FANTASMES

Bonne soirée Housiene

merci luciole.
l'effort (la gym enter 19h30 & 20h30) et le réconfort ensuite (dr house et une glace) !!
lol
BONNE SOIREE A VOUS TOUS

J'adore!!
Vivement demain matin !!

aureliadu07 a écrit:merci luciole.
l'effort (la gym enter 19h30 & 20h30) et le réconfort ensuite (dr house et une glace) !!
lol
BONNE SOIREE A VOUS TOUS

Après l'effort le réconfort (House + glace)

Bonne soirée

COMME PROMIT, LA SUITE !!

Elle lui prit la main et l'invita à monter avec elle, il obtempéra.
Jane s'était mis à l'aise en retirant sa veste, qu'il avait jetée d'un geste souple sur la rambarde en béton de l'escalier.
Lisbon entrouvre les deux premiers boutons de son chemisier blanc et attira Jane vers le lit.
Il posa ses mains sur le ventre de la jeune femme, qui le déshabilla à son tour.
Bien que ces gestes semblaient sur, elle craignait de regretter et envisager les conséquences à court terme de ses actes.
– « On devrait pas ! » lui dit – il en stoppant son geste.
– « C'est vrai... Tu as raison... On ne devrait pas ! » elle continua malgré tout.

Avant de se laisser tomber sur le lit, il lui avait retiré son chemisier et avait enlever sa chemise bleu, tombée sur le sol.
Leurs baisers se faisaient plus intenses, ils sentaient la chaleur du corps de l’autre. Peut importe les répercutions et les conséquences, ils vivaient le moment sans s’en soucier.
Une fois déshabillés, Patrick laissa ses mains se balader… Ils n’étaient plus Lisbon & Jane mais Teresa & Patrick…

Lorsque Wayne se réveilla, Grace était déjà habillée.
Elle avait ressortie le chemisier blanc immaculé qu'elle portait lors de son tout premier jours, le reste de sa tenue était plus sobre : un jeans noir et des chaussures de la même couleur.
Après presque deux ans passé au C.B.I, elle n'était pas une débutante; elle avait pourtant l'impression de vivre son premier jours et l'appréhendé de la même façon.
– « Tu n'as aucune raison d'avoir peur... Ils vont t'adorer ! » lui dit – il en la prenant dans ses bras.
La jeune femme n'en était pas si sur, elle devait à nouveau faire ses preuves, montrer à ces hommes qu'elle était un bon flic et digne de confiance.
Derrière elle, les bras autours de sa taille, Wayne embrassait Grace dans le cou e lui répétant qu'il l'aimait, qu'il avait confiance en elle et qu'elle allait cartonnée.
Elle avait tout autant envie que lui d'un petit câlin, mais craignait de se mettre en retard, elle risquait en plus d'habiller ses vêtements du dimanche qui sortaient du pressing, il la déshabilla en faisant attention.

Jane se réveilla dans le lit de sa patronne, qui revenait d'avoir courut quatre kilomètres en un temps record.
Lisbon resta silencieuse face à son amant d'une nuit, ne sachant pas comment aborder le sujet qui fâche.
– « Je vais rentré chez moi... » annonça l'homme en enfilant sa veste « J'ai pas prit de quoi me changer ! »
Elle lui fit un petit signe de la tête pou indiquer son approbation, il lui sourit, l'embrassa sur le bord des lèvres et quitta l'appartement sans un mot de plus.

Hightower intercepta Van Pelt à son arrivé et lui annonça que son nouveau bureau se trouvait à l'étage, où étaient déjà Storms, Colins & Johnson.
– « Bonjour Mlle Van Pelt, je suis Brady Carver, votre assistant ! » lui annonça un jeune homme lorsqu'elle entra.
– « On a un assistant ? » s'étonna – t – elle en lui serrant la main.
– « Oui... Brady est... L'assistant de l'équipe... De nous quatre ! »
Grace en déduisit que le budget du C.B.I ne permettait pas l'embauche d'un assistant, l'un des trois s'était donc forcément sacrifier en faisant baisser significativement son salaire, c'était Storms, qui justifia que cela en valait la peine car l'aide de Brady leur serait précieuse.
– « J'aimerai savoir... Comment prenez – vous votre café, agent Van Pelt ? » demanda le dit assistant en la voyant quitter la pièce, elle annonça qu'elle le faisait elle même, cela faisait partie de ses rituel. Il lui répondit que c'était une partie de son boulot.
– « Pas trop chaud... Avec une cuillère à café de lait tiède... Et un sucre et demi ! » annonça Rigsby en posa la tasse – thermos sur le premier bureau.
– « Merci Wayne ! »
– « Dans cette tasse là, le café... Pas dans une autre... C'est un cadeau de Jane...Ca tient au chaud pendant deux heures ! » s'amusa t – il « beau bureau ! Belle déco ! »
Les trois agents & Brady quittèrent le bureau pour les laisser seuls, ils déscendirent se prendre un café et discuter avec leur patronne.
Rigsby posa un trousseau de clés sur la table, elle les lui avait laisser avant de partir, déjà très en retard.

A son arrivée dans les locaux, Patrick Jane s'était fait son thé et un café et s'était dirigeai directement dans le bureau de Teresa Lisbon, sans passer par son canapé.
Il posa la tasse sur le bureau, elle ne l'avait pas entendu entrer.
– « Faut qu'on parle ! »
Après avoir fermer la port à clé et descendu le rideau, le consultant s'assit face à sa patronne, elle n'osait pas le regarder dans les yeux, mais sentant son regard insistant, elle dû s'y résoudre.
– « On ne doit pas regretter ! Ce qui est fait est fait ! »
Elle lui demanda alors ce qu'il ressentait vis – à – vis de sa femme, s'il éprouvait de la honte ou de la culpabilité de l'avoir tromper, l'homme avoua que non, son épouse était morte, il devait passer à autre chose.
Les amants se mirent ensuite d'accore sur le fait qu'ils avait fait une erreur en couchant ensemble et que cela devait rester à jamais leur secret; personne ne devait l'apprendre, surtout pas Hightower.
Cette dernière s'étonna de les voire sortir du bureau sans Cho, installé au sien.
L'agent raccrocha le téléphone et annonça qu'ils avaient été appelés sur une enquête à Modesto
– « Rigsby, on part sur le terrain ! » l'appela Cho sans savoir où il était.
– « Je dois filer... Tu vas assurée... Je t'aime ! » il l'embrassa et partie.

L'ambiance dans la voiture était glaciale, ils pouvait entendre les mouches volées s'y il en avait eu.
Rigsby & Cho ressentait le mal – être de leur collègue sans pouvoir l'expliquer, ils étaient loin de se douter de ce qu'il s'était passé entre eux.
– « Grace va bien ? » demanda Jane pour réchauffer l'atmosphère pesante.
– « Très bien, merci... » répondit – il « Y'a un soucis ? »
– « Aucun soucis ! » répondirent les intéressés d'une seule voix.

Après s'être répartie les bureaux et le matériel, l'équipe de Storms avait été appelé sur le terrain par le procureur de la république en personne, qui s'étonna d'apprendre le changement d'affectation de son agent préférée.

Il leur demanda de se rendre en bordure du Lac Tahoe (à la frontière avec le Nevada), où le corps d'un jeune homme avait été retrouvé.
Ils partirent dans la seconde afin d'y être au plus tôt.

C'est génial !!
A quand la suite?

demain, la suite !
patience !!

Okii
On va patienter même si j'en ai pas trop

c'est trop ^^ la suite !!

Encore une bonne suite !!!

Yeah super

La suiiiiiiiiite

Le déplacement avait emmené Jane et les agents Lisbon, Rigsby & Cho loin du centre ville de Modesto, dans une ferme isolée à une dizaine de kilomètres ou le propriétaire de l'exploitation avait trouvé un corps qui n'était pas là la veille au soir dans ses bottes de foin.
La victime était une femme caucasienne d'une trentaine d'année prénommée Natacha Elodie Garbers, qui était originaire, d'après ses papiers, de Cave Creek dans l'Arizona.
Rien dans ce qu'ils avaient trouvaient dans la voiture de la jeune femme n'expliquait sa présence à Modesto, son casier judiciaire était vierge, elle n'était connue d'aucun service de police de son Etat d'origine ni de celui où elle était décédée.
Jane s'approcha de Natacha et après l'avoir bien observer, déduisit qu'elle était venu pour un homme : sa tenue était soignée, certainement un gars connu sur un site de rencontre spécialisé. Il annonça également qu'elle le voyait pour la première fois, Cho trouva la photo et le nom d'un homme et les coordonnées d'un café – restaurent à quelques centaines de mètres de là.
Lisbon & Rigsby se rendrait au rendez – vous pendant que Jane & Cho restait là pour analyser la scène de crime, interroger un peut les gens du coins et contacter la famille.

Le corps du Lac Tahoe était en mauvais état, il était là depuis à parement plusieurs jours.
La vue de cette personne quasi méconnaissable provoqua des hauts le cœur chez les agents, ils durent s’en éloigner sans attendre.
La victime n' avait aucun papier d'identité sur lui, ce qui en faisait un John Doe (nom donné à un inconnu)
L'état du corps permit au légiste d'établir avec certitude que le jeune homme était là depuis plusieurs semaines, certainement trois, mais n'expliquait pas pourquoi personne ne l'avait encore vu ni signalé.
Il avait dû être jeté à l'eau, son corps était ainsi revenu sur la rive.
Les agents ratissèrent ensuite les bords du lac, à la recherche de quelque chose qu'il n'aurait pas vu en arrivant.
Leurs confrères leur interdit d'intervenir dans l'Arizona, ils allaient s'en charger; eux aussi se sentirent mal à la vue du corps, ce qui amusa beaucoup le C.B.I, qui faisait comme si ça ne leur avait rien fait.
– « Qu'est ce qu'elle fait là, elle ? » demanda l'inspecteur Carlen en voyant Grace, son équipe était en effet exclusivement masculine, lui pensait que la place d'une femme était à la maison et certainement pas dans la police.
– « L'agent Van Pelt fait partie de mon équipe... » répondit Storms « ... Ca vous pose un problème ? »
Carlen ne répondit pas, mais le regard qu'il posait sur elle en disait long, sa misogynie s'en ressentait ouvertement.
– « Qu'une femme fasse un boulot d'homme vous emmerde est une chose... » débuta Grace pour se défendre « ... Mais je vais pas m'écarter de l'enquête parce que vous êtes con ! »
Elle fut interrompue par son téléphone portable qui sonnait, Rigsby sentit immédiatement qu'elle était énervée, il ne l'appelait pas pour ça, il voulait savoir comment elle allait, entendre sa voix.
Elle lui expliqua très rapidement ce qui se passait pour elle et demanda où en était leur enquête, il lui retourna la question.
– « On se voit chez toi ou chez moi, ce soir ? »
– « Je croyais que c'était chacun chez soit un jour sur deux ? On était ensemble, cette nuit ! »
Il répondit que cela n'aurait pas dû être le cas, ça ne comptait donc pas, mais la jeune femme avait prévu de se rendre au cours de gym ce soir, elle n'y avait été pas été les deux semaines précédentes car ils était loin de Sacramento pour les enquêtes et étaient rentrés tard.

Jane & Cho avait contacté les parents de leur victime, qui prenait la route depuis Phoenix pour venir reconnaître le corps de leur fille, dont il n'avait plus de nouvelle depuis une dizaine de jours.
Ils en avaient signalé la disparition mais n'auraient jamais douté qu’elle se rendrait en Californie.
Lisbon & Rigsby avaient attendu une vingtaine de minutes avant d'intercepté l'homme avec lequel Natacha avait rendez – vous.
James Carter Denson était étonné de trouvé la police à la place de la femme dont il était tombé amoureux via internet et qu'il devait rencontrer pour la première fois, il fut horrifier d'apprendre qu'elle avait été assassinée.
Il donna à Lisbon tous les renseignements dont elle avait besoin, le peut qu'il connaissait sur Natacha : il avait beaucoup chatter mais elle était resté secrète, il savait juste qu'elle était de l'Arizona et qu'elle avait vingt – sept ans depuis peut.

Lorsque Grace Van Pelt eu raccrochait et qu'elle revint vers ses collègues, la jeune femme s'était visiblement calmée, elle était souriante, sa voix était posée.
Elle ne se revendiquer pas misandre (qui éprouve de l'hostilité envers les hommes) et ne voulait pas l'être.
– « Pensez ce que vous voulez de moi... Je m'en fous ! » déclara – t – elle « Je comprend que ça vous fasse chier qu'une femme fasse mieux son boulot que trois hommes ! »
Cette phrase était sortie toute seule mais avait au moins eu le mérite de refroidir ses sales types, qui n'avait rien trouvé à redire à cela.

Ca avait scotchés Storms, Johnson & Colins, qui ne s'attendaient pas à une telle réaction mais qui appréciaient qu'elle ne se laisse pas faire par un sale macho.
Storms proposa à Van Pelt de la mettre sur une autre enquête avec Johnson ou Colins, mais elle refusa, il était hors de question qu'elle donne raison à son confrère.
– « Vous ne devez pas être marié ! » déclara – t – elle à Carlen en vérifiant qu'il ne portait pas d'alliance.
Cette question surprit l'intéressé, qui n'en saisissait pas le sens « Vous n'avez pas trouver de femme capable de supporter votre misogynie ? ».

Le soir venu, Jane se rendit chez Lisbon, sans trouver de faux prétexte. Ils devaient juste parler de ce qu'il s'était passé entre eux la nuit précédente, ils s'assirent face à face sur le canapé.
Jane posa sa main sur celle de L isbon, commençant à la caresser; il commença à évoquer les sentiments de plus en plus fort qu'il éprouvait pour elle, il ne cessait de repenser à la nuit qu'ils avait passer ensemble, à ce qu'il avait ressenti; elle avoua ne pas regretter non plus mais que le fait qu'ils bossent ensemble compliquait grandement les choses.
D'après lui, c'était un prétexte qu'ils se trouvaient pour justifier leur peur et mettre un terme à leur relation qui commencer; Van Pelt & Rigsby arrivaient bien à cumuler les deux, pourquoi eux n'y arriveraient pas ?
Lisbon lui répondit que ça n'était pas la même chose, leurs deux collègues étaient amoureux depuis le premier jour de la jeune femme dans leur unité.
Jane demanda à Lisbon, en la regardant bien dans les yeux, si elle avait envie qu'ils fassent l'amour, cette question la gêna, elle détourna le regard de lui.
– « Tu en as envie ? »
– « Tu sous estimes le fait que tu sois une belle femme... Désirable ! »
Elle observa quelques secondes le vêtement de nuit qu'elle portait, doutant de son sexe – apple avec, il assura que n'importe quelle tenue les avantageaient, Grace & elle.
Il l'embrassa dans le cou et lui dit qu'il devait rentré, une famille venait visiter sa maison le lendemain matin, il les rejoindrait ensuite.

Des bougies éclairées la pièce, la table était mise pour deux... C'est ce qui s'offrit à Grace lorsqu'elle entra chez elle après son heure et demi de gym. Épuisée.
Elle comprit lorsqu'elle vit son compagnon apparaître, tout comme il était clair, à son étreinte, qu'elle lui avait manquée.
La jeune femme proposa à son amant de prendre la douche ensemble, mais il refusa afin de finir la préparation du repas, qui arrivait à sa fin, il la rejoignait après.

Teresa Lisbon lâcha la main de Patrick Jane lorsqu'ils entrèrent dans la maison de ce dernier, elle respecter le lieu dans lequel il avait vécu avec sa femme et sa fille.
Il reprit sa main, qu'i serra plus fort encore.
Un lit deux places avait remplacé le matelas de la chambre du couple, sur lequel il dormait jusqu'à maintenant, sous le smiley de John Le Rouge effacée par la peinture fraîchement refaite.
Elle lui fit par ses doutes concernant sa présence, elle trouvait cela mal – saint et irrespectueux vis – à – vis de la femme et de la fille défuntes de son amant.
Debout à côté du lit, Patrick commença à la déshabiller et à l'embrasser avec passion, Teresa se laissa faire, frissonnant sous son étreinte.
Sous ses airs de plaisantin à qui on donnerai le bon Dieu sans confession, Jane était un homme doux et patient qui savait y faire avec les femmes : il leur disait ce qu'elles voulaient entendre, uniquement la vérité.
Son sourire ne pouvait que les faire craquer.

Après le dîner, Grace & Wayne s'était assit sur le canapé.
Il s'en releva, alla mettre de la musique et revint vers elle.
– « Tu danses ? » demanda – t – il.
Après avoir hésiter, elle attrapa sa main et se leva pour danser ce slow qu'il lui proposé.
Corps contre corps, le temps sembla s'arrêter pour eux.
– « Je savais pas que tu danser si bien... » s'étonna la jeune femme.
– « Encore un de mes nombreux talents que tu ignores ! ».
Ils restèrent ainsi même après la fin de la chanson.

Le réveil fut particulier pour Lisbon, ouvrir les yeux dans cette chambre pour la première fois lui paraissait étrange, d'autant plus qu'elle y était seule.
Au rez – de – chaussé, Jane préparait le petit déjeuné, il avait l'intention de la réveiller après.
– « Salut ! Bien dormie ? ».
– « Très bien ! » répondit – elle en s'étirant.
Il s'approcha sans un mot et lui vola un baiser, tel deux adolescents dans la cours du collège.
Après cette première collation de la journée, Lisbon se doucha, s'habilla et rentra à Sacramento, Jane avait une excuse pour arrivé en retard mais pas elle.
Elle franchit le seuil de la porte lorsque les visiteurs de la maison s'y présentèrent.

Grace arriva au bureau en même temps que Wayne, tous deux de très bonne humeur.
Son café était déjà sur son bureau lorsqu'elle entra, comme elle l'aimait.
Cho remarqua également le sourire de Rigsby.
– « Bonne soirée ? » demanda – t – il.
– « Excellente ! ».
Il n'en su pas plus.

Rigsby attrapa un stylo à lui sur le bureau de son collègue et monta, sans que Cho ne comprenne.
Il tilta ensuite que ça n'était qu'un prétexte pour allait voire sa dulcinée à l'étage.
– « C'est à toi ! » annonça l'agent en montrant le dit stylo.
Seul avec eux, Brady quitta le bureau pour les laisser.
– « Ce soir, je te promet une soirée inoubliable... » annonça – t – il « ... J'passe te prendre à sept heure ! »
Elle tenta de savoir de quoi il en retournait mais n'obtint rien de plus, elle savait juste qu'elle ne devait pas particulièrement bien s'habiller, c'était juste une soirée en amoureux, à l'extérieur.

Au volent de sa mythique Citroën DS, Jane rejoignit l'équipe à Modesto, où la police local avait largement avancé le travail des agents du C.B.I, la grange avait été fouillé de font en comble, le portable de la victime avait été retrouvé, ils contenait de nombreux message échangé entre Natacha Elodie Garbers et un certain Isaac Nelson Forks, qui avait un casier judiciaire long comme le bras ; Lisbon décida d'aller lui rendre une petite visite, histoire de vérifier.

L'analyse du corps du Lac Tahoe ne donnait rien, rien n'indiqué l'identité du John Doe de l'agent Storms, ni la raison de sa présence, l'enquête en était au point mort.
Les policiers misogyne de Carson City ne facilitait pas le boulot des agents de l'Etat, ils barraient la route à toute les initiatives de l'agents Van Pelt, le C.B.I était pourtant prioritaire sur la résolution cette affaire.
Une conférence de presse allait être donné, chacun préparait ses cartes à jouer de son côté.

LA SUITE DIMANCHE !!

coooooooa !!! dimanche !!!!! naaaaaaaaaaaaaaan !!! TT.TT VLS maintenant moaaaaaaaah !!!

je suis en train d'écrire la suite et je ne suis pas là demain (je suis chez un ami, j'ai pas (encore) Internet chez moi).
j'essais de vous pondre une suite pour la fin de la journée (je ne promet rien) et la suite de la suite dimanche sans faute !!

Génial cette suiite!!
VLS !!

merci ^^

Mais c'est trop bien
La suiiiiite please

J'me permet une danse de la joie !:



JISBON , VLS VLS VLS VLS VLS véeèelleèsse !!

FELICITY, je suis fan de la danse !!!

Héhé, moi aussi !

Cho & Rigsby remarquèrent les petits regards et les petits sourires que s'échanger Lisbon & Jane, ils avaient aussi bien vu que leur complicité avait grandit depuis quelques temps.
Les amants ne commentèrent pas les suspicions de leurs collègues.
Cho se doutait qu'il s'était passer quelque chose enter eux car il était évident que leur respect professionnel s'était intensifier et modifier en relation plus personnelle, dont il aimerai connaître la vraie nature.

L'équipe de l'agent Carlen s'attribuait tous les mérites de l'avancée de l'enquête devant les journalistes lorsque les agents californiens les rejoignirent.
Grace Van Pelt prit le micro afin de rétablir la vérité.
– « L'enquête n'avance pas.... En grande partie parce que Mr Carlen et ses hommes nous mettent des bâtons dans les roues... Ils ont beaucoup de mal admettre qu'une femme fasse un meilleur boulot que eux quatre réunis... » déclara – t – elle « ... Cette enquête et celle du C.B.I ! La police de Carson City nous file un coup de main ! »
La jeune femme raconta ensuite que quelques mois plus tôt, elle s'était fait tirer dessus parce que deux agents de la même unité se disputer l'enquête en cours, le gilet par balle que ses collègues avaient refusé de porter l'avait sauvé.
– « On fait une conférence de presse quand on a des éléments concrets... Quand l'enquête a déjà bien avancée... Ce qui est loin d'être notre cas ! » dit – elle ensuite « Vous vous êtes déplacés pour rien ! Le spectacle est fini ! Vous pouvez rentrer chez vous ! »
Les journalistes s'éparpillèrent malgré le rappel de l'inspecteur Carlen, qui reprocha aux agents leur intrusion dans ce qui aurait pût être leur moment de gloire.

En voiture avec Jane, elle lui demanda comment s’était passer la visite de sa maison, il annonça que la bâtisse la avait beaucoup plus et qu’ils l’achetaient sans aucun hésitation, il n’avait pas trouver cela nécessaire du parlait du fait que sa femme et sa fille y avaient été assassinées. Lisbon était contente pour lui et lui proposa de s’installer chez elle le temps que cela soit réglé.
Il refusa gentiment, elle avait besoin de son espace et lui trouvait cela trop précipitait, même si ça n’était que temporaire.

L’audace de Van Pelt durant la conférence de presse était arrivé aux oreilles de Madeleine Hightower, qui la félicita à son retour ; elle aurait voulut être là pour voir la têtes des policiers d’Arizona.
L’équipe de Lisbon revint à cet instant, eux ignoraient tout.

Grace s’approcha de Jane, installé sur son canapé.
– « Non, je ne sais pas ce que te prépares Rigsby… » déclara – t – il sans même la regarder « … Pourquoi tu lui demande pas ? ».
La jeune femme ne répondit pas et monta à l’étage, où se trouvait son nouveau bureau ; dès qu’elle eu disparue, Jane se glissa jusqu’à Rigsby.
– « C’est quoi cette soirée inoubliable ? »
N’entendant pas la réponse qu’il attendait, Jane en fit des déductions et trouva ce que caché son collègue.
– « Pas la peine de me dire… » déclara le consultant « Je sais ! »
Rigsby changea de sujet en demandant à Jane s’il était la cause de la bonne humeur de leur patronne, il le nia, et assura ignorait ce qui lui arrivait, elle avait peut – être un homme dans sa vie, certainement.
Rigsby & Cho se regardèrent, certains que Jane en savait plus qu’il ne voulait bien le dire.

Grace exigea de savoir où il l’emmener, mais c’était ne surprise qui devait le rester.
Elle fini par céder et accepta de le suivre sans savoir où, ce qui l’angoissée quelque peut.
Cho, Lisbon & Jane s’était servit un verre avant de rentrer, eux aussi se demander où étaient les tourtereaux.
– « Il va la demander en mariage ! » déclara Jane qui n’en pouvait plus de tenir sa langue « Il ne me l’a pas dit, mais je suis sur que c’est ça ! »

Grace fut surprise de l’endroit où l’emmener son homme… Une fête foraine !
Wayne lui expliqua que c’est un endroit qu’il adorait et qu’il fréquentait beaucoup avec ses frères lorsqu’ils étaient enfants, ses frangins le jalousait car lui gagnait toujours l’objet pour lequel il jouait : peluches, consoles de jeux vidéo, jouets….

Après quelques tours des attractions proposées, il demanda à sa belle de l’attendre quelques minutes et de fermer les yeux.
Elle ne posa pas de questions (auxquelles il n’aurait pas répondu de toute façon) et s’exécuta.

Lorsqu’il revint, quelques minutes plus tard, il lui permit d’ouvrir les yeux.
Wayne se trouva face à elle, un gros ours en peluche dans les bras, sur le ventre de celle – ci était écrit « would you married me ? ».
La jeune femme ne comprit pas tout de suite, d’autant que tout le monde semblait les observer.
– « Grace… Epouses – moi !! »

LA TROISIEME PARTIE DIMANCHE !!
bon week-end !

Geniial!!
Vivment dimanche!!

Aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie, comme tu ments c'est pas Dimanche, c'est maintenant :)
Non ? Siiiiiii ! Steuuupléé !

ça c'est pas gentil comme fin !!!!!!!!!!!!!

Tu nous laisse comme ça, tu veux notre mort ou quoi, lol !!!!!