Il était une fois... un crime ^

Je viens de terminer les deux chapitres le 3 et le 4 et j'adore l'intérrogatoire avec Cho avec le mec et celle de Lisbon avec la femme...j'ai trouver ça super bien écrits et le 4 alors là Jane qui organise un petit tête a tête avec Lisbon pour parler Par contre la fin ça gâche tout avec Cho

Ca y est j'ai lu la suite! Toujours aussi bien, tu me donnes le sourire sur certaines phrases
Hâte de lire la suite

j'adorrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr le tête à tête de lisbon et jane et celui ci ki lui di qu'elle est plus k'une amie mais c vrm dommage l'arrivé de cho gache tt surtt ke isbon s'apréter à lui racontée encor

tout le monde

x-Lisbon, Gabicoon, Johel, Peanut, MissA., Coco, Manga & Cassis
Contente que ça vous plaise et vos commentaires me font super plaisir

Ah ah ah Vous avez cru quoi ? Que Lisbon allait se confesser facilement ? Raté ! Puis comme il y a toujours un élément perturbateur pour rompre THE MOMENT JISBON, autant en profiter pour faire durer le suspens
(Sadique, moi ?... Pas tant que ça quand même )

Sans plus attendre, voici la suite de la fic
Vous allez ENFIN connaître pourquoi Lisbon prend l'histoire très à coeur et aussi, vous allez voir qu'à la fin, ça risque d'être assez douloureux surtout ne me tuez pas

une fois de plus Johel pour la correction et la suite... Demain

Bonne Lecture et si vous cherchez, je suis dehors...

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Chapitre 5 :

Lisbon resta bouche bée, déconcertée et irritée. Elle observait son consultant qui avait une mine penaude mais grave à la fois tout en captivant ses yeux émeraude dont il ne pouvait se détacher. Leurs cœurs battaient dans leur poitrine, comme s’ils étaient seuls sur ce toit, coupés du monde qui les entourait, loin de tout ce ramdam. Mais très vite, une voix brisa le silence en les faisant sursauter.

- Allô la Lune, ici la Terre ! Intervint Rigsby d’un ton ironique
- Griii…Allô Wilson ?... Griii… On se prépare à s’y poser… Griii…On vous tient au courant… Griii… Terminé ! Rétorqua Jane au téléphone, ironique et amusé en prenant son téléphone pour un talkie-walkie.

Dans l’open space, Rigsby se pinça les lèvres en se retenant de rire, Van Pelt fit les yeux noirs en secouant la tête tandis que Cho… resta Cho ! Impassible et stoïque. En face du mentaliste, Teresa soupira d’exaspération avec une mine sombre.

- Vous les avez prévenus que je viendrais à votre "goûter", c’est ça ?! Demanda Lisbon, en haussant le ton
- Raison n°1, commença-t-il en levant son index devant ses yeux…ce "goûter" comme vous dites, n’en est pas un mais un moyen de vous faire quitter votre cage pour d’évacuer ce qui vous ronge de l’intérieur. Et raison n°2… ce n’est pas vous qui me disiez, un jour que nous sommes une famille ?

Il pénétra profondément de son regard grave dans les iris de la jeune femme qui le dévisagea longuement, perplexe en entendant cette phrase sortir de sa bouche. Cette phrase, elle se souvenait très bien de l’avoir prononcé quand il s'était montré distant, renfermé envers elle et l’équipe après une affaire quelques mois auparavant quand John Le Rouge l’avait enlevé après la disparition de Kristina Frye. C'est par cette phrase qu'elle lui avait fait comprendre son inquiétude pour lui. Elle fut assez étonnée que son craquant mentaliste se souvienne de ce qu’elle lui avait dit.

- Pour quelqu’un qui a l’esprit torturé et qui ne rêve que de vengeance, vous êtes bien placé pour me dire ça ! Rétorqua sèchement Lisbon, après un long silence

Jane la regarda perplexe, assez médusé, et froissé, elle venait de toucher la corde sensible mais cela ne chassa pas son inquiétude pour elle. Lisbon captura son regard océan comprenant à quel point, il l’avait prit sa phrase très au sérieux mais elle perçu autre chose dans les yeux de son consultant, quelque chose qu’elle n’avait jamais vu auparavant.

- Patron ? Intervint Grace d’un ton rassurant en brisant le silence…Dites-nous ce qui se passe ! On n’est pas là pour vous juger, on veut seulement vous aider, c’est tout.
- C’est vrai, patron ! Ajouta Wayne…on est une équipe, non ?!
- Lisbon, s’il vous plaît ! Supplia Jane
Elle soupira d’exaspération en levant les yeux au ciel.
- C’est bon, n’en rajoutez pas non plus Jane ! Cessez de faire le gamin ! Railla-t-elle. Je vais tout vous dire.

Face à cette réponse, Jane esquissa un grand sourire, empli de curiosité comme un enfant au matin de Noël qui a hâte d’ouvrir ses cadeaux sous le sapin. Le beau blondinet posa son portable sur la table, passa devant sa partenaire qui tourna sur ses talons pour lui faire face et le vit lui faire signe avec galanterie de s’asseoir en lui présentant la chaise. Elle soupira, avec un sourire au coin des lèvres, de le voir si gentleman quand il le voulait, puis s’exécuta tandis que le mentaliste avançait sa chaise pour qu’elle s’asseye dessus avant de s’installer à son tour face à elle.

Teresa inspira profondément puis s’adressa à Jane d’un ton menaçant.
- Si je vous raconte, vous devrez me promettre de ne pas me couper la parole, ni vous moquer de moi sinon je vous colle mon poing dans la figure ! Prévint-elle
- Pas d’interruption, pas de moquerie. C’est promis, Lisbon. Jura son consultant avec sincérité en levant les mains en signe de reddition.

Quelques étages plus bras, leurs collègues se retinrent de sourire face à la menace de leur patronne envers le mentaliste. Elle n’avait pas tort, à chaque fois que ça commençait comme ça, ça se finissait mal malgré les taquineries qu'il lui offrait pour se faire pardonner. Lisbon le dévisagea quelques instants d’un air méfiant avant d’hocher brièvement la tête puis commença son récit.


Environ 5 ans plus tôt, un matin, Teresa avait été appelée par Minelli qui voulait la voir d’urgence dans son bureau. Son patron de l’époque lui expliqua qu’il avait reçu un coup de fil le substitut du procureur, Sandra Hernandez qui l’appelait de la part du procureur Tanya Roberts pour lui parler d’une affaire délicate.

Une femme du nom d’Amélie Bradshaw, âgée de 25 ans, étudiante en troisième année de médecine, sur le point de se marier, avait été retrouvée morte à la terrasse d’un grand hôtel à la campagne. L'hôtel était le lieu où elle allait se marier. Elle avait été étranglée par une corde, pieds et mains attachées en robe de bal jaune de la princesse Belle de « La Belle et la Bête ».
Deux jours plus tard, une autre victime...Même scénario. Susan Lewinsky, âgée de 27 ans, institutrice en primaire, retrouvée étranglée et assassinée en pleine forêt dans la vallée mise en scène pour « Alice aux Pays des Merveilles ». On avait trouvé un fort somnifère dans leur sang mais aucune trace de lutte sur les lieux ni sur les victimes puis on avait vite supposé qu’elles avaient tué ailleurs.

Minelli l'informa que la police locale avait averti le procureur qu’ils avaient déjà deux suspects potentiels…Calvin Stevens, le fiancé d’Amélie et Arnold Chase, son témoin de mariage et meilleur ami d’enfance. Tous deux étaient suspectés également pour escroqueries et pour fraudes à cause de leur site de rencontres «Magic Story» ouvert environ 1 an avant la mort d’Amélie. Ils en étaient gérants et associés. L’affaire des deux hommes était au bord de la faillite, des licenciements devaient avoir lieu. Le site de rencontres était le seul lien entre les deux victimes.
Cependant, ce n’était pas suffisant pour prouver quoi que soit pour faire tomber l’un des deux hommes à moins que les deux ne soient complices ? Pouvions-nous supposer qu’ils étaient peut-être innocents ? Personne ne savait rien.

Après le résumé de l’enquête, Virgil lui avait donné l’ordre de passer cette affaire sous silence, il fallait que cette conversation reste strictement entre eux et le bureau du procureur. Les agents de son équipe ne devait pas entendre un mot sur ce dossier.
Elle se sentait mal de devoir cacher ces infos à ses collègues alors qu’ils travaillaient ensemble, mais elle n’avait guère eut le choix. Minelli l’envoyait sous couverture pour enquêter avec une fausse identité.

Durant cette enquête spéciale, Teresa Lisbon, agent chef senior du CBI prit l’identité de Cathleen Warner, reporter pour un journal irlandais et arrivée sur le sol américain depuis quelques semaines à la recherche d’un sujet découvrant la faillite du site de rencontres en question.
Elle avait contacté les deux suspects grâce au numéro laissé sur le site en cas de problèmes puis rentra tout de suite en relation avec Calvin Stevens, l'informant qu’elle souhaiterait l’interviewer ainsi que son associé à propos de son site de rencontres pour l’innocenter de tout soupçon que soit sur l’affaire d’escroquerie ou sur celle des meurtres. Et sans hésiter ni trop de difficulté, il a finit par accepter de la rencontrer dans un café du centre ville…La quête aux preuves était lancée !

Pendant sa mission sous le nom de Cathleen Warner, Teresa réussit à gagner la confiance de Stevens et de Chase qui comptaient sur elle pour les innocenter. Ils souhaitaient voir leurs noms blanchis après avoir été trainés dans la boue depuis un bon moment. Tous deux étaient reconnaissants…
Elle avait obtenu quelques informations, le site n’était pas aussi clean qu’ils le prétendaient. Cependant, elle avait remarqué que Calvin Stevens était profondément bouleversé et sincère quand il évoquait Amélie Bradshaw, ses souvenirs heureux avec la jeune femme, à quel point qu’il était fou amoureux d’elle, son sourire qui lui manquait…son rire, ses yeux, sa façon de le taquiner quand il n’arrivait pas à faire quelque chose, des détails qui semblait indiquer qu'il était réellement amoureux. Concernant Chase, l’agent se méfiait de lui, elle avait remarqué qu’il la regardait bizarrement comme s’il soupçonnait quelque chose chez elle.

Après 6 mois de couverture, un soir, alors qu’elle sur le point d’entrer chez elle, Arnold Chase avait débarqué à l’improviste, commençant à la frapper violemment au visage, la tirant par les cheveux pour la plaquer contre le mur du salon en lui avouant qu’il avait découvert qu’elle était flic. Chase frappa Teresa en la traitant de tous les noms alors qu’elle tentait de se défendre, cherchant à atteindre son arme dont elle put faire usage pour lui tirer une balle dans la jambe.

Et depuis, Arnold Chase était en prison pour meurtre, agression et tentative de meurtre sur agent des forces de police. Quand à Calvin Stevens, avec les éléments découverts sur leur affaire, les comptes truqués, le versement de leurs capitaux à l'étranger, il plongea pour escroquerie, fraudes et abus de confiance…Leur site fut fermé.

- Voilà, vous savez tout maintenant. Termina-t-elle dans un soupir

Un silence lourd régna au bout du fil comme à la table où son consultant et elle étaient installés. Van Pelt resta bouche bée, sous le choc. Rigsby ne trouvait rien à dire, tout chamboulé par ce qu’il venait d’entendre et cherchant au moins quelque chose dans le regard de ses collègues, en vain alors que Cho… no comment !

Quant à Jane, appuyé contre le dossier de sa chaise, jambes croisées et après avoir avalé 2 tasses de thé durant le récit de sa patronne, il ne parvenait pas à la quitter des yeux. Il était à la fois fasciné et inquiet par cette histoire. Il se souvenait très bien qu’à cette époque, il était bien au CBI, il venait d'arriver, Minelli était à la recherche d'une équipe pour lui…Il avait vu plusieurs fois, la jeune femme encore plus fatiguée, accro à son travail, mais aussi assez distante, préoccupée, mystérieuse comme si elle protégeait quelque chose ou elle-même. Et ses doutes étaient bien fondés sans vraiment en connaître la véritable raison. Il comprit pourquoi elle n’avait rien dit de tout cela auparavant, il savait bien qu’elle n’avait pas eu le choix et il le respectait.

Patrick sentit une pointe de colère monter en lui ainsi que du dégoût pour cet Arnold Chase qui avait osé frapper Teresa avec violence, poser ses sales mains sur elle…Les images qui lui venaient lui firent serrer les poings et la mâchoire. Pourtant, en observant la brunette détournant son regard, le beau blondinet la soupçonna de lui cacher quelque chose, quelque chose qui avait l’air d’être assez embarrassant et plus personnel qui la tracassait au plus haut point. Il ignorait encore de quoi il s'agissait mais il ferait tout pour le savoir.

- Sinon, vous avez du nouveau ?! Entendit-il

Il sursauta en entendant la voix de sa partenaire qui le sorti de ses pensées et vit qu’elle s’adressait à l’équipe au téléphone, ce fut Grace qui répondit.

- Oui. Répondit la concernée…La juge et le procureur ont été, toutes les deux, étranglées par la même corde, pour le légiste, il n’y a pas de doute.

En entendant le compte rendu, Lisbon ne fut pas étonnée. Son visage s’assombrit, elle se mordit les lèvres tandis que Jane écoutait attentivement ce que ses collègues se disaient, il devint songeur.

- Vous avez autre chose ? Demanda la brunette
- Non. Le légiste travaille encore sur les prélèvements répondit la jolie rousse, confuse
- Dès qu'on vous appelle au sujet des résultats, Van Pelt, vous me tenez tout de suite au courant ! Ordonna Teresa
- Oui, patron. Jura Grace
- Que sont devenus vos deux suspects de l’époque ? Intervint Jane

Lisbon fronça les sourcils, le dévisagea d’un air perplexe avant de soupirer.
- La dernière fois que je les ai vus, c’était lors du procès. Répondit-elle…J’ai évidemment témoigné contre eux et ils ont été condamnés pour tous les chefs d’inculpation.
- Grâce à la persévérante, douce et combattante agent Teresa Lisbon et à son travail exemplaire remarqua Jane avec un sourire au coin des lèvres
- Qu’est-ce que vous voulez dire par là, Jane ? Soupira-t-elle d’agacement sans manquer de rougir.

Jane décroisa ses jambes, se pencha vers sa partenaire en la regardant dans les yeux et lui murmura comme une confidence.
- Vous ne voyez donc pas ? Demanda-t-il. Les meurtres commis, il y a cinq ans ressemblent à ceux d’aujourd’hui et il est probable, en fait j’en suis certain…c’est une affaire de vengeance.

Il marqua une pause en voyant la réaction de Lisbon, les yeux ronds de surprise tandis qu’à l’autre bout du fil, c'était le silence.
- C’est évident et vous le savez. Continua-t-il. La juge et la procureur général ont été tuées à cause de cette affaire parce quelqu’un se venge de ceux qui les ont condamnés.
- Quoi ? Vous pensez vraiment qu’Arnold Chase ou Calvin Stevens ont engagé quelqu'un pour se venger et viser la substitut du procureur et moi ? S’étonna-t-elle
- Cela expliquerait beaucoup de choses répondit son consultant d’un air grave
- Van Pelt, allez au De Vere’s Irish Pub et cherchez des témoins qui auraient vu Leslie Mitchell ce soir-là… Rigsby et Cho, vous irez jeter un œil au bâtiment où se trouvaient les bureaux du site de rencontre « Magic Story», vous trouverez l’adresse dans les dossiers sur mon bureau. Ordonna-t-elle
- Ok, patron ! Crièrent les trois agents à l’unisson

Puis ils raccrochèrent. Lisbon tenta de boire une gorgée de thé mais recracha dans la tasse avec une grimace de dégoût en se rendant compte qu’il était froid, Jane ne la quittait pas des yeux. Sans son regard azur posé sur elle, celle-ci redressa la tête et le fixa intensément.

- Quoi encore ? Demanda-t-elle, agacée. Vous avez quelque chose à me dire ?
- Et vous ? Rétorqua Jane en lui retournant les questions
- Je n’ai rien à vous dire répondit-elle en haussant les épaules
- Vous me cachez quelque chose, pourtant repris t-il, sérieux
- Parce que vous, vous ne me cachez rien, peut-être ?! Riposta sa patronne, d’un ton sec
- Faites-moi confiance, Lisbon et dites-moi ce que vous me cachez la supplia-t-il gentiment et sérieux.
- Vous ne manquez pas d’air, vous ! Lui lança-t-elle, énervée

Soudain, Lisbon explosa de colère.
- Vous voulez que je vous rappelle les nombres de fois où vous m’avez menti ? Manipulée, menée par le bout du nez ? Prise pour une idiote ? Et je ne parle la pile de plaintes sur mon bureau ! Vous avez le culot de me demander de vous faire confiance !?! Vous savez quoi, monsieur l’égoïste, borné, gamin, arrogant, handicapé du sentiment et ne s’intéressant qu’à son orgueil blessé et à sa stupide vengeance ? J’en ai ma claque de vous faire confiance pour que vous me traitiez comme une idiote ! Allez-vous faire foutre Jane !

C’est ainsi que Lisbon le fusilla du regard une dernière fois avant de se lever de sa chaise d’un bond, tourna les talons et s’en alla en furie alors que l’ancien médium n’essaya pas de répliquer, ne tentant rien pour la retenir tant il était surpris par la réaction violente de Lisbon. Il regarda patronne partir puis disparaître de son champ de vision.

TBC...

On découvre ce qui perturbe Lisbon dans cette affaire
Mais apparemment elle cache encore quelque chose
Il suffit de voir son départ du toit

Ouch ! Pauvre Jane sa fait mal de se prendre la colere de Lisbon en même temps elle a pas tort , Maintenant on sait se qui ce passe , Mais Que cache-t-elle ? , Bref Super Chapitre Comme d'habitude ! Presée d'être demain pour avoir la suite ! JA

je viens de tout lire d'un coup et c'est toujours aussi super on comprend enfin la réaction de lisbon et faux croire qu'elle cache toujours quelque chose j'ai hâte de savoir ce que c'est
Par contre elle sait bien lâchée sur Jane

Wow Quel chapitre enfin Lisbon qui dévoile la vérité enfin presque toute la vérité car elle cache encore un truc mais quoi ? En tout cas j'adore la fin elle se lâche sur Jane,et elle n'a pas tort du tout

VIVE LA SUITE

Ouais, elle nous dis pas tout... Il se passe un autre truc et Lisbon nous le cache...

Au moins on connait un bout de l'histoire.

haha, au risque de faire la trouble fête, moi j'affirme que j'adore l'intervention de CHO!! l'imaginer plomber l'ambiance en parlant au téléphone, dévoilant ainsi que toute l'équipe écoute...ça m'a vraiment fait marrer!

En plus, c'est super touchant, on voit ici une vraie famille, (avec un lien un peu plus proche entre Jane et LIsbon ). Cette histoire de serial killer qui s'inspire des contes est vraiment originale et notre Lisbon a en effet des raison d'être perturbée. Néanmoins, elle cache encore des choses (n'aurait-elle pas pris cette manie en fréquentant son insupportable consultant? )
Hâte de lire la suite en tout cas chère auteure. Biz

Bonsoiiirrrr (Désolée, j'essaye d'imiter l'accent Baker mais ça fait tellement d'effets )

Johel, MissA., Jisbon25, Coco, Peanut & Caly
Toujours aussi touchée et contente de voir que ça vous plaise

Et encore Johel pour la correction.

Puis je suis désolée de ne pas avoir pu poster hier soir car j'étais complètement lessivée puis je ne voulais pas rater le film d'hier soir que ça m'a totalement sorti de la tête

Pour me faire pardonner, voici la suite
Ca chapitre est concentré uniquement sur l'enquête et vous allez voir qu'il y aura certaines pièces du puzzle qui vont s'assembler puis des indices qui vont apparaître mais vous verrez que ça sera un peu mais je n'en dis pas plus

Sur ceux... Bonne Lecture

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Chapitre 6 :

De Vere’s Irish Pub
Sacramento, Californie

Un ciel bleu nuit régnait sur la capitale californienne illuminée par une lune blanche, ronde et éblouissante avec une légère brise assez tiède.

Au De Vere’s Irish Pub, l’agent Grace Van Pelt ouvrit la porte du bar avant d’y pénétrer. A l’intérieur résonnait de la musique irlandaise dans un brouhaha de chants, de paroles…Elle observa attentivement la clientèle du pub.

Des gens buvaient pour la plupart soit de la bière, du whisky ou, pour quelques "risque tout" du vin rouge. Le comptoir du bar en bois brut donne de sur le mur en face. Des étagères remplies de bouteilles d’alcool de différentes couleurs le décorent. Un immense drapeau de couleur vert, blanc et orange en ligne verticale avec un trèfle à trois feuilles sur le fond blanc et un grand écran de télé diffusant un match de rugby terminent la décoration.
Le sol est couvert de dalles carrées en cuivre. Sur le côté droit du pub, le sol est en bois stratifié. Des tabourets de bois autour d’un tonneau servent de tables. D'autres tables de forme carrée sont parées de chaises en bois et un grand canapé en moleskine marron est collé au mur sous des cadres avec le maillot d’un joueur l’équipe du XV de trèfle – surnom de l’équipe Irlandaise –Une étiquette d’un vieux whisky du pays et d’autres souvenirs que Grace est incapable d’identifier complètent la décoration des murs.

Pour l'ambiance, un espace de jeu se trouve en retrait. Composé d’un billard et d'un jeu de fléchettes. Au plafond, des petits lustres livrent des lumières tamisées avec une guirlande où scintille de petits triangles multicolores.

Soudain, Grace s'aperçut que quelques ivrognes l’observaient d’un drôle d’air ou encore la mataient de la tête aux pieds. Indifférente et gardant son sang froid, elle fit quelques pas pour essayer de s’approcher du bar sous des sifflements grivois de plusieurs gars et quelques compliments d'un goût douteux comme « Hey, salut beauté ! », « Ca va ma jolie ? », « Viens par là, poupée ! » ou encore « Je t’offre un verre ma poulette ?! » sans compter les ricanements des plus alcoolisés.

La jolie rousse lança des regards noirs avant de lever les yeux au ciel. Elle trouva un espace libre au comptoir, au fond du bar à l’écart de ces "mâles" bourrés et vit un barman d’une quarantaine d’années, assez musclé, regard ténébreux avec une barbe de deux jours environ portant un polo noir et un jean foncé en train de nettoyer le comptoir avec une serviette blanche.

- Excusez-moi ! L’interpella l’agent
-Oui, je vous sers quelque chose, ma p’tite dame ? Demanda le serveur d’une voix grave
- Agent Grace Van Pelt, CBI. Se présenta-t-elle en montrant discrètement son badge à l'homme.
Il regarda son badge avec étonnement puis son visage changea d’expression.
- Ah ! Vous êtes là pour la juge et la proc’, c’est ça ? Comprit-il. On a en parlé aux infos.
- C’est exact. Confirma-t-elle en rangeant son insigne dans la poche de son jean. Vous vous appelez comment ?
- Ailill Sullivan. Répondit-il…Mais je préfère qu’on m’appelle Eli.
- D’accord Eli acquiesça Van Pelt en souriant. Vous avez un instant ? J’aurais quelques questions à vous poser.
- Euh… comme vous voyez, y a beaucoup de monde, ce soir et je ne peux pas m’éclipser… Expliqua-t-il embarrassé
Puis Sullivan marqua une pause en prenant un air songeur en regardant autour du pub avant de se tourner vers Grace.
- Attendez, un instant lui demanda t-il en se tournant vers son collègue au billard. Brent ! Tu me remplaces, s’il te plaît ?
- Ouais ! J’arrive ! Acquiesça ce Brent en abandonnant la partie

Tandis que Brent prenait place derrière le comptoir pour servir les clients, Sullivan conduisit Van Pelt jusqu’à la sortie du bar par laquelle elle était entrée quelques minutes auparavant. Une fois à l’extérieur, Eli s’adossa au mur face à Grace qui fouilla dans la poche arrière de son jean.

- Qu’est-ce que vous voulez savoir ? Demanda Eli aussitôt
Elle sortit une photo de Leslie Mitchell et la lui montra.
- Vous connaissez cette femme ? Le questionna-t-elle
Il la regarda attentivement d’un air réfléchi.
- Oui… Oui. Elle est là, la plupart des week-ends répondit-il. Pourquoi, elle a des problèmes ?
- Non, juste une enquête de routine le rassura-t-elle en rangeant la photo. Vous l’avez vue hier soir ?
- Oui. Répondit Eli du tac au tac. Je m'en souviens parce qu’elle avait prit un verre de vin comme d’habitude avant de s’attaquer à quelques verres de whisky.
- Il était quelle heure, vous vous souvenez ? Demanda-t-elle, intriguée
- Entre euh… 20 heures 30 et 22 h 30, je crois répondit-il, songeur. La pauvre, elle était triste et totalement paumée.
- Est-ce qu’elle vous a parlé de quelque chose en particulier ? Questionna Van Pelt en fronçant les sourcils
- Non, m’dame répondit-il en haussant les épaules. Mais je me rappelle bien qu’il y avait quelques mecs qui n’arrêtaient pas de lui proposer un verre mais chaque fois, elle refusait. Je suis là tous les mercredis et les week-ends et à chaque fois, je la croise !
- Et vous faites quoi les autres jours, par curiosité ? Demanda Grace
- Je travaille au Firehouse Restaurant comme serveur répondit-il. Il faut bien gagner du fric pour vivre.
- C’est sûr confirma Van Pelt d’un air dubitatif. Merci pour votre coopération, monsieur.
- Je vous en prie lui dit-il

La jeune rousse s’éloigna d’Eli pour rejoindre son véhicule de l’autre côté de la route tandis que son témoin l’observa un long moment jusqu’à ce que la Chevrolet noire de l’agent disparaisse de son champ de vision.

*

Ancien local de « Magic Story »
Sacramento, Californie

Un SUV de couleur bordeaux se gara devant un bâtiment comprenant un seul étage à l’abandon sous scellé. Une immense étiquette presque entièrement raclée trônait au-dessus d’une double porte. Mais on pouvait voir une sorte d’arc-en-ciel rose/jaune/orangé étoilé sur fond blanc et distinguer quelque chose qui volait comme un papillon puis quelques lettres du site fermé.

Rigsby et Cho descendirent de voiture en claquant les portières à l’unisson.
- Le local du site de rencontres ! Souffla le grand brun
- Et un site pervers en moins ! Rétorqua Cho en passant devant lui
- T’as déjà essayé d’aller sur des sites de rencontres, dis ? Demanda curieusement Wayne en rejoignant son collègue
- Pour quoi faire ? Demanda l’asiatique en s’en fichant totalement
- Ben, pour rencontrer une fille, parler avec elle pendant un moment après tu la rencontres en vrai en l’invitant à dîner et tu vois si elle te plaît ou pas. C’est simple comme bonjour ! Expliqua son collègue.

Alors qu’ils s’approchaient de la double porte de l’entreprise fermée par une chaîne autour des poignées Cho ne répondit pas et ne réagit pas, restant imperturbable face à l’explication de Rigsby qui le regarda d’un air vexé puis agacé qu’il ne dise rien.

- Franchement, Cho ! Soupira le grand brun viril tu pourrais au moins laisser un peu tes bouquins de côté, sortir un peu, joues un peu de ta virilité et montres un peu de quoi t’es capable pour séduire !
- Et tu sais de quoi je suis capable, Rigsby ? Lui demanda l’asiatique en se tournant vers lui
- Non, mais tu vas me le dire lui répondit son collègue, le regard plein d’espoir
- C’est de dire à toi et à tes sites de rencontres d’aller vous faire voir répliqua-t-il sérieux et impassible

Le grand costaud resta cloué sur place, tombant des nues et interdit par le ton direct de Kimball alors que ce dernier s’éloignait de lui avec un demi-sourire timide au coin des lèvres…avant de reprendre son stoïcisme habituel en faisant les derniers pas vers l’entrée de l’ancien siège du site de rencontre. Wayne sortit de sa transe, le rejoignit. Soudain, les deux hommes découvrirent la chaîne pendante sur l’une des poignées de porte, le cadenas forcé au sol, la porte entrouverte. Les agents se regardèrent avec stupeur et surprise puis dégainèrent leurs armes.

- On dirait que quelqu’un est venu avant nous. Constata Rigsby
- Oui, ce n’était pas vendre des petits gâteaux, en tout cas. Rétorqua Cho

Wayne le regarda d’un air vexé avant de reprendre son sérieux, poussant brusquement la porte. Les deux hommes entrèrent en pointant leurs armes ainsi que leurs lampes de poche et Cho passa devant suivit de son collègue. Armes pointés droit devant eux en avançant prudemment, ils pénétrèrent dans une espèce de hall où leurs pas résonnèrent sur le carrelage gris chiné.

Des cadres, posters de différentes tailles et formes ont laissé des traces sur la plupart des murs blancs ivoire. Un grand bureau en forme d’arc de cercle en bois brut et un fauteuil à roulettes trônent sur le côté gauche croulant presque sous des cartons et bâches en plastique. Kimball aperçut à quelques mètres d’eux une pièce séparée par une petite estrade en bois mais cachée derrière une nouvelle double porte. Il tourna la tête vers Wayne en lui disant de le suivre d’un signe de la tête et ce dernier s’exécuta.

Les deux agents s’avancèrent lentement vers cette double porte, montèrent sur l’estrade de bois qui grinçait sous leurs pieds et se trouvèrent collés à la porte. Ils se toisèrent du regard, Kimball fit un signe de la tête puis Wayne frappa à la porte.

- CBI ! Montrez-vous ! Hurla-t-il

Ils attendirent quelques secondes mais n'eurent aucune réponse. Tous deux posèrent chacun une main sur une poignée des portes, se regardèrent en comptant jusqu’à trois et ouvrirent à toute vitesse les portes en les poussant avec violence. Elles claquèrent contre les murs alors que les deux hommes pointaient leurs armes vers l’intérieur.

- Police ! Cria Cho

Ce dernier, suivit par son collègue, pénétra dans une grande pièce où leurs pas et leurs voix résonnèrent entre ces murs immaculés, comme les murs du hall d’accueil. Les agents pouvaient voir les traces laissés par de la déco du côté droit tandis qu’à gauche se trouvaient des fenêtres de taille moyenne en PVC couvertes d’une bâche. Le sol était couvert de parquet vitrifié. Dans l’espace de travail, trois lignes de tables composées de cinq bureaux avec une chaise pour chacun tous sous des bâches en plastique, couverts de cartons. La poussière ainsi que de l’odeur de moisi et de renfermé complétaient le décor.

Kimball s’avança vers la gauche, vers les fenêtres avec prudence pour voir si quelqu’un pourrait se cacher de l’autre côté de la rangée de bureaux. Personne.
Rigsby de son côté arriva à la même conclusion. Puis leurs yeux se perdirent au fond de la salle où se trouvait encore une porte, mais une porte simple cette fois-ci. Ils se jetèrent un coup d’œil, se rapprochèrent de cette porte rapidement en pointant leurs armes droit devant puis ils s’arrêtèrent net juste devant. Quelques centimètres les séparaient. Pendant que l’asiatique le couvrait, le grand brun costaud tendit sa main vers la poignée de porte, essaya de la faire tourner mais la porte était verrouillée. Rigsby jeta un œil vers Cho en s’éloignant puis ce dernier donna un violent coup de pied dans la porte qui s’ouvrit.

Ils virent la pièce plongée dans l’obscurité. Ils avancèrent d’un pas, Wayne trouva un interrupteur sur le côté gauche près de la porte qu’il alluma. La lumière se répandit dans la pièce.

Le visage des deux agents se décomposa, ils baisèrent leurs armes ainsi que leurs lampes tout en entrant dans cette pièce. Autour d’eux tout le mur de ce bureau était encombré de photos de différentes femmes que quelqu’un avait mises en scène…un tableau de chasse d’un tueur en série à glacer le sang.
Les agents aperçurent, en faisant le tour de la pièce, que chacune des femmes avait son espace, grâce à la minutie de ce malade, ils reconnurent les deux victimes à l’époque de la mission sous couverture de Lisbon : Amélie Bradshaw et Susan Lewinsky avant que n’apparaisse la juge Audrey Guberman puis le procureur général, Tanya Roberts ainsi qu’une autre femme dans la trentaine, d’origine hispanique, brune aux yeux noirs et de taille et de corpulence moyenne. Les clichés avaient été pris durant leurs déplacements journaliers, pendant un certain temps. Le visage de chacune était collé sur le visage d’une princesse dont ils reconnaissaient les tenues dans lesquelles on les avait retrouvées. Les deux hommes avaient un peu de mal à cacher leur dégoût ainsi que leur colère face à ces horreurs.

- Ce type est taré ! Souffla Wayne, écœuré
- Rigsby, viens voir. Dit Cho

Le grand brun se tourna vers son équipier le regard fixé sur une photo. Plus Wayne s’approchait de Kimball plus il arrivait à voir qu’il s’agissait d'une femme brune aux yeux vert émeraudes et tout à coup, arrivant à côté de lui, Rigsby vit avec stupeur des photos prises dans différents lieux d’une femme qu’il reconnut de suite. C’était sa patronne, Teresa Lisbon. Les deux hommes se fixèrent avec inquiétude, colère et horreur. Quelqu'un surveillait leur patronne. Puis ils découvrir le visage de la jeune femme collé sur une image plus vieille que les autres…une sorte de princesse vêtue d’une longue robe blanche bouffante, gainant la taille, décolleté bateau dénudant les épaules avec une bande en dentelle. De petites manches bouffantes terminaient la tenue en tombant lisses et longues. Elle était sa prochaine cible !

*

Pendant ce temps, tard dans la soirée, après sa dispute orageuse sur la terrasse avec son consultant, Patrick Jane, Teresa Lisbon était restée dans son bureau à s’acharner comme une dingue sur cette affaire afin de trouver un indice, une piste qui pourrait la conduire au coupable. Elle voulait retrouver le pervers qui avait osé s’en prendre à ces jeunes femmes, cinq ans auparavant mais aussi celui qui s’en était prit à deux femmes de loi, deux femmes bien qui se battaient pour la paix et la justice.

En même temps l’agent voulait oublier sa conversation violente avec le mentaliste. Pour la première fois depuis des années de collaboration avec lui, elle venait d’exploser, elle venait d’exprimer sa colère, son incompréhension envers ses manières, ses manipulations, ses mensonges, ses trahisons. Elle refusait d'être traitée comme un pion dans sa stupide vengeance. Elle lui avait craché sa rage en pleine figure. Et il voulait qu'elle lui fasse confiance !!!
Elle en avait assez de toutes ses magouilles, de ses promesses qui n’étaient que du vent, de devoir le soutenir. Elle avait fini par craquer et avait laissé s'exprimer ses émotions. Ca avait lui fit un bien fou, soulager son conscience….Mais désormais elle ressentait un pincement au cœur, sans savoir pourquoi.
Elle devait reconnaître que Jane n’avait pas tort, cette affaire la touchait de beaucoup trop près, elle se laissait totalement vampiriser par cette enquête, elle n’arrivait plus à garder son froid.

Tout à coup, le téléphone de son bureau sonna. La brunette sursauta en sortant de ses pensées, inspira profondément et décrocha.

- Ici, l’agent Lisbon !
- Agent Lisbon… S’il vous plaît, j’ai besoin de votre aide ! Une voix masculine paniquée l'implorait tout en sanglotant
Elle se redressa sur son siège, surprise en reconnaissant la voix.
- Monsieur Hernandez ! S’étonna-t-elle. Qu’est-ce qui se passe ?
- Ma femme, Sandra ! Elle a disparu ! Répondit-il

TBC...

Ah trop cool ce chapitre désolée de ne pas avoir commenté le précédent ! J'adore ^^. Pas étonnant que Lisbon soit visée ....pauvre Lison elle est bien chamboulé.... puis ce coup de téléphone .... un coup monté ?

Je trouve une nouvelle fois ce chapitre excellent l'enquête est bien mener comme toujours

J'attend la suite

Je n'ai pas été prévenue que tu avais posté un nouveau chapitre
Bon maintenant on sait avec certitude que Lisbon est sur la liste des victimes potentielles du tueur...
Il faut espérer que Jane et l'équipe sauront la protéger

Que Lisbon devienne une ciblene me choque pas, je le pressentais. Par contre le fait que Cho et Rigsby découvre l'antre du tueur est flippant.

Je me demande si le coup de téléphone n'est pas un piège... Et Jane, il est où? sur son canapé à dormir ???

Hâte de lire la suite =)

chapitre come d'abitude on apprend sur les supects et en plus lisbon est la prochaine cible surtt avec le coup de fil qu'elle à recu hat vrm de voir comment ca se developpe encor

Johel a écrit:On découvre ce qui perturbe Lisbon dans cette affaire
Mais apparemment elle cache encore quelque chose
Il suffit de voir son départ du toit

je plussois, et désolée pour le retard de commentaires
hâte de lire la suite :bounce: :bounce: :bounce:

Ce taré va s'en prendre a Lisbon et a des photo d'elle en robe de princesse ! Pas touche a Ma Lisbon ou celle de Jane , Sinon Encore un Super chapitre et VLS !

Toujours aussi bien JA
J'attends la suite

tout le monde !

Luna, Coco, Johel, Peanut, Cassis, Sweety, MissA. & Manga
Vos coms me font toujours super plaisir

Oh... Pourquoi êtes-vous si méfiante à ce point-là ? D'accord, Lisbon est la cible mais... pas tout de suite sinon ça se serait terminé trop vite puis un peu de suspens ne fait pas de mal

Sans plus attendre et en ce jour de mes 23 ans (ben oui, je vais vieille d'1 an de plus maintenant :rolll2:) Voici la suite

Pas de panique les filles, le sadisme n'est pas tout de suite mais plus tard Un peu de rapport d'enquête, de rigolade avec Jane et de... de Jisbon (ben quoi ) qui je pense devrait vous plaire

Sur ceux... Bonne Lecture Et voilà...

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Chapitre 7 :

Le lendemain, très tôt dans la matinée, on annonçait un temps orageux avec un vent assez fort et une pluie violente pour la journée sur la côte californienne. Mais pour l’instant le ciel était couvert et la température, de saison, était en hausse… encore.

Au QG du CBI, assis autour de la table de réunion devant la petite fenêtre, se trouvaient les agents Rigsby, Van Pelt et Cho ainsi que leur patronne, l’agent Lisbon. Jane, quand à lui, était dans sa position favorite, allongé sur son fameux canapé en train un livre ancien sur les contes de fées écrits par les frères Grimm sans rater un mot du briefing des agents sur l’affaire.

- Sandra Hernandez a disparu, hier, dans la journée et maintenant notre priorité, c’est de la retrouver à temps ; résuma Lisbon avec sérieux
- J’ai lancé un avis de recherche et prévenu la police locale afin d’élargir les recherches. Intervint Rigsby
- La famille vous a appelé ? Demanda Van Pelt
- Oui, son mari m’a contacté hier soir, il va arriver dans peu de temps. Répondit la brunette. Du nouveau de votre côté ?

Jane était songeur face à ce bouquin avec toutes ces princesses en quête du prince charmant…même s'il pouvait être instructif pour l'enquête. A nouveau il ressentit malaise et une inquiétude quand ses collègues se turent face à une Lisbon dont il savait bien, même sans l’observer, qu’elle les regardait à tour de rôle. Elle sentait le trouble de l'équipe, elle voulait savoir ce qui les tracassait. Tout en gardant son calme et son sang-froid elle finit par briser le silence.

- Qu’est-ce qui se passe ? demanda-t-elle

Personne ne répondit. Ses agents se regardèrent chacun leur tour en se demandant qui allait parler en premier, qui aurait le courage de le lui faire part de leur découverte terrible. Rigsby releva la tête en ouvrant la bouche mais aucun son n’arriva à sortir, Van Pelt détourna les yeux en se mordant les lèvres afin de retenir ses émotions tandis que Cho… restait imperturbablement muet.

L’asiatique regarda ses deux collègues, soupirant d’exaspération intérieurement face au renoncement de ceux-ci. En baissant les yeux sous le regard de Lisbon il fit glisser un dossier épais dans la direction de sa supérieure qui jeta un œil perplexe vers lui et vers le dossier. Elle l'ouvrit pour découvrir avec colère les photos des victimes sur lesquelles elle enquêtait à l’époque de sa couverture puis celles d’aujourd’hui ainsi que la substitut du procureur, Sandra Hernandez, la dernière disparue et probable prochaine victime. Elle espérait qu’il ne soit pas trop tard !

Soudain, en passant d’un cliché à un autre, la jeune femme tomba avec étonnement et stupeur sur des photos d’elle dans ses déplacements quotidiens. Elle, allant vers sa voiture avec les mains pleines de sacs remplis de courses. Elle, en sortant du bâtiment du CBI. Elle, discutant avec Jane sur le parking. Elle, rentrant dans son appartement… Tous ses faits et gestes avaient été surveillés par ce pervers !

- On a retrouvé ces photos dans le bureau personnel de la boîte, il y en avait partout sur le mur. Expliqua Cho en brisant le silence
Lisbon sortit de ses pensées mais ne put détacher son regard des clichés d’elle dans différents endroits et dans différentes tenues. Elle se sentait mal à l’aise et furieuse de cette traque.
- On pense qu’il vous suivait ainsi que les autres victimes depuis un bon moment, patron ; ajouta Rigsby, inquiet
- Mais ça n’explique pas comment le site a put être rouvert depuis et comment il a put avoir accès aux informations personnelles de nos victimes. Souffla-t-elle suspicieuse.
- Je crois savoir pourquoi intervint Grace devant son écran d’ordinateur en attirant l’attention de ses collègues…sauf Jane. Je suis en train de voir sur l’ordinateur qu’il a certainement piraté le réseau informatique du département de la justice et s’est infiltré à l’intérieur pour consulter leurs dossiers.

Soudain, le téléphone sonna. Wayne se leva de sa chaise puis se rendit à son poste et décrocha.
- Rigsby !
- Vous avez put trouver la source du lien IM ? demanda la brunette à Van Pelt, pleine d’espoir
- Malheureusement non ; répondit l’agent, confuse. Il a utilisé un système très sophistiqué pour ne laisser aucune trace sur le réseau.
- Non seulement c’est un malade, mais en plus c'est un génie en informatique, génial. Fit Cho, sarcastique.

Wayne raccrocha après avoir pris quelques notes sur son bloc puis reprit place à la table de réunion. Il prit la parole.
- C’était le médecin légiste, commença-t-il. Il a trouvé la cause de la mort de la juge et du procureur. Ce n'est pas la strangulation…elle a été effectuée post-mortem, tout comme les liens des poignets et des chevilles. Chaque victime est morte de façon différente, la juge a été noyée et le procureur général, empoisonnée au cyanure.
- Hum… Marmonna Jane resté silencieux depuis un moment
Lisbon jeta un œil dans sa direction avant de lever les yeux au ciel. Elle se tourna ensuite vers Wayne.
- Il y a autre chose ? Demanda-t-elle
- Il y a eu un autre coup de fil du Labo après ça, répondit ce dernier. Les analyses toxicologiques ont révélé une dose d'alcool, non létale, dans le sang des deux victimes. Il y a également la trace d’un puissant somnifère.
Lisbon fronça les sourcils. Elle réfléchissait aux derniers éléments que venaient d'apporter Rigsby, ce qui n’échappa pas au regard de son consultant.
- Ca ne vous rappelle pas quelque chose ? demanda soudainement Patrick Jane, intrigué.
Tous les regards se tournèrent vers lui, un air interrogatif sur le visage, mais personne ne répondit. Jane prit cela un « non » ou alors « on l’ignore ».
- Grace, par quel moyen la petite sirène, Arielle a-t-elle faillit mourir en devenant humaine ? demanda-t-il en s’adressant à la rouquine
- Pourquoi tu me poses cette question ? demanda-t-elle, perplexe en fronçant les sourcils
Il haussa les épaules.
- Hum… Je trouve que tu lui ressembles, répondit-il. Tu es rousse, tu as la taille d’une bonne nageuse, belle, et tu as un côté naïve, impulsive et trop rêveuse.
- Hey ! Fais gaffe à ce que tu dis ! Intervint Rigsby d’un ton menaçant en prenant la défense de Grace
- Oh ! Doucement Prince Eric ! Je ne suis pas Ursula ! Ah ah ah ! Répliqua Jane en imitant la voix d’Ursula en géant d’un ton amusé en se levant de son canapé
Wayne fixa son collègue avec un regard assassin et vexé tandis que Grace avait l'air exaspéré. Cho resta à le fixer sans rien dire alors que Lisbon poussait un gros soupir en le fusillant du regard.
- Vous pouvez nous dire où vous voulez en venir monsieur Grimm ? Demanda sa patronne, énervée.
- Que Grace réponde à la question et je vous le dirais tout de suite répondit-il sans quitter Van Pelt des yeux, attendant sa réponse.
- Euh… Ben, par… par noyade comprit la rouquine tout à coup
- Et la Belle au bois dormant fut endormie en se piquant le doigt par la pointe d’une quenouille ! Réalisa Lisbon en pensant à voix haute
- Mais Tanya Roberts n’a pas eut droit au baiser du prince charmant pour se réveiller ! Répliqua l’ancien médium
- Quel jeu de mots ! Ironisa-t-elle en levant les yeux au ciel
- Non mais réfléchissez deux secondes, Lisbon commença Jane, redevenu sérieux. Toutes ces femmes ont été assassinées de la même façon que toutes ces princesses dans ces contes de fées. C'est comme si l’assassin voulait que ces belles histoires finissent pour ses victimes en cauchemar pour leur entourage.
- Et bien, c’est réussi, de plus, il nous a fait croire qu’elles avaient été étranglées alors que ce n’est pas le cas intervint Kimball
- Il a voulu nous mettre sur une fausse piste réalisa Wayne dans un souffle
- Mais pourquoi se fatiguer à nous mettre dans la mauvaise direction ? Et pourquoi se donner autant de mal ? Demanda Grace
- Pour ne pas qu’on trouve le lien entre cette affaire et celle sur laquelle j’enquêtais, il y a cinq ans compris Lisbon, tout à coup songeuse
- Je suis sûr que le légiste de l’époque vous a dit que c’était l’étranglement sans chercher à en savoir plus supposa Jane, sûr de lui

Lisbon le dévisagea d’un air grave en fronçant les sourcils pendant un long instant avant de faire les yeux ronds, ce qui fit légèrement sourire son consultant. Elle se leva de sa chaise pour foncer dans son bureau sous les yeux ébahis de son équipe. Elle revint vers eux avec des dossiers dans les mains en les laissant tomber sur la table et posa sa main à plat sur le premier dossier.

- Rigsby, Cho ! Commença Teresa avec autorité. Je veux que vous recherchiez dans le dossier du meurtre d’Amélie Bradshaw et de Susan Lewinsky, ce que vous pouvez trouver et appelez le légiste pour vous y aider !
- Ok, patron ! répondirent les deux agents en chœur en s’emparant d’un dossier chacun
- Van Pelt, l’alibi de la maîtresse de la juge a donné quelque chose ? demanda la brunette en s’adressant à la bleue de l’équipe
- Oui, j’ai parlé avec un barman et il confirme qu’elle était bien au bar entre 20 h 30 et 22 h 30, ce soir-là. Répondit Grace, désolée
- Et merde ! Grinça Lisbon en serrant les dents. Essayez de trouver comment et par quel moyen ce malade a put rouvrir le site.
- Entendu ! Fit Grace

La jeune rousse rabaissa l’écran de son ordinateur, se leva de sa chaise et quitta la table de réunion en rejoignant son poste de travail laissant Lisbon et Jane seuls autour de cette même table. Jane se mordit la lèvre inférieure d’un air réfléchi avant de se tourner vers sa patronne qui lui tournait le dos, n’osant pas le regarder après leur dispute de la veille. Il ne pouvait la juger car c’était parfaitement compréhensible. Cependant, il marmonna un léger « hum… » avant de briser le silence devenu pesant à son goût.

- Ce type est malin et très observateur et à mon avis, il se doutait déjà en observant chacune de ses victimes à quelle princesse elles lui faisaient penser. Dit Jane
- Et qu’est-ce qui vous fait croire ça ? Demanda-t-elle dans un soupir en se tournant vers lui.
- Si j’étais lui, je verrais tout de suite que vous ressemblez à la douce Blanche-Neige ; répondit-il d’un ton calme et doux
Lisbon fronça les sourcils, surprise par le ton que venait de prendre le beau blond pour lui répondre en la dévisageant avec son regard océan. Il y avait une telle expression dans son regard, qu’elle était sûre que c’était la première fois qu’elle la croisait.
- Qu’est-ce qui vous fait pensez que je ressemble à Blanche-Neige ? Demanda-t-elle encore assez chamboulée
- Ah ! Ce ne serait pas le mari de Sandra Hernandez ? Demanda Jane en ignorant sa question et regardant par-dessus son épaule

Tout à coup, Teresa suivit le regard du beau blond en tournant la tête et vit un homme d’origine hispanique proche de la quarantaine de corpulence moyenne, cheveux courts bruns, yeux noirs et teint mâte. Vêtu d’un costume sombre, il tenait la main un petit garçon d’environ 7 ans avec les même cheveux, le même regard et teint mâte que son père. L'’enfant portait un blouson noir sur un polo à manches longues bleu avec de fines rayures blanches, un jeans et des converses.

L’agent s’en alla à la rencontre du père qui s’avança avec son enfant vers la cellule de travail puis le consultant emboîta le pas de sa patronne.

- Monsieur Hernandez ?! L’appela Lisbon
- Agent Lisbon, vous avez des nouvelles de ma femme ? Demanda Hernandez, paniqué
- Malheureusement non, lui répondit-elle penaude et triste. Mais nous faisons tout notre possible pour retrouver votre femme. Le rassura-t-elle aussitôt

Monsieur Hernandez soupira en regardant son fils et passa son bras autour de ses épaules puis le petit garçon regarda son père.
- Ca va aller, papa ! Madame Lisbon a dit qu’elle fera tout pour retrouver maman ! Tenta de le rassurer le petit garçon.
Teresa sourit face aux paroles de ce petit garçon imitée par Jane qui afficha un léger sourire triste en repensant à sa fille parlant comme ça tandis que le père se déridait à son tour en posant un baiser dans ses cheveux.
- Je le sais bonhomme ; lui souffla-t-il
- Monsieur Hernandez, j’aurais quelques questions à vous poser. Intervint Lisbon
- Bien sûr. Lui répondit-il
- Mais en privé, parce que ça risque d’être un peu difficile ; précisa-t-elle en jetant un œil vers son fils

Jane vint au secours de Lisbon en s’approchant du petit garçon et se mit accroupi afin d’être à sa hauteur avant de lui tendre la main avec un visage rassurant.
- Salut ! Moi, c’est Patrick !
- Rafael ! Se présenta le garçon en lui serrant la main
- Dis-moi Rafael, t’aimes bien les tours de magie ? Lui demanda Jane
- Oh oui ! S’enthousiasma Rafael
- Ca te dirait que je te montre quelques tours pendant que ton papa discute avec la gentille agent Lisbon ? Demanda-t-il
Lisbon sourit en voyant comment son consultant se comportait avec le petit garçon, il avait un don pour parler et être à l’écoute des enfants. Elle le trouvait humain et adorable avec les enfants. Cependant, elle se doutait bien de ce que Jane pouvait ressentir lorsqu’il voyait un enfant ayant l’âge de sa fille, la dernière fois qu’il avait vu. Rafael sourit puis se tourna vers son père.

- Papa ! Je peux aller avec lui ?
Monsieur Hernandez jeta un œil vers le consultant, observa que le beau blond dégageait quelque chose d’apaisant, de rassurant et qui mettait en confiance même s’il voyait dans ses yeux de la tristesse. Il se pencha vers son fils en le regardant.
- Oui, bien sûr et sois gentil avec ce monsieur, d’accord ?
- Promis papa ! Promit son fils

Hernandez embrassa Rafael qui lui lâcha la main pour prendre celle de Jane qui la lui tendait puis le consultant partit avec le petit garçon dans la cellule de travail sous les yeux de son père et de Lisbon attendrie par la scène. Elle se tourna vers monsieur Hernandez en lui demandant d’entrer dans son bureau, il s’exécuta et l’agent ferma la porte derrière elle.

TBC...

bon avant de commancer permet moi de te souhaiter un trés bon anniverssaire . Concernat ton chapitre tjr aussi un chapitre tranquil et plein de jisbon bravo encor
attend de voir la suite

23 ans qu'est ce que tu es vieille...t'imagines...bientôt un quart de siècle
Bon anniversaire JA

les pièces du puzzle se mettent lentement en place, on en découvre plus sur le mode opératoire du tueur et ses prochaines cibles
Jane qui joue les baby-sitters pendant que Lisbon va parler avec l'homme
Hâte de lire la suite

JOYEUX ANNIVERSAIRE JA !

Encore un super chapitre en avance dans l'enquête et Jane qui imagine Lisbon en Blanche neige et Van Pelt en la petite siréne et Cette expression dans le regard de Jane que Lisbon n'a jamais vu avant , Se pourrait-il que ce soit de L'amour ? Je suis trop accro !

VLS VLS VLS VLS VLS JA !

D'abord merci beaucoup Cassis, Johel & MissA. de me souhaiter un bon anniversaire, ça me touche beaucoup puis merci infiniment pour vos commentaires

Contente de voir que ce chapitre vous plaise Les pièces du puzzle s'assemblent petit à petit mais je réserve encore quelques petites choses à venir puis aussi au niveau du Jisbon où j'ai décidé de montrer Jane sous un autre angle alors qu'on ne cesse de montrer son côté sombre, torturé, blessé et tout... je montre son côté humain, son vrai côté

La suite, je la posterai ce week-end Donc patience