OS's crazy written by JA ^

beaucoup les filles

Voici un autre A tester et à approuver

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- Je suis sûr qui se passe un truc entre toi et elle ! Se moqua Wayne.
Patrick secoua la tête en haussant les épaules dans un rire nerveux.
- Mais qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre. Soupira-t-il.
- T’as rougi ! Répliqua Rigsby dans un sourire.
- Parce que tes suppositions me rendent mal à l’aise, Rigsby ! Ne cherche pas plus loin ! Dit Patrick dans un soupir, mal à l’aise.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Intervint Lisbon en pénétrant dans l’open-space.
- Rien ! Répondit les deux hommes à l’unisson, gênés.
L’un partit rejoindre son canapé tandis que l’autre rejoignit son poste sous le regard interrogateur de leur patronne puis Cho soupira et avoua à celle-ci d’un ton direct.
- Rigsby pense qu’entre vous et Jane, il y a un truc, un truc sexuel ! Intervint Cho.
Tous les yeux étaient rivés dans sa direction avec étonnement, Lisbon fut assez mal à l’aise et Jane se leva de son divan.
- Quoi ?! Vous rigolez ? Demanda Lisbon surprise et mal à l’aise ; Non ! Il n’y a rien entre moi et Jane et ça n’arrivera pas !
- J’ai essayé de leur dire le contraire mais vous savez comment ils sont. Lui dit Jane en se penchant légèrement vers elle.
- Pour ça, il faut une preuve ! Pensa Grace à voix haute.
- Ouais, faites le test ! Ajouta Rigsby.
- Le test du baiser ! Fit Kimball. C’est un simple bisou, ça vaudra dire non, si c’est plus, ça voudra dire oui !
Jane et Lisbon se regardèrent, mal à l’aise en se mettant face à face et essayant de rassurer l’autre par un sourire crispé. L’équipe les regarda d’un air amusé pendant que Teresa regarda son consultant dans les yeux tout en penchant comme au ralenti l’un vers l’autre.
- Vous êtes sûr de vouloir le faire ? Demanda Lisbon dans un murmure.
- Et vous ? Lui demanda Jane à son tour.
- Non ! Répondit-elle.
- Moi non plus. Fit-il
- Vous pouvez toujours dire « stop ». Lui rassura la belle brunette.
- Je crains qu’il soit déjà trop tard. Lui souffla-t-il.
- Oui. Souffla-t-elle en hochant la tête.
Lisbon captura ses lèvres en prenant son visage entre ses mains et l’embrassa une seconde. Jane fut tétanisé un instant en jetant un bref œil vers leurs collègues qui le dévisageait. Mais il ferma les yeux, se laissant emporter, il lui rendit son baiser dans un soupir et de poser maladroitement ses mains tremblantes sur ses hanches. Rigsby et Van Pelt même Cho furent bouche bée que leurs mâchoires allaient de se décrocher en voyant leur patronne et le consultant qui s’embrassaient depuis déjà plusieurs secondes. Au bout de presque une minute, ils rompirent leur baiser en s’éloignant l’un de l’autre avec les joues rouges et horriblement mal à l’aise n’osant plus se regarder puis se tournèrent vers leurs collègues.
- Ca répond à votre question ? Demanda Lisbon très mal à l’aise.
- Euh… je euh… en faites je… euh… Bafouilla Rigsby encore sous le choc.
- Je crois que ça, ça veut dire oui. Intervint Jane mal à l’aise.
- Bien. Fit la belle brunette.
Elle quitta la pièce sous les yeux médusés de ses collègues qui se tournèrent vers Jane, une fois que Lisbon s’enferma dans son bureau. Patrick fit un hochement de tête accompagné d’un demi-sourire gêné et quitta vite l’open-space à son tour.

Tu es vraiment douée dans ce genre là aussi, j'ai vraiment beaucoup aimé te lire

pour cet OS, Jane et Lisbon n'ont pas pu résister l'un à l'autre

Que dire d'autre que et

Oh alors celui là il est mignon tout plein !

les filles
Vos commentaires me touchent toujours et me font super plaisir

Ca fait drôle ce changement de design, je l'avoue mais c'est sympa, un goût d'été indien

Voici un autre assez je dois dire


C’était la nuit noire. Lisbon était habillée d’une longue robe de soirée noire fluide bustier avec ses longs cheveux bruns qui tombaient en cascade sur ses épaules nues et balayait du regard l’endroit où elle se trouvait. Elle était dans l’open-space du CBI qui était plongé dans l’obscurité et seulement illuminé par environ une vingtaine de bougies partout. Elle était mélangée entre la surprise, l’incompréhension, la peur et le trouble, rien qu’en observant l’open-space qu’elle reconnaissait à peine.
- Bonsoir Lisbon. Fit une voix masculine d’un air charmeur.
Cette dernière sursauta en se tournant vers cette voix qui lui paraissait si familière et qu’elle reconnut en découvrant le visage souriant de…
- Jane ! S’étonna-t-elle.
Il était vêtu d’un smoking à sa plus grande surprise et qui s’approchait d’elle en la dévorant des yeux.
- Vous êtes magnifique. Souffla-t-il.
- Jane, c’est quoi cette mascarade ? Demanda Lisbon.
- Quelle mascarade ? Répéta-t-il en s’avançant vers elle.
- La robe, le smoking, les bougies, l’ambiance... Indiqua-t-elle en montrant chaque détail.
- Pourquoi ? Ça ne vous plaît pas tout ce que j’ai fait pour vous ? Lui demanda-t-il d’un air déçu et interrogatif.
- Non, c’est seulement que… commença-t-elle.
Mais elle n’avait nul le temps de terminer sa phrase que Jane avait posé son index sur ses lèvres.
- Chut ! Murmura-t-il en glissant en posant doucement ses mains sur ses épaules ; n’essayez pas de lutter, Lisbon. Vous ne pouvez pas.
- Pourquoi ? Demanda-t-elle dans un souffle.
- Parce que vous êtes attirée par moi tout comme moi je suis attiré par vous. Répondit-il dans un murmure.
Il glissa une main dans sa main pendant que ses lèvres se logèrent dans son cou et l’embrassa tendrement. Elle fut surprise, tétanisée et paralysée par ses baisers qu’elle gémit, Jane prit alors son visage entre ses mains en croisant son regard émeraude.
- Vous ne pouvez pas savoir l’effet que vous avez sur moi Teresa, tellement vous me rendez fou. Souffla-t-il.
Teresa resta surprise qu’elle ne puisse réprimer un léger sourire alors que son consultant se pencha légèrement vers elle en fixant ses lèvres, leurs lèvres se rapprochèrent de plus en plus et…

Lisbon sursauta en même temps que son cœur fit un bond dans sa poitrine tout en ouvrant les yeux. Elle regarda autour d’elle en voyant qu’elle se trouvait chez elle, dans son salon, sur son canapé, devant la télé qui diffusait les Feux de l’amour à une heure tardive et conclut en regardant la même scène que dans son rêve, qu’elle s’était endormie. Teresa secoua la tête en laissant échapper un rire et se leva de son divan.
- Quelle gamine, je suis ! Se dit-elle à haute voix.
Au même moment, le couple s’embrassait passionnément : c’était la suite et fin de la scène – celle de son rêve – elle éteignit son téléviseur et l’écran devint noir.

C'est trop mignon Lisbon qui regarde "Les feux de l'amour" et qui se surprend à rêver de la même scène que la télé... Avec Jane bien sûr Il y a de quoi

Je suis sûre que Jane ne fait pas fantasmer que Lisbon
c'est trognon comme histoire comme dirait ma môman

J'adore tes petits OS vraiment faciles et rapides à lire, c'est agréable et j'adoooooore
C'est super bien écrit.
Je suis tombée particulièrement in love de l'avant-dernier, celui avec le test du bisou. Ça m'a fait rire, c'est bien le genre de Rigsby de demander un truc pareil...
En tout cas bravo

JA pour celui-ci!
Comme le dis si bien Johel, Jane ne fait pas fantasmer que Lisbon

WinJane a écrit:Bah alors si c'est pas Jane et si c'est pas Lisbon qui a mit ces annonces sur le journal, c'est qui alors ? xD



Oui je crois que le genre de Lisbon, c'est les gros, chauves ou pas, qui peuvent ou pas encadrer Jane ptdr

Bah c'est Red John tiens! XXD!!!

Nan sérieux, bravo! J'adore! Ca ma fait rire!

C'est trop mignon :vivement:
Super bien écrit j'adore !
Vivement ton prochain !

Loelia, Johel, Kiffkiff, Manga, *Marie* & KamSuu
Je suis contente de voir que ça vous plaise

Et vous avez raison, il ne fait pas que fantasmer Lisbon

Voici un autre mais un peu triste


Au cimetière de Sacramento, assis sur un banc en pierre avec un bouquet de fleurs entre les mains et en larmes, Teresa Lisbon se trouvait devant une pierre tombale sur laquelle était gravée, Catherine Donovan-Lisbon. Le nom de sa mère. Aujourd’hui, elle devait commémorer l’anniversaire de sa mort mais elle ne trouvait pas le courage de se lever et de lui donner les fleurs.
- Lisbon ! L’appela une voix masculine dans son dos.
Elle sursauta en essuyant ses larmes vite fait d’un revers de la main et se tourna vers cette voix qui n’était d’autre que Patrick Jane, consultant, qui se tenait devant elle à environ un mètre.
- Jane ! S’étonna-t-elle en reniflant.
- Je suis désolé si je vous ai fait peur. S’excusa-t-il en faisant un pas vers elle.
- Ce n’est rien. Lui rassura-t-elle ; ce sont les autres qui vont dit que j’étais là ?
- Ils n’ont pas eu besoin de me le dire. Lui répondit-il d’une voix sérieuse et douce.
- Je vois. Marmonna-t-elle en hochant la tête.
- Toutes mes condoléances pour votre mère, Lisbon. S’excusa-t-il confus et triste.
Lisbon sourit en hochant la tête au moment où une larme coula sur sa joue et la chassa d’un revers de la main. Un silence lourd pesa entre eux, ils baissèrent les yeux et se mordirent la lèvre inférieure.
- Vous… vous voulez vous asseoir ? Demanda Lisbon embarrassée.
- C’est gentil à vous Lisbon mais je ne veux pas vous déranger. Déclina-t-il galamment.
- Au contraire, Jane. Insista-t-elle ; puis avoir un peu de compagnie ne me ferait pas de mal.
Patrick sourit et vint s’installer sur le banc à côté de Teresa. Un nouveau silence pesant régna entre eux, elle ne parlait pas, se contentait de fixer la tombe de sa mère et le mentaliste respecta ce silence qui voulait tout dire. Elle jeta un coup d’œil en direction de son consultant en se mordillant la lèvre en hésitant à briser le silence mais Jane a été plus rapide.
- Lisbon… commença-t-il avec hésitation.
Elle se tourna vers lui.
- Je sais que je ne connaissais pas votre mère mais je vous connais suffisamment pour voir que vous êtes devenue une femme bien. Dit-il sincère ; je suis la personne la plus mal placée à dire cela mais je…
Il marqua une pause et hésita à poursuivre sa phrase qu’il mordit la lèvre en regardant ses chaussures.
- Mais vous… ? L’encouragea-t-elle.
Jane regarda longuement ses chaussures avec une phrase qui lui brûlait les lèvres, il inspira profondément et se tourna vers Lisbon en croisant son regard mais se ravisa aussitôt.
- Vous… vous allez lui donner votre bouquet de fleurs ? Demanda-t-il.
Sous l’œil attentionné de Jane, elle lui sourit brièvement, se tourna vers la tombe de sa mère, se leva et s’avança la pierre tombale de sa mère où elle déposa doucement le bouquet de fleurs puis finit par craquer et à fondre en larmes. Patrick se leva en s’avançant vers elle afin de poser amicalement sa main sur son épaule.
Teresa se tourna vers son consultant qui la rassura avec un sourire en lui tendant les bras elle finit par se blottir contre lui. Jane serra étroitement son étreinte en lui caressant doucement le dos pour la consoler et lui donna un baiser dans ses cheveux.
Puis il lui dit d’un air doux, comme pour finir de la rassurer :
- Ca va aller…Et je vous achèterai un autre bouquet !
Lisbon eut un petit rire et sourit contre sa poitrine. Et il l’entendit murmurer :
- Merci Jane.

Un OS tout triste mais qui finit sur une pointe d'humour
J'adore!
Et Jane qui est là pour la réconforter et la faire rire, en toutes situations, si c'est pas un ami ça

Mignone toutes ses petites histoires

Oh c'est tout mignon tout émouvutant
Toujours le mot pour rire Janinou

C'est vrai que celui ci est plus triste mais c'est toujours aussi bien écrit !
C'est bien de voir Lisbon aller sur la tombe de sa mère, ca change de Jane allant sur celles de sa famille.

A quand le prochain ?

pour tous vos commentaires C'est super gentil à vous

Voilà un autre... plus fun


Cho marchait dans le couloir tout en lisant un dossier avec concentration, jusqu’à ce qu’un bruit sourd attire son attention le guidant à stopper automatiquement son chemin. Il se mit à écouter les sons étranges pour savoir d’où ils provenaient. La salle d’interrogatoire. Il regarda la porte en écoutant brièvement ces bruits. Des gémissements ? Un couple qui était en train de s’envoyer en l’air ? En plein dans le bâtiment ? Van Pelt et Rigsby avaient remis ça ?
L’asiatique rebroussa le chemin en se dirigeant vers son poste dans l’open-space comme si de rien n’était en se retenant de sourire.
- Y en a qui connaissent pas les chambre d’hôtels. Soupira-t-il.
Et il vit les postes de ses collègues vides. Même le bureau de Lisbon et le canapé de Jane étaient déserts.
Le soir venu, Kimball prit ses affaires, quitta l’open-space, se dirigea vers l’ascenseur et là, il entendit encore à nouveau ces mêmes bruits, mais ce n’était plus des gémissements, mais plutôt des cris, même s’ils étaient de loin, on pouvait les bien les entendre. Il leva les yeux au ciel et sourit. Et en arrivant devant l’ascenseur, il aperçut avec interrogation Rigsby et Van Pelt qui se tournèrent vers lui alors qu’il les dévisageait.
- Qu’est-ce qu’il y a ? Demanda Grace.
- Ce n’était pas vous deux dans la salle d’interrogatoire ? Demanda-t-il à son tour.
- Quoi ? Non ! Tu délires vieux ! Fit Wayne dans un rire nerveux.
- Si, ce n’est pas vous, c’est qui ? Se demanda à voix haute Cho.
Soudain, ils levèrent les yeux vers les escaliers en entendant les cris qui furent d’une telle violence qu’on aurait dit que le couple mystérieux atteignait le septième ciel. Ensuite plus rien. Ils se dévisagèrent dans un silence au même moment où l’ascenseur ouvrit ses portes.
- Vous croyez que c’est Jane et… commença Grace.
- Possible ! Lui coupèrent les garçons en chœur.
Et les trois collègues entrèrent dans l’ascenseur dans un sourire et les portes se refermèrent.
- Vous croyez qu’ils ont tout gobé ? Demanda Lisbon en descendant les escaliers.
- Sans l’ombre d’un doute ! Avec ce petit bijou dernière technologie, c’est sûr ! Répondit Jane en lui emboîtant le pas en secouant un magnétophone dans sa main.
- Je risque d’avoir des emmerdes, dans quoi vous m’avez embarquée encore ! Marmonna-t-elle en appuyant sur le bouton de l’ascenseur.
- Mais non, Lisbon. Lui rassura-t-il d’un ton détaché en se mettant en côté d’elle ; il y aura peut-être des têtes qui vont nous dévisager, mais trois jours après, on sera tranquille.
Ils se regardèrent un long instant puis éclatèrent de rire comme des enfants.
- J’imagine leur tête, c’était bien drôle. Soupira-t-elle dans un rire.
- Oui. Confirma-t-il dans un sourire.
Il se mordit la lèvre inférieure en baissant les yeux d’un air mal à l’aise.
- Vous, vous pensez que… commença Jane avec hésitation.
Soudain, la sonnerie retentit et l’ascenseur s’ouvrit.
- Bonne nuit Jane. Salua-t-elle en grimpant dans l’ascenseur.
- …Bonne nuit Lisbon.
Mais la jeune femme se tourna vers lui et l’embrassa sur la joue en lui susurrant à l’oreille.
- Oui, je pense qu’il y a une possibilité que ce soit vrai un jour.
Elle s’éloigna de son consultant abasourdi et le laissa en plan en rejoignant l’ascenseur.

On se demande bien pourquoi Jane a eu cette idée Toujours de plans bizarres, mais c'est bien lui

celui du cimetière est
par contre celui-là je me demande pourquoi ce plan

Super !
Héhé les vilains ils ont fait semblant, mais pourquoi ?

Les idées de Jane
Forcément les autres tombent dans le panneau !

Comme les autres je m'interroge sur la raison de ce plan :vivement:

Bravo pour tes OS

les filles Ca fait toujours plaisir de voir que ça vous plaise

Vous vous interrogez pourquoi ils ont fait ça ?!? Eh bien... je l'ai écrit sur un coup de tête en me disant que Lisbon pouvait se lâcher un peu.

Voilà un autre... Un peu mais aussi


- Je ne sais pas par où commencer Jane tellement je… Commença Lisbon d’une voix nerveuse ; j’essaye de vous dire quelque chose mais je n’arrive pas !
Lisbon faisait les cent pas dans son salon avec nervosité n’arrivant pas à regarder Jane qui la fixait avec inquiétude. Il s’avança vers elle puis l’arrêta en posant ses mains sur ses épaules au moment où ils se trouvèrent face à face.
- Lisbon, regardez-moi. Supplia Jane d’une voix douce.
Elle secoua la tête, les yeux baissés mais son consultant insista qu’il posa son index sous le menton de la jeune femme la guidant à lever les yeux vers lui mais elle résista.
- Je sais que quelque chose vous tracasse, commença-t-il d’une voix paisible ; je suis là pour vous aider, Lisbon et non vous juger pour quoi que ce soit ni vous faire du mal. S’il vous plait, Teresa, parlez-moi !
Sa voix suppliante lui serra le cœur qu’elle ne pouvait plus résister longtemps qu’elle leva les yeux vers lui et croisa son regard avec intensité puis assurance.
- Vous allez me détester si je vous le dis… Lui confia-t-elle dans un soupir.
- Dites-le toujours. L’interrompit-il.
Leurs regards se croisèrent à nouveau et elle inspira profondément en sentant son cœur s’emballer. Soudain, elle avoua dans un mouvement de recul en le toisant du regard.
- Je veux un bébé… de vous.
Face à cette révélation, Jane fut tellement abasourdi qu’il s’écroula sur le fauteuil sous les yeux désemparés et larmoyants de Lisbon qui se détourna en passant ses mains sur son visage. Lisbon voulait un bébé ? Un bébé de lui ? Jamais il n’aurait pensé qu’elle voulait tant avoir un enfant, surtout de lui et jamais il n’aurait cru aussi que la jeune femme pouvait autant compter pour lui, mais la peur de tromper sa femme le terrorisait. La belle brune s’en voulait de lui avoir avoué ça comme ça.
Jane se leva après avoir retrouvé ses esprits en même temps que Lisbon brisa le silence.
- Je suis désolée Jane. S’excusa-t-elle confuse, en larmes ; je n’aurai jamais dû vous dire cela, je… je m’en veux de vous l’avoir dit alors que… que je sais que vous aimez encore votre femme, tout ce que cela implique, mais je… j’ai pensé que vous serez le candidat potentiel pour…
Mais elle n’avait pas eu le temps de terminer sa phrase que Jane avait posé son index sur sa bouche en la regardant dans les yeux.
- Pour votre insémination. Lui répondit-il aussitôt.
Lisbon lui sourit timidement. La jeune femme avait appris qu’elle aurait des problèmes pour concevoir un enfant naturellement. Son médecin lui avait préconisé l’insémination artificielle. Mais il fallait un donneur. Elle en avait parlé brièvement à Jane plus tôt dans la journée car il avait vu que quelque chose de pesant la tracassait. Il reprit son inspiration puis continua :
- Personne ne pourra remplacer ce que j’ai vécu avec ma femme, commença-t-il ; ni tout l’amour que je lui portais, personne ne pourra remplacer Angela.
Lisbon baissa les yeux, triste et déçue alors que des larmes menaçaient de couler. Jane posa son doigt sous son menton comme il y a quelques secondes et leurs regards se croisèrent de nouveau.
- Mais je veux être le donneur. Reprit-il en prenant son visage entre ses mains; je veux que vous ayez cet enfant, je veux votre bonheur. Et je ne veux pas vous abandonner Teresa. Ni vous, ni le bébé, comme j’ai abandonné ma famille. Je veux être là à vous côtés chaque instant, jusqu’à la fin de ma vie quoi qu’il puisse arriver. Je serai toujours là pour vous aider.
Touchée par ses mots, elle lui sourit avec les larmes qui coulèrent le long de ses joues dont il les chassa doucement à l’aide de ses pouces.
- Vous êtes sûr de le vouloir ? Demanda-t-elle dans un souffle.
- Plus que jamais. Lui répondit-il dans un murmure.
Il se pencha vers elle, posa ses lèvres tout près des siennes. Le début sans doute, d’une nouvelle vie.

C'est...bizarre xD

Je suis un peu comme Win...je trouve ça...bizarre