Hostage taking [Inachevée]

Je sais, je sais... j'ai déjà une 2ème fic que je viens de commencer, mais là j'avais pas d'inspiration pour elle, alors j'en commence une autre parallèlement, comme ça, quand je travaillerai pas sur l'une, je travaillerai sur l'autre.

(Prise d'otage)

Il était là, retenu prisonnier, et ce n’était pas vraiment contre ça volonté. S’il en était là, s’était par ce qu’il l’avait bien voulu. Mais en repensant à son équipe, il regrettait de s’être comporter de tel façon à ce qu’il arrive ici, dans cette villa, coupé du monde. Les enquêtes lui manquaient, et Lisbon encore plus.
L’homme brun entra dans la pièce, tenant un couteau de cuisine en main.
- Patrick Jane, cette fois ci je vais t’avoir, et pour de bon, dit-il avec un sourire sadique en s’approchant de la table où était assis l’homme blond.

Ouaww ça commence biien!
VLS

2 semaine avant celà
Banque – 10 h 00

Patrick Jane n’aimait pas allait à la banque, il n’aimait pas les banques tout cours, il n’avait aucune confiance en elles. Pourtant ce jour là il avait pris la décision d’affronter ses démons pour vider son compte, et ne plus avoir à faire avec ces escrocs. Une quinzaine de personnes était dans la file. Pour faire passer le temps, il les analysait une à une, « Celle là, elle va s’enfuir avec son amant, laissant son mari et son… non SA fille tous seuls », pensa t-il en regardant la première à passer. « Lui, homme d’affaire ennuyeux et sadique, n’a pas beaucoup d’amis… », il fût déconcentré par des femmes derrière lui, elles se lamentaient et comméraient. « Typique des femmes de banlieue, un peu genre… comment ça s’appel déjà… ? ah oui, desperate housewives ! ». C’est alors qu’il s’amusait à comparer ses femmes avec celle de la série qu’un coup de retenti. Il y eût des cris, des agissements, tout le monde essayait de se cacher, sauf le consultant qui cherchait la provenance de tire. Il l’eût vite trouver quand tout le monde se mis à terre. Un jeune homme brun, d’une vingtaine d’année, était là debout, pointant son arme sur lui. Jane leva les mains en l’air et le jeune homme tira un coup dans le vide.
- J’ai dis tout le monde à terre ! hurla t-il.
L’homme blond obéit sagement, il se mis à genoux, permis tout ces gens recroquevillés et allongés, en attendant la suite des événement. Le jeune homme le dévisagea, puis se rendit au comptoir.
- Levez vous et mettez moi tout ce que vous avez dans le coffre dans ce sac, envoya t-il en s’adressant à une femme qui essayait de se cacher.
Elle s’exécuta. Après avoir eu pris tout l’argent dont le coffre disposait, il s’apprêta à sortir de la banque, manque de chance les véhicules de la police arrivèrent. En effet, il venait de braquer une autre banque dans la ville d’à coté qui avait donné l’alerte, et croyant les avoir semé, il avait décidé de dépouiller celle-ci. Il était cerné, pendant une heure, le jeune homme resta là, cherchant un moyen de s’en sortir. A chaque mouvement d’un des otages, il tirait un coup de feu en l’air, et le nombre de coup commençait à alarmer la police, qui avait appelé des renforts. Au bout d’une heures, elle retenta de le convaincre, « Rendez vous, il ne vous sera fait aucun mal, et votre peine n’en sera que moins lourde » dit l’un d’eux au porte-voix. Pendant tout ce temps, Patrick, confortablement installé, observait chaque faits et geste du jeune homme. « Il a tout fait sur un coup de tête et ne sait pas comment s’en sortir…, pensa t-il, il est jeune, impulsif et pas méchant, presque inoffensif de nature, mais que fait--il là alors? ». Le consultant regardait le braqueur faire les cents pas, « Il à l’air gentils, et puis merde ! Je vais l’aider ».
- Vous devriez négocier.
L’homme brun se tourna vers lui, tout d’abords avec une expression qui signifiait « De quoi je me mêle », puis finalement il se observa l’homme blond qui avait enlevé sa veste et était affalé contre le comptoir.
- Développe, fît l’homme pour inciter Patrick à continuer.
- Vous avez toutes les cartes en mains, distribuez les en votre faveur, envoya t-il naturellement.
Le braqueur réfléchit, il était pas sûr de pouvoir lui faire confiance.
- La balle est dans votre camp…, dit le consultant qui décida d’accélérer les chose en criant, … Tirez !
Son cris surpris le braqueur, qui sans le vouloir appuya sur la détente. La balle perdue alla se loger dans l’épaule du blond qui ne pût se retenir d’émettre un glapissement au contact du corps étranger qui le pénétra violemment. Le jeune homme été tétanisé, il ne bougeait plus, horrifié d’avoir tiré sur quelqu’un. Il lâcha son arme toujours chargée, dès qu’elle toucha le sol la détente se pressa une nouvelle fois, envoyant une autres balle qui celle ci s’enfonça profondément dans la cuisse droite de Patrick.
- Vous voulez me tuer ? !
- Désolé… Désolé…
Le jeune homme ramassa son arme et s’approcha de Jane. Il se rendit compte que le visage du blond lui était familier.
- Je vous connais… ?… Vous êtes… le médium, dit-il en essayant de se souvenir, votre famille a été tuée pas un serial killer… Red John, …non ?
Patrick ne répondit pas, même lors d’une prise d’otage par une petit braqueur de rien du tout, son passé arrivait à le rattraper.
- Arrg… vous êtes… vous êtes…raah… ah oui ! Patrick Jane, n’est-ce pas ?… Vous travailler avec les flic, il paraît que vous êtes très bon…
Le téléphone sonna, l’homme brun ne voulu pas répondre et raccrocha. Il sonna une deuxième fois.
- Vous devriez leurs parler, c’est le moment de tirer, mais cette fois, prenez le au sens figuré.
- Décrochez, j’ai pas envie de les avoirs.
Le consultant s’exécuta et pris le combiner du téléphone en main
- Oui ? commença t-il
- Qui est-ce ?, demanda la voix d’un des policier.
- Patrick Jane à l’appareil, que voulez vous ?
Le jeune homme frappa doucement le blond, lui demandant de ne pas faire le pitre.
- Vous êtes un otage ?
- Bien sûr ! Qu’est-ce que vous croyez, j’ai la tête d’un braqueur, moi ? !
- J’en sais rien pour votre tête, mais pour l’attitude…
- Je vous assure, j’en connaît qui on vu pire, appelez Térésa Lisbon, dites lui que je suis en pleins milieu d’un braquage et voyez sa réaction.
Le braqueur à coté de lui le pinça, laissa Jane sortir un « ahiiii »
- Je vous pris de revenir au sujet monsieur.
- Il y’en a un ?
Le jeune homme colla son arme sur la tempe de Patrick qui changea radicalement de comportement.
- Combien êtes vous ? demanda le policier ignorant la remarque qu’avait fait son interlocuteur.
- Environ 15 …
- Il y a des morts ? des blessés ?
- Aucun mort et juste un blessé.
- Pouvons nous avoir son nom, qu’on appel sa famille ?
- Ne vous inquiétez pas pour sa famille, … Il en a pas…
Jane raccrocha, pensif, il pouvait être blessé, ou mourir, il serai toujours seul, plus aucune famille, personne s’inquiétant pour lui… personne, pensait-il… personne.

Olalala ma Izaaa c'est super super, je veux la suiteuh, j'espère qu'il va s'en sortir not' Janinou ^^

Je posterai la suite ce soir ou demain, tout dépend de comment j'avance dans l'autre fic.

super début !!!
J'ai trop hâte de savoir la suite
VLS !

Genial cette nouvelle fic !! VLS

C'est trop biien !!
VLS

Voilà le 2ème chapitre




Banque – 11 h 20

Le braqueur regardait l’homme blond s’évader par la pensé, et au bout de quelques minutes, le ramena sur terre en lui tapotant sur l’épaule, oubliant sa blessure. Ce qui eu pour effet de faire mal au consultant qui le poussa en arrière.
- Bon, tu as prévu quoi, demanda Patrick.
- Ben… ….
Le consultant mima un air exaspéré et réfléchi à la technique qu’il pourrait employé pour s’évader d’une banque entourée de flics.
- Est-ce qu’ils savent à quoi tu ressemble ?
- Non, j’avais ça, répondit l’homme en brandissant un cagoule.
Il y eut un silence, Jane attendait à ce que l’homme agisse mais rien.
- Met la ! Qu’est-ce que t’attend !
L’homme brun la mis et regarda le blond, apeuré. Patrick avait mal, et n’avais pas la patience, il se demandait si ce gars était un abruti ou si c’était les conditions qui le mettait dans cet état.
- Il te faut un otage, au cas où les flics te verrai.
- Toi .
- Je ne suis pas en état de courir moi.
- J’ai une voiture garé derrière, elle est juste à coté de la sorti de secours.
Jane passa ses mains sur son visage, plus exaspéré que jamais.
- Et t’aurai pas pût pensé à filé avant de me tiré dessus par exemple ?
Le braqueur ouvrit sa bouche mais aucun son n’en sorti, alors il hocha négativement la tête.
- De tout les braqueurs qu’il existe sur terre, il a fallut que je tombe sur un incompétent, dit-il pour lui même.
- Je te signal que c’est moi qui est le flingue, envoya l’homme cagoulé rappelant Patrick à l’ordre.
- Oui mais c’est moi qui est le cerveau, railla le consultant.
Il se dirigea vers une des otages, une femme d’une trentaine d’année, il la pris par le bras et la fit se relever.
- Quand on partira, vous ouvrirez la porte, dit-il doucement en regardant les clefs qu’elle avait accroché à sa taille, vous sortirez tous, il ne vous sera fait aucun mal. Si la police me demande, il m’a pris en otage, contre ma volonté, ajouta t-il en insistant sur le contre.
La femme acquiesça et Patrick retourna près du braqueur.
- Comment peut tu avoir confiance en elle ? demanda l’homme brun.
- Elle, ne m’a pas tiré dessus, répondit-il en souriant, allez ne tardons pas.
Le consultant, boitant, traîna l’homme cagoulé vers la sortie de secours. Il perdait beaucoup de sang, mais il n’aimait pas se plaindre, de plus il avait un braqueur pas très fin d’esprit sur les bras.
Après leur sortie Jane suivit l’homme et monta dans une petite voiture gris métallique, sans savoir où il allait l’emmener. Pendant ce temps, la femme à qui il avait parlé suivit ses ordres à la lettre, tout les otages sortirent, ne laissant pas le temps à la police de comprendre ce qu’il se passait. Elle raconta qu’il lui avait tiré deux fois dessus, qu’il l’avait emporté, et qu’il allait sans doute le tuer.
- Comment il s’appel déjà ?, demanda l’un des policiers.
- Patrick Jane, il est consultant au CBI, tu sais, le petit rigolo.
- Ah, oui, j’ai eu l’occasion de le rencontré sur une affaire, il est… spécial.
- On devrait prévenir sa supérieure, non ?
- Oui… sans doute, Térésa Lisbon c’est ça ?
- Oui, c’est ça.



CBI – 11 h 45

Lisbon donnait les consignes sur la nouvelle affaire, et s’intriguait de l’absence du consultant.
- Commencer par interroger le frère de la victime… Vous savez où est Jane ?
- Il m’a dit qu’il avait un truc à faire et qu’il serai pas long, répondit Rigsby, mais c’était y’a presque deux heures.
- Tan pis, commencez sans lui.
Les agents sortirent de la pièce, Lisbon se dirigea dans son bureau et posa le dossier quand la sonnerie du téléphone retentis.
- Oui ?Agent Lisbon………Pourquoi parlez vous de ça ?……..Il manquait plus que ça, il nous aura tout fait, qu’il se débrouille !……..….On lui a tiré dessus ? Où il est?..…...…Ok, J’arrive tout de suite.
Décidément, son consultant avait le chic pour s’embarquer dans des histoires plus abracadabrantes les unes que les autres. Pris en otages par un braqueur de banque, celle là il lui avait encore jamais faite. Mais elle ne s’inquiétait pas trop, Patrick était si insupportable que son ravisseur allait sûrement bientôt le virer à grand coup de pied dans le derrière.

C'est croooooo bien lol
Oui il va tellement faire chier que le raviseur le chassera a coup de pied aux fesses xD
Euh....Lisbon est pas professionelle en disant " Qu'il se débrouille " ^^
Bon en tout cas VLS =D

J'aiime MDR

Ma Zazaaaa :)))
J'aime l'idée, !!
J'adore même, Janinounnet a un nouveau camarade de jeux completement abruti

VLS Zaza, ma parfouite a moi ;D

WinJane a écrit:C'est croooooo bien lol
Oui il va tellement faire chier que le raviseur le chassera a coup de pied aux fesses xD
Euh....Lisbon est pas professionelle en disant " Qu'il se débrouille " ^^
Bon en tout cas VLS =D

XD +1
Elle est vraiment bien ta nouvelle Fic...Sa promet la suite !

V.L.S

Excellent !!! "qu'il se debrouille" mdr

Vls

Merci de vos commentaires

j'ai pas pût m'empêcher de mettre le "qu'il se débrouille"

Felicity a écrit:Ma Zazaaaa :)))
J'aime l'idée, !!
J'adore même, Janinounnet a un nouveau camarade de jeux completement abruti

VLS Zaza, ma parfouite a moi ;D

J'adore mettre des abrutis avec Patrickounet, comme ça il répare leurs erreurs

Merci ma Fée mais je ne serai jamais aussi parfouite que toi

Mais siiiiiiiiiiii, on est parfouite pareilles :)

VLs en tout cas

Je met la suite ce soir si j'arrive à l'écrire Sinon demain

Izarra a écrit:Je met la suite ce soir si j'arrive à l'écrire Sinon demain

YA-HOU !

ah j'adore cette fic, j'attendais que quelqu'un pense à en écrire une sur une prise d'otage et voilà, c'est
la suite, vite j'adore trop

Sweetylove30 a écrit:ah j'adore cette fic, j'attendais que quelqu'un pense à en écrire une sur une prise d'otage et voilà, c'est
la suite, vite j'adore trop

Ca fesait longtemps que j'y pensait, mais j'hésitais à le faire, car une prise d'otage, c'est assez typique dans les séries.
Puis finalement je me suis dit, après tout on s'en fou

Suite demain finalement,... écrire après minuit c'est pas bon pour la santé. (je parle pas de la mienne mais de celle du texte bien sûr)

Voici le 3ème chapitre, attention c'est un peu bizarrre



Villa – 12 h 25

Ils s’étaient enfoncés dans la forêt, le braqueur se gara à coté d’une villa, sorti de la voiture et invita le consultant à faire de même.
- Alors, ton petit nom c’est Patrick c’est ça ? demanda t-il.
- Je sais pas si t’es au courant, mais généralement on dit ça seulement quand on drague, railla l’homme blond, et toi c’est quoi ton « petit nom » ?
- Tu crois que je vais te le dire, balança l’homme brun.
- Oui.
- Matt, moi s’est Matt. Aller viens, dit-il en se dirigeant vers la battisse.
- Très bien Matt, la balade était super sympa, mais il faut que je retourne à Sacramento, j’ai une équipe qui a besoin de moi, ils ne savent pas s’en sortir quand je suis pas là…, ils ont besoin de mes lumières.
- Sans doute, mais ils ont sûrement pas besoin de ta grosse tête. Allez viens.
- Sans vouloir te vexé, je n’ai pas que ça à faire.
- C’est moi qui ai le flingue, tu es toujours mon otage, répliqua Matt.
- Si ça te fait plaisir de le croire maugréa Patrick en le suivant dans la demeure.
La villa était pas très luxueuse pour celle d’un voleur, elle était très simple et pas beaucoup décoré. Patrick s’installa confortablement dans le canapé sans aucune gêne.
- Dit, tu pourrais pas me faire un thé ? demanda l’homme blond, cherchant à être le plus désagréable possible.
- Ouais, bien sûr, répondit Matt en quittant la pièce. Hé Nick ! Va voir se que j’ai ramené !…Dans le salon !
Jane entendis des pas à l’étages, puis dans des escaliers, et finalement il vis apparaître un deuxième homme. Il était blond avec les yeux bleus et il le regardait étrangement.
- C’est qui, qu’est ce qu’il fait là ? demanda le dénommé Nick à l’homme brun qui venait de revenir avec deux thés.
- C’est mon otage, répondit-il en tendant aux homme blonds leurs thés.
- Ca te dérangerait de parler de moi comme un être humains ? envoya le consultant en prenant le mug. - Je croyais avoir été bien clair au début, pas d’otage !, s’énerva Nick, C’est contraire à l’étique.
- Je… …
- C’est moi qui lui est conseillé de le faire, avoua Patrick en avalant une gorgée de son thé.
- Vous, ne prenez pas sa défense. Combien même, je t’avais dit que si t’en avait besoin tu les relâchais après ?… et toi tu nous en ramène un à la maison.
- … avoue tout de même que c’est un beau spécimen, fît Matt. Dit, dit, on peut le garder ? S’il te plait.
Le consultant était abasourdi par ce qu’il entendait. En analysant les deux hommes, il avait compris qu’ils ne vivait pas dans le même monde que le sien, mais pas à ce point. Le plus normal des deux était le blond, le seul qui ne voulait pas le garder comme si s’était un animal ou une espèce en voie de disparition.
- Tu es vraiment exaspérant…, répondit-il.
- Insupportable, Irritant…, ce serais plus juste, corrigea Patrick.
- Shuuuttt, rétorquèrent les deux homme en même temps.
- J’ai pas l’droit de m’exprimer ? s’indigna t-il.
- Non, répondit Matt en fixant son regard sur son ami.
- Tu va le rendre, le reposer où tu l’a pris.
Patrick était de plus en plus ahuri par le comportement des deux hommes. Ils avaient l’air de sortir d’une autre planète.
- Non ! ou alors, on demande une rançon, et le temps qu’ils la paient on le garde avec nous, ce mec il vaut chère.
- C’est quoi sont prix ?
- Je dirai un quart de million au minimum.
Patrick qui finissait son thé faillit de s’étouffer.
- Moi ? ! s’esclaffa t-il, Je vaut rien, personne paiera, c’est une perte de temps.
- Si Nick je t’assure, contredis Matt, il est connu, il bosse pour les flics, les rumeurs disent qu’il est médium.
- Les médiums ça n’existe pas, dirent Jane et Nick sur un même ton.
Il y eût un silence, l’homme brun les regarda longtemps, à tour de rôle.
- C’est franchement flippant. J’avais pas remarqué, mais vous ressemblez vachement, sauf la coupe.
Les deux hommes blonds se dévisagèrent. Nick, s’éloigna un peu désemparé, Jane lui s’enfonça dans le coté du canapé le plus éloigné du deuxième blond. Quelques minutes après l’ami du braqueur pris la parole.
- Je suis Nick Fallin, et le barjo derrière, s’est Matt Ella, fît-il en souriant.
Ils s’étaient étrangement rendu comptent que Patrick était un être humain. Le consultant hésita à lui serrer la main, mais finalement, il décida de leur faire confiance, curieux de découvrir son sosie de plus près.

Mouahahahaha
MDR ! Nick Fallin et Patrick Jane qui ce rencontre, c'est fort !
Matt à l'air un petit peu dérangé non ?

c'était super !
VLS

Aurcoco a écrit:Mouahahahaha
MDR ! Nick Fallin et Patrick Jane qui ce rencontre, c'est fort !
Matt à l'air un petit peu dérangé non ?

c'était super !
VLS

+ 10000

J'adooore Nick Fallin!! xD
VLS

Oui Matt il est un peu dérangé.
Et Nick Fallin, il n'es pas avocat dans cette fic, mais je prévois quelque chose de fort.

Et oui, j'aime bien écrire du loufoque.