[CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
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[CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Tiens, vais poster ça ici tiens xD
Alors, vous pouvez prendre ça comme fin alternative à l'écrit du diable, comme vous voulez, mais sachez que la façon dont elle s'est terminée restera la seule et unique fin dans mon coeur.
Titre : Si Loin de Toi
Nombre de Chapitres : 3
Donc fic' courte ^^
Si Loin de Toi…
Chapitre 1
Beckett
La mort dans l’âme, elle marchait sans réel but sous cette pluie fine. Elle n’y prêtait pas vraiment attention pour être exact. Elle se contentait de laisser son regard fureter au sol, n’osant pas le lever, comme si elle avait honte de quelque chose. Elle avait changé depuis ce jour, elle n’était plus réellement la même. Sa joie de vivre avait presque disparue, elle savait qu’elle était encore en elle, quelque part, enfouie, se terrant à la vue de tous. Mais elle se refusait à la laisser sortir, la peine qu’elle éprouvait était bien trop étouffante pour qu’elle ait le courage de dégainer un petit sourire devant ses amis et collègues. Elle regrettait de ne pas avoir pu le sauver ce jour là, malgré ses mains recouvertes de son sang, elle avait essayé. Mais il n’était pas revenu pour elle, à elle.
Elle regrettait de ne pas avoir su lui dire à quel point il comptait pour elle. Il avait amené la joie dans son cœur, elle lui avait donné une façon de se rendre utile, ce qui l’avait aussi rendu heureux.
Elle continuait d’avancer, le regard toujours fixé sur le sol. Elle ne prêtait même pas attention, au groupe de personne sur sa gauche, eux aussi sous la pluie, eux aussi à pleurer un être aimé disparu.
A chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle le voyait, allongé sur le sol, cherchant son souffle, cherchant les mots qu’il allait lui dire avant qu’il ne soit trop tard. Elle se voyait encore, essayant de faire revenir la vie en lui. L’implorant de revenir auprès d’elle. Elle vivait un cauchemar éveillé. Son cauchemar.
Ce silence qui avait prit possession de ce lieu était de temps en temps brisé par une brise légère, venant frapper son visage. Elle n’arrivait pas à penser à autre chose, comme si le monde s’était arrêté de tourner quand elle l’a vu, là, devant elle, aux portes de la mort.
Le peu de temps passé depuis ce jour ne l’avait pas aidé à sécher ses larmes. Seule dans le noir elle laissait la tristesse l’envahir, lui permettant de ne pas la montrer le jour. Mais ces nuits à verser des larmes ne l’aidaient plus.
Elle arriva enfin, à côté de cet arbre, si cela n’était pas un cimetière elle aurait pu sourire à la vue de ce léger rayon de soleil traverser les feuilles et de cet arc-en-ciel qui prenait forme non loin d’elle.
Elle resta un instant à fixer cette pierre tombale, son visage doucement caressé par la pluie fraiche. Le froid l’envahissait… Elle laissa échapper une larme quand elle revu son ami, enveloppé par la mort. Comme ci elle pouvait voir son visage dans le reflet de la stèle.
Elle ne savait pas quoi dire, la pluie redoublait d’intensité, mais elle restait debout au même endroit sans bouger. Comme ci elle attendait quelqu’un. La culpabilité, cette garce qui vous ronge de plus en plus à chaque secondes. Ceux qui vous entourent au beau vous dire que ce n’est pas votre faute, mais comment peuvent-ils en être aussi sûr ? Vous, vous y étiez, et vous savez ce que vous n’avez pas fait : Elle aurait pu être à ces côtés… Elle ne pouvait pas nier qu’il lui avait déjà sauvé la vie, plus d’une fois. Avant même qu’il soupçonne son existence, il était là pour l’aider à surmonter la mort de sa mère. Il était là, quand elle enquêtait sur cette affaire qui a failli la laisser au fond du gouffre… En fait, il a toujours été là, auprès d’elle : pour la consoler, la soutenir, la guider, la faire sourire… Ce sourire qu’elle a perdu depuis, sourire qu’elle ne parvenait plus à retrouver.
Le seul moment, où elle aurait dû se trouver à ses côtés pour l’aider… Elle n’y était pas. Elle avait échoué.
Ses vêtements étaient trempés, mais elle se refusait à se mettre à l’abri. Elle voulait se punir d’être encore là, d’être encore en vie… sans lui.
Ce sentiment qu’elle avait, venait des choses qu’elle n’avait pas faites, des mots qu’elle n’avait pas osé dire. Peut-être que ça aurait changé quelque chose si elle le lui avait dit. Peut-être qu’elle aurait dû le forcer à rester dans cet appartement et ne pas y bouger. Peut-être qu’elle aurait dû être capable de trouver les mots pour qu’il la laisse l’aider…
Elle serra un peu plus fort le glock qu’elle avait dans sa main, elle voulait se punir plus que tout au monde, elle pensait mériter ce qu’elle allait faire. Elle pensait trouver du courage en le regardant, elle commença à pointer le canon sur son visage fatigué et meurtri quand elle sentit une présence.
Elle tenta en vain de cacher ses larmes pour masquer sa tristesse et sa culpabilité quand elle sentit une main se poser délicatement sur son épaule. Elle se retourna lentement en ayant toujours la tête penchée vers le sol et en cherchant un moyen de cacher ce qu’elle allait faire avec ce glock dans sa main.
Elle sentit une main se poser sur son visage, effaçant pas la même occasion ses larmes :
- Regarde-moi…
Elle n’osa toujours pas lever les yeux. Alors l’homme, qui se tenait à côté d’elle, posa délicatement son index sous le menton de l’inspectrice, pour la forcer à le regarder dans les yeux.
- Hey, efface ces larmes. Ce n’est pas toi.
- Je t’ai tué.
- Ne dis pas ça, c’est faux.
- Je n’ai pas été capable de t’aider.
- Tu es la personne qui m’a le plus apporté. Ces deux années passées avec toi et tes amis ont été les plus belles de ma vie. Tu m’as permis d’exister, tu m’as donné la possibilité de découvrir un monde, ton monde.
- Ce monde t’a tué.
- Non. Les actions que j’ai entreprises m’ont tué. Ton monde n’y est pour rien.
Il l’enlaça délicatement, elle posa sa tête contre son cœur et ferma les yeux comme si elle voulait immortaliser ce moment. Il posa l’une de ses mains sur sa tête et l’enveloppa avec son blouson pour tenter de la réchauffer. Elle grelotait.
- Je reste ici avec toi, tant que tu me laisseras une place dans ton cœur, je serais là. Ne pleure plus, ne laisse pas la tristesse te détruire. Tu vaux plus que ça.
Elle se refusait toujours à lâcher le métal froid de son glock.
- A quoi bon, maintenant que tu es si loin de moi ?
- Peu importe comment cela doit se finir, peu importe ce que tu décides de faire. Je veux que tu saches une chose : Je t’ai toujours aimé, même si je n’ai jamais trouvé les mots pour te le dire. Tu es le soleil qui a fait briller ma vie. Bas-toi, comme tu t’es battue par le passé. Je trouverai peut-être la force de revenir. J’ai besoin que tu sois forte pour moi.
- Il-
- Shhhht. Oublie le, il n’est plus. Bas toi avec moi, aide-moi à revenir.
- Ne me laisse pas.
- Je ne te laisserai pas. Jamais. Nous sommes liés pour l’éternité…
Elle continuait à le serrer fortement dans ses bras, sa présence la rassurait, elle était bien blottie contre lui… Elle se sentait revivre.
Alors, vous pouvez prendre ça comme fin alternative à l'écrit du diable, comme vous voulez, mais sachez que la façon dont elle s'est terminée restera la seule et unique fin dans mon coeur.
Titre : Si Loin de Toi
Nombre de Chapitres : 3
Donc fic' courte ^^
______________________________________________________
Si Loin de Toi
Chapitre 1 : Beckett
Chapitre 2 : Castle
Chapitre 3 : Pour l'éternité...
Fic' terminée
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Si Loin de Toi
Chapitre 1 : Beckett
Chapitre 2 : Castle
Chapitre 3 : Pour l'éternité...
Fic' terminée
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Si Loin de Toi…
Chapitre 1
Beckett
La mort dans l’âme, elle marchait sans réel but sous cette pluie fine. Elle n’y prêtait pas vraiment attention pour être exact. Elle se contentait de laisser son regard fureter au sol, n’osant pas le lever, comme si elle avait honte de quelque chose. Elle avait changé depuis ce jour, elle n’était plus réellement la même. Sa joie de vivre avait presque disparue, elle savait qu’elle était encore en elle, quelque part, enfouie, se terrant à la vue de tous. Mais elle se refusait à la laisser sortir, la peine qu’elle éprouvait était bien trop étouffante pour qu’elle ait le courage de dégainer un petit sourire devant ses amis et collègues. Elle regrettait de ne pas avoir pu le sauver ce jour là, malgré ses mains recouvertes de son sang, elle avait essayé. Mais il n’était pas revenu pour elle, à elle.
Elle regrettait de ne pas avoir su lui dire à quel point il comptait pour elle. Il avait amené la joie dans son cœur, elle lui avait donné une façon de se rendre utile, ce qui l’avait aussi rendu heureux.
Elle continuait d’avancer, le regard toujours fixé sur le sol. Elle ne prêtait même pas attention, au groupe de personne sur sa gauche, eux aussi sous la pluie, eux aussi à pleurer un être aimé disparu.
A chaque fois qu’elle fermait les yeux, elle le voyait, allongé sur le sol, cherchant son souffle, cherchant les mots qu’il allait lui dire avant qu’il ne soit trop tard. Elle se voyait encore, essayant de faire revenir la vie en lui. L’implorant de revenir auprès d’elle. Elle vivait un cauchemar éveillé. Son cauchemar.
Ce silence qui avait prit possession de ce lieu était de temps en temps brisé par une brise légère, venant frapper son visage. Elle n’arrivait pas à penser à autre chose, comme si le monde s’était arrêté de tourner quand elle l’a vu, là, devant elle, aux portes de la mort.
Le peu de temps passé depuis ce jour ne l’avait pas aidé à sécher ses larmes. Seule dans le noir elle laissait la tristesse l’envahir, lui permettant de ne pas la montrer le jour. Mais ces nuits à verser des larmes ne l’aidaient plus.
Elle arriva enfin, à côté de cet arbre, si cela n’était pas un cimetière elle aurait pu sourire à la vue de ce léger rayon de soleil traverser les feuilles et de cet arc-en-ciel qui prenait forme non loin d’elle.
Elle resta un instant à fixer cette pierre tombale, son visage doucement caressé par la pluie fraiche. Le froid l’envahissait… Elle laissa échapper une larme quand elle revu son ami, enveloppé par la mort. Comme ci elle pouvait voir son visage dans le reflet de la stèle.
Elle ne savait pas quoi dire, la pluie redoublait d’intensité, mais elle restait debout au même endroit sans bouger. Comme ci elle attendait quelqu’un. La culpabilité, cette garce qui vous ronge de plus en plus à chaque secondes. Ceux qui vous entourent au beau vous dire que ce n’est pas votre faute, mais comment peuvent-ils en être aussi sûr ? Vous, vous y étiez, et vous savez ce que vous n’avez pas fait : Elle aurait pu être à ces côtés… Elle ne pouvait pas nier qu’il lui avait déjà sauvé la vie, plus d’une fois. Avant même qu’il soupçonne son existence, il était là pour l’aider à surmonter la mort de sa mère. Il était là, quand elle enquêtait sur cette affaire qui a failli la laisser au fond du gouffre… En fait, il a toujours été là, auprès d’elle : pour la consoler, la soutenir, la guider, la faire sourire… Ce sourire qu’elle a perdu depuis, sourire qu’elle ne parvenait plus à retrouver.
Le seul moment, où elle aurait dû se trouver à ses côtés pour l’aider… Elle n’y était pas. Elle avait échoué.
Ses vêtements étaient trempés, mais elle se refusait à se mettre à l’abri. Elle voulait se punir d’être encore là, d’être encore en vie… sans lui.
Ce sentiment qu’elle avait, venait des choses qu’elle n’avait pas faites, des mots qu’elle n’avait pas osé dire. Peut-être que ça aurait changé quelque chose si elle le lui avait dit. Peut-être qu’elle aurait dû le forcer à rester dans cet appartement et ne pas y bouger. Peut-être qu’elle aurait dû être capable de trouver les mots pour qu’il la laisse l’aider…
Elle serra un peu plus fort le glock qu’elle avait dans sa main, elle voulait se punir plus que tout au monde, elle pensait mériter ce qu’elle allait faire. Elle pensait trouver du courage en le regardant, elle commença à pointer le canon sur son visage fatigué et meurtri quand elle sentit une présence.
Elle tenta en vain de cacher ses larmes pour masquer sa tristesse et sa culpabilité quand elle sentit une main se poser délicatement sur son épaule. Elle se retourna lentement en ayant toujours la tête penchée vers le sol et en cherchant un moyen de cacher ce qu’elle allait faire avec ce glock dans sa main.
Elle sentit une main se poser sur son visage, effaçant pas la même occasion ses larmes :
- Regarde-moi…
Elle n’osa toujours pas lever les yeux. Alors l’homme, qui se tenait à côté d’elle, posa délicatement son index sous le menton de l’inspectrice, pour la forcer à le regarder dans les yeux.
- Hey, efface ces larmes. Ce n’est pas toi.
- Je t’ai tué.
- Ne dis pas ça, c’est faux.
- Je n’ai pas été capable de t’aider.
- Tu es la personne qui m’a le plus apporté. Ces deux années passées avec toi et tes amis ont été les plus belles de ma vie. Tu m’as permis d’exister, tu m’as donné la possibilité de découvrir un monde, ton monde.
- Ce monde t’a tué.
- Non. Les actions que j’ai entreprises m’ont tué. Ton monde n’y est pour rien.
Il l’enlaça délicatement, elle posa sa tête contre son cœur et ferma les yeux comme si elle voulait immortaliser ce moment. Il posa l’une de ses mains sur sa tête et l’enveloppa avec son blouson pour tenter de la réchauffer. Elle grelotait.
- Je reste ici avec toi, tant que tu me laisseras une place dans ton cœur, je serais là. Ne pleure plus, ne laisse pas la tristesse te détruire. Tu vaux plus que ça.
Elle se refusait toujours à lâcher le métal froid de son glock.
- A quoi bon, maintenant que tu es si loin de moi ?
- Peu importe comment cela doit se finir, peu importe ce que tu décides de faire. Je veux que tu saches une chose : Je t’ai toujours aimé, même si je n’ai jamais trouvé les mots pour te le dire. Tu es le soleil qui a fait briller ma vie. Bas-toi, comme tu t’es battue par le passé. Je trouverai peut-être la force de revenir. J’ai besoin que tu sois forte pour moi.
- Il-
- Shhhht. Oublie le, il n’est plus. Bas toi avec moi, aide-moi à revenir.
- Ne me laisse pas.
- Je ne te laisserai pas. Jamais. Nous sommes liés pour l’éternité…
Elle continuait à le serrer fortement dans ses bras, sa présence la rassurait, elle était bien blottie contre lui… Elle se sentait revivre.
Dernière édition par BlackNight le Mar 5 Oct 2010 - 18:53, édité 1 fois
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Oh c'est magnifique
J'aime beaucoup ce style d'écriture ma BN c'est très touchant Ca change du sadisme .
Le fantôme de Castle vient consoler Beckett
J'adooooooore c'est trop beau
J'aime beaucoup ce style d'écriture ma BN c'est très touchant Ca change du sadisme .
Le fantôme de Castle vient consoler Beckett
J'adooooooore c'est trop beau
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Pfff quoi dire...BN j'ai hate que tu fasse dans l'humour car tes fics sont toujours pleine d'émotion et mon moral en prends à chaque fois un coup surtout par cette morne après midi.
Sinon ton style est toujours aussi fluide, puissant. Un vrai plaisir à lire tes écrits.
J'ai vraiment hâte de connaitre ce que tu nous réserves.
C'est difficile de ne pas prendre cette fic comme une fin alternative.
Sinon ton style est toujours aussi fluide, puissant. Un vrai plaisir à lire tes écrits.
J'ai vraiment hâte de connaitre ce que tu nous réserves.
C'est difficile de ne pas prendre cette fic comme une fin alternative.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
J'adore !!!
C'est vraiment super bien écrit. J'aime beaucoup ton style d'écriture! Hâte d'en lire d'autres
C'est vraiment super bien écrit. J'aime beaucoup ton style d'écriture! Hâte d'en lire d'autres
Laety- Distributeur de café
- Personnage préféré : Jane
Localisation : P.A.C.A (13)
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Merci les filles
Erf, désolé pour ton moral, Daidi Il est vrai que j'affectionne les drames
Sinon, voici le chapitre 2, le point de vue de Castle xD
Bientot le dernier chapitre ^^
_______________________________________
Si loin de toi…
Chapitre 2
Castle
L’écrivain arriva dans une sorte de couloir, tout blanc, presque éblouissant. Il avança à l’aveuglette en priant de ne pas faire la connaissance d’un objet se trouvant sur sa route. Il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait là, il était comme perdu. Il ne se rappelait de rien. Du moins, il ne se souvenait pas du chemin qu’il avait fait pour en arriver là, dans cet étrange couloir blanc. Il avança encore jusqu’à ce que la lumière devenue aveuglante. Il mit alors sa main devant ses yeux et continua d’avancer…
Avant qu’il puisse comprendre ce qu’il se passait, la lumière aveuglante laissa sa place à une pièce, tout blanche. Il se frotta les yeux pour tenter d’apercevoir quelque chose, ou quelqu’un, qui pourrait l’aider à savoir où il était. Puis il entendit quelqu’un :
- Hey ?! Asseyez-vous, ce sera bientôt votre tour.
Il sursauta, il ne s’attendait pas à voir quelqu’un ici. Et peu importe ce que ce « ici » signifiait.
- (un peu perdu) Ou suis-je ?
L’homme qui se trouvait en face de lui le fixa un bon moment avant de poursuivre…
- Je pense que vous pouvez le deviner de vous-même.
L’écrivain se mis à sourire malgré la situation inconnue dans laquelle il se trouvait.
- Pourquoi souriez-vous ?
- Sérieux, vous me demandez de deviner ?
- Exactement.
- Wow, j’ai l’impression d’être dans une publicité là.
- Pardon ?
- (il se mit à rigoler et changea de voix) Nespresso, What else ?
Il était bien le seul à trouver ça drôle…
- Vous êtes un individu étrange, monsieur. Allez vous asseoir je vous prie.
- Et si je n’ai pas envie de m’asseoir ?
- Vous faites ce que vous voulez, si vous voulez rester debout ça vous regarde. Mais plus vite vous serez assis, plus vite, on pourra commencer.
- Commencer quoi ?
Il regarda l’homme qu’il avait en face de lui puis décida de capituler…
- Ok c’est bon je m’assois. (Il prit place sur ce qui semblait être un banc) Voilà, je suis assis… Et j’attends… J’attends quoi d’ailleurs ?
- Oh, s’il vous plait, vous devez savoir où vous êtes ?
Il regarda rapidement autour de lui…
- Quoi, je suis mort ?
- Ne soyez pas bête…
- C’est déjà bon à savoir, à un moment j’ai cru que vous êtiez-
- Dieu.
- Ouais ! C’est marrant, hein ?
- Non, puisse que dans ce cas, vous seriez mort…
- Ah oui, tout juste. Bon alors, si je ne suis pas mort, ou suis-je ?
- A votre avis.
- Vous allez rigolez, mais j’aurais bien dit : dans mon esprit… Mais si c’était vraiment le cas, il n’y a pas grand monde… (d’un air suspicieux) C’est à se demander comment j’ai pu écrire autant de bestsellers avec si peu de monde dans ma caboche… Ou alors ils font la fête un peu plus bas…
Malgré la situation Castle ne pu s’empêcher de se marrer…
- Essayez de vous rappeler.
- Me rappeler de ?
- Et bien, comment vous êtes arrivé ici.
- Déjà faudrait que je sache où je suis.
- Inutile. Cela ne vous aiderait pas.
L’écrivain sentit un frisson le parcourir, comme s’il était assis sur du béton...
- Oh, c’était quoi ça ?
- Un rappel.
- Un rappel, de ?
- De ce qui vous est arrivé pour que vous tombiez ici.
- Quoi ?
- Vous devez vous souvenir et apprendre.
- Qu’est-ce que vous me racontez ?
- Souvenez-vous, et apprenez…
- Ok, vous êtes flippant… Qui que vous soyez !
Il se leva, il voulait retourner dans ce couloir avec cette lumière aveuglante, mais quand il passa la porte, il tomba dans une autre pièce. Sombre, les murs étaient usés, les plafonds formés de poutre en béton et en acier. Des débris jonchaient le sol, il y a faisait froid, très froid. Il remarqua sur le sol, comme du sang séché. Il commençait à se rappeler, Hollywood, sa fille, cet homme, le coup de feu, cette vive douleur, Beckett…
- (Se parlant à lui-même) Quoi… Je suis mort ?
- Non.
L’écrivain sursauta.
- Ne me refaites plus jamais ça ! Vous m’avez fait flipper !
- Vous n’êtes pas mort…
- Mais ce type m’a tiré dessus… Beckett-
- Elle a tenté de vous sauver.
Castle assistait comme impuissant au film de sa propre mort. Il voyait Beckett tenter de le réanimer en faisant un massage cardiaque. Il voyait la tristesse dans ces beaux yeux, ces jolies mains recouverte de son sang.
- Kate…Elle n’a pas réussi c’est ça ?
- Pendant trois longues minutes, elle a tenté de vous faire revenir.
- Donc, c’est bien ce que je dis, je suis mort.
- Non. Je vous l’ai dit, vous devez vous souvenir et apprendre.
- Apprendre ? Si j’avais su que j’allais participer à « Question pour un champion, spécial au-delà », j’aurais révisé !
- Vous devez vous souvenir avant…
- Me souvenir ? ça y est, je me souviens : ce type m’a flingué, il s’est fait descendre, Kate a tenté de me sauver et elle a échoué. Fin de l’histoire, là je dois être en train de bouffer des pissenlits par la racine. Et je n’aime même pas ça !
- Si vous n’apprenez pas, ce voyage est inutile.
- Quoi ?
- Les gens changent quand ils frôlent la mort…
- Ouais, quand ils la frôlent… Moi j’ai plongé dedans. Oh… C’est ça les portes de la mort ? Ce couloir tout blanc, cette pièce blanche, un type bizarre… D’ailleurs, si on est dans mon esprit, vous êtes moi ? (Il fronça les sourcils) Chouette ! Je me parle à moi-même… Si je ne suis pas mort, je suis bon pour l’asile…
- Les gens changent quand ils frôlent la mort…
- Oui, ça va, j’ai entendu, pas la peine de répéter.
- Les gens-
- Shhht ! Vous m’énervez là !
- Vous devez apprendre.
L’écrivain soupira.
- C’est fatiguant de mourir…
Mais avant qu’il puisse continuer de se plaindre, en l’espace d’un battement de cil, il était ailleurs.
C’était étrange. La pièce sombre et froide avait laissé sa place à une allée gravillonnée, il marchait au milieu d’une route encerclée par deux trottoirs. Il ne voyait pas grand-chose, une lumière l’éblouissait, il croyait reconnaitre le soleil.
Alors que sa vue revenait, il aperçu au loin une silhouette qui ne lui était pas inconnue. Oui, cela ne pouvait être qu’elle. Il tenta de s’approcher, mais ses jambes refusaient de lui obéir. Il regarda autour de lui. Une pluie fine venait percuter les feuilles de cet arbre, là où la jeune femme se tenait. Il connaissait ce lieu, c’était un cimetière. Est-ce qu’il était vraiment mort ? Est-ce qu’il se voyait se rendre sur sa propre tombe ? Il ne saurait le dire. Mais s’il était là, il devait bien y avoir une raison.
Il fixa la jeune femme, oui il la connaissait. Quand son regard parcourait cette silhouette il ne pu s’empêcher d’afficher un petit sourire. Sourire partagé entre la joie de la revoir et la tristesse de ne pouvoir la serrer dans ses bras.
Elle lui manquait. Son sourire, son air épuisé face à ses blagues, son odeur, sa façon de bouger. Tout lui manquait chez cette femme.
Il essaya une nouvelle fois de s’approcher. Il eu la surprise de constater que cette fois, il pouvait bouger. Mais en s’approchant il remarqua dans les jolies mains de cette belle femme, une arme à feu. Peu importe ce qu’il était en train de vivre même s’il ne s’agissait que d’un rêve, il ne pouvait pas, il n’avait pas le droit de la laisser faire ça. Il la vit diriger le canon sur sa tempe en passant par ce beau visage. Il devait l’empêcher de le faire.
I posa délicatement une main sur cette épaule. Elle se retourna tout doucement, alors il apposa son autre main sur son visage, effaçant au passage quelques larmes. Ou était-ce la pluie ? Il sentit la femme frémir alors il lui demanda de la regarder. Elle ne pouvait pas le faire, elle semblait avoir honte de quelque chose, il ne comprenait pas quoi. De quoi pouvait-elle avoir honte ?
Il voulait revoir ces beaux yeux, peu importe ce qu’il était en train de revivre, il voulait replonger dans son regard. Alors il se servit de son index pour élever son regard au sien. L’écrivain commençait à comprendre ce que l’autre homme voulait lui faire en comprendre en répétant : « Les gens changent quand ils frôlent la mort… ». Il savait ce que ça voulait dire. Il savait qu’il n’avait plus beaucoup de temps, il se sentait partir.
Il serra la jeune femme une dernière fois et il pu lui chuchoter : « Nous sommes liés pour l’éternité… »
Erf, désolé pour ton moral, Daidi Il est vrai que j'affectionne les drames
Sinon, voici le chapitre 2, le point de vue de Castle xD
Bientot le dernier chapitre ^^
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Si loin de toi…
Chapitre 2
Castle
L’écrivain arriva dans une sorte de couloir, tout blanc, presque éblouissant. Il avança à l’aveuglette en priant de ne pas faire la connaissance d’un objet se trouvant sur sa route. Il ne savait pas vraiment ce qu’il faisait là, il était comme perdu. Il ne se rappelait de rien. Du moins, il ne se souvenait pas du chemin qu’il avait fait pour en arriver là, dans cet étrange couloir blanc. Il avança encore jusqu’à ce que la lumière devenue aveuglante. Il mit alors sa main devant ses yeux et continua d’avancer…
Avant qu’il puisse comprendre ce qu’il se passait, la lumière aveuglante laissa sa place à une pièce, tout blanche. Il se frotta les yeux pour tenter d’apercevoir quelque chose, ou quelqu’un, qui pourrait l’aider à savoir où il était. Puis il entendit quelqu’un :
- Hey ?! Asseyez-vous, ce sera bientôt votre tour.
Il sursauta, il ne s’attendait pas à voir quelqu’un ici. Et peu importe ce que ce « ici » signifiait.
- (un peu perdu) Ou suis-je ?
L’homme qui se trouvait en face de lui le fixa un bon moment avant de poursuivre…
- Je pense que vous pouvez le deviner de vous-même.
L’écrivain se mis à sourire malgré la situation inconnue dans laquelle il se trouvait.
- Pourquoi souriez-vous ?
- Sérieux, vous me demandez de deviner ?
- Exactement.
- Wow, j’ai l’impression d’être dans une publicité là.
- Pardon ?
- (il se mit à rigoler et changea de voix) Nespresso, What else ?
Il était bien le seul à trouver ça drôle…
- Vous êtes un individu étrange, monsieur. Allez vous asseoir je vous prie.
- Et si je n’ai pas envie de m’asseoir ?
- Vous faites ce que vous voulez, si vous voulez rester debout ça vous regarde. Mais plus vite vous serez assis, plus vite, on pourra commencer.
- Commencer quoi ?
Il regarda l’homme qu’il avait en face de lui puis décida de capituler…
- Ok c’est bon je m’assois. (Il prit place sur ce qui semblait être un banc) Voilà, je suis assis… Et j’attends… J’attends quoi d’ailleurs ?
- Oh, s’il vous plait, vous devez savoir où vous êtes ?
Il regarda rapidement autour de lui…
- Quoi, je suis mort ?
- Ne soyez pas bête…
- C’est déjà bon à savoir, à un moment j’ai cru que vous êtiez-
- Dieu.
- Ouais ! C’est marrant, hein ?
- Non, puisse que dans ce cas, vous seriez mort…
- Ah oui, tout juste. Bon alors, si je ne suis pas mort, ou suis-je ?
- A votre avis.
- Vous allez rigolez, mais j’aurais bien dit : dans mon esprit… Mais si c’était vraiment le cas, il n’y a pas grand monde… (d’un air suspicieux) C’est à se demander comment j’ai pu écrire autant de bestsellers avec si peu de monde dans ma caboche… Ou alors ils font la fête un peu plus bas…
Malgré la situation Castle ne pu s’empêcher de se marrer…
- Essayez de vous rappeler.
- Me rappeler de ?
- Et bien, comment vous êtes arrivé ici.
- Déjà faudrait que je sache où je suis.
- Inutile. Cela ne vous aiderait pas.
L’écrivain sentit un frisson le parcourir, comme s’il était assis sur du béton...
- Oh, c’était quoi ça ?
- Un rappel.
- Un rappel, de ?
- De ce qui vous est arrivé pour que vous tombiez ici.
- Quoi ?
- Vous devez vous souvenir et apprendre.
- Qu’est-ce que vous me racontez ?
- Souvenez-vous, et apprenez…
- Ok, vous êtes flippant… Qui que vous soyez !
Il se leva, il voulait retourner dans ce couloir avec cette lumière aveuglante, mais quand il passa la porte, il tomba dans une autre pièce. Sombre, les murs étaient usés, les plafonds formés de poutre en béton et en acier. Des débris jonchaient le sol, il y a faisait froid, très froid. Il remarqua sur le sol, comme du sang séché. Il commençait à se rappeler, Hollywood, sa fille, cet homme, le coup de feu, cette vive douleur, Beckett…
- (Se parlant à lui-même) Quoi… Je suis mort ?
- Non.
L’écrivain sursauta.
- Ne me refaites plus jamais ça ! Vous m’avez fait flipper !
- Vous n’êtes pas mort…
- Mais ce type m’a tiré dessus… Beckett-
- Elle a tenté de vous sauver.
Castle assistait comme impuissant au film de sa propre mort. Il voyait Beckett tenter de le réanimer en faisant un massage cardiaque. Il voyait la tristesse dans ces beaux yeux, ces jolies mains recouverte de son sang.
- Kate…Elle n’a pas réussi c’est ça ?
- Pendant trois longues minutes, elle a tenté de vous faire revenir.
- Donc, c’est bien ce que je dis, je suis mort.
- Non. Je vous l’ai dit, vous devez vous souvenir et apprendre.
- Apprendre ? Si j’avais su que j’allais participer à « Question pour un champion, spécial au-delà », j’aurais révisé !
- Vous devez vous souvenir avant…
- Me souvenir ? ça y est, je me souviens : ce type m’a flingué, il s’est fait descendre, Kate a tenté de me sauver et elle a échoué. Fin de l’histoire, là je dois être en train de bouffer des pissenlits par la racine. Et je n’aime même pas ça !
- Si vous n’apprenez pas, ce voyage est inutile.
- Quoi ?
- Les gens changent quand ils frôlent la mort…
- Ouais, quand ils la frôlent… Moi j’ai plongé dedans. Oh… C’est ça les portes de la mort ? Ce couloir tout blanc, cette pièce blanche, un type bizarre… D’ailleurs, si on est dans mon esprit, vous êtes moi ? (Il fronça les sourcils) Chouette ! Je me parle à moi-même… Si je ne suis pas mort, je suis bon pour l’asile…
- Les gens changent quand ils frôlent la mort…
- Oui, ça va, j’ai entendu, pas la peine de répéter.
- Les gens-
- Shhht ! Vous m’énervez là !
- Vous devez apprendre.
L’écrivain soupira.
- C’est fatiguant de mourir…
Mais avant qu’il puisse continuer de se plaindre, en l’espace d’un battement de cil, il était ailleurs.
C’était étrange. La pièce sombre et froide avait laissé sa place à une allée gravillonnée, il marchait au milieu d’une route encerclée par deux trottoirs. Il ne voyait pas grand-chose, une lumière l’éblouissait, il croyait reconnaitre le soleil.
Alors que sa vue revenait, il aperçu au loin une silhouette qui ne lui était pas inconnue. Oui, cela ne pouvait être qu’elle. Il tenta de s’approcher, mais ses jambes refusaient de lui obéir. Il regarda autour de lui. Une pluie fine venait percuter les feuilles de cet arbre, là où la jeune femme se tenait. Il connaissait ce lieu, c’était un cimetière. Est-ce qu’il était vraiment mort ? Est-ce qu’il se voyait se rendre sur sa propre tombe ? Il ne saurait le dire. Mais s’il était là, il devait bien y avoir une raison.
Il fixa la jeune femme, oui il la connaissait. Quand son regard parcourait cette silhouette il ne pu s’empêcher d’afficher un petit sourire. Sourire partagé entre la joie de la revoir et la tristesse de ne pouvoir la serrer dans ses bras.
Elle lui manquait. Son sourire, son air épuisé face à ses blagues, son odeur, sa façon de bouger. Tout lui manquait chez cette femme.
Il essaya une nouvelle fois de s’approcher. Il eu la surprise de constater que cette fois, il pouvait bouger. Mais en s’approchant il remarqua dans les jolies mains de cette belle femme, une arme à feu. Peu importe ce qu’il était en train de vivre même s’il ne s’agissait que d’un rêve, il ne pouvait pas, il n’avait pas le droit de la laisser faire ça. Il la vit diriger le canon sur sa tempe en passant par ce beau visage. Il devait l’empêcher de le faire.
I posa délicatement une main sur cette épaule. Elle se retourna tout doucement, alors il apposa son autre main sur son visage, effaçant au passage quelques larmes. Ou était-ce la pluie ? Il sentit la femme frémir alors il lui demanda de la regarder. Elle ne pouvait pas le faire, elle semblait avoir honte de quelque chose, il ne comprenait pas quoi. De quoi pouvait-elle avoir honte ?
Il voulait revoir ces beaux yeux, peu importe ce qu’il était en train de revivre, il voulait replonger dans son regard. Alors il se servit de son index pour élever son regard au sien. L’écrivain commençait à comprendre ce que l’autre homme voulait lui faire en comprendre en répétant : « Les gens changent quand ils frôlent la mort… ». Il savait ce que ça voulait dire. Il savait qu’il n’avait plus beaucoup de temps, il se sentait partir.
Il serra la jeune femme une dernière fois et il pu lui chuchoter : « Nous sommes liés pour l’éternité… »
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
je viens juste de le lire sur l'autre fofo, mais je tiens quand même à dire que j'adore ta fic, en fait j'adore toutes tes fics
hâte de lire la suite
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:
hâte de lire la suite
:bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
J'ai fait le yoyo avec ce chapitre.
J'adore comme tu arrives à retrouver l'humour de Castle car s'il y avait une scèe du genre je suis sure qu'il pourrait faire ça.
Après pour la suite, c'est un peu plus triste mais j'aime toujours autant ce que tu fais. Comme toujours c'est un vrai régal de te lire.
J'ai vraiment hate la suite même si ça signifie la fin de la fic
J'adore comme tu arrives à retrouver l'humour de Castle car s'il y avait une scèe du genre je suis sure qu'il pourrait faire ça.
Après pour la suite, c'est un peu plus triste mais j'aime toujours autant ce que tu fais. Comme toujours c'est un vrai régal de te lire.
J'ai vraiment hate la suite même si ça signifie la fin de la fic
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Merci à vous c'est chou ^^
Donc ben voilà, dernier chapitre de cette fin alternative, en espérant qu'elle réponde à vos attentes
=> Chapitre 3 : Pour l'éternité... <=
Donc ben voilà, dernier chapitre de cette fin alternative, en espérant qu'elle réponde à vos attentes
=> Chapitre 3 : Pour l'éternité... <=
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Alors comment te dire, je sais pas trop quoi en penser, tu m'a habitué à des fins dramatique et là tu me fais une jolie fin toute fluffy, toute Caskett.
Je ne dis pas que je suis contre, au contraire je l'aime bien cette fin aussi
Mais l'autre était aussi géniale.
En tout cas, merci car je ne m'attendais pas à ça de ta part. C'est un vrai joli coup de coeur
Une 'tite question, malgré ton départ comme admin, est ce que tu posteras toujours certaines de tes fics?
Je ne dis pas que je suis contre, au contraire je l'aime bien cette fin aussi
Mais l'autre était aussi géniale.
En tout cas, merci car je ne m'attendais pas à ça de ta part. C'est un vrai joli coup de coeur
Une 'tite question, malgré ton départ comme admin, est ce que tu posteras toujours certaines de tes fics?
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Ben j'y ai pensé à la fin alternative dramatique : à savoir Beckett qui se tire une balle dans la tête et rejoins Castle... Mais je me suis dis, si je termine cette fin alternative de façon dramatique, pourquoi faire une fin alternative ?
En tout cas merci
En tout cas merci
Vu que la prochaine sera sur TM, j'ai pas trop le choix pour après, possible je sais pas ^^Une 'tite question, malgré ton départ comme admin, est ce que tu posteras toujours certaines de tes fics?
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Oui c'est sur que c'était encore pire mais bon on sait jamais, il y a des auteurs sadiques.
Par contre, tes autres fics, si tu les publie pas sur le fo', tu les publieras sur ton site. Ce n'est pas du harcèlement c'est juste que j'aime vraiment bien ton style et qu'à chaque fois je prends plaisir à te lire donc je voudrais continuer à suivre les histoire de Castle
et puis je suis aussi fan de la série donc ça aide.
Par contre, tes autres fics, si tu les publie pas sur le fo', tu les publieras sur ton site. Ce n'est pas du harcèlement c'est juste que j'aime vraiment bien ton style et qu'à chaque fois je prends plaisir à te lire donc je voudrais continuer à suivre les histoire de Castle
et puis je suis aussi fan de la série donc ça aide.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: [CASTLE] Si Loin de Toi (terminée)
Pour être inspirée tu l'as été
Au début je me suis dis elle va pas nous plu tuer Beckett sur la tombe de Catsle
J'ai eu un soulagement après et hop c'est reparti les joutes verbes "je pleurai sur ta tpmbe, "J'aime ton romantisme"
"T'allais flinguer ma pierre tombale".....
Par contre contrairement à Daidi moi j'adoooooore les fins fluffy
J'adoooooooooorrrrrrrrreeeeeeeeeeeee, ça c'est de la fin comme j'aime
Bravo BN j'adore ton stylee d'écriture
Hâte de lire la prochaine :angel:
Au début je me suis dis elle va pas nous plu tuer Beckett sur la tombe de Catsle
J'ai eu un soulagement après et hop c'est reparti les joutes verbes "je pleurai sur ta tpmbe, "J'aime ton romantisme"
"T'allais flinguer ma pierre tombale".....
Par contre contrairement à Daidi moi j'adoooooore les fins fluffy
J'adoooooooooorrrrrrrrreeeeeeeeeeeee, ça c'est de la fin comme j'aime
Bravo BN j'adore ton stylee d'écriture
Hâte de lire la prochaine :angel:
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
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