Red Situation ^

Le point de vue de Cho, quelle idée
Le consultant en prend pour son grade...
Mais c'est trop court...c'est toujours trop court quand c'est bien écrit...on a envie d'en avoir plus
J'aime aussi le "un point bleu descendre à toute vitesse vers la vallée."
J'imagine la scène et la tête des agents
Je suis toujours aussi fan !
VLS VLS VLS VLS :bounce: :bounce: :bounce:

C'est excellent ce chapitre

Les pensées de Cho sont à mourir de rire, j'étais tout le long!

C'est un régal, surtout les allusions sur Rigsby!

J'attends la suite avec impatience, je suis fan!!!!

le point de vu de Cho est intéressant, il a remit ce mec à sa place en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire j'espère au moins que l'autre à compris

par contre il me tarde de savoir ce qu'il va advenir de Jane et Lisbon :vivement: le sort de la DS m'importe peu, enfin si quand même un petit peu mais je m'inquiète pour les deux autres dans la voiture.

Vite Cho, accélère :bounce: :bounce: :bounce:

excellent

j'adore comment cho envois balader l'autre consultant bien fait !

pitié, faite que Lisbon et Jane s'en sortent !!!

VLS !!!

Trop Trop Trop EXCELLENT

JVLS JVLS

Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !
Cette suite est Géniale, l'idée des pensées de Cho est super bonne!
Bravo, c'est vraiment superbement écrit!!

Allez,

V.L.S. !! :)

Les réponses à vos reviews sont dans le spoiler

Spoiler:

Encore merci pour toutes vos adorables reviews, ça fait chaud au coeur

Alors me voilà très en retard avec une suite qui, je l'espère, vous plaira
Si vous trouvez que ce qui se passe est incohérent, n'hésitez pas à me le dire

Bonne lecture


CHAPITRE 7


Mes ongles restaient désespérément plantés dans l’avant bras de l’idiot de conducteur. Mais quel imbécile… La route Jane ! Quand on conduit, on regarde la route ! Il est vrai que moi aussi je m’étais senti comme attirée par ce regard interrogateur et plein de doute. Il semblait réellement inquiet de ma réaction et de ce que je pensais de cette histoire. Je lui avais répondu sincèrement mais je n’eu pas le temps de contempler son visage plus longtemps que la DS s’échappa de son chemin.

Et voilà que je me retrouvais à dévaler une colline, en plein conté de Solano, assise dans un cercueil à moteur et en compagnie de mon insupportable consultant. Je ne sais pas si ça aurait pu être pire sauf que je cru halluciné quand j’entendis une phrase absolument grotesque.

« Calmez-vous Lisbon ! » dit-il d’une voix autoritaire.

Nan mais je rêve là…

« Je n’y crois pas Jane ! Me calmer ? Vous allez me faire le plaisir de… » hurlais-je.

Avant que je ne finisse ma phrase, je sentis une douce chaleur se répandre dans mon corps en partant de ma tête. Jane avait laissé sa main droite quitter le volant pour venir se poser sur ma tempe et il y maintenait une étrange pression qui, apparemment, avait le don de me détendre. Le souci était que nous étions toujours en train de foncer droit vers une vallée et que si mes muscles ne pouvaient pas répondre, ça allait être rapidement embêtant. J’allais en faire la remarque mais Jane fut plus rapide.

« Ne vous en faîtes pas Lisbon, je maitrise la situation. »

Mais oui, mais bien sûr, mais tout à fait Monsieur Jane, je vois que vous contrôlez parfaitement notre destin. Nous roulions tellement vite que je surpris Jane en train de fermer les yeux, comme s’il voulait prier. Le connaissant, ça ne devait pas être tout à fait ça mais je sentis qu’il espérait intérieurement qu’il disait vrai.

« Et vous comptez faire quoi maintenant ? » lui demandais-je.

« Et bien vu à la vitesse à laquelle nous roulons, je pense que la solution est qu’un… élément extérieur nous stoppe. »

« Et vous pensez à quoi précisément ? »

« Comment vous dire ça sans que vous hurliez ? Et bien… Vous voyez ça là-bas ? »

Je regardais dans la direction qu’il m’indiquait et j’éclatais de rire.

« Vous plaisantez Jane ? Dîtes moi que vous plaisantez… »

« Et en plus je vais avoir besoin de votre aide. » se sentit-il obliger de préciser.

En contrebas, je pouvais apercevoir un long et haut amas de paille fraîchement coupé et qui finissait par de grandes bottes bien compactées. Il allait sacrifier sa précieuse DS sur cette colline. Et nous avec. Je n’osais y croire. Premièrement parce que cette maudite voiture allait enfin disparaître de mon existence. Et ensuite parce que nous étions dans ladite voiture. C’était certainement le plan le plus stupide que je n’ai jamais entendu.

« Vous n’allez pas faire ça Jane. Pas avec nous dedans. » le suppliais-je.

« Vous voyez une autre solution ? »

J’avais de moins en moins de temps pour réfléchir et j’avoue que la vue du paysage qui défilait à toute vitesse ne m’aidait pas du tout ! Lui et moi avions essayé de toutes nos forces d’appuyer sur le frein mais à cette vitesse, nous faisions que patiner sur l’herbage frais. Rien à faire. Je fis une rapide prière pour mon salut - et aussi pour celui de Jane - et je me rendis compte que j’étais toujours accrochée à son avant-bras. Je le lâchais rapidement et il me lança un regard plein de gratitude.

« Parce que vous allez vous plaindre que je vous ai fait mal en plus !? »

« Et bien je dois dire que… »

« Non mais Jane réfléchissez deux secondes. On va mourir, dans votre satanée voiture, tout ça parce que vous n’avez pas les yeux en face des trous et vous oseriez me faire des reproches ? »

« C’est vous qui m’avez troublé Lisbon… »

« Suis-je bête… J’aurais dû me douter que ça me retomberai dessus… »

« Bon vous allez m’aidez oui ou non ? » demanda-t-il, impatient de connaître la sentence.

« Est-ce que j’ai le choix ? » soupirais-je.

« J’ai bien peur que non. »

Même à deux doigts de mourir il m’exaspérait. Je me demande bien ce qui à pu motiver le destin pour nous mettre dans cette situation. A peine deux heures en tant que chef et il tentait déjà de me tuer ! Je reportais mes yeux sur lui et je vis quelque chose que je voyais rarement chez Jane. De la crainte. Et de la peur aussi. Une pléiade de sentiments semblait le submerger, car je crois que comme moi, il ne voulait certainement pas en finir maintenant. Et puis de quoi nous aurions l’air, à nous exploser dans une montagne de paille, à des kilomètres de chez nous, dans une voiture française qui plus est ! Où va le monde je vous jure !

« Bon, il va falloir que vous m’aidiez à tourner le volant. » reprit-il.

Je n’osais absolument pas le contredire et je me mis aussitôt à l’ouvrage. Nos mains unies sur le volant, nous tirâmes de toutes nos forces vers la droite et je sentis que la Condamnée à mort dérapait dangereusement sans que ni lui ni moi ne puissions y faire quoique se soit. Je commençais à paniquer très légèrement et avant même que je ne le réalise, notre objectif était à portée de rétroviseur.

Nous nous enfonçâmes dans la montagne de paille comme un couteau couperait du beurre. Si je n’étais pas à deux doigts de mourir, j’aurais trouvé la situation franchement drôle. Mais là ça tenait bien plus du grotesque et de l’irréparable. Pauvre DS…

« Heu Lisbon ? » dit-il d’une voix à la fois calme et suppliante.

« Vous voulez qu’on se fasse nos adieux maintenant c’est ça ? » répliquais-je ironiquement.

« Il faut que je me mette à côté de vous. »

« Mais vous n’aurez pas de ceinture Jane, vous êtes fou ma parole ! »

« Pas le temps de réfléchir à ce genre de considération ! »

Sans demander son reste, il se détacha de son fauteuil, s’accrocha au mien pour accéder au côté passager et se faufila maladroitement là où se trouvaient mes pieds. Je vis sa main saisir la poignée de ma portière et j’en fis de même, appuyant ma paume sur la sienne. Il me lança un regard désolé, malheureux sans doute de ne rien pouvoir faire de plus. Le sentiment de culpabilité qui semblait le traverser, je l’avais déjà vu. Ses yeux bleus devenaient encore plus clairs et il paraissait vouloir me donner par là bien plus qu’un regard d’adieux. Je serrais ma main un peu plus sur la sienne, lui donnant mon pardon. Il me fit un triste sourire que je lui rendais et nous fermâmes les yeux en même temps. Nos corps se tendaient, redoutant l’impact. J’ignorais si nous ralentissions mais la DS était secouée par de multiples tremblements et j’avais de moins en moins conscience de ce qui m’entourait.

Et là, par surprise, la voiture se retourna sur elle-même puis plus rien. Plus un bruit, plus un mouvement. Je fus prise de vertige et le sang commençait à me monter à la tête. Mon corps pendait comme un patin désarticulé grâce à la ceinture de sécurité qui me maintenait toujours plus ou moins sur mon siège. Après un effort qui me parut presque surhumain, je réussis à me détacher et tomba lourdement sur le plafond de la voiture. Quoiqu’il me fit plus l’effet d’atterrir sur quelque chose de plus… mou. Jane !

« Jane ? »

La seule réponse que je reçu fut un grognement quasiment imperceptible. Je me tournais maladroitement sur moi-même pour laisser mon consultant respirer.

« Vous auriez pas pu attendre que je me sois poussé ?! » aboya-t-il

J’aurais dû le laisser s’étouffer sous mon poids…


Après plusieurs minutes à combattre la fatigue, le mal de crâne, la paille, le corps inanimé de la défunte DS et la presque irrésistible envie de tuer Jane, je finis par réussir à respirer l’air vivifiant de la campagne. Derrière moi, l’objet de mes souffrances se trainait avec difficultés hors de sa voiture. J’aurais dû l’aider mais je n’en avais aucune envie. Ca lui apprendra à me faire tourner en bourrique.

« Arrêtez d’argumenter toute seule et venez plutôt m’aidez Lisbon. »

Je levais les yeux au ciel, cherchant un peu de réconfort et d’aide en qui pouvait m’entendre.

« Je ne sais pas si vous méritez mon aide… » dis-je en me retournant à demi.

« Et si j’avais été blessé ? »

« Ce n’est pas le cas alors cessez de vous plaindre et sortez vous-même de votre voiture comme le grand garçon que vous êtes. »

« Je vous aurais aidé moi ! » tenta-t-il.

« Vous essayez de me faire culpabiliser alors que tout ceci est de votre faute alors maintenant débrouillez vous. »

Je ne lui laissais pas le temps de répliquer et m’éloignais quelque peu du tas de paille avec un petit sourire aux lèvres. Plus jamais, Ô grand jamais, il ne conduira le moindre véhicule alors que je serais dedans. La seule chose que je ferais désormais pour lui sera de l’aider à en choisir un nouveau, moins dangereux et plus grand. Mais toujours bleu car l’unique aspect de cette voiture que j’aimais c’était sa couleur. Elle s’accorde parfaitement à son propriétaire et j’avoue que j’imagine mal Jane à bord d’une voiture rouge, ou même noire… Je devais avoir reçu un sacré coup sur la tête pour songer à ce genre de chose. Je lui achèterai un vélo, point final.

Heureusement pour ma santé mentale, un événement totalement bienvenu se produisit. Un SUV qui ne m’était pas inconnu roulait doucement mais surement vers notre direction par la même colline que nous venions de visiter. Je fis des grands signes vers mes bons samaritains et mon sourire s’agrandit de soulagement. Je me retournais vers Jane et vis qu’il avait fini par sortir indemne de la carcasse. Il me regardait avec des yeux noirs et semblait vraiment vexé de mon comportement. S’il savait le nombre de fois où je lui lançais ce regard derrière son dos alors qu’il savourait ses innombrables victoires… Je m’agenouillais à côté de lui et l’aidais à se relever.

« Vous n’avez rien de cassé ? » lui demandais-je, sincère.

« Je ne vous savais pas aussi cruelle Lisbon. » répondit-il en guise d’acquiescement.

« Et encore vous n’avez rien vu… » soupirais-je.

Alors qu’il se trouvait dans mes bras, il tourna sa tête vers moi et son visage se retrouva près du mien. Trop près même. Ses grands yeux bleus me fixaient intensément et quelques infimes secondes plus tard, je vis un sourire se peindre sur ses lèvres.

« Je crois surtout que vous jouez très bien votre rôle Lisbon. »

« Comment ça ? » répliquais-je, réellement surprise.

« Et bien je sais parfaitement que Sainte Teresa n’aurait jamais laissé qui que se soit mourir ainsi. Et surtout pas moi. »

« Pourquoi surtout pas vous ? Vous fantasmez à voix haute Jane, laissez-moi vous le dire. Je ne vous aurais pas laissez mourir, certes, mais… »

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase et tant mieux. Il aurait encore trouvé le moyen de se vexer et de me faire toutes sortes de reproches absolument infondés. Les autres membres de mon/son équipe descendaient précipitamment du SUV noir pour s’assurer que nous allions bien.

« Ca va Patron ? » demanda Van Pelt.

« Oui. » répondit Jane en même temps que moi.

Je me retournais lentement vers lui pour lui lancer un regard plein de sous-entendus.

« Comme si vous aviez l’étoffe d’un chef avec ce genre de cascade... » dis-je avec sarcasme.

« Quel manque de considération Lisbon ! J’ai sacrifié ma précieuse voiture pour nous garder en vie ! »

« Il fallait y penser avant de la laisser faire ce qu’elle voulait pendant que vous regardiez autre part ! »

Un ange passa. Je crois qu’on s’est rarement autant disputés qu’aujourd’hui et je crains que nos changements de places y soit grandement pour quelque chose.

« Intéressant… »

Je cherchais du regard celui qui avait eut l’audace de briser ce silence pesant. Et le dénommé Levine qui affichait un petit sourire se manifesta de nouveau.

« C’est comme ça tout les jours ? » reprit-il.

« Non. » dit Cho.

« Enfin presque… » poursuivit Rigsby.

Je vis Jane lancé un regard noir en même temps que moi vers nos deux accolytes. Dès que j’aurais repris ma place, je ne manquerai pas de leur faire remplir tous les rapports incomplets pendant que la fidèle Van Pelt et moi-même irions torturer l’indiscipliné Jane.

« Bon Monsieur Jane, qu’avez-vous prévu pour la suite ? » interrogea Levine.

« Il y a encore cinq minutes je croyais mourir alors je vous avouerai que je n’ai pas encore pensé à ce que nous allions faire. » dit-il, avec une franche mauvaise humeur.

« C’est pourtant votre rôle Jane. »

Ses yeux en colère me transpercèrent alors qu’il vit ma grimace moqueuse. Je ne faisais qu’énoncer la vérité.

« Il n’y a pas assez de place dans le SUV puisse que nous sommes six donc je propose que Lisbon nous rejoigne à pied »

Ma tête changea du tout au tout. Je n’osais croire à ces paroles. Estomaquée, je n’arrivais pas à prononcer un mot.

« Jane ! » s’offusqua Van Pelt à ma place.

« Elle l’a cherché ! » reprit-il avec son air boudeur.

« Vous voyez, ils n’ont pas besoin d’une voiture folle pour vouloir s’entre-tués. » marmonna Rigsby pour Levine.

Mes yeux vont finir par rester noirs à force. Le concerné baissa les yeux de honte et Levine ne put retenir un sourire.

« Bien. Je crains que Monsieur Jane ai raison, il n’y a pas assez de place dans le SUV. » avoua Levine.

Mon air de chien battu dû paraître ridicule mais c’était vraiment comme ça que je me sentais à cet instant. Comme si on m’envoyait à l’abattoir avec le juge Jane qui se faisait un plaisir de mettre le bourreau Levine dans sa poche. Au pire je ferais demi-tour, mieux vaut deux heures de stop pour m’éloigner de Jane qu’une heure à me demander quel sera son prochain tour. Vite un rebondissement !

« Mais je crois qu’il serait totalement inconscient de laisser l’agent Lisbon partir seule sur la route alors qu’elle vient d’avoir un accident. »

Je croyais bien que je n’allais plus jamais sourire. Mais Dieu merci, le bourreau ne semblait pas si enclin à me laisser périr sous le billot du machiavélique Jane.

« Il me semble que c’est le moment idéal pour avoir une petite conversation Monsieur Jane. Partons tous les deux en espérant qu’une voiture nous prendra en stop. » acheva-t-il, sérieux.

« Mais je… » tenta Jane.

« Moi non plus je ne vous laisse pas le choix. Que vous le vouliez ou non, je fais parti de cette expédition et mon travail consiste à vous évaluer. Et je dois vous avouez que pour l’instant le bilan n’est pas très positif. Alors soyez coopératif et prenons l’air sur cette belle route de campagne. » termina-t-il dans un sourire.

Gamin, il bouda de plus belle tandis que je ne pouvais me dépâtir de mon sourire.

Je n’attendis pas la fin de la conversation et m’enfuis, littéralement, sous le regard outré de Jane, dans le SUV. Cho toujours au volant, je regardais mon triste Jane me faire son regard malheureux mais lorsqu’il vit mes dents apparaître comme un signe de vengeance, il me fit à son tour un regard qui ne signifiait qu’une seule chose. Les représailles risquaient d’être terribles. Et là, bien malgré moi, je n’avais qu’une hâte : le revoir pour lui redonner la monnaie de sa pièce.




Chapitre 8

bon et bien la DS n'est plus dans la course la sienne lui a été fatale
mais je ne pensais pas que Lisbon serait aussi insensible à la situation de Jane, il à quand même risqué sa vie pour les sauver, il n'avait pas de ceinture lui, vilaine Lisbon
mais le pire reste à venir, la discussion de Jane et Levine et la vengeance de Jane envers Lisobn

Merci

J'adore pensé que Lisbon puisse être aussi sadique que nous Sweety

Oh !! La Pauvre DS !!

Lisbon veut que je la tue ou quoi ? Si Jane me le demande, je suis partante
Non mais attends, Jane est mal en point après lui avoir sauver la vie, elle n'était jamais aussi proche de lui dont j'ai cru que j'allais faire une crise cardiaque puis elle le laisse comme ça au milieu de nulle part Mais quelle idiote

Je n'ai qu'une seule envie c'est de voir la vengeance de Jane qui risque d'être fatal

Mais j'adore j'adore toujours

VLS VLS VLS VLS

Aphraël a écrit:Merci

J'adore pensé que Lisbon puisse être aussi sadique que nous Sweety

je plussois

j'aime

surtout quand Lisbon et jane se dispute et que les autres agents commentent !!!

Merci beaucoup JA et Jiisbon
Je vais les faire tourner en bourrique, vous imaginez même pas
Jane a plus d'un tour dans son sac mouahaha

Je sors, ne poussez pas

Derien
Ahah ! Tu vas les faire en bourrique pendant longtemps ? Vers quel objectif ?
Ah ça ! On s'en serait douté Etant donné que la vengeance est un plat qui se mange froid là, je pense que ce sera un plat qui va se crâmer

JisbonAddict a écrit:Tu vas les faire en bourrique pendant longtemps ? Vers quel objectif ?

Hum... Tu le sauras bien assez tôt très chère Mais y a pas de raison pour que ça ne te plaise pas

Aphraël a écrit:Hum... Tu le sauras bien assez tôt très chère Mais y a pas de raison pour que ça ne te plaise pas

Hum...Hum... Ah là, tu m'intrigue ma chère ! :vivement: et j'ai hâte de savoir ce que tu nous réserves :vivement: :vivement:

Génial cette suite

Les commentaires de Lisbon sont à

J'ai vraiment hâte de savoir quelle va être la vengeance de Jane

(ce sera pas bien méchant je pense )

Merci alamanga
Et non je compte quand même pas qu'il s'entre-tuent
Je ne suis pas sadique à ce point

Encore merci pour ta review

De rien
Je languis trop la suite, ta fic est vraiment géniale, je me régale à chaque ligne!

alamanga a écrit:De rien
Je languis trop la suite, ta fic est vraiment géniale, je me régale à chaque ligne!

Je plussois

Et bien voilà la DS "elle est mourrue"
Ah ! les chamailleries entre Jane et Lisbon ...un vrai petit moment de plaisir...c'est tellement bien écrit...tellement vrai
Le tête à tête entre le consultant et Jane risque de ne pas être triste
Mais ce que j'attends c'est surtout de voir de quel genre sera la vengeance de Jane
pour ce chapitre si divertissant.

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Cette suite est géniale, à mourir de rire!!!!
J'adore les pensées de Lisbon surtout concernant le cercueil roulant de jane!!!! J'ai vraiment l'impression d'etre dans sa tête quand je lis et je trouve ça croustillant!! Chacune de tes répliques ou des répliques qu'elle se fait à elle même est un régal genre: elle lui acheterait un vélo un point c'est tout!!!
Cette fic est vraiment super!!

Bon, je suis impardonnable mon truc pour m'alerter des nouveaux chapitres n'a pas marché et je ne vais pas souvent dans ce topic donc j'ai loupé plein de chapitre. J'espère que tu m'en excuseras.

j'adore le Fairfield, ça m'a fait penser à une autre série avec une jane, cette fois ci

Et un grand merci pour ce que tu fais après tes chapitre, car grâce à ça je tombe directement sur le prochain chapitre, ce qui dans mon cas est préférable.

J'ai lu le chapitre 5, et le Levine je ne le sens pas du tout. J'adore Lisbon et sa musique et puis la discussion de fin est je dois dire excellente, ça remet les choses en place et montre un Jane un peu plus mature que l'on ne pourrait le croire.
Je fais vite comme ça fait longtemps que tu l'as écrit, je ne vais pas m'éterniser.

Direction le chapitre 6, J'adore ce chapitre avec Cho qui remet en place ce Levine et puis le coup de la voiture. Je me demande encore ce qu'il se passe.

Bon, je fonce au chapitre 7, Pauvre DS et la conversation entre Jane et Lisbon c'est du régal. Je ne m'en lasse pas de leurs piques. Vraiment du bonheur en barre.

J'attends la fameuse conversation et puis la vengeance Ca risque d'être cocasse.

Encore un grand merci pour les liens directs venant aux chapitres, c'est une super bonne idée

Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!

* Est encore plus impardonnable que Didi *

Merci Beaucoup pour cette suite, elle est géniale. Les répliques et les pensées sont très bien trouvées, c'est du pur bonheur à lire :)


Vivement la suite,

*est encore plus impardonnable que vous toutes sur mon retard *

Mille excuses pour cet énorme retard mais ma connexion internet est *ù$:,:!!!^$ù@^ù*$
Et puis j'avoue un peu tristement que le syndrome de la page blanche m'a guettée pendant un bon moment

Bref un grand énormissisme merci à Johel, enjoy, Daidi et Elle* pour vos commentaires, c'est un vrai régal de lire vos réactions

Voici la suite et "l'affrontement" Jane/Levine J'espère que vous ne serez pas déçues

Début de l'enquête dans le prochain chapitre

Bonne lecture


CHAPITRE 8


La poisse. Je ne voyais que ça. Je devais être carrément maudit pour que le sort s’acharne ainsi. Ma place échangée avec Lisbon, la colère de cette dernière, ma pauvre voiture détruite et voilà que maintenant je devais marcher, pendant Dieu sait combien de temps, avec un détestable consultant du procureur. Mais je préparais déjà ma vengeance. Elle ne l’emportera pas au paradis ma chère Lisbon parce que là, elle m’avait profondément blessé. Je ne pensais pas avoir mérité autant de colère venant d’elle pour qu’elle me laisse comme ça, en pleine campagne et en si ‘charmante’ compagnie.

Une idée s’imposa à moi cependant. Si je continuais de provoquer Lisbon de cette façon, je craignais de ne pas faire long feu. Et pour de nombreuses raisons. Parce que là je pense franchement que je ne suis pas dans ses petits papiers. Voire tout le contraire. Si je voulais avoir une chance de me faire bien voir d’elle, il fallait que je change mon fusil d’épaule. Et comme mon orgueil est, je l’avoue humblement, assez fort, ça risque d’être plutôt difficile de prendre sur moi. Quoiqu’elle en valait le coup. J’aurais bien réfléchis plus longtemps à mes propres soucis mais voilà que j’oubliais quelque chose de primordial : je n’étais pas sur mon canapé, ni au C.B.I. mais bien au beau milieu de nulle part avec un quasi inconnu. Et ce dernier ne m’avait pas oublié.

« Vous avez mal quelque part ? » dit-il d’une voix douce.

« Je vous remercie, ça va. » répondis-je un peu durement.

Je me relevais car j’étais toujours assis par terre, attendant certainement qu’un esprit m’emporte loin de ce lieu maudit. Il me gratifia d’un sourire et nous descendions dans la vallée à grands pas. Enfin grands pas pour lui car je n’étais quand même pas au meilleur de ma forme. Sauf qu’il était absolument hors de question que je me plaigne auprès de Levine. Je passais déjà pour un fou alors pas la peine d’en rajouter. Mon dos me faisait quelque peu souffrir tout comme mon crâne mais mis à part ça, je me sentais relativement apte à marcher. Il m’attendit pour que je sois à sa hauteur et il semblait bien trop pressé à mon goût d’entamer la conversation.

« Alors Patrick… Je peux vous appeler Patrick ? » commença-t-il.

« Si ça peut vous plaire… » répondis-je, toujours de mauvaise humeur.

« Bien, Patrick. Je pense, à juste titre il me semble, que ma présence vous déplait non ? »

« Pourquoi poser des questions dont vous connaissez déjà la réponse ? »

« J’ai cru comprendre que vous étiez plutôt doué à ce jeu là Patrick. » répliqua-t-il avec un sourire - qui allait avoir le don de me mettre facilement hors de moi, je le pressentais.

Enfin un adversaire à ma taille…

« Sauf que mon but n’est certainement pas de jouer avec vous, j’ai bien d’autres préoccupations, Harrison. » dis-je.

« Comme rendre folle votre collègue par exemple ? »

« Et elle me le rend bien, croyez moi. » lançais-je avec un regard un peu trop triste à mon goût.

Il laissa un silence s’installer, et je l’observais du coin de l’œil alors que je voyais un rictus prendre forme sur son visage. C’était plus une grimace moqueuse que méchante mais ça avait le don de me mettre relativement mal à l’aise.

« Je peux savoir ce qui vous fait sourire comme ça ? » demandais-je, contrarié.

« Et bien je dois avouer que lorsque le procureur m’a parler de la ‘mission’, j’ai pris ça comme un défi, mais je crains que c’est… un miracle qu’il va falloir que je réalise. » dit-il, toujours avec le sourire.

« Je ne comprends pas. » répondis-je avec un regard interrogateur.

« Comment vous dire… Disons que je suis sûr que vous êtes quelqu’un de compétent, intelligent et… dynamique. Mais pour évaluer vos compétences professionnelles, je dois aussi prendre en compte vos relations avec les autres et elles paraissent assez… tumultueuses. »

« C’est un euphémisme. » ne pus-je m’empêcher de répliquer.

J’avais l’impression de me disputer constamment avec Lisbon, comme si c’était un pacte tacite entre nous. Notre relation était faite en grande partie de ça, les coups tordus que je m’évertuais à préparer pour arrêter les suspects et qu’elle devait par la suite justifier… La liste est tellement longue. Mais là, nos rôles étant échangés, nos joutes verbales habituelles se transformaient en règlements de comptes et je n’avais pas du tout envie de cela.

« Pourquoi ne pas profiter de cette situation toute neuve pour vous montrez plus… adulte auprès de votre collègue ? » proposa-t-il.

Adulte ? Comment ça adulte ? J’en suis un que je sache ! Il ne va pas commencé à m’insulter tout de même !

« Pardon, Harrison, mais je sais ce qu’est être adulte. C’est juste que moi et l’autorité ça fait deux. C’est dans ma nature, je n’y peux rien. »

« Il s’agit juste de faire quelques efforts Patrick. Ecoutez, je connais ce que j’ai à connaître sur votre passé et je suis enclin à faire des concessions à votre égard si je note de véritables changements dans votre comportement. »

« De quel genre ces changements ? »

« Et bien disons… Laissez un peu votre collègue respirer par exemple. Elle semble exténuée par votre attitude envers elle. »

Ce n’était pas très gentil de dire ça et je m’en trouvais légèrement vexé mais je devais admettre qu’il n’avait pas tout à fait tord. Je soupirais, faisant clairement savoir à mon compagnon de voyage que j’avais besoin de quelques instants de réflexion.

Nous nous approchions de plus en plus de la route qui sillonnait la vallée et je ne voyais que très peu de véhicules l’emprunter. En espérant que ma chance revienne d’ici peu de temps… Je restais encore quelques minutes silencieux, ne sachant pas quoi répondre à Levine. Mais heureusement pour moi, je suis un expert lorsqu’il s’agit d’éluder les sujets embarrassants, j’allais donc en profiter pour en apprendre un peu plus sur lui.

« Et vous Harrison, parlez-moi un peu de vous. »

« Oh… Et bien, par où commencer… J’ai grandi à Sacramento, avec mon frère et ma sœur. Mes parents sont morts il y a bien des années dans un accident quand j’avais 8 ans. Je n’ai jamais été marié, je n’ai pas d’enfants et je vis seul dans une belle maison à quelques minutes de Sacramento. Quoi d’autre… Je travaille depuis 5 ans pour le procureur et j’avoue adorer mon métier. Les règlements sont ma vie, alors je suis content de travailler avec vous, je suis sûr que nous avons pleins d’opinions différentes à changer. » finit-il en souriant.

Sympathique. Un homme normal en somme. Même un peu trop à mon goût. On aurait dit qu’il récitait sa leçon. Alors soit il s’attendait à ce que je lui pose la question, ce qui serait assez logique vu ma curiosité naturelle, ou bien il avait préparé son discours. J’étais aussi de nature à être suspicieux envers le monde entier alors je m’engageais personnellement à en apprendre un peu plus sur ce mystérieux Levine dès que nous serions arrivés à bon port.

« Quelle vie bien remplie. » lançais-je d’un air indifférent.

« Pas autant que la votre. » répliqua-t-il avec ce sourire qui commençait sérieusement à m’énerver.

« Ma vie privée ne vous regarde en rien. Je vous interdis d’y mettre votre nez c’est compris ? » dis-je d’un ton glacial.

« C’est noté. » ajouta-t-il, penaud.

Je ne pouvais pas être plus clair. Son intrusion dans ma vie m’insupportait déjà assez comme ça, il n’avait pas besoin en plus de se mêler de mon jardin secret. Mon existence était assez difficile à vivre sans que quelqu’un en qui je ne pouvais pas avoir confiance ne s’en préoccupe. A l’idée que ce type ait pu avoir accès à mon dossier personnel, je frémis de colère. Même si c’était l’hôpital qui se moquait de la charité, je ne supportais pas qu’on fouille dans ma chaotique vie. Mon histoire avait été un supplice à écrire et je refuse qu’un lecteur impudent ne puisse se permettre d’émettre un jugement. Toutes ces pensées désagréables durent me donner une teinte rouge sur le visage car je sentais mon corps chauffer et je vis que Levine avait préféré rester dans ses retranchements.

Nous longions maintenant la route tranquillement, sans que l’un de nous deux n’ose prendre la parole. Pendant dix minutes, nous restâmes avec le pouce levé pour qu’un bienheureux provincial nous prenne avec lui. Je commençais à fatiguer lorsqu’un cabriolet s’arrêta à notre niveau. Trois jeunes femmes, visiblement très peu vêtues et certainement sous l’emprise d’une quelconque drogue, avaient l’air impatientes de nous embarquer pour une prometteuse virée. Je sentis mes joues s’empourprer et je jetais un regard suppliant à mon collègue. Si seulement Lisbon me voyait, elle se moquerait de moi jusqu’à la fin des temps. Je n’avais certainement pas envie de monter dans cette voiture avec trois furies qui pourraient nous tuer rien qu’en posant leurs regards lubriques sur nous.

« Heu… Harrison ? Vous avez vraiment l’intention de monter avec elles ? » suppliais-je.

« Et pourquoi pas Patrick ? Vous avez peur de la gente féminine ? » lança-t-il avec un air de défi.

Il se moquait de moi, j’en étais sûr. Pourquoi prendre le risque de mourir à nouveau alors que nous touchions au but ? A quelques dizaines de kilomètres près…

« Je dis juste que question chance ce n’est pas trop ça en ce moment. Donc je ne tiens pas trop à risquer ma vie une deuxième fois en une heure. »

Mais à peine j’eus fini ma phrase que Levine était déjà parti rejoindre nos trois futures preneuses d’otages. Je regardais d’un air las la voiture et son contenu pour me retrouver, moi aussi, dans cette galère. Je proposais néanmoins de prendre le volant sous l’air hystérique des filles de Tantale. Alors que je voyais que Levine allait émettre une objection, je sautais, littéralement, sur le siège conducteur. Ce qui me rappela douloureusement que j’avais eu un accident il y avait une demi-heure. La jeune femme qui m’avait laissé sa place - à très juste raison au vu de la masse de brouillard qui s’agglutinait devant ses yeux – me fit une présentation des plus chaleureuses. Mandy, 27 ans, se prétendant mannequin, se disait à la recherche de la gloire en partant pour Los Angeles ave ses meilleures copines, Anna et Clarice. Le reste me rentra par l’oreille droite pour en ressortir directement chez sa jumelle. Je mis le contact, armé de mon sourire à toutes épreuves et d’une bonne dose de courage. Car je craignais que le temps me paraisse long. Terriblement long…


Une heure et quinze minutes plus tard, mon calvaire touchait à sa fin. Et j’entends par calvaire une véritable torture psychologique et une vigilance de tous les instants. Je ne savais pas combien de propositions indécentes j’avais pu entendre en aussi peu de temps. Je ne me permettrais pas de porter un jugement trop hâtif, ce n’est vraiment pas mon genre, mais je pense sérieusement que ces jeunes femmes n’auraient jamais du conduire dans un tel état. Elles, au moins elles avaient de la chance. Avoir échappé à un accident de la route dans leur état, c’était un miracle. Et nous étions leurs sauveurs. Levine ne s’en était pas trop mal sortir. Après avoir tenter de les ignorer, il avait conclu, assez rapidement je dois le dire, qu’il devait changer son fusil d’épaule. Et là, mon cher ami Levine nous a sorti un monologue tout droit sortit d’une thèse. Autant la tactique aurait pu être intéressante à exploiter si j’avais été sourd. Mais malheureusement pour moi ce n’était pas le cas. Comme aurait dit un bon New-yorkais : « J’les auraient balancés dans l’Hudson ! ». Sauf que j’avais plus l’impression d’être au beau milieu du Sahara, avec une crise de délirium mince qui pendait au dessus de ma tête.

Quel ne fut donc pas mon immense soulagement lorsque nous sommes arrivés à bon port. Je nous garais directement devant le commissariat local en prenant soin de faire quelques signes aux agents de garde pour qu’ils viennent prendre réception du charmant colis.

Je pensais pouvoir m’extirper de cette situation gênante facilement mais j’oubliais que mon karma était en berne en ce moment. Lisbon, Rigsby, Van Pelt et Cho avaient choisi ce moment précis pour sortir du vieux bâtiment de police. Je vis quatre paires d’yeux à la fois outrées et moqueuses se tourner dans notre direction. J’aurais voulu me cacher mais seule ma honte aurait été assez grande pour m’abriter. Je fis descendre le plus rapidement possible Levine sans lui causer plus de dommages qu’il devait en avoir. Je le plaignais, sincèrement. Avoir autant d’informations inutiles dans le cerveau et en être content, voire fier, c’était clairement du masochisme.

A peine avais-je eus le temps de délivrer mon compagnon d’infortune que je me retrouvais nez à nez avec Lisbon. Cette dernière, visiblement contente de me voir, me fixa avec un drôle de regard. On ne pouvait pas me laisser un peu tranquille…

« Alors vous avez l’air d’avoir fait bon voyage dîtes moi ? » dit-elle, moqueuse.

« J’ai sauvé plus de vies aujourd’hui que durant toute notre collaboration, alors arrêtez d’aborder cet air si fier. » répliquais-je avec un peu trop de froideur.

« Je suis sûre que c’est grâce à moi si vous avez pris cette maturité, vous devriez me remercier. »

« J’ai dû attraper une insolation parce que je crois que je suis en train d’halluciner… »

« Venez, allons tester vos toutes nouvelles capacités à être un adulte responsable. » acheva-t-elle en s’éloignant vers le poste de police.

Elle n’allait pas si mettre elle aussi ! Je jetais un regard suppliant à mes collègues, mais force était de constater que personne ne me soutiendrait. C’était censé être moi le chef et je me trouvais ridicule, et surtout ridiculisé. Aller, un peu de courage, la rédemption doit forcement passer par des moments difficiles n’est-ce pas ? Mon canapé me manque…

TBC...