Jane VS John ^
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RL77LUC
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Re: Jane VS John ^
Il y en a un de prévu, mais vu que je n'en ai jamais écrit, je ne garantis pas la qualité
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Comme tu en n'a jamais écrit, tu peut aller sur les fictions NC-17 et lire quelques-unes. Sa pourra t'inspirais un peut
Ou demande a quelqu'un que tu connais bien sur le forum qui a déjà fait une fiction NC-17.
Ou demande a quelqu'un que tu connais bien sur le forum qui a déjà fait une fiction NC-17.
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
J'en ai déjà lues pas mal, en fait . Bref, voici la suite !
Chapitre 10 : Encore un peu de gâteau ?
Il amena enfin le plat principal. Des pâtes accompagnées par une sauce d’origine inconnue et aux aromates. Elle goûta et fut époustouflée des talents de cuisinier de Jane. Elle lui dit :
- C’est délicieux …
- Vraiment ? C’était son plat préféré … dit-il dans un sourire triste.
- Oh ! Je suis désolée.
- Non, c’est moi qui t’embête avec mes vieux démons.
- Tu sais très bien que ça ne me dérange pas. Je serais toujours là pour toi si tu en as besoin.
- Merci, ça me touche vraiment.
Elle était époustouflée de voir qu’elle avait réussi à l’ouvrir, ce soir. Elle sourit et ils discutèrent d’un peu de tout et de rien. Un moment, Lisbon posa la question qui l’intriguait :
- Mais dis-moi, pourquoi restes-tu dormir au CBI et dans une chambre de motel alors que tu as cette charmante maison ?
- Je trouve cette maison trop grande pour moi tout seul. C’est un héritage. Je préfère dormir au CBI, car j’adore te voir arriver le matin, à moitié réveillée, confessa-t-il.
- Tu dors là-bas pour … me voir au réveil ? dit-elle en rougissant.
- Ça me permet de connaître ton humeur.
- Je vois … Je peux te poser une question ?
- Bien sûr.
- Pourquoi tu as douté de mes sentiments si tu sais lire en tout le monde ? Je ne parviens pas à comprendre …
- La vérité, c’est que tu possèdes un petit quelque chose de différent. Je ne connais que deux personnes qui l’ont eu avant toi … Mon ex-femme et … John le Rouge. Je ne peux pas lire en toi. Je ne parviens pas à savoir ce que tu ressens … Tu es comme une énigme.
- Oh … D’accord.
Il alla ensuite chercher le dessert. Un fondant au chocolat. Elle lui demanda :
- Comment tu sais que c’est mon dessert préféré ?
- J’ai dit que je ne pouvais pas lire en toi, mais je peux quand même déceler deux-trois petites choses, et puis, j’ai toujours mes talents d’observateur …
- Alors tu m’observes, hmm ?
- Euh non, c’est pas ce que je voulais dire ! dit-il, sentant la situation lui échapper.
Elle sourit et il se leva. Elle fit de même. Ils s’assirent devant le canapé. Il se tourna vers elle :
- Tu as une miette de gâteau qui gâche ton rouge à lèvres.
- Oh !
Elle tenta de l’enlever, écarlate. Il lui dit non et s’approcha. Son visage continuait de se rapprocher de celui de Lisbon. Il lui dit :
- Laisse-moi te l’enlever …
Et sur ces mots il l’embrassa. Leur baiser se prolongea, il devient fougueux, et il finit par se séparer.
- Je suis désolé ! dit-il.
- Mais tu m’enlevais juste une miette, dit-elle. Tu es sûr qu’il n’en reste pas ? On ferait mieux de vérifier.
Elle lui prit le col et l’embrassa passionnément. Il lui prit la nuque pour qu’elle ne parte pas. Il voulait que ce baiser dure jusqu’à la nuit des temps. Elle s’écarta en lui souriant. Elle vit que les yeux du mentaliste s’étaient assombris. Elle crut qu’elle lui rappela sa femme, puis s’aperçut que c’était le désir … Elle s’approcha et il se jeta presque sur elle. Ils allèrent jusqu’au lit en s’embrassant sans relâche. Elle lui déboutonna la chemise et le poussa sur le lit …
***************
Chapitre 10 : Encore un peu de gâteau ?
Il amena enfin le plat principal. Des pâtes accompagnées par une sauce d’origine inconnue et aux aromates. Elle goûta et fut époustouflée des talents de cuisinier de Jane. Elle lui dit :
- C’est délicieux …
- Vraiment ? C’était son plat préféré … dit-il dans un sourire triste.
- Oh ! Je suis désolée.
- Non, c’est moi qui t’embête avec mes vieux démons.
- Tu sais très bien que ça ne me dérange pas. Je serais toujours là pour toi si tu en as besoin.
- Merci, ça me touche vraiment.
Elle était époustouflée de voir qu’elle avait réussi à l’ouvrir, ce soir. Elle sourit et ils discutèrent d’un peu de tout et de rien. Un moment, Lisbon posa la question qui l’intriguait :
- Mais dis-moi, pourquoi restes-tu dormir au CBI et dans une chambre de motel alors que tu as cette charmante maison ?
- Je trouve cette maison trop grande pour moi tout seul. C’est un héritage. Je préfère dormir au CBI, car j’adore te voir arriver le matin, à moitié réveillée, confessa-t-il.
- Tu dors là-bas pour … me voir au réveil ? dit-elle en rougissant.
- Ça me permet de connaître ton humeur.
- Je vois … Je peux te poser une question ?
- Bien sûr.
- Pourquoi tu as douté de mes sentiments si tu sais lire en tout le monde ? Je ne parviens pas à comprendre …
- La vérité, c’est que tu possèdes un petit quelque chose de différent. Je ne connais que deux personnes qui l’ont eu avant toi … Mon ex-femme et … John le Rouge. Je ne peux pas lire en toi. Je ne parviens pas à savoir ce que tu ressens … Tu es comme une énigme.
- Oh … D’accord.
Il alla ensuite chercher le dessert. Un fondant au chocolat. Elle lui demanda :
- Comment tu sais que c’est mon dessert préféré ?
- J’ai dit que je ne pouvais pas lire en toi, mais je peux quand même déceler deux-trois petites choses, et puis, j’ai toujours mes talents d’observateur …
- Alors tu m’observes, hmm ?
- Euh non, c’est pas ce que je voulais dire ! dit-il, sentant la situation lui échapper.
Elle sourit et il se leva. Elle fit de même. Ils s’assirent devant le canapé. Il se tourna vers elle :
- Tu as une miette de gâteau qui gâche ton rouge à lèvres.
- Oh !
Elle tenta de l’enlever, écarlate. Il lui dit non et s’approcha. Son visage continuait de se rapprocher de celui de Lisbon. Il lui dit :
- Laisse-moi te l’enlever …
Et sur ces mots il l’embrassa. Leur baiser se prolongea, il devient fougueux, et il finit par se séparer.
- Je suis désolé ! dit-il.
- Mais tu m’enlevais juste une miette, dit-elle. Tu es sûr qu’il n’en reste pas ? On ferait mieux de vérifier.
Elle lui prit le col et l’embrassa passionnément. Il lui prit la nuque pour qu’elle ne parte pas. Il voulait que ce baiser dure jusqu’à la nuit des temps. Elle s’écarta en lui souriant. Elle vit que les yeux du mentaliste s’étaient assombris. Elle crut qu’elle lui rappela sa femme, puis s’aperçut que c’était le désir … Elle s’approcha et il se jeta presque sur elle. Ils allèrent jusqu’au lit en s’embrassant sans relâche. Elle lui déboutonna la chemise et le poussa sur le lit …
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
Bon début Sur la fin, je sens que sa va être J'ai hâte
- Mais tu m’enlevais juste une miette, dit-elle. Tu es sûr qu’il n’en reste pas ? On ferait mieux de vérifier. J'ai ris pendant 5min toute seule dans ma chambre comme une mongole !!
j'ai trop adorer se passage lol VLS
- Mais tu m’enlevais juste une miette, dit-elle. Tu es sûr qu’il n’en reste pas ? On ferait mieux de vérifier. J'ai ris pendant 5min toute seule dans ma chambre comme une mongole !!
j'ai trop adorer se passage lol VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
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Re: Jane VS John ^
Ah, je confirme, la suite est . Mais bon, je vous dit, vu que c'est ma première fic' NC-17, je sais pas si ça va vous plaire ... Je précise qu'elle sera facultative et que ça sera le chapitre 10b. Les lectrices de moins de 17 ans ne seront donc pas perdues .
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
Chapitre 10b : Nuit de folie au pays des fantasmes
Cette fiction est une fiction NC-17.
Si vous pouvez les lire : https://the-mentalist.frenchboard.com/t2372-chapitre-10b-de-jane-vs-john#200676
Voilà. C'est court, mais je suis pas du tout experte dans le genre ...
Cette fiction est une fiction NC-17.
Si vous pouvez les lire : https://the-mentalist.frenchboard.com/t2372-chapitre-10b-de-jane-vs-john#200676
Voilà. C'est court, mais je suis pas du tout experte dans le genre ...
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
Dit donc, il fit
J'ai bien aimée
:bounce: :bounce:VLS :bounce: :bounce:
J'ai bien aimée
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L3mOn- Livreur de Pizza
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Re: Jane VS John ^
Merci, parce que j'avoue avoir été sceptique sur cette tentative
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
Le coud des chaussures m'a parut legerement bizarre quand meme mais bon s'etait tout de meme un régale
Invité- Invité
Re: Jane VS John ^
Ah ça, c'est une référence à un vieux délire avec une copine ^^.
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
C'est vrai que les chaussures était bizarre, mais c'est bien aussi le fantasme de Jane En tout cas j'ai beaucoup aimée
L3mOn- Livreur de Pizza
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Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
L'histoire de chaussure est à l'image de Jane, bizarre et torturé x).
Voilà tout de suite la suite, mon petit cadeau du nouvel an :
Le lendemain, Jane se réveilla en même temps que Lisbon. Celle-ci était dans ses bras et il s’aperçut qu’il avait du rouge à lèvres un peu partout sur le corps, se remémorant la nuit passée. Elle sourit en voyant son air gêné et il lui posa la question qu’il n’osait formuler :
- Est-ce que tu … regrettes ?
- Pas le moins du monde ! Et toi ?
- Oh que non … Tu me rends fou …
Elle l’embrassa et ils prirent leur douche ensemble pour gagner du temps. Ils s’habillèrent et partirent ensemble pour le travail. Arrivée là-bas, elle lui dit :
- Je t’aime, Patrick.
- Moi aussi …
- Mais à partir de maintenant, je redeviens ta patronne.
- Je sais.
Ils s’embrassèrent avant de rentrer. Lisbon dut se déparer de sa main, à contrecœur. Dans l’ascenseur, il posa une main sur son épaule, qu’elle repoussa gentiment juste avant que les portes ne s’ouvrent. Elle était tellement heureuse, quand elle était auprès de lui … Ils se séparèrent et se dirigèrent vers leurs endroits de travails respectifs : Lisbon dans son bureau et Jane … Sur le canapé. La journée se passa sans accrocs, et le midi, Lisbon alla trouver son bien-aimé (toujours sur le canapé) :
- Patrick …
- Oui ?
- Tu veux qu’on aille manger un morceau ?
- Désolé, mais je n’ai pas très faim actuellement …
Elle l’avait bien vu, quelque chose n’allait pas.
- Il y a un problème ?
- Non, non, la rassura-t-il. Ne t’en fais pas.
- Patrick, tu sais que tu peux tout me dire.
- Il n’y a rien à dire, Teresa.
Elle soupira, l’embrassa et se dirigea vers le restaurant le plus proche. Une vingtaine de minutes plus tard, Jane reçut un message : « Alors ? On avait peur que John le Rouge enlève sa dulcinée au petit Patrick ? Tu n’as plus à avoir peur, c’est déjà fait. ». Il bondit et tenta d’appeler Lisbon. Il commença :
- Lisbon, cou- …
- Inutile. C’est trop tard, dit une voix masquée.
- Enfoiré. Laisse-la !
- Allons, allons, ne nous énervons pas. Rassures-toi, elle est toujours vivante. Mais pour combien de temps ?
- Elle ne t’a rien fait, laisse-là … Suppliait-il à présent.
- Non. Tu vas payer.
- Alors tue-moi ! Tu n’as aucune raison de la tuer ! C’est moi qui te traque !
- Allons, Jane. Nous savons très bien tous les deux que c’est plus drôle de te voir souffrir que de te tuer. Mais patience, ton tour viendra, Jane, ton tour viendra …
Et Red John raccrocha son téléphone. Jane haletait, avait la bouche et les yeux grands ouverts, si bien que quand l’équipe de Lisbon rentra, Van Pelt lui demanda ce qui n’allait pas.
- Jane ? Ça va ? Demanda la rousse.
- Lisbon, elle … Elle …
- Elle quoi ?
- Elle s’est faite … Elle s’est faite …
- Continue, l’encouragea-t-elle, compatissante et surprise de voir l’homme de marbre dans cet état.
- Elle s’est fait enlever par John le Rouge.
- Quoi ?!
Les trois agents se regardèrent avec stupeur. Ils se dirigèrent vers leurs ordinateurs respectifs, pendant que Jane ne bougeait pas, choqué. Il pensait ne plus la revoir, que John le Rouge allait encore frapper, comme pour sa femme et sa fille, parties trop tôt. Mais un détail le surprenait. A l’écouter, Lisbon était toujours vivante, ce qui n’était pas dans les habitudes de John le Rouge. Quand il prenait, il tuait. Pourtant, pas cette fois. Jane fronça les sourcils, son cerveau ayant repris le dessus sur son cœur. Il décida de se bouger. Il n’avait pas le droit de la laisser, alors qu’elle ne l’aurait jamais fait. Non, il se prépara à frapper, à riposter une bonne fois pour toutes. Il se leva et décrocha son téléphone.
- Déjà lassé de moi, dit une voix rauque.
- Tu sais quoi, Red John, ou je peux t’appeler RJ ? Parfait. Tu sais, quoi, RJ ? Au final, tu n’es qu’un faible.
- Quoi ?
- Tu agresses ces femmes sans défense pour te venger de moi. Pourquoi ? Parce que tu as peur de m’affronter. Tu sais que je gagnerais.
- Je t’ai déjà capturé. Tu crois vraiment qu’un minable comme toi pourrait me faire peur … ?
- La preuve que oui.
- Tu as dépassé les bornes ! Je te propose d’échanger sa vie contre la tienne.
- Ça me va …
- Demain, près du parc le plus près du CBI. Si tu ne viens pas seul, je la tue, et devant toi.
Il raccrocha et affronta les regards stupéfaits de ses collègues. Il était prêt. Ce monstre l’avait empêché de vivre pendant plusieurs années, lui avaient pris sa femme et sa fille. Il ne laisserait pas cette erreur se reproduire. Il l’affronterait.
Voilà tout de suite la suite, mon petit cadeau du nouvel an :
*****************
Chapitre 11 : Attrapes-moi si tu le peuxLe lendemain, Jane se réveilla en même temps que Lisbon. Celle-ci était dans ses bras et il s’aperçut qu’il avait du rouge à lèvres un peu partout sur le corps, se remémorant la nuit passée. Elle sourit en voyant son air gêné et il lui posa la question qu’il n’osait formuler :
- Est-ce que tu … regrettes ?
- Pas le moins du monde ! Et toi ?
- Oh que non … Tu me rends fou …
Elle l’embrassa et ils prirent leur douche ensemble pour gagner du temps. Ils s’habillèrent et partirent ensemble pour le travail. Arrivée là-bas, elle lui dit :
- Je t’aime, Patrick.
- Moi aussi …
- Mais à partir de maintenant, je redeviens ta patronne.
- Je sais.
Ils s’embrassèrent avant de rentrer. Lisbon dut se déparer de sa main, à contrecœur. Dans l’ascenseur, il posa une main sur son épaule, qu’elle repoussa gentiment juste avant que les portes ne s’ouvrent. Elle était tellement heureuse, quand elle était auprès de lui … Ils se séparèrent et se dirigèrent vers leurs endroits de travails respectifs : Lisbon dans son bureau et Jane … Sur le canapé. La journée se passa sans accrocs, et le midi, Lisbon alla trouver son bien-aimé (toujours sur le canapé) :
- Patrick …
- Oui ?
- Tu veux qu’on aille manger un morceau ?
- Désolé, mais je n’ai pas très faim actuellement …
Elle l’avait bien vu, quelque chose n’allait pas.
- Il y a un problème ?
- Non, non, la rassura-t-il. Ne t’en fais pas.
- Patrick, tu sais que tu peux tout me dire.
- Il n’y a rien à dire, Teresa.
Elle soupira, l’embrassa et se dirigea vers le restaurant le plus proche. Une vingtaine de minutes plus tard, Jane reçut un message : « Alors ? On avait peur que John le Rouge enlève sa dulcinée au petit Patrick ? Tu n’as plus à avoir peur, c’est déjà fait. ». Il bondit et tenta d’appeler Lisbon. Il commença :
- Lisbon, cou- …
- Inutile. C’est trop tard, dit une voix masquée.
- Enfoiré. Laisse-la !
- Allons, allons, ne nous énervons pas. Rassures-toi, elle est toujours vivante. Mais pour combien de temps ?
- Elle ne t’a rien fait, laisse-là … Suppliait-il à présent.
- Non. Tu vas payer.
- Alors tue-moi ! Tu n’as aucune raison de la tuer ! C’est moi qui te traque !
- Allons, Jane. Nous savons très bien tous les deux que c’est plus drôle de te voir souffrir que de te tuer. Mais patience, ton tour viendra, Jane, ton tour viendra …
Et Red John raccrocha son téléphone. Jane haletait, avait la bouche et les yeux grands ouverts, si bien que quand l’équipe de Lisbon rentra, Van Pelt lui demanda ce qui n’allait pas.
- Jane ? Ça va ? Demanda la rousse.
- Lisbon, elle … Elle …
- Elle quoi ?
- Elle s’est faite … Elle s’est faite …
- Continue, l’encouragea-t-elle, compatissante et surprise de voir l’homme de marbre dans cet état.
- Elle s’est fait enlever par John le Rouge.
- Quoi ?!
Les trois agents se regardèrent avec stupeur. Ils se dirigèrent vers leurs ordinateurs respectifs, pendant que Jane ne bougeait pas, choqué. Il pensait ne plus la revoir, que John le Rouge allait encore frapper, comme pour sa femme et sa fille, parties trop tôt. Mais un détail le surprenait. A l’écouter, Lisbon était toujours vivante, ce qui n’était pas dans les habitudes de John le Rouge. Quand il prenait, il tuait. Pourtant, pas cette fois. Jane fronça les sourcils, son cerveau ayant repris le dessus sur son cœur. Il décida de se bouger. Il n’avait pas le droit de la laisser, alors qu’elle ne l’aurait jamais fait. Non, il se prépara à frapper, à riposter une bonne fois pour toutes. Il se leva et décrocha son téléphone.
- Déjà lassé de moi, dit une voix rauque.
- Tu sais quoi, Red John, ou je peux t’appeler RJ ? Parfait. Tu sais, quoi, RJ ? Au final, tu n’es qu’un faible.
- Quoi ?
- Tu agresses ces femmes sans défense pour te venger de moi. Pourquoi ? Parce que tu as peur de m’affronter. Tu sais que je gagnerais.
- Je t’ai déjà capturé. Tu crois vraiment qu’un minable comme toi pourrait me faire peur … ?
- La preuve que oui.
- Tu as dépassé les bornes ! Je te propose d’échanger sa vie contre la tienne.
- Ça me va …
- Demain, près du parc le plus près du CBI. Si tu ne viens pas seul, je la tue, et devant toi.
Il raccrocha et affronta les regards stupéfaits de ses collègues. Il était prêt. Ce monstre l’avait empêché de vivre pendant plusieurs années, lui avaient pris sa femme et sa fille. Il ne laisserait pas cette erreur se reproduire. Il l’affronterait.
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
J'aime beaucoup ta fic, elle est vraiment très bien écrite, l'histoire est prenante.
Il n'y a que le NC-17 que j'ai trouvé bizarre et auquel je n'ai pas vraiment adhéré mais je crois que c'est le fantasme loufoque et le côté sadique de Lisbon qui m'ont perturbé
J'espère que Jane va pouvoir mettre une bonne raclée à RJ et filer le parfait amour avec Lisbon!!!
Vivement la suite!!!!!!
Il n'y a que le NC-17 que j'ai trouvé bizarre et auquel je n'ai pas vraiment adhéré mais je crois que c'est le fantasme loufoque et le côté sadique de Lisbon qui m'ont perturbé
J'espère que Jane va pouvoir mettre une bonne raclée à RJ et filer le parfait amour avec Lisbon!!!
Vivement la suite!!!!!!
kiffkiff- Agent de circulation
- Personnage préféré : Jane et Cho
Loisirs : jouer de la guitare, écrire des drabbles
Localisation : Chez les ch'tis! :-P
Re: Jane VS John ^
Merci beaucoup =). Pour le NC-17, c'était juste un essai, et de toute évidence ce n'est pas mon fort ^^.
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
RL77LUC a écrit:Pour le NC-17, c'était juste un essai, et de toute évidence ce n'est pas mon fort ^^.
Don't worry... c'était pas si mal pour un premier. J'ai dit que je trouvais ça destabilisant mais pas mauvais. Et puis la meilleure façon de s'améliorer c'est de s'entraîner...
Je serais ravie de te relire en NC-17
kiffkiff- Agent de circulation
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Re: Jane VS John ^
On verra plus tard, je vais d'abord me concentrer sur les fics normales ^^.
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
J'ai beaucoup aimée.
J'espère que Tess n'aura rien , je sens aussi que l'un des trois va être a l'hôpital
J'espère que Tess n'aura rien , je sens aussi que l'un des trois va être a l'hôpital
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Re: Jane VS John ^
Chapitre 12 : Se retrouver ... en sombrant.
Les membres de l’équipe travaillaient d’arrache-pied pendant que lui faisait les cent pas. Son caractère avait complètement changé. Il n’était plus d’humeur à plaisanter, cette fois John le Rouge était allé trop loin, et il allait le payer. On ne touchait pas à Teresa Lisbon sans conséquences. Il se tourna vers Rigsby et lui dit :
- Dis, vieux ? Tu pourrais me rendre un service ?
- Bien sûr, dit celui-ci qui n’osait contrarier Jane.
- Je voudrais que tu me prêtes ton arme …
- Jane … Ce n’est pas que je refuse que tu te venges, et je lui en veux aussi, mais je ne peux pas cautionner ça, pas avec mon arme. Désolé …
- Rigsby, épargnes-moi de me fatiguer à t’hypnotiser, donnes-moi ton arme ! dit celui-ci, la détermination dans les yeux.
Rigsby lui glissa son arme dans la main.
- Tu veux qu’on t’accompagne ?
- Non. C’est une affaire entre lui et moi. Il va payer.
- Fais attention à toi, et à elle, Jane.
- Pour moi, je ne peux rien te promettre. Mais elle, je ferais tout ce que je peux pour la sauver.
Il acquiesça et Jane prit l’ascenseur. Il marcha vers le parc, l’arme dissimulée par sa veste. Il sentit une main s’agripper.
- Je vois que tu es venu seul. C’est bien.
- Tu vas payer, dit-il, les dents serrées.
- Allons. Toujours prêt pour l’échange ?
- Oui.
- Lisbon est dans un entrepôt, à cette adresse.
Jane lui décocha un coup de poing et prit le papier. Il arracha le masque de l’homme et sortit son arme. Les passants s’enfuirent en courant. La sécurité du CBI accourra vers lui et lui dirent de poser son arme. Il leur dit :
- Cet homme est John le Rouge, le vrai. Je reconnais sa voix, sa façon de parler.
- Posez votre arme, monsieur.
Alors Jane ouvrit le feu sur le meurtrier de sa femme, de sa fille et le kidnappeur de Lisbon. Celui-ci regarda Jane, un dernier sourire sur les lèvres, qui s’effaça. Les hommes ouvrirent le feu sur Jane, qui tomba à la renverse, l’abdomen touché, qui faisait grandir une flaque de sang. Il tendit un papier vers Cho qui accourait et lui dit :
- C’est … Lisbon. Sauve-là.
L’agent prit le papier et fonça vers sa voiture. Jane, lui, sentit sa vision se noircir en entendant les sirènes de police et d’ambulance. Il sourit une dernière fois, avant qu’il ne tombe dans l’inconscience. Cho, lui, roulait aussi vite que lui permettait son gyrophare. Il sortit son arme et ouvrit la porte de l’adresse indiquée. Il vit Lisbon étendue au centre de l’entrepôt, attachée, bâillonnée et saignant de la bouche et du thorax. Elle fut à son tour conduit à l’hôpital avec Cho, qui la regardait, alors qu’elle était inconsciente.
Les membres de l’équipe travaillaient d’arrache-pied pendant que lui faisait les cent pas. Son caractère avait complètement changé. Il n’était plus d’humeur à plaisanter, cette fois John le Rouge était allé trop loin, et il allait le payer. On ne touchait pas à Teresa Lisbon sans conséquences. Il se tourna vers Rigsby et lui dit :
- Dis, vieux ? Tu pourrais me rendre un service ?
- Bien sûr, dit celui-ci qui n’osait contrarier Jane.
- Je voudrais que tu me prêtes ton arme …
- Jane … Ce n’est pas que je refuse que tu te venges, et je lui en veux aussi, mais je ne peux pas cautionner ça, pas avec mon arme. Désolé …
- Rigsby, épargnes-moi de me fatiguer à t’hypnotiser, donnes-moi ton arme ! dit celui-ci, la détermination dans les yeux.
Rigsby lui glissa son arme dans la main.
- Tu veux qu’on t’accompagne ?
- Non. C’est une affaire entre lui et moi. Il va payer.
- Fais attention à toi, et à elle, Jane.
- Pour moi, je ne peux rien te promettre. Mais elle, je ferais tout ce que je peux pour la sauver.
Il acquiesça et Jane prit l’ascenseur. Il marcha vers le parc, l’arme dissimulée par sa veste. Il sentit une main s’agripper.
- Je vois que tu es venu seul. C’est bien.
- Tu vas payer, dit-il, les dents serrées.
- Allons. Toujours prêt pour l’échange ?
- Oui.
- Lisbon est dans un entrepôt, à cette adresse.
Jane lui décocha un coup de poing et prit le papier. Il arracha le masque de l’homme et sortit son arme. Les passants s’enfuirent en courant. La sécurité du CBI accourra vers lui et lui dirent de poser son arme. Il leur dit :
- Cet homme est John le Rouge, le vrai. Je reconnais sa voix, sa façon de parler.
- Posez votre arme, monsieur.
Alors Jane ouvrit le feu sur le meurtrier de sa femme, de sa fille et le kidnappeur de Lisbon. Celui-ci regarda Jane, un dernier sourire sur les lèvres, qui s’effaça. Les hommes ouvrirent le feu sur Jane, qui tomba à la renverse, l’abdomen touché, qui faisait grandir une flaque de sang. Il tendit un papier vers Cho qui accourait et lui dit :
- C’est … Lisbon. Sauve-là.
L’agent prit le papier et fonça vers sa voiture. Jane, lui, sentit sa vision se noircir en entendant les sirènes de police et d’ambulance. Il sourit une dernière fois, avant qu’il ne tombe dans l’inconscience. Cho, lui, roulait aussi vite que lui permettait son gyrophare. Il sortit son arme et ouvrit la porte de l’adresse indiquée. Il vit Lisbon étendue au centre de l’entrepôt, attachée, bâillonnée et saignant de la bouche et du thorax. Elle fut à son tour conduit à l’hôpital avec Cho, qui la regardait, alors qu’elle était inconsciente.
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Merci à toutes pour vos encouragements, et désolée pour le "retard" de ce chapitre ...
RL77LUC- Distributeur de café
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Re: Jane VS John ^
Chapitre 13 : C'est fini.
Le lendemain, Jane ouvrit peu à peu les yeux. Il vit avec déception que Lisbon n’était pas à son chevet. A la place, il y avait Van Pelt.
- Salut, dit-il
- Bonjour …
- Tu n’as pas vraiment l’air très contente de me revoir.
- C’est pas ça, mais …
- Mais ?
- Lisbon, elle …
Elle éclata en sanglots. Jane n’arrivait pas à enregistrer l’information.
- Tu veux dire qu’elle est gravement blessée ?
- Non, Jane. C’est fini, avant même d’avoir commencé. Quand elle est arrivée ici, elle était trop faible.
- Non … Non ! C’est Lisbon, elle ne peut pas me faire ça !
- Je suis désolée … Je suis tellement désolée.
Il commença à voir perler des larmes. John le Rouge lui avait repris une femme. Il le paierait cher.
- A ce propos, John le Rouge ?
- Il est mort, tu as réussi.
Mais Jane n’était même pas heureux d’avoir enfin assouvi sa vengeance. Il sentait un torrent de larmes couler le long de ses joues. Lisbon était morte, par sa faute … Il pensa au suicide pour rejoindre les autres là-haut, mais renonça. Ce serait laisser John le Rouge gagner, et il ne se le permettrait pas. Il pensa aussi à Cho, Rigsby et Van Pelt. Ils étaient finalement devenus ses amis. Il ne pouvait se résigner à leur faire ça. Il dit alors à Van Pelt :
- Je veux la voir …
- Je ne sais pas si c’est raisonnable …
- S’il te plaît.
Elle céda et il arracha ses câbles. Il descendit à la morgue, et on lui ouvrit un casier, parmi tant d’autres. Cette idée que Lisbon ne soit qu’une morte de plus alimenta sa rage. On fit glisser une planche métallique, sur laquelle le corps de Lisbon glissa. Une nouvelle larme vint trouver son chemin sur la joue du consultant.
- Teresa … Tu avais promis de ne pas me laisser … Qu’est-ce que je vais devenir sans toi, moi ?
Il dit alors au légiste :
- Dites, elle me parait bien colorée, pour une morte.
- Ça arrive parfois. Mais elle est bien morte, je peux vous l’assurer. Je suis désolé …
Jane fronça les sourcils et toucha la joue de Lisbon. Son froncement de sourcils s’accentua.
Le lendemain, Jane ouvrit peu à peu les yeux. Il vit avec déception que Lisbon n’était pas à son chevet. A la place, il y avait Van Pelt.
- Salut, dit-il
- Bonjour …
- Tu n’as pas vraiment l’air très contente de me revoir.
- C’est pas ça, mais …
- Mais ?
- Lisbon, elle …
Elle éclata en sanglots. Jane n’arrivait pas à enregistrer l’information.
- Tu veux dire qu’elle est gravement blessée ?
- Non, Jane. C’est fini, avant même d’avoir commencé. Quand elle est arrivée ici, elle était trop faible.
- Non … Non ! C’est Lisbon, elle ne peut pas me faire ça !
- Je suis désolée … Je suis tellement désolée.
Il commença à voir perler des larmes. John le Rouge lui avait repris une femme. Il le paierait cher.
- A ce propos, John le Rouge ?
- Il est mort, tu as réussi.
Mais Jane n’était même pas heureux d’avoir enfin assouvi sa vengeance. Il sentait un torrent de larmes couler le long de ses joues. Lisbon était morte, par sa faute … Il pensa au suicide pour rejoindre les autres là-haut, mais renonça. Ce serait laisser John le Rouge gagner, et il ne se le permettrait pas. Il pensa aussi à Cho, Rigsby et Van Pelt. Ils étaient finalement devenus ses amis. Il ne pouvait se résigner à leur faire ça. Il dit alors à Van Pelt :
- Je veux la voir …
- Je ne sais pas si c’est raisonnable …
- S’il te plaît.
Elle céda et il arracha ses câbles. Il descendit à la morgue, et on lui ouvrit un casier, parmi tant d’autres. Cette idée que Lisbon ne soit qu’une morte de plus alimenta sa rage. On fit glisser une planche métallique, sur laquelle le corps de Lisbon glissa. Une nouvelle larme vint trouver son chemin sur la joue du consultant.
- Teresa … Tu avais promis de ne pas me laisser … Qu’est-ce que je vais devenir sans toi, moi ?
Il dit alors au légiste :
- Dites, elle me parait bien colorée, pour une morte.
- Ça arrive parfois. Mais elle est bien morte, je peux vous l’assurer. Je suis désolé …
Jane fronça les sourcils et toucha la joue de Lisbon. Son froncement de sourcils s’accentua.
Dernière édition par RL77LUC le Mer 25 Jan 2012 - 12:55, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
lol, j'adore. Soit c'est un rêve, soit c'est une blague des 4 ^^
VLS
VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Ou peut-être qu'elle est réellement morte, qui sais ?
En tous cas, merci
En tous cas, merci
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
A nan!! j'ai pas envie qu'elle soit morte !! si elle est morte, je boude !!! lol
et de rien
et de rien
L3mOn- Livreur de Pizza
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Re: Jane VS John ^
Chapitre 14 : Est-ce vraiment fini ?
- Cette femme n’est pas Lisbon !
Sur ces mots, il dégrafa la veste du cadavre et tira sur ce qui semblait être un masque. Le légiste dit :
- Impossible !
- Mais où est la vraie Lisbon ? demanda alors Van Pelt.
- Bonne question, soupira Jane, la mine triste. J’espère juste qu’elle n’est pas …
Il ne finit pas sa phrase, et Van Pelt avait compris. Elle l’espérait elle aussi. Le téléphone de Jane sonna. Il le regarda un moment, avant que son visage ne s’illumine. C’était elle. Elle devait être en vie. Il décrocha et dit :
- Jane.
- Monsieur Jane ? Je me nomme Romain Telac. Je suis le directeur d’une agence secrète, la « Secret Research Agency ».
- Je vois, dit-il, perplexe. Comment pouvez-vous téléphoner de ce numéro ?
- J’ai retrouvé l’agent Lisbon, quelqu’un de haut placé m’en a fait la demande.
- Elle va bien ?! s’enquit Jane.
- Elle est très faible, mais elle va s’en sortir. Vous êtes libre ? Si oui, allez à l’hôpital général de Sacramento. Nous vous y attendons.
Jane bondit vers la sortie, avant d’aller en voiture, tout en expliquant à Van Pelt ce dont il s’agissait. Elle le laissait. Elle le savait, c’était mieux, ils avaient des choses à se dire. Il alla à l’entrée avant de trouver un jeune homme et une femme d’approximativement du même âge avec un gilet pare-balles. L’homme avait une longue cicatrice, qui entravait l’œil, qui n’en était pas un. C’était un œil de verre. Il vit la mine curieuse de Jane, et il devina que c’était lui Romain. Ce dernier sourit légèrement et dit :
- Blessure de guerre. Katana, lorsque j’étais au Japon.
- Qui êtes-vous ? demanda Jane, légèrement suspicieux.
- Je croyais vous l’avoir dit, répondit-il dans un sourire. La SRA est une agence gouvernementale secrète. Nous nous occupons des affaires importantes et qui concernent les secrets du gouvernement. Elle, elle se nomme Cassandra Almeira. Elle est co-directrice.
- Et petite-amie, dit celle-ci en levant les yeux au ciel, agacée.
- On dirait Teresa, dit Jane avec un léger amusement. Je peux la voir ?
- Bien sûr. Suivez-moi.
Il le conduit vers une petite chambre. L’agent du CBI dormait paisiblement. Elle avait une ecchymose sur la joue droite.
- Où l’avez-vous trouvée ?
- Au bord du canal qui longe le CBI. Un petit entrepôt. Elle était faible et avait perdu un peu de sang. Il n’y avait personne. On m’a informé que vous aviez tué John le Rouge.
- Oui … Je suppose que vous allez m’inculper.
- Non. En vérité, j’ai retiré les accusations contre vous. Vous avez débarrassé le monde d’un criminel. Je me serais senti coupable si je vous avais puni pour ça.
- Oh.
Jane était assez surpris par cet homme. Il ne parvenait pas lire en lui, ni en la femme qui l’accompagnait silencieusement. Les deux agents sortirent de la chambre et laissèrent Jane seul avec Lisbon. Il déposa un baiser sur les lèvres de celle-ci. Il resta quelques minutes, puis sentit les machines s’affoler. Romain bloqua l’entrée à Cassandra, et lui dit :
- Laisse-les. Ils ont du retard à rattraper. Et même si j’ai lu son dossier, ce Jane m’intrigue. Il est … différent.
Elle acquiesça et sourit. Jane, lui regardait Lisbon s’éveiller lentement. Au bout d’un moment, il lui dit :
- Teresa … Tu es réveillée !
- Teresa. C’est mon nom ? dit-elle, neutre.
Il ouvrit de grands yeux.
- Tu ne te rappelles de rien ?
- Non … Nous avons couché ensemble ?
- Euh … enfin …
Il la regarda d’un air curieux, avant de se rendre compte qu’elle se moquait de lui. Il écarquilla les yeux et elle rit.
- Comment as-tu pu me faire ça ?!
- C’est ce que tu m’as fait la dernière fois.
- Ne m’adresse plus la parole.
- Mauvais joueur.
Il finit par sourire et l’embrassa. Elle était revenue. Lisbon était de retour.
- Cette femme n’est pas Lisbon !
Sur ces mots, il dégrafa la veste du cadavre et tira sur ce qui semblait être un masque. Le légiste dit :
- Impossible !
- Mais où est la vraie Lisbon ? demanda alors Van Pelt.
- Bonne question, soupira Jane, la mine triste. J’espère juste qu’elle n’est pas …
Il ne finit pas sa phrase, et Van Pelt avait compris. Elle l’espérait elle aussi. Le téléphone de Jane sonna. Il le regarda un moment, avant que son visage ne s’illumine. C’était elle. Elle devait être en vie. Il décrocha et dit :
- Jane.
- Monsieur Jane ? Je me nomme Romain Telac. Je suis le directeur d’une agence secrète, la « Secret Research Agency ».
- Je vois, dit-il, perplexe. Comment pouvez-vous téléphoner de ce numéro ?
- J’ai retrouvé l’agent Lisbon, quelqu’un de haut placé m’en a fait la demande.
- Elle va bien ?! s’enquit Jane.
- Elle est très faible, mais elle va s’en sortir. Vous êtes libre ? Si oui, allez à l’hôpital général de Sacramento. Nous vous y attendons.
Jane bondit vers la sortie, avant d’aller en voiture, tout en expliquant à Van Pelt ce dont il s’agissait. Elle le laissait. Elle le savait, c’était mieux, ils avaient des choses à se dire. Il alla à l’entrée avant de trouver un jeune homme et une femme d’approximativement du même âge avec un gilet pare-balles. L’homme avait une longue cicatrice, qui entravait l’œil, qui n’en était pas un. C’était un œil de verre. Il vit la mine curieuse de Jane, et il devina que c’était lui Romain. Ce dernier sourit légèrement et dit :
- Blessure de guerre. Katana, lorsque j’étais au Japon.
- Qui êtes-vous ? demanda Jane, légèrement suspicieux.
- Je croyais vous l’avoir dit, répondit-il dans un sourire. La SRA est une agence gouvernementale secrète. Nous nous occupons des affaires importantes et qui concernent les secrets du gouvernement. Elle, elle se nomme Cassandra Almeira. Elle est co-directrice.
- Et petite-amie, dit celle-ci en levant les yeux au ciel, agacée.
- On dirait Teresa, dit Jane avec un léger amusement. Je peux la voir ?
- Bien sûr. Suivez-moi.
Il le conduit vers une petite chambre. L’agent du CBI dormait paisiblement. Elle avait une ecchymose sur la joue droite.
- Où l’avez-vous trouvée ?
- Au bord du canal qui longe le CBI. Un petit entrepôt. Elle était faible et avait perdu un peu de sang. Il n’y avait personne. On m’a informé que vous aviez tué John le Rouge.
- Oui … Je suppose que vous allez m’inculper.
- Non. En vérité, j’ai retiré les accusations contre vous. Vous avez débarrassé le monde d’un criminel. Je me serais senti coupable si je vous avais puni pour ça.
- Oh.
Jane était assez surpris par cet homme. Il ne parvenait pas lire en lui, ni en la femme qui l’accompagnait silencieusement. Les deux agents sortirent de la chambre et laissèrent Jane seul avec Lisbon. Il déposa un baiser sur les lèvres de celle-ci. Il resta quelques minutes, puis sentit les machines s’affoler. Romain bloqua l’entrée à Cassandra, et lui dit :
- Laisse-les. Ils ont du retard à rattraper. Et même si j’ai lu son dossier, ce Jane m’intrigue. Il est … différent.
Elle acquiesça et sourit. Jane, lui regardait Lisbon s’éveiller lentement. Au bout d’un moment, il lui dit :
- Teresa … Tu es réveillée !
- Teresa. C’est mon nom ? dit-elle, neutre.
Il ouvrit de grands yeux.
- Tu ne te rappelles de rien ?
- Non … Nous avons couché ensemble ?
- Euh … enfin …
Il la regarda d’un air curieux, avant de se rendre compte qu’elle se moquait de lui. Il écarquilla les yeux et elle rit.
- Comment as-tu pu me faire ça ?!
- C’est ce que tu m’as fait la dernière fois.
- Ne m’adresse plus la parole.
- Mauvais joueur.
Il finit par sourire et l’embrassa. Elle était revenue. Lisbon était de retour.
Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:43, édité 1 fois
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Re: Jane VS John ^
C'est tout mignon la fin !!
J'ai eu peur un moment qu'elle avait oublier tout se qui était passer entre elle et Jane ^^'
Ouf !
Continue comme ça !
J'ai eu peur un moment qu'elle avait oublier tout se qui était passer entre elle et Jane ^^'
Ouf !
Continue comme ça !
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Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 15 : Boys VS Girls
Romain entra dans la chambre, accompagné d’un médecin. Jane retourna s’asseoir, attendant le verdict du médecin. Il était légèrement inquiet au fond de lui, mais ne le laissait pas transparaitre. Une fois que le médecin annonça que tout allait bien, Romain lui tendit une pile de vêtements et dit :
- Si tout va bien, autant retourner chez vous.
- Merci, dit-elle simplement, intriguée par ce jeune homme.
Ils sortirent le temps qu’elle se rhabille. Ils se dirigèrent ensuite vers le parking, Romain et Jane soutenant Lisbon, qui finit par les repousser gentiment.
- Je ne suis pas infirme ! protesta-t-elle.
- Presque, dit Jane. Arrête de faire ta courageuse, il n’y a que moi et ceux qui t’ont aidé, tu n’as pas besoin de rester fière ici.
- Qu’est-ce que tu es irritant, quand tu t’y mets ! La prochaine fois, je t’enverrais mon poing dans la figure.
- Encore ? Le pauvre en a pris suffisamment, dit-il en souriant.
- Il faut croire que non, répliqua-t-elle, se retenant de sourire à son tour.
Romain arriva devant une voiture.
- Je vous proposerai bien de vous raccompagner, mais il n’y a que deux places. Il y a une voiture de l’autre côté. Cassandra vous emmènera, moi j’ouvrirais le chemin avec celle-ci, dit-il en désignant une Lamborghini, qui de toute évidence était extrêmement chère.
La voiture était bleue marine avec des stries jaunes, un gyrophare sur le dessus. Jane siffla, amusé et épaté, il devait le reconnaître. Romain sourit un peu, amusé lui aussi. Cassandra conduit Jane et Lisbon vers un véhicule qui semblait pouvoir aller tout aussi vite. Elle leur dit :
- Je vous conseille d’accrocher vos ceintures.
- Personnellement, je ne le fais jamais, dit Jane.
- Arrête de faire le téméraire, répliqua Lisbon, fière de retourner cette réplique à son avantage.
- L’agent Lisbon a raison, Romain monte parfois à 200km/h sur l’autoroute.
Jane blêmit légèrement à cette idée et accrocha sa ceinture, sous le sourire victorieux de Lisbon. Cassandra démarra et suivit Romain. Ce dernier fit rapidement monter la vitesse, au point que Lisbon retienne son souffle et prenne la main de Jane, ce dernier ne se débrouillant pas mieux. Cassandra finit par rire et leur dit :
- Ne vous inquiétez pas, on fait ça tous les jours, et on n’a jamais eu de problèmes.
Ils arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Les deux membres du CBI sortirent, soulagés. Romain leur dit :
- Pas trop rapide ?
- Non, non, dit Lisbon.
Jane pouffa et elle lui mit un coup de coude.
- Tu n’as pas fait mieux.
Il leva un sourcil moqueur et l’embrassa. Ils montèrent au CBI, accompagnés des deux agents de la SRA. Lisbon fit les présentations auprès de son équipe. Cho se tourna vers sa patronne et lui dit :
- Une nouvelle affaire, patron. Un homme abattu par balles.
- Je vois, dit-elle. Vous voulez vous joindre à nous, demanda Lisbon.
- Avec plaisir, accepta Romain.
- Je propose un jeu, dit Jane, triomphant.
- Un homme est mort, bon sang ! s’exaspéra Lisbon. Un peu de respect, ce n’est pas le moment de jouer.
- Des hommes meurent chaque jour, en moyenne, il y un décès environ toutes les cinq secondes quelque part dans le monde. Ecoutes ce que j’ai à dire, au lieu de râler !
- D’accord, céda-t-elle, un peu agacée.
- Bien. Je propose qu’un fasse des équipes. Je me mets avec Romain, et Teresa tu va avec Cassandra. Ça vous va ? La dernière équipe à trouver le coupable paie une tournée au restaurant.
- Moi, oui, dit Romain. Ça pourrait être sympa.
- C’est pas vrai, Romain ! Oh ! Un homme est mort ! protesta Cassandra.
- Peur de perdre ? Provoqua celui-ci.
- On va vous donner une bonne leçon, dit Lisbon, avide de prouver à Jane qu’elle pouvait faire mieux que lui.
Elle se dit aussitôt que c’était peut-être vite parler. Après tout, Jane était mentaliste, et Romain avait l’air doué dans son genre. Mais elle ne pouvait plus reculer, elle avait déjà acceptée. Elle soupira et dit à Cassandra :
- Bien … Par quoi commençons nous ?
- Par nous tutoyer, non ? demanda Cassandra.
- Pourquoi pas, approuva l’agent du CBI. On va sur les lieux du crime ?
- D’accord.
Romain se dirigeait vers le parking, accompagné de Jane. Il entendit l’ascenseur sonner et dit à Jane :
- Et si on les retardait un peu ? Leur voiture est juste là !
- Tu veux tricher ?
- Pas tricher, gagner un peu de … temps.
Jane sourit à cette idée et demanda à Romain comment il allait faire. Lisbon et Cassandra allèrent vers eux, qui s’étaient dissimulés entre deux voitures. Le directeur de la SRA pianotait sur son micro-ordinateur et brouilla le GPS de la voiture. Ils s’éclipsèrent juste à temps et montèrent dans la Lamborghini. Romain ouvrit le contact et son téléphone sonna.
- Sale tricheur ! Je sais que c’est toi, hurla Cassandra.
- Quoi donc ? Demanda-t-il.
- Ne fais pas le malin.
Il raccrocha et passa devant elles en leur souriant. Lisbon jeta un regard mauvais à Jane qui tira puérilement la langue. Cassandra, elle, l’avait jouée moins fine, elle lui avait fait un doigt d’honneur. La bataille commençait enfin.
Merci beaucoup de tes commentaires encourageants. Je crois que tu es ma seule lectrice .
Romain entra dans la chambre, accompagné d’un médecin. Jane retourna s’asseoir, attendant le verdict du médecin. Il était légèrement inquiet au fond de lui, mais ne le laissait pas transparaitre. Une fois que le médecin annonça que tout allait bien, Romain lui tendit une pile de vêtements et dit :
- Si tout va bien, autant retourner chez vous.
- Merci, dit-elle simplement, intriguée par ce jeune homme.
Ils sortirent le temps qu’elle se rhabille. Ils se dirigèrent ensuite vers le parking, Romain et Jane soutenant Lisbon, qui finit par les repousser gentiment.
- Je ne suis pas infirme ! protesta-t-elle.
- Presque, dit Jane. Arrête de faire ta courageuse, il n’y a que moi et ceux qui t’ont aidé, tu n’as pas besoin de rester fière ici.
- Qu’est-ce que tu es irritant, quand tu t’y mets ! La prochaine fois, je t’enverrais mon poing dans la figure.
- Encore ? Le pauvre en a pris suffisamment, dit-il en souriant.
- Il faut croire que non, répliqua-t-elle, se retenant de sourire à son tour.
Romain arriva devant une voiture.
- Je vous proposerai bien de vous raccompagner, mais il n’y a que deux places. Il y a une voiture de l’autre côté. Cassandra vous emmènera, moi j’ouvrirais le chemin avec celle-ci, dit-il en désignant une Lamborghini, qui de toute évidence était extrêmement chère.
La voiture était bleue marine avec des stries jaunes, un gyrophare sur le dessus. Jane siffla, amusé et épaté, il devait le reconnaître. Romain sourit un peu, amusé lui aussi. Cassandra conduit Jane et Lisbon vers un véhicule qui semblait pouvoir aller tout aussi vite. Elle leur dit :
- Je vous conseille d’accrocher vos ceintures.
- Personnellement, je ne le fais jamais, dit Jane.
- Arrête de faire le téméraire, répliqua Lisbon, fière de retourner cette réplique à son avantage.
- L’agent Lisbon a raison, Romain monte parfois à 200km/h sur l’autoroute.
Jane blêmit légèrement à cette idée et accrocha sa ceinture, sous le sourire victorieux de Lisbon. Cassandra démarra et suivit Romain. Ce dernier fit rapidement monter la vitesse, au point que Lisbon retienne son souffle et prenne la main de Jane, ce dernier ne se débrouillant pas mieux. Cassandra finit par rire et leur dit :
- Ne vous inquiétez pas, on fait ça tous les jours, et on n’a jamais eu de problèmes.
Ils arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Les deux membres du CBI sortirent, soulagés. Romain leur dit :
- Pas trop rapide ?
- Non, non, dit Lisbon.
Jane pouffa et elle lui mit un coup de coude.
- Tu n’as pas fait mieux.
Il leva un sourcil moqueur et l’embrassa. Ils montèrent au CBI, accompagnés des deux agents de la SRA. Lisbon fit les présentations auprès de son équipe. Cho se tourna vers sa patronne et lui dit :
- Une nouvelle affaire, patron. Un homme abattu par balles.
- Je vois, dit-elle. Vous voulez vous joindre à nous, demanda Lisbon.
- Avec plaisir, accepta Romain.
- Je propose un jeu, dit Jane, triomphant.
- Un homme est mort, bon sang ! s’exaspéra Lisbon. Un peu de respect, ce n’est pas le moment de jouer.
- Des hommes meurent chaque jour, en moyenne, il y un décès environ toutes les cinq secondes quelque part dans le monde. Ecoutes ce que j’ai à dire, au lieu de râler !
- D’accord, céda-t-elle, un peu agacée.
- Bien. Je propose qu’un fasse des équipes. Je me mets avec Romain, et Teresa tu va avec Cassandra. Ça vous va ? La dernière équipe à trouver le coupable paie une tournée au restaurant.
- Moi, oui, dit Romain. Ça pourrait être sympa.
- C’est pas vrai, Romain ! Oh ! Un homme est mort ! protesta Cassandra.
- Peur de perdre ? Provoqua celui-ci.
- On va vous donner une bonne leçon, dit Lisbon, avide de prouver à Jane qu’elle pouvait faire mieux que lui.
Elle se dit aussitôt que c’était peut-être vite parler. Après tout, Jane était mentaliste, et Romain avait l’air doué dans son genre. Mais elle ne pouvait plus reculer, elle avait déjà acceptée. Elle soupira et dit à Cassandra :
- Bien … Par quoi commençons nous ?
- Par nous tutoyer, non ? demanda Cassandra.
- Pourquoi pas, approuva l’agent du CBI. On va sur les lieux du crime ?
- D’accord.
Romain se dirigeait vers le parking, accompagné de Jane. Il entendit l’ascenseur sonner et dit à Jane :
- Et si on les retardait un peu ? Leur voiture est juste là !
- Tu veux tricher ?
- Pas tricher, gagner un peu de … temps.
Jane sourit à cette idée et demanda à Romain comment il allait faire. Lisbon et Cassandra allèrent vers eux, qui s’étaient dissimulés entre deux voitures. Le directeur de la SRA pianotait sur son micro-ordinateur et brouilla le GPS de la voiture. Ils s’éclipsèrent juste à temps et montèrent dans la Lamborghini. Romain ouvrit le contact et son téléphone sonna.
- Sale tricheur ! Je sais que c’est toi, hurla Cassandra.
- Quoi donc ? Demanda-t-il.
- Ne fais pas le malin.
Il raccrocha et passa devant elles en leur souriant. Lisbon jeta un regard mauvais à Jane qui tira puérilement la langue. Cassandra, elle, l’avait jouée moins fine, elle lui avait fait un doigt d’honneur. La bataille commençait enfin.
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Merci beaucoup de tes commentaires encourageants. Je crois que tu es ma seule lectrice .
Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:44, édité 2 fois
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