Bloody Rain ^
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Bloody Rain ^
Salut tout le monde, bon ça fait un baille, mais je m'y remet. J'éspère que ça vous plaira. Laissez vos coms !
CHAPITRE 4 : Levé de rideau.
- BLOODY RAIN -
CHAPITRE 1 : Lune de miel.Il pleut depuis plus de deux jours sur Sacramento. Le ciel est noir, et la pleine lune est cachée par d'énormes nuages. Le sénateur Robert Bargson et sa cinquième femme avaient prévu de passer leur lune de miel dans cette « magnifique ville ». C'était du moins ce que leur avaient dit leurs amis. Ils n'avaient eu que pluie et orage pendant une semaine et le lendemain, ils auraient dût rentrer à New-York. Pourtant, à cette heure-ci, monsieur Bargson était couché dans une sombre ruelle, une balle dans la tête et trempé par la pluie, sa femme, elle, s'était volatilisé, un seul indice restait sur le lieu du crime, un as de trèfle sanglant.
Jane reçu un appel de Lisbon tôt ce matin là pour le prévenir qu'ils avaient été mis de toute urgence sur l'affaire Bargson.
-Bon, la victime s'appelle Robert Bargson, sa femme à été kidnappé et les ravisseurs se sont apparemment débarrassé du mari. On a retrouvé un as de trèfle presque totalement effacé sur le mari.
-Un as de trèfle ? Lisbon ?
-Oui, le ravisseur a pris le temps de dessiner un as de trèfle sur le front de la victime avec son propre sang avant de s'enfuir avec la femme.
-Bien j'arrive.
Jane monta rapidement dans sa DS et se rendit le plus vite possible sur les lieux du crime. Ne supportant pas la pluie, il demanda à Lisbon de faire enlever le corps pour pouvoir jeter un premier coup d’œil plus au sec. Elle y consenti et ils se mirent à l'abri.
-Un sénateur... ce n'est pas sa première femme n'est-ce pas ? Je dirai que ce n'est as non plus la deuxième !
-La cinquième Jane, vous voulez bien nous donner votre avis ?
-Personnellement je trouve ça bizarre mais chacun son truc...
-Je vous parle du meurtre Jane !
-Oh.... ah oui, le monsieur que voici connaissait la victime. Et le petit dessin sur son front laisse supposer qu'on a affaire à un metteur en scène, dit-il en se levant et en se dirigeant vers sa voiture.
-Où allez-vous Jane, demanda Lisbon énervée.
-Au casino !
Son téléphone interrompit sa marche et il s'arrêta au niveau de la portière de sa voiture. Il sortit le téléphone de sa poche et décrocha.
-Oui ?
-Ne vous avisez pas d'entrer dans ce casino monsieur Jane ou la dame mourra et la prochaine victime sera désignée. Ne prévenez aucun membre de votre équipe de cet appel. Et souvenez-vous, la prospérité, monsieur Jane, est le lien de l'amour !
-Shakespeare, Le Conte d'hiver. Que voulez-vous ?
-Leur lien, déclara l'inconnu en raccrochant.
Jane se redressa, Van Pelt arriva derrière lui, lui demandant ce qu'il se passait. Rien, tout allait très bien se dit-il à lui même, ignorant Van Pelt. Il monta dans sa voiture et démarra. Il avait bien affaire à un metteur en scène, mais peut-être était-ce à prendre au sens propre.
CHAPITRE 2 : IndicesJane reçu un appel de Lisbon tôt ce matin là pour le prévenir qu'ils avaient été mis de toute urgence sur l'affaire Bargson.
-Bon, la victime s'appelle Robert Bargson, sa femme à été kidnappé et les ravisseurs se sont apparemment débarrassé du mari. On a retrouvé un as de trèfle presque totalement effacé sur le mari.
-Un as de trèfle ? Lisbon ?
-Oui, le ravisseur a pris le temps de dessiner un as de trèfle sur le front de la victime avec son propre sang avant de s'enfuir avec la femme.
-Bien j'arrive.
Jane monta rapidement dans sa DS et se rendit le plus vite possible sur les lieux du crime. Ne supportant pas la pluie, il demanda à Lisbon de faire enlever le corps pour pouvoir jeter un premier coup d’œil plus au sec. Elle y consenti et ils se mirent à l'abri.
-Un sénateur... ce n'est pas sa première femme n'est-ce pas ? Je dirai que ce n'est as non plus la deuxième !
-La cinquième Jane, vous voulez bien nous donner votre avis ?
-Personnellement je trouve ça bizarre mais chacun son truc...
-Je vous parle du meurtre Jane !
-Oh.... ah oui, le monsieur que voici connaissait la victime. Et le petit dessin sur son front laisse supposer qu'on a affaire à un metteur en scène, dit-il en se levant et en se dirigeant vers sa voiture.
-Où allez-vous Jane, demanda Lisbon énervée.
-Au casino !
Son téléphone interrompit sa marche et il s'arrêta au niveau de la portière de sa voiture. Il sortit le téléphone de sa poche et décrocha.
-Oui ?
-Ne vous avisez pas d'entrer dans ce casino monsieur Jane ou la dame mourra et la prochaine victime sera désignée. Ne prévenez aucun membre de votre équipe de cet appel. Et souvenez-vous, la prospérité, monsieur Jane, est le lien de l'amour !
-Shakespeare, Le Conte d'hiver. Que voulez-vous ?
-Leur lien, déclara l'inconnu en raccrochant.
Jane se redressa, Van Pelt arriva derrière lui, lui demandant ce qu'il se passait. Rien, tout allait très bien se dit-il à lui même, ignorant Van Pelt. Il monta dans sa voiture et démarra. Il avait bien affaire à un metteur en scène, mais peut-être était-ce à prendre au sens propre.
Jane était finalement rentré au CBI à l'étonnement de toute l'équipe. Lisbon ne lui avait même pas demandé ce qu'il se passait et Jane semblait ne rien vouloir dire non plus. Elle n'aimait pas ça mais savait qu'il était comme ça, ce qu'elle – même si c'était difficile à admettre – aimait chez lui. Il s'était couché sur son canapé et était resté pensif là, sans bouger. Il fallut qu'un message fasse vibrer son téléphone portable pour qu'il réagisse enfin. Lisbon le fixa pour tenter d'apercevoir la moindre émotion, mais c'était Jane ! S'il n'avait rien voulu dire avant, ils ne sauraient rien sur ce qui l'avait plongé dans le silence. Jane avait son téléphone en main et téléchargeait en ce moment même le MMS que lui avait envoyé le ravisseur à l'instant, il ne savait pas trop a quoi s'attendre le message en accompagnement disait seulement « Le lien va se briser, réfléchissez ». Le téléchargement arriva enfin à cent pour cent, Jane eu un léger soubresaut lorsqu'il vit l'image, mais pas assez léger pour Lisbon.
-Jane, qui a-t-il ?
-Euh rien, il semblerait que ma banque ai fait une erreur dans mes comptes. Ils viennent de m'envoyer un message pour me dire de venir le plus vite possible.
Il mentait bien !
-Vous n'allez pas... Jane !
-Désolé Lisbon, dit-il en se levant, je dois y aller, je suis sûr que vous y arriverez sans moi !
Lisbon resta là incrédule face à un Jane qu'elle ne reconnaissait pas. Elle hésita puis tout à coup déclara « Rigsby, Cho, suivez le, mais discrètement hein, c'est Jane ! ». Celui-ci était déjà dans l’ascenseur, il regardait toujours son téléphone et cette image, si violente. Il pouvait en effet y voir la charmante madame Bargson, attachée comme un animal de boucherie, par les jambes et nue. Mais le pire était sans doute la marque sur son ventre, gravée dans la peau de la victime, un petit pique, sûrement un as encore qui ne laissait présager rien de bon à la victime qui n'avait pas les yeux bandés et qui pourrait très facilement reconnaître son agresseur. La porte de l'ascenseur s'ouvrit, Jane en descendit, bousculé par un homme qu'il ne connaissait pas, celui-ci s'excusa et s’engouffra dans l'ascenseur, il sourit à Jane et les portes se refermèrent. Jane s'arrêta un instant, qui pouvait être cet homme ? Il y pensa quelque secondes seulement et s'en alla vers sa voiture. Il monta et démarra, direction la Banque of America de Sacramento.
Il roulait depuis quelque minutes lorsqu'il reçu un nouveau message. « Vous semblez avoir compris ce que je voulais ! Le compte de monsieur Bargson est le 23S2689652364JH48, sont code de sécurité je vous le donnerai le moment venu. En attendant, c'est avec l'amorce d'un mensonge que l'on pêche une carpe de vérité, et vous savez monsieur Jane qu'il ne faut pas écouté ceux qui nous paraissent plus fous que nous ! » Dans la foulé il reçu un MMS et cette fois la charmante madame Bargson n'était plus, du moins sa tête n'était plus. Un deuxième MMS arriva et Jane dut s'arrêter pour ne pas provoquer d'accident. Sur la photo cette fois on pouvait voir Lisbon dans son bureau, et une main au premier plan tenant un as de cœur. « Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit, tenez-vous vraiment à elle monsieur Jane ? » accompagnait la photo. Jane avait les larmes aux yeux, comment lui avait-il put se faire prendre au piège comme ça, il avait suivi ce dingue qui l’humiliait en citant Shakespeare et maintenant il serait le seul à pouvoir aider Lisbon.
CHAPITRE 3 : Tel est prit qui croyait prendre-Jane, qui a-t-il ?
-Euh rien, il semblerait que ma banque ai fait une erreur dans mes comptes. Ils viennent de m'envoyer un message pour me dire de venir le plus vite possible.
Il mentait bien !
-Vous n'allez pas... Jane !
-Désolé Lisbon, dit-il en se levant, je dois y aller, je suis sûr que vous y arriverez sans moi !
Lisbon resta là incrédule face à un Jane qu'elle ne reconnaissait pas. Elle hésita puis tout à coup déclara « Rigsby, Cho, suivez le, mais discrètement hein, c'est Jane ! ». Celui-ci était déjà dans l’ascenseur, il regardait toujours son téléphone et cette image, si violente. Il pouvait en effet y voir la charmante madame Bargson, attachée comme un animal de boucherie, par les jambes et nue. Mais le pire était sans doute la marque sur son ventre, gravée dans la peau de la victime, un petit pique, sûrement un as encore qui ne laissait présager rien de bon à la victime qui n'avait pas les yeux bandés et qui pourrait très facilement reconnaître son agresseur. La porte de l'ascenseur s'ouvrit, Jane en descendit, bousculé par un homme qu'il ne connaissait pas, celui-ci s'excusa et s’engouffra dans l'ascenseur, il sourit à Jane et les portes se refermèrent. Jane s'arrêta un instant, qui pouvait être cet homme ? Il y pensa quelque secondes seulement et s'en alla vers sa voiture. Il monta et démarra, direction la Banque of America de Sacramento.
Il roulait depuis quelque minutes lorsqu'il reçu un nouveau message. « Vous semblez avoir compris ce que je voulais ! Le compte de monsieur Bargson est le 23S2689652364JH48, sont code de sécurité je vous le donnerai le moment venu. En attendant, c'est avec l'amorce d'un mensonge que l'on pêche une carpe de vérité, et vous savez monsieur Jane qu'il ne faut pas écouté ceux qui nous paraissent plus fous que nous ! » Dans la foulé il reçu un MMS et cette fois la charmante madame Bargson n'était plus, du moins sa tête n'était plus. Un deuxième MMS arriva et Jane dut s'arrêter pour ne pas provoquer d'accident. Sur la photo cette fois on pouvait voir Lisbon dans son bureau, et une main au premier plan tenant un as de cœur. « Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit, tenez-vous vraiment à elle monsieur Jane ? » accompagnait la photo. Jane avait les larmes aux yeux, comment lui avait-il put se faire prendre au piège comme ça, il avait suivi ce dingue qui l’humiliait en citant Shakespeare et maintenant il serait le seul à pouvoir aider Lisbon.
Jane avait repéré Cho et Rigsby depuis un moment déjà et dès qu'il eu vu les messages il les interpella. Rigsby tourna la tête, faisant croire que ce n'était pas lui mais Cho c'était déjà arrêté sur le bord de la route.
-Comment t'as fait pour....
-Lisbon est en danger, où est-elle ?
-Elle nous a dit de te suivre et elle est resté au bureau, mais qu'est ce qui se passe ?
-On y va je vous explique en route !
Jane laissa sa voiture là et monta dans le van, Cho mit la sirène en route et ils se lancèrent en direction du bureau. Jane semblait totalement chamboulé, il repensait à la phrase de Shakespeare « Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit », il ne devait pas se laisser aller en émotion, il aimait beaucoup Lisbon mais ça ne devait pas faire passer la résolution du cas au second plan.
-Jane, explique, lâcha Cho avec sa délicatesse habituelle.
-L'assassin de Bargson, il s'est servi de moi, il m'a éloigné en me faisant croire que je pourrais résoudre le cas Bargson en me rendant à la banque, pendant ce temps il en a profité pour entrer au CBI... l'ascenseur !
-Quoi ? Jane t'es sûr que ça va ?
-Il est monté quand je suis descendu, un homme m'a bousculé, il est monté dans l'ascenseur quand je suis sorti ! Il y est peut-être encore !
-Ok, je préviens le bureau de fermer les issue !
Rigsby prit son téléphone et appela le CBI tandis que Jane s'enfonça dans son siège, il se sentait fautif, mais il ne devait pas baisser les bras, il réfléchissait, que voulait le ravisseur, que ferait-il à Lisbon ? Était-il seul ? Il ne savait rien et pourtant le ravisseur lui paraissait déjà très proche. Rigsby lui fit savoir que le CBI venait d'être bloqué par la sécurité, s'ils étaient encore à l'intérieur, ils ne pourraient pas sortir. Le van arriva rapidement dans la cour intérieure du CBI, elle était déserte et seuls les agents de sécurité tournaient encore, cherchant quelque personnes suspectes. Rigsby ouvrit la voie et ils purent entrer, ils se retrouvèrent rapidement devant la porte du bureau de Lisbon dont tous les stores étaient fermés.
-Grace tu n'as pas été prévenue ? Où est Lisbon ?
-Je... quoi ? Je ne sais pas, elle était dans son bureau la dernière fois que je l'ai vu, tu l'as mise en colère apparemment.
-Elle n'est pas sortie, continua Jane ?
-Je ne sais pas !
Les stores clos on ne voyait pas à l'intérieur du bureau, Jane était devant la porte, cette scène lui rappelait la fameuse nuit où il avait découvert sa femme et sa fille, morte, assassinées violemment par John le Rouge... il chassa ses pensées et se concentra sur l'instant, priant pour que Lisbon soit encore là et surtout vivante ! Il posa la main sur la poignée glacée, il transpirait... le smiley sur le mur, le sang... il appuya sur la poignée... sa fille, l'odeur de savon... et entra. Il faisait sombre, tout était fermé, il était déjà passé, Lisbon n'était plus là. Il fixa le mur devant lui, soulagé de ne pas voir un smiley rouge sur le mur... ce n'était pas John le Rouge après tout ! Il s'avança vers le bureau, les larmes aux yeux, une feuille de papier était là avec un mot. « Vous devez vous demander comment j'ai fait n'est-ce pas ? Je vous expliquerai cela un de ces jours. Maintenant ce que je veux : vous rencontrer. Monsieur Jane, ne croyez pas que je sois votre ennemi, j'ai tout suivi, que ce soit votre course contre le fameux John le Rouge ou vos enquêtes autres, je sais tout de vous, je sais ce que vous faites n'importe quand et je sais aussi qu'à l'instant ou vous lisez ceci vous vous dites... qui est cet enfoiré ? Ne vous en faites pas, vous le saurez bien assez tôt. Gémir sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre, et vous le savez mieux que quiconque, votre collègue est très charmante et réagit plutôt bien à l'hypnose ! Maintenant, envoyez moi un message et je vous dirai ou nous nous rencontrerons, et venez seul ou l'agent Lisbon ne vivra pas très longtemps. Mais attention, n'essayez pas de me doubler, que votre propre discernement soit votre guide ! » Avec la lettre l'inconnu avait laissé la carte à jouer sur laquelle se trouvait un as de cœur. Jane se retourna et fixa ses trois collègues inquiets, il pouvait lire en eux comme des livres ouverts et savait que ce qu'il leur dirait ensuite serait encore plus dur à entendre.
-Il veut me rencontrer, seul, je dois y aller.
-Jane, il va te tuer ou pire, déclara Rigsby affolé.
-Pire, demanda Van Pelt, qu'est-ce qui peut être pire ?
-Qu'il tue Lisbon.
-Oui Cho, répondit Jane.
Cho semblait garder son calme comme d'habitude et il comprenait Jane, maintenant, il ne savait pas s'il devait soutenir Jane jusqu'au bout.
-Je lui envoi le message, ne me suivez pas, il sait tout constamment. Je ne sais pas comment il fait, mais il me voit en permanence.
Jane prit son téléphone et envoya le fameux message. La réponse ne se fit pas attendre, Jane reçu un MMS sur lequel on voyait Lisbon. Elle paraissait parfaitement consciente, les yeux ouverts, elle regardait droit devant. Mais l'hypnose retirait toute émotion de son visage, Jane avait peur de ce qu'il voyait et de ce qui risquait de se passer, mais il devait le faire. Sous la photo, il pût lire une adresse : Fairytale Town, William Land Park, Sacramento. Le Fairytale Town était un petit théâtre de marionnettes, cet homme était vraiment dingue ! Il semblait projeter cette scène de manipulation dans les marionnettes, et Jane était l'acteur principal !
-Comment t'as fait pour....
-Lisbon est en danger, où est-elle ?
-Elle nous a dit de te suivre et elle est resté au bureau, mais qu'est ce qui se passe ?
-On y va je vous explique en route !
Jane laissa sa voiture là et monta dans le van, Cho mit la sirène en route et ils se lancèrent en direction du bureau. Jane semblait totalement chamboulé, il repensait à la phrase de Shakespeare « Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit », il ne devait pas se laisser aller en émotion, il aimait beaucoup Lisbon mais ça ne devait pas faire passer la résolution du cas au second plan.
-Jane, explique, lâcha Cho avec sa délicatesse habituelle.
-L'assassin de Bargson, il s'est servi de moi, il m'a éloigné en me faisant croire que je pourrais résoudre le cas Bargson en me rendant à la banque, pendant ce temps il en a profité pour entrer au CBI... l'ascenseur !
-Quoi ? Jane t'es sûr que ça va ?
-Il est monté quand je suis descendu, un homme m'a bousculé, il est monté dans l'ascenseur quand je suis sorti ! Il y est peut-être encore !
-Ok, je préviens le bureau de fermer les issue !
Rigsby prit son téléphone et appela le CBI tandis que Jane s'enfonça dans son siège, il se sentait fautif, mais il ne devait pas baisser les bras, il réfléchissait, que voulait le ravisseur, que ferait-il à Lisbon ? Était-il seul ? Il ne savait rien et pourtant le ravisseur lui paraissait déjà très proche. Rigsby lui fit savoir que le CBI venait d'être bloqué par la sécurité, s'ils étaient encore à l'intérieur, ils ne pourraient pas sortir. Le van arriva rapidement dans la cour intérieure du CBI, elle était déserte et seuls les agents de sécurité tournaient encore, cherchant quelque personnes suspectes. Rigsby ouvrit la voie et ils purent entrer, ils se retrouvèrent rapidement devant la porte du bureau de Lisbon dont tous les stores étaient fermés.
-Grace tu n'as pas été prévenue ? Où est Lisbon ?
-Je... quoi ? Je ne sais pas, elle était dans son bureau la dernière fois que je l'ai vu, tu l'as mise en colère apparemment.
-Elle n'est pas sortie, continua Jane ?
-Je ne sais pas !
Les stores clos on ne voyait pas à l'intérieur du bureau, Jane était devant la porte, cette scène lui rappelait la fameuse nuit où il avait découvert sa femme et sa fille, morte, assassinées violemment par John le Rouge... il chassa ses pensées et se concentra sur l'instant, priant pour que Lisbon soit encore là et surtout vivante ! Il posa la main sur la poignée glacée, il transpirait... le smiley sur le mur, le sang... il appuya sur la poignée... sa fille, l'odeur de savon... et entra. Il faisait sombre, tout était fermé, il était déjà passé, Lisbon n'était plus là. Il fixa le mur devant lui, soulagé de ne pas voir un smiley rouge sur le mur... ce n'était pas John le Rouge après tout ! Il s'avança vers le bureau, les larmes aux yeux, une feuille de papier était là avec un mot. « Vous devez vous demander comment j'ai fait n'est-ce pas ? Je vous expliquerai cela un de ces jours. Maintenant ce que je veux : vous rencontrer. Monsieur Jane, ne croyez pas que je sois votre ennemi, j'ai tout suivi, que ce soit votre course contre le fameux John le Rouge ou vos enquêtes autres, je sais tout de vous, je sais ce que vous faites n'importe quand et je sais aussi qu'à l'instant ou vous lisez ceci vous vous dites... qui est cet enfoiré ? Ne vous en faites pas, vous le saurez bien assez tôt. Gémir sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre, et vous le savez mieux que quiconque, votre collègue est très charmante et réagit plutôt bien à l'hypnose ! Maintenant, envoyez moi un message et je vous dirai ou nous nous rencontrerons, et venez seul ou l'agent Lisbon ne vivra pas très longtemps. Mais attention, n'essayez pas de me doubler, que votre propre discernement soit votre guide ! » Avec la lettre l'inconnu avait laissé la carte à jouer sur laquelle se trouvait un as de cœur. Jane se retourna et fixa ses trois collègues inquiets, il pouvait lire en eux comme des livres ouverts et savait que ce qu'il leur dirait ensuite serait encore plus dur à entendre.
-Il veut me rencontrer, seul, je dois y aller.
-Jane, il va te tuer ou pire, déclara Rigsby affolé.
-Pire, demanda Van Pelt, qu'est-ce qui peut être pire ?
-Qu'il tue Lisbon.
-Oui Cho, répondit Jane.
Cho semblait garder son calme comme d'habitude et il comprenait Jane, maintenant, il ne savait pas s'il devait soutenir Jane jusqu'au bout.
-Je lui envoi le message, ne me suivez pas, il sait tout constamment. Je ne sais pas comment il fait, mais il me voit en permanence.
Jane prit son téléphone et envoya le fameux message. La réponse ne se fit pas attendre, Jane reçu un MMS sur lequel on voyait Lisbon. Elle paraissait parfaitement consciente, les yeux ouverts, elle regardait droit devant. Mais l'hypnose retirait toute émotion de son visage, Jane avait peur de ce qu'il voyait et de ce qui risquait de se passer, mais il devait le faire. Sous la photo, il pût lire une adresse : Fairytale Town, William Land Park, Sacramento. Le Fairytale Town était un petit théâtre de marionnettes, cet homme était vraiment dingue ! Il semblait projeter cette scène de manipulation dans les marionnettes, et Jane était l'acteur principal !
CHAPITRE 4 : Levé de rideau.
Fairytale Town, le lieu de rendez-vous de tous les enfants du coins qui désirent voir des spectacles de marionnettes, Jane arriva à trois heures trente deux de l'après midi comme prévu dans un second message qui, en plus de lui préciser l'heure lui avait permis d'en savoir un peu plus sur l'individu. Il s'agissait d'après Jane d'un militaire ou ancien militaire, en effet, il donnait des ordres, sans aucun sujet ni aucune phrase complète lorsqu'il était pressé, et la précision de l'heure à trente deux minutes rappelait elle les cartes. Pourtant il semblait plus calme dans ses lettres, on aurait dit qu'il avait le trac, comme quelqu'un qui entre en scène.... quelqu'un qui s’apprête à jouer son dernier acte.
Jane suivit donc les instructions à la lettre et prit place au troisième rang comme convenu, il attendit le début du drame, car en effet, ce jour-là il s'agissait d'un drame pour adulte. L'inconnu lui avait dit : « ça vous plaira monsieur Jane ». Il prit le programme sur la chaise et lut le synopsis, pour résumer la pièce contait l'histoire d'un homme qui un soir, pris de folie et dirigé par des forces étranges tuait sa femme et sa fille. La similitude n'était pas un hasard, ce fou avait tout prévu, même la pièce avait été choisie pour rappeler à Jane ses souvenirs affreux, qui le hantaient toujours autant, qui l'empêchaient de dormir, que même la vengeance ne pourrait pas faire oublier. Il voulait faire craquer Jane, mais celui-ci résistait, il voulait le faire se sentir fautif, coupable de la mort de sa famille. Qui était ce monstre qui savait tout de sa vie ? Il tenta d'oublier ces pensées une nouvelle fois et se concentra sur la pièce, l'homme ne devrait plus tarder.
Le second acte allait se terminer, le père avait déjà tué la mère, le sang dessiné à la main sur le mur montrait l’extrême violence de la scène... le smiley rouge sang... la fille dormait déjà, elle n'avait que cinq ans, l'homme s'approcha du lit... l'odeur de savon, toujours... et la lumière s'éteignit dans un bruit de lame. Jane avait les larmes aux yeux, les gens applaudissaient. Il n'avait pas remarqué le petit homme qui s'était installé à côté de lui, caché derrière son journal, il n'était pas là pour la pièce, pourtant Jane lui prêta attention, quelque chose clochait chez cet homme, il... le journal ! Il pourrait reconnaître cette première page entre mille, le smiley dessiné sur le mur, il le revit un instant, ce journal il l'avait chassé des années durant, celui du lendemain du drame qui avait bouleversé sa vie. Aujourd'hui il réapparaissait, entre les mains de cet homme.
-Bonjour Patrick, je peux vous appeler Patrick, déclara-t-il d'une voix rauque de militaire.
-Humhum... oui, répondit Jane faiblement, où est-elle ?
-Chaque chose en son temps Patrick, d'abord c'est moi qui parle, mais avant tout laissez-moi me présenter, ou plutôt me présenter à nouveau, dit-il baissant son journal et laissant apparaître un visage vieillit par la guerre, Gregory Socks, vous vous souvenez ?
Du visage de Jane n'émanait aucune émotion, pourtant, il l'avait reconnu, cet homme il l'avait suivi pendant des mois, même des années, comment avait-il put passer à côté ? Il s'agissait d'un militaire accrocs aux cartes, mais il n'y jouait pas, il les faisait jouer dans des adaptations d'Alice au Pays des Merveilles, la reine de cœur était sa carte favorite, il l'a gardait en permanence sur lui, comme maintenant d'ailleurs. Il avait accepté de tenter de le soigner par l'hypnose... pour l'argent.
-Comme vous pouvez le voir vos soins n'ont que très peu fonctionné, par contre j'ai beaucoup appris de vos méthodes, je sais tout de vous et je dois dire, sans me vanter que je suis votre égale.
-Vous êtes méprisable, et surtout vous êtes mauvais !
-Mais vous aussi Patrick, après tout, ne m'aviez-vous pas fais croire que je n'aurais plus cette manie pour la mise en scène grâce à vos séances d'hypnoses ? Quand est-il maintenant, que pensez-vous de ma mise en scène ?
-Je ne suis pas comme vous.
-N'y a-t-i-il que vous qui vous importe, et l'agent Lisbon, votre chère et tendre, admettez-le Patrick, vous l'aimez et je vais vous l'enlever !
-Nous ne sommes pas dans un Shakespeare, monsieur Socks, vous perdrez !
-Oui, vous avez remarqué mon petit penchant pour Shakespeare ! Il est vrai que je m'y suis fait, après l'Irak, je me suis inscrit dans une troupe. Vous aussi vous aimez le théâtre n'est-ce pas, nous nous ressemblons Patrick, plus que vous ne le voulez admettre.
-Le fou se croit sage et le sage se reconnaît fou, déclara Jane sur un ton narquois, il semble que vous ne soyez pas le plus fou des deux après tout, mais le plus sage.
L'homme fixa Jane dans les yeux, il semblait ne pas avoir compris la tournure de la phrase, Jane reprenait l'avantage.
-Ne croyez pas que vous vous en tirerez, dites moi où elle est ?
-Haha ! Vous savez maintenant à qui vous avez à faire Patrick, et autre chose, dites aux hommes qui ont entendu notre conversation dans le micro qui est dans votre poche de veste que si je ne sors pas d'ici, Lisbon mourra.
Jane le regarda partir et glissa à Rigsby et Cho de laisser sortir Socks. Jane savait en effet à qui il avait à faire, mais il ne savait toujours pas ce qu'il voulait exactement, si ce n'était se venger.
Jane suivit donc les instructions à la lettre et prit place au troisième rang comme convenu, il attendit le début du drame, car en effet, ce jour-là il s'agissait d'un drame pour adulte. L'inconnu lui avait dit : « ça vous plaira monsieur Jane ». Il prit le programme sur la chaise et lut le synopsis, pour résumer la pièce contait l'histoire d'un homme qui un soir, pris de folie et dirigé par des forces étranges tuait sa femme et sa fille. La similitude n'était pas un hasard, ce fou avait tout prévu, même la pièce avait été choisie pour rappeler à Jane ses souvenirs affreux, qui le hantaient toujours autant, qui l'empêchaient de dormir, que même la vengeance ne pourrait pas faire oublier. Il voulait faire craquer Jane, mais celui-ci résistait, il voulait le faire se sentir fautif, coupable de la mort de sa famille. Qui était ce monstre qui savait tout de sa vie ? Il tenta d'oublier ces pensées une nouvelle fois et se concentra sur la pièce, l'homme ne devrait plus tarder.
Le second acte allait se terminer, le père avait déjà tué la mère, le sang dessiné à la main sur le mur montrait l’extrême violence de la scène... le smiley rouge sang... la fille dormait déjà, elle n'avait que cinq ans, l'homme s'approcha du lit... l'odeur de savon, toujours... et la lumière s'éteignit dans un bruit de lame. Jane avait les larmes aux yeux, les gens applaudissaient. Il n'avait pas remarqué le petit homme qui s'était installé à côté de lui, caché derrière son journal, il n'était pas là pour la pièce, pourtant Jane lui prêta attention, quelque chose clochait chez cet homme, il... le journal ! Il pourrait reconnaître cette première page entre mille, le smiley dessiné sur le mur, il le revit un instant, ce journal il l'avait chassé des années durant, celui du lendemain du drame qui avait bouleversé sa vie. Aujourd'hui il réapparaissait, entre les mains de cet homme.
-Bonjour Patrick, je peux vous appeler Patrick, déclara-t-il d'une voix rauque de militaire.
-Humhum... oui, répondit Jane faiblement, où est-elle ?
-Chaque chose en son temps Patrick, d'abord c'est moi qui parle, mais avant tout laissez-moi me présenter, ou plutôt me présenter à nouveau, dit-il baissant son journal et laissant apparaître un visage vieillit par la guerre, Gregory Socks, vous vous souvenez ?
Du visage de Jane n'émanait aucune émotion, pourtant, il l'avait reconnu, cet homme il l'avait suivi pendant des mois, même des années, comment avait-il put passer à côté ? Il s'agissait d'un militaire accrocs aux cartes, mais il n'y jouait pas, il les faisait jouer dans des adaptations d'Alice au Pays des Merveilles, la reine de cœur était sa carte favorite, il l'a gardait en permanence sur lui, comme maintenant d'ailleurs. Il avait accepté de tenter de le soigner par l'hypnose... pour l'argent.
-Comme vous pouvez le voir vos soins n'ont que très peu fonctionné, par contre j'ai beaucoup appris de vos méthodes, je sais tout de vous et je dois dire, sans me vanter que je suis votre égale.
-Vous êtes méprisable, et surtout vous êtes mauvais !
-Mais vous aussi Patrick, après tout, ne m'aviez-vous pas fais croire que je n'aurais plus cette manie pour la mise en scène grâce à vos séances d'hypnoses ? Quand est-il maintenant, que pensez-vous de ma mise en scène ?
-Je ne suis pas comme vous.
-N'y a-t-i-il que vous qui vous importe, et l'agent Lisbon, votre chère et tendre, admettez-le Patrick, vous l'aimez et je vais vous l'enlever !
-Nous ne sommes pas dans un Shakespeare, monsieur Socks, vous perdrez !
-Oui, vous avez remarqué mon petit penchant pour Shakespeare ! Il est vrai que je m'y suis fait, après l'Irak, je me suis inscrit dans une troupe. Vous aussi vous aimez le théâtre n'est-ce pas, nous nous ressemblons Patrick, plus que vous ne le voulez admettre.
-Le fou se croit sage et le sage se reconnaît fou, déclara Jane sur un ton narquois, il semble que vous ne soyez pas le plus fou des deux après tout, mais le plus sage.
L'homme fixa Jane dans les yeux, il semblait ne pas avoir compris la tournure de la phrase, Jane reprenait l'avantage.
-Ne croyez pas que vous vous en tirerez, dites moi où elle est ?
-Haha ! Vous savez maintenant à qui vous avez à faire Patrick, et autre chose, dites aux hommes qui ont entendu notre conversation dans le micro qui est dans votre poche de veste que si je ne sors pas d'ici, Lisbon mourra.
Jane le regarda partir et glissa à Rigsby et Cho de laisser sortir Socks. Jane savait en effet à qui il avait à faire, mais il ne savait toujours pas ce qu'il voulait exactement, si ce n'était se venger.
Dernière édition par jartro le Sam 19 Mai 2012 - 9:40, édité 3 fois
jartro- Distributeur de café
- Personnage préféré : RJ et PJ (Houaaa, en enlevant une barre au R...)
Loisirs : Regarder Mentalist, jeux-vidéo, lecture, voile...
Localisation : Ici ou là, mais toujours quelque part entre les deux.
Re: Bloody Rain ^
Chapitre 2 : Indices en ligne !
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Re: Bloody Rain ^
salut! dis-donc, tu démarres fort avec cette intrigue "à la carte"!
j'aime bcp les références à Shakespeare mais encore plus la mise en scène que ce malade tisse dans le seul but de piéger Jane.
je croise les doigts bien évidemment pour que notre Lisbon ne morfle pas trop quand même..hein promis?
" Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit, tenez-vous vraiment à elle monsieur Jane ? "
--> cette réplique est absolument grandiose, bravo à toi pour l'avoir intégrée aussi efficacement à ton récit!
VLS bien sûr et bravo à toi
j'aime bcp les références à Shakespeare mais encore plus la mise en scène que ce malade tisse dans le seul but de piéger Jane.
je croise les doigts bien évidemment pour que notre Lisbon ne morfle pas trop quand même..hein promis?
" Un peu de chagrin prouve beaucoup d'amour, mais beaucoup de chagrin montre trop peu d'esprit, tenez-vous vraiment à elle monsieur Jane ? "
--> cette réplique est absolument grandiose, bravo à toi pour l'avoir intégrée aussi efficacement à ton récit!
VLS bien sûr et bravo à toi
Calypsoh- Inspecteur de police
- Personnage préféré : alors ça c'est dur: j'aime les gamineries de Jane, la loyauté de Lisbon; le flegme de Cho; l'humour de Rigsby et la douceur de Van Pelt!!!
Localisation : à côté de Bruno Heller pour lui tenir la main lors de la rédaction des prochains épisodes!!
Re: Bloody Rain ^
CHAPITRE 3 : Tel est prit qui croyait prendre
EN LIGNE !
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jartro- Distributeur de café
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Re: Bloody Rain ^
Comment ai-je pu passer à côté de cette histoire
Le face à face entre ce "tueur aux cartes" et Jane promet d'être riche en rebondissements
J'aime la façon dont tu introduis des souvenirs du drame de Jane dans cette histoire
Qui est-il cet homme, comment fait-il pour pister Jane ?
Que va t-il se passer au théâtre de marionnettes :bounce: :bounce: :bounce:
Le face à face entre ce "tueur aux cartes" et Jane promet d'être riche en rebondissements
J'aime la façon dont tu introduis des souvenirs du drame de Jane dans cette histoire
Qui est-il cet homme, comment fait-il pour pister Jane ?
Que va t-il se passer au théâtre de marionnettes :bounce: :bounce: :bounce:
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Bloody Rain ^
Johel a écrit:Comment ai-je pu passer à côté de cette histoire
Le face à face entre ce "tueur aux cartes" et Jane promet d'être riche en rebondissements
J'aime la façon dont tu introduis des souvenirs du drame de Jane dans cette histoire
Qui est-il cet homme, comment fait-il pour pister Jane ?
Que va t-il se passer au théâtre de marionnettes :bounce: :bounce: :bounce:
je plussois et il me tarde de lire la suite :bounce: :bounce: :bounce:
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Bloody Rain ^
Chapitre 4 : Levé de rideau
EN LIGNE, merci pour les coms, ça fait plaisir.
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jartro- Distributeur de café
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