His Own Red Sorrow... [DRAME]
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Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Oooh ben ça alors ! qu'est-ce qu'il s'est passé sur ce toit pour qu'elle s'en veuille autant ?
VLS !
VLS !
Invité- Invité
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Tu l'as enfin posté !!
C'est une magnifique chapitre !! J'adore toujours autant ton style d'écriture et j'ai trop hâte de lire la suite !!
C'est une magnifique chapitre !! J'adore toujours autant ton style d'écriture et j'ai trop hâte de lire la suite !!
Eloa- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Patrick Jane
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
C'est super super VLS =)
Mais juste un truc...
Helena Smith, qui est normalement, Elena Smith, est le nom d'un perso que j'ai inventé...
Pas que ça me dérange vraiment mais bon, c'est pas grave, je vais pas te faire chambouler toute ta fic alors que tu as bien avancé
Puis je sais que c'est toi, donc c'est pas comme si c'était n'importe qui lol
Mais juste un truc...
Helena Smith, qui est normalement, Elena Smith, est le nom d'un perso que j'ai inventé...
Pas que ça me dérange vraiment mais bon, c'est pas grave, je vais pas te faire chambouler toute ta fic alors que tu as bien avancé
Puis je sais que c'est toi, donc c'est pas comme si c'était n'importe qui lol
Invité- Invité
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Merci à tous Contente que ça vous plaise
Le chapitre 2 est déjà écrit xD il doit passer par la case correction et, il fait dans les 10 pages ^^'
Win' : Le nom de mes persos pour cette fic' date du mois de janvier 2010 Nan je suis pas longue à me décider de poster une fic'
Le chapitre 2 est déjà écrit xD il doit passer par la case correction et, il fait dans les 10 pages ^^'
Win' : Le nom de mes persos pour cette fic' date du mois de janvier 2010 Nan je suis pas longue à me décider de poster une fic'
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Trop bien! J'ai hate de lire la suite!!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Génial vivement la suite et ce super long chapitre.
Pour les correcteurs, je crois que tu n'en manques pas donc je suis sure que ça va aller vite.
Pour les correcteurs, je crois que tu n'en manques pas donc je suis sure que ça va aller vite.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
BlackNight a écrit:Merci à tous Contente que ça vous plaise
Le chapitre 2 est déjà écrit xD il doit passer par la case correction et, il fait dans les 10 pages ^^'
Win' : Le nom de mes persos pour cette fic' date du mois de janvier 2010 Nan je suis pas longue à me décider de poster une fic'
Ah d'accord =)
Oui genre je te crois t'es vraiment pas longue MDR
Invité- Invité
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Encore merci à vous
Au sujet de la correctrice (Eloa), elle a presque attendu 1 an pour que je daigne publier la fic'.... désolée lol xD
@ Win' : T'as vu, quand je dis que je suis pas longue, faut me croire
Au sujet de la correctrice (Eloa), elle a presque attendu 1 an pour que je daigne publier la fic'.... désolée lol xD
@ Win' : T'as vu, quand je dis que je suis pas longue, faut me croire
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
on aura bientôt la suite? j'aime bien le début de ta fic et j'aimerais bien savoir ce qui s'est passé pour mettre Lisbon dans cet état
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
en correction?
Et c'est pas moi qui la lis je bude
Et c'est pas moi qui la lis je bude
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Pour une fois que tu n'as pas la primeur.
Car je suis sure que tu es débordée d'autres corrections .
J'ai hate que la correctrice corrige tout ça pour avoir la suite
Car je suis sure que tu es débordée d'autres corrections .
J'ai hate que la correctrice corrige tout ça pour avoir la suite
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Bein je lis les castle fic pourtant
Je sais pas peut-être que BN a peur de me traumatisée avec la fic TM
Je sais pas peut-être que BN a peur de me traumatisée avec la fic TM
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Je crois qu'elle l'avait demandé à Eloa, il y a bien longtemps.
Au moins, on sait à quoi s'attendre dans sa fic à du drame. Mais j'ai hate de voir ce que ça donne à la sauce TM car déjà que c'est du grand art avec Castle, là je m'attends un peu au pire.
Au moins, on sait à quoi s'attendre dans sa fic à du drame. Mais j'ai hate de voir ce que ça donne à la sauce TM car déjà que c'est du grand art avec Castle, là je m'attends un peu au pire.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
lool Ma Lulu'
en fait, Eloa s'était déjà proposée en janvier 2010 pour corriger cette fic', c'est pour ça
lol Daidi, "du grand art" merciiii Ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'y aura aucune fin alternative pour celle-ci
en fait, Eloa s'était déjà proposée en janvier 2010 pour corriger cette fic', c'est pour ça
lol Daidi, "du grand art" merciiii Ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'y aura aucune fin alternative pour celle-ci
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Ok
Du grand art oui ce sera du grand art mais en drame
J'ai déja sorit les kleenex
Du grand art oui ce sera du grand art mais en drame
J'ai déja sorit les kleenex
Luciole- Red John
- Personnage préféré : Lisbon♥
Localisation : dans ma bulle
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Oui préparons nous surtout la connaissant
Et puis cette fois ci pas de fin alternative. Ca va être dur très dur cette fic.
Et franchement, je suis sur que tous le monde est d'accord sur " grand art" pour décrire tes fics. Si tu veux pas mes compliments et ben tant pis je les marquerais quand même Na.
Et puis cette fois ci pas de fin alternative. Ca va être dur très dur cette fic.
Et franchement, je suis sur que tous le monde est d'accord sur " grand art" pour décrire tes fics. Si tu veux pas mes compliments et ben tant pis je les marquerais quand même Na.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Mais enfin, je ne suis pas un monstre dénoué de sentiment Si ? .... oh
Allez hop, première partie du chapitre 2 xD
Pourquoi première partie ? Parce que c'est plus sadique de faire attendre... naaan je plaisante (à moitié lol), faut juste que je réécris une scène dans la seconde partie
Chapitre 2 : La chasse commence (Partie 1)
Lundi 18 janvier 2010
Quartier Général du FBI, Sacramento, Californie. 7h52.
Les bureaux du FBI n’étaient pas vraiment différents des bureaux du CBI, même portique de sécurité, même nombres d’agents de sécurité, des ascenseurs par-ci par-là, des escaliers, des bureaux… énormément de bureaux, des va-et-vient d’agents travaillant dans les locaux, ou faisant semblant.
Certains avec une pile de dossiers dans les mains et un autre entre leurs dents, d’autres accoudés à la machine à café, d’autres encore faisaient mine de travailler en ayant le regard fixé sur l’écran de l’ordinateur, et quelques uns étaient en pleine communication téléphonique…
Non, le CBI et le FBI étaient plutôt identiques au premier abord. Ensuite, l’ambiance d’une agence (d’une équipe) dépend de ses agents, si le CBI, avec l’agent Teresa Lisbon semblait plutôt « cool », le FBI version Dikensen, c’était tout le contraire…
Alors que Frédérik Dikensen était vautré sur son fauteuil à rêvasser. Annie, qui était un peu comme son assistante, parcourait les couloirs le pas pressant, tout en tenant fermement un colis. Colis sur lequel il était marqué : « Agent Dikensen, FBI ».
Annie était un brave petit bout de femme, toujours souriante, à l’écoute et toujours présente pour aider ses collègues. C’était une mère célibataire qui frôlait la cinquantaine, elle jonglait entre son travail et son fils de 17 ans. Mais sa principale qualité résidait dans le fait qu’elle était la seule de l’agence à supporter Dikensen. Il était tout son contraire : ne souriait jamais, en voulait à la terre entière. Un brin égocentrique, juste assez pour énerver ses collègues et l’empêcher d’avoir des « amis » en dehors de son travail. Il parvenait toujours à échapper au blâme, ou à la suspension. Ses collègues l’avaient amicalement surnommé « le Pitbull » puisque le service juridique du FBI ne comptait plus le nombre de plaintes reçues contre cet agent : pour coups et blessures, usage abusif de la force, intimidation de témoin, aveux obtenus sous la contrainte, etc… Allez savoir comment il avait toujours fait pour s’en tirer, soit les cols blancs du FBI sont les meilleurs avocats du monde, soit ce cher Dikensen était sous la protection de son beau-père (qui n’est autre que le directeur adjoint du FBI)… Une chose était sûre : dans un sens, ses collègues comprenaient son comportement et son caractère « à la con » en le mettant sur le compte de la tragique disparition de sa femme, il y a quelques années…
En arrivant devant le bureau de Frédérick Dikensen, Annie frappa deux fois, puis n’attendit aucune réponse, elle entra, toujours en tenant le précieux paquet :
- Monsieur Dikensen ? Il y a un colis pour vous, qui a été déposé tôt ce matin.
- Qui est l’expéditeur ?
- Ce n’est pas indiqué.
- Il a bien été analysé par la sécurité ?
- Oui, monsieur. Répondit Annie, d’une voix douce et calme.
L’agent du FBI prit un coupe-papier et commença à ouvrir ce mystérieux colis. Il avait la taille d’un dictionnaire de poche, mais étrangement bien emballé, aucun nom d’expéditeur, ni de cachet de la poste : la personne à l’origine de ce colis l’avait déposé elle-même.
Il ne fallut que quelques petites secondes à l’agent pour venir à bout du et de l’emballage. Il en retira un petit calepin noir qui semblait usé, non pas par le temps, mais par son utilisation répétée. Certaines pages étaient plus marquées que les autres, comme ci la personne qui l’avait lu c’était arrêtée longuement sur ce qu’il y avait d’inscrit.
- Qu’est-ce que c’est ? se demanda Annie, les yeux rivés sur cette chose…
- On dirait un journal intime, mais… Et ça (montrant une liste de noms à son assistante), ça me fait penser à une liste de clients…
L’agent du FBI survolait les pages de ce carnet. Plus il lisait les quelques mots que ses yeux parvenaient à discerner, plus un sourire sarcastique et empli de victoire fit son apparition sur son visage meurtri et fatigué :
- Je te tiens enfoiré…
- Qui donc, monsieur ? demanda t-elle, intriguée.
- Annie, envoyez ce qu’il y a dans ce colis au laboratoire, faites venir des experts en graphologie, tous les experts que vous voulez… Je veux que l’on compare cette écriture à une note qu’il y a dans le dossier de ma femme.
Annie s’arrêta un instant d’écrire sur son bloc note puis elle se mit à regarder Dikensen avec un air de chien battu :
- Monsieur, le dossier de votre femme ?
- Oui.
- Mais monsieur, cette affaire est classée…
- Elle l’est pour ces connards de flics qui l’ont classée, mais pas pour moi.
- Bien, je le ferai.
- Merci Annie, vous êtes un ange.
Il y a quelques années, en revenant chez lui alors qu’il était sorti faire quelques courses, Dikensen avait retrouvé sa femme, Sarah, étendue sur le parquet de son salon, son arme de service dans la main : elle venait de sceller dix ans de vie commune en se tirant une balle dans la tête. Sans doute le résultat d’années passées entre antidépresseurs, calmants, somnifères et autres médicaments censés l’aider, reprochant à son mari de n’avoir pas été là quand elle avait fait une fausse couche, il y a plusieurs années.
La police locale avait fini par conclure à un simple suicide au vu des antécédents psychiatriques de madame Dikensen. Mais en fouillant dans les affaires de Sarah, son mari avait retrouvé un morceau de papier sur lequel était inscrit une heure, une date et un lieu. Sa femme s’était suicidée l’après midi même où elle avait eu ce mystérieux rendez-vous. Il n’avait jamais obtenu l’identité de la personne que sa femme était censée rencontrer ce matin là.
Cette obsession qu’il avait de connaitre l’identité de cet inconnu lui avait value deux semaines de suspension car il avait harcelé les amis de sa femme afin de connaitre l’emploi du temps exacte de son épouse avant sa mort. Il était tellement obsédé par cette idée, qu’il avait campé nuit et jour devant le domicile de ces gens, au point qu’ils avaient porté plainte et que le FBI avait été obligé de le suspendre.
Cela ne l’avait pas empêché de continuer son harcèlement, jusqu’à obtenir l’adresse d’une villa à Malibu.
Malheureusement, le propriétaire avait disparu sans laisser de trace, les rumeurs du quartier racontaient qu’il avait tué sa femme et sa fille et qu’il avait ensuite mis les voiles. En fouillant un peu plus il avait appris l’histoire de cet homme. Mais il était resté convaincu que les rumeurs du quartier disaient vrai. Et que dans un sens, cet homme était aussi responsable du « suicide » de sa femme.
Annie, toujours un bloc note et un crayon à portée de main, avait noté le numéro du dossier de Sarah et l’avait encadré plusieurs fois :
- Autre chose, monsieur ?
- Oui, Annie. Faites passer cette analyse en priorité, je veux les résultats dans l’heure !
Il se gratta la tête comme s’il cherchait à faire germer une idée dans son esprit…
- Ah ! Annie, dites à Calaway et Jefferson de se tenir prêt à partir, moi, je vais de ce pas informer le directeur adjoint.
- Bien monsieur.
- Avec ce que j’ai, cet enfoiré va finir, dans le meilleur des cas, sur la chaise électrique...
Allez hop, première partie du chapitre 2 xD
Pourquoi première partie ? Parce que c'est plus sadique de faire attendre... naaan je plaisante (à moitié lol), faut juste que je réécris une scène dans la seconde partie
THE MENTALIST
HIS OWN RED SORROW…
HIS OWN RED SORROW…
Chapitre 2 : La chasse commence (Partie 1)
Lundi 18 janvier 2010
Quartier Général du FBI, Sacramento, Californie. 7h52.
Les bureaux du FBI n’étaient pas vraiment différents des bureaux du CBI, même portique de sécurité, même nombres d’agents de sécurité, des ascenseurs par-ci par-là, des escaliers, des bureaux… énormément de bureaux, des va-et-vient d’agents travaillant dans les locaux, ou faisant semblant.
Certains avec une pile de dossiers dans les mains et un autre entre leurs dents, d’autres accoudés à la machine à café, d’autres encore faisaient mine de travailler en ayant le regard fixé sur l’écran de l’ordinateur, et quelques uns étaient en pleine communication téléphonique…
Non, le CBI et le FBI étaient plutôt identiques au premier abord. Ensuite, l’ambiance d’une agence (d’une équipe) dépend de ses agents, si le CBI, avec l’agent Teresa Lisbon semblait plutôt « cool », le FBI version Dikensen, c’était tout le contraire…
Alors que Frédérik Dikensen était vautré sur son fauteuil à rêvasser. Annie, qui était un peu comme son assistante, parcourait les couloirs le pas pressant, tout en tenant fermement un colis. Colis sur lequel il était marqué : « Agent Dikensen, FBI ».
Annie était un brave petit bout de femme, toujours souriante, à l’écoute et toujours présente pour aider ses collègues. C’était une mère célibataire qui frôlait la cinquantaine, elle jonglait entre son travail et son fils de 17 ans. Mais sa principale qualité résidait dans le fait qu’elle était la seule de l’agence à supporter Dikensen. Il était tout son contraire : ne souriait jamais, en voulait à la terre entière. Un brin égocentrique, juste assez pour énerver ses collègues et l’empêcher d’avoir des « amis » en dehors de son travail. Il parvenait toujours à échapper au blâme, ou à la suspension. Ses collègues l’avaient amicalement surnommé « le Pitbull » puisque le service juridique du FBI ne comptait plus le nombre de plaintes reçues contre cet agent : pour coups et blessures, usage abusif de la force, intimidation de témoin, aveux obtenus sous la contrainte, etc… Allez savoir comment il avait toujours fait pour s’en tirer, soit les cols blancs du FBI sont les meilleurs avocats du monde, soit ce cher Dikensen était sous la protection de son beau-père (qui n’est autre que le directeur adjoint du FBI)… Une chose était sûre : dans un sens, ses collègues comprenaient son comportement et son caractère « à la con » en le mettant sur le compte de la tragique disparition de sa femme, il y a quelques années…
En arrivant devant le bureau de Frédérick Dikensen, Annie frappa deux fois, puis n’attendit aucune réponse, elle entra, toujours en tenant le précieux paquet :
- Monsieur Dikensen ? Il y a un colis pour vous, qui a été déposé tôt ce matin.
- Qui est l’expéditeur ?
- Ce n’est pas indiqué.
- Il a bien été analysé par la sécurité ?
- Oui, monsieur. Répondit Annie, d’une voix douce et calme.
L’agent du FBI prit un coupe-papier et commença à ouvrir ce mystérieux colis. Il avait la taille d’un dictionnaire de poche, mais étrangement bien emballé, aucun nom d’expéditeur, ni de cachet de la poste : la personne à l’origine de ce colis l’avait déposé elle-même.
Il ne fallut que quelques petites secondes à l’agent pour venir à bout du et de l’emballage. Il en retira un petit calepin noir qui semblait usé, non pas par le temps, mais par son utilisation répétée. Certaines pages étaient plus marquées que les autres, comme ci la personne qui l’avait lu c’était arrêtée longuement sur ce qu’il y avait d’inscrit.
- Qu’est-ce que c’est ? se demanda Annie, les yeux rivés sur cette chose…
- On dirait un journal intime, mais… Et ça (montrant une liste de noms à son assistante), ça me fait penser à une liste de clients…
L’agent du FBI survolait les pages de ce carnet. Plus il lisait les quelques mots que ses yeux parvenaient à discerner, plus un sourire sarcastique et empli de victoire fit son apparition sur son visage meurtri et fatigué :
- Je te tiens enfoiré…
- Qui donc, monsieur ? demanda t-elle, intriguée.
- Annie, envoyez ce qu’il y a dans ce colis au laboratoire, faites venir des experts en graphologie, tous les experts que vous voulez… Je veux que l’on compare cette écriture à une note qu’il y a dans le dossier de ma femme.
Annie s’arrêta un instant d’écrire sur son bloc note puis elle se mit à regarder Dikensen avec un air de chien battu :
- Monsieur, le dossier de votre femme ?
- Oui.
- Mais monsieur, cette affaire est classée…
- Elle l’est pour ces connards de flics qui l’ont classée, mais pas pour moi.
- Bien, je le ferai.
- Merci Annie, vous êtes un ange.
Il y a quelques années, en revenant chez lui alors qu’il était sorti faire quelques courses, Dikensen avait retrouvé sa femme, Sarah, étendue sur le parquet de son salon, son arme de service dans la main : elle venait de sceller dix ans de vie commune en se tirant une balle dans la tête. Sans doute le résultat d’années passées entre antidépresseurs, calmants, somnifères et autres médicaments censés l’aider, reprochant à son mari de n’avoir pas été là quand elle avait fait une fausse couche, il y a plusieurs années.
La police locale avait fini par conclure à un simple suicide au vu des antécédents psychiatriques de madame Dikensen. Mais en fouillant dans les affaires de Sarah, son mari avait retrouvé un morceau de papier sur lequel était inscrit une heure, une date et un lieu. Sa femme s’était suicidée l’après midi même où elle avait eu ce mystérieux rendez-vous. Il n’avait jamais obtenu l’identité de la personne que sa femme était censée rencontrer ce matin là.
Cette obsession qu’il avait de connaitre l’identité de cet inconnu lui avait value deux semaines de suspension car il avait harcelé les amis de sa femme afin de connaitre l’emploi du temps exacte de son épouse avant sa mort. Il était tellement obsédé par cette idée, qu’il avait campé nuit et jour devant le domicile de ces gens, au point qu’ils avaient porté plainte et que le FBI avait été obligé de le suspendre.
Cela ne l’avait pas empêché de continuer son harcèlement, jusqu’à obtenir l’adresse d’une villa à Malibu.
Malheureusement, le propriétaire avait disparu sans laisser de trace, les rumeurs du quartier racontaient qu’il avait tué sa femme et sa fille et qu’il avait ensuite mis les voiles. En fouillant un peu plus il avait appris l’histoire de cet homme. Mais il était resté convaincu que les rumeurs du quartier disaient vrai. Et que dans un sens, cet homme était aussi responsable du « suicide » de sa femme.
Annie, toujours un bloc note et un crayon à portée de main, avait noté le numéro du dossier de Sarah et l’avait encadré plusieurs fois :
- Autre chose, monsieur ?
- Oui, Annie. Faites passer cette analyse en priorité, je veux les résultats dans l’heure !
Il se gratta la tête comme s’il cherchait à faire germer une idée dans son esprit…
- Ah ! Annie, dites à Calaway et Jefferson de se tenir prêt à partir, moi, je vais de ce pas informer le directeur adjoint.
- Bien monsieur.
- Avec ce que j’ai, cet enfoiré va finir, dans le meilleur des cas, sur la chaise électrique...
*** A suivre… ***
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
vraiment iintéréssant ce chapitre, j'ai hâte de lire la suite
J'aime le concept d'un chapitre montrant l'équipe du CBI et un autre parlant des autres personnages, c'est super
J'aime le concept d'un chapitre montrant l'équipe du CBI et un autre parlant des autres personnages, c'est super
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Mais non on s'est bien que les mots sadiques et perverses ne sont pas les premiers mots qui me viennent à l'esprit pour te décrire
En attendant, j'ai vraiment hate de voir la suite de ce chapitre 2.
Il est très intriguant cet agent du FBI et puis bizarrement Annie me fait penser à Rebecca mais ça c'est mon esprit tordu qui parle.
Juste une tite question tu sépareras toujours les chapitres en deux? Ce n'est pas que ça me dérange au contraire on aura un plus souvent à lire mais des chapitres moins longs.
En attendant, j'ai vraiment hate de voir la suite de ce chapitre 2.
Il est très intriguant cet agent du FBI et puis bizarrement Annie me fait penser à Rebecca mais ça c'est mon esprit tordu qui parle.
Juste une tite question tu sépareras toujours les chapitres en deux? Ce n'est pas que ça me dérange au contraire on aura un plus souvent à lire mais des chapitres moins longs.
Daidi- Co-admin
- Personnage préféré : Lisbon
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
Merci Daidi , Sweetylove30 et Win'
Sadique... j'suis d'accord Mais euh perverse ?
en fait, ce chapitre, je le sépare car il fait 10 pages, c'est tout, sinon, nan, je ne vais pas tous les couper
Sadique... j'suis d'accord Mais euh perverse ?
en fait, ce chapitre, je le sépare car il fait 10 pages, c'est tout, sinon, nan, je ne vais pas tous les couper
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
j'ai hâte de lire la suite
j'adore tout tes écrits j'avais adoré ta fic Castle, alors je pense qu'il en sera de même pour cele-ci, mais ne nous fais pas attendre trop longtemps
j'adore tout tes écrits j'avais adoré ta fic Castle, alors je pense qu'il en sera de même pour cele-ci, mais ne nous fais pas attendre trop longtemps
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: His Own Red Sorrow... [DRAME]
BlackNight a écrit:Encore merci à vous
Au sujet de la correctrice (Eloa), elle a presque attendu 1 an pour que je daigne publier la fic'.... désolée lol xD
Vous imaginez même pas ce que ça a été d'attendre tout ce temps. Mais bon, ce 2ème chapitre vaut bien ces longs mois d'attente !!
Comme tu le sais déjà, cette partie 1/??? (je ne suis au courant de rien... ) est sublime !!!
BlackNight a écrit:
Sadique... j'suis d'accord
Je me demande bien qui peut te pousser encore plus dans cette direction...
Eloa- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Patrick Jane
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