La traque s'achève, tu as perdu^

Aurore Dim 10 Aoû 2014 - 17:00

La traque s'achève, tu as perdu.

Le jour ne s'est pas encore levé sur Sacramento, les locaux du CBI sont vide. Pourtant, en y regardant de plus près, deux silhouettes s'agitent. La faible lumière d'une lampe projette leurs ombres qui se semblent presque se défier. Ils sont là, enfin réunis. La traque à commencé il y a bien longtemps maintenant mais le point final sera donné avant que le soleil réchauffe de ses rayons la pièce encore plongée dans l'obscurité. D'un coté un homme, grand, blond, le regard froid et de l'autre coté l'ennemi ultime. Cette bataille, la dernière, dure depuis de longues heures. Toute l'équipe s'y est acharné, oubliant paperasse et enquête, pourtant l'adversité à eu raison d'eux. Les uns après les autres ils ont abandonné, sentant leurs forces les quitter. Seul Jane est encore debout, prêt à tout pour exterminer ce monstre. Ce dernier ne veut pas se taire, il tourne autour de la pièce, guettant Jane et ses moindres mouvements, il cherche une faiblesse. Une faille dans laquelle il pourrait s'engouffrer. Le bruit est de plus en plus insupportable pour Jane qui n'attend à son tour qu'une chose, qu'il cesse ! Qu'enfin son ennemi face un pas vers lui, qu'ils puissent se battre corps à corps. Le petit jeu à assez duré. Même s'il doit y perdre la vie, cette situation ne peut s’éterniser. Le cœur battant à tout rompre, Jane laisse glissé doucement sa main dans son dos, puis sur sa hanche, et saisi l'objet tant convoité, l'arme qui lui permettra d'envoyer son ennemi dans le néant. Il sent des gouttes de sueurs dévalées son front jusqu'à ses joues avant de s'écraser sur le col de sa chemise. Les secondes, tel les pulsations du cœur des deux protagonistes, sont hératiques et défilent à une vitesse affolantes. Le moment est venu, enfin. Jane brandit l'arme et de toute ces forces, dans un dernier effort, il l'abat sur son ennemi qui se trouve projeté contre le mur face à lui avant de retomber sur le sol. Jane est pantelant, ne réalisant pas encore se qui vient de se passé. Son ennemi est là, gisant sur le sol. Il est mort, la vie ayant quitter cet être démoniaque qui l'a tant persécuté. Il ne fera plus de mal à personne. Sur le mur, à l'endroit de l'impact du corps, on distingue une grande trace de sang, circulaire, en plissant les yeux on pourrais même distinguer un visage. Quelle ironie. Cette vision écoeure Jane au plus au point.
Le premier réflexe de Jane, appelé la personne qui l'a le plus aidé dans ce combat, soutien sans faille.

Jane : Lisbon. Je l'es tué.

Lisbon, ensommeillé : Quoi ? Jane, c'est pas vrai...qui?

Jane : Le moustique évidemment ! Il me narguait depuis hier mais maintenant c'est fini. Il faudra que je remercie Van Pelt de m'avoir prêter sa tapette !