Because, I love you [Inachevée]

Coucou =)

Intro: L'équipe de Teresa Lisbon ont trouvé le repère de John le Rouge et ne vont pas tarder à aller l'attraper. Mais qu'en est il de l'état d'ame du consultant Patrick Jane ?

Chapitre I

Patrick Jane assis sur son canapé, les coudes sur les genoux, tripotait ses mains. Son regard fixait le sol, enfin il abordait un regard si vide et un visage si impassible qu’on le croirait malade ou préparant un mauvais coup. Un coup qui lui couterait la vie. Cela faisait plusieurs minutes qu’il était comme ça, il sentait les regards des membres de l’équipe se poser sur lui. Mais ce n’est pas ce qui le préoccupait. Il pensait plutôt a ce qu’il allait se dérouler par la suite et se rémérait les paroles de Teresa Lisbon ce matin.

« Contrôle toi Patrick, sinon je serais obligée de te blesser et ça je ne le veux pas ! »

Elle disait ça si sérieusement, qu’il comprenait à quel point elle tenait à lui et qu’elle voulait qu’il ne lui arrive rien. Il croisait les doigts et levait les yeux vers le bureau de la chef d’équipe qui rangeait ses affaires. Signe qu’elle était contrariée, car ce n’était pas dans ses habitudes de ranger. Il l’a fixait intensément, comme s’il voulait lui envoyer un message télépathique. Il se jurait de ne pas la décevoir sur ce coup là, mais ce serait plus fort que lui. Il mit ses mains devant les yeux et se souvint d’une conversation qu’il avait eue avec un membre de l’équipe et d’une parole qui l’avait touché.

« Mec, ça fait longtemps qu’on se connait, et tu es quelqu’un de bien. Nous arrivons à la fin de l’enquête, nous allons attraper John le Rouge. Nous connaissons tes réactions quand on parle de lui. Tu deviens « Taré » et tu es capable de n’importe quoi jusqu’à risquer ta vie. Ne fait pas de conneries ! »

Wayne Rigsby lui avait dit ça un moment avant que tout le monde soit parti d’une salle de réunion. Jane lui avait gratifié un sourire comme promesse, puis était parti rapidement. Ce genre de situation de mettait mal à l’aise. Il se frottait les yeux et se callait au dossier de son vieux canapé, regardant toujours le vide. Quelqu’un s’approchait de lui et s’assit à ses côtés. Van Pelt, la dernière de l’équipe, la nouvelle, la fille croyante, la rouquine qui le prend pour un médium.

« Jane, je sais à quoi tu pense, mais ne fait pas de bêtises. Tu le regretterais et nous te regretterons. Nous avons trouvé tu sais qui, nous allons l’attraper et sans bavures. Tu dois refouler cette haine, cette envie de le voir souffrir à même le sol, se vidant de son sang. Mais tu ne lui feras rien de tes mains, ne te les salit pas. Pense d’abord à ta famille, à l’équipe et à ce qui serait le mieux pour toi. »

Il la regardait un instant, la remerciait et se levait. Il avait vraiment besoin d’être seul, alors il se réfugiait sur le toit du bâtiment. Malgré son humeur morbide, le ciel était magnifique, le temps était chaud et il y a avait une légère brise d’air. Il regardait ce qui se passait à l’extérieur du CBI, promenant son regard vers la ville et l’horizon. John le Rouge se trouve dans un vieux bâtiment abandonné, enfin son repaire. Il y était, il allait pouvoir se venger, il allait pouvoir apaiser sa souffrance. Mais soudain, il pensait à l’équipe et leurs confidences. Il avait compris à quel point ils tenaient à lui et qu’ils avaient peur pour lui.
Surtout Teresa Lisbon, elle l’avait appellé et lui avait dit tout ce qu’elle avait sur le cœur. Il le savait mais il n’en savait pas assez. Elle lui expliquait combien elle était contente qu’il soit là, que ce soit pour travailler ou pas. Ses sentiments à son égard son beaucoup plus qu’une simple relation entre collègue de travail. Il était pour elle quelqu’un a qui elle pourrait dire tout ce qu’elle ressentait, elle le laissait lire en elle comme un livre ouvert. Il était un connard, un emmerdeur de première et elle l’aimait comme elle aimerait un enfant, un ami ou peut être plus. Elle ne se pardonnerait jamais s’il lui arrivait quelque chose. Elle était au bord des larmes, il avait hésité à la prendre dans ses bras ou dire quelque chose, puis elle lui avait dit de ne pas faire de conneries, car elle ne voudrait pas le blesser. Il allait se contenter de lui afficher un sourire comme il avait l’habitude de faire, mais la situation était beaucoup trop sérieuse pour simplement sourire. Il s’était approché d’elle qui sanglotait silencieusement sans le regarder. Sans savoir ce qu’il faisait, il l’avait prit dans ses bras et l’avait serré très fort. Elle lui avait rendu son étreinte, posé sa tête sur son épaule et atténué ses pleurs. Jane lui avait caressé le dos, il l’avait rassuré, l’avait complimenté. Mais il ne pouvait rien lui promettre, il ne savait pas comment il réagirait réellement, mais ferait un effort surhumain. Si elle devait le blesser pour l’arrêter, il ne lui en voudrait pas car elle aurait fait son devoir. Lisbon n’était pas d’accord sur ce coup là, mais elle n’avait rien dit, au risque de pleurer. Ils étaient resté un moment comme cela, ils avaient aussi bien besoin l’un que de l’autre, ils avaient besoin de se soutenir mutuellement. Trop longtemps à se taire, trop longtemps à faire semblant. Il était temps de se dire ce qu’ils ressentaient tout les deux, si leurs sentiments étaient réciproques. On se serait cru aux temps des adieux, mais Est-ce que c’était le cas ? Ils étaient allé jusqu’au bout et ils touchaient la fin. Est-ce qu’il y a un après ?

John le Rouge serait attrapé et que va-t-il se passer par la suite ? Patrick quitterais le CBI, quitterait l’équipe et la quitterait elle. Elle ne voulait désormais plus le lâcher. Elle avait resserré l’étreinte comme s’il allait partir en un seul coup de vent et disparaitre. Patrick l’avait rassuré une dernière fois et ils avaient rompu. Lisbon seule dans son bureau était restée pensive alors que Jane avait quitté le bureau en fermant la porte doucement.

Son portable vibrait dans sa poche, ce qui le fit sortir de ses pensées. Il décrochait, c’était Lisbon, ils devaient partir au repaire de John le Rouge. Jane descendait du toit et rejoignait l’équipe en voiture. Tout le monde était silencieux, Grace était concentrée sur la route, Teresa perdue dans ses pensées, Cho faisait semblant de lire son livre et Rigsby regardait droit devant. Quand lui Patrick, il regardait par la fenêtre, il canalisait ses pulsions, il pensait à Teresa, La brune pensait elle à lui ? Certainement, car elle avait ce regard qu’elle levait et baissait quand il était là. La voiture s’arrêtait à la lisière d’une forêt. Les unités de police étaient déjà arrivé et certainement déjà en place. Les agents du CBI se préparaient, Wayne Rigsby allait vers Jane qui ne savait pas bien quoi faire, il lui tendait un gilet pare balles. Qu’il enfilait sans broncher.

Les agents étaient partis armés dans la forêt se faufilant entre les arbres. Patrick ne bougeait pas de l’endroit où il était, ce n’était pas comme s’il avait peur mais il aimerait trouver un moyen de se retrouver face à face avec John le Rouge. Il s’avançait alors entre les arbres, les feuilles craquaient sous ses pieds et le silence ne le rassurait pas. Il s’avançait plus loin, mais il avait fait à peine quelques mètres qu’on lui assenait un coup sur la tête qui lui fit perdre conscience.
Il ouvrit les yeux, sa tête lui faisait très mal et elle tournait. Il n’avait pas bien comprit ce qui s’était passé, mais il remarquait qu’il se trouvait dans une petite pièce, assis sur une chaise et les mains ligotées dans le dos. A c’est malin se disait il, il n’avait rien fait et le voila dans un sale pétrin. Quoi que ce n’était pas plus mal, il espérait voir John le Rouge et se contentait de construire un plan pour défaire ses liens. Une porte s’ouvrait et laissait passer un homme, il ne pouvait pas le décrire car il était caché dans l’ombre. Mais il était sur que c’était John le Rouge et il le méprisait.

- Bonjour M. Jane…
- Je ne vous salue pas !
- Comme tu voudras Patrick…
- Je ne vous autorise pas à m’appeler par mon prénom !

Patrick était anxieux, non seulement il voulait savoir qui était la personne, mais aussi sa haine remontait à la surface, le faisant trembler comme une feuille. L’inconnu s’approchait un peu plus de la lumière, mais c’était insuffisant pour le voir. L’homme devait avoir la même taille et la même carrure que lui.

- Cela fait longtemps Patrick, 7 ans je crois ? 7 ans qu’elles sont parties !

Jane se crispait et commençait à deviner l’identité de l’homme, il en était certain. C’était bien John le Rouge. Le flux de haine dans son âme ne le tenait pas en place, il voulait lui sauter dessus et le frapper jusqu’à outrance. Mais il avait comme promis de ne pas déconner, de ne pas faire de bêtises. Il se calmait et essayait de reprendre l’attitude qu’il avait d’habitude face à un criminel.

- Ne me titille pas John, si tu veux me tuer maintenant, fais le mais je te préviens que tu es cerné.
- Tu m’en bouche un coin dit !
- T’es pas si con que t’en as l’air, je me suis trompé.
- T’aime bien plaisanter Patrick, mais tu ne vas pas rire longtemps.

John le rouge, s’avançait vers la lumière un couteau à la main, il posait la lame sur le cou de Jane qui bloquait sa respiration. Il avait peur, mais ne voulait pas le montrer. John le devinait et souriait, il se sentait en parfaite domination face au consultant et en profitait pour lui entailler la peau du cou. Jane serrait les dents face à la brulure de la lame. John recommençait son geste sur l’épaule déchirant le vêtement du blond. Patrick baissait la tête et se mordait les lèvres pour ne pas hurler quand le couteau se plantait dans sa cuisse. John le Rouge était ravi de le faire souffrir, il lui donnait alors un magistral coup de poing qui fit le fit tomber au sol. Le consultant se retrouvait par terre presque assommé par le coup qu’il venait de recevoir, puis voila qu’il se prenait des coups de pieds dans le ventre.

- Tu fais moins le malin Jane !

Jane se contentait de grimacer et lui lancer un sourire moqueur. Décidément il n’avait pas peur, ce qui agaçait John le rouge qui se voulait impressionnant. Patrick se roulait sur le dos et profitait de l’inattention du criminel pour défaire les cordes et se relever en vitesse. Mais il s’agrippait au mur car sa jambe lui faisait mal. Il retirait le couteau qui y était planté et s’en servit comme une arme. Mais le problème c’est qu’il ne savait pas attaquer. L’assassin se ruait sur le consultant, lui bloquait la main armée et lui donnait un coup de genoux dans le ventre. Jane lâchait le couteau et se pliait en deux. John ramassait l’arme, se retournait pour attaquer Jane qui lui envoyait un violement coup de pied dans la figure, le faisant valser contre le mur et s’assommer tout seul.

Patrick Jane s’effondrait sur le sol, son cœur battait à la chamade, il avouait avoir eu la trouille de sa vie. Sa jambe lui faisait mal et le sang coulait, il défit sa ceinture pour pouvoir se faire un garrot en attendant l’équipe. Il fermait les yeux et respirait fortement, il espérait qu’ils arriveraient rapidement, avant que John le Rouge se réveille.

Des pas ses précipitaient vers lui, il sentait une présence proche de lui. Des mains prenaient sont visage. Il ouvrait les yeux et reconnaissait Lisbon. Il souriait faiblement, il était heureux de la voir, après tout ça. Il ne savait pas s’il avait tenue une promesse ou pas.

- Teresa, je suis dans la merde ? Dit-il en riant.
- Non, non, tout va bien, répondit elle au bord des larmes.
- Teresa, sourit c’est fini !

Il avait bien raison, tout était fini et il fallait sourire, être content de cette victoire. Enfin une victoire, par totalement, John le Rouge n’est pas mort. Il va être jugé, envoyer en prison et ce que craint Jane, c’est qu’il n’aurait pas beaucoup de temps à passer derrière les barreaux. Cela l’énervait, imaginer que dans dix ans il pourrait recommencer. Ce n’était pas le moment de se soucier de ça, il admirait Teresa qui se forçait de lui sourire entre deux sanglots. Il caressait la joue de la brune qui ne le décrochait pas des yeux.

- C’est mieux comme ça dit-il.
- J’ai eu peur, à un moment j’ai cru que…

Teresa n’avait pas eu le temps de terminer sa phrase que Patrick déposait un baiser sur ses lèvres. La brune surprise rougissait et répondait au baiser. Elle mettait ses bras autour du cou de Jane et se collait un peu plus à lui. Patrick l’a prenait dans ses bras et l’embrassait une dernière fois avant qu’un ambulancier entre dans la pièce accompagné d’un agent pour menotter John le Rouge.

- M. Jane, comment vous sentez vous, dit l’ambulancier en courant vers lui.
- Comme quelqu’un qui viens de se faire tabasser à mort par un sérial killer, ironisa Jane.
- Oui bon d’accord, répond l’ambulancier se sentant idiot d’avoir posé la question.

Lisbon souriait, Jane ne changerait jamais, c’est comme ça qu’elle l’aimait. Ils sortirent du bâtiment et allèrent jusqu’à l’ambulance. Lisbon montait à l’arrière avec Jane et les autres prenaient la voiture.

J'essaye moi aussi de rester calme mais c'est vachement dur tellement c'est bien !!

Teresa n’avait pas eu le temps de terminer sa phrase que Patrick déposait un baiser sur ses lèvres. La brune surprise rougissait et répondait au baiser. Elle mettait ses bras autour du coup de Jane et se collait un peu plus à lui. Patrick l’a prit dans ses bras et l’embrassait une dernière fois avant qu’un ambulancier entre dans la pièce accompagné d’un agent pour menotter John le Rouge.

tu nous as un peu terminé la série là non ?
Huuu, genial, , j'en redemande du "drame-Jisbon-RedJohn-happy-end" !!

C'est Génialissime !!!!!
Ta fic' est vraiment bien écrite, on reconnait bien les persos et j'ai presque l'impression d'etre en train de regarder un épisode lorsque je m'imagine les scènes.

J'avoue que j'ai particulièrement aimé ce passage:

WinJane a écrit: Teresa n’avait pas eu le temps de terminer sa phrase que Patrick déposait un baiser sur ses lèvres. La brune surprise rougissait et répondait au baiser. Elle mettait ses bras autour du coup de Jane et se collait un peu plus à lui.

J'espere que la suite va bientot arriver

Merci =)
ça m'aurait pas étonné ce passage lol

Chapitre II

Il s’était endormi pendant le trajet, quand il se réveillait, il était dans un lit d’hôpital. Il remarquait juste à coté de lui, Lisbon qui semblait perdu dans ses pensés. Il la contemplait, il l’a regarderait pendant des heures. Il se souvenait de ce qui s’était produit entre eux dans le bâtiment. Ils s’étaient embrassé, mais Est-ce que c’était le premier ou le dernier ? Cette pensé le turlupinait et essayait de la chasser. Il fallait penser à autre chose, comme à l’enquête terminée.

- Teresa…

Elle sortait de ses pensés, s’approchait du lit et s’asseyait près de lui. Ils ne disaient rien, Lisbon passait une main dans les boucles du blond qui esquissait un faible sourire.

- Bonjour Patrick, tu vas bien ?
- Je sais pas, dit il je ne sais pas quoi penser de tout ça, je sais que c’est fini, mais l’arrestation de John le Rouge ne les ramènera pas, il peut bien être mort ici tout de suite mais rien n’a changé.

Teresa compatissait, elle ne savait pas comment réagir, mais tout ce qu’elle pouvait faire, est d’aborder un regard mi figue mi raisin. Elle comprenait bien ce que pouvait ressentir le blond, il devait avoir une profonde envie de hurler, de tout casser et de pleurer. L’histoire était fini, mais sa famille ne reviendrait pas.

- Elles, peuvent reposer en paix maintenant, dit elle en craignant de le vexer.
- C’est vrai, répond Patrick pensif
- Tu vas faire quoi maintenant ?

Elle avait dit ça en oubliant que John le Rouge n’était pas mort, mais son esprit était focalisé sur une chose. Ses sentiments envers Jane, elle s’avouait qu’elle l’aimait, il lui avait avoué en l’embrassant il y a plusieurs heures. Mais Est-ce que c’était intentionnel ? Ou ce n’était que sur le coup des émotions ?

- Je trouverais bien quelque chose à faire, commence t’il
- Reste avec nous ! Le coupa-t-elle

Patrick était surpris, il écarquillait les yeux et ne savait quoi dire. Teresa lui prenait une main et la lui serrait fort, comme pour lui faire comprendre qu’elle ne voulait pas qu’il parte. Ce n’est pas que Jane ne voulait pas rester avec eux, bien sur il le désirait, il ferait tout pour rester au CBI, avec l’équipe et avec elle. Mais il ne savait s’il en avait le droit. Il se redressait dans son lit, sa jambe le faisait grimacer, mais il souriait. Il prenait les mains de la brune qui n’osait pas le regarder en face, de peur de paraitre ridicule.

- Je resterais, si tu veux de moi dit-il

Le consultant embrassait l’agent sur la joue et lui relevait la tête, l’obligeant à le regarder dans les yeux. Il pouvait lire en elle, comprenait au mieux qu’elle l’aimait et passerait sa vie avec, mais elle avait peur qu’il n’acceptait pas. Car elle le pensait encore endeuiller, John le Rouge mort ou vif, mais arrêté. Il décidait de la rassurer en la prenant dans ses bras. Lisbon répondait à l’étreinte, ce geste qu’elle appréciait, qui l’apaisait.

- Teresa, je t’aime

Elle n’était pas surprise, car elle en était sure, elle souriait et lâchait une larme. De victoire peut être ? Ils stoppèrent leur étreinte quand quelqu’un frappait à la porte. Ils en étaient aussi déçu l’un que l’autre, que quatre personnes interrompirent ce moment d’intimité en entrant dans la chambre. C’était les agents de l’équipe et le médecin, un vieil homme d’une cinquantaine d’années, le sommet du crane rasé, les lunettes sur le bout du nez et une barbe poivre sel au menton, vêtu d’une blouse blanche par-dessus un costume noir et blanc. Il se raclait la gorge pour parler, mais les 3 agents derrière lui entraient en force en le bousculant pour se « jeter » sur Jane et Lisbon. Ils se mettaient à parler tous en même temps provoquant une cacophonie dans la chambre qui faisait rire Jane et sourire Lisbon.

- OH SILENCE !!!!

Le médecin criait bien fort pour cesser ce vacarme provoqué par les agents. Sur les nerfs, il leur demandait sèchement de sortir de la chambre. C’Est-ce qu’ils firent sans broncher. Le toubib soupirait et ses yeux se posèrent sur Jane. Il se raclait la gorge et commençait son discours sur l’état de santé de M. Patrick Jane qui lui se sentait très bien et qu’un muscle sectionné n’était pas si grave que ça en avait l’air.

- Vous pouvez bouger votre jambe ?
- Oui, ça me fait mal, mais ça passera.
- Bien, mais évitez de poser le pied au sol pendant quelques jours.

Patrick allait répliquer, mais comme il n’avait pas envi de vexer Teresa, il se tut et hochait la tête au médecin qui s’en allait de la chambre. La brune écarquillait les yeux, elle était choquée de ne pas voir Patrick Jane rechigner aux ordres qu’on lui donnait.

- Tu vas bien ?
- Oui je vais bien Teresa, et arrête de me poser cette question dit il les yeux au ciel.
- Parce que je m’attendais à ce que tu râle.
- Tu me prends pour un râleur ? Dit il faussement surprit, tu me vexe là !

Elle pouffait et l’embrassait, elle en avait envi depuis tout ce moment. Patrick répondait à son baiser et la serrait dans ses bras. Ils profitèrent des quelques secondes où ils étaient seuls avant que l’équipe revienne à la charge et cette fois sans provoquer un chahut digne d’une classe de lycée.

Wouuuuaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, mais j'adoooooooooooooooooorrrrrrrrreeeeeeeee
Mon ptit cœur de shippeuse est au ange, c'est du Jisbon en puissance
C'est magnifique, très bien écrit et on ressent vraiment leurs sentiments.

Ah lala j'aime, j'aime, j'aime


Bravo Win Jane

J'ai dévoré ces 2 chapitres !! Vivement la suite !! :vivement:

Luciole a écrit:Wouuuuaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh, mais j'adoooooooooooooooooorrrrrrrrreeeeeeeee
Mon ptit cœur de shippeuse est au ange, c'est du Jisbon en puissance
C'est magnifique, très bien écrit et on ressent vraiment leurs sentiments.

Ah lala j'aime, j'aime, j'aime


Bravo Win Jane

+1

C'est magnifique
la suite ! la suite ! la suite ! la suite ! la suite ! la suite ! la suite !

merci
La suite sera pour bientôt lol

c'est superrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

magnifique ta fic

la suiteeee

L'histoire est très bien, mais (et je crois que quelqu'un l'avait dit pour une autre de tes fics), il y a vraiment un problème de concordance des temps

Je sais que c'est peut-être un détail, mais c'est assez choquant à la lecture, il faudrait que tu travailles soit au passé simple, soit à l'imparfait mais pas les deux en même temps! Là je dois dire que j'ai du mal à lire...!

Voilà, désolé pour la critique mais nous sommes là pour nous améliorer n'est-il pas?

J'aiiiiiiiiime, !!
Jisbon
J'en suis toute retournée, pour la rentée c'est PARFAIT !

lehobbitdelyon a écrit:L'histoire est très bien, mais (et je crois que quelqu'un l'avait dit pour une autre de tes fics), il y a vraiment un problème de concordance des temps

Je sais que c'est peut-être un détail, mais c'est assez choquant à la lecture, il faudrait que tu travailles soit au passé simple, soit à l'imparfait mais pas les deux en même temps! Là je dois dire que j'ai du mal à lire...!

Voilà, désolé pour la critique mais nous sommes là pour nous améliorer n'est-il pas?

Oui mais je voulais faire voir les faits qui s'étaient passé. Et non entrain de se passer, mais ce n'était que pour le 1er chap lol

Je comprends, mais en fait il y a des fois où tu peux mélanger les deux temps dans une même phrase, seulement il faut les accorder selon je ne sais plus quelle règle de grammaire, sinon le résultat est vraiment étrange!

Par exemple quand tu écris "Il s’était endormi pendant le trajet, quand il se réveillait, il était dans un lit d’hôpital. Il remarquait juste à coté de lui, Lisbon qui semblait perdu dans ses pensés. Il la contemplait, il l’a regarderait pendant des heures"

Il faudrait mettre "Il s’était endormi pendant le trajet, quand il se réveilla, il était dans un lit d’hôpital. Il remarqua juste à coté de lui, Lisbon qui semblait perdu dans ses pensés. Il aurait pu la regarder pendant des heures.

Je sais que ce n'est pas évident au début, mais ça rendra ton texte beaucoup plus lisible, car la lecteur oscille entre présent/passé/subjonctif, c'est perturbant!

bons chapitres,

surtout le 2ème

lehobbitdelyon a écrit:Je comprends, mais en fait il y a des fois où tu peux mélanger les deux temps dans une même phrase, seulement il faut les accorder selon je ne sais plus quelle règle de grammaire, sinon le résultat est vraiment étrange!

Par exemple quand tu écris "Il s’était endormi pendant le trajet, quand il se réveillait, il était dans un lit d’hôpital. Il remarquait juste à coté de lui, Lisbon qui semblait perdu dans ses pensés. Il la contemplait, il l’a regarderait pendant des heures"

Il faudrait mettre "Il s’était endormi pendant le trajet, quand il se réveilla, il était dans un lit d’hôpital. Il remarqua juste à coté de lui, Lisbon qui semblait perdu dans ses pensés. Il aurait pu la regarder pendant des heures.

Je sais que ce n'est pas évident au début, mais ça rendra ton texte beaucoup plus lisible, car la lecteur oscille entre présent/passé/subjonctif, c'est perturbant!

Okay merci je ferait gaffe pour le prochain lol

Pas de problème

Le pire c'est que c'était censé être un one shot xD

EEEEEt euuuh elle est ou cette suite Win ?
Haaaa en mode shootée au Jisbon ce soir !!
LA suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!

Felicity a écrit:EEEEEt euuuh elle est ou cette suite Win ?
Haaaa en mode shootée au Jisbon ce soir !!
LA suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!

Je dois la corriger cette fic, je l'ai toujours sur mon PC =)
Il faut que je mette tout le temps le même temps et je vais modifier un peu la fin parce que ça me bloque...
En fait y a quelques arrangement lol

Oui mais alors fais vite hein ?

Je vais essayer hein xD
Puis je suis sur " When you say nothing at all " aussi ! =/
Spaaa évident lol

Oui mais spaaaaaaaaaa bien de faire attendre ses fans lectrices :DD

Son visage se crispait, une douleur lancinante se rependait dans sa jambe, il serrait la barre symétrique si fort que ses phalanges blanchissaient. Il fit un pas en avant de la jambe gauche et essayait de faire avançait la droite dont le muscle de la cuisse était endommagé et le faisait souffrir. Mais il ne voulait pas abandonner, il voulait sortir de l’hôpital le plus vite possible et rejoindre l’équipe au CBI. C’était un après midi chaleureux, il transpirait avec l’effort, ses cheveux et son visage étaient trempés. Il ignore combien d’heures il était dans la salle de rééducation de l’hôpital, mais il était certainement resté trop longtemps sans repos et son muscle se fatiguait. Il retournait alors s’asseoir sur le fauteuil roulant. Il prit la bouteille et finissait le contenu, quand quelqu’un entrait dans la pièce.

- Patrick !

Il tournait en direction de la voix et son visage transpirant s’illuminait. Une belle brune venait d’apparaitre devant ses yeux, elle s’approchait de lui et l’embrassait, il voulait la prendre dans ses bras, mais seulement après avoir prit une bonne douche. Teresa Lisbon était partie du CBI plutôt pour aller le voir, il lui avait manquée pendant deux semaines, deux semaines où ils étaient tous les deux trop occupés pour se voir. L’équipe avait une lourde affaire sur le dos et Jane se concentrait sur ses exercices pour retrouver la mobilité de sa jambe. Ils sortirent tout les deux de la pièce en direction de la chambre. Jane baissait son lit à l’aide de la télécommande et s’y asseyait dessus en se balançant du fauteuil au matelas. Teresa avait voulu l’aider, mais il avait refusé gentiment. Il ne se pensait pas si impotent que ça et était capable de se débrouiller seul. La brune s’assit à coté de lui et hésitait à passer un bras autour de sa taille, ce qui faisait sourire le blondinet exténué.

- Je vais prendre une douche et après tu pourra faire ce que tu veux.

Elle riait et se sentait un peu rougir en s’imaginant caresser le corps baraqué du consultant et de se lover dans ses bras puissants. Le blond prit ses béquilles et se dirigeait dans la salle de bain. Teresa restait derrière la porte suffisamment refermée pour laisser l’intimité à son petit ami. Enfin, si c’était son petit amie maintenant. Elle n’en était pas encore tout à fait sure et se souvint de ne jamais lui avoir posé la question. Il y a deux semaines, il lui avait avoué son amour et elle en était plus qu’heureuse. C’était il y a deux semaines, mais quand on a vécu une torture, il ne faut pas quelques heures pour s’en remettre et on essaie n’importe quoi. De penser à tout ça lui fit un pincement au cœur et son visage s’attristait.

Ouuuuuuuuuuuuui Merci Wiiin !!
La la la , Lisbon fais pas chier, arrete de douter, si il t'aime j'vois pas pourquoi tu te poses des questions !!


Vls Win :DDDD