FANTASMES

nouvelle écrite avec l'aide précieuse de MARINE :

Wayne Rigsby somnolait face à ce rapport qu'il n'avait pas envie de rédiger lorsqu'il sentit son téléphone portable vibré dans la poche de sa veste, posée contre son siège.
La journée avait été particulièrement longue pour l'équipe de Lisbon : bloquée au bureau par la paperasse accumulée que Hightower leur avait demander de faire disparaître.
Le message venait de Grace qui lui demandé de la rejoindre en salle d'interrogatoire.
Il se leva sans un mot et partie faire ce qu'elle lui avait demandé, intrigué par ce texto.
Le jeune homme veilla à ne pas être vu.

Lorsqu'il entra dans la petite pièce, Grace était là, plus belle que jamais.
Elle avait déboutonné quelques attaches de son chemisier blanc et détachée ce chignon qui lui donnait l'air stricte.

Il s'approcha d'elle encore méfiant et mit ses mains sur les hanches de la jeune femme.
Elle l'embrassa langoureusement tout en faisant sauter les boutons de la chemise de son amant.
– « N'importe qui peut entrer... »
Elle en était tout aussi consciente : le C.B.I était une fourmilière rythmé par les allers et retours incessant du personnels, aucun bureau n'était disponible, il avait donc était très difficile pour elle de trouver un endroit calme où assouvir son fantasme secret.

Les intentions de Van Pelt étaient claires pour lui, mais il prenait des risques s'ils étaient surprit, surtout par leur patronne.
Il n'avait jamais parlé de ce fantasme, qu'ils partageaient sans se l'avouer.

Il se laissa convaincre, dégrafant les quelques boutons encore attachés du chemisier de sa compagne et la dirigea vers le mur situé à côté de la porte.
Il laissa ses mains parcourir le buste de sa compagne tandis que elle s’était calée contre la cloison
Aucun d’eux ne s’interdit de découvrir chaque centimètre carré du corps de l’autre comme si c’était la première fois.
Ils connaissaient l’odeur de leurs peaux par cœur mais ne se lassaient pas de s’en approcher.

Lisbon se demandait où tous deux avaient bien pu passer.
Cho affirma avoir vu Rigsby partir avec son portable, il avait dû recevoir un coup de fil important et préféré s'isoler pour y répondre.
Jane savait... Il savait où étaient ses deux collègues mais ne dit rien, il se contenta de faire un de ses sourires charmeurs dont il avait le secret.
Lorsque Lisbon le lui demanda, il nia toute implication dans la disparition mystérieuse de leurs agents.
A aucun moment elle n'aurait pensé qu'ils étaient ensemble; elle leur avait demandé d'être très discret dans leur liaison, interdite par le règlement du C.B.I.

Debout contre le mur, à peine déshabillés, le couple fit l'amour comme jamais ils ne l'avaient fait.
La voix proche de Hightower les fit tressaillir, elle n'était qu'à quelques mètres de la pièce où ils se trouvaient.
Ils attendirent qu'elle se soit éloignée pour reprendre leurs ébats.

Ne remarquant pas l'absence de deux d'entre eux, Hightower vint souhaiter bonne nuit à l'équipe avant de se dirigeai vers l'ascenseur.
Lisbon annonça, en se levant, que la journée avait été suffisamment longue pour eux et qu'il était tant qu'ils rentrent chez eux.

Les tourtereaux se rhabillaient chacun d'un côté de la pièce, comme s'ils avaient fauté.
Rigsby revint vers elle, mit ses mains sur son visage et l'embrassa avec passion.
Ses mains descendirent inconsciemment le long du buste de son amante, ne laissant passer aucune de ses courbes.
Son envie à elle était de recommencer, mais elle songea aux autres, qui devaient commencer à se poser des questions. Elle l'embrassa et quitta la salle d'interrogatoire, il fit de même quelques secondes plus tard.

Ils revinrent vers l'équipe, qui s'apprêtait à quitter les lieux, chacun d'un côté.
Lisbon avoua commencer à s'inquiéter.
Van Pelt montra la pince à cheveux qu'elle tenait dans la main, elle était partie à sa recherche après s'être rendu compte l'avoir perdu, Rigsby ne dit rien.
Jane leur adressa un petit sourire, que Cho & Lisbon ne remarqua pas.

Seul avec les tourtereaux dans l'ascenseur, Jane se contenta de leur adresser de petits sourires.
Rigsby eu alors la certitude qu'il savait ce qu'il s'était passé quelques minutes plus tôt.
Ils se souhaitèrent tous bonne nuit sur le parking et rentrèrent chacun chez eux.

Rigsby suivit Van Pelt sur la route qui l'a ramené chez elle.
Il se gara à côté d'elle sur le parking.
– « C'est pas ta route ! » lui lança t – elle en s'accoudant au bord de la vitre ouverte.
Il était en faite venu pour lui faire part de ses doutes, mais elle était persuader que personne ne savait rien, ils avaient fait suffisamment attention.
– « Tu montes ? » lui demanda – t – elle en lui ouvrant la portière.
Il déclina l'invitation, préférant dormir chez lui ce soir, car il était vraiment fatigué et elle aussi.
Elle insista tant qu'il finit par accepter.
Ne se souciant pas du fait qu'ils pouvaient être vu, il la prit dans ses bras, l'embrassa et lui répéta plusieurs fois qu'il l'aimait.

Grace sortie de la salle d'eau vêtue d'un tee – shirt et d'un slip en coton blanc alors que Wayne était en train d'installer le canapé sur lequel il allait dormir.
Elle l'interrompit pour lui retirer sa cravate, qu'elle laissa tomber à leurs pieds.
– « Tu es fatiguée et moi aussi ! » lui dit – il en essayant de se dégager de son étreinte.

Elle fit coucher sur le convertible et s'accroupis sur lui.
Tout en l'embrassant fougueusement, elle le déshabilla, avant de retirer son tee – shirt, sous lequel elle n'avait rien d'autre.
Grace avoua avoir été quelques peut frustrée de ne pas avoir pas totalement réaliser son fantasme lorsqu'ils étaient au bureau, elles aurait préféré qu'ils aient plus le temps de faire cela bien, dans les règles de l'art,

Dans les bras l’un de l’autres après avoir fait l’amour, Wayne chercha comment poser à Grace la question que lui se posait depuis leur escapade en salle d’interrogatoire
- « Je voulais savoir… »
La gêne rendait sa voix tremblante mais elle était toute ouie pour l’écouter.
Après avoir encore hésiter un peut, il posa sa question de but en blanc : il voulait savoir si elle avait d’autre fantasmes que ce qu’ils avaient déjà réalisé : certain qu’elle aurait peut – être essayer avec un ex.
Elle réalisa alors que c’était la première fois qu’ils parlaient de cela à cœur ouvert, de leurs ex et de leurs désirs.
La jeune femme sentie poindre la jalousie lorsque son amant évoqua son premier amour avec qui il avait tout appris, une dénommée Déborah.
Il la rassura qu’il était très heureux avec elle et qu’il ne changerait cela pour rien au monde.
Wayne constata alors que sa compagne s’était endormit dans ses bras.
Il releva le drap sur elle, posa la tête sur son épaule et s’endormit à son tour.

Le lendemain, Grace arriva au bureau quelques minutes après Jane, Lisbon & Cho était déjà là, Rigsby était passé se changer chez lui.
Elle alla vers le coin cuisine afin de se faire son traditionnel café.
– « Je fais du café... Tu en veux ? ».
Elle accepta mais ne manqua pas de lui demander, discrètement, pourquoi il était si gentil, ce matin.

Jane passa derrière elle l'air de rien alors que Rigsby venait d'arriver.
– « Je serais toi... Je vérifierai la caméra de surveillance de la salle d'interrogatoire... Pour être sur qu'elle était bien éteinte ! ».
Silencieusement, elle se leva de sa chaise et se dirigea vers le lieu de son étreinte de la veille, sous le regard étonné de ses trois autres collègues.
Grace venait de se souvenir que les caméras de surveillance du bâtiment tournées vingt – quatre heure sur vingt – quatre et étaient vérifiées et changées toutes les douze heures.

Lorsqu’elle entra dans la pièce, rien ne indiquer la présence d’une caméra, pas de signal.
Elle réalisa alors qu'il n'y avait pas ce genre d'équipement en salle d'interrogatoire, mais aussi que Jane savait tout.

Hightower vint les saluer au moment où Grace revint vers eux.
Cette dernière fit un signe à Rigsby qu'il comprit immédiatement.
Il la rejoignit dans le coin cuisine.
– « Y'a un soucis ? » lui demanda – t – il avec suspicion.
Elle confirma ses doutes : Jane était au courent de leurs ébats de la veille, c'est lui qui lui avait conseiller de vérifier la vidéo – surveillance, qui en réalité n'avais jamais existé.

Wayne revint vers le fameux canapé couleur chocolat sur lequel était allongé Jane.
« T'es une enflure ! » lui lança – t – il.
Alors qu'il promit de se venger de cette blague qui n'était pas drôle, Jane lui adressa un de ses petits sourires narquois.

– « On part à Santa Monica ! » leur annonça Lisbon en désignant le dossier qu'elle tenait dans la main gauche.
Elle expliqua que deux femmes avait été retrouvées morte sur le bord d'une petite route : personne ne sait si elles ont été assassinées ou renversées par un chauffard qui aurait prit la fuite.
– « On prend deux voitures ! » déclara – t – elle « Van Pelt & Rigsby ensemble et Cho & Jane avec moi... Et c'est moi qui conduis ! ».
Ils prirent leurs vestes et quittèrent sans attendre les lieux.

Dans la première voiture, Rigsby & Van Pelt étaient tendus et gênés par le piège que leur avait tendu Jane et par le fait qu'il était au courent.
Ils doutaient cependant qu'il en parle à qui que ce soit, le consultant semblait s'amuser de la situation depuis que la jeune femme avait rejoint l'unité.

Après quelques minutes de silence, Rigsby osa enfin avouer à Grace qu'il n'aurait pas été contre le fait d'être filmé.
Il avait eu peur, tout comme elle, mais avait trouver l'idée excitante, tout autant que celle de se faire surprendre par leur patronne.

Alors qu'elle conduisait, Wayne l'embrassa dans le cou, laissant sa main se baladaient sur la cuisse de la jeune femme....

Quel idiot ce Jane, j'ai eu peur d'un coup lol
C'est bien =)

quel farceur ce Jane !

j'imagine la tête de Grace

bon début

Tiens, ça change du Jisbon

Bien écrit et très agréable à lire

Je précise que j'ai juste joué à la sadique prof de français qui pointe les fautes d'orthographe ! Tout le mérite de ce OS revient à Aurélia

Marine a écrit:Je précise que j'ai juste joué à la sadique prof de français qui pointe les fautes d'orthographe ! Tout le mérite de ce OS revient à Aurélia

aurheusement ! merci Marine !
mais ce qu'elle ne vous dit pas, c'est qu'elle m'a donner des idées pour tourner autrement certains paragraphes et m'a convaincu de le publier (je pensais cette nouvelle trop "osée" pour être publiée)

Vous voulez une suite ?
dites-moi !!!

bah carrément !!

aureliadu07 a écrit:Vous voulez une suite ?
dites-moi !!!

Si tu l'as déjà dans en tête, moi perso je ne suis pas contre une suite !!! Je dirais même plus, il faut une suite, lol !!!!

Elle dirigea son regard vers le pommeau de vitesse sur lequel étaient posés leurs deux mains l'une sur l'autre.
Il ne fallut qu'un instant pour que la voiture quitte la route et aille faire des tonneaux dans le champ en contre bas.
Le second véhicule; celui de Lisbon, Jane & Cho; se stoppa également.

Rigsby n'avait a parrement que quelques contusions sans gravité tandis que Van Pelt était inconsciente contre l'air – bag qui s'était déclanché automatiquement.
Lisbon appela les secours tandis que les deux autres tentaient de tenir leur collègue éveillé et s'assuré qu'il n'y avait aucun risque d'explosion.

Par sécurité, ils sortirent les deux prisonniers du véhicule et les mirent en P.L.S (Position Latérale de Sécurité) quelques mètres plus loin.
La patronne revint vers eux en leur annonçant que les secours étaient en route.
Cho résuma la situation : Van Pelt était inconsciente et Rigsby visiblement très choqué.
Il s'inquiétait plus pour la jeune femme, qui ne répondait pas aux sollicitations.

Jane s'approcha de Rigsby, qui s'était prostré.
Ce dernier répétait que tout était de sa faute et que s'il arrivait quoi que ce soit à la femme qu'il aimait plus que tout, il ne se le pardonnera jamais.
Il raconta avec précision à ses trois collègues ce qu'il était en train de faire et qui avait fait perdre le contrôle à Grace.

Lisbon tenta de le rassurer comme elle pouvait lorsqu'ils entendirent les sirènes des camions de pompiers.
Les deux blessés ainsi que les trois autres agents furent évacués vers l'hôpital universitaire de Fresno, ville la plus proche.
Rigsby insista pour monter dans l'ambulance avec Van Pelt, qui n'avait toujours pas reprit connaissance.

Il ne cessa de lui parler durant le trajet, sur les conseils des secouristes.
Il fut donc à ses côtés lorsqu'elle reprit conscience, cela ne dura que deux minutes avant qu'elle ne s'évanoïsse à nouveau.

A leur arrivée, Hightower était là; inquiète de ne pas en savoir plus.
Les deux blessés partirent avec les médecins afin d'être soignés, laissant leur patronne et leur collègue.
Lorsque Hightower leur demanda ce qu'il s'était passé, Lisbon lui répondit immédiatement qu'un animal avait traversé la route et surprit l'automobiliste, qui avait tenté de l'éviter.

Jane passa derrière elle sans qu'elle ne le voie.
– « Tu mens bien ! »
Elle se retourna et lui jeta un de ses regards accusateurs, auquel il répondit par un de ses sourires ravageurs.

Grace Van Pelt s'était réveillée, Wayne Rigsby était à ses côtés, il n'avait toujours pas lâché sa main.
– « Comment tu te sens ? » lui demanda – t – il.
Elle lui répondit qu'elle était fatiguée, ce qui d'après les médecins étaient tout à fait normal.

En entendant la porte s'ouvrir, Rigsby lâcha la main de sa compagne, il réalisa qu'il avait eu raison en voyant Madeleine Hightower entrée.
Elle venait prendre des nouvelles de ses agents, avant de les laisser se reposer.
Rassurée sur leur sort, elle leur confia avoir eu peur pour eux mais que cela pouvait arrivé à n'importe qui d'être surpris par un animal qui traversait la route.

Pendant ce temps, le docteur Tempston vint annoncer le diagnostique aux agents restés dans le couloir.
Grace avait une double fracture au bras droit qu'un plâtre allait permettre de réparer; Wayne lui n'avait rien de grave; ils avaient tous deux eu beaucoup de chance.

Toujours au côté de sa belle, Rigsby fut rassuré par l'avis du médecin.
Il insista ensuite pour rester à ses côtés jusqu'à sa sortie.
Un fois le docteur parti, il prit sa compagne dans ses bras et s'excusa à nouveau d'avoir causé cet accident.
Elle s'embrassa pour lui prouver qu'elle ne lui en voulait pas du tout.

Jane, Lisbon & Cho entrèrent à ce moment là, ravies de constater que les tourtereaux ne semblaient pas si traumatisés que ça parce qui venait de leur arriver.
Leur patronne leur apprit qu'elle allait rester encore quelques heures en observation tandis que lui pourrait sortir dès le lendemain midi mais qu'il allait avoir quelques jours pour se reposer.
Il assura vouloir rester à Fresno auprès de la femme qu'il aimait : il n'imaginait pas rester loin d'elle si longtemps.

Malgré l'opposition de la jeune femme, il ne revint pas sur son idée de rester avec elle jusqu'à son retour à Sacramento.

Appuyait contre le lit de sa compagne, leurs mains jointes, Wayne Rigsby s'était endormi à côté de celle qu'il aimait. Teresa Lisbon entra dans la chambre, deux cafés en main.
Le chef d'équipe avait gardé de mauvais souvenirs de la nourriture de son dernier séjour dans un établissement tel que celui – ci.
Elle les observa quelques minutes avant de les réveiller.

Le médecin arriva quelques seconds plus tard afin d'emmener Grace pour lui faire son plâtre, l'attele temporaire n'étant pas suffisante.
Après le départ de la jeune femme et du médecin, Lisbon rassura son agent, leur collègue était hors de danger, il n'avait plus à culpabiliser.
Elle rajouta que cela ne servirait à rien, elle avait besoin de lui plus que de quiconque.

Il lui apprit qu'il allait devoir s'effacer puisque les parents de sa petit – ami faisaient le voyage depuis l'Iowa afin de passer deux semaines auprès de leur fille; ils arrivaient le soir même et se rendraient directement ici.

Cho & Jane durent surprit de trouver la chambre déserté par son occupante.
Rigsby leur expliqua qu'elle était aller se faire poser son plâtre.
Il rajouta que leur présence tomber bien, il allait pouvoir le ramener à Sacramento, et pas chez lui, au bureau.
Les voyant septique, Lisbon expliqua que les parents de la jeune femme débarqués en fin de journée.

Grace fut surprise de les trouver tous là mais cela lui faisait plaisir.
Le téléphone sonna : Hightower venait aux nouvelles.

Après qu'elle a raccroché, Rigsby annonça à sa petit – amie qu'il avait prévenu ses parents, qui allait venir passer deux semaines ici.
Cette nouvelle ne semblait pas enchanter la jeune femme, s'est parents ne savaient rien de sa nouvelle vie depuis qu'elle était installer en Californie.
Ils allaient tout apprendre d'un bloc, cela lui faisait peur.

Lisbon leur raconta qu'elle aurait aimé avoir sa mère à ses côtés lorsqu'elle s'était faite opérée pour extraire la balle qu'elle avait reçue dans le ventre.
Ses frères étaient là, mais ça n'était pas la même chose.
Jane plaisanta qu'elle aussi avait dû être une mauvaise malade, comme elle l'avait fait lorsqu'il s'était retrouver temporairement aveugle.

Cho, Lisbon & Jane étaient repassé au bureau et avaient apprit qu'Hightower avait envoyé une autre équipe sur les lieux du crime où ils se rendaient lorsqu'ils ont eu l'accident.
Cette dernière demanda des nouvelles et fut rassurer de savoir que les deux agents blessés allaient bien mais restés encore en observation.
Ils iraient rechercher Rigsby en fin de journée et tenteraient de le convaincre de se reposer le lendemain, ce qui était loin d'être gagné.

Le soir même, Grace présenta ses collègues à ses parents : Lindsay & Tom Van Pelt.
Prenant son sac, Rigsby annonça que maintenant qu'ils étaient là pour veiller leur fille, il pouvait rentré serein à Sacramento.
Grace le retint et annonça à ses parents que Wayne & elle étaient ensemble depuis quelques mois, que cela était interdit par le règlement du C.B.I et qu'ils devaient donc garder ça pour eux, surtout s'ils venaient a rencontré Hightower.

Cette dernière arriva justement, contente de la tournure qu'avait prit ce qui aurait pût être un tragique accident.
Le médecin arriva à son tour avec le document de sortie de Rigsby en annonçant à Van Pelt qu'elle pourrait sortir dès le lendemain.
Il précisa également qu'il allait lui rédiger un arrêt de travail de dix jours, la jeune femme refusa : elle tenait à retourné travailler, plâtre ou pas plâtre.
Ses parents tentèrent de la raison mais en vain.
Lindsay reconnu alors son mari dans la détermination de sa seule fille (ils avaient également deux fils plus âgés : Brady & Josh) et comprit qu'ils n'obtiendrai pas qu'elle se repose encore un peut.

Je vois que tu as bien fait de proposer une suite !!! C'est génial , moi perso j'aime bien !!

Maintenant faut pas s'arrêter en si bon chemin !!

C'est une bonne idée cet accident, Rigsby est trop chou en petit-ami aux petits soins pour sa chérie

la dernière partie postée a été retirée pour être refaite.
la suite bientot !!!

Jane ramena Rigsby à Sacramento au volant de sa Citroën DS.
Durant le trajet, le consultant voulut savoir comment son collègue envisageait la vraie rencontre avec les parents de son amie.
L'agent avoua appréhender l'instant où il serait seul avec eux; il allait donc s'effacer quelques temps.
– « Ils aimeraient bien te connaître, pourtant ! » lança le blondinet avec un sourire taquin.
Ce que Rigsby ne disait pas, c’est qu’il angoissé beaucoup de cette rencontre officielle, il imaginait déjà le pire, Jane ne l’aidait pas à se sentir mieux.

Lisbon repassa au bureau, où Hightower traînait encore.
– « J'allais partir... Comment va Van Pelt ? »
Le chef d'équipe lui répondit que ses parents veillaient désormais sur elle et que Jane avait ramené Rigsby chez lui. Sur cette bonne nouvelle, Hightower annonça qu'elle rentrait border ses enfants et conseilla à Lisbon de faire de même, mais cette dernière lui répliqua qu’elle n’avait pas d’enfant.

De leur côté, Lindsay & Tom trouvèrent une chambre d’hôtel proche de l’hôpital.
Il fut naturel que leur discussion tourne autour de la liaison qu’entretenait leur fille.
Ils devaient se rendre à l’évidence, leur fragile petite Grace était devenue une femme forte, épanouie et heureuse. Elle était également têtue.
La première chose qu'elle avait demandé au médecin était quand elle allait pouvoir sortir de l'hôpital, rentrer à Sacramento et reprendre son travail. Il la laisserait filer le lendemain à l'heure du déjeuner mais désirait qu'elle se repose avant de reprendre son activité professionnelle.

Comme convenu, Grace pu sortir dès le lendemain avec pour consigne de se ménager. Assise à la table d’un restaurent italien avec ses parents, elle écoutait son père parler de ses doutes concernant les sentiments de Rigsby, qu'elle n’arrivait pas à joindre depuis sa sortie. Elle défendit bec et ongles sa relation, qui était aussi importante pour lui que pour elle. Après une après-midi à vanter les mérites de Rigsby, Grace expliqua à ses parents qu'elle était heureuse qu'ils aient fait le voyage depuis Indépendance (Iowa) mais que même s'ils travaillaient dans la même unité, Wayne et elle avaient besoin de se retrouver pour manger un morceau, discuter ou dormir; elle en avait besoin comme d'une drogue, indispensable à son équilibre. Tom réalisa alors l'importance de cette relation pour celle qu'il considérait encore comme sa petite fille et consentît à la déposer chez lui.

Rigsby fut surpris de la voir entrer chez lui avec sa clé, elle lui parla de la discussion avec ses parents; ils étaient septiques au début mais avaient fini par accepter de voir leur fille comme une femme.
Elle retira sa veste, posa son sac et lui proposa son aide pour préparer le repas ; en riant, il lui fit remarquet qu’elle ne pouvait pas faire grand-chose avec son plâtre, il l’invita à se détendre.

Après le repas, Wayne proposa à Grace de retirer son tee – shirt et de s'allonger sur le convertible couvert de serviettes.
Lorsqu'elle eu obtempéré (avec son aide), il s'assit à califourchon sur elle et enduit ses mains d'une huile sentant le lilas.
– « Qu'est ce que tu fais ? » lui demanda – t – elle étonnée de le voir agir ainsi.
Il débuta son massage en lui expliquant que le secret d'un massage réussi était de ne pas interrompre le contact entre le masseur et le massé.
Il ne cessa donc de balader ses mains sur le dos nu de sa compagne; il se pencha sur elle et embrassa la courbure de sa colonne vertébrale.

Lisbon s'apprêtait à rentrer (enfin) chez elle, Jane était allongé sur son canapé couleur chocolat.
Lui aussi se décida à regagner son domicile, il la suivi jusqu'au parking.
Lorsque sa voiture personnelle refusa de démarrer, Jane proposa de la ramener avec sa Citroën DS.
Il déposa Lisbon devant chez elle.
– « Merci Jane ! » lui lança t – elle sans même le regarder « Bonne nuit ! »
– « Tu ne m'invites même pas à entrer ! » plaisanta – t – il « Je serai toujours là ! ».
Elle referma la portière lorsqu'il lui dit qu'il passerait la chercher à huit heures le lendemain, il regarderait par la suite sa voiture pour savoir ce qui n'allait pas.

Epuisés de leurs mésaventures, Grace & Wayne s’était endormi sur le canapé.
Le jeune homme entendit en cri au milieu de la nuit.
Sa chérie râlait d’avoir fait tomber la bouteille d’eau alors qu’elle était en train de se servir.
« Tu aurais du me réveiller ! » lui dit – il en lui prenant la bouteille.
Il lui demanda de se recoucher, il allait lui amener son verre et ramasser les bris de verre.
Pendant qu’elle s’était laisser porter par la fatigue, lui nettoya le verre.
Il s’assit ensuite sur le bord du lit et lui caressa le visage.

A peine entrer, Teresa Lisbon s’installa devant la télé ; elle songea aux circonstances de l’accident de la veille.
Elle s’étonna à s’imaginer avec Jane à la place de Van Pelt & Rigsby.
Elle sentait les baisers dans le cou et la main de son collègue sur sa cuisse, comme l’avait décrit son agent.
Son cœur se mit à battre plus vite et son pouls s’accéléra.

Grace se réveilla seule dans le lit, Wayne était déjà attelé à préparer le petit déjeuner.
La sonnerie de son téléphone la surprit, pas autant que le nom qui s'affichait sur l'écran.
Lindsay proposa à sa fille et à son compagnon de leur offrir le petit déjeuner dans un café face au Capitole où eux se trouvaient déjà.

Le réveil n'avait pas l'air d'avoir sonné chez Lisbon lorsque Jane se présenta à la porte.
Elle lui proposa d'entrer pendant qu'elle se préparait à l'étage.
Lorsqu'elle en descendit, le consultant avait préparé le petit déjeuner avec ce qu'il avait trouvé dans les placards désertés de sa patronne.
– « Tu devrais penser à faire des courses ! »

Les amoureux arrivèrent mains dans la main au lieu de rendez – vous, il lâcha la sienne à quelques mètres des parents de la jeune femme.
– « Ils vont pas te manger ! » lui lança t – elle en reprenant sa main.
Très courtois avec celui qu’ils considéraient déjà comme leur gendre, Lindsay & Tom se levèrent pour le saluer ; ils ne doutèrent alors plus de la sincérité des sentiments réciproque que Grace & Wayne éprouvait l’un pour l’autre.
Durant le petit déjeuner partagé, les parents voulurent tous savoir sur le petit ami de leur fille.
Cho s'étonna de voir Jane & Lisbon arriver ensemble.
Il eu du mal à croire leur explication, qui était pourtant la même.
L'arrivée d'Hightower interrompit la discussion animée.

Van Pelt omit de se présenter lorsque son téléphone sonna, elle fut surprise d'entendre la voix de sa patronne.
Hightower lui proposa de se reposer encore ce matin et de ne venir qu'en début d'après – midi.
Grace expliqua qu'elle prenait le petit déjeuner en ville et arrivait.
La remplaçante de Minelli proposa alors aux parents de son agent de venir visiter les locaux du C.B.I.

merci à MARINE pour le coup de main (même si elle ne veut pas qu'on sache qu'elle m'a (beaucoup) aidé)

Cho vint interrompre les rêveries de sa patronne, inquiet par son attitude.
– « Il y a quelque chose qui ne va pas, patron ? »
Lisbon affirma allait bien, elle avait juste la tête un peut ailleurs, mais elle allait bien.
L'agent se tourna vers Jane afin de savoir si elle lui avait parlé, mais le consultant affirma ne pas être dans la confidence.
Il alla ensuite la voire et lui demanda d'être sincère avec lui, de ne pas lui mentir.
Elle réaffirma ne pas avoir de problème, il la laissa tranquille.

Grace et ses parents arrivèrent suivit quelques secondes plus tard par Wayne.
Les parents furent intrigués par les lieux et tout particulièrement par le bureau de leur fille.
Hightower vint à leur rencontre pour leur proposer un café.
Lisbon intercepta un sourire complice entre les amants.

Hightower invita les parents de son agent dans son bureau, elle leur parla alors du brillant avenir dans la police qui s'offrait à leur fille.
En prenant la tête des équipes d'agents, Madeleine avait tout de suite vu que Grace sortait du lot, était un brillant élément pas assez mit en avant.
Assise à son bureau, Van Pelt s'inquiétait de ce qui pouvait se dire à quelques mètres d'eux, Rigsby vint s'asseoir sur le bord de son bureau.
– « Ils ne disent que du bien de toi ! » s'amusa le consultant « T'as pas à t'en faire ! ».
Toujours dans ses pensées, Lisbon ne remarqua pas la main que Rigsby passa dans les cheveux de femme qu'il aimait.

Lorsqu'ils retrouvèrent enfin le hall où se trouvaient les bureaux des agents, Lindsay & Tom annoncèrent à leur fille qu'ils s'étaient inquiétés pour rien et que donc, ils pouvaient rentrer serein dans leur Iowa natal.
Leur visite de Los Angeles du lendemain leur permettrait de se rendre à l'aéroport pour y prendre leur billet de retour.
Avant cela, ils tenaient à les inviter tous dans le meilleur restaurent de la région.

Hightower revint vers eux à pas rapide.
Elle leur annonça une prise d'otage dans une école primaire de la ville; ils se levèrent tous d'un même mouvement.
– « Les gars, avec moi, Van Pelt, tu restes en soutien au bureau ! »
La jeune femme protesta que le plâtre ne l'empêché pas de faire du terrain, elle pouvait même conduire; Lisbon interrogea Hightower du regard, qui lui laissa prendre la décision; elle consentit donc à la laisser intervenir, ainsi que les parents de la jeune femme qui assisterai de loin à l'opération.

A leur arrivée sur les lieux, la police locale leur fit un topo : un homme, Jeffrey Scott Benkley, a prit en otage la classe de son fils, qu'il n'a pas vu depuis le décès de la mère de l'enfant, que ses grands – parents gardent illégalement; il avait ensuite fait sortir les institutrices.
Les fédéraux attendaient le C.B.I pour intervenir, Le chef d'unité les dispersa autours du bâtiment afin de boucler toutes les issus; tous les autres enfants avaient été évacués et attendaient sur la pelouse de pouvoir regagner leurs classes.

Grace Van Pelt attrapa le mégaphone avant que les autres n'est réagit, elle appuya le plâtre de son bras droit sur le bouton permettant la mise en marche.
– « Jeffrey, je suis Grace... Je travaille au Bureau Californien d'Investigation... »
Lisbon, Jane, Cho & Rigsby se retournèrent, surpris d'entendre cette voix sortir de cet objet.
– « ... J'aimerai discuter avec vous... » poursuivit – elle « Si vous entrouvrez le rideau, vous verrez que j'ai un tee – shirt rouge, que je ne suis pas armée et que j'ai le bras dans le plâtre ».
Le kidnappeur vérifia ces dires et en eu confirmation des informations données par la jeune femme, il lui fit signe de venir.
Rigsby réussit à la convaincre de mettre un gilet par balle, même si cela lui semblait inutile.

Les mains levées, Van Pelt entra dans la salle où se trouvaient les enfants; elle s'assura en premier lieu qu'aucun petit n'est été blessé ou maltraité, tous semblaient en parfaite santé.
Devant le bâtiment, les parents inquiet arrivaient en masse; comprenant les ex beaux – parents du kidnappeur, inquiets pour leur petit – fils.
Cho les empêcha d'intervenir et de gâcher celle de leur collègue, dont ils ne savaient rien.
Grace n'avait pas prit la peine de les informer de ses intentions, elle s'était décidé au dernier moment pour entrer en contact avec le soit disant dangereux kidnappeur.
Gabrielle Oliena assura que l'ex compagnon de sa défunte fille était dangereux et que c'est pour cela qu'il ne lui permettait pas de voire son enfant.
Rigsby leur répondit que c'était certainement la cause de son mal – être, d'être privé de sa chair et de son sang; il envisageai déjà le pire concernant la finalité de cette intervention, il avait déjà faillit la tuer et ne désirait pas la perdre.

Dans la salle de classe, Grace demanda au fils du kidnappeur, Cameroun Willan Benskley, de se levé, ce que l'enfant fit.
Elle demanda alors à Jeffrey de laisser partir les autres enfants afin qu'ils discutent tous les trois ; Cameroun, Jeff & elle.
A sa demande, les bambins se mirent par deux devant la porte de leur classe, ils quittèrent dans le plus grand calme la pièce, les laissant tous les trois; chaque parents serra fort son enfant dans ses bras, heureux qu'ils ressort intact de là. Gabrielle & John Oliéna s'inquiétèrent de ne pas voire Cameroun.

Pendant que Lisbon tentait de joindre par téléphone son agent, un enfant se dirigea vers Rigsby, Jane & Cho, qui observaient avec émotion les retrouvailles.
– « C'est vous l'agent Wayne? » il lui tendit un petit papier plier en deux et reparti; sur celui – ci était juste écrit
« I love you » (« je t'aime »).
Au téléphone, Grace expliqua à son supérieur qu'elle était restée discutée avec Jeff et son fils et qu'elle allait très bien.
Lisbon alla en informer les parents de la jeune femme.
– « Elle s'en sort comme une chef ! » les rassura Jane en les observant les uns après les autres.
La jeune femme avait en effet débuté la conversation en parlant de son enfance, de ses parents et de ses frères.
Jeffrey expliqua que depuis le décès de son ex compagne d'un accident de voiture, deux mois et demi plus tôt, les parents de celle – ci retenaient leur fils, lui interdisant tout contact avec son papa.
Ils avaient même interdit à la directrice et aux institutrices de laisser Cameroun partir avec quelqu'un d'autre qu'eux; quelques jours plus tôt, il avait reçu une injonction disant que Gabrielle demander la garde exclusive de son petit – fils, un avocat avait informé Jeff qu'il avait peut de chance de gagner.
Le petit garçon fut choquer d'entendre cela, lui voulait vivre avec son père, qui lui manquait beaucoup; il confia que ses grand – parents lui disait que son père l'avait abandonner et beaucoup d'autres choses méchantes sur lui.
Grace promit de les aider et de faire son maximum, même si elle ne pouvait pas garantir que ça allait marcher.

Une heure avait passée lorsque tous trois sortirent enfin, Lisbon empêcha les grand – parents d'approcher leur petit – fils.
Ce dernier demanda à repartir avec son père, Grace fit signe aux agents de ne pas intervenir.
La grand – mère tenta d'expliquer qu'ils avaient fait cela pour son bien, mais le petit garçon fit mine de ne pas avoir entendu.

Après avoir passé quelques coups de fil, Van Pelt obtint une audience en urgence avec le juge concernant la garde de Cameroun.
– « J'ai eu peur pour toi ! » lança Rigsby en approchant sa chaise à roulettes d'elle, il ne doutait pas des compétence de sa petit – amie mais avait déjà imaginait le pire.
Ils se levèrent en même temps.
Lisbon & Hightower coupèrent leur élan pour venir féliciter la jeune femme de son sang – froid : elle avait réglé seule une situation délicate avec un calme qui les avait tous beaucoup impressionner; tous les enfants étaient sains et saufs et le père et son fils étaient enfin réunis.

Seuls dans cette salle d'interrogatoires, déjà témoins de leur relation secrète, Van Pelt et Rigsby s'embrassèrent sans retenue ni crainte d'être surpris.
Il posa sa main sous le pull de la jeune femme, son autre main glissa le long de sa cuisse d'un mouvement régulier; elle le stoppa.
– « Pas ici ! »
Elle l'embrassa puis quitta la petite pièce, il y resta seul un moment à réfléchir.

Revenue à son bureau, Lisbon avait à nouveau sombré dans ses réflexions existentielles.
Elle voyait à nouveau Jane en voiture avec elle, sa main sur ses cuisses et ses lèvres dans sa nuque pendant qu'elle conduisait.
Les yeux fermés et les lèvres entrouvertes, de petits gémissements inquiétèrent son équipe.
– « C'est rien... » leur expliqua t – elle en les voyant à la porte « ... J'étais dans mes rêveries ! ».
– « On voit ça ! » lança Cho.
Chacun regagna son bureau, Rigsby revint alors et sans les regarder, il alla se faire un café.
Grace expliqua à son amant qu'elle avait beaucoup de chose en tête mais pas cela : son bras la faisait beaucoup souffrir, elle devaient gérer la venue de ses parents et la discrétion de leur relation.

Jane invita Lisbon à boire un café non loin de leur bureau; assis face à face, ils restèrent silencieux.
– « Je n'arrive pas à savoir ce qui ne va pas chez toi... »
Elle lui confia qu'elle faisait des rêves bizards qui la perturbés beaucoup, mais refusa d'entré dans les détails.
La voyant rougir, il comprit qu'il faisait parti du problème, peut – être en était – il la clé.

Le soir même, un taxi déposa Van Pelt chez Rigsby.
Ce dernier avait comprit qu'elle ne le désirait plus comme avant, il l'avait constater lors du massage que lui avait plus semblait apprécier qu'elle; ils s'installèrent dans le canapé pour en parler.
Elle admit qu'inconsciemment, elle lui en voulait d'avoir provoquer l'accident qui aurait pu leur coûter la vie; il le comprenait.
Wayne demanda alors que qu'ils devaient faire : consulter un sexologue, se séparer, attendre que ça passe...
Elle ne savait pas.

Houuu, Lisbon qui fantasme sur Jane, dans son Bureau ? C'est chaud
Il est chou Wayne avec Grace, j'trouve ils vont bien ensemble !

AVIS AUX FANS DU DUO LISBON/JANE...

Lorsque Jane sonna chez Lisbon, la jeune femme était prête.
Le consultant fit remarquer à sa supérieur qu'il la trouvait particulièrement belle ce soir, cette robe mettait en valeur ses formes cachés par son jeans, son tee – shirt large et sa veste en cuire habituelle.
Repensant à son rêve, la jeune femme fut gênée de ce compliment inattendu; il était en effet inhabituel que Jane face un compliment sans sarcasmes et sans un de ses sourires qui faisait tout son charme.
Elle rougit, il le remarqua.

Cho fut le premier arrivé au restaurent, où se trouvaient déjà les parents de sa collègue.
Ils s'assirent tous et se commandèrent un apéritif, tous en discutant pour attendre les autres.
A quelques mètres de là, Rigsby osa enfin avouer à Van Pelt qu'il la trouvait magnifique; il revint sur leur discussion et affirma qu'ils devaient absolument en reparler et trouver une solution, elle proposa qu'il la ramène, ils en discuteront sur le trajet du retour.
Lisbon et Jane les virent discuter et leur firent juste un petit sourire.
– « Y'a un problème entre eux ? » demanda Lisbon en les voyant mal à l'aise d'avoir été vu.
– « Il s'en veut d'avoir provoquer l'accident, elle lui en veut d'avoir faillit les tuer... Ca va s'arranger ! »
Ils entrèrent suivit de prêt par Van Pelt & Rigsby.
– « Je t'aime, Grace ! » lui dit – il en lui ouvrant la porte, elle ne répondit pas.

Le restaurent choisit n'était finalement pas si haut de gamme que cela afin de ne pas mettre les agents mal à l'aise.
La discussion porta sur le travail et sur les relations entre eux avant de dévier sur l'enfance de Grace, ce qui l'a mit mal à l'aise, Jane s'en rendit immédiatement compte et profita au maximum de la brèche.
La jeune femme se leva, son compagnon aussi, après être entrer chacun dans les toilettes qui leur étaient réservés, il entra dans celui des femmes.
– « Faut qu'on parle ! »
Ils sortirent et se dirigèrent dans une petite pièce emménagée à côté des toilettes pour langer les enfants en bas âge.
Wayne avait décrété que même si ça n'était ni le lieux ni le moment d'en parler, ils ne pouvaient pas laisser la situation se pourrir ainsi : ses relations pouvaient lui permettre d'avoir un rendez – vous avec un spécialiste des problèmes de couple assez rapidement, elle lui répliqua que chacun culpabilisé d'avoir provoquer ce fichu accident, ils n'avaient pas besoin d'en parler à une tierce personne.
Tout le monde avait sentit leur mal être et se doutait que c'était lié à cette sortie de route.
Grace déclara qu'il est préférable qu'ils cessent de ce voire quelque temps, pour savoir où chacun en était, il acquiesça.
Ils regagnèrent ensuite la table où ils étaient attendus.

Lorsque Jane & Lisbon repassèrent au bureau, Hightower s'y trouvait encore.
Le consultant ramena ensuite sa patronne chez elle, il n'avait toujours pas ouvert le capot de sa voiture pour connaître la raison de son refus de démarrer.
Elle lui proposa d'entrer et de boire un dernier verre.
Après quelques verres de whisky (avec modération !!), leur discussion se dirigea vers leur vie privée et les vraies raisons qui les avaient poussé à faire ce boulot ingrat.
Quelques verres de plus mirent Patrick Jane dans l'impossibilité de reprendre le volant, elle insista pour qu’il squatte son canapé, elle l'installa et le regarda s'endormir avant de monter.

Sur le chemin du retour, Grace resta silencieuse face à ses parents, qui n'osaient pas poser la question.
– « On a décidé de faire une pose... » leur dit – elle sans qu'il ne l'ai demander.
Elle se tourna vers eux et leur dit la vérité : Wayne était en train de la peloté lorsqu'ils ont quitter la route, il s'en voulait et elle lui en voulait, depuis elle n'avait plus aucun désire pour lui.
Cette confidence abrupte laissa ses parents sans voix.
A peine rentrée, la jeune femme de vingt – sept ans s'enferma dans sa chambre pour pleurer.

Rigsby avait invité Cho à boire une bière dans un café de la ville.
– « Qu'est ce qu'il se passe avec Van Pelt ? Tu peux me le dire ? » demanda Cho, inquiet pour son collègue et ami.
– « On fait une pause ! » répondit Rigsby
Ce dernier donna un peut plus de détail sur la teneur de sa discussion avec sa petite – amie, déplorant la situation dans laquelle il les avait mis.
Cho restait persuader que cela aller se rétablir, son collègue n'en était pas si sur.

Lisbon se réveilla migraineuse sur le canapé lit, où avait également dormit Jane, celui – ci lui tendit un verre d'aspirine fondu.
– « On a dormi ensemble ? » s'étonna t – elle.
– « Tu es venue dormir avec moi » précisa t – il afin qu'il n'y ai pas d'ambiguïté.
Il lui confia avoir apprécier cette complicité, de la sentir contre lui, il n'avait plus vécu cela depuis l'assassinat de sa femme et de sa fille par John Le Rouge.
En se levant, elle sentit la bonne odeur du café qui était en train de passer, elle lui proposa de prendre une douche, c'était déjà fait.
Il s'amusa du fait que les femme passaient toujours trois heures dans la douche à se faire belle, mais pas Lisbon, qui optimisé au maximum le peut de temps qu'elle passait dans son appartement, toujours envahi de cartons
Lorsqu'elle sortie de la salle de bain, il annonça qu'elle y avait passer onze minutes et qu'elle sentait bon le savon à la lavande posé sur le bord de la douche.
Il se leva, s'approcha d'elle est passa la main dans ses cheveux encore mouillés, eux sentaient la camomille.
Il posa la main droite sous son menton et lui releva la tête, son autre main était toujours dans ses cheveux.
– « Lisbon, je veux que tu saches que je t'aime.... Beaucoup ! » avoua t – il a mi mot en évitant son regard.
Elle sentit alors les battements de son coeur s'accéléraient, il posa les lèvres sur les siennes et desserra brusquement son étreinte.
– « On va être en retard ! »

Rooooh c'est trop mimi ça xD

Encore une excellente suite !!!

merciWinJane & merci Vig.
la suite arrive !!!

La suite pour cette aprèm ?

Les dix jours qui suivirent furent intenses, les missions s’enchaînaient à un rythme fou, ne laissant que peut de répit à l’équipe de Teresa Lisbon.
Cette dernière n’avait pas reparlé à Jane de leur rapprochement, préférant laisser le temps effacer ce qu’il était préférable pour eux d’oublier.
Jane n’oubliait pas, cet instant était gravé dans un coin de sa mémoire avec les « souvenirs à garder », mais voyant sa supérieure mal à l’aise, il préférait ne pas en rajouter.
Aucun d’eux ne perdait le sentiment qu’il avait éprouvé lorsque leurs lèvres s’étaient touchées, les yeux fermés, ils avaient apprécié ce moment, désirant secrètement que le temps s’arrête à cet instant.
Cet innocent baiser les hanté comme le fantômes de leur inavouables émotions.
Ils ne s’en étaient pas rendus compte, mais ils avaient dormi l’un contre l’autre sur ce canapé la nuit où ils avaient trop bu. Ils auraient put s’assoupir chacun à un bout du convertible et faire attention à garder cette distance, mais ça n’était pas le cas.

Van Pelt & Rigsby ne s’étaient pas rabibochés non plus.
Depuis le retour de ses parents chez eux, la jeune femme s’était consacrée corps et âmes à son boulot.
Pas un soir elle n’avait été tentée de se rendre chez son ex ; le plâtre ayant été remplacé par un atèle, elle n’avait aucune excuse.
Mais Rigsby semblait l’avoir déjà remplacé par une certaine Lucy, rendant leur rupture inévitable et définitive ; il avait parler d’elle à Cho, d’une femme blonde aux yeux bleus qu’il s’empressait de retrouvait chaque soir et qui visiblement le rendait heureux.
Cachée dernière son journal (qu’elle tenait à l’envers), Grace avait espionné leur conversation durant plus d’une heure, oubliant la recherche demandée par Lisbon
Ce qui agaçait le plus le jeune agent, c’est que son ex n’est pas eu l’honnêteté de lui dire qu’il avait rencontré quelqu’un d’autre, elle se demandait quand est ce qu’il officialiserai leur rupture, qu’elle aussi passe à autre chose.

En annonçant qu’un d’eux devait partir sur le terrain avec l’équipe de l’agent Storms, Hightower interrompt le calme général de ces bureaux.
Les cinq se levèrent d’un même mouvement, leur boss décida d’envoyer Grace Van Pelt sur le terrain, mais elle avait aussi une mission délicate pour les autres : deux femmes et un hommes ont été retrouvés morts dans le sous – sol d’une boîte de nuit de Redding.
Lisbon, Jane, Cho & Rigsby se mirent en route, ce dernier jeta un dernier coup d’œil à Van Pelt, qui se préparait à partir avec l’autre équipe.
Il se dirigea vers elle et lui remis le papier qu’il avait écrit une heure plus tôt et hésité à lui remettre.

Elle n’eu pas le temps de regarder ce que c’était qu’elle devait partir avec l’équipe avec laquelle elle était exceptionnellement affectée : les agents Peter Wyatt Storms, Gabriel Nicholson & Joseph Priest Colins.

Wayne regrettait déjà ce qu’il venait de faire, il restait silencieux alors que sur les sièges avant, Lisbon & Cho parlait de l’enquête en cour.
– « Elle va le lire, ton papier… » le rassura Jane en se penchant vers lui « … Tu aura une réponse très vite ! »
Ça ne fut qu’une fois rentrée chez elle après une journée éprouvante que Grace Van Pelt trouva le temps de lire ce que Rigsby lui avait donner, c’était un poème lui clamant ses sentiments pour elle.
Elle relut la tirade plusieurs fois, les larmes coulés sur le morceau de papier lorsqu'elle le referma.
La jeune femme avait séché ses yeux lorsqu'elle sonna à porte de son ex compagnon.
– « Grace… » s'étonna t – il « … Il est tard... Qu'est ce que... »
Il n'eu pas le temps de finir qu'elle l'embrassa à pleine bouche, le poussant vers le coin salon; déshabillés à la va – vite, tous deux se laissèrent tomber sur le canapé dans une étreinte fougueuse.

Jane vit de la lumière à la fênetre de l'appartement de Lisbon. En chemise de nuit, cette dernière s'apprétait à aller se coucher.
Elle raccrocha d'une conversation téléphonique avec l'un de ses frères lorsque Jane entra sans même frapper.
Elle ne put rien dire lorsqu'il lui répondit qu'elle ne l'aurait pas laisser entrer et qu'ils devaient pourtant en parler.
Assis face à face, Jane expliqua à Lisbon qu'ils ne pourrait jamais rien y avoir entre eux car il se considérait toujours comme marié, même trois ans après avoir perdu son épouse; la seconde raison était que même s'il n'était pas agent, ils travaillaient ensemble.
Elle lui demanda comment lui pouvait réfréner ce mélange de désire, de honte et de culpabilité qui les rongaient, elle était persuadé que lui aussi ressentait tout cela de son côté.
Il avoua qu'il avait le sentiment d' avoir trahi Alicia en embrassant et en dormant avec une autre, même si cela n'avait pas été plus loins.
Entendre pour la première fois le prénom de la défunte épouse du consultant accentua d'autant plus sa culpabilité.
Au petit matin, la première pensée de cet homme qui avait l'impression d'avoir tromper sa femme était aller à sa petite fille, Lili (surnom qu'il donnait à sa femme); il avaient alors eu le sentiment d'avoir trahi et sa femme et sa fille, il avait alors levé les yeux au ciel, les suppliant de lui pardonner cet écart de conduite.
Il avait alors eu l'impression de l'entendre, d'entendre sa petite Lili lui assurer qu'elles voulaient toutes deux qu'il soit heureux et qu'il cesse de culpabiliser, elles seraient toujours là, dans un coin de son coeur, s'il avait besoin.
Les larmes étaient montées aux yeux de Lisbon, il les essuya du revers de chemise et la prit dans ses bras.
Il prit le visage de la jeune femme entre ses mains, l'embrassa du bout des lèvres et quitta sans rien dire le logement de sa supérieure; la laissant plantée au milieu de la salle à manger.

Il était sept heure moins le quart lorsque le réveil sonna, la nuit ayant été plus que courte, le couple eu du mal à émerger.
Quelques minutes leur suffirent pour son sortir de cet état commateux.
Entourée d'un simple drap bleu clair, Grace se leva et se dirigea vers la salle de bain, Wayne se leva et enfila un caleçon propre posé sur une pile d'autres vêtements.
Il la rattrapa et mit ses bras autour d'elle : cette séparation avait eu du bon, ils n'avaient jamais fait l'amour comme ça, à part... Au bureau !
Elle alla prendre une douche alors qu'il préparait le petit déjeuné.

Sa voiture s'étant décidée à remarcher, Teresa Lisbon se rendit dans la Cité des Anges.
Elle trouva Jane au Cimetière Sainte Mary, sur la tombe des deux femmes de sa vie.
– « Tu es bien matinal ! » lança t – elle en guise de bonjour.
Il expliqua qu'il venait là presque chaque matin, il avait besoin d'être avec elles, de passer un peut de temps avec sa famille avant de partir bosser, comme tout un chacun.
Elle posa le café et le croissant qu'elle lui avait emmené sur le côté et quitta silencieusement le lieu.
Patrick avait posé ses deux mains sur le caveau et répétait à sa femme et sa fille qu'il les aimait plus que tout avant de partir.
– « Pourquoi tu es venu jusqu'ici ? » lui demanda t – il en l'attrapant par le bras.
Elle avait voulut s'assurer qu'il allait bien après leur discussion de la veille, ce qui semblait être le cas.
– « Tu n'as pas à culpabiliser » insista – t il « Elles savent que je n'aimerai plus jamais personne comme elles ! ».
Ceci était exactement la phrase qu'elle redoutait, elle aurait préféré l'entendre dévoilr ses sentiments réelles, elle ne doutait pas de l'amour de Jane pour sa femme et sa fille mais il était tant qu'il passe à autre chose, même si cela allait être dure.
On ne lui demandait pas d'oublier, mais juste de continuer à vivre pour autre chose que pour se venger su salop qui avait décimé sa famille et tant d'autres; rien ne lui rendrait Alicia & Lili.
Entendre ces prénoms sortir de la bouche d'une autre personne lui fit un choc, il avait révé que sa fille était venu l'accusé de les avoir trahi.
Lisbon remarqua alors qu'il ne portait plus son alliance; il justifia qu'elle avait raison : rien ne lui rendrait Alicia & Lili, surtout pas la culpabilité et la honte; il devait tourner la page et pour cela, commencer par poser son alliance dans la boite à musique de sa fille, dont il se servait de boîte à bijou, avec celle de son épouse.

Rigsby sortie de la douche vêtu d'une simple serviette et vint se coller à sa chérie, qui sentait particulièrment bon.
Leurs mains jointes, ils s'embrassent comme si c'était la première fois.
Elle s'étonna qu'avoir fait l'amour une partie de la nuit ne lui avait pas suffit, elle était vanée; lui se comparait plutôt à un vaillant soldat, capable d'être au combat pendant des heures avant de mourir d'épuisement.
La jeune femme lui fit remarquer qu'elle était sèche, ce qui insita son amant à se frotter d'autant plus à elle.

Le portable de Grace sonna, Storms avait encore besoin d'elle, il l'attendait dans le quart d'heure qui suivait au bureau.
La jeune femme attrapa son sac et ses clés de voiture, il lui coupa la route pour la prendre dans ses bras, l'embrasser et lui répétait qu'il l'aimait, après ce qu'il s'était passer ces dernières heures, elle n'en doutait plus.

Lisbon visita pour la première fois la maison de Jane, où trainait toujours les jouets d'enfant.
Voire le smiley de John Le Rouge sur le mur blanc de la chambre lui donna des frissons, elle imagina alors comment Jane avait découvert les corps de sa femme et sa fille sans vie.
– « Le peintre vint aujourd'hui pour effacer ça... » expliqua t – il en entrant dans la pièce « Je ne peut pas vendre la maison avec ça sur le mur ! ».
Le ton sur lequel il avait dit cela avait étonné sa supérieur, comment trouvait – il la force de plaisanter avec un évenement aussi tragique.
Il expliqua qu'il avait trop pleurer et qu'il était tant qu'il refasse surface, car c'est ce qu'elles auraient voulut.

En allant de pièces en pièces, Lisbon remarqua la boite à musique dont il lui avait parlait, elle se trouvait dans une chambre d'enfant claire et luminieuse.
Une photo de la petite famille était posée sur la commode.
– « Hum hum ! » Jane tira sa supérieure de ses rêveries, elle se trouvait dans la chambre de Lili, la boite à musique ouverte dans une main et la photo dans l'autre.
Elle posa tout, s'excusant d'être entrée sans y avoir été invité, mais en pénétrant dans cette pièce, elle avait comprit beaucoup de chose.
Il dit juste qu'il était prêt à partir.

Lorsqu'ils arrivèrent au bureau, Rigsby expliqua à Jane, Lisbon & Cho que Van Pelt avait été appeler sur une intervention par Storms.
Le consultant en déduisit que ça s'était arranger entre eux.
Hightower arriva visiblement de très bonne humeur et demanda où était le cinquième doigt de cette main, Lisbon lui répéta ce que Rigsby venait de lui, annonçant ensuite qu'ils repartaient à Redding pour poursuivre leur enquête en cours.

Cho brisa le silence en disant à Rigsby qu'il était content que ça soit se soit arranger avec Van Pelt; il était inutile de le dire, cela se lisait sur son visage souriant et détendu.
Dans la seconde voiture, Lisbon commentait le paysage qui passait, ce qui amusait Jane, assis à côté d'elle.
Ils étaient tous deux satisfaits que les choses est étaient dites, qu'il n'y ai plus de taboue.
Lisbon revint sur ce qu'il lui avait dit : il allait vendre sa maison de Los Angeles... Certainement pour venir vivre à Sacramento.
Il le confirma, il était devenu trop difficile de vivre dans cette maison beaucoup trop grande pour lui seul, ses seuls amis et son boulot étaient dans la capitale d'Etat, ce qui l'avait conforté dans sa décision de déménager et de commencer une nouvelle vie, sans pour autant oublir la première.
Lisbon lui répéta que tous était là s'il avait besoin, pour du soutien, un coup de main, des paroles réconfortantes, pour écouter ses confidences.
Jane le savait mais avait encore du mal à se confier, la douleur était encore bien là, trop présente pour être évoquée.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!
Mais c'est GENIAL !!!
J'aime trop trop trop trop trop : du Jisbon, du Rigspelt, et une touche de Rj, le melange parfait !!
Bravoooo !!!