One week later (post 4x24 -> Spoilers) ^

j'adorrrrrrrrr un trés bon moment entre lisbon et jane pleins de tendresse
tous les sentimets avoués vls

Quel chapitre!!
Earlgrey, tu as vraiment un talent incroyable.
Si un jour il y a une vraie discussion franche et sincère entre Jane et Lisbon, j'aimerais vraiment qu'elle ressemble à celle-là. Un pur moment de bonheur, comme une parenthèse dans leurs vies trop compliquées.
" Peut-être que ma vie serait plus facile, je n’en sais rien, mais je serais désespérée qu’elle le soit si cela signifiait que vous ne deviez pas en faire partie. " ---> Cette phrase m'a tuée. Parce que ça les définit tellement bien tous les deux...
Un grand merci et un immense BRAVO à toi.
Vivement l'épilogue!

Je suis toujours ta fic et ce dernier chapitre est juste
Fallait bien que je passe pour le dire
La suite la suite la suite

oh j'adore cette fic!!
jane et lisbon

hâte de lire la suite XD

Waouh tous ces commentaires Mille mercii à Peanut BZH, Johel, Calypsoh (-> ton commentaire Venant de toi dont tu sais que j'admire plus que raisonnablement les écrits, ça m'a fait trop trop plaisir ! Surtout que tu as relevé tous les passages auxquels j'avais accordé beaucoup de soin *mission accomplie* Alors merci d'avoir commenté si longuement !), Geselp, cassis, mitsounette, alamanga et Totorsg (-> ton avatar )

Bon maintenant je m'excuse pour l'attente, comme vous le savez j'ai été plutôt occupée ces deux dernières semaines Mais maintenant, c'est les vacaaaances et j'ai enfin le temps de venir vous poster LA FIN de cette fic'. J'avais parlé d'un "épilogue", encore une fois changement de programme, ceci n'a RIEN d'un épilogue, c'est bien un chapitre à part entière, même si c'est le dernier, puisque c'est même le plus long de tous (Oui désolééée il est ultra-long, je l'ai à moitié réécrit ces derniers jours mais je voulais pas le couper donc voilà, vous êtes prévenus !)

A part ça, si vous trouvez après avoir lu qu'on est un peu passé de "One week later" à "Bond de 3 saisons"... eh bien je suis d'accord Mais il me fallait une conclusion et j'avoue avoir une préférence coupable pour les happy endings (Il faut bien patienter comme on peut *haha*)

Bref, en tout cas je me suis bien amusée à écrire cette fic' (petite préférence pour la première partie de ce chapitre, alias "psychanalyse pour les nuls" xD), alors à tous ceux qui seront passés lire, merci et à la prochaine

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Chapitre 5 :

Beaucoup plus tard dans la soirée, Jane rejoignit finalement l’open-space et posa sa veste pour aller s’effondrer sur son canapé. Ah son bon vieux canapé… lui aussi il lui avait manqué.

Depuis que Lisbon l’avait quitté, il faisait ce qu’il pouvait pour ne pas se laisser envahir à nouveau par ses idées noires, et dans cette circonstance, retrouver quelques repères connus était vraiment précieux.

Mais alors qu’il réfléchissait, il réalisa que ce qui le déstabilisait le plus en réalité, c’était que pour la première fois depuis 9 ans, il avait l'impression étrange d’être arrivé à un nouveau croisement.

Il venait de passer plus d’un an à se perdre sur les pires chemins… tout ça pour quoi ?

Peut-être qu’il avait vraiment « touché le fond » finalement, songea-t-il alors qu’il laissait doucement ses yeux se fermer.

Au fond, la rage était toujours présente, mais pour la première fois, elle se débattait dans un sentiment de lassitude, ce même sentiment qu’il avait feint six mois plus tôt et qu’il avait finalement découvert à la vue du corps de ce garde.

La fatigue accumulée au cours de ces dernières semaines, de ces derniers mois même, lui sembla soudain venir peser sur tous ses membres et il sombra peu à peu dans une douce somnolence, jusqu’à s’endormir complètement.

Mais loin de trouver un sommeil réparateur, une multitude de sons et d’images s’agitaient dans son inconscient.

Tout se mêlait puis se déformait à nouveau... avant qu’un décor ne commence à se préciser autour de lui.

Il se voyait à présent déambuler dans une salle de casino gigantesque, emplie par un bruit de machines à sous absolument assourdissant. La confusion ambiante lui donnait l’impression qu'il suffoquait, et il avança au hasard jusqu’à se tracer un chemin vers un banc un peu à l’écart.

Appuyant sa tête contre le mur derrière lui, il cherchait à calmer sa respiration alors qu’il se trouvait complètement essoufflé, chose qu’il ne parvenait pas à comprendre puisqu’il ne faisait que marcher depuis tout à l’heure.

Son regard se perdit alors sur une allée de machines qui se dressait à quelques mètres de lui, puis plus particulièrement sur une silhouette féminine qui venait d’actionner un des leviers, enclenchant le défilé accéléré des petites icônes supposées s’aligner.

Il regardait la roue tourner… tourner presque indéfiniment, comme complètement hypnotisé… mais progressivement il lui parut que le mouvement ralentissait… ralentissait encore… jusqu’à ce que trois smileys rouge sang viennent lentement s’immobiliser l’un à côté de l’autre.

Il écarquilla les yeux alors que clignotaient maintenant devant lui les trois symboles, la machine émettant au même instant une sorte de version électronique d’un prélude de Bach. Pris d’affolement, il tourna la tête vers la jeune femme à l’origine du phénomène et vit qu’elle l’observait en souriant narquoisement :

« J’ai gagné, prononça-t-elle simplement. »

Il sentit le sang lui monter aux tempes et, excité par une force qui le dépassait, un mélange de colère et de désespoir inexplicable, il se précipita vers elle, sans pour autant parvenir à l’atteindre.

Il avançait sans discontinuer et pourtant la machine semblait encore plus loin… toujours plus loin.

Complètement démuni, il s’arrêta et sentit soudain qu’on l’avait attrapé par le poignet. Il se retourna alors dans un seul mouvement et vit apparaître devant lui Lisbon qui le regardait en souriant :

« Enfin, je vous ai retrouvé ! Pourquoi il faut toujours que vous vous éloigniez ? le réprimanda-t-elle.
- Et vous, pourquoi est-ce qu’il faut toujours que vous me cherchiez ? s’entendit-il lui dire alors qu’il souriait aussi maintenant.
- Vous savez pourquoi ! La question c’est est-ce que vous rentrez avec moi ou est-ce que vous restez ici ? »

Il se retourna lentement vers la machine qui faisait l’objet de sa poursuite mais apparemment elle était à côté de lui depuis tout à l’heure, seulement il n’était pas sûr que ce soit exactement la même car les smileys avaient laissé place à trois paires de cerise.

« Eh bien, je n’ai plus rien à faire ici je crois… je rentre avec vous. »

Et en prononçant ces mots, il se sentit étrangement mieux, comme si on l’avait libéré d’un poids.

De manière assez floue, il se laissa guider par Lisbon vers la sortie du casino, ayant jusqu’à oublier ce qu’il était venu y faire en premier lieu… mais alors qu’il s’apprêtait à passer le grand portique doré, une voix masculine derrière lui l’interpella :

« Alors, on ne joue plus ? »

Il se retourna vivement et s’aperçut que l’homme avait agrippé Lisbon par la manche alors qu’elle-même s’accrochait à la sienne. Cette vision lui glaça le sang, d’autant plus que cet homme… n’avait pas de visage.


Jane se réveilla en sursaut, complètement en sueur. Tout était sombre maintenant autour de lui et l’unique source de lumière jaillissait des stores fermés du bureau de Lisbon, à l’autre bout de la pièce.

Il se leva en un élan et traversa machinalement l’open-space jusqu’à se trouver devant sa porte, mais sa main resta en suspension du fait d’une angoisse irréfrénable qui l’empêchait d’aller plus loin.

Fiévreux, il se laissa glisser contre le mur de briques à l’opposé jusqu’à tomber assis au sol. Mais il n’eut pas le temps de recouvrer sa lucidité car la porte s’ouvrit d’elle-même, laissant place à Lisbon, alertée par ces pas précipités dans le couloir :

« Jane ?! J’ai cru vous étiez en train de dormir. Qu’est-ce qu’il se passe ? demanda-t-elle. »

Mais elle fut ahurie par la vision qu’elle avait sous les yeux : un Jane à moitié ébouriffé, la chemise toute froissée et qui levait les yeux vers elle l’air complètement confus.

« Je- Je suis désolé Lisbon. On est coincés ici et c’est uniquement à cause de moi.
- Mais qu’est-ce que vous racontez enfin ?!
- Il ne vous aurait jamais retenue si j’étais resté là-bas… Tout est de ma faute, lâcha-t-il en détournant la tête. »

Alarmée par ses propos, elle s’agenouilla à côté de lui et voulant le forçant à la regarder, elle prit entre ses mains son visage, qui était complètement brûlant… Il délirait. L’attrapant par les épaules, elle commença à le secouer doucement :

« Jane… Ecoutez-moi, on est coincés nulle part d’accord ? On est juste tous les deux, au quartier général du CBI. »

Mais il secouait la tête, le regard perdu et elle le saisit plus fermement :

« Bon sang, reprenez vos esprits ! Vous avez fait un cauchemar, c’est tout… »

Mais se tournant brusquement vers elle, il l’écarta de lui presque violemment et dit avec une voix presque désespérée :

« C’est vous mon cauchemar ! Vous ne comprenez pas que tant que vous vous accrocherez à moi, il ne vous lâchera pas ?! »

Mais Jane ne pût poursuivre car Lisbon le gifla subitement. Portant lentement la main à sa joue, son regard sur elle changea et il sembla finalement reprendre conscience de la situation. Complètement étourdi, il balbutia, levant une main devant lui :

« Je- JE m’excuse. Celle-là suffira. »

Lisbon tomba assise à son tour, face à lui, et souffla profondément. Pendant plusieurs minutes, ils restèrent là au beau milieu du passage à s’observer, aussi déboussolé l'un que l'autre.

Abattue, Lisbon avait les derniers mots de Jane qui tournaient en boucle dans son esprit. Elle ne connaissait pas toute l’étendue de son cauchemar, et pourtant ces quelques phrases suffisaient à lui en éclairer la portée.

Oui, elle savait pertinemment qu’il était en partie le fait de ces quelques minutes abominables qu’ils avaient vécues la veille dans le parking souterrain.

Quelques minutes tout aussi cauchemardesques qu’elle s’était efforcée aujourd’hui de refouler au fond de son esprit sans vouloir songer aux implications, puis qu’elle avait voulu aussi faire oublier à Jane cet après-midi sur la terrasse, angoissée à l’idée que cet évènement malencontreux le fasse à nouveau s’éloigner d’elle.

Elle luttait comme elle pouvait pour que quoi qu’il arrive, leur amitié reste le pilier qui tiendrait au milieu du chaos qui l’entourait… qu’est-ce qu’elle pouvait faire maintenant qu’elle était obligée de s’avouer que Red John était capable de la retourner telle une arme contre eux ?

Elle osait enfin se prononcer à elle-même ces mots qu’elle avait évités toute la journée : il était probable qu’elle soit désormais montée tout en haut de la liste de ses cibles potentielles.

Et pourtant, réalisant le peu de tourment que cette pensée lui conférait tandis qu’elle s’inquiétait toujours du visage absent de Jane, elle sourit légèrement devant son inconscience et se leva finalement, prononçant d’un ton vif alors qu’elle se dirigeait d’un pas rapide vers l’open-space :

« Je reviens, ne bougez pas. »

Jane hocha faiblement la tête à ces mots alors qu’il suivait le propre fil de ses pensées.
Il avait cherché à raccrocher les différents fragments qu’il lui restait de son cauchemar mais ils s’évanouissaient les uns après les autres dans toute leur évanescence.

Toutefois, au sein de ce brouillard demeurait toujours cette même sensation qu’il avait quand il s’était étendu sur son canapé plus tôt dans la soirée : celle qu’au bout de neufs longues années, il arrivait en bout de course et pouvait choisir de bifurquer du chemin qu’il pensait être tracé devant lui.

Etait-ce se trahir lui-même que de renoncer à courir sur la voie de la vengeance pour se contenter de continuer sur celle de la justice ?

Car bien au-delà d’une simple lassitude, il avait maintenant en lui un sentiment beaucoup plus puissant qui anesthésiait sa rage et son désespoir, songea-il en observant Lisbon revenir une aspirine et une poche de glace dans les mains.

Quand elle se tenait auprès de lui, il avait l’impression que son cœur battait à nouveau normalement… alors est-ce qu’à l’avenir il serait capable de simplement se laisser aller à ce rythme régulier ?

« Tenez, mettez ça sur votre joue, s’agenouilla à nouveau Lisbon en lui tendant la poche de glace.
- Vous n’y êtes pas allée de main morte, répondit Jane de son ton taquin alors qu’il lui prenait des mains. »

Elle ne répondit pas mais détourna les yeux en soupirant, embarrassée.

« Je vous ai fait ça aussi, pour la fièvre… ajouta-t-elle en posant le verre à côté de lui.
- Ce n’est pas de ça dont j’ai besoin, sourit-il en la regardant toujours.
- Sérieusement Jane ? Soignez-vous vous-mê- »

Mais il l’attira à lui doucement et l’emprisonna dans ses bras.

Il n’en était pas seulement capable, il en avait terriblement envie.

Lisbon sentit sa gorge se serrer douloureusement, pourquoi avec lui avait-elle éternellement la sensation que son cœur allait lâcher ?

« Pourquoi vous faites ça ? Pourquoi vous faites ça alors que c’est moi votre cauchemar comme vous dites, moi votre adversaire dans la poursuite de Red John et encore pire maintenant, moi votre principale faille ? Je ne comprends pas ! articula-t-elle en se débattant, des sanglots dans la voix alors que toutes ses angoisses débordaient. »

Mais elle fut calmée instantanément par les lèvres de Jane qui vinrent emprisonner les siennes. Il l’embrassa doucement et elle s’y abandonna bientôt, humidifiant leur baiser de ses larmes.

Ce fut bref, mais ils y firent passer tant de peur et de frustration qu’elle ne pouvait plus que réaliser en cet instant à quel point elle en mourrait d’envie depuis longtemps.

Ils s’écartèrent finalement l’un de l’autre et Jane regarda Lisbon un peu confus, conscient qu’en s’autorisant finalement à faire cela, il venait quelque part de sceller sa décision. Mais bientôt dépassé par le bien-être qui l’envahissait, il reprit lentement :

« ... Je crois qu’au fond de toi tu sais que ça fait un moment qu’on ne se considère plus comme des adversaires… Et je vois mal comment tu pourrais être une faille non plus, parce qu’il n’y a plus de jeu Lisbon… C’est fini, je renonce. »

Il l’observa, un peu inquiet car s’il allait bien après ça, il n’était pas sûr qu’il en soit de même pour elle : la jeune femme semblait aux prises avec maints conflits intérieurs qu’il aurait souhaité avoir neutralisés.

Ce fut elle malgré tout qui brisa le silence alors qu’elle se levait pour retourner vers son bureau :

« Admettons que cette fois tu ne sois pas en train de me mener en bateau, dit-elle sérieusement alors que Jane levait innocemment les yeux au ciel, ce qui m’embête c’est que la dernière fois, il s’agissait d’un plan censé l’attirer vers toi… plan qui sur ce point je le reconnais, avait brillamment réussi… »

Jane ne put que la suivre tristement des yeux en se levant à son tour, avançant à sa suite dans la pièce tandis qu’elle fermait la porte derrière lui, s’adossant bientôt contre en lui faisant face :

« Finalement, je ne m’en étais pas rendue compte avant, mais que tu le lâches ou non… j’ai bien peur que lui ne te lâche pas… ne nous lâche pas… prononça-t-elle douloureusement en le regardant gravement.
- Crois-moi, je le sais bien Lisbon, répondit-il en la tirant par le poignet vers le canapé où ils tombèrent à nouveau assis l’un en face de l’autre. »

Elle lisait toujours dans ses yeux l’inquiétude qu’il avait pour elle et pourtant, toute sa personne semblait plus légère.

« … Alors, dis-moi ce que ça change, demanda-t-elle la voix troublée. »

Au fond elle savait très bien ce que ça changeait et l'idée avait déjà commencé à inonder son cœur de soulagement mais elle voulait encore entendre sa voix le lui dire.

« Ce que ça change… sembla-t-il réfléchir un instant en laissant sa tête reposer contre le dossier du canapé. Eh bien… pour commencer par ce qui ne change pas plutôt, je promets de continuer à résoudre tes enquêtes, dit-il avec un sourire malicieux. »

Lisbon leva les yeux au ciel : ce qui ne changeait pas, c’est qu’il était toujours aussi insupportable.

« Ce qui ne change pas non plus, c’est que je ne lâche pas pour le moins du monde l’affaire Red John, poursuivit-il le regard sombre. Ce qui change par contre, c’est que quand on l’attrapera finalement, je te laisserai faire ce que tu as à faire, souffla-t-il en baissant les yeux. »

Elle sentit son cœur s’accélérer : il l’avait dit, ça y’est, et elle réalisait enfin ce que ça signifiait. Pourtant elle s’inquiétait toujours pour lui, même en observant son expression résolue.

… Seulement son inquiétude laissa place à un sentiment tout autre lorsqu’il posa à nouveau ses yeux sur elle, des yeux remplis à la fois de douceur et d’appréhension.

« Je crois qu’à cause de moi il y a autre chose qui a changé… commença-t-il d’un ton mal assuré, mais ça on peut faire en sorte que ça redevienne normal… »

Elle détourna la tête en comprenant à quoi il faisait allusion, prise au dépourvu. Est-ce qu’un jour seulement ça avait été « normal », songea-t-elle alors qu’un sourire éclairait son visage ?

Jane l’observait attentivement, nerveux, et lorsqu’elle plongea à nouveau son regard brillant dans le sien, il s’entendit dire presque malgré lui :

« Est-ce que tu veux que ça redevienne normal … ? »

Et à mesure qu’elle secouait négativement la tête, il rapprocha son visage du sien pour fondre à nouveau sur ses lèvres en soupirant, alors qu’elle s’allongeait sur le canapé, s’agrippant à sa chemise.

Voilà ce qui changeait en réalité : à partir de maintenant et quoiqu’il advienne, il ferait tout pour protéger ce nouvel équilibre... son nouvel équilibre.

Mais alors qu'il écartait son visage du sien, reprenant son souffle, il vit que Lisbon le regardait avec un air amusé :

« Ce qui est vraiment anormal en fait... c’est à quel point ça me semble normal, avoua-t-elle. »

Ils restèrent à se sourire un instant puis cherchèrent à nouveau les lèvres de l'autre, parce qu'en cet instant, plus rien d'autre n'avait d'importance.


FIN

J'admire la façon dont tu nous plonge dans le cauchemar de Jane, c'est oppressant...
On a presque autant de mal à en sortir que Jane
Il faut dire que Lisbon trouve un moyen plutôt "violent" de la ramener à la réalité.
Elle réalise pleinement ce qu'elle représente maintenant pour
Puis tu nous offres la prise de conscience de Jane et le tendre rapprochement malgré la menace et cette constatation que quoi qu'ils fassent le tueur sera toujours là.
Jane qui décide d'abandonner sa vengeance promettant de remettre à la justice
Et on fini en mode

La vache le cauchemar !!!!

Jane a prit une grande décision en laissant tomber sa vangeance au profit de son coeur et Lisbon...

C'est miiiiiiiiiiiiiiiiiiiignoooooooooooonnn !!! Mais pour combien de temps... Comme dit Lisbon, ne laissera pas tomber lui...

J'adore!!
Super fic, félicitations!

wow!! j'adore ce chapitre!
le cauchemar :s pauvre Jane.
mais après avec Lisbon
cette fin était magnifique

Johel a écrit:J'admire la façon dont tu nous plonge dans le cauchemar de Jane, c'est oppressant...
On a presque autant de mal à en sortir que Jane
Il faut dire que Lisbon trouve un moyen plutôt "violent" de la ramener à la réalité.
Elle réalise pleinement ce qu'elle représente maintenant pour
Puis tu nous offres la prise de conscience de Jane et le tendre rapprochement malgré la menace et cette constatation que quoi qu'ils fassent le tueur sera toujours là.
Jane qui décide d'abandonner sa vengeance promettant de remettre à la justice
Et on fini en mode

je plussois, cette fic était magnifique et je m'excuse de ne pas avoir commenté plus tôt

Holalala... Je meurs.
La description du cauchemar de Jane est impressionnante, on rentre dedans à fond.
Le retour à la réalité très... Lisbonesque.
Et puis les décisions... De remettre RJ à la police, de continuer les enquêtes, et surtout, de ne pas faire marche arrière...
Une fin magnifique pour une fic' qui l'est tout autant, BRAVO EarlGrey, et merci !!

MERVEILLEUX
Décidément vous me mettez la larme à l'oeil avec vos fics
Une superbe fin dont on rêve
et à une prochaine fic!

J'avais lu cette fic il y a quelques temps déjà et je n'avais pas pu la commenter parce que je n'étais pas inscrite. Je crois que c'es tl'une des meilleures fics que j'ai lues jusqu'à présent elle est vraiment superbe, et ce cauchemar est effrayant! Tu mets plein de sentiments qui ne peuvent que toucher le lecteur. J'adore!

Je n'avais pas encore eu l'occasion de lire ta fic
Elle est vraiment sublime, un chef d'oeuvre tu transmet beaucoup d'émotions dans tes lignes et puis la fin est tellement sublime

Waouh super fic..
J ai adoré. C est super bien ecrit..
L emotion etait tres bien retranscrit...