Jane VS John ^
+6
MelissaJane
kiffkiff
L3mOn
Johel
loelia2007
RL77LUC
10 participants
Page 2 sur 5
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Re: Jane VS John ^
On verra plus tard, je vais d'abord me concentrer sur les fics normales ^^.
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
J'ai beaucoup aimée.
J'espère que Tess n'aura rien , je sens aussi que l'un des trois va être a l'hôpital
J'espère que Tess n'aura rien , je sens aussi que l'un des trois va être a l'hôpital
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 12 : Se retrouver ... en sombrant.
Les membres de l’équipe travaillaient d’arrache-pied pendant que lui faisait les cent pas. Son caractère avait complètement changé. Il n’était plus d’humeur à plaisanter, cette fois John le Rouge était allé trop loin, et il allait le payer. On ne touchait pas à Teresa Lisbon sans conséquences. Il se tourna vers Rigsby et lui dit :
- Dis, vieux ? Tu pourrais me rendre un service ?
- Bien sûr, dit celui-ci qui n’osait contrarier Jane.
- Je voudrais que tu me prêtes ton arme …
- Jane … Ce n’est pas que je refuse que tu te venges, et je lui en veux aussi, mais je ne peux pas cautionner ça, pas avec mon arme. Désolé …
- Rigsby, épargnes-moi de me fatiguer à t’hypnotiser, donnes-moi ton arme ! dit celui-ci, la détermination dans les yeux.
Rigsby lui glissa son arme dans la main.
- Tu veux qu’on t’accompagne ?
- Non. C’est une affaire entre lui et moi. Il va payer.
- Fais attention à toi, et à elle, Jane.
- Pour moi, je ne peux rien te promettre. Mais elle, je ferais tout ce que je peux pour la sauver.
Il acquiesça et Jane prit l’ascenseur. Il marcha vers le parc, l’arme dissimulée par sa veste. Il sentit une main s’agripper.
- Je vois que tu es venu seul. C’est bien.
- Tu vas payer, dit-il, les dents serrées.
- Allons. Toujours prêt pour l’échange ?
- Oui.
- Lisbon est dans un entrepôt, à cette adresse.
Jane lui décocha un coup de poing et prit le papier. Il arracha le masque de l’homme et sortit son arme. Les passants s’enfuirent en courant. La sécurité du CBI accourra vers lui et lui dirent de poser son arme. Il leur dit :
- Cet homme est John le Rouge, le vrai. Je reconnais sa voix, sa façon de parler.
- Posez votre arme, monsieur.
Alors Jane ouvrit le feu sur le meurtrier de sa femme, de sa fille et le kidnappeur de Lisbon. Celui-ci regarda Jane, un dernier sourire sur les lèvres, qui s’effaça. Les hommes ouvrirent le feu sur Jane, qui tomba à la renverse, l’abdomen touché, qui faisait grandir une flaque de sang. Il tendit un papier vers Cho qui accourait et lui dit :
- C’est … Lisbon. Sauve-là.
L’agent prit le papier et fonça vers sa voiture. Jane, lui, sentit sa vision se noircir en entendant les sirènes de police et d’ambulance. Il sourit une dernière fois, avant qu’il ne tombe dans l’inconscience. Cho, lui, roulait aussi vite que lui permettait son gyrophare. Il sortit son arme et ouvrit la porte de l’adresse indiquée. Il vit Lisbon étendue au centre de l’entrepôt, attachée, bâillonnée et saignant de la bouche et du thorax. Elle fut à son tour conduit à l’hôpital avec Cho, qui la regardait, alors qu’elle était inconsciente.
Les membres de l’équipe travaillaient d’arrache-pied pendant que lui faisait les cent pas. Son caractère avait complètement changé. Il n’était plus d’humeur à plaisanter, cette fois John le Rouge était allé trop loin, et il allait le payer. On ne touchait pas à Teresa Lisbon sans conséquences. Il se tourna vers Rigsby et lui dit :
- Dis, vieux ? Tu pourrais me rendre un service ?
- Bien sûr, dit celui-ci qui n’osait contrarier Jane.
- Je voudrais que tu me prêtes ton arme …
- Jane … Ce n’est pas que je refuse que tu te venges, et je lui en veux aussi, mais je ne peux pas cautionner ça, pas avec mon arme. Désolé …
- Rigsby, épargnes-moi de me fatiguer à t’hypnotiser, donnes-moi ton arme ! dit celui-ci, la détermination dans les yeux.
Rigsby lui glissa son arme dans la main.
- Tu veux qu’on t’accompagne ?
- Non. C’est une affaire entre lui et moi. Il va payer.
- Fais attention à toi, et à elle, Jane.
- Pour moi, je ne peux rien te promettre. Mais elle, je ferais tout ce que je peux pour la sauver.
Il acquiesça et Jane prit l’ascenseur. Il marcha vers le parc, l’arme dissimulée par sa veste. Il sentit une main s’agripper.
- Je vois que tu es venu seul. C’est bien.
- Tu vas payer, dit-il, les dents serrées.
- Allons. Toujours prêt pour l’échange ?
- Oui.
- Lisbon est dans un entrepôt, à cette adresse.
Jane lui décocha un coup de poing et prit le papier. Il arracha le masque de l’homme et sortit son arme. Les passants s’enfuirent en courant. La sécurité du CBI accourra vers lui et lui dirent de poser son arme. Il leur dit :
- Cet homme est John le Rouge, le vrai. Je reconnais sa voix, sa façon de parler.
- Posez votre arme, monsieur.
Alors Jane ouvrit le feu sur le meurtrier de sa femme, de sa fille et le kidnappeur de Lisbon. Celui-ci regarda Jane, un dernier sourire sur les lèvres, qui s’effaça. Les hommes ouvrirent le feu sur Jane, qui tomba à la renverse, l’abdomen touché, qui faisait grandir une flaque de sang. Il tendit un papier vers Cho qui accourait et lui dit :
- C’est … Lisbon. Sauve-là.
L’agent prit le papier et fonça vers sa voiture. Jane, lui, sentit sa vision se noircir en entendant les sirènes de police et d’ambulance. Il sourit une dernière fois, avant qu’il ne tombe dans l’inconscience. Cho, lui, roulait aussi vite que lui permettait son gyrophare. Il sortit son arme et ouvrit la porte de l’adresse indiquée. Il vit Lisbon étendue au centre de l’entrepôt, attachée, bâillonnée et saignant de la bouche et du thorax. Elle fut à son tour conduit à l’hôpital avec Cho, qui la regardait, alors qu’elle était inconsciente.
**********************
Merci à toutes pour vos encouragements, et désolée pour le "retard" de ce chapitre ...
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Chapitre 13 : C'est fini.
Le lendemain, Jane ouvrit peu à peu les yeux. Il vit avec déception que Lisbon n’était pas à son chevet. A la place, il y avait Van Pelt.
- Salut, dit-il
- Bonjour …
- Tu n’as pas vraiment l’air très contente de me revoir.
- C’est pas ça, mais …
- Mais ?
- Lisbon, elle …
Elle éclata en sanglots. Jane n’arrivait pas à enregistrer l’information.
- Tu veux dire qu’elle est gravement blessée ?
- Non, Jane. C’est fini, avant même d’avoir commencé. Quand elle est arrivée ici, elle était trop faible.
- Non … Non ! C’est Lisbon, elle ne peut pas me faire ça !
- Je suis désolée … Je suis tellement désolée.
Il commença à voir perler des larmes. John le Rouge lui avait repris une femme. Il le paierait cher.
- A ce propos, John le Rouge ?
- Il est mort, tu as réussi.
Mais Jane n’était même pas heureux d’avoir enfin assouvi sa vengeance. Il sentait un torrent de larmes couler le long de ses joues. Lisbon était morte, par sa faute … Il pensa au suicide pour rejoindre les autres là-haut, mais renonça. Ce serait laisser John le Rouge gagner, et il ne se le permettrait pas. Il pensa aussi à Cho, Rigsby et Van Pelt. Ils étaient finalement devenus ses amis. Il ne pouvait se résigner à leur faire ça. Il dit alors à Van Pelt :
- Je veux la voir …
- Je ne sais pas si c’est raisonnable …
- S’il te plaît.
Elle céda et il arracha ses câbles. Il descendit à la morgue, et on lui ouvrit un casier, parmi tant d’autres. Cette idée que Lisbon ne soit qu’une morte de plus alimenta sa rage. On fit glisser une planche métallique, sur laquelle le corps de Lisbon glissa. Une nouvelle larme vint trouver son chemin sur la joue du consultant.
- Teresa … Tu avais promis de ne pas me laisser … Qu’est-ce que je vais devenir sans toi, moi ?
Il dit alors au légiste :
- Dites, elle me parait bien colorée, pour une morte.
- Ça arrive parfois. Mais elle est bien morte, je peux vous l’assurer. Je suis désolé …
Jane fronça les sourcils et toucha la joue de Lisbon. Son froncement de sourcils s’accentua.
Le lendemain, Jane ouvrit peu à peu les yeux. Il vit avec déception que Lisbon n’était pas à son chevet. A la place, il y avait Van Pelt.
- Salut, dit-il
- Bonjour …
- Tu n’as pas vraiment l’air très contente de me revoir.
- C’est pas ça, mais …
- Mais ?
- Lisbon, elle …
Elle éclata en sanglots. Jane n’arrivait pas à enregistrer l’information.
- Tu veux dire qu’elle est gravement blessée ?
- Non, Jane. C’est fini, avant même d’avoir commencé. Quand elle est arrivée ici, elle était trop faible.
- Non … Non ! C’est Lisbon, elle ne peut pas me faire ça !
- Je suis désolée … Je suis tellement désolée.
Il commença à voir perler des larmes. John le Rouge lui avait repris une femme. Il le paierait cher.
- A ce propos, John le Rouge ?
- Il est mort, tu as réussi.
Mais Jane n’était même pas heureux d’avoir enfin assouvi sa vengeance. Il sentait un torrent de larmes couler le long de ses joues. Lisbon était morte, par sa faute … Il pensa au suicide pour rejoindre les autres là-haut, mais renonça. Ce serait laisser John le Rouge gagner, et il ne se le permettrait pas. Il pensa aussi à Cho, Rigsby et Van Pelt. Ils étaient finalement devenus ses amis. Il ne pouvait se résigner à leur faire ça. Il dit alors à Van Pelt :
- Je veux la voir …
- Je ne sais pas si c’est raisonnable …
- S’il te plaît.
Elle céda et il arracha ses câbles. Il descendit à la morgue, et on lui ouvrit un casier, parmi tant d’autres. Cette idée que Lisbon ne soit qu’une morte de plus alimenta sa rage. On fit glisser une planche métallique, sur laquelle le corps de Lisbon glissa. Une nouvelle larme vint trouver son chemin sur la joue du consultant.
- Teresa … Tu avais promis de ne pas me laisser … Qu’est-ce que je vais devenir sans toi, moi ?
Il dit alors au légiste :
- Dites, elle me parait bien colorée, pour une morte.
- Ça arrive parfois. Mais elle est bien morte, je peux vous l’assurer. Je suis désolé …
Jane fronça les sourcils et toucha la joue de Lisbon. Son froncement de sourcils s’accentua.
Dernière édition par RL77LUC le Mer 25 Jan 2012 - 12:55, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
lol, j'adore. Soit c'est un rêve, soit c'est une blague des 4 ^^
VLS
VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Ou peut-être qu'elle est réellement morte, qui sais ?
En tous cas, merci
En tous cas, merci
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
A nan!! j'ai pas envie qu'elle soit morte !! si elle est morte, je boude !!! lol
et de rien
et de rien
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 14 : Est-ce vraiment fini ?
- Cette femme n’est pas Lisbon !
Sur ces mots, il dégrafa la veste du cadavre et tira sur ce qui semblait être un masque. Le légiste dit :
- Impossible !
- Mais où est la vraie Lisbon ? demanda alors Van Pelt.
- Bonne question, soupira Jane, la mine triste. J’espère juste qu’elle n’est pas …
Il ne finit pas sa phrase, et Van Pelt avait compris. Elle l’espérait elle aussi. Le téléphone de Jane sonna. Il le regarda un moment, avant que son visage ne s’illumine. C’était elle. Elle devait être en vie. Il décrocha et dit :
- Jane.
- Monsieur Jane ? Je me nomme Romain Telac. Je suis le directeur d’une agence secrète, la « Secret Research Agency ».
- Je vois, dit-il, perplexe. Comment pouvez-vous téléphoner de ce numéro ?
- J’ai retrouvé l’agent Lisbon, quelqu’un de haut placé m’en a fait la demande.
- Elle va bien ?! s’enquit Jane.
- Elle est très faible, mais elle va s’en sortir. Vous êtes libre ? Si oui, allez à l’hôpital général de Sacramento. Nous vous y attendons.
Jane bondit vers la sortie, avant d’aller en voiture, tout en expliquant à Van Pelt ce dont il s’agissait. Elle le laissait. Elle le savait, c’était mieux, ils avaient des choses à se dire. Il alla à l’entrée avant de trouver un jeune homme et une femme d’approximativement du même âge avec un gilet pare-balles. L’homme avait une longue cicatrice, qui entravait l’œil, qui n’en était pas un. C’était un œil de verre. Il vit la mine curieuse de Jane, et il devina que c’était lui Romain. Ce dernier sourit légèrement et dit :
- Blessure de guerre. Katana, lorsque j’étais au Japon.
- Qui êtes-vous ? demanda Jane, légèrement suspicieux.
- Je croyais vous l’avoir dit, répondit-il dans un sourire. La SRA est une agence gouvernementale secrète. Nous nous occupons des affaires importantes et qui concernent les secrets du gouvernement. Elle, elle se nomme Cassandra Almeira. Elle est co-directrice.
- Et petite-amie, dit celle-ci en levant les yeux au ciel, agacée.
- On dirait Teresa, dit Jane avec un léger amusement. Je peux la voir ?
- Bien sûr. Suivez-moi.
Il le conduit vers une petite chambre. L’agent du CBI dormait paisiblement. Elle avait une ecchymose sur la joue droite.
- Où l’avez-vous trouvée ?
- Au bord du canal qui longe le CBI. Un petit entrepôt. Elle était faible et avait perdu un peu de sang. Il n’y avait personne. On m’a informé que vous aviez tué John le Rouge.
- Oui … Je suppose que vous allez m’inculper.
- Non. En vérité, j’ai retiré les accusations contre vous. Vous avez débarrassé le monde d’un criminel. Je me serais senti coupable si je vous avais puni pour ça.
- Oh.
Jane était assez surpris par cet homme. Il ne parvenait pas lire en lui, ni en la femme qui l’accompagnait silencieusement. Les deux agents sortirent de la chambre et laissèrent Jane seul avec Lisbon. Il déposa un baiser sur les lèvres de celle-ci. Il resta quelques minutes, puis sentit les machines s’affoler. Romain bloqua l’entrée à Cassandra, et lui dit :
- Laisse-les. Ils ont du retard à rattraper. Et même si j’ai lu son dossier, ce Jane m’intrigue. Il est … différent.
Elle acquiesça et sourit. Jane, lui regardait Lisbon s’éveiller lentement. Au bout d’un moment, il lui dit :
- Teresa … Tu es réveillée !
- Teresa. C’est mon nom ? dit-elle, neutre.
Il ouvrit de grands yeux.
- Tu ne te rappelles de rien ?
- Non … Nous avons couché ensemble ?
- Euh … enfin …
Il la regarda d’un air curieux, avant de se rendre compte qu’elle se moquait de lui. Il écarquilla les yeux et elle rit.
- Comment as-tu pu me faire ça ?!
- C’est ce que tu m’as fait la dernière fois.
- Ne m’adresse plus la parole.
- Mauvais joueur.
Il finit par sourire et l’embrassa. Elle était revenue. Lisbon était de retour.
- Cette femme n’est pas Lisbon !
Sur ces mots, il dégrafa la veste du cadavre et tira sur ce qui semblait être un masque. Le légiste dit :
- Impossible !
- Mais où est la vraie Lisbon ? demanda alors Van Pelt.
- Bonne question, soupira Jane, la mine triste. J’espère juste qu’elle n’est pas …
Il ne finit pas sa phrase, et Van Pelt avait compris. Elle l’espérait elle aussi. Le téléphone de Jane sonna. Il le regarda un moment, avant que son visage ne s’illumine. C’était elle. Elle devait être en vie. Il décrocha et dit :
- Jane.
- Monsieur Jane ? Je me nomme Romain Telac. Je suis le directeur d’une agence secrète, la « Secret Research Agency ».
- Je vois, dit-il, perplexe. Comment pouvez-vous téléphoner de ce numéro ?
- J’ai retrouvé l’agent Lisbon, quelqu’un de haut placé m’en a fait la demande.
- Elle va bien ?! s’enquit Jane.
- Elle est très faible, mais elle va s’en sortir. Vous êtes libre ? Si oui, allez à l’hôpital général de Sacramento. Nous vous y attendons.
Jane bondit vers la sortie, avant d’aller en voiture, tout en expliquant à Van Pelt ce dont il s’agissait. Elle le laissait. Elle le savait, c’était mieux, ils avaient des choses à se dire. Il alla à l’entrée avant de trouver un jeune homme et une femme d’approximativement du même âge avec un gilet pare-balles. L’homme avait une longue cicatrice, qui entravait l’œil, qui n’en était pas un. C’était un œil de verre. Il vit la mine curieuse de Jane, et il devina que c’était lui Romain. Ce dernier sourit légèrement et dit :
- Blessure de guerre. Katana, lorsque j’étais au Japon.
- Qui êtes-vous ? demanda Jane, légèrement suspicieux.
- Je croyais vous l’avoir dit, répondit-il dans un sourire. La SRA est une agence gouvernementale secrète. Nous nous occupons des affaires importantes et qui concernent les secrets du gouvernement. Elle, elle se nomme Cassandra Almeira. Elle est co-directrice.
- Et petite-amie, dit celle-ci en levant les yeux au ciel, agacée.
- On dirait Teresa, dit Jane avec un léger amusement. Je peux la voir ?
- Bien sûr. Suivez-moi.
Il le conduit vers une petite chambre. L’agent du CBI dormait paisiblement. Elle avait une ecchymose sur la joue droite.
- Où l’avez-vous trouvée ?
- Au bord du canal qui longe le CBI. Un petit entrepôt. Elle était faible et avait perdu un peu de sang. Il n’y avait personne. On m’a informé que vous aviez tué John le Rouge.
- Oui … Je suppose que vous allez m’inculper.
- Non. En vérité, j’ai retiré les accusations contre vous. Vous avez débarrassé le monde d’un criminel. Je me serais senti coupable si je vous avais puni pour ça.
- Oh.
Jane était assez surpris par cet homme. Il ne parvenait pas lire en lui, ni en la femme qui l’accompagnait silencieusement. Les deux agents sortirent de la chambre et laissèrent Jane seul avec Lisbon. Il déposa un baiser sur les lèvres de celle-ci. Il resta quelques minutes, puis sentit les machines s’affoler. Romain bloqua l’entrée à Cassandra, et lui dit :
- Laisse-les. Ils ont du retard à rattraper. Et même si j’ai lu son dossier, ce Jane m’intrigue. Il est … différent.
Elle acquiesça et sourit. Jane, lui regardait Lisbon s’éveiller lentement. Au bout d’un moment, il lui dit :
- Teresa … Tu es réveillée !
- Teresa. C’est mon nom ? dit-elle, neutre.
Il ouvrit de grands yeux.
- Tu ne te rappelles de rien ?
- Non … Nous avons couché ensemble ?
- Euh … enfin …
Il la regarda d’un air curieux, avant de se rendre compte qu’elle se moquait de lui. Il écarquilla les yeux et elle rit.
- Comment as-tu pu me faire ça ?!
- C’est ce que tu m’as fait la dernière fois.
- Ne m’adresse plus la parole.
- Mauvais joueur.
Il finit par sourire et l’embrassa. Elle était revenue. Lisbon était de retour.
Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:43, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
C'est tout mignon la fin !!
J'ai eu peur un moment qu'elle avait oublier tout se qui était passer entre elle et Jane ^^'
Ouf !
Continue comme ça !
J'ai eu peur un moment qu'elle avait oublier tout se qui était passer entre elle et Jane ^^'
Ouf !
Continue comme ça !
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 15 : Boys VS Girls
Romain entra dans la chambre, accompagné d’un médecin. Jane retourna s’asseoir, attendant le verdict du médecin. Il était légèrement inquiet au fond de lui, mais ne le laissait pas transparaitre. Une fois que le médecin annonça que tout allait bien, Romain lui tendit une pile de vêtements et dit :
- Si tout va bien, autant retourner chez vous.
- Merci, dit-elle simplement, intriguée par ce jeune homme.
Ils sortirent le temps qu’elle se rhabille. Ils se dirigèrent ensuite vers le parking, Romain et Jane soutenant Lisbon, qui finit par les repousser gentiment.
- Je ne suis pas infirme ! protesta-t-elle.
- Presque, dit Jane. Arrête de faire ta courageuse, il n’y a que moi et ceux qui t’ont aidé, tu n’as pas besoin de rester fière ici.
- Qu’est-ce que tu es irritant, quand tu t’y mets ! La prochaine fois, je t’enverrais mon poing dans la figure.
- Encore ? Le pauvre en a pris suffisamment, dit-il en souriant.
- Il faut croire que non, répliqua-t-elle, se retenant de sourire à son tour.
Romain arriva devant une voiture.
- Je vous proposerai bien de vous raccompagner, mais il n’y a que deux places. Il y a une voiture de l’autre côté. Cassandra vous emmènera, moi j’ouvrirais le chemin avec celle-ci, dit-il en désignant une Lamborghini, qui de toute évidence était extrêmement chère.
La voiture était bleue marine avec des stries jaunes, un gyrophare sur le dessus. Jane siffla, amusé et épaté, il devait le reconnaître. Romain sourit un peu, amusé lui aussi. Cassandra conduit Jane et Lisbon vers un véhicule qui semblait pouvoir aller tout aussi vite. Elle leur dit :
- Je vous conseille d’accrocher vos ceintures.
- Personnellement, je ne le fais jamais, dit Jane.
- Arrête de faire le téméraire, répliqua Lisbon, fière de retourner cette réplique à son avantage.
- L’agent Lisbon a raison, Romain monte parfois à 200km/h sur l’autoroute.
Jane blêmit légèrement à cette idée et accrocha sa ceinture, sous le sourire victorieux de Lisbon. Cassandra démarra et suivit Romain. Ce dernier fit rapidement monter la vitesse, au point que Lisbon retienne son souffle et prenne la main de Jane, ce dernier ne se débrouillant pas mieux. Cassandra finit par rire et leur dit :
- Ne vous inquiétez pas, on fait ça tous les jours, et on n’a jamais eu de problèmes.
Ils arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Les deux membres du CBI sortirent, soulagés. Romain leur dit :
- Pas trop rapide ?
- Non, non, dit Lisbon.
Jane pouffa et elle lui mit un coup de coude.
- Tu n’as pas fait mieux.
Il leva un sourcil moqueur et l’embrassa. Ils montèrent au CBI, accompagnés des deux agents de la SRA. Lisbon fit les présentations auprès de son équipe. Cho se tourna vers sa patronne et lui dit :
- Une nouvelle affaire, patron. Un homme abattu par balles.
- Je vois, dit-elle. Vous voulez vous joindre à nous, demanda Lisbon.
- Avec plaisir, accepta Romain.
- Je propose un jeu, dit Jane, triomphant.
- Un homme est mort, bon sang ! s’exaspéra Lisbon. Un peu de respect, ce n’est pas le moment de jouer.
- Des hommes meurent chaque jour, en moyenne, il y un décès environ toutes les cinq secondes quelque part dans le monde. Ecoutes ce que j’ai à dire, au lieu de râler !
- D’accord, céda-t-elle, un peu agacée.
- Bien. Je propose qu’un fasse des équipes. Je me mets avec Romain, et Teresa tu va avec Cassandra. Ça vous va ? La dernière équipe à trouver le coupable paie une tournée au restaurant.
- Moi, oui, dit Romain. Ça pourrait être sympa.
- C’est pas vrai, Romain ! Oh ! Un homme est mort ! protesta Cassandra.
- Peur de perdre ? Provoqua celui-ci.
- On va vous donner une bonne leçon, dit Lisbon, avide de prouver à Jane qu’elle pouvait faire mieux que lui.
Elle se dit aussitôt que c’était peut-être vite parler. Après tout, Jane était mentaliste, et Romain avait l’air doué dans son genre. Mais elle ne pouvait plus reculer, elle avait déjà acceptée. Elle soupira et dit à Cassandra :
- Bien … Par quoi commençons nous ?
- Par nous tutoyer, non ? demanda Cassandra.
- Pourquoi pas, approuva l’agent du CBI. On va sur les lieux du crime ?
- D’accord.
Romain se dirigeait vers le parking, accompagné de Jane. Il entendit l’ascenseur sonner et dit à Jane :
- Et si on les retardait un peu ? Leur voiture est juste là !
- Tu veux tricher ?
- Pas tricher, gagner un peu de … temps.
Jane sourit à cette idée et demanda à Romain comment il allait faire. Lisbon et Cassandra allèrent vers eux, qui s’étaient dissimulés entre deux voitures. Le directeur de la SRA pianotait sur son micro-ordinateur et brouilla le GPS de la voiture. Ils s’éclipsèrent juste à temps et montèrent dans la Lamborghini. Romain ouvrit le contact et son téléphone sonna.
- Sale tricheur ! Je sais que c’est toi, hurla Cassandra.
- Quoi donc ? Demanda-t-il.
- Ne fais pas le malin.
Il raccrocha et passa devant elles en leur souriant. Lisbon jeta un regard mauvais à Jane qui tira puérilement la langue. Cassandra, elle, l’avait jouée moins fine, elle lui avait fait un doigt d’honneur. La bataille commençait enfin.
Merci beaucoup de tes commentaires encourageants. Je crois que tu es ma seule lectrice .
Romain entra dans la chambre, accompagné d’un médecin. Jane retourna s’asseoir, attendant le verdict du médecin. Il était légèrement inquiet au fond de lui, mais ne le laissait pas transparaitre. Une fois que le médecin annonça que tout allait bien, Romain lui tendit une pile de vêtements et dit :
- Si tout va bien, autant retourner chez vous.
- Merci, dit-elle simplement, intriguée par ce jeune homme.
Ils sortirent le temps qu’elle se rhabille. Ils se dirigèrent ensuite vers le parking, Romain et Jane soutenant Lisbon, qui finit par les repousser gentiment.
- Je ne suis pas infirme ! protesta-t-elle.
- Presque, dit Jane. Arrête de faire ta courageuse, il n’y a que moi et ceux qui t’ont aidé, tu n’as pas besoin de rester fière ici.
- Qu’est-ce que tu es irritant, quand tu t’y mets ! La prochaine fois, je t’enverrais mon poing dans la figure.
- Encore ? Le pauvre en a pris suffisamment, dit-il en souriant.
- Il faut croire que non, répliqua-t-elle, se retenant de sourire à son tour.
Romain arriva devant une voiture.
- Je vous proposerai bien de vous raccompagner, mais il n’y a que deux places. Il y a une voiture de l’autre côté. Cassandra vous emmènera, moi j’ouvrirais le chemin avec celle-ci, dit-il en désignant une Lamborghini, qui de toute évidence était extrêmement chère.
La voiture était bleue marine avec des stries jaunes, un gyrophare sur le dessus. Jane siffla, amusé et épaté, il devait le reconnaître. Romain sourit un peu, amusé lui aussi. Cassandra conduit Jane et Lisbon vers un véhicule qui semblait pouvoir aller tout aussi vite. Elle leur dit :
- Je vous conseille d’accrocher vos ceintures.
- Personnellement, je ne le fais jamais, dit Jane.
- Arrête de faire le téméraire, répliqua Lisbon, fière de retourner cette réplique à son avantage.
- L’agent Lisbon a raison, Romain monte parfois à 200km/h sur l’autoroute.
Jane blêmit légèrement à cette idée et accrocha sa ceinture, sous le sourire victorieux de Lisbon. Cassandra démarra et suivit Romain. Ce dernier fit rapidement monter la vitesse, au point que Lisbon retienne son souffle et prenne la main de Jane, ce dernier ne se débrouillant pas mieux. Cassandra finit par rire et leur dit :
- Ne vous inquiétez pas, on fait ça tous les jours, et on n’a jamais eu de problèmes.
Ils arrivèrent une dizaine de minutes plus tard. Les deux membres du CBI sortirent, soulagés. Romain leur dit :
- Pas trop rapide ?
- Non, non, dit Lisbon.
Jane pouffa et elle lui mit un coup de coude.
- Tu n’as pas fait mieux.
Il leva un sourcil moqueur et l’embrassa. Ils montèrent au CBI, accompagnés des deux agents de la SRA. Lisbon fit les présentations auprès de son équipe. Cho se tourna vers sa patronne et lui dit :
- Une nouvelle affaire, patron. Un homme abattu par balles.
- Je vois, dit-elle. Vous voulez vous joindre à nous, demanda Lisbon.
- Avec plaisir, accepta Romain.
- Je propose un jeu, dit Jane, triomphant.
- Un homme est mort, bon sang ! s’exaspéra Lisbon. Un peu de respect, ce n’est pas le moment de jouer.
- Des hommes meurent chaque jour, en moyenne, il y un décès environ toutes les cinq secondes quelque part dans le monde. Ecoutes ce que j’ai à dire, au lieu de râler !
- D’accord, céda-t-elle, un peu agacée.
- Bien. Je propose qu’un fasse des équipes. Je me mets avec Romain, et Teresa tu va avec Cassandra. Ça vous va ? La dernière équipe à trouver le coupable paie une tournée au restaurant.
- Moi, oui, dit Romain. Ça pourrait être sympa.
- C’est pas vrai, Romain ! Oh ! Un homme est mort ! protesta Cassandra.
- Peur de perdre ? Provoqua celui-ci.
- On va vous donner une bonne leçon, dit Lisbon, avide de prouver à Jane qu’elle pouvait faire mieux que lui.
Elle se dit aussitôt que c’était peut-être vite parler. Après tout, Jane était mentaliste, et Romain avait l’air doué dans son genre. Mais elle ne pouvait plus reculer, elle avait déjà acceptée. Elle soupira et dit à Cassandra :
- Bien … Par quoi commençons nous ?
- Par nous tutoyer, non ? demanda Cassandra.
- Pourquoi pas, approuva l’agent du CBI. On va sur les lieux du crime ?
- D’accord.
Romain se dirigeait vers le parking, accompagné de Jane. Il entendit l’ascenseur sonner et dit à Jane :
- Et si on les retardait un peu ? Leur voiture est juste là !
- Tu veux tricher ?
- Pas tricher, gagner un peu de … temps.
Jane sourit à cette idée et demanda à Romain comment il allait faire. Lisbon et Cassandra allèrent vers eux, qui s’étaient dissimulés entre deux voitures. Le directeur de la SRA pianotait sur son micro-ordinateur et brouilla le GPS de la voiture. Ils s’éclipsèrent juste à temps et montèrent dans la Lamborghini. Romain ouvrit le contact et son téléphone sonna.
- Sale tricheur ! Je sais que c’est toi, hurla Cassandra.
- Quoi donc ? Demanda-t-il.
- Ne fais pas le malin.
Il raccrocha et passa devant elles en leur souriant. Lisbon jeta un regard mauvais à Jane qui tira puérilement la langue. Cassandra, elle, l’avait jouée moins fine, elle lui avait fait un doigt d’honneur. La bataille commençait enfin.
************
Merci beaucoup de tes commentaires encourageants. Je crois que tu es ma seule lectrice .
Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:44, édité 2 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Si, le forum a envoyé le message (Je ne sais pas pourquoi, d'ailleurs . Sans doute un bug du navigateur).
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Oui ^^. Sinon des avis, idées, commentaires ?
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Sa ma fait beaucoup rire quand ils étaient dans la voiture
en tout cas
VLS
en tout cas
VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 16 : Dignité à préserver ...
Jane regarda Romain et lui dit en souriant :
- Tu penses qu’on a une chance ?
- Cassandra est maligne. Et Lisbon ne m’a pas l’air bien idiote non plus, au contraire.
- C’est vrai. Elle me surprend souvent, et ça n’est pas fréquent !
- Je dois avouer, que même en ayant lu ton dossier, tu me surprends aussi …
- Et toi donc ? Tu sors d’une agence secrète, digne d’un film de super-héros.
- Mais je suis loin d’être un super-héros …
- Il te manque juste les superpouvoirs.
Ils rirent et Jane se détendit, ce qui ne lui arrivait pas souvent. Cassandra et Lisbon, elles, devenaient complices, car elles avaient un point commun : leurs partenaires les irritaient fortement, mais elles tenaient beaucoup à eux. Cassandra demanda :
- On va où ?
- Trouver la victime me paraît être un bon point de départ, non ?
- En effet. Il faut absolument qu’on trouve avant eux …
- Oui, mais il faut aussi aider cette pauvre victime.
Cassandra semblait hésitante. Lisbon le remarqua et lui dit :
- Excuses-moi, mais, tu as quelque chose à dire ?
- Oui, enfin, je ne sais pas si je devrais …
- Ne t’en fais pas, je ne dirais rien. Mais c’est toi qui vois.
- Le cadavre … On sait qui c’est …
- Oh ?
- C’est un agent de la SRA. Il s’appelle Mike Brandt. Notre intervention était initialement destinée à enquêter, secrètement. Mais Romain a eu vent de votre enlèvement et a décidé d’intervenir.
- Je lui dois beaucoup, alors …
- Romain a un grand cœur, mais parfois, il ne choisit pas les bonnes décisions. Il voulait devenir ingénieur en informatique. Il est très bon. Mais au lieu de ça, il a choisi agent secret. Il joue les James Bond sept jours sur sept. Il n’a plus de temps pour lui, mais il l’accepte. Il aime aider les autres.
- Je vois. Jane, lui, a aussi un grand cœur. Il est juste … bien caché. Mais je sais que quelque part, il a un grand cœur. Je lui laisserais ma vie entre les mains sans hésiter, même si je lui dit le contraire. Je sais qu’il ferait le bon choix.
- Je pense qu’on a beaucoup de chance de les avoir.
- Oui, sans doute.
Et ils arrivèrent sur les lieux du crime. Romain et Jane étaient déjà présents. Ils se croisèrent. Lisbon demanda à Jane, plus par réflexe :
- Alors ?
- Alors nous ne sommes pas dans la même équipe, Teresa. Bonne chance ! dit-il avant de lui laisser un baiser furtif.
Elle soupira et s’avança avec Cassandra, qui jeta un regard légèrement agacé à Romain. Elle lui en voulait un peu pour le coup de la voiture. « Quelle mauvaise joueuse ! » songea Romain. Il s’avança vers la voiture luxueuse et dit à Jane :
- Alors ?
- Alors, on l’a pas placé pour rien ce micro …
Romain alluma un petit appareil en s’avançant. Ils avaient décidé d’espionner l’équipe adverse, non pas parce qu’ils ne pensaient pas arriver à leur niveau, mais pour un tout autre motif qu’ils étaient bien trop dignes pour avouer …
Jane regarda Romain et lui dit en souriant :
- Tu penses qu’on a une chance ?
- Cassandra est maligne. Et Lisbon ne m’a pas l’air bien idiote non plus, au contraire.
- C’est vrai. Elle me surprend souvent, et ça n’est pas fréquent !
- Je dois avouer, que même en ayant lu ton dossier, tu me surprends aussi …
- Et toi donc ? Tu sors d’une agence secrète, digne d’un film de super-héros.
- Mais je suis loin d’être un super-héros …
- Il te manque juste les superpouvoirs.
Ils rirent et Jane se détendit, ce qui ne lui arrivait pas souvent. Cassandra et Lisbon, elles, devenaient complices, car elles avaient un point commun : leurs partenaires les irritaient fortement, mais elles tenaient beaucoup à eux. Cassandra demanda :
- On va où ?
- Trouver la victime me paraît être un bon point de départ, non ?
- En effet. Il faut absolument qu’on trouve avant eux …
- Oui, mais il faut aussi aider cette pauvre victime.
Cassandra semblait hésitante. Lisbon le remarqua et lui dit :
- Excuses-moi, mais, tu as quelque chose à dire ?
- Oui, enfin, je ne sais pas si je devrais …
- Ne t’en fais pas, je ne dirais rien. Mais c’est toi qui vois.
- Le cadavre … On sait qui c’est …
- Oh ?
- C’est un agent de la SRA. Il s’appelle Mike Brandt. Notre intervention était initialement destinée à enquêter, secrètement. Mais Romain a eu vent de votre enlèvement et a décidé d’intervenir.
- Je lui dois beaucoup, alors …
- Romain a un grand cœur, mais parfois, il ne choisit pas les bonnes décisions. Il voulait devenir ingénieur en informatique. Il est très bon. Mais au lieu de ça, il a choisi agent secret. Il joue les James Bond sept jours sur sept. Il n’a plus de temps pour lui, mais il l’accepte. Il aime aider les autres.
- Je vois. Jane, lui, a aussi un grand cœur. Il est juste … bien caché. Mais je sais que quelque part, il a un grand cœur. Je lui laisserais ma vie entre les mains sans hésiter, même si je lui dit le contraire. Je sais qu’il ferait le bon choix.
- Je pense qu’on a beaucoup de chance de les avoir.
- Oui, sans doute.
Et ils arrivèrent sur les lieux du crime. Romain et Jane étaient déjà présents. Ils se croisèrent. Lisbon demanda à Jane, plus par réflexe :
- Alors ?
- Alors nous ne sommes pas dans la même équipe, Teresa. Bonne chance ! dit-il avant de lui laisser un baiser furtif.
Elle soupira et s’avança avec Cassandra, qui jeta un regard légèrement agacé à Romain. Elle lui en voulait un peu pour le coup de la voiture. « Quelle mauvaise joueuse ! » songea Romain. Il s’avança vers la voiture luxueuse et dit à Jane :
- Alors ?
- Alors, on l’a pas placé pour rien ce micro …
Romain alluma un petit appareil en s’avançant. Ils avaient décidé d’espionner l’équipe adverse, non pas parce qu’ils ne pensaient pas arriver à leur niveau, mais pour un tout autre motif qu’ils étaient bien trop dignes pour avouer …
**************
Désolé pour mon retard, j'ai eu quelques soucis d'informatique (Ma licence Word 2010 m'a joué des tours ). En tous cas, merci beaucoup beaucoup pour vos super coms ! Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:46, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
les tricheurs, (ou les voyeurs)
J'aime bien
VLS
J'aime bien
VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Qui sait ? Jane a peut-être trouvé son égal ...
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Chapitre 17 : La conspiration de l'amour ...
En effet, leur véritable motif était de les aider. Ils tenaient beaucoup à elles, et la vérité c’est qu’ils n’osaient pas se l’avouer. Ils prétendaient tricher, mais ils étaient désireux de les aider pour juste leur faire plaisir et contempler un magnifique sourire, certes victorieux et supérieur, mais un magnifique sourire. Ils étaient tous deux pareils : Ces petits instants les emplissaient de bonheur, presque d’un bonheur égoïste. Mais ces deux-là étaient tout sauf égoïstes, malgré les apparences. Ils pensaient au bien de leur compagne avant le leur.
Du côté de Lisbon et Cassandra, ça n’avançait pas beaucoup :
- Alors ? Demanda l’agent du CBI
- Je ne vois rien de particulier. Ah, si, là, regarde.
- Le petit morceau de peau déchiré, sur la main ?
- Oui.
- Jane dirait sans doute qu’il est menuisier. Le bois doit lui provoquer des échardes, et on sent très clairement du vernis à bois sur ses mains. Pourtant, tu m’as dit qu’il était agent de la SRA …
Romain faillit s’étouffer. Cassandra avait craché le morceau ? Jane se tourna vers lui, d’un air interrogateur. Romain soupira et dit :
- Je suis désolé … A l’origine, nous venions ici pour ça. On devait résoudre ce meurtre, car l’agent est de chez nous. J’ai décidé de sauver Lisbon, car j’ai eu vent de l’information.
- Je vois … Merci.
Romain se tourna vers le micro et entendit Lisbon poursuivre :
- Je dirais alors que c’était un scénario de couverture.
- Je le pense également.
- Tu ne sais pas ? Je pensais qu’en étant co-directrice …
- On ne peut pas tout contrôler. La SRA fonctionne par échelons, on s’occupe uniquement des affaires de premier ordre, Romain et moi …
- Je vois.
Lisbon buta alors contre un petit caillou. Elle trouva bizarre qu’il se trouve ici, et le souleva. En dessous, elle trouva un fil. Elle comprit alors tout de suite, et fit un geste silencieux vers Cassandra. L’agent du CBI commençait à bouillir de colère. Cassandra dit alors :
- Bien, je crois que nous n’avons plus rien à faire ici.
Elle se dirigea plus loin et dit à Lisbon, en chuchotant :
- Tu sais quoi ? Ils veulent jouer, on va jouer ! Ça te dit ?
- Tant que ça fait payer cette paire d’imbéciles !
Lisbon sourit d’un air conspirateur et ils se dirigèrent vers leur véhicule. Elles se dirigèrent alors furtivement derrière un talus, et Lisbon effectua un repérage des lieux. Elle trouva la voiture des deux autres agents et fit signe à Cassandra. Elles s’approchèrent furtivement derrière, alors que Jane et Romain ne remarquaient rien.
En effet, leur véritable motif était de les aider. Ils tenaient beaucoup à elles, et la vérité c’est qu’ils n’osaient pas se l’avouer. Ils prétendaient tricher, mais ils étaient désireux de les aider pour juste leur faire plaisir et contempler un magnifique sourire, certes victorieux et supérieur, mais un magnifique sourire. Ils étaient tous deux pareils : Ces petits instants les emplissaient de bonheur, presque d’un bonheur égoïste. Mais ces deux-là étaient tout sauf égoïstes, malgré les apparences. Ils pensaient au bien de leur compagne avant le leur.
Du côté de Lisbon et Cassandra, ça n’avançait pas beaucoup :
- Alors ? Demanda l’agent du CBI
- Je ne vois rien de particulier. Ah, si, là, regarde.
- Le petit morceau de peau déchiré, sur la main ?
- Oui.
- Jane dirait sans doute qu’il est menuisier. Le bois doit lui provoquer des échardes, et on sent très clairement du vernis à bois sur ses mains. Pourtant, tu m’as dit qu’il était agent de la SRA …
Romain faillit s’étouffer. Cassandra avait craché le morceau ? Jane se tourna vers lui, d’un air interrogateur. Romain soupira et dit :
- Je suis désolé … A l’origine, nous venions ici pour ça. On devait résoudre ce meurtre, car l’agent est de chez nous. J’ai décidé de sauver Lisbon, car j’ai eu vent de l’information.
- Je vois … Merci.
Romain se tourna vers le micro et entendit Lisbon poursuivre :
- Je dirais alors que c’était un scénario de couverture.
- Je le pense également.
- Tu ne sais pas ? Je pensais qu’en étant co-directrice …
- On ne peut pas tout contrôler. La SRA fonctionne par échelons, on s’occupe uniquement des affaires de premier ordre, Romain et moi …
- Je vois.
Lisbon buta alors contre un petit caillou. Elle trouva bizarre qu’il se trouve ici, et le souleva. En dessous, elle trouva un fil. Elle comprit alors tout de suite, et fit un geste silencieux vers Cassandra. L’agent du CBI commençait à bouillir de colère. Cassandra dit alors :
- Bien, je crois que nous n’avons plus rien à faire ici.
Elle se dirigea plus loin et dit à Lisbon, en chuchotant :
- Tu sais quoi ? Ils veulent jouer, on va jouer ! Ça te dit ?
- Tant que ça fait payer cette paire d’imbéciles !
Lisbon sourit d’un air conspirateur et ils se dirigèrent vers leur véhicule. Elles se dirigèrent alors furtivement derrière un talus, et Lisbon effectua un repérage des lieux. Elle trouva la voiture des deux autres agents et fit signe à Cassandra. Elles s’approchèrent furtivement derrière, alors que Jane et Romain ne remarquaient rien.
Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:47, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
J'ai vraiment hâte de se qu'elles vont faire!!!
Les 2 se sont fait griller lol, comme on dit [b]'la vengeance est un plat qui se mange froid'[/b]
VLS
Les 2 se sont fait griller lol, comme on dit [b]'la vengeance est un plat qui se mange froid'[/b]
VLS
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Chapitre 18 : Kidnappes-moi si tu le peux !
Cassandra tendit une cagoule à Lisbon et l’enfila. Les deux femmes cagoulées, elles se dirigèrent vers les portières de la voiture italienne. Elles sortirent leurs armes, enlevèrent les balles, au cas où et ouvrirent les portières. Les hommes se tournèrent vers leurs portières respectives avant qu’elles ne les tirent vers elles en pointant leurs canons vers leurs têtes. Jane, lui, commençait à essayer de négocier avec son agresseur :
- S’il vous plaît, relâchez-nous ! On est de la police !
Une voix modulée provenant de Lisbon dit :
- La ferme. Si l’un de vous parle, ou crie, on descend l’autre devant vous.
Romain était parfaitement calme. Il regardait tour à tour l’agresseur de Jane, et le sien. Deux femmes, visiblement. Son ravisseur avait à peu près le même âge que lui, alors que celui de Jane était plus âgé. Le même âge que Cassandra et Lisbon, songea Romain. Il plissa les sourcils, attendant le bon moment. Jane geignait toujours. Romain regarda alors le ravisseur de Jane et fit un sourire. Il dit silencieusement, qu’elle puisse lire sur ses lèvres : « Game Over ». Il enfonça son coude dans la femme qui lui tenait la gorge, sortit deux armes de leur holster visèrent les deux ravisseurs.
- Bien, mesdames. Vous allez lâchez Jane, déjà.
- Crève, dit la voix modulée de Lisbon, qui commençait à s’inquiéter. Si le pistolet du jeune homme était chargé, et c’était probable, il ne valait peut-être mieux pas insister.
Cassandra s’approcha de dos, discrètement, pour tenter de le désarmer, voyant le danger grandir, mais voulant garder leurs identités. S’ils découvraient leur mauvais tour, peut-être leur en voudraient-ils. Romain sourit alors à nouveau et se tourna vers Cassandra.
- C’est mesquin.
- De … de quoi ? Dit-elle, croyant qu’on l’avait percée à jour.
- De s’approcher par derrière. Vous pensiez à autre chose ?
- Non.
Le sourire de Romain s’élargit et il secoua la tête.
- Bon, on va peut-être s’arrêter là, hein, Jane ?
- Peut-être bien, elles ont fait leur petit effet, je crois.
Romain souleva d’un coup sec la cagoule de Cassandra, qui restait bouche bée. Romain dit alors :
- Vous croyiez réellement que nous ne vous reconnaîtrions pas ? Allons, vous êtes nos amantes respectives, il en faut pas non plus nous croire si naïfs …
Il rit franchement, et Jane le rejoignit. Les deux femmes se regardèrent eurent un air mauvais, et marmonnèrent : « Me le payeront. J’ai une affaire à résoudre, on règlera leur gamineries plus tard ». Romain et Jane riaient toujours, en se dirigeant vers la voiture. Ils retournèrent tous les quatre au CBI.
Van Pelt demanda à Lisbon :
- Du nouveau, patron ?
- Je crains que non, malheureusement. Nous savons que la victime est une personne …
Romain secoua la tête et elle comprit.
- … Influente. On ne peut pas vous révéler son identité ...
- Quoi ? Mais pourquoi ? demanda la rousse, en fronçant les sourcils.
- Secret défense. Même nous n’étions pas censés savoir.
- Je vois …
Romain demanda à Jane :
- Alors ? Tu as ta petite idée, hein ?
- Si peu de temps et tu me connais assez bien. Tu cernes assez rapidement les gens.
- C’est vrai.
- Je pense que je sais qui est le tueur.
- Sans suspects ?
- En arrivant, j’ai remarqué un homme. Il portait un costume cravate, mais on pouvait voir qu’il n’était pas à l’aise, et des plis étaient espacés régulièrement. Le costume était dans une valise. De plus, il desserrait le col, il venait donc juste de le mettre, alors que nous n’étions pas dans un quartier résidentiel. Sa hauteur concorde avec le poignard retrouvé sur la victime.
- Tu te souviens de son visage ?
- Evidemment.
- Le plus dur reste à faire … Leur faire comprendre, et surtout leur trouver des preuves.
- Je sais.
Cassandra tendit une cagoule à Lisbon et l’enfila. Les deux femmes cagoulées, elles se dirigèrent vers les portières de la voiture italienne. Elles sortirent leurs armes, enlevèrent les balles, au cas où et ouvrirent les portières. Les hommes se tournèrent vers leurs portières respectives avant qu’elles ne les tirent vers elles en pointant leurs canons vers leurs têtes. Jane, lui, commençait à essayer de négocier avec son agresseur :
- S’il vous plaît, relâchez-nous ! On est de la police !
Une voix modulée provenant de Lisbon dit :
- La ferme. Si l’un de vous parle, ou crie, on descend l’autre devant vous.
Romain était parfaitement calme. Il regardait tour à tour l’agresseur de Jane, et le sien. Deux femmes, visiblement. Son ravisseur avait à peu près le même âge que lui, alors que celui de Jane était plus âgé. Le même âge que Cassandra et Lisbon, songea Romain. Il plissa les sourcils, attendant le bon moment. Jane geignait toujours. Romain regarda alors le ravisseur de Jane et fit un sourire. Il dit silencieusement, qu’elle puisse lire sur ses lèvres : « Game Over ». Il enfonça son coude dans la femme qui lui tenait la gorge, sortit deux armes de leur holster visèrent les deux ravisseurs.
- Bien, mesdames. Vous allez lâchez Jane, déjà.
- Crève, dit la voix modulée de Lisbon, qui commençait à s’inquiéter. Si le pistolet du jeune homme était chargé, et c’était probable, il ne valait peut-être mieux pas insister.
Cassandra s’approcha de dos, discrètement, pour tenter de le désarmer, voyant le danger grandir, mais voulant garder leurs identités. S’ils découvraient leur mauvais tour, peut-être leur en voudraient-ils. Romain sourit alors à nouveau et se tourna vers Cassandra.
- C’est mesquin.
- De … de quoi ? Dit-elle, croyant qu’on l’avait percée à jour.
- De s’approcher par derrière. Vous pensiez à autre chose ?
- Non.
Le sourire de Romain s’élargit et il secoua la tête.
- Bon, on va peut-être s’arrêter là, hein, Jane ?
- Peut-être bien, elles ont fait leur petit effet, je crois.
Romain souleva d’un coup sec la cagoule de Cassandra, qui restait bouche bée. Romain dit alors :
- Vous croyiez réellement que nous ne vous reconnaîtrions pas ? Allons, vous êtes nos amantes respectives, il en faut pas non plus nous croire si naïfs …
Il rit franchement, et Jane le rejoignit. Les deux femmes se regardèrent eurent un air mauvais, et marmonnèrent : « Me le payeront. J’ai une affaire à résoudre, on règlera leur gamineries plus tard ». Romain et Jane riaient toujours, en se dirigeant vers la voiture. Ils retournèrent tous les quatre au CBI.
Van Pelt demanda à Lisbon :
- Du nouveau, patron ?
- Je crains que non, malheureusement. Nous savons que la victime est une personne …
Romain secoua la tête et elle comprit.
- … Influente. On ne peut pas vous révéler son identité ...
- Quoi ? Mais pourquoi ? demanda la rousse, en fronçant les sourcils.
- Secret défense. Même nous n’étions pas censés savoir.
- Je vois …
Romain demanda à Jane :
- Alors ? Tu as ta petite idée, hein ?
- Si peu de temps et tu me connais assez bien. Tu cernes assez rapidement les gens.
- C’est vrai.
- Je pense que je sais qui est le tueur.
- Sans suspects ?
- En arrivant, j’ai remarqué un homme. Il portait un costume cravate, mais on pouvait voir qu’il n’était pas à l’aise, et des plis étaient espacés régulièrement. Le costume était dans une valise. De plus, il desserrait le col, il venait donc juste de le mettre, alors que nous n’étions pas dans un quartier résidentiel. Sa hauteur concorde avec le poignard retrouvé sur la victime.
- Tu te souviens de son visage ?
- Evidemment.
- Le plus dur reste à faire … Leur faire comprendre, et surtout leur trouver des preuves.
- Je sais.
**************
Alors, cette suite ? Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:51, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Chapitre 19 : Compréhension et dangers.
POV Lisbon
Je savais qu’il me cachait quelque chose. Je le sentais. Mais il n’était visiblement pas décidé à me le dire. Il y avait cet éclair bleu de malice et de surprise dans ses yeux. Mais pas la mauvaise surprise, non, il avait une idée derrière la tête, et elle était positive. Du moins selon lui. Je me demandais si ça me concernait, puis me trouvait idiote de tout ramener à moi. Il avait bien le doit de penser à autre chose qu’à moi, même si de mon côté je n’y arrivais pas. Il fallait se rendre à l’évidence, j’étais folle de lui … Mais je n’étais pas certaine qu’il le soit de moi, et ça m’angoissait. Je savais que je ne pouvais pas le posséder, et il avait fait de considérables progrès, mais j’avais peur de le perdre à chaque instant, et je ne le supporterais pas. Néanmoins, aujourd’hui, il était là, et je comptais bien le séduire pour qu’il se décide à passer le reste de sa vie dans mes bras, ou moi dans les siens … Voir les deux !
Oui, je l’aurais, j’en étais sûre. Je n’allais pas le brusquer, mais lui faire comprendre que s’il voulait passer le reste de sa vie avec moi, il le pourrait. Non, il le devrait ! Je pensais aussi à Romain et Cassandra. Un couple plutôt curieux. Ils m’intriguaient vraiment. Les deux semblaient extrêmement intelligents et futés, comme Jane. Je me demandais s’il arrivait à lire en eux. Un détail m’intriguait, mais je ne parvenais pas à trouver lequel. Non, ce détail m’inquiétait, en fait, même si je n’aurais pas su dire pourquoi ? Après tout, je leur devais la vie. Cassandra se tourna vers moi et je lui souriais. On se hâta vers la voiture.
POV Jane
Elle s’approchait. Ma proie. Ma délicieuse proie. Je l’aimais, je la désirais, et je la détestais de me rendre si addictif à elle. Je voulais l’aider du mieux que je pouvais, pouvoir voir son sourire gagner, et pouvoir l’aimer comme j’avais aimé ma femme. Oui, c’est ça, que je voulais … Mais je ne savais pas si elle l’entendait de cette façon. Je n’arrivais pas à lire en elle, et c’était peut-être mieux comme ça.
Je me tournais vers Romain, qui scrutait les deux jeunes femmes, les yeux plissés. Il semblait analyser chacun de leurs mouvements, de leurs paroles. Il les espionnait. Il était très futé, et décrypter ses pensées m’était difficile. Je pensais aussi à notre suspect, notre coupable. Je sentais que quelque chose ne collait pas, mais je n’aurais pas su dire quoi … Romain démarra et je le vis composer le numéro de Cassandra.
- On a repéré un suspect.
- Ah ?
- Il partait d’ici.
- Bien, un autre détail ?
- Non, c’est juste une personne, je voulais que tu le saches. On joue sur un pied d’égalité, maintenant.
- Tu parles … dit-elle avant de raccrocher.
Je souris mentalement. Il amenait petit à petit la chose. Pourtant, j’avais toujours cette impression de détail curieux, dont je ne parvenais pas à me défaire. Je décidai de l’ignorer, après tout, l’affaire semblait résolue. Pour nous. Mais je sentais que l’équipe adverse trouverait bientôt, et on décida de les laisser faire le reste. C’était enfin fini. On avait réussi. Je vis alors un petit sentiment d’amertume, et de tristesse, dans les yeux de Romain. C’est lui qui n’allait pas, c’était lui ce petit détail. Il cacha vite son air, mais c’était trop tard. En une fraction de seconde, il avait baissé la garde, et j’avais compris. Il se tourna vers moi et sourit, mais son sourire s’effaça quand il vit que je savais.
- Je n’aurais pas dû baisser ma garde, hein ? demanda-t-il, d’une expression neutre.
- Peut-être pas.
POV Lisbon
Je savais qu’il me cachait quelque chose. Je le sentais. Mais il n’était visiblement pas décidé à me le dire. Il y avait cet éclair bleu de malice et de surprise dans ses yeux. Mais pas la mauvaise surprise, non, il avait une idée derrière la tête, et elle était positive. Du moins selon lui. Je me demandais si ça me concernait, puis me trouvait idiote de tout ramener à moi. Il avait bien le doit de penser à autre chose qu’à moi, même si de mon côté je n’y arrivais pas. Il fallait se rendre à l’évidence, j’étais folle de lui … Mais je n’étais pas certaine qu’il le soit de moi, et ça m’angoissait. Je savais que je ne pouvais pas le posséder, et il avait fait de considérables progrès, mais j’avais peur de le perdre à chaque instant, et je ne le supporterais pas. Néanmoins, aujourd’hui, il était là, et je comptais bien le séduire pour qu’il se décide à passer le reste de sa vie dans mes bras, ou moi dans les siens … Voir les deux !
Oui, je l’aurais, j’en étais sûre. Je n’allais pas le brusquer, mais lui faire comprendre que s’il voulait passer le reste de sa vie avec moi, il le pourrait. Non, il le devrait ! Je pensais aussi à Romain et Cassandra. Un couple plutôt curieux. Ils m’intriguaient vraiment. Les deux semblaient extrêmement intelligents et futés, comme Jane. Je me demandais s’il arrivait à lire en eux. Un détail m’intriguait, mais je ne parvenais pas à trouver lequel. Non, ce détail m’inquiétait, en fait, même si je n’aurais pas su dire pourquoi ? Après tout, je leur devais la vie. Cassandra se tourna vers moi et je lui souriais. On se hâta vers la voiture.
POV Jane
Elle s’approchait. Ma proie. Ma délicieuse proie. Je l’aimais, je la désirais, et je la détestais de me rendre si addictif à elle. Je voulais l’aider du mieux que je pouvais, pouvoir voir son sourire gagner, et pouvoir l’aimer comme j’avais aimé ma femme. Oui, c’est ça, que je voulais … Mais je ne savais pas si elle l’entendait de cette façon. Je n’arrivais pas à lire en elle, et c’était peut-être mieux comme ça.
Je me tournais vers Romain, qui scrutait les deux jeunes femmes, les yeux plissés. Il semblait analyser chacun de leurs mouvements, de leurs paroles. Il les espionnait. Il était très futé, et décrypter ses pensées m’était difficile. Je pensais aussi à notre suspect, notre coupable. Je sentais que quelque chose ne collait pas, mais je n’aurais pas su dire quoi … Romain démarra et je le vis composer le numéro de Cassandra.
- On a repéré un suspect.
- Ah ?
- Il partait d’ici.
- Bien, un autre détail ?
- Non, c’est juste une personne, je voulais que tu le saches. On joue sur un pied d’égalité, maintenant.
- Tu parles … dit-elle avant de raccrocher.
Je souris mentalement. Il amenait petit à petit la chose. Pourtant, j’avais toujours cette impression de détail curieux, dont je ne parvenais pas à me défaire. Je décidai de l’ignorer, après tout, l’affaire semblait résolue. Pour nous. Mais je sentais que l’équipe adverse trouverait bientôt, et on décida de les laisser faire le reste. C’était enfin fini. On avait réussi. Je vis alors un petit sentiment d’amertume, et de tristesse, dans les yeux de Romain. C’est lui qui n’allait pas, c’était lui ce petit détail. Il cacha vite son air, mais c’était trop tard. En une fraction de seconde, il avait baissé la garde, et j’avais compris. Il se tourna vers moi et sourit, mais son sourire s’effaça quand il vit que je savais.
- Je n’aurais pas dû baisser ma garde, hein ? demanda-t-il, d’une expression neutre.
- Peut-être pas.
***********************
Alors, les POV ça vous plait ? Le prochain chapitre sera normal, mais celui-ci était décisif, et bien plus intéressant comme ça, selon moi ...Dernière édition par RL77LUC le Dim 17 Fév 2013 - 18:53, édité 1 fois
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Re: Jane VS John ^
Bonne idée pour le POV
J'attends la suite avec impatiente !!
J'attends la suite avec impatiente !!
L3mOn- Livreur de Pizza
- Personnage préféré : Patrick Jane & Teresa Lisbon
Loisirs : Faire du sport, sortir avec des amis et surtout rester derrière mon Ordi pour lire vos fictions sur Jisbon <3
Localisation : descendés tout en bas de la France puis tournés à droite, et vous y êtes !
Re: Jane VS John ^
Elle est en cours d'écriture. Ce sera pour demain, ou après-demain, je pense .
RL77LUC- Distributeur de café
- Personnage préféré : Teresa Lisbon
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Sujets similaires
» Red John or Red Jane?
» [Hypothèses] Qui est Red John ?
» Red John vs Jane
» Que fera Jane face à Red John ?
» Jane et toujours l'histoire John Le Rouge^
» [Hypothèses] Qui est Red John ?
» Red John vs Jane
» Que fera Jane face à Red John ?
» Jane et toujours l'histoire John Le Rouge^
Page 2 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum