Never let you down. ^
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Ju3993
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Jane Addict
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Re: Never let you down. ^
mais tu es une vraie sadique toi
franchement super chapitre.
Je ressentais exactement la même chose que lui. J'espère vraiment que ce n'est pas Lisbon.A chaque pas qu’il faisait, son cœur menaçait de sortir de sa poitrine, sa respiration était saccadée et il avait du mal à respirer correctement.
VLS
Ju3993- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick Jane
Re: Never let you down. ^
Wow ! Quel chapitre ! Tu m'as encore mis le coeur en vrac et les émotions à fleur de peau...
Bon, je me doutais que nos enquêteurs n'allaient pas trouver le corps de Lisbon dans la maison. En la tuant si tôt, c'est un peu ton histoire que tu tuerais. En revanche, la flaque de sang est terrible, par toute l'incertitude qu'elle induit pour Jane et l'équipe.
Et la croix...ça m'a vrillé le coeur d'imaginer Lisbon démunie, seule, sans le réconfort de sa croix
Inclure la photo dans ton OS (et quelle photo ! Je la trouve très belle) est une super idée. Ce rappel des jours heureux est poignant, alors qu'ils s'achèvent dans le bris du cadre.
Le sentiment de culpabilité de Jane est , alors les pensées de Lisbon sont les bienvenues. Les premières, tournées vers Jane, m'ont particulièrement touchée....j'y ai vu une forme de légéreté malgré la noirceur de la situation :
Il y a dans ces mots un sens de l'évidence que je trouve très beau.
C'est beau, c'est triste, c'est beau et c'est beau ! Et j'imagine que ces mots vont permettre à Lisbon de ne pas abandonner, pourvu que son corps tienne le coup.
A nouveau, mon coeur s'est serré...
J'ai repris espoir en voyant Jane se lancer dans l'enquête....avant de retenir mon souffle sur la scène de crime....une nouvelle victime a été retrouvée. Qui est-elle ? Et s'il ne s'agit pas de Lisbon (j'ai envie de rester optimiste), qu'a-t-elle de spécial ? Cette caresse sur la joue de Lisbon témoigne-t-elle d'un lien particulier avec le tueur ? Pourquoi la maintenir en captivité et ne pas la tuer comme les autres victimes ?
Que Jane va-t-il découvrir ? Comment cette découverte va l'affecter ? Comment l'équipe fait-elle face sans leur teamleader ?
Tu l'auras compris : l'impatience est plus que jamais de mise après ce chapitre !
Bon, je me doutais que nos enquêteurs n'allaient pas trouver le corps de Lisbon dans la maison. En la tuant si tôt, c'est un peu ton histoire que tu tuerais. En revanche, la flaque de sang est terrible, par toute l'incertitude qu'elle induit pour Jane et l'équipe.
Et la croix...ça m'a vrillé le coeur d'imaginer Lisbon démunie, seule, sans le réconfort de sa croix
Inclure la photo dans ton OS (et quelle photo ! Je la trouve très belle) est une super idée. Ce rappel des jours heureux est poignant, alors qu'ils s'achèvent dans le bris du cadre.
Le sentiment de culpabilité de Jane est , alors les pensées de Lisbon sont les bienvenues. Les premières, tournées vers Jane, m'ont particulièrement touchée....j'y ai vu une forme de légéreté malgré la noirceur de la situation :
Sar2ah59 a écrit:
Jane, il avait encore une fois vu juste elle était sure que s’il était là il lui aurait fait remarquer : « Et voilà, je te l’avais dis ! » Il était tellement agaçant mais à la fois, elle l’aimait tellement.
Il y a dans ces mots un sens de l'évidence que je trouve très beau.
Sar2ah59 a écrit:Elle se souvint soudainement d’une phrase que Jane lui avait dit plusieurs mois auparavant : « Térésa, il faut que tu saches que quoiqu’il arrive, je serais toujours à tes côtés, dans les bons et les mauvais moments et si un jour pour je ne sais qu’elle raison je ne suis pas à tes côtés dans une situation difficile, je serais toujours là même par la pensée, je ne te laisserais jamais tombé. Jamais Térésa. Crois moi, n’oublies jamais ça, c’est ce qui ma permis de tenir le coup, de ne pas abandonner. »
C'est beau, c'est triste, c'est beau et c'est beau ! Et j'imagine que ces mots vont permettre à Lisbon de ne pas abandonner, pourvu que son corps tienne le coup.
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Je…je ne peux pas rentrer en sachant qu’elle…qu’elle ne rentrera pas.
A nouveau, mon coeur s'est serré...
J'ai repris espoir en voyant Jane se lancer dans l'enquête....avant de retenir mon souffle sur la scène de crime....une nouvelle victime a été retrouvée. Qui est-elle ? Et s'il ne s'agit pas de Lisbon (j'ai envie de rester optimiste), qu'a-t-elle de spécial ? Cette caresse sur la joue de Lisbon témoigne-t-elle d'un lien particulier avec le tueur ? Pourquoi la maintenir en captivité et ne pas la tuer comme les autres victimes ?
Que Jane va-t-il découvrir ? Comment cette découverte va l'affecter ? Comment l'équipe fait-elle face sans leur teamleader ?
Tu l'auras compris : l'impatience est plus que jamais de mise après ce chapitre !
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Remerciements :
Riza : Ce chapitre apportera les réponses à tes questions, j’espère qu’il te plaira
Ju : Hmhm sadique dans l’âme, j’espère que ce chapitre te plaira
Jane doe : Bon euh, comme d’habitude que dire à un commentaire pareil ? Oui la photo est une photo que j’aime beaucoup, Jane est comment dire ? ENVOUTANT Bref, je m'égare, je vais tenter de répondre tes réponses avec ce chapitre, j’espère que tu n’en seras pas déçu
Voilà pour vous le chapitre 4, un peu plus court mais j'espère que ça ne vous gênera pas ! Bonne lecture
Musique à ajouter à votre lecture (https://www.youtube.com/watch?v=O1-4u9W-bns)
***
Chapitre 4
Chapitre 4
Jane s’avança hésitant et anxieux vers le cadavre de la victime. A chaque pas qu’il faisait, son cœur menaçait de sortir de sa poitrine, sa respiration était saccadée et il avait du mal à respirer correctement.
Il s’agenouilla devant le cadavre qui était positionné dos à lui et lorsqu’il le retourna, son visage se figea
Il baissa la tête et la secoua de droite à gauche. Il sentit la présence de Cho derrière lui, il tourna le visage et remarqua son regard qui lui demandait silencieusement des explications.
Jane : « Ce n’est pas elle » souffla t-il partagé entre le soulagement que Lisbon ne soit pas couchée là, et le dégoût d’avoir retrouvé un corps.
Il se releva et fit face au lac qui s’étendait devant lui. « Où es tu Lisbon… » souffla t-il.
Il soupira et repartit en direction de ses collègues qui discutaient avec le shérif.
Cho : « Qui est la victime ? » demanda t-il
Shérif : « D’après la légiste, il s’agirait de Térésa Edwards. » à l’entente du nom de la victime Jane se raidit. « elle travaillait au palais de justice de Sacramento » termina t-il.
Jane : « Où est la légiste ? » demanda t-il les mains dans les poches.
Légiste : « Je suis là » intervint-elle, s’attirant les regards des agents et du consultant. « Docteur Stevens, bonjour »
Cho : « Que pouvez vous nous dire sur les différentes victimes dont vous vous êtes occupées ? » demanda t-il.
Légiste : « Et bien, comme à chaque fois, les victimes sont séquestrées pendant plusieurs jours. Elles ont toutes souffert de malnutrition, de déshydratation et… » Mais elle fut coupé par Jane dont la patience commençait à approcher de sa limite.
Jane : « Et ? » dit-il en gesticulant.
Légiste : « Et elles ont toutes étaient violées » termina t-elle.
A cette conclusion, Cho, Rigsby et Van Pelt regardèrent Jane, qui, sous le choc de cette révélation écarquilla les yeux.
Il devint pâle et tremblant, Rigsby s’approcha doucement de lui mais avant qu’il ne puisse poser la main sur son épaule, Jane se précipita derrière un arbre pour vider le contenu de son estomac.
Il resta assis plusieurs minutes jusqu'à que Cho ne vienne le rejoindre.
Cho : « Jane, on y va » dit-il en cachant l’inquiétude qu’il éprouvait pour son collègue.
Jane acquiesça et se leva pour repartir en direction des bureaux du CBI.
Bureaux du CBI :
En arrivant, Il rentra dans le bureau de Lisbon, et s’asseya à sa place, sur son siège de bureau. Il balaya la pièce du regard et remarqua un cadre sur son bureau, une photo de lui. Il sourit.
Il plongea ses mains dans les poches de son pantalon et en sortit la croix de Lisbon. Il joua avec l’objet entre ses doigts et soupira. « Si vous existez vraiment, si il y a vraiment un Dieu quelque part, aidez moi… » Souffla t-il
***
Lisbon était toujours attachée, les yeux bandés sur ce lit terriblement inconfortable.
Elle avait terriblement faim et soif, elle avait terriblement peur de mourir, ici dans cette pièce miteuse. Elle se demandait qui pourrait lui en vouloir à elle, elle essaya de se remémorer toutes les personnes qui étaient à ce cours avec elle, mais en vain, ça faisait 20 ans qu’elle avait suivit ce cours impossible de se souvenir de toutes les personnes. Si, elle connaissait une seule personne capable d’une telle prouesse, mais cette personne n’était pas là en ce moment.
Elle fut sortit de ses pensées par un bruit de porte.
Homme : « Térésa Lisbon, ça fait si longtemps ! » dit-il « Tu es toujours aussi jolie à ce que je vois » dit-il sensuellement.
Lisbon essaya d’articuler quelques chose mais le bandeau qui couvrait sa bouche l’en empêcher. L’homme lui enleva.
Lisbon : « Qui êtes vous ? » demanda t-elle tentant tant bien que mal de reconnaître le visage de l’homme qui se tenait dans l’obscurité.
Homme : « Allons, rappelles toi Térésa, nos années lycées, les meilleures n’est-ce pas ? » dit-il en riant
Lisbon : « Tout est relatif. » rétorqua t-elle.
Homme : « Tu ne te souviens donc pas de moi Tess ? » lui dit-il en s’approchant d’elle, dévoila par la même occasion son visage.
Lisbon ouvrit grand les yeux et resta bouche bée. « Mark ?!! » dit-elle visiblement très étonnée.
Mark : « Et oui Térésa, c’est moi, tu m’as brisé comme toutes les autres, et maintenant tu vas payer » dit-il en s’approchant d’elle. « Tu es armé ? » demanda t-il
Lisbon : « Non, sinon tu serais déjà mort. » dit-elle en lui lançant un regard noir.
Mark s’approcha d’elle et commença à la fouiller, laissant ses mains s’attardées sur son corps. Il sortit son portefeuille et l’ouvrit, tombant directement sur la photo de Jane qu’elle gardait toujours sur elle, elle avait prit cette photo de lui par surprise. (Allez, juste pour le plaisir )
- Spoiler:
Mark : « C’est qui ? » demanda t-il énervé « C’est ton mec c’est ça ! » cria t-il
Lisbon : « Non, c’est mon frère. » tenta t-elle. Elle se traita mentalement d'idiote pour avoir trouver cette excuse stupide, elle savait pertinemment qu’il n’y croirait pas étant donné qu’elle était brune aux yeux verts et lui blond aux yeux bleus, mais elle tenta le tout pour le tout pour ne pas qu’il puisse s’en prendre à lui.
Mark : « Pas très crédible, mais bon, ne t’inquiètes pas je vais allez lui rendre une petite visite à ton « frère » » dit-il en mimant les guillemets.
Lisbon : « Non, non laisses le il n’a rien à voir là dedans ! » dit-elle « Et en quoi je t’ai brisé au fait ? Tu m’excuseras mais ça ne m’a pas marqué
suffisamment pour que je m’en souvienne. » Dit-elle en lui lançant un regard moqueur.
Mark : « Tu le sauras bien assez tôt, je tacherais de te le rappeler Térésa, tu n’es pas comme les autres, vois tu, tu es celle qui m’a fait le plus de mal et donc, tu auras un petit traitement de faveur » dit-il en lui déposant un baiser forcé sur ses lèvres, ce qui eut pour effet de dégoûter Lisbon.
Il remit le bandeau sur sa bouche et quitta la pièce.
Lisbon se recroquevilla comme elle put et tenta d’oublier le goût infâme du baiser que lui avait donné son ravisseur, elle s’imagina alors les lèvres douces et sucrées de son amant.
***
Jane était assis sur son divan, réfléchissant encore et encore. Les paroles de la légiste tournaient en boucle dans son esprit. « Violées », « Malnutrition », « Déshydratation ». Il devenait fou, l'amour qu'il portait à Lisbon et son inquiétude l'empêchait de réfléchir correctement. Il allait devoir se ressaisir.
Il frissonna et se leva pour rejoindre ses collègues.
Jane : « La nouvelle victime faisait partie du cours aussi ? » dit-il
Van pelt qui tenait la liste des élèves entre les mains, acquiesça. Il prit la liste et repartit vers son divan.
Il y avait trop de noms sur cette liste, s’ils les vérifiaient un par un, il serait trop tard.
Jane : « Ton instinct, fait marché ton instinct ! » souffla t-il pour lui-même.
Il écarta tout les noms de femmes. Il balaya la liste du regard et soupira bruyamment.
Un homme fit son entrée dans l’open space ce qui attira le regard de Jane. Il se leva et partit dans sa direction.
Jane : « Je peux vous aider ? » demanda t-il.
L’homme le dévisagea et détailla les traits de son visage, un sourire naquit sur ses lèvres. Jane était intrigué par cet homme qui le fixé.
Jane : « Vous êtes ? » demanda t-il
Homme : « Euh…Je suis John, John Smith » dit-il hésitant, ce que ne manqua pas Jane.
Jane : « John Smith ? Vous êtes monsieur tout le monde. » Dit-il en souriant. L’homme fronça les sourcils. « Ben oui, Smith est un nom très commun dans notre pays. Enfin bref, que voulez vous ? » Demanda t-il.
Smith : « Je cherche Térésa Lisbon » dit-il en souriant, ce qui eut pour effet d’énervé un tant soit peu Jane.
Jane : « Elle est absente pour le moment. Qui êtes vous ? » Demanda t-il sentant la nervosité grimpait en flèche.
Smith : « Oh, juste un vieil ami, dites lui que je repasserais la voir et vous qui êtes vous ? » dit-il en gardant ce sourire béant sur son visage.
Jane : « Oh, juste un vieil ami. Oui, c’est ça je n’y manquerais pas » dit-il en regardant l’homme se dirigeait vers l’ascenseur.
Il se redirigea vers l’open space sous les regards interrogatifs de ses collègues.
Rigsby : « Qui c’était ? » demanda t-il, la bouche pleine.
Jane : « Monsieur tout le monde. » dit-il en jetant un regard vers l’ascenseur. « Van Pelt, tu peux faire une recherche sur un certain John Smith » demanda t-il
Van Pelt : « Oui d’accord, mais qui est-ce ? » demanda t-elle
Jane : « J’ai juste une mauvaise impression rien de plus. » dit-il, ce qui suffit à ses collègues qui avaient appris à se fier à ses impressions. « Je reviens, je rentre me changer » dit-il en partant, la tête baissée.
Il arriva à son domicile et y entra sans grand enthousiasme.
A son entrée, son regard se figea sur la tâche de sang sur le sol du salon, son sang à elle.
Il monta à l’étage et entra dans sa chambre, le t-shirt de Lisbon se trouvait toujours sur leur lit, elle n’était pas très ordonnée mais il aimait ça.
Il prit le t-shirt entre ses mains et huma son odeur. Ce parfum qu’il aimait tant.
Il soupira et prit la direction de la salle de bain et entra dans la douche.
Il se délassa à la sensation de l’eau chaude sur sa peau, et, débordé par l’émotion il laissa les larmes couler sur ses joues. Il ne montrait pas ses émotions en public, mais lorsqu'il était seul il se laissait aller, elle lui manquait terriblement.
Il n’entendit pas le bruit de sa porte d’entrée s’ouvrir et se refermer aussitôt.
Il descendit 20 minutes plus tard, les yeux rougis et des cernes sous les yeux. Il se dirigea vers la porte dans le but de repartir au CBI mais trébucha sur quelque chose.
Il baissa les yeux au sol et remarqua un objet sur le sol, il connaissait trop bien cet objet, le portefeuille de Lisbon imbibé de sang se trouvait là, sur le sol de son entrée.
Il l'ouvrit et ce qu'il trouva à l'intérieur lui glaça le sang et par la même occasion, des torrents de larmes coulèrent sur ses joues sans qu'il ne puisse les arrêter.
TBC !
Chapitre suivant
Dernière édition par Sar2ah59 le Jeu 11 Avr 2013 - 20:38, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
Très bon chapitre !
Je suis soulagée que la victime ne soit pas Lisbon, même si j'étais sûre que ce n'était pas elle ! xD
L'homme qui s'est présenté au CBI, il aurait pas un rapport avec le ravisseur par hasard ?
Et la photo dans le portefeuille...je mise sur une photo de Lisbon en captivité ! :]
Hâte de lire la suite !
Je suis soulagée que la victime ne soit pas Lisbon, même si j'étais sûre que ce n'était pas elle ! xD
L'homme qui s'est présenté au CBI, il aurait pas un rapport avec le ravisseur par hasard ?
Et la photo dans le portefeuille...je mise sur une photo de Lisbon en captivité ! :]
Hâte de lire la suite !
Re: Never let you down. ^
Moi, je dis que c'est un chapitre qui en appelle un autre . D'une part, parce que c'est comme ça avec les bonnes choses : on ne s'en lasse pas. Et d'autre part, parce qu'effectivement, ce chapitre comporte des débuts de réponse...mais il lève également d'autres questions...lesquelles appellent à leur tour des réponses. Tu vas nous tuer d'inquiétude !!!!
Tu ne nous ménages vraiment pas ! Le soulagement que la nouvelle victime ne soit pas Lisbon est vite balayé par le fait que les deux femmes portent le même prénom. je t'avouerai m'être crispée à la lecture de l'identité de la victime.
On en sait désormais plus sur le mode opératoire du tueur :
Des informations qui font froid dans le dos...
Je me doute qu'il s'agit là d'une nécessité pour nous donner ces informations mais je m'étonne quand même que nos enquêteurs n'apprennent ça que maintenant alors qu'il ne s'agit pas de la première victime...
J'ai trouvé ce moment très émouvant. D'une part, du fait que Jane conserve sur lui la croix de Lisbon. L'objet auquel elle tient le plus, la chose la plus importante qu'il lui reste d'elle avant de la retrouver, c'est un peu normal...mais ça n'en reste pas moins beau. J'aime l'idée que cette croix qui ne peut plus réconforter et rassurer Lisbon soit un "relais" pour Jane. Un peu de Lisbon avec lui, qui l'aidera peut-être comme la propriétaire de la croix le ferait si elle n'était pas elle-même dans une situation critique. D'autre part, j'ai trouvé très touchants ces quelques mots que Jane adresse à un Dieu auquel il ne croit même pas....
Sérieusement, c'est quoi son problème ? De quelle manière ces jeunes filles l'ont-elles brisé ? Et surtout pourquoi passer à l'acte autant d'années après ? Qu'est-il devenu depuis la fin du lycée ?
Notre Little Miss Fierce ! J'adore !
Et j'ai envie de penser que tant qu'elle aura la force de s'opposer à son agresseur, c'est que la situation est grave mais pas complètement désespérée.
Il y a donc bien quelque chose. Lisbon est bien "spéciale" par rapport aux autres victimes dans l'esprit dérangé de ce Mark. Reste à savoir en quoi...Et surtout comment il compte se venger. Ce "traitement de faveur " laisse présager des sévices plus importants que pour les autres victimes, mais peut-être aussi une captivité plus longue (et donc un accroissement des probabilités de retrouver Lisbon avant que ce Mark décide d'en finir avec sa vie).
Quel amateurisme ! Ne même pas avoir réfléchi préalablement à une pseudo-identité, hésiter au moment de la décliner et sortir le truc le plus commun qui soit ! Et puis...John, quoi !!!
Et surtout...que croit-il obtenir comme informations ? Parce que, dans l'hypothèse où il s'agit bien de Mark...il n'a strictement rien appris ! Et on ne peut pas vraiment dire qu'il ait réellement essayé de savoir quoi que ce soit....Très étrange !
Jane qui essaie de trouver du réconfort dans l'odeur de Lisbon, c'est aussi que
Comment est-ce que tu peux nous laisser comme ça, complètement pris entre la tristesse et l'angoisse ? Que contient désormais le portefeuille de Lisbon qui puisse effrayer à ce point Jane ?
Cela va-t-il permettre de relancer l'enquête ? Quelle est l'intention de Mark ? Souhaite-t-il faire souffrir Jane ? Pourquoi ?
Oh la la, tellement, tellement de questions !
Vivement la suite !
Tu ne nous ménages vraiment pas ! Le soulagement que la nouvelle victime ne soit pas Lisbon est vite balayé par le fait que les deux femmes portent le même prénom. je t'avouerai m'être crispée à la lecture de l'identité de la victime.
On en sait désormais plus sur le mode opératoire du tueur :
Sar2ah59 a écrit:
Légiste : « Et bien, comme à chaque fois, les victimes sont séquestrées pendant plusieurs jours. Elles ont toutes souffert de malnutrition, de déshydratation et… (....) Et elles ont toutes étaient violées » termina t-elle.
Des informations qui font froid dans le dos...
Je me doute qu'il s'agit là d'une nécessité pour nous donner ces informations mais je m'étonne quand même que nos enquêteurs n'apprennent ça que maintenant alors qu'il ne s'agit pas de la première victime...
Sar2ah59 a écrit:Il plongea ses mains dans les poches de son pantalon et en sortit la croix de Lisbon. Il joua avec l’objet entre ses doigts et soupira. « Si vous existez vraiment, si il y a vraiment un Dieu quelque part, aidez moi… » Souffla t-il
J'ai trouvé ce moment très émouvant. D'une part, du fait que Jane conserve sur lui la croix de Lisbon. L'objet auquel elle tient le plus, la chose la plus importante qu'il lui reste d'elle avant de la retrouver, c'est un peu normal...mais ça n'en reste pas moins beau. J'aime l'idée que cette croix qui ne peut plus réconforter et rassurer Lisbon soit un "relais" pour Jane. Un peu de Lisbon avec lui, qui l'aidera peut-être comme la propriétaire de la croix le ferait si elle n'était pas elle-même dans une situation critique. D'autre part, j'ai trouvé très touchants ces quelques mots que Jane adresse à un Dieu auquel il ne croit même pas....
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Et oui Térésa, c’est moi, tu m’as brisé comme toutes les autres, et maintenant tu vas payer » dit-il en s’approchant d’elle.
Sérieusement, c'est quoi son problème ? De quelle manière ces jeunes filles l'ont-elles brisé ? Et surtout pourquoi passer à l'acte autant d'années après ? Qu'est-il devenu depuis la fin du lycée ?
Sar2ah59 a écrit:Lisbon : « Non, sinon tu serais déjà mort. » dit-elle en lui lançant un regard noir.
Notre Little Miss Fierce ! J'adore !
Et j'ai envie de penser que tant qu'elle aura la force de s'opposer à son agresseur, c'est que la situation est grave mais pas complètement désespérée.
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Tu le sauras bien assez tôt, je tacherais de te le rappeler Térésa, tu n’es pas comme les autres, vois tu, tu es celle qui m’a fait le plus de mal et donc, tu auras un petit traitement de faveur » dit-il en lui déposant un baiser forcé sur ses lèvres, ce qui eut pour effet de dégoûter Lisbon.
Il y a donc bien quelque chose. Lisbon est bien "spéciale" par rapport aux autres victimes dans l'esprit dérangé de ce Mark. Reste à savoir en quoi...Et surtout comment il compte se venger. Ce "traitement de faveur " laisse présager des sévices plus importants que pour les autres victimes, mais peut-être aussi une captivité plus longue (et donc un accroissement des probabilités de retrouver Lisbon avant que ce Mark décide d'en finir avec sa vie).
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Vous êtes ? » demanda t-il
Homme : « Euh…Je suis John, John Smith » dit-il hésitant, ce que ne manqua pas Jane.
Quel amateurisme ! Ne même pas avoir réfléchi préalablement à une pseudo-identité, hésiter au moment de la décliner et sortir le truc le plus commun qui soit ! Et puis...John, quoi !!!
Et surtout...que croit-il obtenir comme informations ? Parce que, dans l'hypothèse où il s'agit bien de Mark...il n'a strictement rien appris ! Et on ne peut pas vraiment dire qu'il ait réellement essayé de savoir quoi que ce soit....Très étrange !
Jane qui essaie de trouver du réconfort dans l'odeur de Lisbon, c'est aussi que
Sar2ah59 a écrit:Il baissa les yeux au sol et remarqua un objet sur le sol, il connaissait trop bien cet objet, le portefeuille de Lisbon imbibé de sang se trouvait là, sur le sol de son entrée.
Il l'ouvrit et ce qu'il trouva à l'intérieur lui glaça le sang et par la même occasion, des torrents de larmes coulèrent sur ses joues sans qu'il ne puisse les arrêter.
Comment est-ce que tu peux nous laisser comme ça, complètement pris entre la tristesse et l'angoisse ? Que contient désormais le portefeuille de Lisbon qui puisse effrayer à ce point Jane ?
Cela va-t-il permettre de relancer l'enquête ? Quelle est l'intention de Mark ? Souhaite-t-il faire souffrir Jane ? Pourquoi ?
Oh la la, tellement, tellement de questions !
Vivement la suite !
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Remerciements :
Riza : Tu es perspicace ! Voilà la suite, j'espère qu'elle te plaira !
Jane Doe : ahah, tout est dis dans ton commentaires ! J'espère que cette suite sera à la hauteur de tes attentes
Et comme je suis dans un bon jour, je vous poste le chapitre suivant ! J'espère qu'il vous plaira et que vous ne me tuerez pas à la fin! Bonne lecture mes amies
***
Chapitre 5
Chapitre 5
Il l'ouvrit et ce qu'il trouva à l'intérieur lui glaça le sang et par la même occasion, des torrents de larmes coulèrent sur ses joues sans qu'il ne puisse les arrêter.
Il avait le regard bloqué sur ce qu’il tenait en main. Une photo. Sur cette photo figurait sa chère et tendre Lisbon, en sous vêtement attachée à un lit en métal, la bouche bandée. Elle avait la tête baissée mais il pouvait apercevoir les larmes qui avaient traçaient des sillons sur ses jolies joues.
Il laissa son regard se perdre sur son visage et malgré ça, il l’a trouvait toujours aussi belle. Son cœur se brisa encore un peu plus quand il aperçut l’énorme auréole de sang qui se trouvait en dessous d’elle, elle était le résultat du sang qui coulait de sa blessure à la cuisse et qui avait été absorbé par le matelas.
Une de ses larmes s’échoua sur la photo.
Il releva les yeux de la photo, prit le portefeuille avec lui et partit en direction du CBI.
Arrivé à destination il prit la direction de l'open space. Ses collègues relevèrent le regard vers lui.
Rigbsy : « Ah te voilà, justement on allait t’ape…. » Mais il fut coupé dans sa lancée en voyant les traces de larmes sur ses joues et l’objet qu’il tenait en main.
Jane posa le portefeuille et la photo sur la table. Van pelt ne put s’empêcher d’émettre un cri d’horreur.
Cho : « T’as eu ça comment ? » demanda t-il, retenant sa colère.
Jane : « C’était sur le sol du salon quand je suis descendu. » dit-il simplement, vide de toute émotion. « Ne cherchez pas d’empreintes là-dessus, vous n’y trouverez rien. » dit-il en prenant la direction de son canapé.
Van Pelt : « Jane, j’ai fais ta recherche sur ce John Smith, mais j’ai eu plus de 40 réponses, j’ai tenté de désépaissir ta liste et il ne m’en reste qu’un. » dit-elle.
Jane : « Et je suppose qu’il se trouve au cimetière de Sacramento » dit-il sans lever le regard.
Van Pelt : « Euh oui, par contre j’ai fais une recherche sur les garçons qui suivaient le cours, j’ai pu dégager 5 noms, tous ont un casier judiciaire pour fraude, vol, et l’un d’eux pour coups et blessures sur une jeune femme. » Dit-elle.
Jane : « Fais voir. » dit-il en prenant la liste. « Johan Steven, Wayne Roberts, Steeve Cleveland, James Carter et Mark Waren. » Lit-il à haute voix. « C’est lequel pour coups et blessures ? » demanda t-il à Van Pelt.
Van Pelt : « Euh…Mark Waren » dit-elle.
Jane : « Hum…Il faut qu’on les fasse un par un. » proposa t-il.
Cho : « Oui. Jane tu viens avec moi voir Steven et Roberts, Rigsby et Van pelt occupez vous des 3 autres » dit-il.
Les agents acquiescèrent et prirent chacun une direction différente.
***
Lisbon était toujours attachée à ce lit, ses bras la faisaient atrocement souffrir, ainsi que sa blessure à la cuisse.
Mark entra dans la pièce et se dirigea vers elle. « Alors Térésa, tu te souviens » demanda t-il en s’approchant dangereusement.
Lisbon : « Je devrais me souvenir de quoi ? » demanda t-elle
Mark : « Tu m’as brisé Térésa, j’étais tellement amoureux de toi et tu m’as rejeté » dit-il tentant de garder son calme.
Lisbon pouffa de rire. « En même temps, même une désespérée ne voudrais pas de toi ! » lui cracha t-elle au visage.
Mark s’approcha d’elle et prit d’une rage folle il lui envoya un coup dans le visage, le coup fut si brutal que la tête de Lisbon partit en arrière et se cogna dans le mur. Le sang coulait de sa lèvre fendue sous le choc.
Mark : « Attention à ce que tu dis, tu n’oublieras pas que j’ai le pouvoir ici, pas toi. » dit-il
Lisbon le regarda mais ne répondit pas.
Mark : « Au fait, il est mignon ton « frère ». Ça me fais presque culpabiliser de devoir m’occuper de lui » dit-il en haussant les épaules.
Lisbon releva la tête brusquement lorsqu’il mentionna Jane. Il avait été le voir. Pour en rajouter une couche, il continua.
Mark : « Il avait l’air un peu triste tout de même, il m’aurait presque fait pitié avec ses yeux rougis et ses cernes. » dit-il en riant
Lisbon sentit la rage montait en elle, elle voulait pleurer mais se retint.
Mark : « Ah et tu as une très jolie maison, rappelles moi de m’y installer quand je t’aurais tué toi et ton misérable compagnon » dit-il en s’énervant.
Lisbon : « Va au diable espèce de taré ! » cria t-elle, ce qui lui valut un second coup mais cette fois-ci, dans le ventre. Elle se plia de douleur et ne put retenir un gémissement.
Il s’approcha d’elle et se positionna à califourchon sur ses jambes. Il fit glisser ses mains sur le corps de Lisbon qui se débattait du mieux qu’elle put. Il passa les mains sous son chemisier et l’arracha d’un geste brusque. Elle lui hurlait de la lâcher de la laisser tranquille, mais en vain. Il continua en lui arrachant son jean, la laissant en sous vêtement.
Mark : « Ben dis donc, il en a de la chance ton blondinet » dit-il en admirant le corps de la femme qui se trouvait sous lui. « Mais ne t’inquiètes pas, je vais en profiter aussi » dit-il d’une voix sensuelle.
Elle ne put se retenir un gémissement de dégoût.
Il recula et l’admira encore. « Je reviens, ne t’inquiètes pas la suite viendra bientôt » dit-il en quittant la pièce.
Elle se recroquevilla sur elle-même le plus loin possible et pleura, elle ne pouvait plus retenir ses larmes plus longtemps.
Elle se força de penser à son consultant, son amant qui lui avait donné la clé pour ne pas abandonner. Elle se demanda comment il avait pu supporter d’être séquestré, comment avait-il réussir à tenir ? Il fallait qu’elle pense à lui, lui seul pouvait la sauver.
Elle savait qu’il avait besoin d’elle, c’est ce qui l’aidait à tenir. Sa façon de s’agrippait à elle chaque nuit lorsqu’il faisait des cauchemars, le fait que seule sa voix était capable de le calmer dans ses détresses nocturnes, il fallait qu’elle s’en souvienne, elle ne pouvait pas l’abandonner. Si elle venir à mourir, elle était certaine qu’il mourrait avec elle.
Et si jamais il ne la retrouvait pas à temps, elle avait au moins la conviction que son souvenir de lui l’accompagnerait jusqu’au bout.
***
Domicile de Mark Waren.
Rigsby et Van Pelt frappèrent à la porte du suspect qui ouvrit presque immédiatement.
Rigsby: « Bonjour Monsieur Waren, je suis l’agent Rigsby et voici ma collègue l’agent Van Pelt, nous sommes du CBI et nous avons quelques questions à vous poser. » dit-il en montrant son badge.
Mark : « Euh, oui oui entrez. » dit-il en ouvrant la porte plus grand pour les laisser passer. Il les suivit jetant un œil discret vers une porte qui se trouvait à l’autre bout du couloir.
Mark : « Je vous écoute. » dit-il
Van Pelt : « Durant vos années lycée, vous avez assistez à un cours de criminologie, vous souvenez vous des élèves présents dans ce cours ? » demanda t-elle
Mark : « Euh non pas vraiment, vous savez ça fait plus de 20ans » dit-il.
Rigbsy : « Que vous êtes vous fait à la main Monsieur Waren ? » demanda t-il en montrant les bleus que l’homme avait sur le dessus de sa main.
Mark : « J’ai eu une petite altercation avec un délinquant qui a voulu me voler » dit-il en haussant les épaules. Bien entendu, les bleus sur ses mains étaient le résultat des coups qu’il avait affligé à Lisbon.
Van Pelt : « Vous souvenez vous d’une certaine Brittany Sommers ou de Térésa Lisbon ? » demanda t-elle « ce sont deux élèves qui ont assistées à ce cours. » termina t-elle.
Mark : « Euh non, je me rappelle juste de Brittany puisque j’ai entendu parler de son meurtre à la télé, mais Térésa Lisbon non désolé » dit-il innocemment.
Rigsby : « Mh bien, nous reviendrons plus tard » dit-il en se levant pour quitter la maison.
Les deux agents quittèrent la maison.
Mark se précipita à sa cave et avança à pas rapides vers une Lisbon qui somnolée. Il l’a réveilla en la secouant brusquement.
Mark : « Devines qui vient de me rendre visite ? » dit-il énervé.
Lisbon le regarda sans répondre.
Mark : « Deux de tes collègues du CBI, c’est marrant hein tu m’avais caché que tu avais des agents aussi compétents. Dommage que tu ne puisses pas les féliciter ! » Dit-il en la frappant une fois au visage.
Lisbon ne rétorqua rien et se contenta de le regarder. Elle essaya de lui donné un coup de pied mais celui-ci la stoppa en appuyant violemment sur sa blessure à la cuisse.
Elle hurla de douleur et vit que la plaie s’infectée. Elle laissa une larme couler le long de sa joue.
Mark : « Térésa, Térésa. Tu es si belle, je suis vraiment déçue de devoir me débarrasser de toi. » Dit-il en s’approchant une nouvelle fois d’elle.
Elle se recroquevilla encore plus lorsqu’elle sentit ses mains touché son corps à moitié dénudé.
Elle écarquilla les yeux lorsqu’elle le vit sortir un long couteau aiguisé de derrière sa ceinture. Elle secoua la tête de droite à gauche, le suppliant du regard de ne pas faire ça.
Elle ne put réprimer un gémissement de douleur lorsqu’elle sentit la lame glacée pénétrer sa chair.
TBC !
Chapitre 6
Dernière édition par Sar2ah59 le Ven 12 Avr 2013 - 14:12, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
La seule raison pour laquelle je ne tuerai pas à la fin est que je veux le chapitre suivant (aussi vite que possible ) et je me suis laissé dire qu'il était difficile de publier un chapitre après être passée de vie à trépas...Mais franchement, franchement, nous laisser dans l'attente avec une phrase comme celle-ci...d'accord, c'est peut-être du talent, mais ça n'en reste pas moins sadique !
Bon, on découvre ce que contenait le portefeuille de Lisbon. Une photo d'elle en captivité, vulnérable, à moitié dénudée, blessée....ça a effectivement de quoi glacer le sang !
L'horrible Mark fait partie de la liste des cinq suspects....c'est déjà ça...Déjà condamné pour coups et blessures, ça fait froid dans le dos...
Nan mais sérieusement ? Je voyais venir le truc comme ça, je l'avais écrit dans mon dernier chapitre avant de l'effacer, me disant que quand même c'est un mobile drôlement pathétique. Et ça l'est. Voilà : Mark est un dangereux, pathétique, assassin. Et j'aime autant te dire que je n'aime pas du tout savoir Lisbon à sa merci.
Bah ouais, tu m'étonnes qu'elle pouffe de rire ! Comment garder son sérieux face à un individu aussi pathétique, qui garde une rancune aussi ridicule vingt ans après, au point d'assassiner plusieurs femmes ? Evidemment l'aspect criminel n'a rien de drôle mais v'là le mobile ! Punaise, se retrouver dans cette situation parce qu'un individu n'a pas digéré une déception d'amour adolescente ? Pffffff !
Mais notre Lisbon est toujours là, se battant vaillamment. Même dans une situation critique, elle tient le cap autant qu'elle le peut.
Voilà pourquoi une désespérée ne voudrait pas de toi ! Parce que les relations ne sont pas faites que de pouvoir. Lisbon n'a certainement pas oublié que c'est toi qui l'avais, crétin ! Elle ne va juste pas se soumettre parce que....bah parce que c'est Lisbon !
Mais quel enfoiré ! Il t'aurait peut-être fait pitié mais lui n'a pas eu besoin de la kidnapper pour qu'elle veuille de lui !
N'empêche que cet enfoiré pathétique a trouvé un levier pour atteindre Lisbon, sûrement bien plus efficace que les coups qu'il distribue à la volée...
C'est écoeurant ! Beurk !
Pitié, faites que Jane retrouve Lisbon avant qu'il ne soit trop tard, avant que Mark n'exécute cette partie de son plan !
Tu entends le bruit de mon coeur qui se brise à la lecture de cette phrase ?
Oh là là, comme je n'aime pas cette idée que Jane puisse ne pas la retrouver à temps ! Et comme je n'aime pas que Lisbon puisse envisager cette idée !
Ce Mark reçoit enfin la visite de Rigsby et Van Pelt...et franchement, j'ai eu envie de les baffer ! Ils ont envie de retrouver Lisbon ou quoi ? Je veux dire : ils s'attendent à quoi ? à ce que le coupable leur réponde que bien sûr, il connaît Teresa Lisbon, d'ailleurs elle se trouve en ce moment-même dans sa cave ? Donc ils rendent visible à un possible suspect et ne l'interroge même pas sur un alibi au moment des crimes ? Ils demandent des explications sur les bleus qui ornent sa main mais se satisfont de la première venue....je sais pas, mais le mec explique qu'il s'est battu contre un délinquant et ils ne prennent pas la peine de demander l'identité de ce délinquant ? Pas de vérification, rien ? Bah heureusement que Jane est dans la team CBI parce que là, ils sont plutôt mal barrés pour retrouver Lisbon !
Et moi, je suis colère contre Rigsby et Van Pelt!
Ohoh ! La visite des agents du CBI précipiterait-elle l'issue des choses ? C'est pas bon, pas bon du tout !
Rhalala, si c'était Jane qui avait rendu visite à Mark, il aurait vu tout de suite qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas....
Bon, là, je commence à vraiment prendre peur pour Lisbon !
Tu nous laisses vraiment dans une position difficile, partagés entre la peur et l'horreur de cette situation. Pas de souci, le pari de nous tenir en haleine jusqu'au prochain chapitre est tenu ! Mais ne fais pas durer le suspens trop longtemps....nos petits coeurs n'y survivraient pas !
Bon, on découvre ce que contenait le portefeuille de Lisbon. Une photo d'elle en captivité, vulnérable, à moitié dénudée, blessée....ça a effectivement de quoi glacer le sang !
L'horrible Mark fait partie de la liste des cinq suspects....c'est déjà ça...Déjà condamné pour coups et blessures, ça fait froid dans le dos...
Sar2ah59 a écrit:
Mark : « Tu m’as brisé Térésa, j’étais tellement amoureux de toi et tu m’as rejeté » dit-il tentant de garder son calme.
Nan mais sérieusement ? Je voyais venir le truc comme ça, je l'avais écrit dans mon dernier chapitre avant de l'effacer, me disant que quand même c'est un mobile drôlement pathétique. Et ça l'est. Voilà : Mark est un dangereux, pathétique, assassin. Et j'aime autant te dire que je n'aime pas du tout savoir Lisbon à sa merci.
Sar2ah59 a écrit:Lisbon pouffa de rire. « En même temps, même une désespérée ne voudrais pas de toi ! » lui cracha t-elle au visage.
Bah ouais, tu m'étonnes qu'elle pouffe de rire ! Comment garder son sérieux face à un individu aussi pathétique, qui garde une rancune aussi ridicule vingt ans après, au point d'assassiner plusieurs femmes ? Evidemment l'aspect criminel n'a rien de drôle mais v'là le mobile ! Punaise, se retrouver dans cette situation parce qu'un individu n'a pas digéré une déception d'amour adolescente ? Pffffff !
Mais notre Lisbon est toujours là, se battant vaillamment. Même dans une situation critique, elle tient le cap autant qu'elle le peut.
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Attention à ce que tu dis, tu n’oublieras pas que j’ai le pouvoir ici, pas toi. » dit-il
Voilà pourquoi une désespérée ne voudrait pas de toi ! Parce que les relations ne sont pas faites que de pouvoir. Lisbon n'a certainement pas oublié que c'est toi qui l'avais, crétin ! Elle ne va juste pas se soumettre parce que....bah parce que c'est Lisbon !
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Il avait l’air un peu triste tout de même, il m’aurait presque fait pitié avec ses yeux rougis et ses cernes. » dit-il en riant
Mais quel enfoiré ! Il t'aurait peut-être fait pitié mais lui n'a pas eu besoin de la kidnapper pour qu'elle veuille de lui !
N'empêche que cet enfoiré pathétique a trouvé un levier pour atteindre Lisbon, sûrement bien plus efficace que les coups qu'il distribue à la volée...
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Ben dis donc, il en a de la chance ton blondinet » dit-il en admirant le corps de la femme qui se trouvait sous lui. « Mais ne t’inquiètes pas, je vais en profiter aussi » dit-il d’une voix sensuelle.
C'est écoeurant ! Beurk !
Pitié, faites que Jane retrouve Lisbon avant qu'il ne soit trop tard, avant que Mark n'exécute cette partie de son plan !
Sar2ah59 a écrit:Et si jamais il ne la retrouvait pas à temps, elle avait au moins la conviction que son souvenir de lui l’accompagnerait jusqu’au bout.
Tu entends le bruit de mon coeur qui se brise à la lecture de cette phrase ?
Oh là là, comme je n'aime pas cette idée que Jane puisse ne pas la retrouver à temps ! Et comme je n'aime pas que Lisbon puisse envisager cette idée !
Ce Mark reçoit enfin la visite de Rigsby et Van Pelt...et franchement, j'ai eu envie de les baffer ! Ils ont envie de retrouver Lisbon ou quoi ? Je veux dire : ils s'attendent à quoi ? à ce que le coupable leur réponde que bien sûr, il connaît Teresa Lisbon, d'ailleurs elle se trouve en ce moment-même dans sa cave ? Donc ils rendent visible à un possible suspect et ne l'interroge même pas sur un alibi au moment des crimes ? Ils demandent des explications sur les bleus qui ornent sa main mais se satisfont de la première venue....je sais pas, mais le mec explique qu'il s'est battu contre un délinquant et ils ne prennent pas la peine de demander l'identité de ce délinquant ? Pas de vérification, rien ? Bah heureusement que Jane est dans la team CBI parce que là, ils sont plutôt mal barrés pour retrouver Lisbon !
Et moi, je suis colère contre Rigsby et Van Pelt!
Sar2ah59 a écrit:Mark : « Térésa, Térésa. Tu es si belle, je suis vraiment déçue de devoir me débarrasser de toi. » Dit-il en s’approchant une nouvelle fois d’elle.
Ohoh ! La visite des agents du CBI précipiterait-elle l'issue des choses ? C'est pas bon, pas bon du tout !
Rhalala, si c'était Jane qui avait rendu visite à Mark, il aurait vu tout de suite qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas....
Sar2ah59 a écrit:Elle se recroquevilla encore plus lorsqu’elle sentit ses mains touché son corps à moitié dénudé.
Elle écarquilla les yeux lorsqu’elle le vit sortir un long couteau aiguisé de derrière sa ceinture. Elle secoua la tête de droite à gauche, le suppliant du regard de ne pas faire ça.
Elle ne put réprimer un gémissement de douleur lorsqu’elle sentit la lame glacée pénétrer sa chair.
Bon, là, je commence à vraiment prendre peur pour Lisbon !
Tu nous laisses vraiment dans une position difficile, partagés entre la peur et l'horreur de cette situation. Pas de souci, le pari de nous tenir en haleine jusqu'au prochain chapitre est tenu ! Mais ne fais pas durer le suspens trop longtemps....nos petits coeurs n'y survivraient pas !
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Jane Doe : Ne me prive jamais de tes commentaires J'espère que ce chapitre te plaira !
Voilà ici un chapitre qui met un peu en stand by l'enquête pour traiter plus précisément les sentiments de nos deux amoureux préférés. J'ai fais un petit chapitre avec deux paragraphes donc deux POV différents. Il y aura une musique différente à associer à chaque paragraphe !
J'espère que ça vous plaira, je ne suis pas sure de mon coup là mais on verra, à vous de juger
Bonne lecture.
***
Chapitre 6
POV Jane (Musique)
Chapitre 6
POV Jane (Musique)
Je suis là, allongé sur mon lit les bras croisés derrière la tête. Je suis perdu et désorienté, mon seul point de repère dans ce monde n’est pas là pour me remettre dans le droit chemin.
Deux jours, deux jours qu’elle a disparue, deux jours que j’ai perdu une part de moi-même. Je ne sais plus quoi penser, est-elle encore en vie ? Ou bien l’a-t-il tué ? Tant de questions qui trottent dans mon esprit.
Térésa, un nom qui en dit tellement sur ce qu’elle est, sainte Térésa. Elle est celle qui m’a sortit de l’ombre, celle qui a vu le meilleur en moi alors que je croyais que je n’avais plus une once de sensibilité et de clarté au fond de mon cœur.
On dit souvent que lorsqu’une personne vous manque, tout est dépeuplé. C’est l’exactitude de ce que je ressens là maintenant.
J’ai vécu la même chose l’année dernière, j’ai souffert, j’ai été torturé et pourtant, je donnerais n’importe quoi pour être à sa place, pour qu’elle soit en sécurité et saine et non pas séquestrée et dans je ne sais quel état. Je donnerais ma vie pour elle.
C’est donc ça ? C’est ça le sentiment d’impuissance ? Le sentiment que l’on ressent quand on est incapable de sauver celle qu’on aime ? C’est un sentiment qui nous ronge, et nous détruit à petit feu. C’est bien pire que la douleur, la douleur se calme mais ce sentiment là non, il nous détruit jusqu'à ne plus avoir la force de le supporter.
La culpabilité d’être allongé sur ce lit, notre lit, alors que la personne qui compte le plus pour moi souffre quelque part me ronge.
Comment peut-on ne pas ressentir un besoin de vengeance dans cette situation ? Comment est-il possible de supporter la vue du sang sur le sol de son entrée, sachant que ce sang est le signe d’une vie en sursis ?
J’ai déjà vécu la mort de l’être aimé, j’ai survécu bien que cela soit étonnant. Oui j’ai survécu, et si je suis là aujourd’hui, c’est uniquement grâce à elle. Elle est cette personne qui vous donne des frissons rien qu’en vous lançant un regard, cette personne qui vous connait mieux que n’importe qui et qui est capable d’anticiper chacun de vos mouvements. Cette personne qui connait vos goûts, votre style de musique préférée, votre couleur préférée. Elle est cette personne que certains appellent l’âme sœur.
Je n’ai jamais cru en l’âme sœur, au coup de foudre et toutes ces choses qu’on trouve dans les films à l’eau de rose. Non, je suis une personne attaché aux faits et non pas aux coïncidences. Certains diront que cette façon de pensée est typique des scientifiques. Je n’aime pas les scientifiques. Ce sont des frustrés qui se noient dans le travail pour combler leur manque d’affection. Enfin, il faut de tout pour faire un monde.
Térésa, je sais que tu ne peux pas entendre ma voix, mais souviens toi de cette phrase que je t’ai dites, je t’en prie, n’oublies pas cette promesse que je t’ai faite, je viendrais te sauver je te le promets mais, jusque là, tiens le coup n’abandonnes pas car il faut que tu saches que si tu tombes, je tombe. Je ne survivrais pas sans toi, ne m’abandonnes pas…
Je sens mes paupières se fermer lourdement, laissant apparaître son visage, ce visage qui me manque tant.
***
POV Lisbon (Musique à partir de 30 sec)
POV Lisbon (Musique à partir de 30 sec)
J’étais là, recroquevillée sur un lit dur comme la pierre, dans une prison.
Les plaies que Mark m’avait taillées sur le ventre avaient cessées de saigner, mais pour combien de temps.
Tout ça pour quoi ? Parce que j’ai rejeté un pauvre goujat qui n’avait rien d’autre à faire que sauter sur tout ce qui bouge. Je me rappelle encore ce jour au lycée où il a tenté de m’embrasser mais je l’ai giflée si fort que je lui ai brisé le nez. On dirait que ça n’a pas arrangé son état mental. Moi qui croyais que tous le monde finissaient par oublier le lycée, passait à autre chose et bien lui non. En même temps, sa condition physique est proportionnelle à son état mental, ce qui est relativement inquiétant et déplaisant.
Je me vide de mon sang, je vais mourir et Je n’aurais pas eut une vie facile de toute évidence.
J’aurais eut une enfance difficile avec un père alcoolique, une mère précocement décédée et 3 frères à élever toute seule. Rien de bien glorieux. Et ma vie présente ? Mon dieu n’en parlons même pas !
J’ai du supporter un consultant qui s’est révélé être un emmerdeur professionnel, il emmerde aussi bien qu’il triche. Je pourrais au moins lui reconnaître qu’il a le don de me rendre folle et dans tous les sens du terme. Et pourtant, pourtant il est celui qui compte le plus à mes yeux.
L’année dernière, quand il s’est fait enlevé, j’ai cru tout perdre, j’ai cru le perdre pour toujours. Qu’aurais-je fais si on serait arrivé trop tard ? Si les deux sbires d’Hélias avaient eu le temps de l’abattre comme ils l’avaient prévu ? Il serait mort et moi je serais seule.
Mais, ce n’est pas le cas. Il a était là depuis tout ce temps et il est encore là. Il me supporte, me console et m’aime comme aucuns homme ne l’a jamais fait et qui pourrait croire qu’un homme blessé au plus profond de lui soit capable d’une telle sensibilité ? Et bien, les apparences sont trompeuses et Jane en est la preuve vivante.
Je ne cesse de me souvenir des mots qu’il ma dit, de tenir le coup et de ne pas abandonner, de croire à son amour car c’est ce qui me ferait tenir bon. Qui pourrait croire que de simples mots pourraient avoir une telle portée ? Et bien pour moi, ces simples mots prononcé par l’homme que j’aime, représentent l’espoir, l’espoir de pouvoir un jour vivre heureuse.
Il y a tant de choses que je n’ai pas faites… Réconcilier mes frères, les revoir et leurs dirent à quel point je les aime…
Mon équipe, mes amis et sûrement l’une de mes plus grande fierté, ils sont tous si extraordinaires, si compétents, j’aurais aimé leur dire qu’ils ne sont pas que de simples subordonnés à mes yeux, mais qu’ils sont réellement des amis, des gens qui ont une grande place dans mon cœur, leurs dirent qu’ils représentent ma deuxième famille.
Et Jane, J’aimerais tant lui dire de ne pas s’en faire, de ne pas culpabiliser - parce que je sais qu’il culpabilise - de juste tourner la page et passer à autre chose, mais je ne peux pas, je veux continuer de croire qu’il me retrouvera et qu’on pourra juste recommencer à vivre comme tout le monde...
Je ne lui ais jamais dis que je l’aimais et pourtant…
Que deviendra t-il si je disparais ? J’ai peur de devoir envisager cette réponse, que fera t-il ?
Et bien soit il traquera Mark jusqu'à le retrouver et se vengera, soit il se laissera mourir, assommé par la culpabilité de ne pas m’avoir sauvé.
Je ne veux pas ça, je ne veux pas qu’il soit brisé une seconde fois, qu’il se laisse abrutir par une nouvelle vengeance et qu’il sombre. Il mérite tellement mieux que ça.
Ça me fais presque mal de dire ça, mais si je viens à disparaître, je veux qu’il refasse sa vie, qu’il soit heureux mais je sais pertinemment que c’est impossible. Il n’a eut que 3 véritables raisons de vivre au cours de sa vie, Sa femme et sa fille qu’il a perdu et moi-même… Et que fera t-il s’il perd la seule personne qui lui reste sur cette terre ? Et bien il se laissera mourir, d’une manière ou d’une autre.
Tant de mots que j’aurais du dire, mais qui ne sortiront jamais de cette pièce, que j’emporterais dans ma tombe.
TBC
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Dernière édition par Sar2ah59 le Lun 15 Avr 2013 - 11:24, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
T'as un mouchoir à me filer, là ?
J'ai beaucoup aimé ce chapitre, rempli d'une émotion qui monte crescendo, jusqu'à te submerger à la fin...
Deux jours et déjà un aperçu de ce que serait sa vie sans elle, une vie qu'il ne veut pas mener...Cette insistance sur le temps écoulé est bien vue !
J'ai beaucoup aimé que tu abordes le sentiment d'impuissance par la voie interrogative...je trouve que ça donne plus de puissance à la réflexion.
Si je peux me permettre....je n'ai pas été convaincue par ce passage. Le lien que partage Lisbon et Jane est, à mon sens, bien plus profond que la connaissance d'informations objectives l'un sur l'autre. Ils partagent bien plus que ça....leurs blessures intimes, la "guérison", un futur....Le degré de connaissance qu'ils ont l'un sur l'autre est bien plus profond que ça....l' "âme soeur", c'est bien plus que ça...Lisbon représente bien plus que ça....et tu le sais !
Alors là, j'ai éclaté de rire !
J'adore ! "Il faut de tout pour faire un monde".....sauf des ex-adolescents frustrés devenus des assassins, toutefois !
En revanche, je trouve qu'il manque un paragraphe ou une phrase quelque chose....En gros, là, on a le "elle est mon âme soeur"....puis le "pourtant je n'y ai jamais cru"....je trouve qu'il manque un lien entre les deux...quelque chose qui explique pourquoi, dans ces conditions, il reconnaît Lisbon comme telle. Je sais que ses pensées précédentes répondent à cette question, mais je trouve que sur la forme il manque un petit truc.
Par contre, j'ai été complètement conquise par la fin du POV Jane
Une promesse renouvelée et une supplique silencieuse à la personne aimée....j'ai trouvé ça très beau
Ça, c'est notre Lisbon !
Effectivement, ça n'a pas dû plaire à notre dérangé qui ne conçoit les relations amoureuses que sur le mode de la soumission....Tenter d'avoir le contrôle sur Lisbon, c'était voué à l'échec...un échec qu'il a dû vivre comme une humiliation. On comprend mieux où s'enracine sa rancune, même si elle reste pathétique...
Les apparences n'ont jamais trompé Lisbon quand il s'agit de Jane....elle a toujours su voir ce qu'il y avait de bon en lui....et c'est -je crois - ce qu'il y a de plus beau dans leur relation.
Ces mots si significatifs et qu'il continue de porter dans son coeur...J'aime beaucoup l'idée qu'elle les garde en mémoire et qu'ils aient de l'importance pour elle, qu'ils soient un espoir...A défaut d'avoir sa croix, elle a le souvenir de ces mots sur lesquels s'appuyer....J'aime vraiment beaucoup
Sa réflexion sur tout ce qu'elle n'a pas fait, tout ce qu'elle n'a pas dit est
Mon passage préféré du chapitre, en ce qu'il témoigne qu'elle connaît Jane...tellement bien ! Qu'il témoigne également de la profondeur des sentiments qu'elle lui porte, mais aussi d'un espoir qui subsiste que tout s'arrange....Un vrai coup de coeur pour ce passage, donc !
J'aime beaucoup l'idée de Lisbon pensant à ce que Jane mérite....là où on sait que lui estime mériter si peu.
Espérons que Lisbon se trompe et qu'elle ait effectivement l'occasion de dire toutes ces choses...
Parce qu'au final, la conclusion du POV Lisbon, c'est qu'elle ne peut pas mourir
Et j'ai beaucoup aimé les musiques ! Au point que j'ai attendu la fin de la première avant d'attaquer la deuxième partie du chapitre !
J'aime bien cette idée de nous plonger dans les réflexions de nos deux protagonistes (avec une préférence pour le POV Lisbon toutefois) avant que l'enquête ne connaisse de nouveaux développements.
J'ai beaucoup aimé ce chapitre, rempli d'une émotion qui monte crescendo, jusqu'à te submerger à la fin...
Sar2ah59 a écrit:
Deux jours, deux jours qu’elle a disparue, deux jours que j’ai perdu une part de moi-même. Je ne sais plus quoi penser, est-elle encore en vie ? Ou bien l’a-t-il tué ?
Deux jours et déjà un aperçu de ce que serait sa vie sans elle, une vie qu'il ne veut pas mener...Cette insistance sur le temps écoulé est bien vue !
Sar2ah59 a écrit:J’ai vécu la même chose l’année dernière, j’ai souffert, j’ai été torturé et pourtant, je donnerais n’importe quoi pour être à sa place, pour qu’elle soit en sécurité (....). Je donnerais ma vie pour elle.
Sar2ah59 a écrit:C’est donc ça ? C’est ça le sentiment d’impuissance ? Le sentiment que l’on ressent quand on est incapable de sauver celle qu’on aime ?
J'ai beaucoup aimé que tu abordes le sentiment d'impuissance par la voie interrogative...je trouve que ça donne plus de puissance à la réflexion.
Sar2ah59 a écrit: Cette personne qui connait vos goûts, votre style de musique préférée, votre couleur préférée. Elle est cette personne que certains appellent l’âme sœur.
Si je peux me permettre....je n'ai pas été convaincue par ce passage. Le lien que partage Lisbon et Jane est, à mon sens, bien plus profond que la connaissance d'informations objectives l'un sur l'autre. Ils partagent bien plus que ça....leurs blessures intimes, la "guérison", un futur....Le degré de connaissance qu'ils ont l'un sur l'autre est bien plus profond que ça....l' "âme soeur", c'est bien plus que ça...Lisbon représente bien plus que ça....et tu le sais !
Sar2ah59 a écrit: Non, je suis une personne attaché aux faits et non pas aux coïncidences. Certains diront que cette façon de pensée est typique des scientifiques. Je n’aime pas les scientifiques. Ce sont des frustrés qui se noient dans le travail pour combler leur manque d’affection. Enfin, il faut de tout pour faire un monde.
Alors là, j'ai éclaté de rire !
J'adore ! "Il faut de tout pour faire un monde".....sauf des ex-adolescents frustrés devenus des assassins, toutefois !
En revanche, je trouve qu'il manque un paragraphe ou une phrase quelque chose....En gros, là, on a le "elle est mon âme soeur"....puis le "pourtant je n'y ai jamais cru"....je trouve qu'il manque un lien entre les deux...quelque chose qui explique pourquoi, dans ces conditions, il reconnaît Lisbon comme telle. Je sais que ses pensées précédentes répondent à cette question, mais je trouve que sur la forme il manque un petit truc.
Par contre, j'ai été complètement conquise par la fin du POV Jane
Sar2ah59 a écrit: Térésa, je sais que tu ne peux pas entendre ma voix, mais souviens toi de cette phrase que je t’ai dites, je t’en prie, n’oublies pas cette promesse que je t’ai faite, je viendrais te sauver je te le promets mais, jusque là, tiens le coup n’abandonnes pas car il faut que tu saches que si tu tombes, je tombe. Je ne survivrais pas sans toi, ne m’abandonnes pas…
Une promesse renouvelée et une supplique silencieuse à la personne aimée....j'ai trouvé ça très beau
Sar2ah59 a écrit: . Je me rappelle encore ce jour au lycée où il a tenté de m’embrasser mais je l’ai giflée si fort que je lui ai brisé le nez.
Ça, c'est notre Lisbon !
Effectivement, ça n'a pas dû plaire à notre dérangé qui ne conçoit les relations amoureuses que sur le mode de la soumission....Tenter d'avoir le contrôle sur Lisbon, c'était voué à l'échec...un échec qu'il a dû vivre comme une humiliation. On comprend mieux où s'enracine sa rancune, même si elle reste pathétique...
Sar2ah59 a écrit: Mais, ce n’est pas le cas. Il a était là depuis tout ce temps et il est encore là. Il me supporte, me console et m’aime comme aucuns homme ne l’a jamais fait et qui pourrait croire qu’un homme blessé au plus profond de lui soit capable d’une telle sensibilité ? Et bien, les apparences sont trompeuses et Jane en est la preuve vivante.
Les apparences n'ont jamais trompé Lisbon quand il s'agit de Jane....elle a toujours su voir ce qu'il y avait de bon en lui....et c'est -je crois - ce qu'il y a de plus beau dans leur relation.
Sar2ah59 a écrit: Je ne cesse de me souvenir des mots qu’il ma dit, de tenir le coup et de ne pas abandonner, de croire à son amour car c’est ce qui me ferait tenir bon. Qui pourrait croire que de simples mots pourraient avoir une telle portée ? Et bien pour moi, ces simples mots prononcé par l’homme que j’aime, représentent l’espoir, l’espoir de pouvoir un jour vivre heureuse.
Ces mots si significatifs et qu'il continue de porter dans son coeur...J'aime beaucoup l'idée qu'elle les garde en mémoire et qu'ils aient de l'importance pour elle, qu'ils soient un espoir...A défaut d'avoir sa croix, elle a le souvenir de ces mots sur lesquels s'appuyer....J'aime vraiment beaucoup
Sa réflexion sur tout ce qu'elle n'a pas fait, tout ce qu'elle n'a pas dit est
Sar2ah59 a écrit: Et Jane, J’aimerais tant lui dire de ne pas s’en faire, de ne pas culpabiliser - parce que je sais qu’il culpabilise - de juste tourner la page et passer à autre chose, mais je ne peux pas, je veux continuer de croire qu’il me retrouvera et qu’on pourra juste recommencer à vivre comme tout le monde...
Je ne lui ais jamais dis que je l’aimais et pourtant…
Mon passage préféré du chapitre, en ce qu'il témoigne qu'elle connaît Jane...tellement bien ! Qu'il témoigne également de la profondeur des sentiments qu'elle lui porte, mais aussi d'un espoir qui subsiste que tout s'arrange....Un vrai coup de coeur pour ce passage, donc !
Sar2ah59 a écrit: Je ne veux pas ça, je ne veux pas qu’il soit brisé une seconde fois, qu’il se laisse abrutir par une nouvelle vengeance et qu’il sombre. Il mérite tellement mieux que ça.
J'aime beaucoup l'idée de Lisbon pensant à ce que Jane mérite....là où on sait que lui estime mériter si peu.
Sar2ah59 a écrit: Tant de mots que j’aurais du dire, mais qui ne sortiront jamais de cette pièce, que j’emporterais dans ma tombe.
Espérons que Lisbon se trompe et qu'elle ait effectivement l'occasion de dire toutes ces choses...
Parce qu'au final, la conclusion du POV Lisbon, c'est qu'elle ne peut pas mourir
Et j'ai beaucoup aimé les musiques ! Au point que j'ai attendu la fin de la première avant d'attaquer la deuxième partie du chapitre !
J'aime bien cette idée de nous plonger dans les réflexions de nos deux protagonistes (avec une préférence pour le POV Lisbon toutefois) avant que l'enquête ne connaisse de nouveaux développements.
Re: Never let you down. ^
Je rejoins Jane Doe, t'as pas un mouchoir ? xD
C'est une très bonne idée les deux points de vue de chacun, il y a énormément d'émotion, Lisbon qui pense qu'elle va mourir
Je ne vais pas vraiment me lancer dans une analyse complète, j'ai juste envie de dire : Vivement la suite !
Bravo !
C'est une très bonne idée les deux points de vue de chacun, il y a énormément d'émotion, Lisbon qui pense qu'elle va mourir
Je ne vais pas vraiment me lancer dans une analyse complète, j'ai juste envie de dire : Vivement la suite !
Bravo !
Re: Never let you down. ^
Rooh la la mais quelle fic' !!! J'adore
malgré la tristesse des derniers chapitres j'adore toujours autant.
j'attends la suite avec impatience
malgré la tristesse des derniers chapitres j'adore toujours autant.
j'attends la suite avec impatience
Ju3993- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick Jane
Re: Never let you down. ^
Toujours aussi brillant,Sarah...
Mais Lisbon... pas sûre que les derniers chaps me rassurent pour elle...
Mais Lisbon... pas sûre que les derniers chaps me rassurent pour elle...
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Remerciements :
Jane Doe : Merci de cette analyse complète et si plaisante Jane Doe ! J'espère que la suite que tu attends impatiemment ne te décevras pas !
Riza : Ahah, la prochaine fois je mettrai une boite de mouchoir à votre disposition J'espère que la suite plaira !
Ju : J'espère que tu aimeras !
Lisbon : Merci de ton commentaire
Voilà pour vous, le chapitre 7, Je tiens à préciser que ce chapitre ma donner beaucoup de fil à retordre !!
j'espère que vous aimerez les amis !
***
Chapitre 7
Chapitre 7
Domicile de Jane et Lisbon.
Il était 5h30 lorsque Jane fut tiré de son sommeil. Il s’étira et laissa son regard se perdre sur la place vide à côté de lui. Il se leva et prit la direction de la salle de bain. Il se lava rapidement et descendit.
Il se prépara un thé et fila en direction des bureaux du CBI.
Bureaux du CBI.
Jane : « Salut. » dit-il en faisant un geste de la main vers ses 3 collègues et en se dirigeant vers son canapé.
« Salut » dirent-ils en chœur.
Jane s’assaya sur son canapé et regarda la pièce sans grand intérêt.
Jane : « Dit Van Pelt, tu aurais une photo des suspects » demanda t-il en buvant une gorgée de thé.
Van Pelt : « Euh oui attend je vais te chercher ça » dit-elle en tapant sur son clavier.
Rigsby : « Pourquoi faire ? » demanda t-il innocemment.
Jane : « Oh, juste une petite vérification. » dit-il en balayant ses paroles d’un geste de la main.
Rigsby : « Tu nous le dirais si tu avais quelque chose n’est-ce pas ? Je te rappelle qu’il s’agit du patron Jane. » dit-il sans se rendre compte de l’impact de ses mots.
Jane le dévisagea et lui lança « Non sans déc! J’aurais du mal à oublier qu’il s’agit de Lisbon, étant donné que ma solitude le soir et le matin me le rappelle sans cesse ! » Dit-il sèchement en prenant les photos que Van Pelt lui tendait.
Il prit la direction du bureau de Lisbon et s’y enferma en claquant la porte.
Rigsby : « J’ai dis quelque chose de mal ? » dit-il un peu perdu.
Cho : « Laisses tomber. » dit-il sans levé les yeux de son livre.
Jane regardait les photos une par une jusqu'à qu’il tombe sur la dernière. Mark Waren. Il eut un mouvement de recul. Il émit un petit rire cynique.
Jane : « Tiens, monsieur tout le monde » souffla t-il. « J’aurais du y penser plus tôt… ». dit-il en passant une main dans ses cheveux blonds indisciplinés.
Il regarda si l’adresse du suspect s’y trouvée et, elle y était.
Il leva les yeux vers l’open space, où il pouvait voir ses collègues. Il soupira et prit la liste de suspect entre ses mains. Il écrit quelque chose à côté de l’un des noms et posa la liste bien en évidence sur le bureau de Lisbon.
Il prit sa veste, ses clés de voiture.
Il sortit du bureau et lança un « Je vais faire un tour » à ses collègues puis quitta l’open space. Il les regarda une dernière fois et prit la direction de l’ascenseur.
***
Lisbon était faible, très faible. Ses plaies avaient recommencé à saigner abondamment, si elle n’était pas soigné ou nourrit rapidement, elle mourrait.
Waren entra dans la pièce comme une furie et se dirigea vers Lisbon.
Mark : « Térésa ? » l’appela t-il mais sans réponse, ses yeux restèrent clos. « Térésa, térésa » dit-il en la secouant. « Et merde » jura t-il.
Il fallait qu’il la nourrisse, il remonta à l’étage supérieur et entreprit de ramener quelque chose à sa prisonnière lorsqu’il fut coupé dans un élan par la sonnerie de la porte.
Il ouvrit et écarquilla les yeux à la vue de celui qui se trouvait sur le pas de la porte.
Jane : « Bonjour Monsieur Smith » dit-il avec un sourire en coin. « Je peux entrer ? Merci » dit-il sans vraiment attendre la réponse de son interlocuteur.
Il entra et balaya l’entrée du regard, il remarqua les nombreuses portes dans le couloir.
Jane : « Vous avez une très jolie maison Monsieur Smith » dit-il en se promenant les mains dans les poches.
Waren : « Euh oui, merci. » dit-il en se demandant si le consultant joué un rôle ou s’il ignorait vraiment son identité. « Vous êtes un agent ? » demanda t-il
Jane : « Non, juste consultant » dit-il en haussant les épaules.
Waren : « Que voulez vous au juste ? » demanda t-il en perdant patience.
Jane : « Dites moi, vous n’auriez pas un frère jumeau ? » demanda t-il en posant son index sur ses lèvres.
Waren commençait à s’agiter, il perdait patience.
Jane : « Ou bien est-ce une nouvelle mode d’avoir une double identité Monsieur Waren » demanda t-il en prenant un ton sérieux.
Waren : « Ce n’est pas illégal de changer de nom » dit-il en haussant les épaules.
Jane : « Non, mais la séquestration, le viol et le meurtre sont illégaux » dit-il se laissant aveuglé par sa colère, ce même sentiment qu'il avait ressentit pendant presque 10 ans, pendant sa traque de John Le Rouge.
Waren : « Vous jouez un jeu dangereux Patrick, vous êtes seul ici. » dit-il
Jane : « Comment connaissez-vous mon nom ? » demanda t-il.
Waren : « Oh, une vieille amie m’a beaucoup parlé de vous. Elle semble beaucoup vous appréciée. » Termina t-il.
Jane serra les poings et les dents sachant pertinemment qu’il détenait Lisbon.
Waren sortit une arme de derrière sa ceinture et pointa Jane avec.
Waren : « Monsieur Jane, la curiosité est un vilain défaut » dit-il en s’approchant dangereusement de lui.
Jane : « Hm, ça dépend pour qui » dit-il en haussant les épaules.
Waren perdait patience, Jane avait le don de jouer avec les nerfs des personnes qu’il voulait déstabiliser.
Jane fit un pas en arrière, puis deux et ainsi de suite jusqu'à l’une des portes du couloir de l’entrée.
Waren : « Entrez » dit-il en désignant la porte.
Jane : « Oh, vous m’offrez une visite ? Trop sympathique ! » Dit-il ironiquement.
Waren ouvrit la porte violemment et poussa Jane qui dévala les escaliers et finit sa course en bas, se cognant violemment le crâne sur la dernière marche, ce qui le fit tomber dans l’inconscience.
Il eut juste le temps d’entendre le bruit de la serrure qui annoncé sa captivité.
30 minutes plus tard.
Jane fut réveillé par des hurlements, il se leva d’un bond mais, déséquilibré il retomba aussi vite sur le sol en se tenant la tête.
Les hurlements ne cessaient pas. Il reconnut soudainement la voix, cette voix qu’il ne connaissait que trop bien.
Il se leva et grimpa à toute vitesse les escaliers qu’il avait dévalés quelques minutes plus tôt et commença à tambouriner sur la porte en métal.
Jane : « Lisbon ! » hurlait-il. « Lisbon » répéta t-il alors que les hurlements et les pleurs de la jeune femme ne cessaient pas.
Les larmes dévalèrent ses joues sans qu’il ne puisse les retenir.
La porte s’ouvrit à la volée sur Waren qui tomba nez à nez avec Jane qui remarqua bien vite les traînées de sang sur sa chemise et les bleus sur ses mains.
Jane : « Qu’est ce que vous avez fait espèce d’ordure » hurlait-il, rongé par la colère.
Waren : « Ah mon cher ami, j’ai profité de ce que le corps de cette magnifique Térésa m’offrait » dit-il avec un sourire carnassier.
Jane eut le souffle coupé à cette affirmation, il ne respirait plus normalement, des images atroces lui traversaient l’esprit.
Jane : « Vous allez le payer je vous le jure » dit-il en tentant de frapper Waren. Il tapa un coup à côté de lui, sur la porte. Il n’était pas adepte de la violence mais cette fois-ci, les circonstances étaient différentes.
Waren lui asséna un coup de crosse au visage, ce qui eut pour effet de faire dévaler Jane dans les escaliers pour la seconde fois, une tâche de sang commençait à se former sur le sol de la pièce.
***
Lisbon de son côté, était allongée sur le lit sans pouvoir bouger, frissonnant en repensant à ce qu’elle venait de subir.
Elle avait entendu la voix de son amant qui hurlait son nom, mais elle persistait dans l’idée que ce n’était qu’un rêve, une vulgaire illusion provoquée par sa fatigue et son manque de nutrition.
Elle sentait ses forces la quitter peu à peu, elle avait froid, terriblement froid.
La seule chose qui lui permettait de tenir, c’était la pensée des derniers moments avec Jane et son visage angélique. Elle se répétait en boucle sa promesse et comme il le lui avait promis, il l’aidait à tenir bon, à ne pas abandonner.
Dieu seul sait que si il n’était pas là, elle serait déjà partie vers une destination sans retour.
TBC
Chapitre suivant
Dernière édition par Sar2ah59 le Lun 15 Avr 2013 - 14:25, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
Très bon chapitre, je comprend qu'il t'ai donné du fil à retordre, ce n'est jamais facile d'écrire ce genre de scènes
Pauvre Jane, deja que chuter des escaliers une fois ça ne fait pas du bien, alors deux...
J'espere que le calvaire va vite être terminé
Ah oui, aussi :
Bravo !
Vivement la suite (Ps : tu sais combien de chapitres il reste environ ?)
Pauvre Jane, deja que chuter des escaliers une fois ça ne fait pas du bien, alors deux...
J'espere que le calvaire va vite être terminé
Ah oui, aussi :
J'sais pas pourquoi, j'adore cette répliqueRigsby : « J’ai dis quelque chose de mal ? » dit-il un peu perdu.
Cho : « Laisses tomber. » dit-il sans levé les yeux de son livre.
Bravo !
Vivement la suite (Ps : tu sais combien de chapitres il reste environ ?)
Re: Never let you down. ^
Ton sadisme ne connaît décidément aucune mesure ! J'espère que tu autant souffert à la rédaction de ce chapitre que moi à sa lecture !
Mais quel idiot ! Mais quel idiot, mais quel idiot !
Rigsby m'énerve ! Je ne lui ai pas encore pardonné son interrogatoire raté de Waren qu'il remet déjà de l'huile sur le feu ! Nan mais !
Du coup, la réponse de Jane ne se fait pas attendre
Et elle est complètement méritée ! Mais on sait bien que cette colère dissimule en réalité la détresse de Jane....c'est bien pour ça que ce passage est si
Tu m'as encore brisé le coeur sur ce coup-là !
Jane fait enfin le lien entre le suspect et la visite déplaisante reçue au CBI. Enfin, il tient une piste !
Bon, j'imagine que même s'il se donne un temps d'avance en ne disant à personne où il va, il est plus que jamais conscient des enjeux et des risques de la situation et donne au reste de l'équipe les moyens de les retrouver ! Hein ?
J'imagine que tu veux dire "soignée et nourrie"....Je suis pas sûre que l'un puisse remplacer l'autre et suffire à la tirer d'affaire. Et dans son état de semi-conscience que tu décris, il semble peu probable qu'elle parvienne à s'alimenter, même si de la nourriture était mise à sa disposition....ou je fais fausse route ?
L'heure est venue pour Jane de confronter Waren.....bien sûr, ton sadisme est au rendez-vous !
Ce rappel des horreurs subies par ses victimes m'a vraiment retournée....et effrayée pour Lisbon.
Aussi déplaisant qu'il soit de l'admettre, Waren a raison....Comment Jane a-t-il pu croire une seconde qu'il s'en sortirait avec ses jeux d'esprits ? Comment a-t-il pu se jeter dans la gueule du loup sans se munir d'une arme (ou d'un collègue muni d'une arme) ?
Je t'en veux terriblement pour ce passage :
J'ai eu, une seconde, l'espoir fou que Jane maîtrisait un tant soit peu la situation. Que ses pas en arrière étaient calculés pour arriver à la pièce où Lisbon était détenue (tu sais, comme quand il retrouve les clés de la voiture cachée par Van Pelt ou l'arme du crime dans le 2x01, sur la base du langage corporel), qu'il faisait exprès de se faire enfermer pour être avec Lisbon....
Et du coup, j'étais presque contente, en tout cas soulagée de me dire que quoique la situation demeurait critique, au moins Jane et Lisbon allait être réunis.
Et en fait, pas du tout ! Tu as balayé tous mes espoirs en quelques secondes, en quelques mots !
Ainsi donc, il est suffisamment proche de Lisbon pour entendre sa souffrance mais suffisamment éloigné pour ne rien pouvoir y faire. L'horreur pure....
NON !
T'as pas fait ça ? T'as pas vraiment fait ça ?
C'est horrible ! La façon dont Waren le dit est au moins aussi horrible que les faits qui sont suggérés....Pauvre Lisbon ! Mais dans quel état tu vas nous la rendre ?
Et dans quel état tu vas nous rendre Jane ?
J'ai trop envie de pleurer !
La seule chose qui raccroche encore Lisbon un tant soit peu à la vie, c'est Jane....fais en sorte que ce soit assez !
Sar2ah59 a écrit:
Rigsby : « Tu nous le dirais si tu avais quelque chose n’est-ce pas ? Je te rappelle qu’il s’agit du patron Jane. » dit-il sans se rendre compte de l’impact de ses mots.
Mais quel idiot ! Mais quel idiot, mais quel idiot !
Rigsby m'énerve ! Je ne lui ai pas encore pardonné son interrogatoire raté de Waren qu'il remet déjà de l'huile sur le feu ! Nan mais !
Du coup, la réponse de Jane ne se fait pas attendre
Sar2ah59 a écrit:J’aurais du mal à oublier qu’il s’agit de Lisbon, étant donné que ma solitude le soir et le matin me le rappelle sans cesse ! »
Et elle est complètement méritée ! Mais on sait bien que cette colère dissimule en réalité la détresse de Jane....c'est bien pour ça que ce passage est si
Tu m'as encore brisé le coeur sur ce coup-là !
Jane fait enfin le lien entre le suspect et la visite déplaisante reçue au CBI. Enfin, il tient une piste !
Sar2ah59 a écrit: Il écrit quelque chose à côté de l’un des noms et posa la liste bien en évidence sur le bureau de Lisbon.
Bon, j'imagine que même s'il se donne un temps d'avance en ne disant à personne où il va, il est plus que jamais conscient des enjeux et des risques de la situation et donne au reste de l'équipe les moyens de les retrouver ! Hein ?
Sar2ah59 a écrit:Lisbon était faible, très faible. Ses plaies avaient recommencé à saigner abondamment, si elle n’était pas soigné ou nourrit rapidement, elle mourrait.
J'imagine que tu veux dire "soignée et nourrie"....Je suis pas sûre que l'un puisse remplacer l'autre et suffire à la tirer d'affaire. Et dans son état de semi-conscience que tu décris, il semble peu probable qu'elle parvienne à s'alimenter, même si de la nourriture était mise à sa disposition....ou je fais fausse route ?
L'heure est venue pour Jane de confronter Waren.....bien sûr, ton sadisme est au rendez-vous !
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Non, mais la séquestration, le viol et le meurtre sont illégaux » dit-il se laissant aveuglé par sa colère, ce même sentiment qu'il avait ressentit pendant presque 10 ans, pendant sa traque de John Le Rouge.
Ce rappel des horreurs subies par ses victimes m'a vraiment retournée....et effrayée pour Lisbon.
Sar2ah59 a écrit:Waren : « Vous jouez un jeu dangereux Patrick, vous êtes seul ici. » dit-il
Aussi déplaisant qu'il soit de l'admettre, Waren a raison....Comment Jane a-t-il pu croire une seconde qu'il s'en sortirait avec ses jeux d'esprits ? Comment a-t-il pu se jeter dans la gueule du loup sans se munir d'une arme (ou d'un collègue muni d'une arme) ?
Je t'en veux terriblement pour ce passage :
Sar2ah59 a écrit:Jane fit un pas en arrière, puis deux et ainsi de suite jusqu'à l’une des portes du couloir de l’entrée.
Waren : « Entrez » dit-il en désignant la porte.
Jane : « Oh, vous m’offrez une visite ? Trop sympathique ! » Dit-il ironiquement.
Waren ouvrit la porte violemment et poussa Jane qui dévala les escaliers et finit sa course en bas, se cognant violemment le crâne sur la dernière marche, ce qui le fit tomber dans l’inconscience.
J'ai eu, une seconde, l'espoir fou que Jane maîtrisait un tant soit peu la situation. Que ses pas en arrière étaient calculés pour arriver à la pièce où Lisbon était détenue (tu sais, comme quand il retrouve les clés de la voiture cachée par Van Pelt ou l'arme du crime dans le 2x01, sur la base du langage corporel), qu'il faisait exprès de se faire enfermer pour être avec Lisbon....
Et du coup, j'étais presque contente, en tout cas soulagée de me dire que quoique la situation demeurait critique, au moins Jane et Lisbon allait être réunis.
Et en fait, pas du tout ! Tu as balayé tous mes espoirs en quelques secondes, en quelques mots !
Sar2ah59 a écrit:Il se leva et grimpa à toute vitesse les escaliers qu’il avait dévalés quelques minutes plus tôt et commença à tambouriner sur la porte en métal.
Jane : « Lisbon ! » hurlait-il. « Lisbon » répéta t-il alors que les hurlements et les pleurs de la jeune femme ne cessaient pas.
Ainsi donc, il est suffisamment proche de Lisbon pour entendre sa souffrance mais suffisamment éloigné pour ne rien pouvoir y faire. L'horreur pure....
Sar2ah59 a écrit:La porte s’ouvrit à la volée sur Waren qui tomba nez à nez avec Jane qui remarqua bien vite les traînées de sang sur sa chemise et les bleus sur ses mains.
Jane : « Qu’est ce que vous avez fait espèce d’ordure » hurlait-il, rongé par la colère.
Waren : « Ah mon cher ami, j’ai profité de ce que le corps de cette magnifique Térésa m’offrait » dit-il avec un sourire carnassier.
NON !
T'as pas fait ça ? T'as pas vraiment fait ça ?
C'est horrible ! La façon dont Waren le dit est au moins aussi horrible que les faits qui sont suggérés....Pauvre Lisbon ! Mais dans quel état tu vas nous la rendre ?
Et dans quel état tu vas nous rendre Jane ?
Sar2ah59 a écrit:Elle sentait ses forces la quitter peu à peu, elle avait froid, terriblement froid.
La seule chose qui lui permettait de tenir, c’était la pensée des derniers moments de Jane et son visage angélique. Elle se répétait en boucle sa promesse et comme il le lui avait promis, il l’aidait à tenir bon, à ne pas abandonner.
Dieu seul sait que si il n’était pas été là, elle serait déjà partie vers une destination sans retour.
J'ai trop envie de pleurer !
La seule chose qui raccroche encore Lisbon un tant soit peu à la vie, c'est Jane....fais en sorte que ce soit assez !
Re: Never let you down. ^
trop bien je veux la suite!
Jisboncrazylovementalist- Gardien du parking
- Personnage préféré : Lisbon&Jane
Loisirs : Rever du jisbon
Localisation : Sur une plage de Sacramento dans les bras de Patrick Jane...
Re: Never let you down. ^
Jane Doe a écrit:Ton sadisme ne connaît décidément aucune mesure ! J'espère que tu autant souffert à la rédaction de ce chapitre que moi à sa lecture !Sar2ah59 a écrit:
Rigsby : « Tu nous le dirais si tu avais quelque chose n’est-ce pas ? Je te rappelle qu’il s’agit du patron Jane. » dit-il sans se rendre compte de l’impact de ses mots.
Mais quel idiot ! Mais quel idiot, mais quel idiot !
Rigsby m'énerve ! Je ne lui ai pas encore pardonné son interrogatoire raté de Waren qu'il remet déjà de l'huile sur le feu ! Nan mais !
Du coup, la réponse de Jane ne se fait pas attendre
Sar2ah59 a écrit:J’aurais du mal à oublier qu’il s’agit de Lisbon, étant donné que ma solitude le soir et le matin me le rappelle sans cesse ! »
Et elle est complètement méritée ! Mais on sait bien que cette colère dissimule en réalité la détresse de Jane....c'est bien pour ça que ce passage est si
Tu m'as encore brisé le coeur sur ce coup-là !
Jane fait enfin le lien entre le suspect et la visite déplaisante reçue au CBI. Enfin, il tient une piste !Sar2ah59 a écrit: Il écrit quelque chose à côté de l’un des noms et posa la liste bien en évidence sur le bureau de Lisbon.
Bon, j'imagine que même s'il se donne un temps d'avance en ne disant à personne où il va, il est plus que jamais conscient des enjeux et des risques de la situation et donne au reste de l'équipe les moyens de les retrouver ! Hein ?Sar2ah59 a écrit:Lisbon était faible, très faible. Ses plaies avaient recommencé à saigner abondamment, si elle n’était pas soigné ou nourrit rapidement, elle mourrait.
J'imagine que tu veux dire "soignée et nourrie"....Je suis pas sûre que l'un puisse remplacer l'autre et suffire à la tirer d'affaire. Et dans son état de semi-conscience que tu décris, il semble peu probable qu'elle parvienne à s'alimenter, même si de la nourriture était mise à sa disposition....ou je fais fausse route ?
L'heure est venue pour Jane de confronter Waren.....bien sûr, ton sadisme est au rendez-vous !Sar2ah59 a écrit:Jane : « Non, mais la séquestration, le viol et le meurtre sont illégaux » dit-il se laissant aveuglé par sa colère, ce même sentiment qu'il avait ressentit pendant presque 10 ans, pendant sa traque de John Le Rouge.
Ce rappel des horreurs subies par ses victimes m'a vraiment retournée....et effrayée pour Lisbon.Sar2ah59 a écrit:Waren : « Vous jouez un jeu dangereux Patrick, vous êtes seul ici. » dit-il
Aussi déplaisant qu'il soit de l'admettre, Waren a raison....Comment Jane a-t-il pu croire une seconde qu'il s'en sortirait avec ses jeux d'esprits ? Comment a-t-il pu se jeter dans la gueule du loup sans se munir d'une arme (ou d'un collègue muni d'une arme) ?
Je t'en veux terriblement pour ce passage :Sar2ah59 a écrit:Jane fit un pas en arrière, puis deux et ainsi de suite jusqu'à l’une des portes du couloir de l’entrée.
Waren : « Entrez » dit-il en désignant la porte.
Jane : « Oh, vous m’offrez une visite ? Trop sympathique ! » Dit-il ironiquement.
Waren ouvrit la porte violemment et poussa Jane qui dévala les escaliers et finit sa course en bas, se cognant violemment le crâne sur la dernière marche, ce qui le fit tomber dans l’inconscience.
J'ai eu, une seconde, l'espoir fou que Jane maîtrisait un tant soit peu la situation. Que ses pas en arrière étaient calculés pour arriver à la pièce où Lisbon était détenue (tu sais, comme quand il retrouve les clés de la voiture cachée par Van Pelt ou l'arme du crime dans le 2x01, sur la base du langage corporel), qu'il faisait exprès de se faire enfermer pour être avec Lisbon....
Et du coup, j'étais presque contente, en tout cas soulagée de me dire que quoique la situation demeurait critique, au moins Jane et Lisbon allait être réunis.
Et en fait, pas du tout ! Tu as balayé tous mes espoirs en quelques secondes, en quelques mots !Sar2ah59 a écrit:Il se leva et grimpa à toute vitesse les escaliers qu’il avait dévalés quelques minutes plus tôt et commença à tambouriner sur la porte en métal.
Jane : « Lisbon ! » hurlait-il. « Lisbon » répéta t-il alors que les hurlements et les pleurs de la jeune femme ne cessaient pas.
Ainsi donc, il est suffisamment proche de Lisbon pour entendre sa souffrance mais suffisamment éloigné pour ne rien pouvoir y faire. L'horreur pure....Sar2ah59 a écrit:La porte s’ouvrit à la volée sur Waren qui tomba nez à nez avec Jane qui remarqua bien vite les traînées de sang sur sa chemise et les bleus sur ses mains.
Jane : « Qu’est ce que vous avez fait espèce d’ordure » hurlait-il, rongé par la colère.
Waren : « Ah mon cher ami, j’ai profité de ce que le corps de cette magnifique Térésa m’offrait » dit-il avec un sourire carnassier.
NON !
T'as pas fait ça ? T'as pas vraiment fait ça ?
C'est horrible ! La façon dont Waren le dit est au moins aussi horrible que les faits qui sont suggérés....Pauvre Lisbon ! Mais dans quel état tu vas nous la rendre ?
Et dans quel état tu vas nous rendre Jane ?Sar2ah59 a écrit:Elle sentait ses forces la quitter peu à peu, elle avait froid, terriblement froid.
La seule chose qui lui permettait de tenir, c’était la pensée des derniers moments de Jane et son visage angélique. Elle se répétait en boucle sa promesse et comme il le lui avait promis, il l’aidait à tenir bon, à ne pas abandonner.
Dieu seul sait que si il n’était pas été là, elle serait déjà partie vers une destination sans retour.
J'ai trop envie de pleurer !
La seule chose qui raccroche encore Lisbon un tant soit peu à la vie, c'est Jane....fais en sorte que ce soit assez !
Je plussois tout ce qui a été dit par Jane Doe
pour ce chapitre même si tu es très
VLS
Ju3993- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick Jane
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Remerciements:
Riza : Je suis ravie que ça t'ais plu Euh pour le nombre de chapitres, aucune idée ! On verra selon mon inspiration, en ce moment ça va
J'espère que tu aimeras la suite !
Jane Doe : Merciii de ton commentaire encore une fois J'espère que la suite ne te décevras pas
Jisboncrazylovementalist : Merci
Ju : Voilà la suite comme tu l'as demandée
Bien, comme j'ai de l'imagination aujourd'hui, Voilà le chapitre 8, j'espère qu'il vous plaira!
(Non, en fait Jane Doe m'a menacée si je ne posté pas la suite rapidement, alors bon, je ne voulais pas finir à la manière de )
***
Chapitre 8
Chapitre 8
Jane se réveilla difficilement, il tenta de se lever mais une douleur terrible le cloua à terre. Il s’examina et en baissant les yeux il remarqua une grosse mare de sang à terre. Sa jambe était ouverte au niveau du tibia, il s’était ouvert en tombant dans l’escalier.
Il émit un gémissement de douleur et de dégoût à la vue du sang, il n’avait jamais aimé la vue du sang, on se demande pourquoi.
Il repensait aux hurlements de sa Lisbon, qui hurlait sous les tortures et les gestes de Waren.
Il fallait qu’il trouve une solution pour sortir de là et la sauver de ce monstre.
Il plongea ses mains dans ses poches et sentit un objet au fond, il l’avait presque oublié. Sa croix, cette croix qui représenté la foi, la croyance envers un Dieu qui pour Jane n’existait pas. Et ce qu’ils subissaient tous les deux en ce moment le confortait dans sa pensée selon laquelle s’il y aurait un Dieu, ils ne seraient pas dans une telle situation.
Il réfléchissait et une idée lui traversa soudainement l’esprit. Il n’était pas sur que ça fonctionne mais il fallait qu’il tente le tout pour le tout, il allait faire ce qu’il sait faire de mieux, utilisé ses compétences de « Mentaliste ».
Un fin sourire s’étira sur ses lèvres.
***
Lisbon était somnolente, elle avait eut droit à un peu d’eau et de soin de la part de son ravisseur, autrement elle serait déjà morte.
Mark : « Térésa » dit-il en arrivant dans la pièce.
Elle leva les yeux vers lui, sans grand intérêt.
Mark : « Dis moi tu m’avais caché que ton copain était une mauviette » dit-il en riant.
Lisbon : « Jane » parvint-elle seulement à dire.
Mark : « Oui Jane, le pauvre blondinet n’aura pas beaucoup résisté » dit-il toujours en riant.
Lisbon : « Qu’a tu fais ? » demanda t-elle difficilement.
Mark : « C’était trop facile, il n’a même pas su se défendre. Dommage qu’il ait fallu que je m’en débarrasse » Dit-il.
Lisbon écarquilla les yeux, ainsi il était mort. C’est une pensée qu’elle refusait de croire, elle ne pouvait tout simplement pas imaginer qu’il n’était plus de ce monde.
Lisbon : « Non… » Souffla t-elle.
Mark : « Et si ma belle, maintenant plus rien ne se met en travers de notre chemin » dit-il en levant son visage avec son pouce et son index.
Lisbon : « Va au diable » lui cracha t-elle au visage.
Il rit et partit de la pièce la laissant seule et effondrée. Il savait que la torture morale était la pire des tortures.
Lisbon se recroquevilla au fond du lit, elle sentit les larmes apparaître aux coins de ses yeux. Elle avait reçu cette révélation comme un coup de poignard.
Elle se rappela soudainement ce sentiment qu’elle avait ressentit l’année dernière, quand elle avait vu la vidéo et qu’elle l’avait cru mort. Elle espérer de tout son cœur qu’une fois encore ce n’était qu’une supercherie, qu’il n’était pas mort et qu’elle allait pouvoir le retrouver au plus vite, elle avait besoin de lui. Elle avait besoin de ce sentiment de réconfort qu’elle ressentait quand elle se trouvait prés de lui, il était une source de bonheur à lui tout seul. Son bonheur à elle.
Les larmes coulaient désormais librement sur ses joues tuméfiées.
***
Bureaux du CBI.
Rigsby, Cho et Van pelt continuait de travailler sur le tueur en série.
Van Pelt : « Dites, où est passé Jane ? » demanda t-elle en regardant la pièce autour d’elle.
Cho : « Il a besoin d’air, laissez le » dit-il simplement.
Rigsby : « Ben dis donc, ça fait 3heures qu’il est partit ça fait un sacré bol d’air ! » dit-il en haussant les épaules.
Cho le regarda et soupira. Il était agaçant avec toutes ses questions desfois.
Cho : « Laissons le un peu, il a besoin de se changer les idées c’est tout. De toute manière, vu son état il n’est d’aucune utilité. Continuez vos recherches » dit-il d’un ton convaincant.
Les agents acquiescèrent et retournèrent à leurs occupations.
***
Jane était profondément plongé dans ses réflexions en triturant la croix de Lisbon entre ses doigts. Il baissa son regard sur ses mains. La marque blanche de son alliance avait disparu. Il se rappelait encore du jour où il s’en était séparé, ce jour où il avait fait ses adieux à Angéla et Charlotte. Ce jour là, Lisbon avait été là, elle l’avait soutenu.
Flashback :
Il baissa ses yeux embués de larmes sur la main de Lisbon et releva les yeux vers elle. Il acquiesça difficilement.
Il se dirigea vers l’étendue bleue et s’arrêta net devant. Il leva l’anneau vers le ciel et murmura « Adieu Angéla, Adieu Charlotte, Adieu mes anges. » il embrassa l’anneau et le jeta dans l’océan. Laissant par la même occasion, couler quelques larmes. Il ne saurait dire si c’était des larmes de tristesse, de soulagement d’avoir réussis à faire son deuil, ou de joie.
Il resta plusieurs instants devant l’océan, il appréciait le fait que Lisbon l’aide, que ce soit par les mots ou par le silence. Sa présence lui suffisait. Il soupira et se retourna vers sa belle.
Il prit le visage de Lisbon entre ses mains et murmura un « merci » contre ses lèvres avant de l’embrasser tendrement mêlant quelques larmes à leur baiser.
Lisbon : « Merci à toi Patrick » murmura t-elle de la même façon.
Fin du flashback.
Jane sourit au souvenir de ce moment, ce moment qui les avaient considérablement rapprochés l’un de l’autre. C’était une époque où ils étaient heureux, où ils étaient simplement à deux.
Tant de souvenirs de leur année lui revinrent en mémoire, leurs anniversaires fêtés ensemble, les fêtes de fin d’années où ils étaient entre amis, tous ces moments plus uniques les uns que les autres. Il soupira en se pinçant les lèvres.
Il se leva et prit une grande inspiration en regardant toujours cette croix. Il prit la décision qu’il était temps de mettre son plan en œuvre.
Il grimpa l’escalier difficilement compte tenu de sa blessure à la jambe. Il retint un gémissement de douleur. A chaque pas qu’il faisait il sentait un peu plus le sang imbiber le tissu de son pantalon. Il se tenait au mur pour ne pas s’écrouler.
Il arriva en haut et commença une nouvelle fois à tambouriner la porte.
Jane : « Waren ! » hurlait-il. « Waren ! »
Il redescendit les escaliers plus vite qu’il ne les avait montés et attendit en bas.
La porte s’ouvrit sur un homme exaspéré par le bruit que faisait le consultant.
Waren : « Qu’est ce que tu veux boucles d’or ? » dit-il en descendant les escaliers. Il ne se méfiait pas de Jane, il était trop frêle pour pouvoir se défendre.
Et pourtant un proverbe dit « Méfiez vous de l’eau qui dort. »
Jane : « Je…J’ai besoin de quelque chose pour stopper l’hémorragie » dit-il en désignant sa jambe en sang.
Waren rit. « Et tu crois que je vais jouer l’infirmière pour te sauver ? » dit-il en s’approchant.
Jane : « Hm, chacun son truc hein » dit-il en haussant les épaules s'accordant un regard noir de la part de Waren.
Jane sortit la croix de sa poche et commença à la basculer de droite à gauche.
Jane : « Dites moi Mark, n’avez-vous jamais rêvé d’un endroit paisible, calme où vous seriez bercer par le bruit des vagues qui s’agitent sur l’océan » dit-il en ancrant son regard dans celui de son adversaire, toujours en basculant la croix. C'était un tour vieux comme le monde mais qu'il maîtrisé à la perfection.
Waren commençait à vaciller, ses paupières se fermées petit à petit. L’hypnose du consultant fonctionné.
Jane : « Vous avez envie de dormir, vous êtes fatigué, si fatigué » dit-il en posant sa main sur l’épaule de Waren qui ne réagit pas.
Jane : « Dormez » chuchota t-il en serrant l’épaule de Waren qui ne décrochait pas le regard de la croix qui basculait encore dans la main gauche de Jane.
Waren s’écroula au sol, inconscient.
Jane : « Trop facile » souffla t-il.
Il soupira et embrassa la croix de Lisbon qu’il remit vite au fond de sa poche.
Il grimpa les escaliers et prit soin de refermé la porte de la pièce, à double tour.
Il déambula dans le couloir en traînant sa jambe blessée, à la recherche de Lisbon.
Jane : « Lisbon ! » hurlait-il « Térésa ! Réponds moi je t’en prie ! » Répéta t-il.
Il ouvrait toutes les portes à la volée ne tombant que sur de vulgaires placards à balais ou des stocks de nourritures.
Il arriva devant la dernière porte au fond du couloir et l’ouvrit encore une fois à la volée.
Il descendit les marches prudemment et tomba dans une pièce sombre et lugubre où il ne pouvait pas voir à 1 mètre devant lui.
Il avança à pas prudents dans la pièce et arriva au fond, à reculons. Il tapota le mur à la recherche d’un quelconque interrupteur pour éclairer la pièce. Il le trouva et appuya dessus, ce qui eut pour effet d’enfin éclairer cette pièce et le permettre de voir ce qu’elle contenait.
Il se retourna et ne put retenir un cri de stupéfaction et de douleur.
Jane : « Oh mon dieu » souffla t-il, figé par la vision qui s’offrait à lui. Lisbon était là, sa Lisbon gisant sur un lit miteux, baignant dans son propre sang.
Jane se sentit mal, des visions de sa femme et sa fille lui revinrent en mémoire. Il avait des suées et tremblé, cette vue affreuse lui rappela sa découverte de sa famille il y a plusieurs années de ça. Il eut un haut de cœur et tomba à genoux.
Jane : « Térésa » souffla t-il sentant les larmes inondées ses yeux.
Il se releva difficilement et se dirigea lentement vers le lit où elle était allongée. Elle était de dos mais il avait su la reconnaître, il l’a reconnaîtrait entre milles.
Il monta sur le lit et retourna doucement Lisbon. Il l’observa.
Elle était en sous vêtement, sa peau était glacée. Elle avait de nombreuses plaies sur le ventre et une affreuse blessure sur la cuisse qui commençait à s’infecter. Il déglutit difficilement à la vue de sa compagne si mutilée et tuméfiée.
Jane : « Oh Térésa » souffla t-Il en la prenant doucement dans ses bras, craignant que chaque mouvement ne la blesse encore plus. Il lui caressa la joue et lui déposa un doux et long baiser sur celle-ci. « Allez ma belle, réveilles toi je t’en prie » murmura t-il en posant sa veste sur Lisbon qui tremblait de froid.
C’est à ce moment qu’il remarqua que la poitrine de Lisbon ne se soulevait pas, il ne sentait aucun souffle, aucuns mouvements.
C’est à ce moment qu’il se rendit compte qu’elle était entrain de le quitter.
TBC
Chapitre Suivant
Dernière édition par Sar2ah59 le Mar 16 Avr 2013 - 17:31, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
Mon dieu, t'as pas honte de finir sur un truc comme ça ?
Super chapitre, Jane a enfin retrouvé Lisbon, mais elle est dans un sale état...
Elle peut pas mourir...hein ? Dis moi qu'elle ne meurt pas...sinon je me vengerai sur les personnages de ma prochaine fiction ! Nah ! [/Chantage]
Bravo , vivement la suite !
Super chapitre, Jane a enfin retrouvé Lisbon, mais elle est dans un sale état...
Elle peut pas mourir...hein ? Dis moi qu'elle ne meurt pas...sinon je me vengerai sur les personnages de ma prochaine fiction ! Nah ! [/Chantage]
Bravo , vivement la suite !
Re: Never let you down. ^
Sar2ah59 a écrit:
(Non, en fait Jane Doe m'a menacée si je ne posté pas la suite rapidement, alors bon, je ne voulais pas finir à la manière de )
Fallait pas commencer par me demander de te menacer aussi ! Je prends les demandes qu'on me fait très au sérieux ! Et personne ne se plaindra du résultat !
Encore un chapitre haut en émotions !
J'aime beaucoup l'usage que tu fais de la croix de Lisbon ! L'idée qu'elle puisse être l'instrument de leur salvation, non pas sur un plan spirituel, mais bien physique....j'aime beaucoup !
Sar2ah59 a écrit:
Mark : « C’était trop facile, il n’a même pas su se défendre. Dommage qu’il ait fallu que je m’en débarrasse » Dit-il.
Lisbon écarquilla les yeux, ainsi il était mort. C’est une pensée qu’elle refusait de croire, elle ne pouvait tout simplement pas imaginer qu’il n’était plus de ce monde.
Tu n'épargnes décidément rien à Lisbon (ni à tes lecteurs ). Quand on croit que tu lui as fait subir les pires choses....hé bien tu inventes un truc encore plus atroce ! A se demander comment elle parvient à faire face, franchement !
Sar2ah59 a écrit: Elle espérer de tout son cœur qu’une fois encore ce n’était qu’une supercherie, qu’il n’était pas mort et qu’elle allait pouvoir le retrouver au plus vite, elle avait besoin de lui. Elle avait besoin de ce sentiment de réconfort qu’elle ressentait quand elle se trouvait prés de lui, il était une source de bonheur à lui tout seul. Son bonheur à elle.
Bizarrement, je trouve qu'il y a dans ces quelques lignes un peu de légèreté et d'optimisme, qui font du bien !
Sar2ah59 a écrit:Rigsby : « Ben dis donc, ça fait 3heures qu’il est partit ça fait un sacré bol d’air ! » dit-il en haussant les épaules.
Rigsby et sa subtilité légendaire !
N'empêche que c'est peut-être son "impatience" (à venir...) qui permettra à la "cavalerie" d'entrer en action !
Le flashback des jours heureux donne également une respiration, en nous offrant une "pause tendresse" Tous ces souvenirs, résolument tournés vers la vie et le bonheur, sont les bienvenus dans ce contexte si lourd, si chargé, si pesant...
Le temps est venu pour Jane de mettre à exécution le plan inspiré par la croix de Lisbon. Le temps est venu de reprendre un peu de contrôle sur la situation ! Enfin, Waren est maîtrisé ; enfin, Jane et Lisbon sont réunis ? Mais à quel prix ?
Sar2ah59 a écrit:Elle était en sous vêtement, sa peau était glacée. Elle avait de nombreuses plaies sur le ventre et une affreuse blessure sur la cuisse qui commençait à s’infecter. Il déglutit difficilement à la vue de sa compagne si mutilée et tuméfiée.
(....) C’est à ce moment qu’il remarqua que la poitrine de Lisbon ne se soulevait pas, il ne sentait aucun souffle, aucuns mouvements.
C’est à ce moment qu’il se rendit compte qu’elle était entrain de le quitter.
Nan mais....mais....mais... !!!! Mais tu peux pas faire ça ? Mais...mais;..mais rends-nous Lisbon !
S'il te plaît ?
Dis-moi, Sarah, n'as-tu jamais rêvé d'écrire le chapitre 9 de cette fic ? Tu serais devant ton ordinateur, paisible, sereine, et les mots afflueraient dans ton esprit, dictant à tes doigts le mouvement à imprimer sur le clavier, sans que tu aies réellement à y penser ? L'histoire ferait sens et tu serais tellement détendue de voir tes personnages prendre vie. Ne lutte pas, tu n'as qu'à laisser les mots venir à toi, laisse les voyager dans ton esprit....permets leur de faire son oeuvre. L'histoire se déroule devant tes yeux, tu n'as qu'à l'écrire....
Non, jamais ?
Re: Never let you down. ^
Trop sadique mais un espoir de la revoir vivante renaît ! Je veux la suite à nouveau cette histoire est trop bien! (y a 2/3 fautes de conjugaison mais c'est pas grave^^)
Jisboncrazylovementalist- Gardien du parking
- Personnage préféré : Lisbon&Jane
Loisirs : Rever du jisbon
Localisation : Sur une plage de Sacramento dans les bras de Patrick Jane...
Re: Never let you down. ^
Noooooooooooooooooooooon! I want Lisbon back!!
Comment tu peux faire ça?!!! Non seulement, j'ai mal pour Lisbon mais c'est une véritable torture de ne pas savoir si elle va s'en sortir ou pas...
Comment tu peux faire ça?!!! Non seulement, j'ai mal pour Lisbon mais c'est une véritable torture de ne pas savoir si elle va s'en sortir ou pas...
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
Re: Never let you down. ^
- Spoiler:
- Remerciements :
Riza : Mais je t’en prie venges toi ! ce sera un plaisir de voir ton talent au service du drama j’espère que tu ne seras pas déçue par la suite !
Jane Doe : Je te rassure, si ; voilà la suite j’espère que tu aimeras
Jisboncrazylovementalist :Oui, l’orthographe et moi ça fait 2, même 3 ou 4…
Lisbon : Merci
Et pour vous faire profiter de mon sadisme sans mesure, voici la suite de cette petite histoire
J'espère que la suite ne vous décevras pas Bonne lecture
***
Chapitre 9
Chapitre 9
Jane : « Oh Térésa » souffla t-Il en la prenant doucement dans ses bras, craignant que chaque mouvement ne la blesse encore plus. Il lui caressa la joue et lui déposa un doux et long baiser sur celle-ci. « Allez ma belle, réveilles toi je t’en prie » murmura t-il en posant sa veste sur Lisbon qui tremblait de froid.
C’est à ce moment qu’il remarqua que la poitrine de Lisbon ne se soulevait pas, il ne sentait aucun souffle, aucuns mouvements.
C’est à ce moment qu’il se rendit compte qu’elle était entrain de le quitter.
Jane resta immobile pendant quelques secondes, il était visiblement trop perdu pour que son cerveau réagisse normalement.
Il baissa les yeux sur le doux visage pâle de Lisbon qui ne respirait désormais plus.
Il eut un déclic et sortit de sa transe. Il coucha Lisbon sur le lit et s’empressa de commencer un massage cardiaque. Il n’était pas médecin certes, mais il connaissait les gestes de premier secours qu’il avait appris lors d’une formation exigée par les bureaux du CBI.
Il compté mentalement jusque 5 avant d’entreprendre un bouche à bouche, il répéta les gestes plusieurs fois mais en vain.
Il se sentit prit de spasmes et les larmes coulèrent douloureusement sur ses joues. Prit d’une vague de colère et de désespoir il tapa violemment sur la poitrine de Lisbon qui inspira soudainement et brusquement.
Il avait fait repartir son cœur avec ce geste désespoir.
Lisbon haletait, elle avait du mal à revenir. Jane la redressa et l’aida à respirer normalement.
Il fallut quelques secondes à Lisbon avant d’ouvrir les yeux pour voir le visage de son « sauveur » et lorsqu’elle croisa le regard bleu azur de ce dit sauveur, elle resta bouche bée.
Lisbon : « Patrick » souffla t-elle, prise de sanglots.
Jane hocha la tête et ne put résister plus longtemps à la serrer dans ses bras, il la serra tellement fort qu’elle émit un gémissement de douleur.
Elle était vivante, elle ne l’avait pas abandonné.
Lisbon : « Patrick ? » répéta t-elle voyant que son amant rester immobile, les yeux noyés par ses larmes. « Jane, je suis là, regardes moi » dit-elle avec douceur, elle aurait tant aimé lui caresser le visage mais elle avait toujours les mains liées.
Jane : « Je… » Dit-il difficilement. « J’ai cru que tu étais…que tu étais » tenta t-il mais les mots moururent sur ses lèvres, il ne pouvait décidément pas envisager de prononcer de tels mots.
Lisbon : « Oh » fut tout ce qu’elle put dire en le voyant baisser la tête. « Je suis là Patrick, tout va bien, on ira bien » dit-elle en repensant aux mots qu’il lui avait prononcé quelques mois plus tôt.
Flashback :
Lisbon : « J’ai eu si peur de te perdre Jane… » Souffla t-elle sentant que les larmes allaient inondés ses joues dans peu de temps.
Il la regarda, il était ému par sa détresse, il se rendit compte qu’elle avait réellement eu peur pour lui. Il passa sa main dans la jolie chevelure ébène de Lisbon et l’attira à lui, l’obligeant à poser sa tête au creux de son cou.
Il posa sa joue sur le haut de la tête de Lisbon qui s’agrippait à sa blouse médicale désespérée qu’il puisse à nouveau lui échapper.
Jane : « C’est fini Térésa, c’est terminé. Tout ira bien maintenant, on ira bien. » Souffla t-il en caressant ses cheveux, bien qu'il n'en était pas si persuadé que ça.
Fin du flashback.
Elle fut tiré de ses pensées par la main de Jane qui venait de se poser sur sa joue. Ils se fixèrent plusieurs minutes avant que Jane ne se rapproche doucement de Lisbon jusqu'à effleurer ses lèvres mais c’était sans compter sur le malade qui les retenait.
Un coup de feu et un hurlement strident brisèrent la magie de ce moment. Jane tomba du lit, se tenant fermement la jambe.
Lisbon : « PATRICK !! » hurla t-elle en voyant son amant tomber à la renverse.
Waren : « Ben alors, on s’amuse sans moi Térésa ? » dit-il plus furieux que jamais.
Il s’approcha du lit et s’arrêta devant Jane à terre qui gémissait de douleur.
Il appuya sa blessure avec son pied ce qui fit hurler le consultant de plus belle.
Il le traîna jusqu'à l’autre bout de la pièce sans beaucoup de peines puisque Jane était incapable de se défendre.
Il l’attacha les mains en l’air au mur opposé à Lisbon qui protestait toujours.
Il s’approcha de Lisbon à pas rapides jusqu'à se trouver devant elle. Il lui agrippa les cheveux et tira sa tête en arrière.
Jane : « Lâche là espèce de taré ! » hurlait-il.
Waren émit un rire bruyant en frappant Lisbon au visage. Les yeux de Jane se fermèrent presque instantanément, il ne pouvait pas voir ça.
Il aurait préféré recevoir milles coups, milles décharges électriques plutôt que d’assister à la torture de sa compagne.
Lorsqu’il ouvrit les yeux, ce fut pour apercevoir le bout de la lame aiguisée dépassé de la ceinture de Waren.
Jane : « Non,non,non » souffla t-il en voyant Waren porter la main à sa ceinture. « NOOOOON ! » hurla t-il. « Arrêtez, ça suffit elle n’a rien fait pour mériter ça ! » criait-il tentant désespérément de détourner l’attention de Waren.
Waren se retourna brusquement laissant apparaître une Lisbon inconsciente.
Waren : « Elle m’a rejeté ! » dit-il en se dirigeant vers Jane.
Jane : « Quoi ? Vous plaisantez ! ça fait 20 ans Mark ! Il faudrait penser à passer l’éponge vous ne croyez pas ?! Ça relève du pathétisme là ! » Dit-il indigné.
Waren : « il n’y a rien de pire que de se faire rejeter par la femme qu’on aime, vous ne pouvez pas comprendre vous avez Térésa vous ! » dit-il énervé.
Jane : « Oh si, il y a bien pire croyez moi ! » dit-il en ancrant son regard assombrit par la colère, dans celui de son agresseur.
Waren : « Ah ouais ? J’aimerai bien savoir quoi ! » Dit-il en rangeant son arme.
Jane : « Mh, je ne sais pas moi peut-être le fait d’être veuf ! » lui cracha t-il au visage.
Waren eut un léger mouvement de recul et fronça les sourcils.
Jane : « Vous êtes minable ! » dit-il en sachant pertinemment qu’il allait en prendre pour son grade. Mais c’était le prix à payer pour qu’il ne s’en prenne pas à Lisbon.
Waren fut prit d’un accès de colère et colla une droite magistrale dans le visage du consultant. Ce coup eut pour effet de faire partir sa tête en arrière, heurtant le mur.
Waren : « Alors c’est qui le minable ? » dit-il en l’observant.
Jane ne répondit pas. Il savait que le silence était parfois une arme redoutable pour agacer les gens. Le second coup qu’il reçut ne pouvait que confirmer cette hypothèse. Une traînée de sang apparut au coin des lèvres du consultant.
Waren se recula et quitta la pièce.
Jane leva difficilement le visage et ancra son regard dans celui de Lisbon, qui le regardait les yeux mi-clôts embués de larmes, leurs regards était suffisants.
Ils n’avaient pas besoin de mots, leurs regards leur suffisaient pour faire passer toutes leurs émotions, c'est comme ça qu'ils fonctionnaient : en parfaite symbiose.
Jane souffrait mais cela lui importait peu, sachant qu’il avait accordé à sa compagne quelques heures de répit.
***
Bureaux du CBI.
Les 3 agents étaient regroupés sur une table au milieu de l’open space.
Rigsby : « On n’a pas de nouvelles de Jane depuis hier, je sais qu’il a besoin d’air mais ce n’est pas son genre de disparaître sans donné de nouvelles ! » dit-il ne pouvant cacher son inquiétude pour son ami.
Van Pelt : « On stagne sur l’enquête, Lisbon souffre quelque part et nous ? Nous on est impuissants ! Je ne veux pas perdre ma patronne, j’ai eu assez d’émotions avec Jane l’année dernière » dit-elle d’une voix brisée.
Cho : « Je sais » fut tout ce qu’il dit, restant fidèle à son caractère stoïque habituel. Il ne disait rien mais il était certainement celui qui bouillonnait le plus.
Rigbsy : « Bon, ça suffit ! J’appelle Jane ! » Dit-il en sortant son téléphone. Il composa le numéro du consultant et attendit qu’il décroche.
Au bout de 3 sonneries, une voix se fit entendre.
Rigsby : « Jane, tu es où bon sang ? » dit-il soulagé qu’il ait décroché.
« Je…J’ai besoin d’un peu de repos c’est tout, où en êtes vous dans l’enquête ? » entendit-il d’une voix un peu plus grave que la voix habituelle de Jane.
Rigsby : « On stagne un peu, on a quand même éliminé 3 suspects. » dit-il. « T’es malade ? » demanda t-il en faisant référence à la voix grave du consultant.
« Oui, oui j’ai chopé un coup de froid. Il vous reste qui comme suspects ? » Demanda t-il
Rigbsy : « Euh Cleveland et…Waren » dit-il simplement.
« Hm, concentrez vous sur Cleveland. Bon c’est pas que je ne veuille pas te parler mais je suis fatigué vieux, je reviens bientôt promis » dit-il en raccrochant.
Cho : « T’as eu Jane ? » demanda t-il sans lever les yeux de son écran.
Rigsby : « Ben oui, il m’a juste dit qu’il voulait se reposer » dit-il en haussant les épaules.
Cho : « Ouais. Dites où es la liste des suspects ? » Demanda t-il en regardant ses collègues.
Van Pelt : « Jane l’avait amenée dans le bureau de Lisbon je crois » dit-elle en désignant le bureau de la patronne d’un mouvement de tête.
Cho acquiesça silencieusement et reprit son travail.
***
De l’autre coté de la ville :
Waren raccrocha le téléphone de Jane. Il lui avait confisqué lorsque le consultant était inconscient, sachant que ses collègues allaient forcément s’inquiéter de sa disparition.
Chose réglée, il s’asseya, un sourire machiavélique aux lèvres, il avait à sa merci deux personnes impuissantes, il allait savourer sa vengeance.
Pendant qu’il ruminait seul dans son salon, dans sa cave, les deux amants étaient inconscients, séparés par plusieurs mètres. Ils partageaient tout, c’est ce qui faisait que leur « couple » était stable.
Jane s'était ouvert à Lisbon au fil des mois, partageant avec elle ses pensées et ses souvenirs. Ils étaient complices, c'était la base de leur relation.
Ils partageaient tout, même la souffrance.
TBC !
Chapitre suivant
Dernière édition par Sar2ah59 le Mer 17 Avr 2013 - 9:13, édité 1 fois
Jane Addict- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane
Re: Never let you down. ^
Tu as eu peur qu'on s'habitue à ton sadisme donc tu nous en a mis une double dose, c'est ça ?
Visiblement, c'en est même trop pour notre pauvre Jane qui, dès le début du chapitre, est en état de choc. Tu m'as fait sourire avec
C'est pas Waren qui est supposé être sous hypnose ?
Je t'avouerai que la réanimation de Jane par Lisbon me paraît un peu "magique"....je suis pas certaine que ce soit complètement crédible (ça me paraît un peu "forcé") mais j'aime ce symbolisme
Les retrouvailles entre nos amoureux sont très touchantes. On ne peut que s'imaginer ce que représente la présence de l'autre pour chacun d'eux...
Quand l'essentiel est un rythme cardiaque...
Lisbon qui essaye de rassurer Jane, de "l'atteindre", d'abord....c'est trop mignon ! Sainte Teresa est toujours là....
Quand les mots les plus importants sont ceux qui ne sont pas prononcés, c'est complètement
Jolie réutilisation de ces mots ! Je les avais beaucoup aimés la première fois (tout particulièrement "on ira bien")....leur effet reste intact dans cette nouvelle évocation.
Mais bien sûr un moment aussi joli que celui-ci se devait d'être brisé par notre ami (ou pas...) Waren, n'est-ce pas ?
Et c'est finalement ce qu'il va faire en détournant l'attention de Waren dans une stratégie efficace. Un beau dévouement, même si le prix à payer est loin d'être dérisoire.
Je le dis depuis le début !
Au hasard, avoir la femme que tu aimes kidnappée et torturée par un taré dont elle a eu le malheur de croiser le chemin à l'adolescence !!!!
ils ont en effet besoin de peu de mots pour se dire l'essentiel et c'est peut-être ce qui explique que les mots effectivement prononcés ait tant d'importance....du "on ira bien" à la promesse de toujours être là, ces mots sont ce qui leur permet de se raccrocher l'un à l'autre, et ce faisant, à la vie.
Bon, par contre, notre équipe de fins limiers au CBI.....équipe de fins limiers ou pas....parce que ne pas reconnaître la voix de Jane... Et puis ça lui paraît normal, cette absence prolongée de Jane au regard des circonstances...
Alors je sais que tu as besoin de "trucs" pour préserver le suspens mais je trouve que le fait que ça se fasse aux dépends de l'équipe est préjudiciable. Je ne sais pas si c'est volontaire ou pas mais tout ça les fait passer (en tout cas à mes yeux) pour de sacrés incompétents. C'est le cas depuis l'interrogatoire de Waren et le fait que ça continue sur un truc aussi grossier me met vraiment en colère contre eux. J'aurais préféré qu'il suive intelligemment une fausse piste, à vrai dire. Parce que là, ça donne un grand sentiment de gâchis....le sentiment que s'il faisait leur boulot correctement, Lisbon serait en sécurité, à l'hôpital.
Et vous auriez pas besoin de cette fichue liste pour faire votre p***n de boulot ?
J'espère que tu leur réserves de meilleures choses à partager, à un moment donné !
Bon, Sarah, t'aurais pas envie d'un petit thé ? Parce que moi, j'ai assez envie du chapitre suivant, à vrai dire....
Visiblement, c'en est même trop pour notre pauvre Jane qui, dès le début du chapitre, est en état de choc. Tu m'as fait sourire avec
Sar2ah59 a écrit:Il eut un déclic et sortit de sa transe.
C'est pas Waren qui est supposé être sous hypnose ?
Je t'avouerai que la réanimation de Jane par Lisbon me paraît un peu "magique"....je suis pas certaine que ce soit complètement crédible (ça me paraît un peu "forcé") mais j'aime ce symbolisme
Sar2ah59 a écrit:Il avait fait repartir son cœur avec ce geste désespoir.
Les retrouvailles entre nos amoureux sont très touchantes. On ne peut que s'imaginer ce que représente la présence de l'autre pour chacun d'eux...
Sar2ah59 a écrit:Elle était vivante, elle ne l’avait pas abandonné.
Quand l'essentiel est un rythme cardiaque...
Sar2ah59 a écrit:Lisbon : « Patrick ? » répéta t-elle voyant que son amant rester immobile, les yeux noyés par ses larmes. « Jane, je suis là, regardes moi » dit-elle avec douceur, elle aurait tant aimé lui caresser le visage mais elle avait toujours les mains liées.
Lisbon qui essaye de rassurer Jane, de "l'atteindre", d'abord....c'est trop mignon ! Sainte Teresa est toujours là....
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Je… » Dit-il difficilement. « J’ai cru que tu étais…que tu étais » tenta t-il mais les mots moururent sur ses lèvres
Quand les mots les plus importants sont ceux qui ne sont pas prononcés, c'est complètement
Sar2ah59 a écrit:Lisbon : « Oh » fut tout ce qu’elle put dire en le voyant baisser la tête. « Je suis là Patrick, tout va bien, on ira bien » dit-elle en repensant aux mots qu’il lui avait prononcé quelques mois plus tôt.
Jolie réutilisation de ces mots ! Je les avais beaucoup aimés la première fois (tout particulièrement "on ira bien")....leur effet reste intact dans cette nouvelle évocation.
Mais bien sûr un moment aussi joli que celui-ci se devait d'être brisé par notre ami (ou pas...) Waren, n'est-ce pas ?
Sar2ah59 a écrit:Il aurait préféré recevoir milles coups, milles décharges électriques plutôt que d’assister à la torture de sa compagne.
Et c'est finalement ce qu'il va faire en détournant l'attention de Waren dans une stratégie efficace. Un beau dévouement, même si le prix à payer est loin d'être dérisoire.
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Quoi ? Vous plaisantez ! ça fait 20 ans Mark ! Il faudrait penser à passer l’éponge vous ne croyez pas ?! Ça relève du pathétisme là ! » Dit-il indigné.
Je le dis depuis le début !
Sar2ah59 a écrit:Jane : « Oh si, il y a bien pire croyez moi ! » dit-il en ancrant son regard assombrit par la colère, dans celui de son agresseur.
Waren : « Ah ouais ? J’aimerai bien savoir quoi ! » Dit-il en rangeant son arme.
Au hasard, avoir la femme que tu aimes kidnappée et torturée par un taré dont elle a eu le malheur de croiser le chemin à l'adolescence !!!!
Sar2ah59 a écrit:Jane leva difficilement le visage et ancra son regard dans celui de Lisbon, qui le regardait les yeux mi-clôts embués de larmes, leurs regards était suffisants.
Ils n’avaient pas besoin de mots, leurs regards leur suffisaient pour faire passer toutes leurs émotions, c'est comme ça qu'ils fonctionnaient : en parfaite symbiose.
ils ont en effet besoin de peu de mots pour se dire l'essentiel et c'est peut-être ce qui explique que les mots effectivement prononcés ait tant d'importance....du "on ira bien" à la promesse de toujours être là, ces mots sont ce qui leur permet de se raccrocher l'un à l'autre, et ce faisant, à la vie.
Bon, par contre, notre équipe de fins limiers au CBI.....équipe de fins limiers ou pas....parce que ne pas reconnaître la voix de Jane... Et puis ça lui paraît normal, cette absence prolongée de Jane au regard des circonstances...
Alors je sais que tu as besoin de "trucs" pour préserver le suspens mais je trouve que le fait que ça se fasse aux dépends de l'équipe est préjudiciable. Je ne sais pas si c'est volontaire ou pas mais tout ça les fait passer (en tout cas à mes yeux) pour de sacrés incompétents. C'est le cas depuis l'interrogatoire de Waren et le fait que ça continue sur un truc aussi grossier me met vraiment en colère contre eux. J'aurais préféré qu'il suive intelligemment une fausse piste, à vrai dire. Parce que là, ça donne un grand sentiment de gâchis....le sentiment que s'il faisait leur boulot correctement, Lisbon serait en sécurité, à l'hôpital.
Sar2ah59 a écrit:Van Pelt : « Jane l’avait amenée dans le bureau de Lisbon je crois » dit-elle en désignant le bureau de la patronne d’un mouvement de tête.
Et vous auriez pas besoin de cette fichue liste pour faire votre p***n de boulot ?
Sar2ah59 a écrit:Ils partageaient tout, même la souffrance.
J'espère que tu leur réserves de meilleures choses à partager, à un moment donné !
Bon, Sarah, t'aurais pas envie d'un petit thé ? Parce que moi, j'ai assez envie du chapitre suivant, à vrai dire....
Re: Never let you down. ^
J'ai failli avoir une crise cardiaque...
S'il te plaît ne refait plus jamais ce coup... . C'est vraiment un sadisme sans limite, Jane ET Lisbon! Pour la fin de ce chapitre, je ne sais pas quoi dire, la derniére phrase est vraiment mais elle ne me rassure pas pour ma Tessa.
S'il te plaît ne refait plus jamais ce coup... . C'est vraiment un sadisme sans limite, Jane ET Lisbon! Pour la fin de ce chapitre, je ne sais pas quoi dire, la derniére phrase est vraiment mais elle ne me rassure pas pour ma Tessa.
Teresa Lisbon- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Ma Lis' , si magistralement interprêtée par ma sublissisme Roby!
Loisirs : écrire, lire, regarder Castle et Mentalist, rêver du Jisbon...
Localisation : Sur une scène de crime avec l'Agent Spécial Lisbon
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