Le fiancé parfait d'un soir ^
+15
Totorsg
Only Sentimentalist
Calliope69
Elodie14
Cdt63
Sweetylove30
terpo4
Johel
tête d'abricot
jisbon06
Straw-sama
Pepe64
teninches
alamanga
JisbonAddict
19 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Elle exagère vraiment cette Lydia!!!! Elle tape sur ls nerfs de tout le monde mais, je trouve que Jane et Lisbon s'en sortent super bien pour l'instant même s'ils sont au bord de la rupture!!!
Je me demande quel peut bien être le plan de Jane.
J"ai hâte de lire la suite!!!!!
Je me demande quel peut bien être le plan de Jane.
J"ai hâte de lire la suite!!!!!
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Cette suite est génial !!
le baiser
En tout cas, c'est clair que lisbon et Jane gère plutôt bien la situation parce que la tante lidya elle est vraiment pas facile, je comprend Lisbon qui a des envie de meurtre mdr !
j'ai hâte de savoir ce que Jane à en tête, ça promet !
j'ai hâte de lire la suite
le baiser
En tout cas, c'est clair que lisbon et Jane gère plutôt bien la situation parce que la tante lidya elle est vraiment pas facile, je comprend Lisbon qui a des envie de meurtre mdr !
j'ai hâte de savoir ce que Jane à en tête, ça promet !
j'ai hâte de lire la suite
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Le baiser, c'est tout
Par contre tatie Lydia
J'espère que le plan de Jane sera à la hauteur de ce qu'elle leur a fait vivre pendant la soirée
Par contre tatie Lydia
J'espère que le plan de Jane sera à la hauteur de ce qu'elle leur a fait vivre pendant la soirée
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Je sens que le plan de Jane va être mais aussi ! De toute façon on verra ^^ quoi que tu nous réserves se sera
Le baiser était tellement " Waww " que j'ai crut en tomber de ma chaise
J'espère qu'ils vont faire quelque chose pour mettre Tata Lydia mal à l'aise
VLSSS
Le baiser était tellement " Waww " que j'ai crut en tomber de ma chaise
J'espère qu'ils vont faire quelque chose pour mettre Tata Lydia mal à l'aise
VLSSS
Invité- Invité
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Plus ton histoire avance plus j'ai envie de et cette satané tante Lydia !
Je comprends même pas pourquoi Lisbon ne l'a pas encore assomé avec sa chaise !
La scène du baiser est vraiment bien décrite, on sent bien l'incompréhension de Jane au début et son hésitation, et on perçoit très bien la culpabilité de Lisbon après.
J'espère une chose : que le plan de Jane soit aussi efficace que ceux qu'il manigance dans les enquêtes et surtout que ce plan fasse fuir la vielle tante !!
VLS
Je comprends même pas pourquoi Lisbon ne l'a pas encore assomé avec sa chaise !
La scène du baiser est vraiment bien décrite, on sent bien l'incompréhension de Jane au début et son hésitation, et on perçoit très bien la culpabilité de Lisbon après.
J'espère une chose : que le plan de Jane soit aussi efficace que ceux qu'il manigance dans les enquêtes et surtout que ce plan fasse fuir la vielle tante !!
VLS
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Sweety, Teninches, Totorsg, Johel, Love-Story, Elodie14 & Terpo4
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite qui est l'avant-dernier chapitre
C'est bientôt la fin de ma fic ben oui, toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit mais je prépare une nouvelle fic que j'écris actuellement
Bonne Lecture...
____________________________________________________________
Un bruit de verre se posant brutalement sur la table fit sursauter tante Lydia qui se retourna automatiquement vers la cuisine d’où venait le tintement. Elle se leva lentement de sa chaise en lissant parfaitement sa tenue. Les rires de Lisbon et de Jane résonnèrent, arrivèrent près d’elle que Lydia fronça les sourcils d’un air interrogateur avec ses poings sur ses hanches sur ce qui se passait.
Le couple apparut dans son champ de vision, le consultant soutenait par la taille sa partenaire qui lui entourait le cou de son bras, avec le visage au creux de son épaule : elle était, visiblement, assez pompette vu qu’elle marchait à peine droit.
- Hum… tu sens très bon, chéri. Souffla Lisbon d’un ton à peine audible
Elle embrassa alors Jane dans le cou alors qu’il sourit d’un air gêné.
- Merci mon cœur, la remercia-t-il.
Patrick tourna ses yeux vers Lydia qui restait immobile en les regardant d’un air exaspéré et honteux de voir sa nièce ainsi. Le mentaliste lui lança un regard confus mais froid, voyant son comportement supérieur et égoïste qui le désarçonna.
Comment peut-on avoir quelqu’un comme ça dans une famille et comment peut-on supporter une personne dans son genre ?
Mais il garda son sang-froid et reprit :
- Excusez-nous Lydia, s’excusa-t-il ; mais je crois que le café et le thé attendront jusqu’à la noce…
- Tante Lydia, le coupa Lisbon en essayant d’articuler.
Elle essaya de rester droite en la pointant du doigt en essayant d’articuler sa phrase.
- J’ai envie, commença-t-elle ; j’ai envie de… de te di… dire… que… tu… tu n’es qu’une…
Voyant le visage de la tante s’empourprer de colère et de honte, Jane intervint au plus vite pour interrompre Lisbon à temps. Mais avant qu’il n’intervienne, elle sombra dans un sommeil et fut à deux doigts de toucher le sol tant elle s’était penchée Son consultant la rattrapa de justesse dans la volée, la porta dans ses bras alors qu’elle enroula ses bras autour de son cou en posant sa tête au creux de son épaule.
Jane l’apaisa et la rassura en chuchotant des mots tendres, sentit son souffle dans son cou ce qui le fit frissonner, puis se tourna vers Lydia qui perdit patience en se rendant à l’entrée vers le portemanteau.
- Je vais rentrer à l’hôtel. Lança Lydia ; vous me raccompagniez Patrice ? Je ne vais pas payer un second taxi et il faut bien que vous serviez à quelque chose !
Garde ton sang-froid ! Garde ton sang-froid ! Se conseilla Jane mentalement.
- Vous permettez avant que j’emmène ma future femme dans notre chambre pour qu’elle se repose si ça ne vous dérange pas trop bien sûr ? Répliqua-t-il d’un ton sérieux et ferme.
Lydia s’apprêtait à ouvrir la bouche pour lui répondre mais Jane ne lui laissa pas le temps de répliquer qu’il prit l’initiative de parler.
- Merci ! Dit-il.
Il rejoignit les escaliers avec Lisbon, endormie dans ses bras en la conduisant à l’étage jusqu’à la chambre pendant que la tante attendait impatiemment le retour du blondinet avec les yeux ronds écarquillés. La tante fut totalement abasourdi par le comportement du « futur mari » de sa nièce. Il était méprisable, arrogant, impoli, exaspérant, malgré bien sûr ses bonnes manières, sa gentillesse, son affection, son attention et son amour naïf pour sa nièce.
Lydia doit reconnaître qu’il était différent des autres hommes que Teresa avait fréquentés durant ces dernières années, qui n’avaient été que des échecs, comme elle-même avait connu avec les fréquentations de sa jeunesse plus ses 5 mariages à son compteur.
Véritable exemple de Liz Taylor ou encore de Marilyn Monroe !
Aussi, il fallait être totalement aveugle pour ne pas remarquer la façon dont ce bel homme regardait sa sublime nièce, comme s’il ne voyait qu’elle, oubliant tout ce qui les entourait, oui comme s’ils étaient seuls au monde. Deux âmes sœurs réunies.
Mais cette vision la rendait folle de jalousie, voir que sa propre nièce pouvait avoir trouvé le bonheur auprès de ce candidat idéal comme futur mari ; c’était ça son problème, ce qui la rendait si glaciale qu’une porte de prison, ce qu’elle n’avait jamais connu durant ses nombreuses unions : le bonheur.
Quelques minutes plus tard, Patrick descendit au rez-de-chaussée doucement afin de ne pas réveiller sa partenaire plongée dans un profond sommeil et rejoignit la tante névrosée à l’entrée.
- Essayons de ne pas faire trop de bruit en sortant, dit Jane dans la confidence ; je tiens à ce qu’elle se repose, elle est épuisée.
- Bien. Dit simplement Lydia sans intérêt.
Alors qu’elle lui tournait le dos pour prendre ses affaires, le consultant la regarda avec mépris pendant un moment.
Et moi qui croyais avoir tout vu, alors là, c’est vraiment la cerise sur le gâteau ! Lisbon n’avait pas du tort sur ce coup-là ! Se dit-il avec ironie ; si c’est comme ça, dans ce cas, traitons le mal par le mal.
Soudain, Jane remit son plan en tête. Alors que Lydia se tourna vers lui en tendant sa veste dans sa direction, il fit mine de celui qui ne comprenait pas quoi en faire – alors qu’il savait très bien ce qu’elle désirait – en attrapant sa veste sur le portemanteau et l’enfila sous les yeux de la tante contrariée par son – faux – culot. Elle boutonna sa veste seule d’un air exaspéré et vexé, pendant que Jane lui, ajustait le col de sa veste ainsi que celui de sa chemise avant d’ouvrir la porte et sortir. Lydia se retourna, vit le beau blond tenir la porte de l’extérieur en l’invitant à sortir puis elle s’exécuta devant ses airs de gentleman avant qu’il ne ferme doucement la porte derrière elle. Le consultant guida la tante vers sa fameuse DS garée le long du trottoir et en voyant sa voiture alors qu’il lui ouvrit la portière côté passager, Lydia fut surprise et fit une mine déroutée.
Elle aurait pensé qu’il possédait un modèle plus présentable, plus moderne voir plus sophistiqué mais sans qu’elle ne dise ses pensées, Jane répliqua d’un air détaché.
- Désolé Lydia mais entre nos salaires de fonctionnaire miséreux et une avocate d’entreprise superficielle, il y a tout de même une immense différence.
Il sourit d’un air fier à sa réplique en l’invitant à s’installer sur la banquette avant du passager alors que Lydia prit sérieusement ses paroles au premier degré qu’elle riposta d’un air ironique en s’installant dans la DS.
- Et bien, espérons que votre… poubelle ne va pas vous envoyer dans le fossé durant le trajet.
Tiens ! Pourquoi pas !?! Ca me rendrait service ainsi qu’à Lisbon ! Elle serait d’accord au moins ? Pensa-t-il d’un air songeur et ironique en fermant la portière derrière elle.
Jane prit place derrière le volant, boucla sa ceinture, alluma le contact, démarra et la DS se mit en route vers le Citizen Hotel où logeait Lydia.
Durant le trajet, le consultant fit de son mieux pour respecter les limitations de vitesse, éviter de griller un feu rouge ou de rater une bifurcation ou de tourner dans le mauvais sens… mais plus la tante névrosée lui donnait des ordres du genre « Regardez devant vous ! », « prenez à droite, c’est plus rapide ! », « faites attention aux feux », « pas trop vite. », « pas trop près ! » plus il avait du mal à garder la tête froide sous ses ordres.
Il comprit la colère, l’agacement, l’insubordination de Teresa envers cette bonne femme qui pense tout contrôler sur le plan professionnel et personnel ainsi que sur la vie de ses nièces et neveux, surtout celle de Lisbon, Sa Lisbon.
Mais derrière cette carapace rigide et glaciale de Lydia, Patrick sentit une souffrance voire une immense envie de la vie amoureuse des autres, alors que la sienne était un véritable labyrinthe au niveau de l’engagement plus principalement.
Le mentaliste venait peut-être de découvrir la véritable raison de la rigidité, le nombrilisme de la tante, mais il ne souhaita pas évoquer le sujet tant qu’il n’était pas encore sûr à 100% de son hypothèse.
Environ après un quart d’heure de route, sans trop de circulation, la DS se gara devant le trottoir en bas du Citizen Hotel, sans encombre. Patrick éteignit ses feux et coupa le contact. Un portier en uniforme s’avança vers la voiture alors que Lydia détacha sa ceinture.
- Bien ! S’exprima Lydia ; je vous remercie de m’avoir reconduite à l’hôtel Patrice. J’espère que d’ici là, vous améliorerez votre conduite parce que j’ai l’impression que vous avez eu votre permis dans un paquet de céréales pour enfant. Fit-elle d’un air sec.
Jane ne fit rien malgré qu’il sente sa mâchoire se crisper, ses dents se serrer mais resta calme comme il le pouvait pendant que l’affreuse tante continua sa vague de reproches.
- Permettez-moi de vous dire en toute franchise que vous n’êtes pas le genre de mari assez bien pour ma nièce. Pour elle, il faut qu’un homme lui offre luxe, confort et qui serait prêt à tout pour elle et pour ça, vous êtes loin d’être à la hauteur.
Zen, Patrick ! Zen ! Reste Zen ! Se dit-il mentalement en serrant encore plus les dents.
- Puis un conseil, poursuivit-il d’un air passif agressif ; si vous voulez donner luxe et confort à Teresa, refaites des études pour faire travailler votre cerveau et vous rendre un peu plus mâture. Puis entre nous, je ne vois pas pourquoi Tess vous a choisi !
Lydia lui fit un sourire sarcastique et autosatisfait au moment où le portier lui ouvrit la portière de son côté, elle descendit du véhicule et le portier ferma la porte derrière elle. Jane bouillonnait de l’intérieur, le sarcasme de cette tante mégère le rendait ainsi que Lisbon dans un tel état de fureur qu’il en avait assez, puis comprit que son hypothèse était juste, mais là ça allait trop loin.
Là, vraiment, trop c’est trop ! Désolé Lisbon !
Il descendit du véhicule et retint la tante.
- Lydia ! L’appela-t-il.
Celle-ci se tourna automatiquement vers le consultant qui rejoignit le trottoir à quelques mètres d’elle.
- Je veux vous parler seul à seule. Maintenant. Exigea-t-il fermement.
Vêtue d’un débardeur vert émeraude sous un sweat en velours noir avec l’écusson rouge et blanc de l’équipe de Chicago Bulls (NBA - basket-ball) puis d’un short de sport blanc avec 2 traits noirs sur les côtés, Lisbon faisait les cent pas dans son salon en regardant sans arrêt son portable posé sur la table basse. Il était déjà 23h15 et ça faisait presque une demi-heure que Patrick et Lydia étaient partis.
Quand Jane l’avait informée de son plan, elle n’avait pas hésité une seule seconde et quand sa tante fut partie, la jeune femme en était soulagée qu’elle fût prête à sauter sur tous les toits, mais il fallait qu’elle se calme parce que sa tante pouvait – si elle faisait preuve d’attention pour une fois dans sa vie – l’appeler à n’importe quel moment et il fallait rester dans ce rôle durant un bon moment pour que ce soit vrai. Pas un seul coup de fil depuis, Teresa avait eu largement le temps de se changer, se démaquiller et se coiffer d’une tresse sur le côté. Mais le temps passait, plus elle commençait sérieusement à se faire du souci.
Etaient-ils tombés en panne ? Parce qu’avec le cercueil en ferraille de Jane, on ne sait jamais. Avaient-ils eu un accident ? Non, sinon on l’aurait tout de suite appelée et elle serait déjà à l’hôpital à l’heure qu’il est. Les embouteillages ? Ca ne pouvait pas être ça non plus, sinon le consultant l’aurait appelée – s’il avait eu au moins la délicatesse de le faire encore. Alors pourquoi ?
Très vite, elle fut sortie de ses pensées quand son téléphone vibra sur la table, elle se précipita dessus en saisissant frénétiquement son mobile mais fut coupée dans son élan voyant le numéro sur son petit écran : celui de tante Lydia.
Lisbon prit une profonde inspiration en paraissant assez « éméchée » par l’alcool puis décrocha.
- Lisbon !?! Fit-elle d’une voix à peine audible.
- Oh, ma chère nièce ! Ma chère Teresa ! S’exprima Lydia d’une voix étranglée.
En entendant avec surprise et incompréhension le son de la voix de sa tante, Lisbon s’inquiéta très vite et elle reprit un air presque normal.
- Tante Lydia ? Ca va ? S’inquiéta-t-elle.
- Oh ma chérie ! Je suis vraiment, vraiment mais vraiment désolée ! S’excusa-t-elle presque en sanglots.
- Vraiment désolée pour quoi ? Insista-t-elle.
- Pour tout le mal que je t’ai fait ainsi qu’à tes frères, lui répondit-elle en reniflant ; d’avoir contrôlé ta vie au doigt et à l’œil, d’avoir essayé de mettre fin à tes fiançailles et de te rendre malheureuse… je suis vraiment désolée pour que je t’ai fait.
Sous cette révélation imprévue, Teresa resta silencieuse ne savant pas trop quoi dire ni trop quoi penser.
- Je sais qu’il est tard pour des excuses, poursuivit Lydia ; mais s’il te plaît, pardonnes-moi. J’ai agi comme un monstre qui voulait faire souffrir ceux que j’aime dont toi, ce qui ont trouvé le bonheur alors que je ne cherchais qu’à le détruire parce que je… j’étais jalouse, je t’enviais d’avoir trouvé le bonheur auprès de Patrick alors que je ne l’ai jamais connu au cours de mes 5 mariages.
A entendre sa tante dire pour la première fois « Patrick », la jeune femme fut stupéfaite mais un sourire apparut sur son visage dans un secouement de tête en se disant que son consultant lui avait remonté les bretelles pour qu’elle réagisse ainsi.
- Teresa, continua Lydia ; organises le mariage de tes rêves puis n’hésites pas à m’appeler si t’as besoin d’aide pour le préparer, je vous souhaite à vous deux tout le bonheur du monde et ne le laisse pas filer : Patrick c’est l’homme de ta vie. Pardonne-moi, ma chérie.
- Euh… bien euh… merci tante Lydia et euh… j’accepte tes excuses… bafouilla Lisbon encore stupéfaite.
- Oh, merci. Lui remercia Lydia soulagée et émue ; tu es vraiment un ange. Tous mes vœux de bonheur à tous les deux encore.
- … Merci. La remercia Lisbon.
Une fois le portable raccroché, la belle brunette fut encore toute surprise voire étonnée et perplexe par le changement radical, plutôt soudain, du comportement de sa tante envers elle. Lisbon avait tout tenté pour que sa tante change de comportement mais tous efforts étaient en vain. Jusqu’à ce soir. Elle se doutait bien que son consultant était derrière ce changement mais comment avait-il fait ça ? Qu’est-ce qu’il lui avait dit, voire que lui avait-il fait pour qu’elle change ainsi ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Mais en tout cas, ça avait fait de l’effet.
Soudain, son téléphone sonna à nouveau et décrocha aussitôt sans réfléchir.
- Lisbon !... Jane ! dit-elle surprise ; quoi ? À cette heure-ci ? Je vous rejoins où ?
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite qui est l'avant-dernier chapitre
C'est bientôt la fin de ma fic ben oui, toutes les bonnes choses ont une fin comme on dit mais je prépare une nouvelle fic que j'écris actuellement
Bonne Lecture...
____________________________________________________________
Partie VII :
Un bruit de verre se posant brutalement sur la table fit sursauter tante Lydia qui se retourna automatiquement vers la cuisine d’où venait le tintement. Elle se leva lentement de sa chaise en lissant parfaitement sa tenue. Les rires de Lisbon et de Jane résonnèrent, arrivèrent près d’elle que Lydia fronça les sourcils d’un air interrogateur avec ses poings sur ses hanches sur ce qui se passait.
Le couple apparut dans son champ de vision, le consultant soutenait par la taille sa partenaire qui lui entourait le cou de son bras, avec le visage au creux de son épaule : elle était, visiblement, assez pompette vu qu’elle marchait à peine droit.
- Hum… tu sens très bon, chéri. Souffla Lisbon d’un ton à peine audible
Elle embrassa alors Jane dans le cou alors qu’il sourit d’un air gêné.
- Merci mon cœur, la remercia-t-il.
Patrick tourna ses yeux vers Lydia qui restait immobile en les regardant d’un air exaspéré et honteux de voir sa nièce ainsi. Le mentaliste lui lança un regard confus mais froid, voyant son comportement supérieur et égoïste qui le désarçonna.
Comment peut-on avoir quelqu’un comme ça dans une famille et comment peut-on supporter une personne dans son genre ?
Mais il garda son sang-froid et reprit :
- Excusez-nous Lydia, s’excusa-t-il ; mais je crois que le café et le thé attendront jusqu’à la noce…
- Tante Lydia, le coupa Lisbon en essayant d’articuler.
Elle essaya de rester droite en la pointant du doigt en essayant d’articuler sa phrase.
- J’ai envie, commença-t-elle ; j’ai envie de… de te di… dire… que… tu… tu n’es qu’une…
Voyant le visage de la tante s’empourprer de colère et de honte, Jane intervint au plus vite pour interrompre Lisbon à temps. Mais avant qu’il n’intervienne, elle sombra dans un sommeil et fut à deux doigts de toucher le sol tant elle s’était penchée Son consultant la rattrapa de justesse dans la volée, la porta dans ses bras alors qu’elle enroula ses bras autour de son cou en posant sa tête au creux de son épaule.
Jane l’apaisa et la rassura en chuchotant des mots tendres, sentit son souffle dans son cou ce qui le fit frissonner, puis se tourna vers Lydia qui perdit patience en se rendant à l’entrée vers le portemanteau.
- Je vais rentrer à l’hôtel. Lança Lydia ; vous me raccompagniez Patrice ? Je ne vais pas payer un second taxi et il faut bien que vous serviez à quelque chose !
Garde ton sang-froid ! Garde ton sang-froid ! Se conseilla Jane mentalement.
- Vous permettez avant que j’emmène ma future femme dans notre chambre pour qu’elle se repose si ça ne vous dérange pas trop bien sûr ? Répliqua-t-il d’un ton sérieux et ferme.
Lydia s’apprêtait à ouvrir la bouche pour lui répondre mais Jane ne lui laissa pas le temps de répliquer qu’il prit l’initiative de parler.
- Merci ! Dit-il.
Il rejoignit les escaliers avec Lisbon, endormie dans ses bras en la conduisant à l’étage jusqu’à la chambre pendant que la tante attendait impatiemment le retour du blondinet avec les yeux ronds écarquillés. La tante fut totalement abasourdi par le comportement du « futur mari » de sa nièce. Il était méprisable, arrogant, impoli, exaspérant, malgré bien sûr ses bonnes manières, sa gentillesse, son affection, son attention et son amour naïf pour sa nièce.
Lydia doit reconnaître qu’il était différent des autres hommes que Teresa avait fréquentés durant ces dernières années, qui n’avaient été que des échecs, comme elle-même avait connu avec les fréquentations de sa jeunesse plus ses 5 mariages à son compteur.
Véritable exemple de Liz Taylor ou encore de Marilyn Monroe !
Aussi, il fallait être totalement aveugle pour ne pas remarquer la façon dont ce bel homme regardait sa sublime nièce, comme s’il ne voyait qu’elle, oubliant tout ce qui les entourait, oui comme s’ils étaient seuls au monde. Deux âmes sœurs réunies.
Mais cette vision la rendait folle de jalousie, voir que sa propre nièce pouvait avoir trouvé le bonheur auprès de ce candidat idéal comme futur mari ; c’était ça son problème, ce qui la rendait si glaciale qu’une porte de prison, ce qu’elle n’avait jamais connu durant ses nombreuses unions : le bonheur.
Quelques minutes plus tard, Patrick descendit au rez-de-chaussée doucement afin de ne pas réveiller sa partenaire plongée dans un profond sommeil et rejoignit la tante névrosée à l’entrée.
- Essayons de ne pas faire trop de bruit en sortant, dit Jane dans la confidence ; je tiens à ce qu’elle se repose, elle est épuisée.
- Bien. Dit simplement Lydia sans intérêt.
Alors qu’elle lui tournait le dos pour prendre ses affaires, le consultant la regarda avec mépris pendant un moment.
Et moi qui croyais avoir tout vu, alors là, c’est vraiment la cerise sur le gâteau ! Lisbon n’avait pas du tort sur ce coup-là ! Se dit-il avec ironie ; si c’est comme ça, dans ce cas, traitons le mal par le mal.
Soudain, Jane remit son plan en tête. Alors que Lydia se tourna vers lui en tendant sa veste dans sa direction, il fit mine de celui qui ne comprenait pas quoi en faire – alors qu’il savait très bien ce qu’elle désirait – en attrapant sa veste sur le portemanteau et l’enfila sous les yeux de la tante contrariée par son – faux – culot. Elle boutonna sa veste seule d’un air exaspéré et vexé, pendant que Jane lui, ajustait le col de sa veste ainsi que celui de sa chemise avant d’ouvrir la porte et sortir. Lydia se retourna, vit le beau blond tenir la porte de l’extérieur en l’invitant à sortir puis elle s’exécuta devant ses airs de gentleman avant qu’il ne ferme doucement la porte derrière elle. Le consultant guida la tante vers sa fameuse DS garée le long du trottoir et en voyant sa voiture alors qu’il lui ouvrit la portière côté passager, Lydia fut surprise et fit une mine déroutée.
Elle aurait pensé qu’il possédait un modèle plus présentable, plus moderne voir plus sophistiqué mais sans qu’elle ne dise ses pensées, Jane répliqua d’un air détaché.
- Désolé Lydia mais entre nos salaires de fonctionnaire miséreux et une avocate d’entreprise superficielle, il y a tout de même une immense différence.
Il sourit d’un air fier à sa réplique en l’invitant à s’installer sur la banquette avant du passager alors que Lydia prit sérieusement ses paroles au premier degré qu’elle riposta d’un air ironique en s’installant dans la DS.
- Et bien, espérons que votre… poubelle ne va pas vous envoyer dans le fossé durant le trajet.
Tiens ! Pourquoi pas !?! Ca me rendrait service ainsi qu’à Lisbon ! Elle serait d’accord au moins ? Pensa-t-il d’un air songeur et ironique en fermant la portière derrière elle.
Jane prit place derrière le volant, boucla sa ceinture, alluma le contact, démarra et la DS se mit en route vers le Citizen Hotel où logeait Lydia.
Durant le trajet, le consultant fit de son mieux pour respecter les limitations de vitesse, éviter de griller un feu rouge ou de rater une bifurcation ou de tourner dans le mauvais sens… mais plus la tante névrosée lui donnait des ordres du genre « Regardez devant vous ! », « prenez à droite, c’est plus rapide ! », « faites attention aux feux », « pas trop vite. », « pas trop près ! » plus il avait du mal à garder la tête froide sous ses ordres.
Il comprit la colère, l’agacement, l’insubordination de Teresa envers cette bonne femme qui pense tout contrôler sur le plan professionnel et personnel ainsi que sur la vie de ses nièces et neveux, surtout celle de Lisbon, Sa Lisbon.
Mais derrière cette carapace rigide et glaciale de Lydia, Patrick sentit une souffrance voire une immense envie de la vie amoureuse des autres, alors que la sienne était un véritable labyrinthe au niveau de l’engagement plus principalement.
Le mentaliste venait peut-être de découvrir la véritable raison de la rigidité, le nombrilisme de la tante, mais il ne souhaita pas évoquer le sujet tant qu’il n’était pas encore sûr à 100% de son hypothèse.
Environ après un quart d’heure de route, sans trop de circulation, la DS se gara devant le trottoir en bas du Citizen Hotel, sans encombre. Patrick éteignit ses feux et coupa le contact. Un portier en uniforme s’avança vers la voiture alors que Lydia détacha sa ceinture.
- Bien ! S’exprima Lydia ; je vous remercie de m’avoir reconduite à l’hôtel Patrice. J’espère que d’ici là, vous améliorerez votre conduite parce que j’ai l’impression que vous avez eu votre permis dans un paquet de céréales pour enfant. Fit-elle d’un air sec.
Jane ne fit rien malgré qu’il sente sa mâchoire se crisper, ses dents se serrer mais resta calme comme il le pouvait pendant que l’affreuse tante continua sa vague de reproches.
- Permettez-moi de vous dire en toute franchise que vous n’êtes pas le genre de mari assez bien pour ma nièce. Pour elle, il faut qu’un homme lui offre luxe, confort et qui serait prêt à tout pour elle et pour ça, vous êtes loin d’être à la hauteur.
Zen, Patrick ! Zen ! Reste Zen ! Se dit-il mentalement en serrant encore plus les dents.
- Puis un conseil, poursuivit-il d’un air passif agressif ; si vous voulez donner luxe et confort à Teresa, refaites des études pour faire travailler votre cerveau et vous rendre un peu plus mâture. Puis entre nous, je ne vois pas pourquoi Tess vous a choisi !
Lydia lui fit un sourire sarcastique et autosatisfait au moment où le portier lui ouvrit la portière de son côté, elle descendit du véhicule et le portier ferma la porte derrière elle. Jane bouillonnait de l’intérieur, le sarcasme de cette tante mégère le rendait ainsi que Lisbon dans un tel état de fureur qu’il en avait assez, puis comprit que son hypothèse était juste, mais là ça allait trop loin.
Là, vraiment, trop c’est trop ! Désolé Lisbon !
Il descendit du véhicule et retint la tante.
- Lydia ! L’appela-t-il.
Celle-ci se tourna automatiquement vers le consultant qui rejoignit le trottoir à quelques mètres d’elle.
- Je veux vous parler seul à seule. Maintenant. Exigea-t-il fermement.
*
Vêtue d’un débardeur vert émeraude sous un sweat en velours noir avec l’écusson rouge et blanc de l’équipe de Chicago Bulls (NBA - basket-ball) puis d’un short de sport blanc avec 2 traits noirs sur les côtés, Lisbon faisait les cent pas dans son salon en regardant sans arrêt son portable posé sur la table basse. Il était déjà 23h15 et ça faisait presque une demi-heure que Patrick et Lydia étaient partis.
Quand Jane l’avait informée de son plan, elle n’avait pas hésité une seule seconde et quand sa tante fut partie, la jeune femme en était soulagée qu’elle fût prête à sauter sur tous les toits, mais il fallait qu’elle se calme parce que sa tante pouvait – si elle faisait preuve d’attention pour une fois dans sa vie – l’appeler à n’importe quel moment et il fallait rester dans ce rôle durant un bon moment pour que ce soit vrai. Pas un seul coup de fil depuis, Teresa avait eu largement le temps de se changer, se démaquiller et se coiffer d’une tresse sur le côté. Mais le temps passait, plus elle commençait sérieusement à se faire du souci.
Etaient-ils tombés en panne ? Parce qu’avec le cercueil en ferraille de Jane, on ne sait jamais. Avaient-ils eu un accident ? Non, sinon on l’aurait tout de suite appelée et elle serait déjà à l’hôpital à l’heure qu’il est. Les embouteillages ? Ca ne pouvait pas être ça non plus, sinon le consultant l’aurait appelée – s’il avait eu au moins la délicatesse de le faire encore. Alors pourquoi ?
Très vite, elle fut sortie de ses pensées quand son téléphone vibra sur la table, elle se précipita dessus en saisissant frénétiquement son mobile mais fut coupée dans son élan voyant le numéro sur son petit écran : celui de tante Lydia.
Lisbon prit une profonde inspiration en paraissant assez « éméchée » par l’alcool puis décrocha.
- Lisbon !?! Fit-elle d’une voix à peine audible.
- Oh, ma chère nièce ! Ma chère Teresa ! S’exprima Lydia d’une voix étranglée.
En entendant avec surprise et incompréhension le son de la voix de sa tante, Lisbon s’inquiéta très vite et elle reprit un air presque normal.
- Tante Lydia ? Ca va ? S’inquiéta-t-elle.
- Oh ma chérie ! Je suis vraiment, vraiment mais vraiment désolée ! S’excusa-t-elle presque en sanglots.
- Vraiment désolée pour quoi ? Insista-t-elle.
- Pour tout le mal que je t’ai fait ainsi qu’à tes frères, lui répondit-elle en reniflant ; d’avoir contrôlé ta vie au doigt et à l’œil, d’avoir essayé de mettre fin à tes fiançailles et de te rendre malheureuse… je suis vraiment désolée pour que je t’ai fait.
Sous cette révélation imprévue, Teresa resta silencieuse ne savant pas trop quoi dire ni trop quoi penser.
- Je sais qu’il est tard pour des excuses, poursuivit Lydia ; mais s’il te plaît, pardonnes-moi. J’ai agi comme un monstre qui voulait faire souffrir ceux que j’aime dont toi, ce qui ont trouvé le bonheur alors que je ne cherchais qu’à le détruire parce que je… j’étais jalouse, je t’enviais d’avoir trouvé le bonheur auprès de Patrick alors que je ne l’ai jamais connu au cours de mes 5 mariages.
A entendre sa tante dire pour la première fois « Patrick », la jeune femme fut stupéfaite mais un sourire apparut sur son visage dans un secouement de tête en se disant que son consultant lui avait remonté les bretelles pour qu’elle réagisse ainsi.
- Teresa, continua Lydia ; organises le mariage de tes rêves puis n’hésites pas à m’appeler si t’as besoin d’aide pour le préparer, je vous souhaite à vous deux tout le bonheur du monde et ne le laisse pas filer : Patrick c’est l’homme de ta vie. Pardonne-moi, ma chérie.
- Euh… bien euh… merci tante Lydia et euh… j’accepte tes excuses… bafouilla Lisbon encore stupéfaite.
- Oh, merci. Lui remercia Lydia soulagée et émue ; tu es vraiment un ange. Tous mes vœux de bonheur à tous les deux encore.
- … Merci. La remercia Lisbon.
Une fois le portable raccroché, la belle brunette fut encore toute surprise voire étonnée et perplexe par le changement radical, plutôt soudain, du comportement de sa tante envers elle. Lisbon avait tout tenté pour que sa tante change de comportement mais tous efforts étaient en vain. Jusqu’à ce soir. Elle se doutait bien que son consultant était derrière ce changement mais comment avait-il fait ça ? Qu’est-ce qu’il lui avait dit, voire que lui avait-il fait pour qu’elle change ainsi ? Elle n’en avait pas la moindre idée. Mais en tout cas, ça avait fait de l’effet.
Soudain, son téléphone sonna à nouveau et décrocha aussitôt sans réfléchir.
- Lisbon !... Jane ! dit-elle surprise ; quoi ? À cette heure-ci ? Je vous rejoins où ?
TBC...
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
C'est cruel de couper ici, j'espère que t'as honte de toi au moins ?!? lol ! Sérieusement, c'est génial ! J'adore trop le plan de Jane et Lisbon pour congédier la tante, et Jane qui lui a remonté les bretelles je veux trop savoir ce qu'il lui a dit !!! Et pour le final, tu nous prévois du Jisbon pas vrai ??
Encore bravo et merci, c'est super !
Encore bravo et merci, c'est super !
Cdt63- Gardien du parking
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Qu'est ce que Jane a bien put raconter à Taty Lydia pour la transformer à ce point
Et le coup de fil final ...un RV romantique sans l'horrible tante derrière
Et le coup de fil final ...un RV romantique sans l'horrible tante derrière
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
aah j'adore cette suite ! c'était trop bien !!
Ils ont eu un bon plan pour faire partir la tante lydia lol
et Jane qui a du dire les 4 vérités à la tante, c'est vraiment génial !!
je me demande ce qu'il a bien pu lui dire...
mais en tout cas ça a été très efficace :)
maintenant la fin .... hum je me demande ce que Jane à en tête en demandant à Lisbon de le rejoindre ...
j'ai vraiment hâte de lire la prochaine suite
Ils ont eu un bon plan pour faire partir la tante lydia lol
et Jane qui a du dire les 4 vérités à la tante, c'est vraiment génial !!
je me demande ce qu'il a bien pu lui dire...
mais en tout cas ça a été très efficace :)
maintenant la fin .... hum je me demande ce que Jane à en tête en demandant à Lisbon de le rejoindre ...
j'ai vraiment hâte de lire la prochaine suite
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Totorsg a écrit:aah j'adore cette suite ! c'était trop bien !!
Ils ont eu un bon plan pour faire partir la tante lydia lol
et Jane qui a du dire les 4 vérités à la tante, c'est vraiment génial !!
je me demande ce qu'il a bien pu lui dire...
mais en tout cas ça a été très efficace :)
maintenant la fin .... hum je me demande ce que Jane à en tête en demandant à Lisbon de le rejoindre ...
j'ai vraiment hâte de lire la prochaine suite
J'adore aussi ce chapitre VLS VLS VLS
Invité- Invité
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
UN SUPER CHAPITRE DE PLUS JA J'adore je voudrai bien savoir ce que Jane lui dit a cette Lydia pour qu'elle vienne s'excuser au prêt de Lisbon En tout J'adore toujours autant J'ai hâte de savoir la suite VSL VSL VSL
Invité- Invité
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Je me demande bien ce que Jane a pu dire à Lydia mais, c'est diablement efficace. Au moins, leur relation sera beaucoup mieux maintenant que les choses ont été tirées au clair.
La fin me donne super envie de lire la suite: qu'est-ce que Jane a préparé? En tout cas, Lisbon accepte de le rejoindre
Super suite JA
La fin me donne super envie de lire la suite: qu'est-ce que Jane a préparé? En tout cas, Lisbon accepte de le rejoindre
Super suite JA
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Waouh et ben changement radical de la tante Lydia!!! Non mais oh!! Vivement la suite pour savoir ou doit aller Lisbon!!
Pepe64- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Loisirs : Danse, théâtre, écrire des fics et chanter
Localisation : Avec Patrick Jane!!!
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Il était top ce chapitre
Le plan de Jane a fonctionné comme sur des roulettes on dirait !
Je suis comme les autres, j'aimerai bien savoir ce que Jane a pu dire à la tante pour qu'elle se transforme comme ça !
Et vivement la suite pour voir le petit rdv entre Jane et Lisbon ...
Le plan de Jane a fonctionné comme sur des roulettes on dirait !
Je suis comme les autres, j'aimerai bien savoir ce que Jane a pu dire à la tante pour qu'elle se transforme comme ça !
Et vivement la suite pour voir le petit rdv entre Jane et Lisbon ...
terpo4- Agent de circulation
- Localisation : Dans ce monde étrange que l'on nomme " Planète TM "
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Cdt63, Johel, Totorsg, Cocodu66, JF, Teninches, Pepe64 & Terpo4
Vos commentaires me touchent toujours autant et me font super plaisir
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite & fin de ma fic
Le rendez-vous Jane/Lisbon et les révélations de ce que Jane a dit à Tante Lydia.
Je tiens à remercier infiniment Manga pour la correction de ma fic ainsi qu'à vous pour tous vos commentaires.
J'ai une nouvelle fic que j'ai commencé à écrire récemment dont je cherche encore le titre avant de pouvoir la publier
Oui, c'est la fin qui vous interésse, pardon
Bonne Lecture...
____________________________________________________________
Face à la plage de Malibu, Patrick était accoudé à un arbre en regardant avec émerveillement et admiration le ciel étoilé avec le clair de lune qui reflétait sur l’océan comme un miroir, tout en oubliant l’agitation de la ville. C’était à cet endroit qu’il avait donné rendez-vous à Teresa pour lui faire partager le moment qui avait marqué sa vie sur cette plage ainsi que pour lui expliquer sa discussion avec sa tante Lydia.
Mais il tenait à lui avouer quelque chose. Ce quelque chose était des sentiments dont il avait été aveugle pendant longtemps. Des sentiments plus forts qu’une simple amitié pour la jeune femme ce dont il croyait avoir perdu depuis la mort d’Angela, et qu’il pensait de ne plus jamais pouvoir aimer une autre femme par peur de la tromper.
Et maintenant, c’est la peur de trahir et de faire souffrir Teresa.
- Jane ! L’appela une voix féminine.
Il fût tout de suite sorti de ses pensées en entendant son nom, se tourna vers cette voix de femme très familière qu’il reconnut celle de Lisbon. Il la vit venir vers lui et la dévora du regard accompagné d’un sourire en la voyant avec sa tenue de sport courte qui dénudait ses sublimes jambes longues, puis sa jolie longue tresse sur la côté lui donnait un petit air Pocahontas, très mignon mais qu’importe, il trouvait toujours aussi belle. Lisbon s’approcha de lui, guettant son regard océan fixé sur elle et plus elle s’avançait vers son consultant plus elle sentait ses joues rougir. Elle détourna son regard vers le paysage romantique du ciel étoilé brillant de mille feux avec le reflet du clair de lune sur la surface de l’eau.
Teresa fût hypnotisée voire émerveillée par ce décor magique sous le regard de Patrick qui ne put s’empêcher de la contempler et de voir ses beaux yeux vert émeraude scintiller avant de se tourner vers le ciel.
- C’est vraiment magique. Souffla Lisbon.
- Oui… confirma Jane dans un soupir, c’est… c’est pour ça que j’ai choisi cette plage pour… pour demander… Angela en mariage.
Lisbon se tourna vers lui, se sentit gênée et une pointe de culpabilité l’envahit qu’elle baissa les yeux.
- Oh ! Jane, je suis désolée, je… commença-t-elle à s’excuser.
- Ce n’est pas grave, Lisbon. Lui rassura-t-il ; puis c’est l’endroit où je me sens bien à part le grenier du CBI, ajouta-t-il avec un sourire.
Lisbon esquissa un sourire puis elle fit les yeux ronds avant de fermer les yeux aussitôt comme si elle venait de se souvenir de quelque chose.
- Ah ! Euh… j’ai quelque chose à vous rendre et qui vous appartient. Prévint-elle en regardant ses doigts.
Jane la suivit du regard, vit attentivement avec un léger pincement de cœur, la jeune femme retirer lentement la bague de fiançailles de son annulaire gauche. Elle prit la bague entre ses doigts en la montrant dans la direction de son consultant qui la prit lentement. Il contempla avec nostalgie et émotion un instant la bague de fiançailles avant de se tourner vers sa patronne.
- Merci Lisbon. Souffla-t-il.
Elle hocha la tête avec un léger sourire pendant qu’il enfouit la bague dans la poche de son jeans avant de se racler la gorge.
- Une petite marche sur la plage, ça vous dit ? Proposa-t-il.
- Pourquoi pas. Accepta-t-elle en haussant les épaules.
Chaussures en main, pieds nus sur le sable parfois dans l’eau, marchant côte à côte en se laissant bercer par le bruit des vagues, un silence embarrassant régna entre Jane et Lisbon n’osant pas prononcer un seul mot. Ils respectèrent le silence de l’autre en se jetant des légers regards ainsi qu’un sourire puis leurs mains libres se frôlaient sans pouvoir se tenir. En regardant sa main, Patrick se mordit la lèvre inférieure d’un air hésitant, prit une profonde inspiration en respirant l’air marin.
Il frôla la main de la belle brunette qui l’écarta avec angoisse puis il prit sa main doucement dans la sienne. Teresa regarda avec stupéfaction et trouble, sa main dans celle de son mentaliste, elle releva lentement la tête jusqu’à ce que leurs regards finissent par se croiser et se fixer avec beaucoup d’intensité.
Jane inspira profondément tellement envoûté par ce regard d’un vert aussi intense qu’une émeraude qu’il voudrait les admirer éternellement. Mais il rompit cet instant en toussotant.
- Ca ne vous dérange pas que je vous prenne la main ? Demanda-t-il gêné ; entre amis, on peut se… se tenir la main.
- Euh… oui…bien sûr. Répondit Lisbon mal à l’aise.
Elle tourna la tête gênée sentant ses joues s’empourprer, se mordit sa lèvre inférieure en rangeant une mèche de cheveux échappée de sa tresse derrière son oreille sous le regard de Jane qui sourit tellement elle la trouvait adorable comme ça.
- Jane ! reprit Lisbon ; je voulais vous dire…
Soudain, Jane secoua la tête d’un air mal à l’aise dans un sourire tout arrêtant leur marche avant de se tourner vers Lisbon et sans lui lâcher la main.
- Non, Lisbon, s’il vous plaît, l’interrompit-il; pas ça, vous savez que…
- Que vous détestez qu’on vous dise « merci », je sais Jane, mais j’y tiens. Continua-t-elle d’un air suppliant.
Jane ne protesta pas, ne broncha pas, ne fit rien en se contentant de la regarder malgré qu’il se doutait bien qu’elle savait qu’il ne supportait pas qu’elle prenne cet air si triste mais le mentaliste se doutait bien qu’elle voulait se faire entendre.
- Merci. Souffla-t-elle ; merci pour ce que vous avez fait pour moi, ce soir et d’avoir remis ma tante à sa place.
- Comment ça d’avoir remis votre tante à sa place ? Je ne vois pas de quoi vous parler. Fit-il d’un air faussement innocent.
Lisbon éclata de rire en secouant la tête.
- Arrêtez de me prendre pour une idiote, Jane ! Je sais très bien que vous lui avait sûrement dit quelque chose pour qu’elle change tout à coup.
- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez. Répliqua-t-il d’un air faussement innocent.
- Très bien. Fit-elle.
Tout à coup, Lisbon se mit face à lui en posant ses mains à plat sur le torse de Jane, le poussa brusquement jusqu’à ce qu’il atterrisse les fesses par terre sur le sable mouillé où les vagues remontèrent. Le consultant fût surpris en faisant une grimace boudeuse en sentant son jeans trempé ainsi que le bas de sa veste comme un enfant qu’on aurait poussé de force dans la boue alors que Lisbon était pliée de rire.
Il se tourna vers Lisbon, il la contempla un instant comme s’il voulait graver son visage dans sa mémoire puis son rire fut communicatif et il la rejoignit en se levant dans un bond.
- Attendez un peu, vous allez voir ! Prévint-il en se levant.
En l’apercevant se redresser et en entendant son avertissement, Lisbon recula d’un pas en criant, fit un demi-tour et se mit à courir alors que Jane lui emboîta le pas en essayant de la rattraper en riant comme deux adolescents qui se cherchaient. Environ trois mètres les séparaient malgré qu’elle courait plus vite que lui, vue qu’elle courait toujours après les méchants donc normal qu’elle pouvait être forte en endurance contrairement à son consultant qui passait la moitié de son temps allongé sur son canapé ou sur son « lit » dans le grenier du CBI. Patrick courut aussi vite qu’il le pouvait pour rattraper Teresa mais cette femme avait la vitesse d’une vraie gazelle qu’il était presque impossible de la rattraper, mais il ne baissa pas les bras et il continua de courir à perdre haleine alors qu’elle continua à courir encore plus vite que lui jusqu’à ce qu’elle s’éloigne de la plage.
Lisbon finit par se cacher derrière un tronc d’arbre afin de reprendre son souffle en riant de bon cœur. Ca lui avait fait du bien et ça l’avait amusé en même temps cette épreuve d’endurance. Une fois que sa respiration avait retrouvée à peu près son rythme normal, la jeune femme se tourna discrètement vers la plage pour voir où se trouvait le craquant blondinet et pour observer dans quel état il était … mais le bord de mer était désert. Pas de trace de Jane.
Elle avait d’abord cru à une plaisanterie de mauvais goût mais très vite, elle devint inquiète qu’elle quitta sa cachette en restant près de l’arbre en faisant un, deux, trois pas en avant jusqu’à ce que l’impensable se produisit.
Teresa sursauta en se trouvant le dos plaqué contre le tronc d’arbre quand Patrick était arrivé en surgissant de nulle part. Ils se regardèrent intensément droit dans les yeux pendant un long instant jusqu’à ce que Jane brise le silence.
- Vous voulez savoir ce que j’ai dit à votre chère tante ? lui demanda-t-il ; alors voilà…
Flash Back
- Je veux vous parler seul à seule. Maintenant. Exigea-t-il fermement.
Lydia resta à le fixer avant de se tourner vers le portier lui faisant signe de les laisser seuls puis il se retira sans broncher. Elle s’avança vers le consultant, soupira avec agacement et exaspération avant de parler.
- Que voulez-vous ? Demanda-t-elle.
- Vous êtes une femme égoïste… commença-t-il en la regardant dans les yeux d’un air franc et froid.
- Pardon ? S’étonna-t-elle.
- Laissez-moi continuer ce que j’ai à vous dire alors écoutez et taisez-vous ! Ordonna-t-il fermement.
Lydia fut surprise, bouche bée qu’elle n’arrivait plus à prononcer un mot et écouta.
- Teresa est une femme bien. Continua Jane ; je suis devenu un homme meilleur grâce à elle. Elle m’a permis de reprendre goût à la vie, de me redonner l’envie d’aimer et d’être aimé alors que je traversais une période difficile qui a duré des années et durant ce temps, jamais j’avais pu imaginer pouvoir à nouveau tomber fou amoureux d’une femme, comme l’est votre merveilleuse nièce.
Le mentaliste marqua une pause en inspira profondément alors que la tante dévora ses mots pour la première fois sans ouvrir la bouche tellement elle trouvait qu’il était sincère et il poursuivit.
- Teresa est peut-être autoritaire, têtue voir naïve comme vous le dites, mais elle est généreuse, respectueuse, toujours là quand on a besoin d’être écouté, d’être soutenu. Mais j’ai peur de la rendre malheureuse, de la faire souffrir, de la trahir.
Il marqua une nouvelle pause en baissant les yeux d’un air triste sous les yeux étonnés de Lydia qui ne fit toujours rien.
- Mais maintenant, poursuivit Jane en regardant la tante dans les yeux ; je vois qu’elle a une tante telle que vous qui la fait plus souffrir que moi. Vous êtes une égoïste pure et dure, une handicapée du cœur depuis votre dernier mariage qui était le… 5ème c’est ça ?...
- Je vous interdis de… Intervint Lydia d’un ton énervé, levant un doigt menaçant dans sa direction.
Mais Jane ne se laissa pas faire qu’il la fit taire en levant son index dans sa direction et continua.
- Vous souffrez parce que durant vos mariages, vous n’avez jamais connu le bonheur et ceux des autres vous l’enviez, cela vous rend jalouse alors vous prenez un malin plaisir de les faire souffrir en retour. Laissez-moi vous dire une chose, ce n’est pas comme ça que vous trouverez ce bonheur-là, bien au contraire, vous souffrirez encore plus.
Lydia ouvrit la bouche pour protester mais les mots restèrent bloqués au fond de sa gorge tellement elle fut choquée par les paroles du consultant mais d’un côté, il disait vrai. Jane la fixa quelques secondes avant de tourner les talons pour se diriger vers sa DS mais stoppa sa marche et revint vers la tante de Lisbon.
- Encore une chose. Dit-il ; J’aime vraiment votre nièce, je l’aime plus que tout et je ferai tout pour la protéger jusqu’à faire n’importe quoi pour elle et je veux qu’elle ait le mariage de ses rêves. Si vous n’êtes pas contente, ne comptez pas recevoir un carton d’invitation.
Sans attendre sa réponse ou sa réaction, Patrick tourna les talons et partit au volant de sa voiture.
Fin du Flash Back
Après avoir écouté avec attention et stupéfaction son histoire, Lisbon fut étonnée, choquée même touchée par son consultant qui avait le regard fuyant : ses paroles avaient remis les pendules à l’heure à sa tante. Elle ne savait plus trop quoi dire mais en entendant le son de sa voix tout en le regardant dans les yeux, elle pouvait voir qu’il était sincère mais qu’elle eut un léger doute.
Elle se mordit la lèvre inférieure en baissant les yeux alors que Jane reposa son regard sur elle en entendant patiemment sa réaction. Leurs regards se croisèrent à nouveau puis Lisbon brisa le silence.
- Tout ce que vous lui avez dit, c’était vraiment sincère ? Ou juste pour me faire plaisir ? Demanda-t-elle.
Mais Patrick ne répondit pas, il se contenta seulement de plonger longuement son regard océan dans le sien. Il posa sa main délicate sur sa joue voire la glissa dans sa nuque tandis que son autre main se trouva sur sa hanche, se pencha vers elle et l’embrassa timidement mais avec une infinie douceur. La jeune femme était paralysée, tétanisée pour ne serait-ce que répondre à son baiser qu’elle se laissa faire. Elle glissa une main dans la nuque de son consultant et posa son autre main sur sa joue puis lui rendit voire approfondit son baiser dans un soupir d’aise.
Ils mirent fin à leurs baisers afin de reprendre leurs souffles, restant front contre front, les yeux dans les yeux. Elle lui caressa la nuque ainsi que les cheveux pendant qu’il caressa le long de son dos et sa joue rosit.
- Tu penses que ça, c’était pour te faire plaisir ? Lui demanda Jane dans un souffle.
Elle fit une mine réfléchie, en haussant les épaules.
- J’attends de voir ce que va donner la deuxième fois. Répondit-elle.
Patrick lui sourit, elle lui sourit à son tour et ils s’embrassèrent. Ils serrèrent leur étreinte, les mains du beau blond se perdirent dans le dos de la belle brunette qui plongea les siennes dans sa chevelure bouclée et dans sa nuque lorsque leurs baisers devinrent fougueux que leurs langues se rencontrèrent, ils se découvrirent et se caressèrent d’un tel amour fougueux sous des gémissements de bonheur.
Ils mirent fin à leur pelotage et à leur pluie de baisers afin de reprendre leur souffle en se regardant dans les yeux un instant avant que Jane ne brisa le silence à nouveau.
- Et là ? Demanda-t-il dans un souffle en caressant sa joue.
- On progresse. Répondit-elle en haussant les épaules.
- Jamais contente en plus. Répliqua-t-il dans un soupir.
- C’est ce qui fait mon charme. L’imita-t-elle dans un sourire.
- Ce n’était pas encore sur la liste des choses que j’aime en toi mais, je vais le faire. Fit Jane d’un air pensif dans un sourire.
Ils se mirent à rire comme des enfants avant que leurs lèvres ne se rencontrent à nouveau. Ils s’embrassèrent tendrement et amoureusement comme des adolescents qui s’étaient séparés trop longtemps jusqu’à se retrouver et reprirent leur balade romantique le long de la plage sous le clair de lune, côte à côte et main dans la main.
Il avait suffi d’une soirée, d’une comédie orchestrée, d’un dîner assez dur pour qu’ils parviennent à se rapprocher, à avouer leurs sentiments l’un pour l’autre et à croire au destin. Ce que le destin leur réserve.
Vos commentaires me touchent toujours autant et me font super plaisir
~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~
Voici la suite & fin de ma fic
Le rendez-vous Jane/Lisbon et les révélations de ce que Jane a dit à Tante Lydia.
Je tiens à remercier infiniment Manga pour la correction de ma fic ainsi qu'à vous pour tous vos commentaires.
J'ai une nouvelle fic que j'ai commencé à écrire récemment dont je cherche encore le titre avant de pouvoir la publier
Oui, c'est la fin qui vous interésse, pardon
Bonne Lecture...
____________________________________________________________
Partie VIII :
Face à la plage de Malibu, Patrick était accoudé à un arbre en regardant avec émerveillement et admiration le ciel étoilé avec le clair de lune qui reflétait sur l’océan comme un miroir, tout en oubliant l’agitation de la ville. C’était à cet endroit qu’il avait donné rendez-vous à Teresa pour lui faire partager le moment qui avait marqué sa vie sur cette plage ainsi que pour lui expliquer sa discussion avec sa tante Lydia.
Mais il tenait à lui avouer quelque chose. Ce quelque chose était des sentiments dont il avait été aveugle pendant longtemps. Des sentiments plus forts qu’une simple amitié pour la jeune femme ce dont il croyait avoir perdu depuis la mort d’Angela, et qu’il pensait de ne plus jamais pouvoir aimer une autre femme par peur de la tromper.
Et maintenant, c’est la peur de trahir et de faire souffrir Teresa.
- Jane ! L’appela une voix féminine.
Il fût tout de suite sorti de ses pensées en entendant son nom, se tourna vers cette voix de femme très familière qu’il reconnut celle de Lisbon. Il la vit venir vers lui et la dévora du regard accompagné d’un sourire en la voyant avec sa tenue de sport courte qui dénudait ses sublimes jambes longues, puis sa jolie longue tresse sur la côté lui donnait un petit air Pocahontas, très mignon mais qu’importe, il trouvait toujours aussi belle. Lisbon s’approcha de lui, guettant son regard océan fixé sur elle et plus elle s’avançait vers son consultant plus elle sentait ses joues rougir. Elle détourna son regard vers le paysage romantique du ciel étoilé brillant de mille feux avec le reflet du clair de lune sur la surface de l’eau.
Teresa fût hypnotisée voire émerveillée par ce décor magique sous le regard de Patrick qui ne put s’empêcher de la contempler et de voir ses beaux yeux vert émeraude scintiller avant de se tourner vers le ciel.
- C’est vraiment magique. Souffla Lisbon.
- Oui… confirma Jane dans un soupir, c’est… c’est pour ça que j’ai choisi cette plage pour… pour demander… Angela en mariage.
Lisbon se tourna vers lui, se sentit gênée et une pointe de culpabilité l’envahit qu’elle baissa les yeux.
- Oh ! Jane, je suis désolée, je… commença-t-elle à s’excuser.
- Ce n’est pas grave, Lisbon. Lui rassura-t-il ; puis c’est l’endroit où je me sens bien à part le grenier du CBI, ajouta-t-il avec un sourire.
Lisbon esquissa un sourire puis elle fit les yeux ronds avant de fermer les yeux aussitôt comme si elle venait de se souvenir de quelque chose.
- Ah ! Euh… j’ai quelque chose à vous rendre et qui vous appartient. Prévint-elle en regardant ses doigts.
Jane la suivit du regard, vit attentivement avec un léger pincement de cœur, la jeune femme retirer lentement la bague de fiançailles de son annulaire gauche. Elle prit la bague entre ses doigts en la montrant dans la direction de son consultant qui la prit lentement. Il contempla avec nostalgie et émotion un instant la bague de fiançailles avant de se tourner vers sa patronne.
- Merci Lisbon. Souffla-t-il.
Elle hocha la tête avec un léger sourire pendant qu’il enfouit la bague dans la poche de son jeans avant de se racler la gorge.
- Une petite marche sur la plage, ça vous dit ? Proposa-t-il.
- Pourquoi pas. Accepta-t-elle en haussant les épaules.
Chaussures en main, pieds nus sur le sable parfois dans l’eau, marchant côte à côte en se laissant bercer par le bruit des vagues, un silence embarrassant régna entre Jane et Lisbon n’osant pas prononcer un seul mot. Ils respectèrent le silence de l’autre en se jetant des légers regards ainsi qu’un sourire puis leurs mains libres se frôlaient sans pouvoir se tenir. En regardant sa main, Patrick se mordit la lèvre inférieure d’un air hésitant, prit une profonde inspiration en respirant l’air marin.
Il frôla la main de la belle brunette qui l’écarta avec angoisse puis il prit sa main doucement dans la sienne. Teresa regarda avec stupéfaction et trouble, sa main dans celle de son mentaliste, elle releva lentement la tête jusqu’à ce que leurs regards finissent par se croiser et se fixer avec beaucoup d’intensité.
Jane inspira profondément tellement envoûté par ce regard d’un vert aussi intense qu’une émeraude qu’il voudrait les admirer éternellement. Mais il rompit cet instant en toussotant.
- Ca ne vous dérange pas que je vous prenne la main ? Demanda-t-il gêné ; entre amis, on peut se… se tenir la main.
- Euh… oui…bien sûr. Répondit Lisbon mal à l’aise.
Elle tourna la tête gênée sentant ses joues s’empourprer, se mordit sa lèvre inférieure en rangeant une mèche de cheveux échappée de sa tresse derrière son oreille sous le regard de Jane qui sourit tellement elle la trouvait adorable comme ça.
- Jane ! reprit Lisbon ; je voulais vous dire…
Soudain, Jane secoua la tête d’un air mal à l’aise dans un sourire tout arrêtant leur marche avant de se tourner vers Lisbon et sans lui lâcher la main.
- Non, Lisbon, s’il vous plaît, l’interrompit-il; pas ça, vous savez que…
- Que vous détestez qu’on vous dise « merci », je sais Jane, mais j’y tiens. Continua-t-elle d’un air suppliant.
Jane ne protesta pas, ne broncha pas, ne fit rien en se contentant de la regarder malgré qu’il se doutait bien qu’elle savait qu’il ne supportait pas qu’elle prenne cet air si triste mais le mentaliste se doutait bien qu’elle voulait se faire entendre.
- Merci. Souffla-t-elle ; merci pour ce que vous avez fait pour moi, ce soir et d’avoir remis ma tante à sa place.
- Comment ça d’avoir remis votre tante à sa place ? Je ne vois pas de quoi vous parler. Fit-il d’un air faussement innocent.
Lisbon éclata de rire en secouant la tête.
- Arrêtez de me prendre pour une idiote, Jane ! Je sais très bien que vous lui avait sûrement dit quelque chose pour qu’elle change tout à coup.
- Je ne vois pas du tout de quoi vous parlez. Répliqua-t-il d’un air faussement innocent.
- Très bien. Fit-elle.
Tout à coup, Lisbon se mit face à lui en posant ses mains à plat sur le torse de Jane, le poussa brusquement jusqu’à ce qu’il atterrisse les fesses par terre sur le sable mouillé où les vagues remontèrent. Le consultant fût surpris en faisant une grimace boudeuse en sentant son jeans trempé ainsi que le bas de sa veste comme un enfant qu’on aurait poussé de force dans la boue alors que Lisbon était pliée de rire.
Il se tourna vers Lisbon, il la contempla un instant comme s’il voulait graver son visage dans sa mémoire puis son rire fut communicatif et il la rejoignit en se levant dans un bond.
- Attendez un peu, vous allez voir ! Prévint-il en se levant.
En l’apercevant se redresser et en entendant son avertissement, Lisbon recula d’un pas en criant, fit un demi-tour et se mit à courir alors que Jane lui emboîta le pas en essayant de la rattraper en riant comme deux adolescents qui se cherchaient. Environ trois mètres les séparaient malgré qu’elle courait plus vite que lui, vue qu’elle courait toujours après les méchants donc normal qu’elle pouvait être forte en endurance contrairement à son consultant qui passait la moitié de son temps allongé sur son canapé ou sur son « lit » dans le grenier du CBI. Patrick courut aussi vite qu’il le pouvait pour rattraper Teresa mais cette femme avait la vitesse d’une vraie gazelle qu’il était presque impossible de la rattraper, mais il ne baissa pas les bras et il continua de courir à perdre haleine alors qu’elle continua à courir encore plus vite que lui jusqu’à ce qu’elle s’éloigne de la plage.
Lisbon finit par se cacher derrière un tronc d’arbre afin de reprendre son souffle en riant de bon cœur. Ca lui avait fait du bien et ça l’avait amusé en même temps cette épreuve d’endurance. Une fois que sa respiration avait retrouvée à peu près son rythme normal, la jeune femme se tourna discrètement vers la plage pour voir où se trouvait le craquant blondinet et pour observer dans quel état il était … mais le bord de mer était désert. Pas de trace de Jane.
Elle avait d’abord cru à une plaisanterie de mauvais goût mais très vite, elle devint inquiète qu’elle quitta sa cachette en restant près de l’arbre en faisant un, deux, trois pas en avant jusqu’à ce que l’impensable se produisit.
Teresa sursauta en se trouvant le dos plaqué contre le tronc d’arbre quand Patrick était arrivé en surgissant de nulle part. Ils se regardèrent intensément droit dans les yeux pendant un long instant jusqu’à ce que Jane brise le silence.
- Vous voulez savoir ce que j’ai dit à votre chère tante ? lui demanda-t-il ; alors voilà…
Flash Back
- Je veux vous parler seul à seule. Maintenant. Exigea-t-il fermement.
Lydia resta à le fixer avant de se tourner vers le portier lui faisant signe de les laisser seuls puis il se retira sans broncher. Elle s’avança vers le consultant, soupira avec agacement et exaspération avant de parler.
- Que voulez-vous ? Demanda-t-elle.
- Vous êtes une femme égoïste… commença-t-il en la regardant dans les yeux d’un air franc et froid.
- Pardon ? S’étonna-t-elle.
- Laissez-moi continuer ce que j’ai à vous dire alors écoutez et taisez-vous ! Ordonna-t-il fermement.
Lydia fut surprise, bouche bée qu’elle n’arrivait plus à prononcer un mot et écouta.
- Teresa est une femme bien. Continua Jane ; je suis devenu un homme meilleur grâce à elle. Elle m’a permis de reprendre goût à la vie, de me redonner l’envie d’aimer et d’être aimé alors que je traversais une période difficile qui a duré des années et durant ce temps, jamais j’avais pu imaginer pouvoir à nouveau tomber fou amoureux d’une femme, comme l’est votre merveilleuse nièce.
Le mentaliste marqua une pause en inspira profondément alors que la tante dévora ses mots pour la première fois sans ouvrir la bouche tellement elle trouvait qu’il était sincère et il poursuivit.
- Teresa est peut-être autoritaire, têtue voir naïve comme vous le dites, mais elle est généreuse, respectueuse, toujours là quand on a besoin d’être écouté, d’être soutenu. Mais j’ai peur de la rendre malheureuse, de la faire souffrir, de la trahir.
Il marqua une nouvelle pause en baissant les yeux d’un air triste sous les yeux étonnés de Lydia qui ne fit toujours rien.
- Mais maintenant, poursuivit Jane en regardant la tante dans les yeux ; je vois qu’elle a une tante telle que vous qui la fait plus souffrir que moi. Vous êtes une égoïste pure et dure, une handicapée du cœur depuis votre dernier mariage qui était le… 5ème c’est ça ?...
- Je vous interdis de… Intervint Lydia d’un ton énervé, levant un doigt menaçant dans sa direction.
Mais Jane ne se laissa pas faire qu’il la fit taire en levant son index dans sa direction et continua.
- Vous souffrez parce que durant vos mariages, vous n’avez jamais connu le bonheur et ceux des autres vous l’enviez, cela vous rend jalouse alors vous prenez un malin plaisir de les faire souffrir en retour. Laissez-moi vous dire une chose, ce n’est pas comme ça que vous trouverez ce bonheur-là, bien au contraire, vous souffrirez encore plus.
Lydia ouvrit la bouche pour protester mais les mots restèrent bloqués au fond de sa gorge tellement elle fut choquée par les paroles du consultant mais d’un côté, il disait vrai. Jane la fixa quelques secondes avant de tourner les talons pour se diriger vers sa DS mais stoppa sa marche et revint vers la tante de Lisbon.
- Encore une chose. Dit-il ; J’aime vraiment votre nièce, je l’aime plus que tout et je ferai tout pour la protéger jusqu’à faire n’importe quoi pour elle et je veux qu’elle ait le mariage de ses rêves. Si vous n’êtes pas contente, ne comptez pas recevoir un carton d’invitation.
Sans attendre sa réponse ou sa réaction, Patrick tourna les talons et partit au volant de sa voiture.
Fin du Flash Back
Après avoir écouté avec attention et stupéfaction son histoire, Lisbon fut étonnée, choquée même touchée par son consultant qui avait le regard fuyant : ses paroles avaient remis les pendules à l’heure à sa tante. Elle ne savait plus trop quoi dire mais en entendant le son de sa voix tout en le regardant dans les yeux, elle pouvait voir qu’il était sincère mais qu’elle eut un léger doute.
Elle se mordit la lèvre inférieure en baissant les yeux alors que Jane reposa son regard sur elle en entendant patiemment sa réaction. Leurs regards se croisèrent à nouveau puis Lisbon brisa le silence.
- Tout ce que vous lui avez dit, c’était vraiment sincère ? Ou juste pour me faire plaisir ? Demanda-t-elle.
Mais Patrick ne répondit pas, il se contenta seulement de plonger longuement son regard océan dans le sien. Il posa sa main délicate sur sa joue voire la glissa dans sa nuque tandis que son autre main se trouva sur sa hanche, se pencha vers elle et l’embrassa timidement mais avec une infinie douceur. La jeune femme était paralysée, tétanisée pour ne serait-ce que répondre à son baiser qu’elle se laissa faire. Elle glissa une main dans la nuque de son consultant et posa son autre main sur sa joue puis lui rendit voire approfondit son baiser dans un soupir d’aise.
Ils mirent fin à leurs baisers afin de reprendre leurs souffles, restant front contre front, les yeux dans les yeux. Elle lui caressa la nuque ainsi que les cheveux pendant qu’il caressa le long de son dos et sa joue rosit.
- Tu penses que ça, c’était pour te faire plaisir ? Lui demanda Jane dans un souffle.
Elle fit une mine réfléchie, en haussant les épaules.
- J’attends de voir ce que va donner la deuxième fois. Répondit-elle.
Patrick lui sourit, elle lui sourit à son tour et ils s’embrassèrent. Ils serrèrent leur étreinte, les mains du beau blond se perdirent dans le dos de la belle brunette qui plongea les siennes dans sa chevelure bouclée et dans sa nuque lorsque leurs baisers devinrent fougueux que leurs langues se rencontrèrent, ils se découvrirent et se caressèrent d’un tel amour fougueux sous des gémissements de bonheur.
Ils mirent fin à leur pelotage et à leur pluie de baisers afin de reprendre leur souffle en se regardant dans les yeux un instant avant que Jane ne brisa le silence à nouveau.
- Et là ? Demanda-t-il dans un souffle en caressant sa joue.
- On progresse. Répondit-elle en haussant les épaules.
- Jamais contente en plus. Répliqua-t-il dans un soupir.
- C’est ce qui fait mon charme. L’imita-t-elle dans un sourire.
- Ce n’était pas encore sur la liste des choses que j’aime en toi mais, je vais le faire. Fit Jane d’un air pensif dans un sourire.
Ils se mirent à rire comme des enfants avant que leurs lèvres ne se rencontrent à nouveau. Ils s’embrassèrent tendrement et amoureusement comme des adolescents qui s’étaient séparés trop longtemps jusqu’à se retrouver et reprirent leur balade romantique le long de la plage sous le clair de lune, côte à côte et main dans la main.
Il avait suffi d’une soirée, d’une comédie orchestrée, d’un dîner assez dur pour qu’ils parviennent à se rapprocher, à avouer leurs sentiments l’un pour l’autre et à croire au destin. Ce que le destin leur réserve.
The End
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Cette fin est magnifique JA J'adore j'adore j'adore BRAVO A TOI
Invité- Invité
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Cette fin est vraiment trop magnifique
Les choses se sont faites en douceur entre les deux tourtereaux qui désormais vont pouvoir vivre heureux.
J'aime beaucoup ce que Jane a dit à la tante de Lisbon, c'était mérité!!!
J'ai déjà hâte de lire ta nouvelle fic
Les choses se sont faites en douceur entre les deux tourtereaux qui désormais vont pouvoir vivre heureux.
J'aime beaucoup ce que Jane a dit à la tante de Lisbon, c'était mérité!!!
J'ai déjà hâte de lire ta nouvelle fic
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Oh lalala, ce dernier chapitre était tellement sublime !
Jane a assurer avec la tante lydia :)
Oh et puis Jane et Lisbon ... ils étaient tellement mignon, dans ce si beau cadre !
c'était romantique tout plein et j'ai adoré !!
Merci pour cette superbe fic!
J'ai vraiment beaucoup aimé
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
J'ai adoré comment Jane a mis la tante à sa place.
Et la fin est sublime ...
VIVE LE JISBON
Et la fin est sublime ...
VIVE LE JISBON
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Une fin à l'image de la fic...toute
Johel- In Jane we trust
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : Lecture, ciné, jeux vidéo et suuuurf !
Localisation : près de l'océan
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
Bon je crois que je n'ai pas laissé du com' à ta fic mais je suis pardonnée je pense car je la connaissais déjà
La fin est
L'idée de base était super et je te dis encore
De rien pour la correction
La fin est
L'idée de base était super et je te dis encore
De rien pour la correction
alamanga- Red John
- Personnage préféré : Cho, Lisbon, Jane. Van Pelt et Rigsby aussi.Abbott, Fischer, Wylie et Vega.
Loisirs : La TV, me balader, visiter...et rêver!
Localisation : Devant mon ordi, sous le soleil exactement!
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
En un mot bravo, cette fic est adorable, bien qu'avoir une tante de ce style non merci, j'ai déjà un père qui critique la moindre chose que je fais, si en plus une de mes tantes faisaient la même chose je deviendrais dingue.
Karo- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon et jane
Loisirs : Chant, patin à glace et roller
Localisation : avec Robin et Simon pour répéter une scene sur le tournage du Mentalist
Re: Le fiancé parfait d'un soir ^
à vous tous et à vous toutes
Tous vos commentaires me font énormément plaisir
Tous vos commentaires me font énormément plaisir
JisbonAddict- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon & Cho
Loisirs : Lire des romans, écrire, faire du jogging, regarder Doctor Who, Mentalist et Rizzoli&Isles
Localisation : Dans ma Bretagne natale rêvant de Simon Baker, de David Tennant & de Matt Smith
teninches- Red John
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho
Localisation : Dans les locaux du CBI
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» L'Homme parfait
» Un monde parfait ^
» Un fiancé trop parfait^
» Une Histoire d'Ascenseur (Humour décalé/romance) ^
» Un soir d'été ^...
» Un monde parfait ^
» Un fiancé trop parfait^
» Une Histoire d'Ascenseur (Humour décalé/romance) ^
» Un soir d'été ^...
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum