Fearful Symmetry [Inachevée]

Fearful Symmetry

Je me relevais rapidement, comme si le sol m’avais brulé, je regardais autour de moi, le cœur battant. Cet endroit était si petit, si sombre, que j’avais l’impression d’être dans une boite de conserve. Je faisais trois pas en avant et je me retrouvais contre un mur en briques nues. Je tâtonnais ce mur à la recherche d’une ouverture. Mon cœur battait si fort, mon estomac se nouait et mes entrailles se tordaient. Je fermais les yeux et me calmais, je ne devais pas paniquer, juste réfléchir à comment j’étais arrivé ici. Je me souvenais d’être avec l’équipe de Lisbon, on enquêtait sur la mort d’une femme, encore une victime de John Le Rouge. Cela m’avait désespéré que j’aie envoyé un objet valsé par la fenêtre, Lisbon m’avait sermonné bien qu’elle me comprenait. Je fouillais à présent dans mes poches à la recherche de mon portable, mais rien, elles étaient aussi vide les unes que les autres. Une peur panique grandissait en moi. D’un coté, je détestais les petits endroits clos et sombres, cela me foutais la trouille. D’un autre coté, je ne savais même pas où j’étais, ni ce qui s’étais passé. Je me concentrais sur mes souvenirs. Après que Lisbon m’aie engueulé car j’avais pu briser une preuve ou blesser quelqu’un dehors. J’étais parti sans lui répondre, j’étais en colère, mais vraiment désolé, je me sentais bien stupide. Je marchais sans vraiment me rendre compte où j’allais, quand j’ai levé la tête pour savoir où je me trouvais. Je n’avais vu que des grands arbres et de la terre, puis un gant sur mon visage et j’avais perdu connaissance. Jusqu’à maintenant, dans cette prison murale, si petite et si sombre que cela me donnais la chair de poule. Soudain j’entendais du bruit, des pas précipités, je me retournais et constatais qu’il y avait une porte entre ces murs. Je me mettais à crier de l’aide, mais quand cette s’était ouverte à la volée on me donnait un coup de poing si fort que je tombais à la renverse et me cognais contre le mur derrière moi. Je grimaçais et portais ma main à la tête, du sang, mais cela n’avais pas l’air si grave. On me tirait par le col de ma chemise et me collais au mur. Il était clair pour moi que c’était un homme, mais je ne pouvais en déduire plus car il faisait bien trop noir. Je déglutissais, je n’allais pas dire que j’avais la trouille (Je commençais à être habitué des enlèvements et des prises d’otages en 8 ans), mais je n’étais pas rassuré pour autant.

- Bonjour Patrick

Il y aurait un an ou deux, j’aurais répondu la même chose, mais j’en avais vraiment marre d’être polis avec de telles ordures. Je restais muet comme une tombe,

- Pas très bavard aujourd’hui petit frère

Je sursautais, ses paroles m’avaient fait l’effet d’une claque, je ne comprenais plus rien. Puis une lumière inondait la pièce, elle m’éblouissait, mais je n’avais pas mit beaucoup de temps à m’y habitué. Quand je posais les yeux sur l’homme devant moi qui m’avait lâché et s’était reculé pour me laisser respirer, j’ouvrais la bouche mais aucuns sons n’en sortait, j’étais à la fois choqué, surpris et horrifié, enfin tout ce que vous voulez. Mes yeux et mon cerveau analysaient à toute vitesse ce qui se trouvait devant moi pour donner ma propre image. Je ne comprenais plus rien, c’étais comme si j’étais dans un rêve, je clignais plusieurs fois les yeux, mais cette image ne partait pas.

- J’n’y crois pas, ce n’est pas possible…

Mon double souriait, mais pas d’un sourire honnête. « Honnête » je riais intérieurement, depuis quand les assassins étaient honnêtes ? Je repensais instantanément à Kristina Frye, cette charmante femme qui prétendait être médium et croyait qu’elle pouvait changer John Le Rouge. Elle avait été tuée il y a 6 mois, chez elle, un smiley rouge sur le mur de sa chambre. Tout simplement parce qu’elle avait encore essayé de vouloir changer ce monstre. Qui était mon propre frère, si je n’étais pas entrain de me faire manipuler.

Super méga génial ! Un double, ça c'est de l'imagination !

VLS

Ouaw le fréro de Jane!! Pas mal!!
VLS

Un double maléfique j'adore !

VLS Win

Oh , j'aime l'idée !
V.L.S

j'adore ton idée du frère
pas mal
comment va réagir Jane après ça

Merci pour vos coms ça fait super plaisir, je trouve juste que c'est pas aussi bien écrit que sur les autres fics que j'ai pu faire mais bon tant qu'elle vous plait et que c'est compréhensible ^^

Donc v'la la suite =)




John le rouge s’approchait de moi et se mettais à ma hauteur, je pouvais voir dans ses yeux qui étaient les miens, le mauvais coup qu’il allait préparer, si je n’étais pas trop sonné, je lui aurais sauté dessus et je me serais battu jusqu’à outrance.

- Dit moi petit frère, t’aimerais que je te raconte une histoire

Il se moquait de moi, je fermais les yeux et fronçais les sourcils, s’il voulait me raconter comment il avait tué ma famille, je m’y attendais depuis longtemps. Je me suis préparé à tout avec lui, depuis toutes ces années. Mais les seules choses dont je ne m’y attendais pas, c’était qu’il faisait parti de ma famille, qu’il était mon frère et pire mon jumeau.

- Je suis certain, que papa ne t’avais jamais parlé de moi, juste pour te protéger. Où encore que, je faisais parti de votre vie, juste 5 ans, avant qu’on me sépare de vous deux. Cela t’étonne petit frère, tu croyais tout savoir de moi mais écoute moi bien, car je ne pourrais te le dire une deuxième fois.

L’assassin se levait et commençait à faire les 100 pas dans la petite pièce. Je m’étais buté, mais là j’étais tout ouïe, mensonge ou pas, je voulais bien entendre ce bout de ma vie que j’ignorais.

- Il y avait 42 ans, maman était morte en nous mettant au monde, j’étais né en premier, puis toi quelques minutes après. Papa nous avait élevé seul dans cette stupide caravane et stand de voyance. Nous nous entendions bien tout les deux petits frères, jusqu’à ce que une personnalité naisse en moi et me change it complètement. Quand nous avions eu 5 ans, tu avais faillis mourir par ma faute.

J’haussais un sourcil, parce que je ne m’en souvenais vraiment pas, il affichait une mine triste faussement imité, mais cela ne m’impressionnais pas. Puis il souriait et continuait son récit d’un mensonge ou d’une vérité.

- Mais bizarrement, j’ai ressenti une immense joie, un bonheur incompréhensible m’inondait quand je voyais le sang sur la lame du couteau et sur ta blessure. Je te regardais pleurer, tu avais si mal et te voyant te tordre de cette douleur lancinante, cette joie ne cessait d’augmenter. J’ai voulu recommencer, mais papa est arrivé à temps pour m’arrêter et t’emmener à l’hôpital. Et quand était-il de moi ?

Il avait commencé à hurler, et s’était retourné vers moi, je n’étais pas impressionné par son visage supplicié. Un silence pesait dans la pièce, puis il reprenait.

- J’avais la trouille de ce qui m’arrivait. Puis j’ai commencé à faire des petits délits, jusqu’à ce qu’on me mette dans une école de correction. Qu’on me sépare de vous, qu’on me sépare de toi.

Je l’écoutais, mais je me plongeais dans mes souvenirs, je ne me rappelais de rien. Surement parce que j’étais trop petit. John Le Rouge me fixait, comme s’il attendait de moi une réaction. Mais j’avais largement envi de lui rire au nez et de lui crier que je m’en fichais. Ce n’était pas ça qui allait lui faire racheter ses fautes.

- Je pense que tu peux comprendre cela Patrick, tu sais ce qu’on dit sur les jumeaux.

J’haussais les sourcils et un sourire moqueur s’affichait sur mon visage. Je me relevais et restais collé au mur. John le rouge qui me faisait dos avait une main derrière sa tête et une main sur les hanches. Il semblait perturbé, mais difficile de croire qu’il jouait la comédie où il la jouait bien. Puis je me disais que l’école de redressement aurait pu être une vérité et que finalement il était devenu plus taré que ce qu’il était avant. J’ouvrais la bouche.

- Alors pourquoi je ne m’en souviens pas alors ?

Il se retournait rapidement et me regardait surpris, il fallait dire que je n’avais pas ouvert la bouche depuis un bon moment. Mais son visage interdit se transformait en faible sourire malveillant. Il s’approchait de moi, si près que nos visages se frôlaient.

J'adore ! La suite, la suite, la suite !!! Et c'est super bien écrit C'est vraiment pas facile d'écrire à la première personne, surtout quand tu te mets dans la tête de Jane, et tu t'en sors à merveille

yeah j'adore l'idée du frangin
Super bien écrit^^, je veux la suiiiiiiiiteeeeeeee

Je kiffe trop ta fic ' !!!!!!
L'idée du frère jumeau complètement dérangé, j'adore !
Tu as une super plume, et je ne peux que te dire Bravo

WinJane a écrit:Il s’approchait de moi, si près que nos visages se frôlaient.

Un bisou ! un bisou ! un bisou ! un bisou !!!!!
Pas la peine de me montrer le chemin, je le connais par ♥....

la suite la suite la suite
j'adore le coup du jumeau

Aurcoco a écrit:Je kiffe trop ta fic ' !!!!!!
L'idée du frère jumeau complètement dérangé, j'adore !
Tu as une super plume, et je ne peux que te dire Bravo

WinJane a écrit:Il s’approchait de moi, si près que nos visages se frôlaient.

Un bisou ! un bisou ! un bisou ! un bisou !!!!!
Pas la peine de me montrer le chemin, je le connais par ♥....

¨
PTDR je m'y attendais à ça lol
C'est pour ça que je me suis arretée là, c'est pour voir comment vous réagissez xD
En tout cas merci pour vos com's =)

WinJane a écrit:

Aurcoco a écrit:Je kiffe trop ta fic ' !!!!!!
L'idée du frère jumeau complètement dérangé, j'adore !
Tu as une super plume, et je ne peux que te dire Bravo

WinJane a écrit:Il s’approchait de moi, si près que nos visages se frôlaient.

Un bisou ! un bisou ! un bisou ! un bisou !!!!!
Pas la peine de me montrer le chemin, je le connais par ♥....

¨
PTDR je m'y attendais à ça lol
C'est pour ça que je me suis arretée là, c'est pour voir comment vous réagissez xD
En tout cas merci pour vos com's =)

xD moi aussi je me suis dit..=='

Bref...Trop bien écrit , j'aime vraiment li'dée du jumeau déranger !

V.L.S

J'adore l'idée! C'est trop biien!
VLS

Merci pour vos messages ça fait plaisirs =)
Je mettrais le chap 3 quand je serais au chapitre 6 ^^

Aaaah j'adooore, je veut savoir pourquoi Jane ne se souviens pas.

J'ai hate de lire la Suite WinWin

Il me murmurait à l’oreille, et souriait. Je hoquetais et je le repoussais violemment. Il se heurtait à la porte qui s’ouvrait sur le coup. La haine que je ressentais pour lui m’envahissais, alors je lui sautais au cou et lui envoyais un coup de poing en pleine figure. Son visage se crispait, mais il souriait. Je ne pouvais plus garder mon sang froid, je le frappais à nouveaux jusqu’à me faire saigner les poings. Je devais faire sortir ma rage, je me fichais complètement si je le tuais maintenant, je n’en serais plus qu’heureux. Mais voila, une chose à laquelle je ne m’étais pas attendue, une autre personne surgissait devant la porte et me balançait un coup de pied. Je tombais à la renverse et retrouvais ma place contre le mur. John Le Rouge se relevait avec l’aide de l’inconnu et portait une main à son nez ensanglanté.

- Tu m’as mis très en colère petit frère.
- Ne m’appelle pas comme ça connard !

Il se précipitait vers moi et m’attrapais par le cou, je lui attrapais les poignets et tentais de me libérer. J’étais persuadé qu’il allait me frapper, alors je fermais les yeux, prêt à prendre un coup qui me tuerait. Mais il ne faisait rien.

- Tu n’as toujours pas compris, qu’on n’insulte pas John le rouge ?

Je lui crachais à la figure, puis mon visage se crispais de douleur. Je venais de me recevoir un coup dans le ventre. Il me jetait au sol et donnait un ordre à l’inconnu, qui quelques secondes plus tard, venait à ma rencontre. Il arrachait ma veste, mon gilet, en gros tout ce qui me couvrait. J’avais trop mal pour me débattre. Il donnait les vêtements à mon double qui s’en allait hors de la pièce. Soudain, une vision m’horrifiais, je comprenais parfaitement ce qu’il avait en tête. Je frappais du poing le sol et serrais les dents.

J’avais froid, je me recroquevillais sur moi-même sur le sol gelé. Mes paupières devenaient lourdes, les coups m’avaient épuisé. Alors que j’allais plonger dans les bras de Morphée, la porte s’ouvrait en coup de vent, provoquant un courant d’air glacial. J’apercevais John le rouge, je levais la tête et le voyais vêtu de mes habits. Il se raclait la gorge et prenait un air supérieur.

- Tu comprends mon plan petit frère

Bien sur que je comprenais, il allait rejoindre le CBI et se faire passer pour moi. Pour finalement les faires souffrir et les tuer. Rien que de penser à ce qu’il allait leur faire me donnais envi de hurler. Je mettais ma tête dans mes bras, refusant d’imaginer quoi que ce soit.

- Je vais prendre ça pour un oui…

Il s’agenouillait devant moi et me prenait le menton.

- Fais de beaux rêves Patrick et pour toujours….

Il rejetait ma tête et s’en allait suivit de son acolyte dont j’ignorais l’identité. Mon alter égo prenait mon portable, je comprenais ce qu’il faisait, il appelait le CBI, dont Lisbon. Il me narguait avec un sourire mesquin. J’entendais Lisbon répondre, John Le Rouge jouait la comédie, comme sa voix était la mienne, c’était facile pour tromper l’agent. J’avais tenté de crier pour me faire entendre, mais l’inconnu avait prit soin de me coller sa main devant la bouche et de bloquer mes gestes.

Mon « frère » raccrochait et ne pouvait s’empêcher de me rire au nez. J’étais prêt à craquer, ou alors j’ai déjà craqué, je me sentais complètement vide et inutile. Les deux hommes me tournaient le dos, sortaient de la pièce qui replongeait dans l’obscurité la plus totale une fois la porte fermée. Des pas s’éloignaient. Tout ce qui me restait à faire, c’était de prier pour qu’ils ne tombent pas dans le panneau, qu’ils découvrent la supercherie. Qu’ils sachent qu’ils allaient mourir.

« Mea Culpa »


J'avais envi de la mettre aujourd'hui tout compte fait =)
Non malheuresement Aurcoco, il n'y a pas eu de " Bisou " MDR
Le pourquoi Jane se souvient pas, vous le saurez à la fin de la fic ^^

Ouaw c'est trop bien écrit!
VLS

wiiiiiiiiin ! Tu m'as bouleversé avec ta fic . L'idée du frère jumeau , le piège RJ tend à l'équipe , le fait que ce soit jane qui raconte . . . Tout est génial dans ta fic. c'est énorme . VLS !

Aaah trop bien
La suite please

Qui a crée le clan des sadiques? Jsuis perdue la

WinJane a écrit:Non malheuresement Aurcoco, il n'y a pas eu de " Bisou " MDR

Bouhouhou je suis déçue ...

Mais, non, je blague !
C'était un méga chapitre !!!
John qui prend la place de Jane au CBI
Faut sutout pas qu'il tue notre Lisbonnette, sinon Jane n'y survivra pas ....
Quel suspense !!!!
VLS

Ah c'est bête, parce que j'avais l'intention de la faire mourir Lisbon.....

Whaaaaaaaaaaaaaaaaa me tuez paaaaaaaaaaas

Non il se PEUT que je plaisante ^^

Merci pour vos com's ça fait plaisir =)

Un grand frère (enfin de quelques secondes, minutes maximum mais tout de même grand frère) diabolique fallait y penser !
Et pourquoi il se souvient paaaaaaas, je pourrai pas attendre la fin....VEUX SAVOIR, TOUT DE SUITE....enfin je veux direeeuh....la suite s'il te plait je t'en supplie Oh grande (ou petite je sais pas je t'ai jamais vue ^^) WinJane...

Bon je vais arrêter le lèche-bottisme et...VLS !!

ah j'adore, c'est super ce chapitre
mais dis moi que Jane va s'en sortir et qu'après il y aura une bagarre entre les jumeaux devant toute l'équipe et..... enfin tu vois l'idée
maintenant à toi de jouée

Des heures, des heures étaient passés depuis la disparition du consultant. Teresa Lisbon derrière son bureau, ne cessait de ruminer derrière ses longs cheveux bruns. Elle était aussi énervée qu’inquiète pour Jane. Enervée par ce qu’il avait disparu en coup de vent après avoir détruit une preuve et inquiète parce qu’il était sous sa responsabilité et que sa disparition s’était faites prêt d’un meurtre commis par John Le Rouge. Elle s’imaginait toutes sortes de scènes les plus horribles les une que les autres. Elle secouait sa tête pour chasser ces vilaines pensées et attrapait son téléphone. Elle ouvrait le clapet et composait le même numéro depuis les longues écoulés sans nouvelles du blond. Elle retombait sur la messagerie, elle rageait, raccrochait et balançait son portable contre le mur. Ce geste avait attiré l’attention de son équipe qui se précipitait dans son bureau.

- Aucunes nouvelles boss ?

La brune secouait la tête en signe de négation elle regardait son équipe, elle décryptait sur leur visages qu’ils étaient tous aussi perturbés qu’elle de la disparition de Patrick Jane. Puis une autre personne arrivait à leur rencontre, une femme au tailleur gris et à l’allure faussement sévère. Les agents se tournèrent vers leur supérieure qui les toisait un a un, ses yeux noirs s’arrêtaient sur une Lisbon au regard fuyard.

- Agent Lisbon, des nouvelles de Jane ?
- Non madame, j’ai appelé plusieurs fois, j’ai attendu, mais rien

Madeleine Hightower hochait la tête et posait la même question aux trois autres qui n’avaient pas plus d’informations que leur boss.

- Bien, Teresa Lisbon, je sais que vous faites de votre mieux, mais il va falloir que vous avanciez un peu plus vite, Jane est très précieux pour nos enquêtes, ce serait dommage de le perdre.

Quand ces mots sortaient de la bouche de la chef, Teresa s’étranglait, elle contournait son bureau, se mettait à la hauteur de sa supérieure, les nerfs en boules. Elle ouvrait la bouche et s’emportait. Elle ne pouvait pas accepter qu’elle parle de Jane de cette façon.

- Je ne vous permets pas de parler de Jane comme ça ! Il n’est pas un objet qu’on utilise à sa guise !

Madeleine et les trois agents étaient surpris de la réaction de Teresa. La patronne mettait ses mains devant elle en signe d’apaisement.

- Teresa, ce n’est pas du tout ce que j’ai dis, calmez vous.

La brune ouvrait la bouche et balbutiais, décidément elle était complètement perdue. Elle pourtant si forte se montrait atrocement vulnérable à comprendre tout de travers. Honteuse elle s’échappait de son bureau et allait s’enfermer dans une salle d’interrogatoire. Elle prenait une chaise et la balançais sur le sol tout comme la table qui subissait le même sort. Elle se collait contre un mur et se laissait glisser au pied du mur. Des larmes perlaient sur ses joues rouges. Elle ne comprenait pas ce qui lui avait prit de hurler sur Hightower, elle ne savait pas pourquoi elle se mettait dans tous ses états pour Jane. Elle le détestait.

« Détester » est un bien grand mot….

Elle séchait ses dernières larmes, puis son portable sonnait. Elle se relevait et s’empressait de décrocher. Son cœur battait à la chamade, elle n’entendait pas tout de suite une voix, mais des gémissements de douleurs, puis une voix rauque et faible.

- Lisbon, c’est moi, Jane….


***

Voila voila le chap 4 ^^
Donc le chap 5, je suis entrain de l'écrire =)
Merci pour vos com's =D