Mini histoire ! [Fini] ^

Je ne pense pas avoir le temps de finir aujourd'hui, et je prends l'avion ce soir *pas taper !*

Donc voilà ce que j'ai pour l'instant, je ne sais pas si c'est bien, mais je manquait d'un peu de temps.


Cho reprit la voiture et retourna au CBI malgré l’heure tardive, car il était pratiquement sur de pouvoir y trouver sa patronne. Il se gara en vitesse et marcha d’un pas vif vers le bureau de la jeune femme.
« Quelle belle bande de torturés.. » se dit-il dépité.
Et il poussa doucement la porte.

« Patron ? »
La jeune femme leva vers lui son regard vide. Elle avait surement bu, pensant être seule jusqu’au lendemain. Cho sentit son cœur se serrer. Cette femme, toujours si forte, lui semblait en cet instant si fragile... Prenant son courage à deux mains, il demanda :
« Puis-je m’installer ?
- Pourquoi es-tu encore là Cho ? dit-elle d’une voix éteinte. »
Pourquoi était-il là ? Il n’avait jamais aimé se mêler des affaires. Assez peu doué dans ce qui touchait au relationnel, il faisait un grand effort sur lui-même pour ses deux amis.
« Je suis là pour vous. »
Sa vois était calme, assurée. Lisbon eut un petit rire triste :
« Je vais bien... »
Elle n’y croyait pas elle-même, comment lui pourrait-il le croire ?
« C’est faux. »
Même ton sans appel. Finalement, cela avait été assez facile avec Jane, mais Lisbon était presque plus torturée que lui, ce qui décourageait légèrement l’agent.
« Rentrez chez vous...
- J’ai peur pour vous, et je ne pense pas être le seul.
- Oui, Hightower a essayé de me parler aussi.
- Je reviens de chez Jane. »
Lisbon releva ses yeux tout à coup humide à l’évocation du nom de l’ancien consultant, ce qui n’allait pas pour arranger Cho.
« Bon sang vieux, se disait-il, vas-y ! Tu dois le faire pour eux. »
« Il... Il va bien ?
- Non. »
On pouvait désormais lire de la peur dans les yeux de la triste jeune femme. Cho reprit :
« Il n’arrive pas à dormir, ne sort pas de chez lui, et quand je lui ai parlé de vous et de votre état, il a craqué.
- Pourquoi lui avez-vous parlé de moi ? gémit-elle. Il ne veut plus me voir, il a choisi de partir... quand vous dites qu’il a craqué, il était en colère n’est-ce pas ?...
- Non, il pleurait. »
Grand silence. L’esprit embrumé par l’alcool, Lisbon avait du mal à saisir le sens de ses paroles. Elle repensait tout à coup à leur dernière discussion, à la lettre, à ce que qu’Hightower avait essayé de lui dire, et tout ça lui donnait un mal de tête affreux.
« Il est partit en pensant vous rendre plus heureuse.
- Taisez-vous ! Taisez-vous ! Je dois l’oublier, il me l’a demandé. Je vais bien... »
Et elle fondit en larmes devant l’agent qui ne savait plus quoi faire. Finalement, il inspira un bon coup et prit délicatement la jeune femme dans ses bras, dont les joues étaient parcourues par des torrents de larmes.
« Il me déteste Cho. » dit-elle entre deux sanglots.
Cho la serra un peu plus fort pour la réconforter.
« Il est chez lui. Il est urgent que vous vous voyiez, pour vous deux. Car ça ne va pas du tout patron.
- Non je n’irai pas... »
Elle se détacha de lui, sécha ses larmes avec rage, et ajouta avant de prendre son sac et de partir :
« Je ne veux pas le voir. Je vais me reprendre, je n’ai pas besoin de lui. »
Cho sentait une sourde colère perçait dans sa voix, il était inutile d’insister.
« Essayez de dormir patron. A demain. »
Et il quitta les bureaux.


Lisbon sortit peu après. Elle ne savait plus quoi faire, prenant tout à coup conscience de son état déplorable. Arrivée chez elle, elle se mit immédiatement au lit et sombra dans un sommeil douloureux.
Cette nuit là fut particulièrement agitée pour l’ancien consultant et l’agent aux yeux d’émeraude, aux prises avec les mêmes tourments : le doute et le chagrin.


8H, au CBI...

Les trois agents tournèrent les yeux pour regarder leur patronne entrer. Elle avait l’air mieux. Enfin elle jouait mieux la comédie aujourd’hui, cela n’échappait à personne mais ils se turent. Ce fut la première journée ‘normale’ depuis le départ de Jane. Tous faisaient bien attention à ne pas le mentionner de quelque manière que ce soit, pour ne pas briser le fragile équilibre qui semblait s’être installé. Ils furent chargés d’une nouvelle enquête, et la journée s’écoula lentement mais sans accro.

Vers 20H, alors que les trois agents s’apprêtaient à rentrer chez eux, Lisbon sortit de son bureau et demanda d’une voix peu assurée :
« Excusez-moi, vous... Vous avez tous quelque chose de prévu ce soir ? »
Surpris, VanPelt, Rigsby et Cho échangèrent un regard entendu, et la rousse répondit :
« Non patron. Pourquoi ?
- Je ne sais pas, je pensais qu’on pourrait... Aller manger tous ensemble par exemple.
- Oh oui ! s’exclama le géant. Je connais un petit resto juste à côté, vraiment excellent !
- Tu connais tous les restos de la ville Rigsby, fit remarqué VanPelt avec un air contrarié exagéré. »
Tous éclatèrent de rire devant la mine déconfite du concernée. Et Lisbon se joint à eux, au plus grand plaisir de ses agents, et amis.
« Vous conduisez patron ?
- C’est parti. »


23H, devant le restaurant...

« Wah, j’ai bien mangé, dit Rigsby, les mains sur l’estomac.
- On sait vieux, dit Cho avec un sourire.
- Vraiment sympa c’est vrai. Ca vous a plu patron ? demanda la rouquine.
- Oui merci beaucoup. Je vous raccompagne au CBI pour récupérer les voitures ?
- J’espère que le parking est encore ouvert, ça me contrarierait de rentrer à pied avec un repas comme celui-là, se plaignit Rigsby. »
Lisbon ne dit rien. Elle se rappelait une enquête avec son ‘emmerdeur notoire’, et un certains médecin légiste, assez insupportable, il fallait bien le dire, qui l’avait ‘contrarié’. Elle redevint mélancolique.


Elle se retrouva bientôt seule, conduisant sans vraiment savoir où aller, peu attirée par l’idée de rentrer chez elle. Perdue dans ses pensées, il manqua de percuter un arbre. Coupant le moteur, elle décida de s’enfermer et de dormir ici, mais jeta un rapide coup d’œil autour d’elle : elle était au milieu de rien. Dépitée, elle s’apprêtait à passer encore une fois une petite nuit quand elle aperçut au loin une maison qui lui évoquait un vague souvenir.
« Oh merde » se dit-elle, choquée.
Comment avait-elle pu se retrouver ici ‘par hasard’ ? Elle était assaillie par le doute : n’était-ce pas le moment de faire ce qu’ils lui conseillaient tous ? Et dans un moment de courage qui l’étonnerait elle-même par la suite, elle remit le contact et alla se garer dans la maison de l’ex-médium, Patrick Jane.

Je sais je coupe au moment fatidique, mais la suite n'est pas encore écrite En attente de vos com' !

C'est pas possible de couper lààà xD
VLS VLS VLS et VLS

Aaaaaaaaaaaaahhhhh je veux la suite !!!
Vite vite vite, le plus vite possible !

J'adore, continue comme ça

Tu sais ce que c'est le pire ?
Que tu pars.
Tu peux decemment pas nous laisser, pauvres lectrices, abandonnées, sans une suite digne de ce nom, avec des vraies retrouvailles, des vrais enguelades et meme des vrais morts si il faut mais ...
DONNE NOUS UNE SUUIIIIITE !
Parce que si tu pars et qu'on a rien et qu'on attends, comme des cruches , ben aprs , puis et enfin
Sauf si c'est qui s'en charge ;DD

Bon je m"égare, comme d'hab',
VLS !!!!!!!


wub

Tu as raison tu coupe au moment fatidique la !!! Vite la suite !!!! VLS VLS VLS.....!!!!!!!!!!!!!!

Ton histoire est genial

Aaah, c'est pas juste de couper là, surtout que part.

Il nous faut une suite, on veut voir comment vont se passer les retrouvaille... sinon

Ahhh t'as pas le droit de couper la!
Et en plus si tu pars ça va être horriblement long!!

Bon je vous mets de que j'écris au fur et à mesure.

Voilou, petit bout donc je m'en excuse (oui à la base c'est pas tout à fait fini, je fais la suite, mais au pire vous aurez eu votre fin Jisbon ^^)


Minuit, chez Jane...

Sur le pas de la porte, Lisbon restait figée. Bizarrement elle avait froid, elle avait peur, peur de le voir et pourtant... Elle était attirée par lui, et cela la troublait. Elle avait toujours tout maitrisé dans sa vie, et voilà qu’il avait débarqué, avec ses sourires charmeurs, sa bonne humeur apparente, ses méthodes peu orthodoxes, et surtout son passé... Ils parlaient beaucoup, elle avait appris à connaitre la face cachée de cet homme blessé. Un clown triste finalement. Elle sonna.

Un déclic, le loquet qu’on enlève, la porte qui s’entrebâille. Puis une voix :
« Lisbon, je ne suis pas vraiment présentable... »
Entendre sa voix lui faisait tellement de bien. Un véritable soulagement. Mais ce moment de bonheur passager passé, elle capta l’accent de tristesse, et le doute revint, plus saisissant que jamais. D’une voix tremblante elle lui répondit simplement :
« Ne me laisse pas dehors s’il te plait... »
Elle l’avait tutoyé, sans véritablement faire attention, mais ce que Patrick ressentit dans sa voix le paralysa. Il éprouva tout à coup le besoin de la rassurer, de la prendre dans ses bras, mais se ravisa, tiraillé par le peur et le remord de tromper sa femme.
« Mais elle est morte... »
Il ouvrit lentement la porte, et découvrit Lisbon comme l’avait décrite Cho : amaigrie, triste, et fatiguée. Vulnérable.
De son côté, la jeune femme eut du mal à réprimer ses larmes quand elle vit les changements que l’asiatique lui avait décrit : Jane avait tout perdu de sa superbe, il lui apparaissait comme il était réellement : un homme sensible et triste, amaigris par le chagrin.
Ils n’osaient pas bouger, tout deux cloués au sol par la vision de l’autre.
Finalement la scène s’anima : Jane prit Lisbon dans ses bras, la souleva et enfouit son visage dans ses cheveux. La jeune femme s’abandonna à cette étreinte et pleura.

Ils restèrent longtemps ainsi, le temps semblait suspendu. Quand Jane la reposa, leurs mains restèrent liées. Il ferma doucement la porte et l’entraina avec lui vers le divan qui lui servait désormais de lit. Ce soir ils ne parlèrent pas, leurs corps le firent pour eux.
Jane prit délicatement le visage de Lisbon entre ses mains et l’embrassa, tendrement. D’abord passive, la jeune femme lui rendit bientôt son baiser, qui devint vite passionné. Tous leurs désirs si longtemps réfrénés resurgirent et ils s’enlacèrent. Etreinte sauvage, preuve de leur passion réciproque, pimentée par la peur qu’ils avaient eu de ne jamais se revoir. Comme s’ils avaient peur que ce soir soit le dernier de leur vie.

(vite vite, je fais comme je peux )

Trop biien !
VLS !

!!
Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Mini, c'est ... Mon DIEU !
Juste ENORME ((:
J'attends la suite avec impatience, par ce que c"est bien de coucher mais parler c'est pas de trop !
Bref !
Haaa un dernier malaise et j'arrète !










;D

Superbe moment Jisbon !!!
Quel plaisir de les voir ensemble ces deux là ! Il était temps !!! Ouf, mon petit coeur peut se calmer
VLS

Ah bah il était temps!


Tu pars combien de temps?

C'est trop mimi!!
VLS

Ah, super retrouvailles

C'est magniifique !!

Ça m'apaise un peu, mais c'est trop dommage que tu parte, la suite dès que possible hein..?

Un petit bout de suite, rien que pour vous !


Le lendemain, 14H au CBI...

« C’est le troisième message que je laisse à Lisbon, je commence à avoir peur là... »
Les trois agents se regardaient, anxieux.
« Je vais voir Hightower, dit Cho.
- Je t’accompagne, répondirent en cœur les deux autres. »
Et ils s’élancèrent vers le bureau de leur directrice.

« Madame ?
- Entrez je vous pris. »
Ils s’installèrent puis la femme repris la parole :
« Encore à propos de Lisbon ?
- Oui Madame, dit Cho (oui j’aime bien le faire parler !). Elle ne s’est pas présentée au bureau aujourd’hui, et vu son état, cela m’inquiète comme mes collègues.
- Il me semblait bien qu’elle n’était pas venue... En temps normal, je ne devrais pas m’en mêler, mais j’ai un doute. Vous étiez avec elle hier soir il me semble non ?
- Oui Madame, répondit cette fois-ci la rouquine.
- L’avez-vous trouvez bizarre ? Enfin je veux dire encore plus que ces derniers temps ?
- Non absolument pas, c’est même elle qui a proposé cette sortie. Elle souriait de temps en temps.
- Je lui ai parlé avant-hier soir Madame, avoua Cho. Juste après être allé voir Jane.
- Ah ? Et qu'en est-il sorti ?
- Ils sont dans un état pitoyable l’un comme l’autre, emplis de culpabilité dû à une incompréhension réciproque. Ce ne serait pas eux, je dirais que c’est pathétique... J’ai fait ce que j’ai pu, je leur ai conseillé de parler ensemble. Je ne leur rien caché de l’état de l’autre.
- Hum très bien. Rigsby, VanPelt, allez voir chez elle.
- Très bien, répondirent-ils, avant de se lever, pressés de partir.
- Et moi patron ?
- Nous, on va chez Jane. »
Et ils joignirent le geste à la parole.


Une heure plus tard, chez Jane...

« Madame, la porte n’est pas fermée. »
Les deux policiers se jetèrent un regard anxieux, puis Cho poussa doucement la porte qui s’ouvrit sans un bruit.
La pièce était dans une semi obscurité. Cho se dirigea vers la cuisine, sur ses gardes, tandis qu’Hightower se dirigea lentement vers le salon, inspectant au passage le jardin. Tout semblait calme.
« R.A.S, dit Cho à voix basse.
- Oh.
- Quoi ? Vous avez vu quelque chose ? »
La femme était arrivée devant le salon et pouvait voir ses deux agents enlacés, dormant d’un sommeil profond. Ils avaient l’air détendus, sereins. Un sourire apparut sur le visage bienveillant de la jeune femme que Cho avait rejoint. Ils les contemplèrent quelques instants puis refermèrent délicatement la porte, soucieux de ne pas empiéter sur leur moment d’intimité. Hightower savait très bien que le règlement devait interdire ce genre de relation, mais elle sentait qu’il s’agissait d’une première, et de toute façon le blondinet lui avait remis sa démission officielle. Ils remontèrent dans la voiture et reçurent un appel de VanPelt avant de mettre le contact. La directrice décrocha :
« Madame, elle n’est pas chez elle, lui dit-elle d’une voix soucieuse.
- Nous l’avons trouvé, ne vous inquiéter pas.
- Où ça ? Elle va bien ?
- Oui ne vous inquiéter pas, rendez vous au CBI. »
Elle raccrocha, incapable de se départir de ce sourire qu’avait fait naitre la vue d’une scène aussi touchante. Surtout lorsque l’on connaissait leurs histoires.
« Félicitation Cho.
- Pourquoi ?
- Vous avez dû vous montrer plus que persuasif, dit la femme en riant. »
L’asiatique ne répondit pas mais sourit.

Dès leur arrivée, Hightower capta le regard interrogateur des deux agents qu’elle avait envoyé chez Lisbon.
« Elle va bien, elle est chez Jane. »
Tous se regardèrent surpris, puis éclatèrent de rire, heureux pour leur patronne et pour Jane.
« Je vous avais dit que ça arriverait ! s’écria Rigsby.
- Menteur, lui répondit VanPelt en souriant.
- Mouai on le sentait tous plus ou moins.
- Madame ?
- Oui agent VanPelt ?
- Si Jane décide de revenir ?... »
Hightower comprenait très bien la question. Rigsby et VanPelt avait eu le même problème, et elle les avait obligé à choisir, mais elle savait qu’elle ne pourrait pas le faire pour Lisbon et Jane. Cela allait s’avérer délicat.
« Je ne sais pas, avec votre équipe je sens que je vais devoir revoir le règlement. » dit-elle finalement avec un sourire.

(je suis bien devant mon ordi avec Muse en arrière fond, donc tant que je bouge pas, je vous mets le maximum :))

Et vos commentaires me touchent

SUPER ! En plus si Hightower change le règlement, ça sera encore mieux !!! Impossible de les séparer une fois qu'ils sont ensemble de toute façon !

JVLS

Youhouuuu

Rien ne peut plus les séparer si Hightower change le reglement

Super chapitre, très touchant, C'eest cro mimii

VLS

Voila la dernière partie que je peux vous mettre pour l'instant, la suite dans un mois minimum !


Jeudi matin, 9H, chez Jane...

Lisbon émergeait doucement. Elle avait l’impression d’avoir dormit une éternité. Les yeux toujours fermés, elle se tourna et rencontra un torse musclé. Surprise elle ouvrit les yeux et se retrouva face à son ancien consultant, endormis.
« Oh mon dieu. » dit-elle dans un souffle, ce qui suffit à tirer l’ange blond de ses rêves.
« Qui... Qui êtes-vous ? » demanda-t-il en se levant péniblement. Il se frotta les yeux et tomba nez à nez avec sa patronne, aussi égarée que lui.
« Oh mon dieu. »
Ils se dévisagèrent un moment, tentant de reprendre tant bien que mal leurs esprits.

La surprise fit vite place à une joie intense. Avec un immense sourire, Jane demanda :
« Alors vous ne m’en voulez pas ?...
- Je ne vous en ai jamais voulu Jane. Sans vous, je suis perdue. »
Et ils s’enlacèrent une nouvelle fois, savourant pleinement l’instant présent.
« Comment en est-on arrivé là ? »
Lisbon sourit à la question de l’homme qui la tenait fermement dans ses bras.
« Je ne sais pas vraiment... Je me suis retrouvée devant chez vous mardi dans la nuit.
- Peut être pourrions-nous nous tutoyer ? dit l’ex-médium en souriant.
- Effectivement, et appelle moi Teresa.
- Enchanté Teresa, moi c’est Patrick ! »
Ils rirent, heureux de se retrouver enfin.
« On a une façon bien particulière de faire connaissance, dit-elle en riant.
- Je te l’ai toujours dit, les approches directs sont toujours les meilleures, lui répondit-il avec un sourire espiègle. »
Et il l’embrassa, doucement.
« Qu’est ce que je ferai sans toi ? »
Elle ne répondit, se rappelant la douleur qui avait suivi son départ du CBI. Il le comprit et dit :
« Peux tu me pardonner ?
- Moi oui, mais toi ?...
- Comment pourrais-je t’en vouloir ? »
Maintenant la jeune femme s’en rendait compte : elle l’aimait, plus que tout au monde.

Ils restèrent encore quelques temps comme ça, à discuter de tout et de rien, à cœur ouvert. Puis Patrick lui avoua :
« J’ai vraiment été mal ces deux dernières semaines, je ne mangeais plus grand-chose, ne sortait plus, et je ne dormais plus... Cela doit faire des années que je n’ai pas dormi comme cette nuit. »
Lisbon le regarda, elle voyait encore dans ses yeux quelques traces que la tristesse avait laissé.
« Je comprends, j’étais pareille... »
Et ils s’embrassèrent.

Le téléphone de Lisbon sonna. Elle laissa Jane à regret et chercha son téléphone parmi ses vêtements éparpillés autour du canapé. Elle le trouva trop tard, la sonnerie s’était arrêtée.
« Patrick ! s’écria-t-elle. »
Et elle lui montra l’écran sur lequel s’affichait ce message :
« 20 appels en absence, 25 messages. »
« On est quel jour Teresa ?
- Jeudi, il est 10H30.
- Et tu es arrivée...
- Mardi. On a dormi plus de 48H. »
Ils en restèrent sans voix, et la surprise passée, ils furent pris d’un fou rire incontrôlable.


BONNES VACANCES !

P.S : si quelqu'un veut écrire la suite, qu'il le fasse, ça pourrait être sympa :)

SUPERRISSIME, GENIALISSIME, FANTASTISSIME !!!
Passe de super bonnes vacances et revient avec de supers idées Jisbon !!!

Super!!! Vraiment trop biiien!
Passe de bonnes vacances!!

C'est trop... J'adooore

"- Effectivement, et appelle moi Teresa.
- Enchanté Teresa, moi c’est Patrick ! "



48 H ! c'est ce qui s'appel dormir

Tu pouvais pas nous faire plus plaisir, merci :)

Passe de bonnes vacances

Bouhouhouu, je suis émotive moi !
C'etait TOp, enfin, C'EST Top, meme si ta fic ( je suppose ) approche de la fin,...
J'vais peut etre essayer d'écrire la suite .
On verra.
...
Meu Deus 1 MOIS ?!

Passe de bonnes vacances Mini, passe nous faire un coucou si t'as le temps :DD
Et revient nous des idées Jisbonneuses plein la tête ((:

C'est genial !!! Merci pour cette suite !!!!

Passe de super vacances !!!!!!! A tres vite (enfin dans un mois ) et reviens nous vite avec des idees Jisbon evidemment.!!!!


Bsx a+ et encore merci pour cette suite genial

Hey !!

Un petit message pour vous dire que je suis de retour ! Donc le temps de lire toutes les fanficts que j'ai raté, et je me remets à écrire

Et j'ai de nouvelles idées