau
Et qui peut remplacer la brute aux dents longues par des mots qui envoute l'esprit et qui nous rend accro
Te amor
Me voir au travers ces yeux
Un reflet qui me condamne à l'aimer
Aussi longtemps que durera mon existence
Ainsi va la sentence d'un amour
Le désir d'être avec elle que pour elle
Et de n'être à ces yeux qu'une âme auréole d'ange tombé du ciel pour exaucer ces vœux
Ainsi Shakespeare vous le dirait surement mieux que moi
L'amour est synonyme d'embrasement
D'étincelle d'une réalité voué à ignorer le péché de son aimé
Sur la terrasse pavée de bonne intention, rose à la bouche, guitare à la main, qui récite un champ d'amour, dans l'espoir de sucer la moelle secrète de la vie
Pour rire et vivre de la misère de l'être humain du quotidien, avec mon rien créé d'un tout, mon aimé surfant sur la noté du ré
Puis retourner chez moi
L'esprit en émoi
Avec un seul désire : revenir à cet instant magique
De revivre cette union
Où la désillusion était le péché mignon
De ces tourtereaux au diapason
Impression de déjà vu
L'apercevoir au loin
Cette personne inconnue de ma vision
Croiser du regard
Pour ne penser qu'à son entre jambes, et ces cheveux
Avant de poursuivre mon chemin vers d'autres inconnues
Je dois bien avouer que j'aimerais bien la recroiser, la revoir sous d'autres formes
Une prise de conscience dont je prend conscience qu'une fois ces lignes écrites
Retranscrivant mes mots tant les hôtes pour la transmettre sont assez pauvres
Sourd des oreilles, qui pourrait croire à toute cette superstition au longue supposition
Mon rêve est le seul Éden dont je disposes pour transmettre mes rêves
mes réflexions
Un Eden habités de monstres aux dents longues
Et grace à ce psy dont je disposes pour dénouer ce sac de noeud qu'est mon esprit
Je réussis le miracle de vous transmettre une idée
une reflexion
une remarque
Qui n'est pas encore arrivée à maturité
Juste un embryon tout juste sortie de l'oeuf
Le destin m'y aide dans cette tache, en me révélant au compte goutte les messages que je suis sensé dénichés
Comme cette personne que je recroises, et qui me croises du regard
Alors je me dis que le mythe de la boite de pandore n'est peut-etre pas si factive que cela...
Et aussi triste que cela puisse paraitre
Les seules personnes qui peuvent lire ces lignes
Sont mes lecteurs de ce blog que je tiens et qui me donne l'espoir qu'un jour toutes ces lettres, ces vers sans maitre, trouveront finalement leur sens dans ma délivrance
En couchant avec une fille, ou bien en laissant glisser mes lèvres sur la surface pleine des siennes
Voyage temporel
Cela m'interpelle
Et m'aide dans le mystère de l'univers
Tailler pour l'écriture
Je peux y retranscrire toutes mes aventures
Ecrire pour exister est d'ailleurs ma devise quand la parole se transforme en lettre empoisonnée
Je suis contre toi
Je suis contre moi
Une manière d'exprimer ma haine
Ma colère quand je suis étouffée par ces belles, qui s'amuse à danser contre le vent et le sens du propre
Un voyage temporel me permettrait de rectifier certaine erreur commis envers qui je suis contre pour diverses raisons, toute au diapason de ma raison
Une impression de déjà vu me permettrait de déchiffrer ce message caché derrière chaque mouvement antérieur à ma naissance
Ce sentiment de déjà vu me délecterait de prendre part à cette révolution qui se prépare sous nos yeux, et dont seuls quelques privilèges ont eus les privilèges d'en être les témoins avant la fin
Dénuer d'émotions, seul remède qui me harcèle
Qui grappille mes rêves et me chuchote à l'oreille
Je suis le seul qui pourrait traduire ce qui m'obsède et qui me fait devenir machine à écrire
Respirer ce vent m'aide à décrypter le sens du courant
Sentir le soleil m'aide à déjouer le sens du piège dans lequel l'ombre emprisonne chaque parcelle de mon être
Mais par dessus tout, le vert de l'herbe me permet de m'évader
Par cet effet spécial qui nous permet de nous rendre ivresse des plaies incendiaires et meurtrières
L'émotion me délivre des livres écrit par ces philosophes, accro à la philosophie anthropique
Et me gèle face à cette machine qui me montre la voie à suivre, et me pousse à agir contre toute attente
Dans l'espoir de me livrer un secret qui hante chacune de mes nuits, et qui me rend aigrie et mélancolique lorsque l'émotivité qui me traverse n'arrive à comprendre ce que je suis
Parce que l'être qui me caractérise est cette énigme qui me titille lorsque l'impression de déjà vu véhicule un message de trahison lorsque j'essaie de trouver la solution dans l'instant
Ce plaisir onirique
Le temps est si court
Je n'arrive même pas à liquider tout mon amour
Il court et se dénoue derrière moi
Je ne peux le voir parce qu'il est déjà au loin
Ce temps présent
Le temps que je me retourne
Je ne peux plus le caresser
Je ne peux plus l'empêcher de tourner
Puis Il est devenu moi et se déploie
ET je suis impuissant face à tant de maitrise
Le maitre du temps est à l'œuvre en ce moment même...
Pour dénicher tous ces exploits et me laisser sur le terre macque de l'aéroport
Il décolle et me laisse dehors
Bouche ouverte, larme coulante le long de mes lèvres
J'aimerais lui dire d'arrêter sa progression, mais je ne parle malheureusement pas sa langue
Et quand il me remarque, il me regarde, mais ne me parle pas
Il se contente de me fixer avec insistance, avant de partir sur ce même pas d'insistance que lorsqu'il était venu me prêter assistance
Alors je l'observe avec tristesse...
... Parce que c'est déjà la fin de la tendresse
Et le bonheur qu'il me donne en vraque, se contente d'être stocker dans un coin de mon crane pour me titiller dans un avenir si petit...
Et bien sur, le temps que je réalise l'effet qu'il m'a transmis
Il est déjà loin...
Et je reste donc seul, à contempler l'effet de drogue qui s'estompe peu à peu pour ne me laisser qu'une bulle bien endommager
Une bulle qui d'ailleurs m'accompagne partout où je vais, peu importe avec qui je suis, elle est là et ne me lâche pas
Avec plaidoyance elle s'accroche à moi et pour rien au monde ne me laissera, exception faites si je laisse entrer les maux qui me font du tord
Des maux qui sont laissés à l'abandon dans une ville miné de champ de mine
Et du mieux que je le peux, je tente de les esquiver tout en essayant de décrypter ce plaisir précédemment transmis par ce bonheur onirique et cynique
Jusqu'à la prochaine rencontre où je serais cette fois ci mieux préparer, bien mieux que la précédente où je n'étais qu'un garçonné désarçonné
Ce petit garçon qui grandit au fil des émotions qu'ils rencontrent, et qui le font grandir et l'apprennent à mieux anticiper ces plaisirs onirique et parfois très cynique
Parce que la prochaine fois, ce bonheur qui avant me prenait de court devra à contrario, aujourd'hui, répondre de ces actes et me laisser lui apprendre le comment s'y prendre avec moi, pour mieux vivre l'instant présent
Grace à ce psy qui décrypte mes envies, et enjolives mes soucis
Sexe et Ivresse
Voici mes deux "petits" derniers, qui sont plus des critiques personnelles sur notre société que des poèmes en eux mêmes...
Justice ou vengeance
Deux mots qui me dérangent...
Tant dans leur sens
Que dans leur signification si abscons...
Deux termes aux diapasons
Alors exister dans un même univers serait totalement obsolète
Inutile dans le fond, comme dans la forme !
Se venger pour l'être chers
Ou d'un souvenir oublier de la réalité devenue matérialiste...
C'est comme se ranger du coté de la justice
Et espérer que l'être ne subsiste que pour trouver un bonheur disparu depuis des lustres
De même, inutile pour cette raison de subsister pour son égo
Tant elle se trouve au diapason de la raison...
Vivre pour son égo nous condamnerait donc l'auto destruction, à tous niveaux de réflexion
Comme demander le numéro à une demoiselle
... Qui ne croit plus en l'existence du prince charmant ...
S'ouvrir à son sourire serait inutile
Alors la justice et la vengeance
Garderont leur mélodie, leur peine d'hier...
Unique solution à ce combat abscond :
- Auto dérision pour le faible d'esprit
Agression verbale par élocution
Reflet de cette poésie, aujourd'hui complètement à l'abandon
Ne préférant vivre que pour la détérioration de son esprit
Au plaisir libre du sexe et de l'ivresse...
Quand l'interdit devient facile...
Combat de coq
Ouvrir sa gueule devant un homme
Se prendre une raclée par le prédateur du règne des maitres
Se faire humilier en public par le plaisir personnifié de devenir la victime d'une idéologie
Et vivre ainsi dans un groupe où l'idiotie est le centre du règne du maitre
Être celui qui ouvre sa gueule face à Mr Muscle
Qui refuse de s'écraser pour avoir voulu exister
Se faire lapider devant une meute de chien enrager
Nourrie au cannibalisme d'une psychologie qui crie famine
Aussi facile que de rire au nez de la victime
Auto élue par le tortionnaire, devenu ordure de notre planète...
Pour avoir subie un changement hormonal en devant adulte en rut
Et accepter la loi de Darwin comme règle unique
Vivre comme les animaux sans l'avouer pour éviter de froisser son égo
Cette règle est devenu monnaie courante pour les lâches !
Qui fuient désormais devant leur courage...
Qui écoute leur instinct de survie et se moque du faible d'esprit
Pour prendre plaisir face à une règle devenue réflexe
Plus d'autres choix que de vivre de l'interdit...
Afin de sauver son existence et son envie d'innocence
"Tout va bien, tout va bien" se répète t-il en boucle
Jusqu'à ce que le coup part tout seul
Et que le plaisir facile se voie déchirer pour avoir voulu vivre le délire facile...
A présent, l'un de mes préférés
Mon Rêve...
Le réveille avant l'éveil d'un rêve...
Paranoïaque, psychopathe, fou furieux
Je ne laisserais personne me marcher sur le pied
Je planterais le premier qui se dressera sur ma route
Je m'enverrais en exile lorsque vengeance aura été faite
Assis sur le sable chaud du pacifique
Observer les vagues d'une tempête lointaine
Une arme de poing posé à mes cotés
Souriant à ce magnifique soleil articulé de nuage
Galopant, dévalant les multiples rivages
Debout devant cet océan qui me défigure
La violence est maitresse de moi même
Le couteau armé à mon poigné
Je marche le long de cette ligne directrice
Le long de cette eau miroitant le bleu du grand bleu
Je me tiens debout, la couche brumeuse de mes péchés remplies mes jambes
Mouvement aléatoire du courant
Cette tornade au loin qui me fixe
Cet œil qui me dévisage
Cette affablement d'eau qui m'éclabousse
Une attirance inexplicable m'attire au loin
Abandonnant ce qui me relié à eux
Nageant au beau milieu de cette eau
Je fixe l'horizon
Colline et sable tourbillonnant mon au revoir
Une vue d'ensemble se révèle à moi
Mes yeux ébahis ne fixent que cet axe fixe
Une chose se prépare devant mes yeux
Je pourrais nager vers cet objectif qui me rend tout fébrile
Symbole de cette fille qui me fixe
Qui m'obsède et me résiste
Qui me parle et me dévisage
Qui m'envie et me désire
Mais rien qu'un fantasme...
Et je suis de nouveau debout sur ce sable, de retour vers l'inévitable
La chaleur d'une couverture chaude m'envahit les tripes
Je suis à ces cotés, au coté d'un vide rigide
Elle se vide et me remplie de mélancolie
Mais rien qu'un fantasme qui me dévisage...
Cet homme qui me fixe au loin
J'aimerais, j'aimerais vraiment qu'il s'en aille...
Il me fixe au beau milieu de cette digue
Il me sourie par un sourire mélancolique
Blessure par balle au crane
Aspergé d'un liquide
Il délivre une allumette et s'allume comme un réveil
Toute feu toute flamme, il avance vers le rivage
Trempe son corps dans cette eau glacial
Bientôt les flammes disparaissent pour ne laisser apparaitre qu'un corps mutilé
J'aimerais, j'aimerais vraiment qu'il s'en aille...
Puis assis sur le sable à écrire des vers
Totalement défiguré de la tête au pied
Un crayon à la main, il décrit des rimes
Affreusement charitable dans ces phrases
Soulève sa tête et me regarde
Il me sourit puis se replonge dans sa passion
Une fine membrane nous sépare
Pas assez pour oublier
Pas assez pour ignorer
Accepter son envie
Accepté son délire de détruire
Son simple reflet me fait sourire d'envie
Être proche de lui et ma seule envie...
Je suis à ces cotés, à l'observer
Il écrit, décrit, et me fixe
Il me touche, cette fille en débouche
Elle me sourie et me désire
Apparue de nulle part, elle prend part à mon fantasme...
Elle est mon reflet
Elle est le poète
Elle est le reflet du poète brulé
Elle est la constante dans cette ligne du temps en totale dissonance...
Déstabilisé, apeuré, tétanisé
Elle m'embrasse, tout s'embrase...
Elle m'enlace avant que tout ne passe
Avant que ce fantasme ne se finisse...
Et qu'elle ne disparaisse avec mon rêve d'argile...
Smile
La drogue d'un poète
Poésie d'héroïne
Émancipation de l'esprit
Vagabondage d'un esprit fugace
Cacher son sourire
Cacher une joie démonstrative
Ne vouloir que le désir sans conséquence
Juste le plaisir de jouir
Ainsi va la vie selon Darwin
Érigée d'un faux sourire
D'un cache non rire
Où seul la mythomanie et la bêtise permettent à la dépression d'une génération de souffrir dans l'idylle d'un souvenir disparue, depuis que nos ancêtres ont inventés l'existence d'un babe boom radioactive
Explosion de la fécondité
La Joconde en rougie d'avance
Attachée d'un sourire accalmie avant la grande tempête du siècle
Où cette belle petite fille verra son sourire échangé par l'accoutumance d'un pince sourire dans l'espoir d'obtenir une dépression et ainsi se sortir d'un délire affectif, avec en prime l'irrépressible envie de bien vouloir vivre pour autrui
Et à présent, 2 suites de 6 poèmes, qui représente deux histoires en filigranes.
1 - Ma génération
Je cours
Je cours
Encore et toujours
Je cours aussi vite que je peux
Plus vite que cette roue qui passe par l'autoroute
Elle me rattrape alors que je cours encore plus vite
Je peux l'apercevoir au loin
Elle me rattrape et me double
Elle s'éloigne et me dépasse
Elle contourne cette rue et se défile devant une flopée de fille
Regard aiguisé, sourire acquis
Rien n'a plus d'important que cette fille qui me fixe
autant d'importance
Elle me dévisage au loin
La roue bien sur est toujours là !
Mais cette créature rattrape mon regard et déguise mon attention
Je peux presque la toucher
Sentir ces cheveux lisser
Mais la roue me percute
Et l'hypercute me renvoi à la renverse par un état d'ivresse
Gueule contre terre, la tempête fait rage
Elle me gronde et me somme de me relever
Je cours
Je cours
Encore et toujours plus vite que mon ombre
2 - Le masque du sourire
- Spoiler:
- Elle se pose sur moi
Intègre mon pénis dans son territoire vaginal
Quelques mouvements de hanches, la jouissance est là
De métal de classe
Inférieur est ma gueule
Rêver d'elle la nuit me permet de vivre de sourire
Même si le sourire n'est plus réellement ce qu'il était
Était, être par un été déguisé
Ravager par tant de ravage culturel
Suivre le courant est devenu aussi fugace que cette fugacité de plaire à cette superficialité
Dominer par l'irréalité d'un dommage collatéral
Et ce dommage est bien là !
Explosé, transfiguré
Rattraper par un délire affectif
Affecté par ce virus biologique qui s'immisce dans tout organisme comme un virus informatique
Rien ne sera plus jamais comme avant
Plus rien ne sera idéalisé
aimé
ou adoré
Parce que cette roue qui dévale tout, détruit tout et rend champ de ruine ce qui était avant beauté d'antan
3 - Les regrets du tord
Et cette fille qui était avant décors d'un champ d'écorce
N'est plus aujourd'hui qu'une image masturbatoire
Devenu irréel, mitigé par tant de froideur
Aussi glaçon qu'un touché de peau sur l'asphalte du macadam
Plus rien ne sera jamais comme avant
Clarté, clarine, une claire qui avant me voyait comme son sauveur est devenu aujourd'hui aussi rigide qu'une huitre
Aussi tempéré qu'une tempête tropicale où larme et rire sont devenus paradoxalement vide
Parapluie ou non, manteau de la dérision
La pluie de cendre finira par te réduire à l'état d'esclave
Où le volcan du temps entrera en éruption accompagné des 10 plaies d'Égypte érigé par Nostradamus
Prédit de l'ancêtre de nos pères
Chamane d'une vision du futur
Einstein préconise la relativité générale
Newton la relativisa grâce à cette pomme restreinte
Une fine fleure du temps, que l'arbre de Rosen décrira comme un couloir d'interclasse
Une issue à toute cette folie délicieuse contaminée jadis par la pomme pourrie
Adam et Ève nos ancêtres ancestraux
Parents d'un rêve existentiel
Enfant terrible d'une futur crise où les regrets de la vie, les regrets du tords deviennent nos tords
4 - Frasque indélébile
Incapable d'y faire face
Cette troupe qui avance
Aveuglé par l'aveuglement d'une haine
Maintenant devenue l'adhésif qui maintient en l'air cette fresque généalogique
Fresque devenue frasque grâce à cette garce qui prend plaisir à te faire souffrir
Alors la guerre des sexes commença
La guerre des faux semblants débuta
Froid dans les gestes du quotidien
Contaminant nos gestes aussi infiniment transparent que l'égo en repos
Une transparence, un idéologique que même le sage ne pourrait déguiser par ces paroles angéliques
Une génération du virtuelle devenue victime d'une souffrance que l'on tente de canaliser par l'ardeur d'une flamme
Et finalement la fin de ce poème donne autant de douleur car aucun mot ne pourrait suffire ma création d'une façon concluante tellement le convenable et le raisonnable sont asphyxié par ces tords que nous ont donné des regrets non oxygénés par le masque du sourire maintenant invisible et érudit
Obsolète et désuète
1 - Reflet d'une création
J'essaie
J'essaie
Aussi fort que je peux
Se reflet est devant moi
Il m'observe et j'essaie de lui ressembler
J'essaie de me mettre dans la peau de Bogart
Flingue à la main
Pinceau à la bouche
Je dessine ma propre détermination
Humanisation à l'appuie
Larme qui coule, ancre qui coule
Cool est cette fraiche plume qui me chatouille l'esprit !
Herbe fraiche, reflet de l'herbe
File du courant, fil au coin en courant !
Articule ton petit poing autour de cette feuille blanche
Transforme ce qui est blanc
Ce qui est humanitaire en terre d'oubliette
Ni maladie, ni dénie m'encombre l'esprit parce que je fabrique ce que je vis
Ni rancune ne peut affaiblir ce que je désire parce que mon désir est chose de toute chose
2 - Petite fille dézingué
L'esprit du voguer vogue sur cet océan
Courant à l'ouest il surfe sur la vogue d'un succès improbable
Démystifié, sourire non dissimulé
Je reste là à l'observer, à chanter
Mais aucune parole ne peut atteindre mon repos
Aucun guerrier ne pourrait subsister à ces cotés
Fraicheur d'une société
Reflet d'un idéalisme onirique
Mais rien au monde ne pourrait me faire abandonner cette idée
Cette matière grise qui grésille dans mon esprit
Qui s'immisce dans ton iris et te fait voir 1000 malices
1000 églises où le prêtre déguise ce qui est possédé en contre culture pop folk
Une gamine du propre, futur d'un défilé magnifié
Coiffure enflé, où bouclette boucle d'oreille accroché à l'oreille
Juste une envie, un coup de passage à vide
Rigide comme la pluie, cette petite est perdue par tout ceci
Une constante est l'instance d'un moment de détente
Utile est cette dépendance
Mais rien ne pourrait aire son désir d'être ivre
3 - Copyright
Bouteille à la main
Bouquin au chevet
La société lui a fait voir que rien n'était d'ivoire
Mais voir cette illusoire n'a pas baissé sa plaie
Cela a amplifié son reflet
Grossit son tour de poitrine
Une caméra tenue à la main
Vivre par delà cet objectif véhiculant 36 messages mystifiés
Où la réalité fait figure de copyright
Tellement la réalité transfigurée atténue les douleurs d'hier
Et figure d'auto destruction
Figuration, figurine de ce téléfilm d'une après midi
Ensoleillé, sentiment du ré
Durer par transmission du virus du délirium
Délirium, revisité par la théorie du chaos par l'auto empereur des temps anciens, orateur d'un compteur
Une théorie de l'infiniment petit
Petit pas de géant, vent latéral pour caméra déguisé
Va ainsi la vie selon laquelle tout est réduit à l'état miniature
Apollo 18, mensonge par omission
Dérision du raille
Raillerie d'une décision unanime
4 - Borderline
Rien ne pourrait cacher
Dénaturer le vraie du faux
Parce que ce borderline est ainsi fait
Ni ami, ni ennemi
Un monde où les terres de mes ancêtres sont épithètes
Est où la colle-rie d'une colle fait office de scotch aux multiples ressorts du diable qui est en chacun de nous
Multiples démonstrations, démonstratif de sa manipulation de l'esprit
Rien ne pourrait prévaloir son ingéniosité
Son sens du cacher
Parmi ces innombrables cashback
Déguisé en bataille pour le monde de demain
Darwin est un être inarticulé
Articulée pour le besoin de l'illusion
Ruse et cruauté sont règne du maitre
Inaccessibilité d'une compréhension orageuse
Où prône l'orage d'une révolution organisé par le magicien d'oz
Osé son silence, rompre les rangs
Désarticulé ces membres pour la liberté d'exister
Le soldat pourrait ainsi vous le dire
Gentil et petit son la lune noir du désire noire, ce qu'était l'illusoire d'un cirque
Devient un cirque grand public pour les plus petits
5 - Insaisissable
Percher sur cette grille
Admirer l'essence du magicien
Tour à tour, admiratif et pif dans le bec
Bec et ongle se batte en combat de coque
Jalousie est réduite à l'oublie
Tête réduite est vide d'esprit
Alors je m'assoies et je pries
Prie pour me faire prier d'une insignifiante débâcle
Pour que policier et insigne d'une insignifiante légende soit réduite à l'état de cendres
Pour rendre à Zeus et à apollon ce qui était avant à apollo
Oublions alors ce qui était auparavant vu
Et rendons justice à ce justicier de la nuit
Justifier pour nous avoir rendu libre de pensée
Liberté du mur
Graffiti
Art du contemporain
Bansky, l'artiste de l'insaisissable
Mr Lavage de cerveau, dit Brainwash in English nous rendent postiche de son talent d'antan
Génie de la fabrication instantanée
Rédige un postiche, poster d'une caméra
Équipée d'une épopée
6 - L'effigie d'une vie
Croisade d'une rare existence
Vivre pour l'insaisissable
Capturer l'incapturable
Le rendre en image
Fondre l'image de fond en une colorie photographique
Vert et bleu, bleuté d'une beauté sans nom
Long métrage, court métrage du miroir
Filmer une vie entière
A et B préparatoire d'une genèse du son
Débâcle pour conservatoire ancestral
Préparatoire pour vivre la fin d'une époque
Roder le bouton Off, On sur Marche / Arrêt et arrêter la filmographie d'une célébrité
Pied d'Étal et pitrerie du rire
Sauvegarder l'instant magique pour mieux le vivre
Et rendre unique ce qui est effigie
Parce que l'effigie d'une vie non vécue, a autant d'importance qu'une expérience dont l'émotion est vide de tout sens
Et par ce procédé, en voilà un poème qui se termine avec le sourire à la lèvre, et mot de fin digne d'une épopée sauvage où le cheval en rie avec son Cow Boy solitaire
Digne et solitaire
Créateur de l'Éden, je rie aux lèvres de ton existence sans identité d'exister que pour toi même
Haut en couleur !
Haut en couleur est la vie
Haut en couleur est le délire
Vivre pour une vie
S'accoutumer à l'existence d'un livre
Résumer d'exploit, exploiter le potentiel du libre arbitre
Arbitrer un match de boxe
Tel boxon est mon anagramme indéchiffrable
Chiffrable est la beauté sans voleur
Parce qu'au travers son rêve nous pouvons y percevoir ces souvenirs
Électrique, électromagnétique est le secret de la vie
Marrer à s'en éclater le cœur
Tel est le cœur de l'ouvrage où le livre s'ouvre lors d'un moment d'accalmie
Moment de paix, soulagement de l'âme
Un écrit qui ne peut se décrire que par l'écrit d'une rime ou d'un texte éponyme
Courir, manger, sauter haut ! Tel est le cri du barbare avec un grand cri rock
"WRAAP ! Quel sang bleu !"
Ainsi le pirate exploite ces collègues de mer et traverse les océans à la recherche de la fontaine de jouvence
Océan marin
Plonger en sous marin
Marin est ce plongeur plongeant dans l'abysse d'un océan
Perdu dans l'Atlantide
Ces ruines échouées sous la croute terrestre
Noyé par tant d'ardeur
Où ne résulte qu'une odeur de mystère
Bulle, bullé face à cette découverte
Explorer son abyssal démesuré mystère
Indescriptible champ maritime
Croute terrestre, examen d'une tête
Statue de sel, délivrance de l'être
Infraction au code de la route
Dans l'espoir d'y apercevoir une once d'ombre
Décrypter son existence, entrecouper sa soif d'errance
Enivrer par tant de beauté, enivrement d'une existence sous-jacente
L'océan marin délivre ces secrets au compte goutte
Une goutte qui déroute les plus intrépides
Ne recherchant qu'une chose, la jauge du spectaculaire
Spectaculaire, clarté
Tel est le coté sombre du tueur aux 1000 tentaculaires
Tel est le coté sombre d'une vague faisant 1000 mètres de hauteur, accusé à tord de crime contre l'humanité qu'elle n'a pas commise
Mère nature face à ces accusations, ne délivre finalement qu'un seul message :
- Écrouler les runes d'une civilisation disparue afin de mieux reconquérir ce qui est sans racine
Vague de crime
Couteau au poing
Dague aiguisé jusqu'à la pointe
Gout vestimentaire d'un guerrier au aboie
Recherchant l'inspiration du sang
Odeur léché, gout séché, couleur d'une douceur impénétrable
Insaisissable est ce tueur aux dents longues
Aux griffes acérées
Seul l'air contaminé d'un cadavre putride lui permet de vivre un siècle et demi
Combinaison blanche
Respiration lente
Sang qui s'écoule le long de sa hanche
Vague de sang
Reflet de mon sang
Poésie d'héroïne
Empoigne-ment d'un couteau blanc
Snifer de la poudre blanche
Vivre d'extasie lui permet de longer les vies
De voler leur ivre vie, sécuritaire d'un domicile
Parce qu'un domicile est tout ce qu'il risque pour vivre
Sans attache est sa vie...
"FREEZE ! Don't move !"
Policier par héritier a enfin retrouver sa planque
Planquer dans un entrepôt réaménagé en sous sol désaffecté
Aucune autre solution que de se suicider à couteau tiré plutôt que de vivre le reste de son éternité emprisonnée dans une cellule capitonnée
Poésie fragmentée
Fragmentée l'idéologique
Déboussolé le rythme établie
Secouer l'anarchie pour rétablir le système planétaire
Un coup de ballet sur cette rime
Inverser les vers
Délivrer un message de paix
Paix dans le monde est mon initiation
Fracturer la porte de la classe inférieure
Source supérieur est mon inspiration
Goutter à la joie d'une sauce rodée à la testostérone
Bien mal est ce mal après avoir goutée à la poésie d'une rime arythmie
Extasier, dénaturer, asexué
Cœur qui badoche, ronde sont ces badoches
Dégoutés sont ces pupilles gustatives
Parce que seule l'apparition d'une autre juxtaposition pourrait lui faire oublier ce mal qui le ronge
Ne suppliant qu'une chose : la ré ouverture de cette bibliothèque où est entreposé 1000 racines ensevelis sous 6 tonnes de papiers d'Égypte
Motif et hiéroglyphes y sont exposés en papyrus
Sous l'essence de cette syntaxe, le message de paix est délivré par tranches de 6 lettres bien distinctes
Nom parsemés : Poésie
Fragmentée
Tel est le message de paix mis sous scellée
Intimity
Féminin au masculin
Descriptions qui réclament une rançon pour garçon
Observer la gente féminine, qui réclame une once d'intimité masculine
S'offrir en spectacle devant les beaux yeux de ces mâles
Accepter l'offrande d'une bague
Enivrer ce moment d'intense châtiment
Accepter, illusionné, nié l'existence du cristal doré
Émeraude d'éclat, lorsque l'aurore vole en éclat
Jouer franc jeux pour le beau plaisir des yeux
Une gente qui ne demande qu'une demande
A s'agenouiller pour se faire courtiser
Balcon, charmant, fleur accroché à la bouche du prince charmant
Parfum
Enivrer par tant d'éclat de raison
Senteur de rose
Rien ne pourrait rosi-fié cette douce et ecclésiastique petite fille qui sommeil en cette fille au courbe magnifique
Permettre à la lune noire de sanctifié ce lendemain
Pour une promesse sans lendemain
Vœux, désireux, baisé fougueux
Héros d'une vie, héros malgré lui
"If we don't leave together, we die alone !" (si nous ne pouvons vivre ensemble, nous mourrons seul)
Telles sont les paroles du héros
Un personnage d'apparence lambda
Un inconnu
Qui devient malgré lui un héros
Vivre pour les autres, mourir pour soit même
Étouffer par sa vie
par ces émotions
par ces frustrations
Un groupe d'étranger
Un vol d'étranger
Une situation de danger
Armé et prêt à tuer
Des mots qui raisonnent fort dans nos cœurs
Des mots qui ont un écho fort dans l'actualité
Un instinct de survie
Un sens du sacrifice
Une liberté à venir
Le martyr à permit ces mots d'être prononcés, aux pas d'être suivis
Paria d'une vie, destin or du commun
Combattre pour la liberté
Combattre ces propres peurs infantiles
Combattre son père
Meurtrie par tant de froideur originaire d'un mal ancestral
Philosophie, paria, des mots oubliés dans la civilisation d'aujourd'hui
Mais pourtant ces mots sauvent la vie chaque jour
Et pourtant aucun remerciement n'est de mise pour cet être au diapason des statistiques
Solitaire dans ces gestes du quotidien
Solitaire dans ces mots prononcés
Il ne permet d'une seule chose en réalité :
- Être le martyr d'un peuple meurtri par tant de colère frénétique, irréfléchie et dévastatrice
Au sens déshabillé
et rectifié
Taché, effacé et barré tellement de fois que sa foie eu fut à jamais ébranlé
Manipulateurs en ont fait leur paria, leurs délivrances
Pour finalement être au aboie envers cet homme or du commun
Héros d'un jour, héros de toujours
Que seul l'arbre de vie, le héros du mérite, pourrait lui rendre hommage par un souvenir du temps où ils étaient encore amis...
Je me contente, tu te défends
Lorsqu'une femme se contente
Un homme se force sur l'instant
Elle en rie, il en supplie
Elle en glisse, il en esquisse
Un homme se force à être dans le paraitre
Lorsqu'une femme se réserve dans des circonstances similaires
Mais lire cela sur un panneau d'information
La phrase du jour
Au milieu d'un rayon du commerce
J'en es rie tellement la situation se prêtait au comique
Tellement la vérité ne pouvait contre carrer cette vérité au sens infinie
Résumer d'une société
Résumer d'une guerre des sexes
Phénomène de société, où je ne pourrais jamais y déniché un drapeau blanc, drapeau de paix, symbolique d'un cynisme
Où guerre et paria sont derrière nous
Mais où leurs effets sont nos ombres que l'on retrouve jour après jour tel un boulet qui ne demande qu'à se que l'on brise ces chaines
Politesse mal placée
Ego déplacée
Psychologie du plaisir sont nos amies
Notre Boué de sauvetage vers une fin dénie
Où le puceau de 21 ans en gagne en expérience de l'inédit
Tellement sa verge en est devenue un ami intime du vagin de la jeune demoiselle en détresse
Vulnérabilité
Douche d'un sourd
Eau chaude pour oublier la douleur d'une émotivité déstabilisant ma psyché
Respirer la chaleur de la vapeur
État décontracté, évasion des muscles faciales
Je m'en relève non sans peine
Sans rancune d'une amertume
Sans rancœur dans le cœur
L'intensité de ma pression sanguine fait effort sur mon spiritualisme
Aucun mot ne pourrait calmer cette détresse tapie au fond de mon être
Même si j'avoue que la caresse d'une femme adoucira mes traits déstabilisés
décoincera mon findyourself perdu dans un labyrinthe des sentiments
A présent nu dans cette pièce obscure
Le givre remplaçant mon dégout du rire
Je me rhabille sans prière, sans révéler l'entièreté de mon être parce que l'expression de mes sentiments sont enfermés dans un coffre scellé au code que je suis sur le point de casser
Et je rouvre cette porte qui me sépare du dehors
Où l'air ambiant emplie mes narines et oxygène mes poumons qui m'empresse qu'écrire un autre poème
Etat de conscience
Inspiration
Posé son stylo sur le papier et se laisser aller
Oublier le monde et la pollution
Le bruit et ces artificiers
Juste respirer la liberté
L'état de sobriété
Ne vouloir du non dit que pour un code du réussit
High Tech est ma médiathèque
Ma bibliothèque du être ou ne pas être
Une devise de l'être
Une résistance archi contemplatrice
Aussi bien dans le miroir que dans le visage
Un Amat de fil électrique
Établir l'équilibre
Prendre le large et écrire une poésie
S'abandonner à son état d'esprit
Un fantôme dans l'oublie
Une métamorphose, une ascension
Une délectation
Un sourire, un rire
Une timidité méditée
Un silence qui est d'or...
... Et qui dort
Parce que l'état de conscience est d'or lorsque l'on s'endort à l'aurore
Virtuel, reflet de l’être
Code à l'honneur
Vert et jaune à l'horreur
Une mystification dès lors oublié de la foule
Une auréole qui rend fou
Orné d'une ombre du jour et de la nuit
Extrapolation d'une ondulation
Conséquence d'un acte considéré comme fou
Existence d'une rareté non dissimulée
Rare est cet être qui pleur par joie
Une once de joie étant or pour celui qui la contemple
Un rêve pour celui qui rêve
Une matrice, une hallucination virtuelle
Un codage d'un ratage complet
Reboot du système, mise à jour de l'être
Émotion, joie, colère, tristesse, amertume
Toute une palette d'émotions pour dévotion du spectaculaire
Dévoué à l'oculaire et au paraitre
Rien ni personne ne pourrait empêcher cet avènement d'avoir lieu
Tant la volonté d'échouer n'existerait que pour contempler l'échec assurer
L'instant de survie ne servant que pour l'envie de vivre
Rembobiner l'échec, et compter l'extraordinaire de l'être
Un reflet qui ne demande qu'à exister tant l'égo est démesuré
Ce besoin d'exister
Besoin de reconnaissance
De se faire entendre
D'être la pour la délivrance
Vivre toute une vie
Attendre un merci
un sourire
une accalmie
Pour au finir ne rien obtenir qu'une insulte, une injuste méprise
Et se haïr d'être aussi naïf
Une mort n'est-elle pas plus douce ?
Après tout, un monde régit par la loi de Darwin : survivre ou mourir
Est-il suffisant pour exister au travers ces prédateurs ?
Ces animaux déguisés en mouton
Qui manipule son petit monde par hypocrisie
par envie de faire souffrir
Inutile d'être là pour ça
Inutile d'être aussi ponctuel à la pointe le matin
Après tout, la seule envie d'exister, d'être supplier, de démasqué, ne fait que nous ramener vers ce qui nous a créé
A savoir la curiosité et le besoin d'évoluer
Alors seule alternative à la mort, et de donner la mort à cette horreur qui envahit notre quotidien, et de zapper son besoin de nous rabaisser
L'imaginaire
Marcher le long de ce chemin de terre
Être habillé de la tête au pied
Évoluer vers une constante évolution
Une ébullition qui ne demande qu'une explosion
L'évolution est ce qui nous rend si sourd à la trahison
La course à la randonnée nous rend si aigrie que l'on a perdu la grande aiguille
Cette constante si chère à nos cœurs que notre imagination remplace cette souffrance au quotidien par...
... Tous en rimes
en musique
en vivre d'être libre
en envie de sourire
Pour une vie transformer en clip
en comédie
en jouissif désire de danser
de crier
d'être illusionné
Rien de tel pour l'imaginaire que cet exercice de style
Rien de tel que l'imaginaire pour ce faire oublier de la planète
Et être aussi libre que la musique pour devenir ordre ce qui était auparavant chaos d'imprésario et de désillusion
Le ying et le yang
Ying d'une fille
Sans merci
Qui délivre un message à autrui
Celui de la vie
du rire et du délire
A contrario il y a ce yang
Ce grand n'ayant vécu que 1000 souffrances
1000 tourments pour ne trouver que plus grand que soit dans une lutte sans merci
Le paria d'un Némésis au aboie
Et au milieu il y a ce A créé d'un rien
Cette rencontre du hasard
Cette collision pour une désillusion
Une délivrance pour 2 âmes en errance
Parler, échanger, rire, sourire
4 expressions qui résument notre relation
Un rond pour accomplissement mutuel
Complémentaire dans les gestes, implosion dans la dévotion des mots
Avoir été accro pendant plus d'un siècle m'a rendu immortel
Et m'a donné qu'une envie : retrouver son évolution
Aussi bien dans la mentalité que dans le sens de la description :
Pour rire et vivre pour l'éternité à venir
Le pouvoir des mots
Vivre d'un rire
Vivre d'une poésie
Une envie pressante
Un bébé qui n'attend pas
Je ne peux ignorer l'inspiration
Je ne peux ignorer le nectar des vers qui se concocte dans ma bouche
Mon esprit est envahit par ces fourmis qui parcours mon corps à la recherche d'une sortie
Cette fille qui m'écoute
qui aimerait bien se résoudre à faire plus qu'être à mon écoute
Parce que de mon coté, même si une fille entrait dans ma vie, et me glissait un petit Kiss, jamais je ne pourrais me résigner à arrêter ces poésies qui remplacent la parole, chose dont je ne suis l'hôte
Et cela résume ma vie et enivre les filles qui aurait aimé que l'homme des mauvais temps se transforment en prince charmant des romans
De mon coté, je n'ai ni l'expérience du sexe, ni celui du baiser, et encore moins celui du toucher
Mais j'ai celui du mot
Du nectar qui enjolive les mots et les rends aussi savoureux qu'un gâteau fait par maman gâteau
Et qui peut remplacer la brute aux dents longues par des mots qui envoute l'esprit et qui nous rend accro
Te amor
Me voir au travers ces yeux
Un reflet qui me condamne à l'aimer
Aussi longtemps que durera mon existence
Ainsi va la sentence d'un amour
Le désir d'être avec elle que pour elle
Et de n'être à ces yeux qu'une âme auréole d'ange tombé du ciel pour exaucer ces vœux
Ainsi Shakespeare vous le dirait surement mieux que moi
L'amour est synonyme d'embrasement
D'étincelle d'une réalité voué à ignorer le péché de son aimé
Sur la terrasse pavée de bonne intention, rose à la bouche, guitare à la main, qui récite un champ d'amour, dans l'espoir de sucer la moelle secrète de la vie
Pour rire et vivre de la misère de l'être humain du quotidien, avec mon rien créé d'un tout, mon aimé surfant sur la noté du ré
Puis retourner chez moi
L'esprit en émoi
Avec un seul désire : revenir à cet instant magique
De revivre cette union
Où la désillusion était le péché mignon
De ces tourtereaux au diapason
Mes choix
Parfois je me regarde dans ce miroir
Il me reflète au sens propre du terme
Ce reflet qui m'obsède
Parfois je me dis que les choses auraient pu être différentes
Lorsqu'au début j'étais faible
Le petit canard perdu dans ce lac
Mais lorsque je regarde à présent mon reflet
J'y vois un homme, dénaturé de tous hormones
Qui regarde ces filles avec une folle envie
Mais qui au final se retient
Non par pudeur ou par peur
Mais par timidité d'être dénaturé
Aussi bien dans le sens de ma création
Que dans le fait d'avoir été créé par le diable lorsqu'il n'était encore qu'un nourrisson
Avec tout cela dénicher le vrai du mal
le bien du faux
Devient aussi audacieux que de ce créer un alter égo
Alors je m'isole et je me fonds dans la nature
Pure et sans bruit, excepté celui qui vent, du soleil et de l'herbe fraiche
Et je m'imagine cette autre vie, cet autre choix qui fut mieux lorsque j'étais au aboie
Et je ne peux m'empêcher de me dire que malgré tous mes choix, je me retrouve finalement en ce moment même au bon endroit
Ma nature...
Un endroit élu de mes choix
Retiré et sans réel sens de la matière
Excepté celui de l'herbe fraiche
Avec comme matière à réflexion, cette société et ces arbres qui dansent lorsque le vent sort le bout de son nez
Alors lorsque je repense à cette fille qui fut mienne pendant un temps
Une dague planté dans mon cœur raisonne dans mon esprit et me taquine la matière grise
Au lit avec un autre homme, lui faisant 36 malices qu'elle me promit lorsqu'elle fut ma promise
Au temps où nous aurions du être des êtres de chers et de sang
Et ré observer ce paysage qui m'entoure
Qui me gèle les mains provoquées par ce vent non tempéré
Et qui me provoque 1000 frissons dont je ne peux même pas en cibler l'horizon tellement ils sont au diapason de mon horizon
Alors je repense à ces instants où je fus à ces cotés
Où elle me faisait voir le reflet de mon âme
Meurtrie par tant de canif, planté au centre de mon cœur
Je lui souris, je l'envie, mais au final son toucher me transformerait en statue de pierre
Et ainsi, me faisant voir la mécanique de cet univers
A la fois complexe, et indigeste tellement mon hypersensibilité me transformerait en PC sous effet Bug Système
Parfois je me regarde dans ce miroir
Il me reflète au sens propre du terme
Ce reflet qui m'obsède
Parfois je me dis que les choses auraient pu être différentes
Lorsqu'au début j'étais faible
Le petit canard perdu dans ce lac
Mais lorsque je regarde à présent mon reflet
J'y vois un homme, dénaturé de tous hormones
Qui regarde ces filles avec une folle envie
Mais qui au final se retient
Non par pudeur ou par peur
Mais par timidité d'être dénaturé
Aussi bien dans le sens de ma création
Que dans le fait d'avoir été créé par le diable lorsqu'il n'était encore qu'un nourrisson
Avec tout cela dénicher le vrai du mal
le bien du faux
Devient aussi audacieux que de ce créer un alter égo
Alors je m'isole et je me fonds dans la nature
Pure et sans bruit, excepté celui qui vent, du soleil et de l'herbe fraiche
Et je m'imagine cette autre vie, cet autre choix qui fut mieux lorsque j'étais au aboie
Et je ne peux m'empêcher de me dire que malgré tous mes choix, je me retrouve finalement en ce moment même au bon endroit
Ma nature...
Un endroit élu de mes choix
Retiré et sans réel sens de la matière
Excepté celui de l'herbe fraiche
Avec comme matière à réflexion, cette société et ces arbres qui dansent lorsque le vent sort le bout de son nez
Alors lorsque je repense à cette fille qui fut mienne pendant un temps
Une dague planté dans mon cœur raisonne dans mon esprit et me taquine la matière grise
Au lit avec un autre homme, lui faisant 36 malices qu'elle me promit lorsqu'elle fut ma promise
Au temps où nous aurions du être des êtres de chers et de sang
Et ré observer ce paysage qui m'entoure
Qui me gèle les mains provoquées par ce vent non tempéré
Et qui me provoque 1000 frissons dont je ne peux même pas en cibler l'horizon tellement ils sont au diapason de mon horizon
Alors je repense à ces instants où je fus à ces cotés
Où elle me faisait voir le reflet de mon âme
Meurtrie par tant de canif, planté au centre de mon cœur
Je lui souris, je l'envie, mais au final son toucher me transformerait en statue de pierre
Et ainsi, me faisant voir la mécanique de cet univers
A la fois complexe, et indigeste tellement mon hypersensibilité me transformerait en PC sous effet Bug Système
Impression de déjà vu
L'apercevoir au loin
Cette personne inconnue de ma vision
Croiser du regard
Pour ne penser qu'à son entre jambes, et ces cheveux
Avant de poursuivre mon chemin vers d'autres inconnues
Je dois bien avouer que j'aimerais bien la recroiser, la revoir sous d'autres formes
Une prise de conscience dont je prend conscience qu'une fois ces lignes écrites
Retranscrivant mes mots tant les hôtes pour la transmettre sont assez pauvres
Sourd des oreilles, qui pourrait croire à toute cette superstition au longue supposition
Mon rêve est le seul Éden dont je disposes pour transmettre mes rêves
mes réflexions
Un Eden habités de monstres aux dents longues
Et grace à ce psy dont je disposes pour dénouer ce sac de noeud qu'est mon esprit
Je réussis le miracle de vous transmettre une idée
une reflexion
une remarque
Qui n'est pas encore arrivée à maturité
Juste un embryon tout juste sortie de l'oeuf
Le destin m'y aide dans cette tache, en me révélant au compte goutte les messages que je suis sensé dénichés
Comme cette personne que je recroises, et qui me croises du regard
Alors je me dis que le mythe de la boite de pandore n'est peut-etre pas si factive que cela...
Et aussi triste que cela puisse paraitre
Les seules personnes qui peuvent lire ces lignes
Sont mes lecteurs de ce blog que je tiens et qui me donne l'espoir qu'un jour toutes ces lettres, ces vers sans maitre, trouveront finalement leur sens dans ma délivrance
En couchant avec une fille, ou bien en laissant glisser mes lèvres sur la surface pleine des siennes
Voyage temporel
Cela m'interpelle
Et m'aide dans le mystère de l'univers
Tailler pour l'écriture
Je peux y retranscrire toutes mes aventures
Ecrire pour exister est d'ailleurs ma devise quand la parole se transforme en lettre empoisonnée
Je suis contre toi
Je suis contre moi
Une manière d'exprimer ma haine
Ma colère quand je suis étouffée par ces belles, qui s'amuse à danser contre le vent et le sens du propre
Un voyage temporel me permettrait de rectifier certaine erreur commis envers qui je suis contre pour diverses raisons, toute au diapason de ma raison
Une impression de déjà vu me permettrait de déchiffrer ce message caché derrière chaque mouvement antérieur à ma naissance
Ce sentiment de déjà vu me délecterait de prendre part à cette révolution qui se prépare sous nos yeux, et dont seuls quelques privilèges ont eus les privilèges d'en être les témoins avant la fin
Dénuer d'émotions, seul remède qui me harcèle
Qui grappille mes rêves et me chuchote à l'oreille
Je suis le seul qui pourrait traduire ce qui m'obsède et qui me fait devenir machine à écrire
Respirer ce vent m'aide à décrypter le sens du courant
Sentir le soleil m'aide à déjouer le sens du piège dans lequel l'ombre emprisonne chaque parcelle de mon être
Mais par dessus tout, le vert de l'herbe me permet de m'évader
Par cet effet spécial qui nous permet de nous rendre ivresse des plaies incendiaires et meurtrières
L'émotion me délivre des livres écrit par ces philosophes, accro à la philosophie anthropique
Et me gèle face à cette machine qui me montre la voie à suivre, et me pousse à agir contre toute attente
Dans l'espoir de me livrer un secret qui hante chacune de mes nuits, et qui me rend aigrie et mélancolique lorsque l'émotivité qui me traverse n'arrive à comprendre ce que je suis
Parce que l'être qui me caractérise est cette énigme qui me titille lorsque l'impression de déjà vu véhicule un message de trahison lorsque j'essaie de trouver la solution dans l'instant
Ce plaisir onirique
Le temps est si court
Je n'arrive même pas à liquider tout mon amour
Il court et se dénoue derrière moi
Je ne peux le voir parce qu'il est déjà au loin
Ce temps présent
Le temps que je me retourne
Je ne peux plus le caresser
Je ne peux plus l'empêcher de tourner
Puis Il est devenu moi et se déploie
ET je suis impuissant face à tant de maitrise
Le maitre du temps est à l'œuvre en ce moment même...
Pour dénicher tous ces exploits et me laisser sur le terre macque de l'aéroport
Il décolle et me laisse dehors
Bouche ouverte, larme coulante le long de mes lèvres
J'aimerais lui dire d'arrêter sa progression, mais je ne parle malheureusement pas sa langue
Et quand il me remarque, il me regarde, mais ne me parle pas
Il se contente de me fixer avec insistance, avant de partir sur ce même pas d'insistance que lorsqu'il était venu me prêter assistance
Alors je l'observe avec tristesse...
... Parce que c'est déjà la fin de la tendresse
Et le bonheur qu'il me donne en vraque, se contente d'être stocker dans un coin de mon crane pour me titiller dans un avenir si petit...
Et bien sur, le temps que je réalise l'effet qu'il m'a transmis
Il est déjà loin...
Et je reste donc seul, à contempler l'effet de drogue qui s'estompe peu à peu pour ne me laisser qu'une bulle bien endommager
Une bulle qui d'ailleurs m'accompagne partout où je vais, peu importe avec qui je suis, elle est là et ne me lâche pas
Avec plaidoyance elle s'accroche à moi et pour rien au monde ne me laissera, exception faites si je laisse entrer les maux qui me font du tord
Des maux qui sont laissés à l'abandon dans une ville miné de champ de mine
Et du mieux que je le peux, je tente de les esquiver tout en essayant de décrypter ce plaisir précédemment transmis par ce bonheur onirique et cynique
Jusqu'à la prochaine rencontre où je serais cette fois ci mieux préparer, bien mieux que la précédente où je n'étais qu'un garçonné désarçonné
Ce petit garçon qui grandit au fil des émotions qu'ils rencontrent, et qui le font grandir et l'apprennent à mieux anticiper ces plaisirs onirique et parfois très cynique
Parce que la prochaine fois, ce bonheur qui avant me prenait de court devra à contrario, aujourd'hui, répondre de ces actes et me laisser lui apprendre le comment s'y prendre avec moi, pour mieux vivre l'instant présent
Grace à ce psy qui décrypte mes envies, et enjolives mes soucis
Sexe et Ivresse
Voici mes deux "petits" derniers, qui sont plus des critiques personnelles sur notre société que des poèmes en eux mêmes...
Justice ou vengeance
Deux mots qui me dérangent...
Tant dans leur sens
Que dans leur signification si abscons...
Deux termes aux diapasons
Alors exister dans un même univers serait totalement obsolète
Inutile dans le fond, comme dans la forme !
Se venger pour l'être chers
Ou d'un souvenir oublier de la réalité devenue matérialiste...
C'est comme se ranger du coté de la justice
Et espérer que l'être ne subsiste que pour trouver un bonheur disparu depuis des lustres
De même, inutile pour cette raison de subsister pour son égo
Tant elle se trouve au diapason de la raison...
Vivre pour son égo nous condamnerait donc l'auto destruction, à tous niveaux de réflexion
Comme demander le numéro à une demoiselle
... Qui ne croit plus en l'existence du prince charmant ...
S'ouvrir à son sourire serait inutile
Alors la justice et la vengeance
Garderont leur mélodie, leur peine d'hier...
Unique solution à ce combat abscond :
- Auto dérision pour le faible d'esprit
Agression verbale par élocution
Reflet de cette poésie, aujourd'hui complètement à l'abandon
Ne préférant vivre que pour la détérioration de son esprit
Au plaisir libre du sexe et de l'ivresse...
Quand l'interdit devient facile...
Combat de coq
Ouvrir sa gueule devant un homme
Se prendre une raclée par le prédateur du règne des maitres
Se faire humilier en public par le plaisir personnifié de devenir la victime d'une idéologie
Et vivre ainsi dans un groupe où l'idiotie est le centre du règne du maitre
Être celui qui ouvre sa gueule face à Mr Muscle
Qui refuse de s'écraser pour avoir voulu exister
Se faire lapider devant une meute de chien enrager
Nourrie au cannibalisme d'une psychologie qui crie famine
Aussi facile que de rire au nez de la victime
Auto élue par le tortionnaire, devenu ordure de notre planète...
Pour avoir subie un changement hormonal en devant adulte en rut
Et accepter la loi de Darwin comme règle unique
Vivre comme les animaux sans l'avouer pour éviter de froisser son égo
Cette règle est devenu monnaie courante pour les lâches !
Qui fuient désormais devant leur courage...
Qui écoute leur instinct de survie et se moque du faible d'esprit
Pour prendre plaisir face à une règle devenue réflexe
Plus d'autres choix que de vivre de l'interdit...
Afin de sauver son existence et son envie d'innocence
"Tout va bien, tout va bien" se répète t-il en boucle
Jusqu'à ce que le coup part tout seul
Et que le plaisir facile se voie déchirer pour avoir voulu vivre le délire facile...
A présent, l'un de mes préférés
A mon psy
Assis face à lui
Lui déballer ma vie
Vie d'une constante léthargie
Je lui asperge de mot
Qui ne veule rien dire
Dire une émotion
Émotion issue d'un embryon
Embryon d'idée défenestrait
J'aimerais arrêter le temps
Le temps de lui dire mes images
Lors d'un arrêt sur image
A l'image de mes peines
Peines encerclées par mes rêves
Rêves d'un vieux souffrant d'une maladie
Maladie d'une idéologie
Idéologie d'un désir
Désir de tout lui dire
Lui dire mes plus sombres secrets
Secrets cachés par cette envie
Envie onirique et parfois cynique
Cynique à l'image de mes rimes
Lui déballer mes rages
Rage ancestral
Ancestral d'un mal
Mal qui existe au travers mon visage
Visage et pétage de plomb
Au mot à mot
Lettre à lettre
Pour qu'il décrypte mes folles envies
Aussi folle que la folle...
... Qui se cache en moi
Folie meurtrière d'un dérangée
Observateur, calculateur, manipulateur
Rêveur, pécheur, menteur
A mon psy qui m'écoute
Et me déroute vers la solution fatidique
Aride à l'image de cette route...
... Que je suis avec sollicitude et désinvolture
Assis face à lui
Lui déballer ma vie
Vie d'une constante léthargie
Je lui asperge de mot
Qui ne veule rien dire
Dire une émotion
Émotion issue d'un embryon
Embryon d'idée défenestrait
J'aimerais arrêter le temps
Le temps de lui dire mes images
Lors d'un arrêt sur image
A l'image de mes peines
Peines encerclées par mes rêves
Rêves d'un vieux souffrant d'une maladie
Maladie d'une idéologie
Idéologie d'un désir
Désir de tout lui dire
Lui dire mes plus sombres secrets
Secrets cachés par cette envie
Envie onirique et parfois cynique
Cynique à l'image de mes rimes
Lui déballer mes rages
Rage ancestral
Ancestral d'un mal
Mal qui existe au travers mon visage
Visage et pétage de plomb
Au mot à mot
Lettre à lettre
Pour qu'il décrypte mes folles envies
Aussi folle que la folle...
... Qui se cache en moi
Folie meurtrière d'un dérangée
Observateur, calculateur, manipulateur
Rêveur, pécheur, menteur
A mon psy qui m'écoute
Et me déroute vers la solution fatidique
Aride à l'image de cette route...
... Que je suis avec sollicitude et désinvolture
Dernière édition par Seb le Dim 12 Juin 2011 - 13:39, édité 1 fois
Re: Effet de société
J'aime bien tes photos
Et j'aime bien "Ma génération" comme poème
PS: Par contre certains sont un peu tu devrais peut-être les mettre en spoiler, car certains sont mineurs ce forum
Et j'aime bien "Ma génération" comme poème
PS: Par contre certains sont un peu tu devrais peut-être les mettre en spoiler, car certains sont mineurs ce forum
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Effet de société
J'aime beaucoup
Par contre je suis d'accord avec alamanga, certains ont un langage assez cru pour les mineurs.
Je peux te proposer de déplacer ton sujet dans les Fanfics (ici https://the-mentalist.frenchboard.com/f69-fanfics) vu que ce sont plus des écrits que du graphisme, et comme ça tu pourras mettre certains de tes poèmes dans la catégorie NC-17 non accessible aux mineurs
Par contre je suis d'accord avec alamanga, certains ont un langage assez cru pour les mineurs.
Je peux te proposer de déplacer ton sujet dans les Fanfics (ici https://the-mentalist.frenchboard.com/f69-fanfics) vu que ce sont plus des écrits que du graphisme, et comme ça tu pourras mettre certains de tes poèmes dans la catégorie NC-17 non accessible aux mineurs
MissTeresa- Chef d'unité au CBI
- Personnage préféré : ♥ Lisbon & Jane ♥
Loisirs : lire, fofoter, grapher
Localisation : Boulogne s/mer (62)
Re: Effet de société
Merci miss-teresa et alamanga
Merci ! Je me suis fortement inspiré de "je cours" de kyo
Et concernant mes poèmes très crus, oui, je les posterais dans "nc 17", c'est d'ailleurs une bonne idée
Mais... J'aimerais qu'un des modos s'occupent du transfert de mon topic vers le topic "os (one shot)". Parce que, j'imagine que pour eux, il ne s'agirait que d'un clic pour le transférer d'un topic à l'autre, contrairement à moi, qui devra se coltiner les nombreuses pages (indépendamment).
J'en serais extrêmement reconnaissants de leurs gestes
Merci d'avance quel qu'en soit la réponse
Et j'aime bien "Ma génération" comme poème Very Happy
Merci ! Je me suis fortement inspiré de "je cours" de kyo
Et concernant mes poèmes très crus, oui, je les posterais dans "nc 17", c'est d'ailleurs une bonne idée
Mais... J'aimerais qu'un des modos s'occupent du transfert de mon topic vers le topic "os (one shot)". Parce que, j'imagine que pour eux, il ne s'agirait que d'un clic pour le transférer d'un topic à l'autre, contrairement à moi, qui devra se coltiner les nombreuses pages (indépendamment).
J'en serais extrêmement reconnaissants de leurs gestes
Merci d'avance quel qu'en soit la réponse
Re: Effet de société
T'inquiète je ne te demandais pas de le faire toi-même Je m'en occupe
Par contre la catégorie OS ne concerne que les écrits sur The Mentalist, donc je te déplace dans
Vos autres créations > Fanfics
Par contre la catégorie OS ne concerne que les écrits sur The Mentalist, donc je te déplace dans
Vos autres créations > Fanfics
MissTeresa- Chef d'unité au CBI
- Personnage préféré : ♥ Lisbon & Jane ♥
Loisirs : lire, fofoter, grapher
Localisation : Boulogne s/mer (62)
Re: Effet de société
Me revoilà !
Tour de magie de l'esprit
Tu y vois toi
Un reflet qui te fait effet
Cela se reflète en toi
Et te fait voir 1000 merveilles
Tes nuits en sont même inondées
De cauchemars ou de rêves
Il en devient même difficile d'y voir claire
Elle est déjà effacée de ta personnalité
Même si sont existence ta changé
Un regard d'or sur l'or
Le silence d'argent qu'elle ta enseigné
Mais que tu n'as pas voulu écouté
A présent il fait effet...
Et tu te dis alors que si tu l'as revoyais
Ton cerveau l'a reconnaitrais comme son reflet...
Et alors il retrouverait ce bout de personnalité perdu
Dans tes rêves et tes cauchemars, où tu y vois tes pires changements
Un petit aperçu de ce que tu seras
Ton cerveau en a déjà eu un petit aperçu...
Et alors qu'il ne se dit pas près, il en est tout de même affecté
Là où ton égo est à l'abandon, tout tremblant par la déraison
Parce que ce qu'il a refusé de voir, est à présent là...
Alors la honte et le désespoir pour les dépressifs
La joie et la compréhension pour les plus heureux
Ce transforme en une personne
Un changement si infime dans ta personnalité
Que cela en affecte tout ton être
Et alors tu en deviens malgré toi, ce que ton reflet t'avait fait voir
Et qui t'avait fait croire que tout cela n'en étais qu'illusoire
Cela touche le monde
Cela te prend aux tripes
Te fait réfléchir sur l'avenir
Tu te demandes si tu n'as pas d'autres solutions
Parce que ce choix est tellement abscond...
Et il en devient tellement difficile de faire face à ce que tu aurais pu devenir
L'autre solution te terrifie tellement
Ta conscience est déjà si bien placée sur les rails de la vie
Qu'il en devient difficile de faire un choix
Mais tu n'as malheureusement plus d'autres choix
Le changement est déjà en toi...
Et le temps que tu te retournes, ton autre toi est déjà bien loin
Et quoique tu tente de faire pour le rattraper
Il est déjà au loin
Alors tu te demande si tout ceci est une si bonne idée
Tu en deviens même philosophe
Pendant le travail, alors que tu arrives en retard
Ou en cours, sur le retour d'un réveil difficile
Cela t'affecte au plus au point !
Tu en ressens ces effets sur ta psychologie, ta physiologie
Surtout lorsque ta conscience a déjà subis un reboot
Comme un ordinateur que l'on a redémarré après avoir effacé tous ces programmes
Le changement est-il une si bonne idée ?
Après tout, ton entourage en souffre
Ils en subissent les effets, et te demande, se demande si quelque chose te fait souffrir
Mais c'est tout simplement cette personnalité qui te fait changer
Ces nouvelles émotions que tu as ressentis jadis qui font effets
Et alors tu te dis que c'est l'évolution
Et que cela touche le monde
Par un état de grâce
Le plus important est là...
Ce besoin d'amour et d'affection
Ne peut se renier ou être ignorer
L'humanité n'a pas était fait ainsi !
Exigé une marque d'affection
Une représentation de l'affection
Un baiser
Un long mot derrière l'oreille (et oui, je suis un grand romantique !)
Au final, ce qui compte réellement
Ce n'est pas la marque d'affection
Mais la présence d'un être à ces cotés
Afin d'échanger ces sourires et rires, ces pleurs et rancœurs
Ce que l'on demande
C'est un regard qui nous fasse passer pour des êtres humains
Et non des robots habillés de nos émotions...
Mais pour en revenir à moi (c'est bien pour cela que nous sommes là!)
Ce que je demande, c'est éliminer ce qui est faux
Éliminer ce qui nous fait passer pour des robots
Pour pouvoir ce rappeler que nos souvenirs
Par l'émotion que nous avons ressentie
N'ont pas été véhiculés par des fils électriques
Mais transmis par onde de choc !
Une émotion condamnée au choc de l'échange
Tellement l'échange a disparu de notre époque !
Et que je tente de ramener à la vie en créant des poésies à tour de bras...
Comme Damon Lindelof le faisait au travers sa série, Lost...
Dans l'espoir d'éveillé un jour les consciences...
Et enfin de compte, après toutes ces lignes à tenter de vous expliquer le fin fond de ma pensée
Ce qui n'a pas été évident !
Étant donné les 1000 idées, mots et émotions qui me hantent l'esprit !
C'est avant tout d'accepter que je suis comme vous :
- Être humain de chair et de sang
- Qui a besoin de commentaires pour subsister
Non pas dans l'espoir de gonfler ma cote de popularité
Parce que ça, je dois vous le dire, j'en ai strictement rien à faire ! ()
Mais plutôt dans l'espoir d'être écoutés, lus et entendus
Comme votre propre blog qui subsiste sur ce site je supposes !
Dans quel but ?
C'est très simple : me sentir moins seul...
Et il faut bien réussir à l'avouer, toutes mes poésies
Même si assez facile à écrire dans l'ensemble (grâce à mon talent pour l'écriture)
Sont de plus en plus difficiles à être postés...
Surtout quand on a le sentiment de ne pas être écoutés et partagés...
Et par un état de grâce, je vous fais par de cette grâce ...
So beautiful, so mysterious...
Simple
Efficace
Rapide
Et émotive
Les initiales d'une obsession qui me prend au cœur
Et c'est ce que je tentes d'écrire
de vous transmettre
Au travers le sujet de la gente féminine...
La thèse qui hante mon esprit depuis des lustres
Que "intimity" a tenté de vous transmettre par miette de pain
Mais la chose en devient très difficile quand il s'agit d'un sujet très sensible !
Pour ma psychologie et mon mode de vie...
Alors de manière simple, efficace, rapide et émotive je tentes de vous le dire !
Simple dans les gestes
Efficace dans le caractère
Rapide dans les paroles
Émotive dans leurs manières globales de nous prendre à la gorge
Elles ont ce pouvoir de la vie
du dénie
du rire
de transmettre leurs pensées les plus vives
leurs émotions les plus drôles
A présent, une poésie directement inspiré du film "le complexe du castor"
Un bon ami à ces cotés
Si l'on se sent seul, ou désemparé
Un ami serait le bienvenu pour venir apaiser notre souffrance
Malheureusement...
A cause de notre égo, ou fierté, nous refusons toutes approches humaines
Alors nous fuyons dans un chemin boueux
Qui ne fait que refléter la lune par des flaques d'eau, où règne une pluie diluvienne
La souffrance est si présente dans notre quotidien
Que l'on vit à ces cotés, 24 sur 24, 7 sur 7
Et l'esprit, ne connaissant plus que cette douleur
Au bout d'un moment, apprend à l'accepter, et non à la refuser
Par espoir de l'instinct de survie, et désespoir de l'esprit
Alors né une étrange mais attachante histoire d'amour entre ces deux êtres
Une histoire d'amour qui reflète les plus mauvais cotés d'un couple
Entre disputes pour haine envers l'autre
Mais qui transforment malgré tous cela
En doux et mélancolique petit baisé dans le cou
Et petit à petit, alors que la douleur est là
L'esprit l'accepte comme ami de toujours
Omniprésent et fidèle
Et partage les douleurs que l'esprit ressent
Grace à une sorte d'état schizophrène de l’être
Un étrange compagnon de route...
Et par une douleur qui n'est plus refusé
Mais accepté...
Une simple acceptation de sa condition de vie
Un simple jeune adulte subissant cette douleur au quotidien
Et qui ressent ce besoin irrépressible
De construire de la poésie
Afin de transformer cette douleur, en paisible et attachant mot pour l'esprit
Alors le "il" se transforme en "je"
Où je ne vois plus de douleur, mais ce compagnon de route
Qui vit et qui respire
Qui ne fait pas ces besoins au toilette comme tous êtres humains
Mais qui le fait grâce au mot
Que son compagnon être humain couche à sa place
Et vous les retranscris, afin que vous sachiez que je suis toujours là
Tour de magie de l'esprit
Tu y vois toi
Un reflet qui te fait effet
Cela se reflète en toi
Et te fait voir 1000 merveilles
Tes nuits en sont même inondées
De cauchemars ou de rêves
Il en devient même difficile d'y voir claire
Elle est déjà effacée de ta personnalité
Même si sont existence ta changé
Un regard d'or sur l'or
Le silence d'argent qu'elle ta enseigné
Mais que tu n'as pas voulu écouté
A présent il fait effet...
Et tu te dis alors que si tu l'as revoyais
Ton cerveau l'a reconnaitrais comme son reflet...
Et alors il retrouverait ce bout de personnalité perdu
Dans tes rêves et tes cauchemars, où tu y vois tes pires changements
Un petit aperçu de ce que tu seras
Ton cerveau en a déjà eu un petit aperçu...
Et alors qu'il ne se dit pas près, il en est tout de même affecté
Là où ton égo est à l'abandon, tout tremblant par la déraison
Parce que ce qu'il a refusé de voir, est à présent là...
Alors la honte et le désespoir pour les dépressifs
La joie et la compréhension pour les plus heureux
Ce transforme en une personne
Un changement si infime dans ta personnalité
Que cela en affecte tout ton être
Et alors tu en deviens malgré toi, ce que ton reflet t'avait fait voir
Et qui t'avait fait croire que tout cela n'en étais qu'illusoire
Cela touche le monde
Cela te prend aux tripes
Te fait réfléchir sur l'avenir
Tu te demandes si tu n'as pas d'autres solutions
Parce que ce choix est tellement abscond...
Et il en devient tellement difficile de faire face à ce que tu aurais pu devenir
L'autre solution te terrifie tellement
Ta conscience est déjà si bien placée sur les rails de la vie
Qu'il en devient difficile de faire un choix
Mais tu n'as malheureusement plus d'autres choix
Le changement est déjà en toi...
Et le temps que tu te retournes, ton autre toi est déjà bien loin
Et quoique tu tente de faire pour le rattraper
Il est déjà au loin
Alors tu te demande si tout ceci est une si bonne idée
Tu en deviens même philosophe
Pendant le travail, alors que tu arrives en retard
Ou en cours, sur le retour d'un réveil difficile
Cela t'affecte au plus au point !
Tu en ressens ces effets sur ta psychologie, ta physiologie
Surtout lorsque ta conscience a déjà subis un reboot
Comme un ordinateur que l'on a redémarré après avoir effacé tous ces programmes
Le changement est-il une si bonne idée ?
Après tout, ton entourage en souffre
Ils en subissent les effets, et te demande, se demande si quelque chose te fait souffrir
Mais c'est tout simplement cette personnalité qui te fait changer
Ces nouvelles émotions que tu as ressentis jadis qui font effets
Et alors tu te dis que c'est l'évolution
Et que cela touche le monde
Face à face
L'idée qui me vient est cette idée
Assis à cette place
Place à la poésie et à l'oublie
Soi même s'oublier pour écrire par démesure
Je ne peux m'empêcher de penser à ces doigts qui s'agitent
Une agitation qui m'entoure et qui me rend poète pour les aires
L'air qui m'entoure me contamine...
... Et me rend mon âme
Perdition, souffrance, outrance d'une douleur qui s'habille en smiley
Tristounet, sourire au nez
Reflet d'un clown qui me donne matière à penser
A pleurer pour mes larmes en perte de pleur qui rendent l'âme
J'en oublie cette honte qui me fait front
Pour ne plus penser qu'à ce plaisir onirique qui m'accompagne partout où je vais
Qui me rie au nez chaque fois que j'ai le dos tourné
Mais je ne me laisserai plus faire
La rage qui monte en moi me reconnait désormais...
Cette incompréhension qui régnait comme un dragon
Se ridiculise face à cette personnalité qui retrouve ces marques
Le Bougee Monster qui me terrifiait, caché sous mon oreiller
Devient aussi obsolète que le plaisir du sexe
Aussi désuète que cette masturbation en solitaire
A présent, plus que moi et le monstre qui me hantée
Face à face
Larme qui coule
Émotions qui trouvent leurs marques
Personnalité qui défigure mon envie d'exister
Parce qu'à présent je vis plus loin que la panique, qui me rendait tout fébrile
Mais l'histoire ne fait que commencer...
L'idée qui me vient est cette idée
Assis à cette place
Place à la poésie et à l'oublie
Soi même s'oublier pour écrire par démesure
Je ne peux m'empêcher de penser à ces doigts qui s'agitent
Une agitation qui m'entoure et qui me rend poète pour les aires
L'air qui m'entoure me contamine...
... Et me rend mon âme
Perdition, souffrance, outrance d'une douleur qui s'habille en smiley
Tristounet, sourire au nez
Reflet d'un clown qui me donne matière à penser
A pleurer pour mes larmes en perte de pleur qui rendent l'âme
J'en oublie cette honte qui me fait front
Pour ne plus penser qu'à ce plaisir onirique qui m'accompagne partout où je vais
Qui me rie au nez chaque fois que j'ai le dos tourné
Mais je ne me laisserai plus faire
La rage qui monte en moi me reconnait désormais...
Cette incompréhension qui régnait comme un dragon
Se ridiculise face à cette personnalité qui retrouve ces marques
Le Bougee Monster qui me terrifiait, caché sous mon oreiller
Devient aussi obsolète que le plaisir du sexe
Aussi désuète que cette masturbation en solitaire
A présent, plus que moi et le monstre qui me hantée
Face à face
Larme qui coule
Émotions qui trouvent leurs marques
Personnalité qui défigure mon envie d'exister
Parce qu'à présent je vis plus loin que la panique, qui me rendait tout fébrile
Mais l'histoire ne fait que commencer...
Par un état de grâce
Le plus important est là...
Ce besoin d'amour et d'affection
Ne peut se renier ou être ignorer
L'humanité n'a pas était fait ainsi !
Exigé une marque d'affection
Une représentation de l'affection
Un baiser
Un long mot derrière l'oreille (et oui, je suis un grand romantique !)
Au final, ce qui compte réellement
Ce n'est pas la marque d'affection
Mais la présence d'un être à ces cotés
Afin d'échanger ces sourires et rires, ces pleurs et rancœurs
Ce que l'on demande
C'est un regard qui nous fasse passer pour des êtres humains
Et non des robots habillés de nos émotions...
Mais pour en revenir à moi (c'est bien pour cela que nous sommes là!)
Ce que je demande, c'est éliminer ce qui est faux
Éliminer ce qui nous fait passer pour des robots
Pour pouvoir ce rappeler que nos souvenirs
Par l'émotion que nous avons ressentie
N'ont pas été véhiculés par des fils électriques
Mais transmis par onde de choc !
Une émotion condamnée au choc de l'échange
Tellement l'échange a disparu de notre époque !
Et que je tente de ramener à la vie en créant des poésies à tour de bras...
Comme Damon Lindelof le faisait au travers sa série, Lost...
Dans l'espoir d'éveillé un jour les consciences...
Et enfin de compte, après toutes ces lignes à tenter de vous expliquer le fin fond de ma pensée
Ce qui n'a pas été évident !
Étant donné les 1000 idées, mots et émotions qui me hantent l'esprit !
C'est avant tout d'accepter que je suis comme vous :
- Être humain de chair et de sang
- Qui a besoin de commentaires pour subsister
Non pas dans l'espoir de gonfler ma cote de popularité
Parce que ça, je dois vous le dire, j'en ai strictement rien à faire ! ()
Mais plutôt dans l'espoir d'être écoutés, lus et entendus
Comme votre propre blog qui subsiste sur ce site je supposes !
Dans quel but ?
C'est très simple : me sentir moins seul...
Et il faut bien réussir à l'avouer, toutes mes poésies
Même si assez facile à écrire dans l'ensemble (grâce à mon talent pour l'écriture)
Sont de plus en plus difficiles à être postés...
Surtout quand on a le sentiment de ne pas être écoutés et partagés...
Et par un état de grâce, je vous fais par de cette grâce ...
So beautiful, so mysterious...
Simple
Efficace
Rapide
Et émotive
Les initiales d'une obsession qui me prend au cœur
Et c'est ce que je tentes d'écrire
de vous transmettre
Au travers le sujet de la gente féminine...
La thèse qui hante mon esprit depuis des lustres
Que "intimity" a tenté de vous transmettre par miette de pain
Mais la chose en devient très difficile quand il s'agit d'un sujet très sensible !
Pour ma psychologie et mon mode de vie...
Alors de manière simple, efficace, rapide et émotive je tentes de vous le dire !
Simple dans les gestes
Efficace dans le caractère
Rapide dans les paroles
Émotive dans leurs manières globales de nous prendre à la gorge
Elles ont ce pouvoir de la vie
du dénie
du rire
de transmettre leurs pensées les plus vives
leurs émotions les plus drôles
A présent, une poésie directement inspiré du film "le complexe du castor"
Un bon ami à ces cotés
Si l'on se sent seul, ou désemparé
Un ami serait le bienvenu pour venir apaiser notre souffrance
Malheureusement...
A cause de notre égo, ou fierté, nous refusons toutes approches humaines
Alors nous fuyons dans un chemin boueux
Qui ne fait que refléter la lune par des flaques d'eau, où règne une pluie diluvienne
La souffrance est si présente dans notre quotidien
Que l'on vit à ces cotés, 24 sur 24, 7 sur 7
Et l'esprit, ne connaissant plus que cette douleur
Au bout d'un moment, apprend à l'accepter, et non à la refuser
Par espoir de l'instinct de survie, et désespoir de l'esprit
Alors né une étrange mais attachante histoire d'amour entre ces deux êtres
Une histoire d'amour qui reflète les plus mauvais cotés d'un couple
Entre disputes pour haine envers l'autre
Mais qui transforment malgré tous cela
En doux et mélancolique petit baisé dans le cou
Et petit à petit, alors que la douleur est là
L'esprit l'accepte comme ami de toujours
Omniprésent et fidèle
Et partage les douleurs que l'esprit ressent
Grace à une sorte d'état schizophrène de l’être
Un étrange compagnon de route...
Et par une douleur qui n'est plus refusé
Mais accepté...
Une simple acceptation de sa condition de vie
Un simple jeune adulte subissant cette douleur au quotidien
Et qui ressent ce besoin irrépressible
De construire de la poésie
Afin de transformer cette douleur, en paisible et attachant mot pour l'esprit
Alors le "il" se transforme en "je"
Où je ne vois plus de douleur, mais ce compagnon de route
Qui vit et qui respire
Qui ne fait pas ces besoins au toilette comme tous êtres humains
Mais qui le fait grâce au mot
Que son compagnon être humain couche à sa place
Et vous les retranscris, afin que vous sachiez que je suis toujours là
Page 2 sur 2 • 1, 2
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum