Miss Agent du CBI ^

Ah ah !! Je pense savoir qu'elle est cette merveilleuse idée de Jane !!

J'ai vraiment hate de voir la suite !! Tu ecris vraiment bieen !! C'est super simple a lire et on peut bien imaginer les scenes;

Encore bravo et vivement la suite :!!

Bisous a toi

Super ce chapitre

On situe bien le crime et tout, la pauvre fille, j'aimerais bien savoir qui lui a fait ça

Et le plan de Jane je l'imagine très bien...

VLS

PS: de rien pour l'aide

super chapitre !!!!

youhou !!!

Alors, je sais que je n'ai pas encore posté et j'en suis désolé, (je suis tout le temps sur le chantier en ce moment) mais je vais me rattraper, promis


J'adore l'idée et le principe déjà et puis du Jisbon ... I LOVE IT !!!


[Le passage où elle se regarde dans la glace et qu'elle ne sait pas quoi mettre il m'éclate ! Serait-ce pour Jane ?

son style James Bond Girl, j'imagine parfaitement !!!

Jane qui pique les clefs de Lisbon !!! j'ai bien aimé aussi ! ]


ensuite la phrase de Jane : "et on dit que la beauté est immortelle" --> J'adore, ça le reflète très bien !!!

Une miss Californie morte qui ressemble à Lisbon ... hum

le chapitre 1 : je l'ai adoré aussi celui-là !!!

j'ai adoré ce passage : "- Positif ! Enfin le test et votre réponse. Argumenta Jane l’air amusé
Elle le fusilla du regard en secouant la tête avec un petit sourire au coin. Bien que son humour fût assez sombre, il réussissait toujours à la faire sourire au plus grand bonheur de Patrick."

--> Jane qui arrive toujours à faire rire Lisbon, on le reconnait bien là


La miss Californie enceinte ... mais de qui ? question à creuser ...


Ah !!! L'idée génial de Jane ... j'aime déjà


je n'attends qu'une chose : LA SUITE !!!! (bien que j'en suis légerement plus loin que les autres)

VLS !!! VLS !!! VLS !!!

Super chapitre!!! Tu écris vraiment bien. On peut facilement s'imaginer les scènes et les personnages. Moi aussi je pense connaitre l'idée de Jane!!! VLS!!!!

les filles
Vos coms me touchent beaucoup et ça fait plaisir de voir que ça vous plaise

Si vous connaissez l'idée de Jane, pas la peine de publier la suite ?? Je plaisante (désolée si mon humour est un peu noir, je ne suis pas au top de ma forme )

Patience pour la suite et pour la réponse

C'est tout simplement génial!!!! Je crois savoir ce que Jane a dans son esprit tordu!!

VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Merci beaucoup Lilia
Ravie de voir que ça te plaise

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

Voici la suite en avance

Vue que la fête nationale, profitons-en

Vous mourrez d'envie de savoir l'idée géniale de Jane ? Vous allez le découvrir Avec un nouveau personnage dont vous m'en dirait des nouvelles Mais je vous rassure toute de suite, ce n'est pas M*** ou K Je ne me le permettrai pas
J'espère toujours que ça vous plaira

Merci Manga pour la correction

La suite... Samedi ou Dimanche si vous êtes sage

Bonne Lecture...
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Chapitre 2 :

- Quoi ?! Alors là, dans vos rêves ! S’exprima Lisbon folle de rage.

Tout à l’heure, Jane, suivi par Lisbon, a frappé – pour la première fois – à la porte du bureau du nouveau directeur du CBI, l’agent JJ LaRoche afin de lui informer l’idée qu’il venait d’avoir. Vu que l’enquête s’avérait être une impasse, le mentaliste proposa au directeur de mettre un agent sous-couverture dans la peau de Miss Californie, étant donné que personne n’est au courant du décès de celle qui devait principalement représenter l’Etat au concours, ni que personne ne voulait coopérer. Il n’y avait pas d’autres solutions. LaRoche lui demanda donc qui serait – pour lui – l’agent en question, capable d’entrer en scène. Patrick lui indiqua Teresa du regard et les deux hommes la dévisagèrent.

Le mentaliste la regarda d’un air aussi suppliant qu’amusé avec un sourire blanchâtre et cette dernière comprit son petit jeu.
- Oh ! Allez, Lisbon ! Ca va être amusant ! supplia Jane.
- Non ! Hors de question que je défile en robe encore moins en petite tenue ! protesta-t-elle avec agressivité.
- Monsieur Jane, qu’est-ce qui vous fait penser que je vais accepter d’envoyer l’agent Lisbon dans vos initiatives ? demanda LaRoche.
- Les adolescents diraient que Lisbon est très bien roulée et qu’on est les meilleurs de toute l’Amérique, mais moi… commença-t-il.
- Waouh ! Quelle élégance ! lança Lisbon, levant les yeux au ciel, ironique.
- Vous voulez me laisser finir ? Merci, reprit Jane ; Mais moi, je dirais plus que vous trouvez qu’on est une équipe compétente, pleines de bonnes ressources dont vous avez une fierté envers ces politiciens pour leur clouer le bec, mais qu’on manque un peu d’audace, d’originalité et de tact durant les affaires donc je me suis dis que ça pouvait vous intéresser, expliqua-t-il.
Ben, il ne manque d’air, lui, je vous jure ! Là, j’ai une rage d’envie d’utiliser mon flingue ! pensa-t-elle en serrant les dents.

LaRoche dévisagea la jeune femme qui le regarda d’un air incrédule mais pria pour qu’il refuse l’idée incroyablement déplacée et stupide de Jane. Elle avait envie d’hurler rien qu’en s’imaginant entourée de filles marchant en roulant des hanches, ne parlant que de grands couturiers exemplaires, de leurs premières expériences sur un podium et blablabla – le contraire de ce qu’elle était. Ou pire encore, en voyant se trimbaler en robe de haute couture avec d’immense talons aiguilles et le visage recouvert d’une sacrée couche de crème sous du maquillage comme si elle était une poupée Barbie. Jane observa Lisbon dans les moindres détails en murmurant un « hum… », alors qu’elle le fusilla du regard.
- Il est vrai qu’il y a du travail mais ça peut le faire, observa-t-il.
LaRoche fixa avec méfiance puis intrigue Jane et Lisbon à tour de rôle avant de répondre.
- Très bien, Monsieur Jane, mais si jamais, j’entends parler de quelconque incident ou autre durant la couverture et que ça vient de vous ou non, l’agent Lisbon sera suspendue de ses fonctions, prévint le directeur autoritaire.
- Bien sûr, JJ. Il n’y aura pas de soucis, nous sommes des pros, rassura le consultant avec un sourire.
- C’est cela oui, marmonna Lisbon ironique.
- Agent Lisbon. Monsieur Jane, reprit leur supérieur ; S’il arrive quoi que ce soit et que je reçois un coup de téléphone de la direction du concours, j’arrête la mission, est-ce clair ?
- Oui, Monsieur. C’est très clair, répondit Lisbon d’un air sérieux.
- Ok, ça me va, répondit simplement Jane l’air décontracté.
- Vous pouvez disposer. Bonne chance, dit-il.
Puis LaRoche plongea ses yeux dans sa paperasse tandis que le mentaliste et sa patronne quittèrent la pièce.

Une fois dans le couloir, en s’éloignant du bureau de LaRoche, le duo fit quelques pas jusqu’à ce que Teresa se tourne vers Patrick, prit entre son index et son majeur en le pinçant ainsi qu’en le tirant vers elle si fort pour transmettre sa rage. En entendant les hurlements de leur collègue, l’équipe se tourna en assistant en direct à la « torture » que leur boss infligea à Jane. Cho ne fit rien – mais avec un léger sourire – Rigsby étouffa de rire et Van Pelt grimaça en imaginant la douleur mais mit sa main sur sa bouche pour dissimuler son fou rire.
- Qu’a-t-il encore dit pour qu’elle le pince à ce point ? demanda Rigsby
- Ce qu’il fait tout le temps, répliqua Cho
- Il a bien mérité en tout cas, avoua Van Pelt dans un sourire.

Pendant ce temps, le beau blond hurla de douleur en se baissant tout en essayant de retirer les doigts de la jeune femme.
- Ah… Aïe ! AÏE ! gémit-il en hurlant de douleur.
- Vous avez intérêt à vous expliquer si vous ne voulez pas que je vous casse le nez ! explosa Lisbon
- Oui, d’accord maman ! Aïe ! gémit à nouveau Jane comme un enfant.

Lisbon relâcha sa prise au grand soulagement de son consultant qui porta ses mains au nez en le malaxant en douceur en retrouvant sa respiration devant le regard sombre de la jeune femme.
- Oh god ! J’espère pour vous que vous ne vous êtes pas cassé un ongle au moins, répliqua Jane en malaxant son nez.
- Vous voulez que je recommence pour le prouver ? menaça-t-elle d’un tel sarcasme en faisant un pas vers lui.
- Calmez-vous. C’est bon, j’ai compris, se ravisa Jane en tendant sa main vers elle pour l’éloigner de lui.

La belle brunette resta plantée devant lui avec un regard assez menaçant, le beau blond se tourna vers elle en gardant ses distances – pour éviter d’avoir son poing dans la figure.
- Je vous explique mon plan, commença-t-il , tout simplement, parce que l’assassin connait très bien chaque candidate dans les moindres détails donc il fait parti des membres du personnel de l’organisation du concours, puis il savait qu’elle savait bien trop de choses donc pas d’autre choix que de la faire taire.
- Et ces choses, ce serait des trucs que tout le monde refuse de communiquer, comprit-elle.
- Hein, hein, se contenta son consultant de dire en hochant la tête avec un sourire béat.
- Pourquoi moi ? Pourquoi ne pas avoir choisi Van Pelt ? s’écria-t-elle en désignant la rousse du doigt.
- Grace est peut-être douée et ambitieuse mais bien trop naïve et sensible, elle se serait jetée dans la gueule du loup dès la première minute contrairement à vous, lui répondit-il d’un air posé.

Lisbon fronça les sourcils d’un air incrédule et surprise.
- M… Moi ? souffla-t-elle.
- Oui, dit-il ; vous êtes assez méfiante, une battante – avec un caractère bien trempée, bien entendu – obsédée par la réussite, prête à envoyer balader une fille qui veut copiner signifiant que vous n’êtes pas née de la première pluie. Vous êtes à l’écoute des autres, prêtez une certaine attention, restez vous-même et de plus, vous êtes bien faite, expliqua-t-il dans un grand sourire.
- C’est ça, oui, marmonna-t-elle en baissant la tête avec modestie et scepticisme.
- Oh ! Lisbon ! Ne faites pas la modestie et ne vous dévalorisez pas ! protesta Jane ; Ces femmes ne vous arrivent pas à la cheville !

La belle brune baissa la tête et rougit rien qu’en entendant les mots de son consultant qui la mirent mal à l’aise. Il sourit d’un air triomphant et blanchâtre voyant sa patronne rougir ; il réussissait toujours à la mettre mal à l’aise et avoua qu’il adorait ça en trouvant cela très adorable de la voir dans un état embarrassant. Comment ne pas trouver mignon la couleur rouge sur les jolies pommettes de Lisbon qu’on avait l’impression de voir une adorable petite fille timide ? se demanda Jane mentalement.
Il reprit ses esprits, fouilla la poche droite de son gilet pour saisir son portable, composa un numéro et porta son téléphone à son oreille sous le regard interrogateur de Teresa.
- Qu’est-ce que vous faites ? demanda-t-elle.
- Je passe un coup de fil à votre coach, répliqua-t-il.
- Comment ça à mon…
Mais Lisbon n’eut rien le temps de terminer sa phrase que Jane leva son index pour l’indiquer à se taire et son interlocuteur décrocha.
- Allô ? Lauren ?... C’est Patrick !... Oui bien et toi depuis le temps ?... Ah oui ? (il sourit) Dis-moi, j’aurais besoin de tes lumières de coach pour un relooking immédiat… Oh non ! Non, ce n’est pas pour moi mais merci pour le compliment (Il rit et rougit d’un air gêné) C’est pour une amie (Il regarda Lisbon) elle est vraiment jolie mais… (Il fit la grimace en voyant qu’elle lui fit les yeux noirs et détourna du regard) mais c’est assez compliqué à expliquer, je… (Avoua-t-il avec un air hésitant) C’est vrai ?... (Il prit l’air étonné) On peut passer ?... Génial ! Je te remercie !
Il raccrocha, rangea son portable à sa place et se tourna vers sa patronne qui le fusilla du regard avec exaspération.
- Allons vous transformer en Reine de beauté, reprit-il en la guidant galamment à passer devant
- Quoi mais… où allons-nous ? demanda-t-elle toute chamboulée et perdue.
- Je vous expliquerai en chemin, dit Jane.

Le duo partit prendre la direction de l’ascenseur, Patrick se tourna vers ses collègues en les guidant de les suivre – dans le dos de Teresa en plus – puis tous quittèrent les locaux pour rejoindre les SUV au parking avant de pouvoir enfin prendre la route indiquée par le consultant.

Environ ¼ d’heure de route plus tard, les deux SUV se trouvèrent et se garèrent le long du trottoir. L’équipe pénétra à l’intérieur d’un bâtiment qui ressemblait plus à un immense dressing qu’à une simple entreprise. Les murs étaient peints d’un blanc crème apaisant ainsi que décorés de quelques petits miroirs baroques, les bordures des vitres étaient en or pur, le sol en parquet vitrifié de bois clair avec une légère estrade suivit d’une autre petite qui donnait accès direct à de grands miroirs – environ 4, 5 ou 6 peut-être – ayant la taille d’une porte d’entrée. Sur le côté droit, un bureau en verre avec une bibliothèque derrière. Sur la gauche, des sièges baroques devant une petite table basse en bois brut avec quelques magazines de mode croulant dessus ainsi qu’une collection de vêtements et accessoires.
Chacun donnait une réaction différente. Jane fit un léger sourire – en pensant que son amie avait toujours une bien à elle : Lisbon fit une moue dubitative – malgré qu’elle fut assez gênée et contrariée d’être ici, Cho hocha la tête en restant stoïque – ils auraient pu faire un effort sur la déco, Grace contempla des yeux la pièce d’un air impressionné – chapeau l’artiste ! – et Wayne eut le souffle coupé qu’il se contenta de siffler – assez bluffant.

Jane fit quelques pas et rompit le silence.
- Hey oh, du bateau ! Hissé O ! chantonna-t-il.
- Ah ! Mon beau blondinet préféré ! s’écria d’excitation une voix féminine.
- Ah ! Ma p’tite Lolo ! s’écria d’enthousiasme Jane.

Soudain, les agents virent surgir de nulle part – comme par enchantement – une femme d’environ 40 ans mesurant dans les 1m65 – proche de la taille de Lisbon – cheveux courts coupés à la garçonne, brune, yeux marrons, un sourire ultra-white et avec un accent assez marquant pouvant dire qu’elle venait d’Europe. Elle était vêtue d’un top de couleur bleu saphir en satin avec bretelle asymétrique, un pantalon slim noir stretch, elle portait des ballerines jaunes avec des petits talons hauts puis de longues boucles d’oreilles fantaisies.
On avait l’impression qu’elle sortait d’un magazine de mode mais ce n’était pas du tout le cas parce qu’elle semblait tout à fait très naturelle et excentrique. Puis dans ce look, elle ne faisait pas son âge, on aurait cru qu’elle fit plus jeune.
Elle courut à pieds joints vers Jane en lui tendant les bras et ils se serrèrent dans les bras l’un de l’autre comme s’ils ne s’étaient pas vus depuis des années. Lauren recula en observant le craquant blond de la tête aux pieds d’un air dubitatif.
- Waouh !... siffla-t-elle. T’es pas mal du tout dans ce costume.
Il rit d’un air nerveux et rougit.
- J’adore tes chaussures. Vraiment original, observa-t-il d’un air enjoué.
Elle balaya son compliment d’un geste de la main avec modestie.
- Oh ! Je te remercie ! le remercia-t-elle.
- Viens, je voudrais te présenter.
Jane prit Lauren par le bras, ils s’avancèrent ensemble vers ses collègues qui les dévisageaient d’un air incrédule et surpris de voir leur ami nouant d’amitié avec une femme. Mais Lisbon fit un sourire aussi crispé que timide en serrant les dents comme si elle était contrariée d’avoir de la concurrence.
J’en ai marre qu’il me fasse tourner en bourrique ! Mais qui est cette femme ? Une amie ou sa nouvelle conquête ? « Mon beau blondinet préféré ! » Pff ! Elle ne manque pas de tact celle-là, je vous jure ! Suis-je jalouse ? Moi ? Non, pas du tout ! pesta Lisbon mentalement.
Elle était plongée dans ses pensées qu’elle ne rendit même pas compte que Jane et Lauren se trouvèrent en face d’elle – enfin d’eux.

TBC...

J'adore!!! En particulier la réaction de Lisbon en apprenant qu'elle va participer à ce concours mais surtout sa petite crise de jalousie, à la fin!

VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :bounce: :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:

Excellent ce chapitre! J'adore les pensées de Lisbon.

Trop bien ce chapitre! Je crois qu'on se doutait pour le plan de Jane!

Et je plussoie Elodie14 et lilia, j'adore la petite pensée de Lisbon à la fin...

PS: de rien pour la correc'

j'adore ce chapitre !!!

Le plan de Jane ... --> J'aime, j'aime, j'aime !!!

Lisbon en miss Californienne yeaaah !!!


et cette phrase : - Les adolescents diraient que Lisbon est très bien roulée et qu’on est les meilleurs de toute l’Amérique, mais moi… commença-t-il. exellent !!!


Lisbon qui rougit aux compliments de Jane, on la retrouve bien là


Et puis cette Lauren ! excellente !

j'ai adoré ses phrases pour Jane ! = - Waouh !... siffla-t-elle. T’es pas mal du tout dans ce costume. mais aussi - Ah ! Mon beau blondinet préféré !


j'aime trop ce passage avec les pensées de Lisbon : Mais Lisbon fit un sourire aussi crispé que timide en serrant les dents comme si elle était contrariée d’avoir de la concurrence.
J’en ai marre qu’il me fasse tourner en bourrique ! Mais qui est cette femme ? Une amie ou sa nouvelle conquête ? « Mon beau blondinet préféré ! » Pff ! Elle ne manque pas de tact celle-là, je vous jure ! Suis-je jalouse ? Moi ? Non, pas du tout ! pesta Lisbon mentalement.

VLS !!! VLS !!! VLS !!!

Merci infiniment Lilia, Elodie14, Manga & Jiisbon
Vos commentaires font vraiment très plaisir et contente que ça vous plaise

Puis ça m'encourage à continuer d'écrire ma fic puis je suis déjà arrivée au Chapitre 10 donc je pense faire environ 16 Chapitres mais je verrai bien

j'adore l'idée de Jane ça promet de grands moments de rigolades avec une Lisbon pas du tout à l'aise ni à sa place
la pauvre quand même, j'aimerais pas être à sa place
me tarde de lire la suite :vivement: :vivement: :vivement: :vivement: en plus tu avance drôlement vite

AH AH !!! Quelle suite !!!!! J'adore !! je suis deja fan de ta fic !!!

Jane et ses idées geniales c'est sa qui est bon

Hate de lire la suite ma belle

Continue d'ecrire tu est faite pour sa !! Tu as tjs des idées superbes

Bisous ma JA Et merci a toi pour cette fic

Merciii beaucoup Sweety & Jisbon06
Contente de voir que ça vous plaise

@ Sweety : Je suis un peu maligne car j'ai écris environ 5 chapitres à l'avance avant de la poster puis comme ça j'avais un peu de temps de trouver des idées si jamais j'avais une panne d'inspiration

@ Jisbon06 : j'adore ton commentaire bourré de smileys puis arrête, tu me fais rougir
C'est plutôt les auteurs de romans, les créateurs de séries (comme Bruno Heller ) les réalisateurs de films qui ont des idées superbes

Pour les commentaires bourrés de smileys j'ai eu une bonne prof hein ma JA

hihi

Alors je pourrais dire que tu ferais une super realisatrice
Bisous ma belle

Et Hate de lire la suite !!!!!

Oh stop ! T'exagères
Je bourre mes commentaires des smileys parce que ça me plaît donc c'est normal
Euh... réalisatrice ? je ne pense pas car je n'ai jamais touché à une caméra puis jouer les chefs n'a jamais été mon fort.

~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~

Voici la suite comme prévu

Perso, pour moi, je trouve que c'est un des meilleurs chapitres de ma fic que j'ai écris pour le moment puis j'en suis satisfaite sans vouloir me vanter et je dois dire que c'est la première fois que je dis ça

J'espère en tout cas et comme toujours que ça vous plaira

Merci encore et encore Manga pour la correction de ma fic

Je posterai la suite Mercredi

Bonne Lecture...
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Chapitre 3 :

- Lauren Wyatt, je te présente les agents Kimball Cho, Wayne Rigsby et Grace Van Pelt. Les amis, je vous présente un coach, styliste et amie chère, Lauren Wyatt, présenta Jane.
Cho ne répondit rien, se contenta de la fixer.
- Bonjour, salua poliment Rigsby.
- Enchantée, dit Grace tout sourire.
- Salut ! salua Lauren. Dis-moi, ton copain asiatique est muet comme un robot ou il est toujours comme ça ? demanda-t-elle en se tournant vers Jane.
- Euh… On va dire un peu des deux, répliqua-t-il en haussant les épaules.
Grace et Wayne se regardèrent en se retenant de rire alors que Lisbon baissa la tête afin qu’on ne s’aperçoive pas qu’elle rit.
- Je ne suis pas sourd en tout cas, intervint Kimball.
- Dites-moi, vous avez une petite amie ? demanda Lauren curieuse.
- Oui et alors ? répondit Cho.
- Augmentez vos pirouettes sexuelles, par pitié, ça fera sortir un peu le balai que vous avez au cul, supplia Lauren.
- Je vous enverrai un mail à la même occasion, rétorqua l’asiatique.
La styliste fit les yeux ronds en haussant les sourcils alors que Jane sourit, Van Pelt ainsi que Rigsby éclatèrent de rire et Lisbon mit sa main sur sa bouche en étouffant son fou rire. Lauren fit une moue dubitative sans aucun commentaire et se tourna vers Lisbon en l’observant dans les moindres détails. Teresa se sentit observer qu’elle releva la tête en croisant le regard de l’amie de son consultant.
- Oh ! Et voici, l’agent Teresa Lisbon, l’amie dont je t’ai parlé, reprit Jane.
- Enchantée, salua Lauren en lui tendant la main.
- Bonjour, salua Teresa à son tour en lui serrant la main.
- Pourquoi tu me dis qu’elle a besoin de se faire relooker ? Elle est vraiment parfaite ! s’exprima Lauren d’une voix aigue et sincère.
- Oui et impossible de dire le contraire mais… commença Jane.
Soudain, le consultant se tut. Il vit son amie, lui lancer un sourire narquois et un regard autant espiègle qu’étonné en entendant ces mots. Patrick se tourna vers ses collègues où Kimball sourit, Wayne et Grace qui firent les mêmes signaux que Lauren – mais encore plus marqués – alors que Teresa était aussi mal à l’aise que débitée. Le mentaliste rougit et se tourna vers Lauren.
- Euh… C’est sérieux Lolo, c’est… pour le travail enfin on est au cours d’une enquête, balbutia-t-il en retrouvant son sérieux.
- Ah ! Je t’écoute, fit Lauren en ouvrant grand ses oreilles.
- La concurrente qui devait représenter la Californie pour le concours Miss USA… commença Jane
- Tu veux dire la fille dont on parle aux infos qui est morte à Los Angeles, c’est ça ? supposa son amie.
Jane hocha la tête.
- Et tu as usé une de tes idées de « génie » pour venir me voir afin que je transforme ta petite amie en Miss Californie pour pouvoir coincer le méchant, conclut-elle
- Oui, répondit simplement le consultant.
- Mais que ce soit clair, Jane n’est pas mon petit ami, intervint Lisbon mal à l’aise.
- C’est vrai et Lisbon n’est pas ma petite amie, ajouta le beau blond aussi mal à l’aise que sa patronne.
- Hum, hum… marmonna Lauren en les dévisageant. Allez, jeune demoiselle, venez avec moi, mon équipe va vous métamorphoser en reine de beauté, s’exprima-t-elle en prenant Lisbon par le bras.
- Lauren fait des miracles, vous ne le regretterez pas, chuchota Patrick.
- Je le regrette déjà, répliqua sa patronne avec exaspération.
- Avec moi, jamais ! intervint Lauren.
Elle traîna Lisbon avec elle et les deux femmes disparaissaient derrière les miroirs.

En premier lieu, Teresa se débarrassa de ses vêtements sous l’ordre de Lauren qui jugea sa tenue trop sombre, sinistre, classique et James bond girl ; l’agent enfila une blouse comme une patiente dans un hôpital puis s’installa sur une table à longer où deux dames en blouse rose d’esthéticienne s’occupèrent d’elle. Lisbon se fit badigeonner de crème hydratante sur le visage pour le nettoyer ainsi que dégager les pores puis le sébum puis ensuite, on appliqua sur sa peau, un masque tonifiant. La plus experte de l’esthétique appliqua de la cire sur chaque membre de son corps, déposa une bandelette dessus et la tira aussi sec ce qui fit hurler de douleur la belle brunette à chaque fois.

Pendant ce temps, dans leur coin, l’équipe sursauta en entendant l’énorme cri de Teresa parvenir à leurs tympans comme si elle criait à l’aide. Les garçons se regardèrent avec inquiétude pour comprendre ce qui se passait alors que Grace grimaçait dans un sourire et se tourna vers eux qui la dévisagèrent.
- Epilation du maillot, se contenta de dire la jolie rousse.
Ils se regardèrent à tour de rôle en faisant une grimace de douleur en imaginant les sévices puis ils secouèrent la tête en chassant l’image de leur esprit.

Plus tard, Lisbon passa en mode coiffure avec – encore – un nouveau masque de beauté sur le visage. On peigna, ébouriffa ses cheveux, lui appliqua un masque capillaire et au même moment, son ventre se mit à gargouiller.
- Je meurs de faim ! gémit-elle.
Lauren disparut pendant une légère minute afin de revenir avec une assiette de crudités au plus grand désespoir et étonnement de Lisbon.
- C’est tout ! s’étonna-t-elle.
- Navrée ma belle, mais il faut aussi savoir que dans le monde de la beauté, les filles font attention à leur ligne, répliqua Lauren d’un air désolé.
La belle brunette soupira d’exaspération et croqua une carotte.
Ben ouais, c’était à prévoir et les autres s’empiffrent de sandwichs super bons venant de la sandwicherie ou bouffent au resto du coin alors que moi, je suis là et faisant un régime forcé, exaspéra-t-elle en silence en mâchouillant sa carotte
- Dites-moi, Teresa, je peux vous appeler Teresa ? reprit Lauren.
Lisbon se contenta d’hausser les épaules.
- Si vous voulez.
- Je peux vous poser une question ? demanda son coach.
- Allez-y, soupira-t-elle en craignant le pire.
- Ca fait combien de temps que vous connaissez enfin, travaillez avec Patrick ?
- Euh… Ca fait 8 ans environ, répondit Lisbon hésitante.
- Vous couchez ensemble ? demanda Lauren du tac au tac.
- Euh… q… quoi euh… je euh… non ! bafouilla Teresa mal à l’aise et rougit.
Lauren sourit d’un air victorieux comme si elle venait de toucher un point sensible.
- Mais vous ne niez pas qu’il vous plaît ? insista la styliste.
Lisbon fit étonnée qu’elle lâche un rire nerveux alors que ses joues s’enflammèrent.
- Je…mais qu’… qu’est-ce que ça avoir avec ça ? demanda Lisbon en bafouillant.
- Je pense que vous lui plaisez ! dit-elle d’un air enjoué.
- Euh… m… mais qu’est-ce qui vous fait croire cela ? interrogea l’agent mal à l’aise.
- J’ai bien vu la façon dont il vous dévore des yeux, comment il se comporte avec vous, comment il vous sourit… commença l’amie de Jane. Pour être honnête, je ne l’avais pas vu regarder une autre femme comme ça depuis la mort d’Angela, avoua-t-elle d’un air triste.
Soudain, Lisbon fit une mine triste en entendant cette révélation qu’elle baissa la tête, confuse et imaginant le chagrin de son consultant.
- Je suis désolée, souffla Lisbon d’un air triste.
Lauren sourit.
- Vous n’avez pas à être désolée, dit la femme.
- Vous connaissiez bien la famille de Jane ? Désolée si je suis trop… commença Teresa.
- Non, pas du tout, la rassura Lauren. Je connais Patrick depuis qu’on est ados, je travaillais avec mon oncle qui servait des confiseries après la disparition de mes parents dans un accident de voiture et lui, il bossait avec son père qui se servait de lui pour gagner de l’argent et c’était une ordure de première, raconta-t-elle.
- Comment ça ? demanda Lisbon à voix basse.
- Un soir, commença Lauren, Patrick est venu me voir, bouleversé et en colère. Il m’a dit qu’il venait d’arnaquer avec la complicité de son père une vieille dame riche avec sa petite fille qui allait mourir et je peux vous jurer qu’il s’en voulait terriblement.
Lisbon n’arrivait pas à trouver les mots. Elle n’avait pas connu Jane à cet époque, elle ne connaissait pas cette histoire et croit même qu’il ne l’avait jamais raconté. Mais elle pouvait comprendre la culpabilité qu’il ressentait, qu’il se sent coupable d’avoir escroqué contre sa volonté ces pauvres gens comme pour la mort de sa famille.
- Puis son père était revenu de sa soirée de poker, continua Lauren, il était super en colère, il avait presque tout perdu l’argent qu’il avait gagné puis il était ivre. Il le cherchait et savait qu’il le trouverait dans notre stand. Mon oncle l’a vu et lui a demandé de partir mais son père l’a repoussé violemment, il a agrippé Patrick par le bras qui résistait en criant « non » mais il l’a giflé et l’a traîné de force puis je l’ai retenu en suppliant son père de lui ficher la paix et de se casser d’ici mais il m’a frappé en pleine figure.
Une larme coula le long de la joue de Lauren en revivant ce douloureux souvenir qu’avait vécu Patrick face à un père qui était un escroc et violent. Teresa imagina bien cette souffrance, elle savait ce que c’était de perdre sa mère ainsi que de vivre avec un père violent.
- Patrick a poussé avec force son père après avoir vu ce qu’il m’a fait, enchaina la styliste en séchant une larme , il s’est mis devant moi pour me protéger, son père était sur le point de le frapper, mais mon oncle lui a collé son poing dans la figure en lui criant de dégager avant qu’il le regrette ensuite il est parti et a disparu depuis ce jour-là. Plus plusieurs années plus tard, Patrick a rencontré Angela et entre eux, ça a été le grand bonheur jusqu’à ce que…
Lauren se tut. Elle fut trop bouleversée pour terminer son histoire mais Lisbon n’en avait pas besoin qu’elle le lui dise, la belle brunette la connaissait déjà. Rien que d’y revoir le smiley rouge sur le mur de la chambre de Jane ainsi que les corps de sa femme et de sa fille, son cœur se serra puis les larmes lui montaient aux yeux.
Teresa s’en voulait d’avoir refoulé à l’amie de Jane ses douloureux souvenirs, d’avoir été indiscrète comme si elle avait manqué de respect envers la vie privée aux deux amis de toujours.
- Je suis désolée, je ne voulais pas… commença Lisbon d’un air confus.
- Non, vous n’y êtes pour rien, la coupa Lauren d’un ton rassurant ; puis il me parle beaucoup de vous et il a raison. Vous êtes vraiment l’incarnation de Mère Teresa.
Lisbon sourit en secouant à peine la tête.
Ah ! Sacrée Jane ! La chance qu’il ne soit pas près de moi pour que je lui remonte les bretelles ! pensa-t-elle.

La nuit était déjà tombée, tout était fermé. Cho, Rigsby et Van Pelt étaient déjà partis chez eux pour se reposer vu qu’il était déjà tard. Jane leur avait dit qu’il restait afin de s’assurer que tout allait bien pour Lisbon - plutôt qu’il n’avait pas sommeil et qu’il ne voulait pas la laisser seule. Patrick faisait les cent pas avec impatience de voir le résultat et inquiétude en se demandant si les deux femmes s’entendaient bien. Il connaissait Lauren depuis leur adolescence, c’est elle qui l’avait sauvé des griffes de son père, c’est grâce à elle qu’il avait rencontré Angela puis en échange, il lui avait désigné étant la marraine de Charlotte. Mais depuis le décès des deux femmes chères à son cœur, ils s’étaient perdus de vue quand Patrick avait fait une dépression et entré en hôpital psychiatrique jusqu’à ce qu’ils renouèrent le contact il y a quelques mois.

Patrick connaissait Teresa Lisbon enfin, au fil des enquêtes et des années, il a appris à la connaitre davantage. Cette femme lui criait dessus sans arrêt à chaque fois que c’était à elle de rédiger les dépôts de plaintes posés à son encontre jusqu’à ce qu’elle risque sa carrière pour le tirer d’affaire malgré son apparence assez détendu, à l’intérieur, il s’en voulait d’avoir agi de la sorte alors qu’elle risquait de se faire virer du CBI par sa faute. Tout ce qu’il désirait, c’était que justice soit faite mais à chaque fois, il allait trop loin. Mais il adorait la faire rougir et la voir sourire à la fois, lui apporter un café pour la réconforter, entendre sa voix, passer du temps avec elle en discutant de tout et de rien puis c’est grâce à elle qu’il reprit goût à la vie. Depuis quelques temps, Patrick ne considérait plus Teresa comme une simple amie à ses yeux, elle représentait beaucoup plus que cela pour lui comme si c’était de l’amour naissant alors qu’il avait renoncé à ce sentiment depuis la mort de son épouse.
Comment puis-je tomber amoureux d’elle alors que j’aime toujours ma femme ? C’est comme si je la trompais et sur le point de la trahir. Je ne veux que le bonheur de Lisbon, je ne suis pas l’homme qu’il lui faut et je ne veux pas la faire souffrir après ce que j’ai vécu. Elle ne le mérite pas. Et comment peut-elle aimer un homme comme moi ? songea Patrick mentalement.
Etant mentaliste, il pouvait le savoir mais en amour, il n’était pas très doué puis avait fait une croix sur toute relation amoureuse. Mais le consultant fut tellement plongé dans ses pensées obscures qu’il finit par s’assoupir sur un fauteuil.


Miss Etats-Unis : J-4

Le jour se leva à peine sur la Californie, promettant un meilleur temps que la veille. Jane était plongé dans un sommeil profond étant donné que les rayons du soleil ne le réveillèrent pas. Une main se posa sur l’épaule du beau blondinet qui fit un sursaut en croisant le regard de la personne qui l’avait réveillé.

TBC...

Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne prend pas de gants Lauren!!!
J'aime bien son caractère!!!
Trop triste le passage flaschback.

VLS!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Merciii beaucoup Manga & Lilia
Contente de voir que ça vous plaise

J'ai mis le personnage de Lauren pour mettre un peu de fantaisie et de fun dans la fic puis j'avoue qu'au sujet de l'histoire de Jane avec son père, j'étais été triste voir émue en l'écrivant.

Encore mercii mille fois à vous les filles !!

Ah ah !! Le relloking de Lisbon
ET l'epilation

Et l'histoire de Jane et son pere C'est affreux !!!

Ooooohhhhh !!! serai-ce la magnifique Lisbon toute relooker qui vient eveiller notre sexy consultant ???

Toujours fan de ta fic !!

je devore tes chapitres en un rien de temps


VLS !!!

Merciii beaucoup Jisbon06 ton com me fait super plaisir

Ah ah, je me doutais bien que t'allais penser à ça j'ai laissé exprès la fin sur ça pour faire durer le suspens mais il faudra attendre Mercredi

Encore mercii beaucoup pour ton com

Derien

Mercredi c'est trop loin :bounce: :bounce:
J'attendrais impatienciamment

bisous JA et merci pour ce super chapitre

J'ai adoré ce chapitre, encore plus que les autres si c'est possible xD.Voilà pourquoi je ne commente que maintenant, même si cela n'est pas une raison . . .
Ayant vu le film de nombreuses fois, j'accroche totalement à ton histoire et à ton style d'écriture !
Tu nous transportes vraiment dans ton univers !
J'attends la suite avec impatiente !