Red Situation ^
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Re: Red Situation ^
Et bien voilà la DS "elle est mourrue"
Ah ! les chamailleries entre Jane et Lisbon ...un vrai petit moment de plaisir...c'est tellement bien écrit...tellement vrai
Le tête à tête entre le consultant et Jane risque de ne pas être triste
Mais ce que j'attends c'est surtout de voir de quel genre sera la vengeance de Jane
pour ce chapitre si divertissant.
Ah ! les chamailleries entre Jane et Lisbon ...un vrai petit moment de plaisir...c'est tellement bien écrit...tellement vrai
Le tête à tête entre le consultant et Jane risque de ne pas être triste
Mais ce que j'attends c'est surtout de voir de quel genre sera la vengeance de Jane
pour ce chapitre si divertissant.
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Red Situation ^
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Cette suite est géniale, à mourir de rire!!!!
J'adore les pensées de Lisbon surtout concernant le cercueil roulant de jane!!!! J'ai vraiment l'impression d'etre dans sa tête quand je lis et je trouve ça croustillant!! Chacune de tes répliques ou des répliques qu'elle se fait à elle même est un régal genre: elle lui acheterait un vélo un point c'est tout!!!
Cette fic est vraiment super!!
Cette suite est géniale, à mourir de rire!!!!
J'adore les pensées de Lisbon surtout concernant le cercueil roulant de jane!!!! J'ai vraiment l'impression d'etre dans sa tête quand je lis et je trouve ça croustillant!! Chacune de tes répliques ou des répliques qu'elle se fait à elle même est un régal genre: elle lui acheterait un vélo un point c'est tout!!!
Cette fic est vraiment super!!
enjoy- Inspecteur de police
Re: Red Situation ^
Bon, je suis impardonnable mon truc pour m'alerter des nouveaux chapitres n'a pas marché et je ne vais pas souvent dans ce topic donc j'ai loupé plein de chapitre. J'espère que tu m'en excuseras.
j'adore le Fairfield, ça m'a fait penser à une autre série avec une jane, cette fois ci
Et un grand merci pour ce que tu fais après tes chapitre, car grâce à ça je tombe directement sur le prochain chapitre, ce qui dans mon cas est préférable.
J'ai lu le chapitre 5, et le Levine je ne le sens pas du tout. J'adore Lisbon et sa musique et puis la discussion de fin est je dois dire excellente, ça remet les choses en place et montre un Jane un peu plus mature que l'on ne pourrait le croire.
Je fais vite comme ça fait longtemps que tu l'as écrit, je ne vais pas m'éterniser.
Direction le chapitre 6, J'adore ce chapitre avec Cho qui remet en place ce Levine et puis le coup de la voiture. Je me demande encore ce qu'il se passe.
Bon, je fonce au chapitre 7, Pauvre DS et la conversation entre Jane et Lisbon c'est du régal. Je ne m'en lasse pas de leurs piques. Vraiment du bonheur en barre.
J'attends la fameuse conversation et puis la vengeance Ca risque d'être cocasse.
Encore un grand merci pour les liens directs venant aux chapitres, c'est une super bonne idée
j'adore le Fairfield, ça m'a fait penser à une autre série avec une jane, cette fois ci
Et un grand merci pour ce que tu fais après tes chapitre, car grâce à ça je tombe directement sur le prochain chapitre, ce qui dans mon cas est préférable.
J'ai lu le chapitre 5, et le Levine je ne le sens pas du tout. J'adore Lisbon et sa musique et puis la discussion de fin est je dois dire excellente, ça remet les choses en place et montre un Jane un peu plus mature que l'on ne pourrait le croire.
Je fais vite comme ça fait longtemps que tu l'as écrit, je ne vais pas m'éterniser.
Direction le chapitre 6, J'adore ce chapitre avec Cho qui remet en place ce Levine et puis le coup de la voiture. Je me demande encore ce qu'il se passe.
Bon, je fonce au chapitre 7, Pauvre DS et la conversation entre Jane et Lisbon c'est du régal. Je ne m'en lasse pas de leurs piques. Vraiment du bonheur en barre.
J'attends la fameuse conversation et puis la vengeance Ca risque d'être cocasse.
Encore un grand merci pour les liens directs venant aux chapitres, c'est une super bonne idée
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: Red Situation ^
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!
* Est encore plus impardonnable que Didi *
Merci Beaucoup pour cette suite, elle est géniale. Les répliques et les pensées sont très bien trouvées, c'est du pur bonheur à lire :)
Vivement la suite,
* Est encore plus impardonnable que Didi *
Merci Beaucoup pour cette suite, elle est géniale. Les répliques et les pensées sont très bien trouvées, c'est du pur bonheur à lire :)
Vivement la suite,
Elle*- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Localisation : Euh...
Re: Red Situation ^
*est encore plus impardonnable que vous toutes sur mon retard *
Mille excuses pour cet énorme retard mais ma connexion internet est *ù$:,:!!!^$ù@^ù*$
Et puis j'avoue un peu tristement que le syndrome de la page blanche m'a guettée pendant un bon moment
Bref un grand énormissisme merci à Johel, enjoy, Daidi et Elle* pour vos commentaires, c'est un vrai régal de lire vos réactions
Voici la suite et "l'affrontement" Jane/Levine J'espère que vous ne serez pas déçues
Début de l'enquête dans le prochain chapitre
Bonne lecture
CHAPITRE 8
La poisse. Je ne voyais que ça. Je devais être carrément maudit pour que le sort s’acharne ainsi. Ma place échangée avec Lisbon, la colère de cette dernière, ma pauvre voiture détruite et voilà que maintenant je devais marcher, pendant Dieu sait combien de temps, avec un détestable consultant du procureur. Mais je préparais déjà ma vengeance. Elle ne l’emportera pas au paradis ma chère Lisbon parce que là, elle m’avait profondément blessé. Je ne pensais pas avoir mérité autant de colère venant d’elle pour qu’elle me laisse comme ça, en pleine campagne et en si ‘charmante’ compagnie.
Une idée s’imposa à moi cependant. Si je continuais de provoquer Lisbon de cette façon, je craignais de ne pas faire long feu. Et pour de nombreuses raisons. Parce que là je pense franchement que je ne suis pas dans ses petits papiers. Voire tout le contraire. Si je voulais avoir une chance de me faire bien voir d’elle, il fallait que je change mon fusil d’épaule. Et comme mon orgueil est, je l’avoue humblement, assez fort, ça risque d’être plutôt difficile de prendre sur moi. Quoiqu’elle en valait le coup. J’aurais bien réfléchis plus longtemps à mes propres soucis mais voilà que j’oubliais quelque chose de primordial : je n’étais pas sur mon canapé, ni au C.B.I. mais bien au beau milieu de nulle part avec un quasi inconnu. Et ce dernier ne m’avait pas oublié.
« Vous avez mal quelque part ? » dit-il d’une voix douce.
« Je vous remercie, ça va. » répondis-je un peu durement.
Je me relevais car j’étais toujours assis par terre, attendant certainement qu’un esprit m’emporte loin de ce lieu maudit. Il me gratifia d’un sourire et nous descendions dans la vallée à grands pas. Enfin grands pas pour lui car je n’étais quand même pas au meilleur de ma forme. Sauf qu’il était absolument hors de question que je me plaigne auprès de Levine. Je passais déjà pour un fou alors pas la peine d’en rajouter. Mon dos me faisait quelque peu souffrir tout comme mon crâne mais mis à part ça, je me sentais relativement apte à marcher. Il m’attendit pour que je sois à sa hauteur et il semblait bien trop pressé à mon goût d’entamer la conversation.
« Alors Patrick… Je peux vous appeler Patrick ? » commença-t-il.
« Si ça peut vous plaire… » répondis-je, toujours de mauvaise humeur.
« Bien, Patrick. Je pense, à juste titre il me semble, que ma présence vous déplait non ? »
« Pourquoi poser des questions dont vous connaissez déjà la réponse ? »
« J’ai cru comprendre que vous étiez plutôt doué à ce jeu là Patrick. » répliqua-t-il avec un sourire - qui allait avoir le don de me mettre facilement hors de moi, je le pressentais.
Enfin un adversaire à ma taille…
« Sauf que mon but n’est certainement pas de jouer avec vous, j’ai bien d’autres préoccupations, Harrison. » dis-je.
« Comme rendre folle votre collègue par exemple ? »
« Et elle me le rend bien, croyez moi. » lançais-je avec un regard un peu trop triste à mon goût.
Il laissa un silence s’installer, et je l’observais du coin de l’œil alors que je voyais un rictus prendre forme sur son visage. C’était plus une grimace moqueuse que méchante mais ça avait le don de me mettre relativement mal à l’aise.
« Je peux savoir ce qui vous fait sourire comme ça ? » demandais-je, contrarié.
« Et bien je dois avouer que lorsque le procureur m’a parler de la ‘mission’, j’ai pris ça comme un défi, mais je crains que c’est… un miracle qu’il va falloir que je réalise. » dit-il, toujours avec le sourire.
« Je ne comprends pas. » répondis-je avec un regard interrogateur.
« Comment vous dire… Disons que je suis sûr que vous êtes quelqu’un de compétent, intelligent et… dynamique. Mais pour évaluer vos compétences professionnelles, je dois aussi prendre en compte vos relations avec les autres et elles paraissent assez… tumultueuses. »
« C’est un euphémisme. » ne pus-je m’empêcher de répliquer.
J’avais l’impression de me disputer constamment avec Lisbon, comme si c’était un pacte tacite entre nous. Notre relation était faite en grande partie de ça, les coups tordus que je m’évertuais à préparer pour arrêter les suspects et qu’elle devait par la suite justifier… La liste est tellement longue. Mais là, nos rôles étant échangés, nos joutes verbales habituelles se transformaient en règlements de comptes et je n’avais pas du tout envie de cela.
« Pourquoi ne pas profiter de cette situation toute neuve pour vous montrez plus… adulte auprès de votre collègue ? » proposa-t-il.
Adulte ? Comment ça adulte ? J’en suis un que je sache ! Il ne va pas commencé à m’insulter tout de même !
« Pardon, Harrison, mais je sais ce qu’est être adulte. C’est juste que moi et l’autorité ça fait deux. C’est dans ma nature, je n’y peux rien. »
« Il s’agit juste de faire quelques efforts Patrick. Ecoutez, je connais ce que j’ai à connaître sur votre passé et je suis enclin à faire des concessions à votre égard si je note de véritables changements dans votre comportement. »
« De quel genre ces changements ? »
« Et bien disons… Laissez un peu votre collègue respirer par exemple. Elle semble exténuée par votre attitude envers elle. »
Ce n’était pas très gentil de dire ça et je m’en trouvais légèrement vexé mais je devais admettre qu’il n’avait pas tout à fait tord. Je soupirais, faisant clairement savoir à mon compagnon de voyage que j’avais besoin de quelques instants de réflexion.
Nous nous approchions de plus en plus de la route qui sillonnait la vallée et je ne voyais que très peu de véhicules l’emprunter. En espérant que ma chance revienne d’ici peu de temps… Je restais encore quelques minutes silencieux, ne sachant pas quoi répondre à Levine. Mais heureusement pour moi, je suis un expert lorsqu’il s’agit d’éluder les sujets embarrassants, j’allais donc en profiter pour en apprendre un peu plus sur lui.
« Et vous Harrison, parlez-moi un peu de vous. »
« Oh… Et bien, par où commencer… J’ai grandi à Sacramento, avec mon frère et ma sœur. Mes parents sont morts il y a bien des années dans un accident quand j’avais 8 ans. Je n’ai jamais été marié, je n’ai pas d’enfants et je vis seul dans une belle maison à quelques minutes de Sacramento. Quoi d’autre… Je travaille depuis 5 ans pour le procureur et j’avoue adorer mon métier. Les règlements sont ma vie, alors je suis content de travailler avec vous, je suis sûr que nous avons pleins d’opinions différentes à changer. » finit-il en souriant.
Sympathique. Un homme normal en somme. Même un peu trop à mon goût. On aurait dit qu’il récitait sa leçon. Alors soit il s’attendait à ce que je lui pose la question, ce qui serait assez logique vu ma curiosité naturelle, ou bien il avait préparé son discours. J’étais aussi de nature à être suspicieux envers le monde entier alors je m’engageais personnellement à en apprendre un peu plus sur ce mystérieux Levine dès que nous serions arrivés à bon port.
« Quelle vie bien remplie. » lançais-je d’un air indifférent.
« Pas autant que la votre. » répliqua-t-il avec ce sourire qui commençait sérieusement à m’énerver.
« Ma vie privée ne vous regarde en rien. Je vous interdis d’y mettre votre nez c’est compris ? » dis-je d’un ton glacial.
« C’est noté. » ajouta-t-il, penaud.
Je ne pouvais pas être plus clair. Son intrusion dans ma vie m’insupportait déjà assez comme ça, il n’avait pas besoin en plus de se mêler de mon jardin secret. Mon existence était assez difficile à vivre sans que quelqu’un en qui je ne pouvais pas avoir confiance ne s’en préoccupe. A l’idée que ce type ait pu avoir accès à mon dossier personnel, je frémis de colère. Même si c’était l’hôpital qui se moquait de la charité, je ne supportais pas qu’on fouille dans ma chaotique vie. Mon histoire avait été un supplice à écrire et je refuse qu’un lecteur impudent ne puisse se permettre d’émettre un jugement. Toutes ces pensées désagréables durent me donner une teinte rouge sur le visage car je sentais mon corps chauffer et je vis que Levine avait préféré rester dans ses retranchements.
Nous longions maintenant la route tranquillement, sans que l’un de nous deux n’ose prendre la parole. Pendant dix minutes, nous restâmes avec le pouce levé pour qu’un bienheureux provincial nous prenne avec lui. Je commençais à fatiguer lorsqu’un cabriolet s’arrêta à notre niveau. Trois jeunes femmes, visiblement très peu vêtues et certainement sous l’emprise d’une quelconque drogue, avaient l’air impatientes de nous embarquer pour une prometteuse virée. Je sentis mes joues s’empourprer et je jetais un regard suppliant à mon collègue. Si seulement Lisbon me voyait, elle se moquerait de moi jusqu’à la fin des temps. Je n’avais certainement pas envie de monter dans cette voiture avec trois furies qui pourraient nous tuer rien qu’en posant leurs regards lubriques sur nous.
« Heu… Harrison ? Vous avez vraiment l’intention de monter avec elles ? » suppliais-je.
« Et pourquoi pas Patrick ? Vous avez peur de la gente féminine ? » lança-t-il avec un air de défi.
Il se moquait de moi, j’en étais sûr. Pourquoi prendre le risque de mourir à nouveau alors que nous touchions au but ? A quelques dizaines de kilomètres près…
« Je dis juste que question chance ce n’est pas trop ça en ce moment. Donc je ne tiens pas trop à risquer ma vie une deuxième fois en une heure. »
Mais à peine j’eus fini ma phrase que Levine était déjà parti rejoindre nos trois futures preneuses d’otages. Je regardais d’un air las la voiture et son contenu pour me retrouver, moi aussi, dans cette galère. Je proposais néanmoins de prendre le volant sous l’air hystérique des filles de Tantale. Alors que je voyais que Levine allait émettre une objection, je sautais, littéralement, sur le siège conducteur. Ce qui me rappela douloureusement que j’avais eu un accident il y avait une demi-heure. La jeune femme qui m’avait laissé sa place - à très juste raison au vu de la masse de brouillard qui s’agglutinait devant ses yeux – me fit une présentation des plus chaleureuses. Mandy, 27 ans, se prétendant mannequin, se disait à la recherche de la gloire en partant pour Los Angeles ave ses meilleures copines, Anna et Clarice. Le reste me rentra par l’oreille droite pour en ressortir directement chez sa jumelle. Je mis le contact, armé de mon sourire à toutes épreuves et d’une bonne dose de courage. Car je craignais que le temps me paraisse long. Terriblement long…
Une heure et quinze minutes plus tard, mon calvaire touchait à sa fin. Et j’entends par calvaire une véritable torture psychologique et une vigilance de tous les instants. Je ne savais pas combien de propositions indécentes j’avais pu entendre en aussi peu de temps. Je ne me permettrais pas de porter un jugement trop hâtif, ce n’est vraiment pas mon genre, mais je pense sérieusement que ces jeunes femmes n’auraient jamais du conduire dans un tel état. Elles, au moins elles avaient de la chance. Avoir échappé à un accident de la route dans leur état, c’était un miracle. Et nous étions leurs sauveurs. Levine ne s’en était pas trop mal sortir. Après avoir tenter de les ignorer, il avait conclu, assez rapidement je dois le dire, qu’il devait changer son fusil d’épaule. Et là, mon cher ami Levine nous a sorti un monologue tout droit sortit d’une thèse. Autant la tactique aurait pu être intéressante à exploiter si j’avais été sourd. Mais malheureusement pour moi ce n’était pas le cas. Comme aurait dit un bon New-yorkais : « J’les auraient balancés dans l’Hudson ! ». Sauf que j’avais plus l’impression d’être au beau milieu du Sahara, avec une crise de délirium mince qui pendait au dessus de ma tête.
Quel ne fut donc pas mon immense soulagement lorsque nous sommes arrivés à bon port. Je nous garais directement devant le commissariat local en prenant soin de faire quelques signes aux agents de garde pour qu’ils viennent prendre réception du charmant colis.
Je pensais pouvoir m’extirper de cette situation gênante facilement mais j’oubliais que mon karma était en berne en ce moment. Lisbon, Rigsby, Van Pelt et Cho avaient choisi ce moment précis pour sortir du vieux bâtiment de police. Je vis quatre paires d’yeux à la fois outrées et moqueuses se tourner dans notre direction. J’aurais voulu me cacher mais seule ma honte aurait été assez grande pour m’abriter. Je fis descendre le plus rapidement possible Levine sans lui causer plus de dommages qu’il devait en avoir. Je le plaignais, sincèrement. Avoir autant d’informations inutiles dans le cerveau et en être content, voire fier, c’était clairement du masochisme.
A peine avais-je eus le temps de délivrer mon compagnon d’infortune que je me retrouvais nez à nez avec Lisbon. Cette dernière, visiblement contente de me voir, me fixa avec un drôle de regard. On ne pouvait pas me laisser un peu tranquille…
« Alors vous avez l’air d’avoir fait bon voyage dîtes moi ? » dit-elle, moqueuse.
« J’ai sauvé plus de vies aujourd’hui que durant toute notre collaboration, alors arrêtez d’aborder cet air si fier. » répliquais-je avec un peu trop de froideur.
« Je suis sûre que c’est grâce à moi si vous avez pris cette maturité, vous devriez me remercier. »
« J’ai dû attraper une insolation parce que je crois que je suis en train d’halluciner… »
« Venez, allons tester vos toutes nouvelles capacités à être un adulte responsable. » acheva-t-elle en s’éloignant vers le poste de police.
Elle n’allait pas si mettre elle aussi ! Je jetais un regard suppliant à mes collègues, mais force était de constater que personne ne me soutiendrait. C’était censé être moi le chef et je me trouvais ridicule, et surtout ridiculisé. Aller, un peu de courage, la rédemption doit forcement passer par des moments difficiles n’est-ce pas ? Mon canapé me manque…
Mille excuses pour cet énorme retard mais ma connexion internet est *ù$:,:!!!^$ù@^ù*$
Et puis j'avoue un peu tristement que le syndrome de la page blanche m'a guettée pendant un bon moment
Bref un grand énormissisme merci à Johel, enjoy, Daidi et Elle* pour vos commentaires, c'est un vrai régal de lire vos réactions
Voici la suite et "l'affrontement" Jane/Levine J'espère que vous ne serez pas déçues
Début de l'enquête dans le prochain chapitre
Bonne lecture
CHAPITRE 8
La poisse. Je ne voyais que ça. Je devais être carrément maudit pour que le sort s’acharne ainsi. Ma place échangée avec Lisbon, la colère de cette dernière, ma pauvre voiture détruite et voilà que maintenant je devais marcher, pendant Dieu sait combien de temps, avec un détestable consultant du procureur. Mais je préparais déjà ma vengeance. Elle ne l’emportera pas au paradis ma chère Lisbon parce que là, elle m’avait profondément blessé. Je ne pensais pas avoir mérité autant de colère venant d’elle pour qu’elle me laisse comme ça, en pleine campagne et en si ‘charmante’ compagnie.
Une idée s’imposa à moi cependant. Si je continuais de provoquer Lisbon de cette façon, je craignais de ne pas faire long feu. Et pour de nombreuses raisons. Parce que là je pense franchement que je ne suis pas dans ses petits papiers. Voire tout le contraire. Si je voulais avoir une chance de me faire bien voir d’elle, il fallait que je change mon fusil d’épaule. Et comme mon orgueil est, je l’avoue humblement, assez fort, ça risque d’être plutôt difficile de prendre sur moi. Quoiqu’elle en valait le coup. J’aurais bien réfléchis plus longtemps à mes propres soucis mais voilà que j’oubliais quelque chose de primordial : je n’étais pas sur mon canapé, ni au C.B.I. mais bien au beau milieu de nulle part avec un quasi inconnu. Et ce dernier ne m’avait pas oublié.
« Vous avez mal quelque part ? » dit-il d’une voix douce.
« Je vous remercie, ça va. » répondis-je un peu durement.
Je me relevais car j’étais toujours assis par terre, attendant certainement qu’un esprit m’emporte loin de ce lieu maudit. Il me gratifia d’un sourire et nous descendions dans la vallée à grands pas. Enfin grands pas pour lui car je n’étais quand même pas au meilleur de ma forme. Sauf qu’il était absolument hors de question que je me plaigne auprès de Levine. Je passais déjà pour un fou alors pas la peine d’en rajouter. Mon dos me faisait quelque peu souffrir tout comme mon crâne mais mis à part ça, je me sentais relativement apte à marcher. Il m’attendit pour que je sois à sa hauteur et il semblait bien trop pressé à mon goût d’entamer la conversation.
« Alors Patrick… Je peux vous appeler Patrick ? » commença-t-il.
« Si ça peut vous plaire… » répondis-je, toujours de mauvaise humeur.
« Bien, Patrick. Je pense, à juste titre il me semble, que ma présence vous déplait non ? »
« Pourquoi poser des questions dont vous connaissez déjà la réponse ? »
« J’ai cru comprendre que vous étiez plutôt doué à ce jeu là Patrick. » répliqua-t-il avec un sourire - qui allait avoir le don de me mettre facilement hors de moi, je le pressentais.
Enfin un adversaire à ma taille…
« Sauf que mon but n’est certainement pas de jouer avec vous, j’ai bien d’autres préoccupations, Harrison. » dis-je.
« Comme rendre folle votre collègue par exemple ? »
« Et elle me le rend bien, croyez moi. » lançais-je avec un regard un peu trop triste à mon goût.
Il laissa un silence s’installer, et je l’observais du coin de l’œil alors que je voyais un rictus prendre forme sur son visage. C’était plus une grimace moqueuse que méchante mais ça avait le don de me mettre relativement mal à l’aise.
« Je peux savoir ce qui vous fait sourire comme ça ? » demandais-je, contrarié.
« Et bien je dois avouer que lorsque le procureur m’a parler de la ‘mission’, j’ai pris ça comme un défi, mais je crains que c’est… un miracle qu’il va falloir que je réalise. » dit-il, toujours avec le sourire.
« Je ne comprends pas. » répondis-je avec un regard interrogateur.
« Comment vous dire… Disons que je suis sûr que vous êtes quelqu’un de compétent, intelligent et… dynamique. Mais pour évaluer vos compétences professionnelles, je dois aussi prendre en compte vos relations avec les autres et elles paraissent assez… tumultueuses. »
« C’est un euphémisme. » ne pus-je m’empêcher de répliquer.
J’avais l’impression de me disputer constamment avec Lisbon, comme si c’était un pacte tacite entre nous. Notre relation était faite en grande partie de ça, les coups tordus que je m’évertuais à préparer pour arrêter les suspects et qu’elle devait par la suite justifier… La liste est tellement longue. Mais là, nos rôles étant échangés, nos joutes verbales habituelles se transformaient en règlements de comptes et je n’avais pas du tout envie de cela.
« Pourquoi ne pas profiter de cette situation toute neuve pour vous montrez plus… adulte auprès de votre collègue ? » proposa-t-il.
Adulte ? Comment ça adulte ? J’en suis un que je sache ! Il ne va pas commencé à m’insulter tout de même !
« Pardon, Harrison, mais je sais ce qu’est être adulte. C’est juste que moi et l’autorité ça fait deux. C’est dans ma nature, je n’y peux rien. »
« Il s’agit juste de faire quelques efforts Patrick. Ecoutez, je connais ce que j’ai à connaître sur votre passé et je suis enclin à faire des concessions à votre égard si je note de véritables changements dans votre comportement. »
« De quel genre ces changements ? »
« Et bien disons… Laissez un peu votre collègue respirer par exemple. Elle semble exténuée par votre attitude envers elle. »
Ce n’était pas très gentil de dire ça et je m’en trouvais légèrement vexé mais je devais admettre qu’il n’avait pas tout à fait tord. Je soupirais, faisant clairement savoir à mon compagnon de voyage que j’avais besoin de quelques instants de réflexion.
Nous nous approchions de plus en plus de la route qui sillonnait la vallée et je ne voyais que très peu de véhicules l’emprunter. En espérant que ma chance revienne d’ici peu de temps… Je restais encore quelques minutes silencieux, ne sachant pas quoi répondre à Levine. Mais heureusement pour moi, je suis un expert lorsqu’il s’agit d’éluder les sujets embarrassants, j’allais donc en profiter pour en apprendre un peu plus sur lui.
« Et vous Harrison, parlez-moi un peu de vous. »
« Oh… Et bien, par où commencer… J’ai grandi à Sacramento, avec mon frère et ma sœur. Mes parents sont morts il y a bien des années dans un accident quand j’avais 8 ans. Je n’ai jamais été marié, je n’ai pas d’enfants et je vis seul dans une belle maison à quelques minutes de Sacramento. Quoi d’autre… Je travaille depuis 5 ans pour le procureur et j’avoue adorer mon métier. Les règlements sont ma vie, alors je suis content de travailler avec vous, je suis sûr que nous avons pleins d’opinions différentes à changer. » finit-il en souriant.
Sympathique. Un homme normal en somme. Même un peu trop à mon goût. On aurait dit qu’il récitait sa leçon. Alors soit il s’attendait à ce que je lui pose la question, ce qui serait assez logique vu ma curiosité naturelle, ou bien il avait préparé son discours. J’étais aussi de nature à être suspicieux envers le monde entier alors je m’engageais personnellement à en apprendre un peu plus sur ce mystérieux Levine dès que nous serions arrivés à bon port.
« Quelle vie bien remplie. » lançais-je d’un air indifférent.
« Pas autant que la votre. » répliqua-t-il avec ce sourire qui commençait sérieusement à m’énerver.
« Ma vie privée ne vous regarde en rien. Je vous interdis d’y mettre votre nez c’est compris ? » dis-je d’un ton glacial.
« C’est noté. » ajouta-t-il, penaud.
Je ne pouvais pas être plus clair. Son intrusion dans ma vie m’insupportait déjà assez comme ça, il n’avait pas besoin en plus de se mêler de mon jardin secret. Mon existence était assez difficile à vivre sans que quelqu’un en qui je ne pouvais pas avoir confiance ne s’en préoccupe. A l’idée que ce type ait pu avoir accès à mon dossier personnel, je frémis de colère. Même si c’était l’hôpital qui se moquait de la charité, je ne supportais pas qu’on fouille dans ma chaotique vie. Mon histoire avait été un supplice à écrire et je refuse qu’un lecteur impudent ne puisse se permettre d’émettre un jugement. Toutes ces pensées désagréables durent me donner une teinte rouge sur le visage car je sentais mon corps chauffer et je vis que Levine avait préféré rester dans ses retranchements.
Nous longions maintenant la route tranquillement, sans que l’un de nous deux n’ose prendre la parole. Pendant dix minutes, nous restâmes avec le pouce levé pour qu’un bienheureux provincial nous prenne avec lui. Je commençais à fatiguer lorsqu’un cabriolet s’arrêta à notre niveau. Trois jeunes femmes, visiblement très peu vêtues et certainement sous l’emprise d’une quelconque drogue, avaient l’air impatientes de nous embarquer pour une prometteuse virée. Je sentis mes joues s’empourprer et je jetais un regard suppliant à mon collègue. Si seulement Lisbon me voyait, elle se moquerait de moi jusqu’à la fin des temps. Je n’avais certainement pas envie de monter dans cette voiture avec trois furies qui pourraient nous tuer rien qu’en posant leurs regards lubriques sur nous.
« Heu… Harrison ? Vous avez vraiment l’intention de monter avec elles ? » suppliais-je.
« Et pourquoi pas Patrick ? Vous avez peur de la gente féminine ? » lança-t-il avec un air de défi.
Il se moquait de moi, j’en étais sûr. Pourquoi prendre le risque de mourir à nouveau alors que nous touchions au but ? A quelques dizaines de kilomètres près…
« Je dis juste que question chance ce n’est pas trop ça en ce moment. Donc je ne tiens pas trop à risquer ma vie une deuxième fois en une heure. »
Mais à peine j’eus fini ma phrase que Levine était déjà parti rejoindre nos trois futures preneuses d’otages. Je regardais d’un air las la voiture et son contenu pour me retrouver, moi aussi, dans cette galère. Je proposais néanmoins de prendre le volant sous l’air hystérique des filles de Tantale. Alors que je voyais que Levine allait émettre une objection, je sautais, littéralement, sur le siège conducteur. Ce qui me rappela douloureusement que j’avais eu un accident il y avait une demi-heure. La jeune femme qui m’avait laissé sa place - à très juste raison au vu de la masse de brouillard qui s’agglutinait devant ses yeux – me fit une présentation des plus chaleureuses. Mandy, 27 ans, se prétendant mannequin, se disait à la recherche de la gloire en partant pour Los Angeles ave ses meilleures copines, Anna et Clarice. Le reste me rentra par l’oreille droite pour en ressortir directement chez sa jumelle. Je mis le contact, armé de mon sourire à toutes épreuves et d’une bonne dose de courage. Car je craignais que le temps me paraisse long. Terriblement long…
***
Une heure et quinze minutes plus tard, mon calvaire touchait à sa fin. Et j’entends par calvaire une véritable torture psychologique et une vigilance de tous les instants. Je ne savais pas combien de propositions indécentes j’avais pu entendre en aussi peu de temps. Je ne me permettrais pas de porter un jugement trop hâtif, ce n’est vraiment pas mon genre, mais je pense sérieusement que ces jeunes femmes n’auraient jamais du conduire dans un tel état. Elles, au moins elles avaient de la chance. Avoir échappé à un accident de la route dans leur état, c’était un miracle. Et nous étions leurs sauveurs. Levine ne s’en était pas trop mal sortir. Après avoir tenter de les ignorer, il avait conclu, assez rapidement je dois le dire, qu’il devait changer son fusil d’épaule. Et là, mon cher ami Levine nous a sorti un monologue tout droit sortit d’une thèse. Autant la tactique aurait pu être intéressante à exploiter si j’avais été sourd. Mais malheureusement pour moi ce n’était pas le cas. Comme aurait dit un bon New-yorkais : « J’les auraient balancés dans l’Hudson ! ». Sauf que j’avais plus l’impression d’être au beau milieu du Sahara, avec une crise de délirium mince qui pendait au dessus de ma tête.
Quel ne fut donc pas mon immense soulagement lorsque nous sommes arrivés à bon port. Je nous garais directement devant le commissariat local en prenant soin de faire quelques signes aux agents de garde pour qu’ils viennent prendre réception du charmant colis.
Je pensais pouvoir m’extirper de cette situation gênante facilement mais j’oubliais que mon karma était en berne en ce moment. Lisbon, Rigsby, Van Pelt et Cho avaient choisi ce moment précis pour sortir du vieux bâtiment de police. Je vis quatre paires d’yeux à la fois outrées et moqueuses se tourner dans notre direction. J’aurais voulu me cacher mais seule ma honte aurait été assez grande pour m’abriter. Je fis descendre le plus rapidement possible Levine sans lui causer plus de dommages qu’il devait en avoir. Je le plaignais, sincèrement. Avoir autant d’informations inutiles dans le cerveau et en être content, voire fier, c’était clairement du masochisme.
A peine avais-je eus le temps de délivrer mon compagnon d’infortune que je me retrouvais nez à nez avec Lisbon. Cette dernière, visiblement contente de me voir, me fixa avec un drôle de regard. On ne pouvait pas me laisser un peu tranquille…
« Alors vous avez l’air d’avoir fait bon voyage dîtes moi ? » dit-elle, moqueuse.
« J’ai sauvé plus de vies aujourd’hui que durant toute notre collaboration, alors arrêtez d’aborder cet air si fier. » répliquais-je avec un peu trop de froideur.
« Je suis sûre que c’est grâce à moi si vous avez pris cette maturité, vous devriez me remercier. »
« J’ai dû attraper une insolation parce que je crois que je suis en train d’halluciner… »
« Venez, allons tester vos toutes nouvelles capacités à être un adulte responsable. » acheva-t-elle en s’éloignant vers le poste de police.
Elle n’allait pas si mettre elle aussi ! Je jetais un regard suppliant à mes collègues, mais force était de constater que personne ne me soutiendrait. C’était censé être moi le chef et je me trouvais ridicule, et surtout ridiculisé. Aller, un peu de courage, la rédemption doit forcement passer par des moments difficiles n’est-ce pas ? Mon canapé me manque…
TBC...
Invité- Invité
Re: Red Situation ^
J'ai bien aimé la discussion entre Jane et Harrison.
Et à la fin, Jane qui est tout honteux face à l'équipe.
Et à la fin, Jane qui est tout honteux face à l'équipe.
Re: Red Situation ^
Ce n'est pas grave pour le retard Aphraël T'as bien fais de prendre ton temps d'écrire et de trouver l'inspiration
J'adore trop ton chapitre comme j'adore toujours autant ta fic
J'aime bien la discussion entre les deux consultant puis le moment où ils embarquent dans une voiture avec 3 minettes totalement déchirées ça m'a fait trop délirer
Trop chou, notre Patou qui fait son timide
Puis à la fin où Jane se trouvant honteux devant ses collègues, le pauvre
J'ai hâte de voir le début de l'enquête et de la suite du combat assez entre Jane et Lisbon, je sens que ça va être chaud dans les deux sens :vivement:
Bravo pour ce super chapitre
Je suis toujours aussi fan de ta fic tellement elle est géniiiale
VLS VLS VLS VLS
J'adore trop ton chapitre comme j'adore toujours autant ta fic
J'aime bien la discussion entre les deux consultant puis le moment où ils embarquent dans une voiture avec 3 minettes totalement déchirées ça m'a fait trop délirer
Trop chou, notre Patou qui fait son timide
Puis à la fin où Jane se trouvant honteux devant ses collègues, le pauvre
J'ai hâte de voir le début de l'enquête et de la suite du combat assez entre Jane et Lisbon, je sens que ça va être chaud dans les deux sens :vivement:
Bravo pour ce super chapitre
Je suis toujours aussi fan de ta fic tellement elle est géniiiale
VLS VLS VLS VLS
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red Situation ^
Il est bien ce chapitre
Et l'idée que Jane et Harrisson sont montés dans un voiture de 3 femmes en furie, j'étais
Et l'idée que Jane et Harrisson sont montés dans un voiture de 3 femmes en furie, j'étais
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Red Situation ^
ah, mdr' j'adore ! surtout lorsqu'ils doivent embarqués avec les trois filles
Jiisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Lisbon & Jane
Localisation : N'importe où, tant que qu'il y a du soleil
Re: Red Situation ^
Aphro tu es tout à fait excusable avec un chapitre comme ça.
Il est vraiment bien ce chapitre mais j'ai du mal à cerner ce foutu consultant, Levine. Et je trouve Jane mal à l'aise avec lui, c'est vraiment bizarre comme sensation à lire surtout quand on voit que Jane est plutôt sur de lui. Mais j'aime beaucoup cet aspect et ton écriture.
Mais j'aime beaucoup comment tu fais réagir Lisbon/Jane et c'est vraiment amusant de les voir interagir, j'ai hate de lire la suite :vivement:
Il est vraiment bien ce chapitre mais j'ai du mal à cerner ce foutu consultant, Levine. Et je trouve Jane mal à l'aise avec lui, c'est vraiment bizarre comme sensation à lire surtout quand on voit que Jane est plutôt sur de lui. Mais j'aime beaucoup cet aspect et ton écriture.
Mais j'aime beaucoup comment tu fais réagir Lisbon/Jane et c'est vraiment amusant de les voir interagir, j'ai hate de lire la suite :vivement:
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: Red Situation ^
Un nouveau chapitre et quel chapitre
Le jeu entre Jane et Lisbon est excellent
Quand à Levine je dirais "trop poli pour être honnête", il est glissant comme une anguille
J'adore la dernière pensée de Jane
Pauvre Jane
Je me demande où tu vas nous mener :vivement:
Le jeu entre Jane et Lisbon est excellent
Quand à Levine je dirais "trop poli pour être honnête", il est glissant comme une anguille
J'adore la dernière pensée de Jane
Aphraël a écrit:...Mon canapé me manque…
Pauvre Jane
Je me demande où tu vas nous mener :vivement:
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Red Situation ^
Un nouveau Chapitre :)
J'aime toujours autant la Fic, et ce Chapitre était Gé-Nial :)
Le combat Jane-Lisbon avec les différents points de Vues, c'est vraiment génial, et j'ai hâte, hâte, hâte de voir la suite :)
Levine... Ben moi, je le sens toujours pas, hein...
J'aime beaucoup comment tu écrit, c'est toujours très agréable à lire :)
[Tu es Toute pardonnée, bien sûr! :) ]
Elle*- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Localisation : Euh...
Re: Red Situation ^
Merci mille fois Elodie14, JA, alamanga, Jiisbon, Daidi, Johel et Elle*
Vos réactions me font vraiment chaud au coeur, je suis contente de vous avoir fait rire et surtout que Levine vous interroge
J'aime vous laisser dans le suspense mouhahaha
Je suis rassuré de voir que vous n'avez pas décrocher malgré la rareté de mes postes
Je vais essayé de vous mettre la suite d'ici la fin de la semaine si le Dieu Internet me le permet
Encore merci merci merci
Vos réactions me font vraiment chaud au coeur, je suis contente de vous avoir fait rire et surtout que Levine vous interroge
J'aime vous laisser dans le suspense mouhahaha
Je suis rassuré de voir que vous n'avez pas décrocher malgré la rareté de mes postes
Je vais essayé de vous mettre la suite d'ici la fin de la semaine si le Dieu Internet me le permet
Encore merci merci merci
Invité- Invité
Re: Red Situation ^
Ah les joies d'internet
Je me souviens encore du "bon vieux temps" avec ma connexion en 56k, lorsque tu avais le temps de te faire un sandwich et de le manger entre chaque requête (j’exagère à peine)et surtout lorsque tu devais choisir entre surfer ou téléphoner
Ne t'inquiètes pas on patientera pour la suite
Je me souviens encore du "bon vieux temps" avec ma connexion en 56k, lorsque tu avais le temps de te faire un sandwich et de le manger entre chaque requête (j’exagère à peine)et surtout lorsque tu devais choisir entre surfer ou téléphoner
Ne t'inquiètes pas on patientera pour la suite
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Red Situation ^
si tout tes prochains chapitres sont aussi bien que celui que je viens de lire alors l'attente ne me dérange absolument pas, tu écris super bien et à chaque fois on a envi d'en savoir plus mais la fin arrive toujours trop vite à mon gout.
Il me tarde de lire la suite, et bon courage avec ton internet, je sais ce que tu dois vivre en ce moment, je compatis
Il me tarde de lire la suite, et bon courage avec ton internet, je sais ce que tu dois vivre en ce moment, je compatis
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: Red Situation ^
Sweetylove30 a écrit:si tout tes prochains chapitres sont aussi bien que celui que je viens de lire alors l'attente ne me dérange absolument pas, tu écris super bien et à chaque fois on a envi d'en savoir plus mais la fin arrive toujours trop vite à mon gout.
Il me tarde de lire la suite, et bon courage avec ton internet, je sais ce que tu dois vivre en ce moment, je compatis
Je plussois ce que vient de dire Sweety
Tu es super douée et j'adore trop ta façon d'écrire tellement je me régale en lisant ta fic donc je peux patienter sagement la suite même si ça dur longtemps , je ne décroche en aucun cas ta superbe fic
Je compatis aussi pour tes problèmes d'Internet mais bon courage en tout cas
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Red Situation ^
ma connexioooon !!! il me reste 3 chapitres à rattraper, tu m'excuses de pas avoir bien suivi ?
En tout cas j'aime toujours l'histoire (ou j'en suis), tu écris vraiment bien par contre, je trouve que c'est bizarre que le "nouveau" veuille connaitre Jane, genre c'est quand même le boss pour cette affaire alors ça fait un peu bizarre. Mais y aurait pas de suspense sinon, alors ça va quand même
et maintenant je vais tenter de tout lire avant d'aller en cours d'histoire x)
En tout cas j'aime toujours l'histoire (ou j'en suis), tu écris vraiment bien par contre, je trouve que c'est bizarre que le "nouveau" veuille connaitre Jane, genre c'est quand même le boss pour cette affaire alors ça fait un peu bizarre. Mais y aurait pas de suspense sinon, alors ça va quand même
et maintenant je vais tenter de tout lire avant d'aller en cours d'histoire x)
chizuru300- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jisbon
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Localisation : Là ou vous ne me trouverez jamais
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