Sweet Dreams [Fini] ^

C'est super comme d'hab mais tu veux nous tuer ou quoi !!? Lisbon ne peut pas être morte

C'est magnifique !! =)
Lisbon qui fait de l'humour xD
Trop triste la fin, pauvre Lisbon, paure Jane; pauvre Cho
Alors Alex là tu nous a fait un phénomène
VLS

c'est triste mais c'est beau, très bien écrit.

Mon maitre Jedddddii !
Raaah j'aime !
Et cette photo d'Alex me TUES quoi ! Ca y est, je l'aime
Muhhahahah, Lisbon est moorte !!! !!!
!!!
MuahAhAHhahaHaHAHAhahaAHaHAHahahAHAHAHaaaaaaaa...

J'adore ta fic,
mais dit moi, tu compte nous la tuée combien de fois notre Lisbon ?

VLS

Ah mais tu peux pas quoi pas encore une fois!!
C'est triste mais magnifique!
La suite !!

Il faut arrêter de la malmener notre Lisbon !
Depuis le début elle en voit des vertes et des pas mûres !
Pauvre Jane

Et notre Alex !!
La cerise sur le gateau

VLS

Rêve ou réalité? Tu est incroyable, incroyable!

Par contre notre petite Lisbon nous fait Achmed =D

Et j'oublié la photo d'Alex

Achmed ?? xD

Liery a écrit:Rêve ou réalité? Tu est incroyable, incroyable!

Par contre notre petite Lisbon nous fait Achmed =D

Tu parles bien d'Achmed the Dead Terrorist? "Silence!! I'll kill you!"

Evidemment! Tu connais un autre Achmed?

J'adore. Je te remercie 1000 fois de l'avoir subtilement rajouter a cette histoire.

"Je trouve que le monument à Washington ressemble pas du tout au gars. Ca serait plutôt un hommage à Bill Clinton" J'ai ri pendant une semaine avec cette phrase XD.






- Jane… Jane…

La voix de Cho l’appelait, mais il ne l’entendait pas. Toujours agenouillé par terre, le corps de la femme qu’il aimait dans les bras.

- Jane…

Cette fois-ci, l’agent s’était levé et posait une main sur son épaule. Mais le consultant ne releva pas la tête. Berçant le corps de la jeune femme, il répétait son nom dans un vain espoir qu’elle se réveille. L’agent commença à le secouer doucement puis, voyant que ça ne marchait pas, il haussa la voix.

- Jane !

Ce fut comme un déclic dans sa tête. Lentement, il ouvrit les yeux, appréhendant ce qu’il pourrait voir. Puis ils soupira à s’en vider les poumons, comme s’il avait gardé son souffle durant des heures. Il essuya ses larmes puis se redressa pour regarder autour de lui. Assis sur le canapé marron du CBI, il regarda Lisbon, sa main toujours sur son épaule.

- Merde… dit-il.

- Tu faisais un cauchemar, expliqua-t-elle, un sourire compatissant aux lèvres. Je vais te chercher un thé.

- Non… un café, s’il te plait… j’ai besoin de me réveiller.

Lisbon pencha la tête vers le côté, comme étonnée, mais ne posa pas de question. « Ok » dit-elle simplement avant de disparaitre dans un couloir. Jane regarda alors autour de lui. Le CBI était désert et, par la fenêtre, il pouvait voir la lune, déjà haute dans la nuit. Il avait dû s’endormir là pendant que les autres écrivaient leurs rapports sur la dernière affaire, et Lisbon était restée tard pour continuer sa paperasse en retard, comme elle le faisait souvent.

Quand elle revint dans l’espace de travail avec deux mugs, elle en tendit un à son collègue et le regarda, attendant qu’il parle. Elle n’avait pas l’habitude de le voir aussi sérieux et voyait bien qu’elle avait envie de se libérer d’un poids.

- Ca faisait des années que je n’avais pas fait ce genre de cauchemars. Depuis la morte de ma femme et de ma fille, en fait. Je croyais que maintenant que Red John est en prison, ça allait arrêter. Eh bien non, je me suis trompé.

- A l’époque tu rêvais déjà de moi ? dit-elle avec un sourire en coin. Que c’est flatteur !

- Pardon ? lâcha Jane, surpris.

- Je t’ai entendu dire mon nom, c’est pour ça que je suis sortie de mon bureau.

- Oh… fit simplement Jane, sentant la gêne l’envahir.

- J’espère que c’était en bien, au moins, plaisanta-t-elle en s’asseyant à son côté sur le canapé.

- Non…

- Non ? fronça-t-elle les sourcils, légèrement vexée.

- On était sur une affaire, expliqua-t-il, et tu te lançais toute seule pour arrêter un tueur alors que je te disais d’attendre les renforts. Et à la fin, tu…

Il ne finit pas sa phrase et se racla la gorge, tentant de défaire le nœud qui s’y formait. Lisbon le regarda, elle n’avait pas l’habitude de le voir troublé, surtout par un rêve. Alors elle se leva et se planta devant Jane.

- Tu as les mains qui tremblent, tu peux pas conduire comme ça. Je te ramène ? proposa-t-elle.

Jane regarda l’horloge murale qui affichait 21h30 et eut une idée.

- Je suis sûr que tu n’as pas mangé. Je t’invite, répondit-il en se levant.

- Oh, non, merci, j’en peux plus de manger chinois…

- Je pensais t’inviter chez moi et faire à manger, sourit-il.

- Tu devrais pas plutôt te reposer ? tenta-t-elle de s’échapper.

- J’ai déjà assez dormi ! s’exclama-t-il en courant vers le bureau de sa supérieure pour en sortir la veste.

- J’ai pas mon mot à dire ? fronça-t-elle les sourcils alors que le consultant l’aidait à enfiler son vêtement.

- Non !

- Bon, d’accord… se résigna-t-elle, sachant que le contredire ne servirait à rien.

Ils ne mirent pas longtemps à faire le trajet jusque chez l’homme et il l’invita à entrer dans sa maison. Lisbon regarda autour d’elle, étonnée par la vaste demeure où planait une odeur de peinture fraîche. L’homme lui proposa de faire le tour si elle le voulait mais elle resta timidement à quelques pas de lui, le suivant quand il entra dans la cuisine.

- Sacré Alex ! s’exclama-t-il en découvrant son réfrigérateur plein. C’est l’homme à tout faire qui rénove ma maison, expliqua-t-il.

Un post-it était collé à la porte du frigo : « T’avais plus rien à manger alors je suis allé faire quelques courses pour toi. Rêve pas, j’ai pris de l’argent dans ta cachette, troisième étagère du placard de ta chambre. Tu devrais mieux cacher ton argent ! Alex. » Jane le posa sur la table en souriant avant de sortir tout ce dont il avait besoin pour faire des omelettes jambon-fromage et de déboucher une bouteille de vin.

- Tu aimerais le rencontrer, lança-t-il en servant deux verres de rouge. Je crois que jamais personne a été autant aux petits soins pour moi ! L’autre jour il a même fait mon lit. Par contre, ça fait une semaine qu’il travaille pour moi et tout ce qu’il a fait, c’est repeindre ma chambre.

- Il trouve peut-être que tu le payes pas assez, dit-elle en regardant son portable éteint. Merde, il veut pas se rallumer…

- Depuis hier ? Tu devrais aller le faire réparer. Je pense plutôt qu’il aime juste être ici. C’est un Irlandais arrivé il n’y a pas longtemps avec aucune famille, alors il se sent peut-être seul.

- Et c’est pour ça qu’il passe son temps chez un type qui préfère dormir au CBI plutôt que de rentrer chez lui ? J’en doute ! rit-elle.

Le dîner se fit bien long mais néanmoins très agréable alors qu’ils parlaient de tout et de rien. Jane se sentait bien en sa présence et il se dit qu’il pourrait rester là à la regarder pendant des heures. L’avoir aussi près, en face de lui, le faisait sourire béatement et boire ses paroles, mais ça lui permettait également de voir le moindre petit détail sur le visage de la jeune femme. Les tâches brunes dans ses iris verts, la ride entre ses sourcils quand elle les fronçait et sa fossette sur sa joue gauche qui donnait à l’homme une envie irrépressible de déposer un baiser dessus. Il la trouvait tellement belle qu’il ne pouvait en détacher les yeux.

Soudain, rompant le charme, la chef d’unité se leva. Elle remercia Jane pour le dîner et remit sa veste. Elle dit qu’il était tard et qu’elle devait rentrer chez elle pour dormir un peu et elle faisait demi-tour pour quitter la cuisine quand Jane se leva et la saisit par le poignet.

- Attends ! s’exclama-t-il.

- Qu’est-ce qu’il y a ?

- Tu… Tu veux pas rester ?

- Rester ? répéta-t-elle, se demandant si elle avait bien compris.

- Oui, rester… dormir ici ? Enfin, heu… il est tard, essaya-t-il de se rattraper.

- Jane, je… me demande si on a la même conception du mot « dormir »… Tu sais aussi bien que moi qu’on travaille ensemble, que je suis ton supérieur, et…

- Tu me plais, la coupa-t-il. Rien que de te voir, ça… ça me rend tout chose ! Tu sais ce qui me retient au CBI maintenant que Red John est en prison ? Ce qui occupe mes pensées depuis qu’il a été arrêté ? Ce qui me donne une nouvelle… raison de vivre ? C’est toi, Lisbon. Rien que toi. Tu ne peux pas savoir les efforts que je dois faire pour m’empêcher de t’embrasser…

La jeune femme le fixait, yeux grands ouverts, interloquée. Sentant qu’il était en train de l’effrayer, il inspira un bon coup et reprit la parole.

- Ecoute, Lisbon… je veux pas te faire peur. Je veux juste que tu saches que… si jamais mes sentiments sont réciproques, ou même si t’as juste envie de… compagnie… je suis là. Et je serai toujours là. Pour toi.

Il s’approcha d’elle et la serra dans ses bras, marquant ainsi la sincérité de ses paroles. Lisbon, pour sa part, se lovait contre le torse du consultant, profitant de sa chaleur, se disant qu’il ne serait peut-être pas une si mauvaise idée de s’abandonner à lui. Il promenait ses mains sur le dos de la jeune femme puis s’approcha de son visage pour l’embrasser tendrement sur la joue. Mais à ce moment-là, Lisbon tourna sa tête pour le regarder.

Leurs lèvres entrèrent en collision, se heurtant sans le vouloir. Ils écartèrent leurs visages pour se fixer avec perplexité. Pendant de longues secondes ils restèrent immobiles, toujours dans les bras l’un de l’autre, les yeux dans les yeux. Puis, sa détermination faiblissant, Jane baissa le regard un dixième de seconde vers ses lèvres avant de revenir se concentrer sur ses yeux. Il n’en fallut pas plus à Lisbon pour encercler le cou du mentaliste de ses bras et se laisser complètement emporter par le désir qu’elle gardait en elle depuis longtemps, déclenché par la déclaration de Jane. Ils s’embrassèrent passionnément puis Jane commença à entraîner la jeune femme vers les escaliers qu’ils grimpèrent sans interrompre leur baiser.

Leurs vêtements se retrouvèrent vite parsemés sur le sol du couloir menant à la chambre et Jane souleva la jeune femme pour la porter jusqu’au lit, où ils se mêlèrent dans une étreinte fougueuse.

Bon ben ça c'est fait............................................

Mamamiaaaaaaaaaaaa c'est crooooooooo
VLS !!!

Waaaahouuuuuuuu

tout simplement

VLS

Ouuu mais ça devient torride dit donc. VLS!!!

C'est trop beau!!
Mais c'est pas encore un rêve j'espère
VLS

J'ai vraiment cru que Lisbon était morte !
Lorsque j'ai réalisé que ce n'était qu'un reve, j'ai poussé un de ces soupir de soulagement !
De quoi réveiller un mort lol
C'est super mignon la déclaration de Jane
Et la fin Trop fort
... Mais si ça se trouve, ça aussi c'est un reve

En tout cas, ►VLS◄

Merci tout le monde! Je suis contente que ça vous plaise!

Par contre, personne a remarqué la phrase que j'ai glissée sournoisement en me disant que j'allais me faire tuer .

pk tu va te faire tue?

Shaitan a écrit:Merci tout le monde! Je suis contente que ça vous plaise!

Par contre, personne a remarqué la phrase que j'ai glissée sournoisement en me disant que j'allais me faire tuer .

Quelle phrase ?

Shaitan a écrit: - Ecoute, Lisbon… je veux pas te faire peur. Je veux juste que tu saches que… si jamais mes sentiments sont réciproques, ou même si t’as juste envie de… compagnie… je suis là. Et je serai toujours là. Pour toi.

C'est drôle que ça ne choque personne que Jane propose de jouer les esclaves sexuels .

Shaitan a écrit:

Shaitan a écrit: - Ecoute, Lisbon… je veux pas te faire peur. Je veux juste que tu saches que… si jamais mes sentiments sont réciproques, ou même si t’as juste envie de… compagnie… je suis là. Et je serai toujours là. Pour toi.

C'est drôle que ça ne choque personne que Jane propose de jouer les esclaves sexuels .

J'avais pas compris ça comme sexuels moi j'pensais juste qu'il serait la, si elle se sent seule, en ami

Shaitan a écrit:

Shaitan a écrit: - Ecoute, Lisbon… je veux pas te faire peur. Je veux juste que tu saches que… si jamais mes sentiments sont réciproques, ou même si t’as juste envie de… compagnie… je suis là. Et je serai toujours là. Pour toi.

C'est drôle que ça ne choque personne que Jane propose de jouer les esclaves sexuels .

Ah oui !
C'est vrai que sur le coup, ça m'a un peu surpris
du genre " Il est vraiment en manque ... "
Mais ne t'inquiète pas, tu ne vas pas te faire tuer

Après 6 ou 7 ans, c'est compréhensible