Tears Of Blood [Spolier saison 5] ^

Bonsoir la compagnie   ,
me revoici avec le prologue d'une nouvelle fanfiction, voici donc avant de commencer les modalités de présentation:
Titre : Tears of Blood
Personnages : Lisbon, Hightower (une, deux voire trois apparitions ou plus), Rigsby, Van Pelt, Cho, OC (fictifs)
Disclamer : Tous les agents du CBI et Jane sont la proprièté de CBS, je ne possède que quelques personnages.
Genres : Drama, Jisbon, comique (peut-être)
Résumé : En retournant à Sacramento, après avoir inspecté une scène de crime de San Francisco, Lisbon est victime d’un accident de voiture, au cours duquel elle frôle la mort. Cette tragédie, la pousse à avouer ses sentiments à Jane.  Après enquête, il s’avère que cet accident n’en était pas un…

Chapitres: 

Partie 1: retrouvailles inattendues

-Prologue page 1 (dans ce post)

-Chapitre 1 page 1

-Chapitre 2 page 1

-Chapitre 3 page 1

-Chapitre 4 page 2

-Chapitre 5 (spolier saison 5) page 2

-Chapitre 6 page 2

-Chapitre 7 page 2

-Chapitre 8 page 2

-Chapitre 9 page 2



Partie 2: L'étoile Sanglante

-Chapitre 10 page 3

-Chapitre 11 page 3

-Chapitre 12 coming soon





Partie I : Retrouvailles Inattendues



Prologue :

Devant le Golden Gate Bridge, San Francisco, California, USA

Jetant un regard sur le corps mutilé de la victime, j’interrogeais le légiste :
-Identité de la victime, docteur ?
-Jake Gibbson, 33 ans, avocat, enfant unique d’une famille de riches propriétaires
-Arme du crime ? intervient mon consultant, qui se tenait, dernière moi, plutôt qu’à mes côtés, comme il en avait pris l’habitude.
-Ce pic à glace avec lequel le meurtrier à crever les deux yeux de sa victime et embroché son cœur.
-Des éléments nous permettant de connaître le nom du tueur ? demanda ma patronne, Hightower.
-Ce smiley sanglant répondit, laconiquement, le légiste en désignant la fameuse marque qui « décorait », désormais, le Golden Gate Bridge de San Francisco. Le medical examiner n’eut pas besoin d’en dire plus pour que Jane comprenne que John Le Rouge était impliqué dans cet assassinat.  Je me pris à espérer que le Mentaliste réfute, avec son habituel brio, la théorie de la culpabilité de John Le Rouge, sachant que si RJ était impliqué dans cette affaire criminelle, l’ex-médium n’hésiterait pas une seule seconde à faire passer sa vengeance avant ses sentiments pour moi et Dieu, seul, savait, où cela risquait de le mener… C’est alors que le Blondinet aux yeux bleus acier annonça ce que j’espérais et ce qu’il craignait :
-Ce meurtre n’a pas été commis par John Le Rouge, j’en mettrais ma main à couper…
-Mais expliquez-vous, donc, Monsieur Jane ! s’emporta le docteur, septique et frustré qu’un simple consultant remette en doute ses capacités de déduction.
-Red John à un besoin maladif de se faire reconnaître, or si ce smiley était bien de sa main, il serait plus visible et beaucoup plus grand qu’il n’est continua celui qu’aux commencements de notre partenariat j’avais pour habitude de nommer « l’emmerdeur notoire ».
-Des objets d’intérêt trouvés sur cette scène de crime, peut-être ? suggéra l’agent Coréen, qui prenait la parole, pour la première fois depuis le début de cette nouvelle investigation.
-A part le portefeuille en cuir noir, rempli, qui nous permet de conclure que le vol ne peut être le mobile de ce meurtre, ainsi que le passeport de la victime, qui a nous conduit à l’identifier en tant que Maître Jake Gibbson, je regrette, mais aucun autre objet n’a d’intérêt pour résoudre cette affaire. La voix de Van Pelt s’éleva alors dans le silence, qui régnait depuis quelques minutes :
-Thése du suicide écartée, je suppose ? tenta la jeune roussette. La réponse du légiste ne se fit pas attendre et l’homme de sciences reprit :
-Oui, le corps de la victime est couvert de nombreuses ecchymoses, indiquant que maître Gibbson s’est débattu avant que son agresseur ne l’assassine.
-De la famille ? interrogea mon consultant, les yeux dans le vague.
-Le Père de Jake est mort d’un cancer, il y a environ trois ans, quand la mère de notre victime, Elizabeth Gibbson,  elle vit  depuis son divorce avec Michel, le père de Jake, il y a de cela une dizaine d’années, dans la ville de Sacramento.


TO BE CONTINUED

Alors que dire, que dire...
Je trouve que c'est intéressant d'écrire toute une fic sous le POV de Lisbon, ça change
Euh en ce qui concerne l'enquête, je rejoins Janinounet pour dire que je ne pense pas que ce soit , n'a pas prit l'habitude de "crever les yeux et embrocher le cœur" de ses victimes, par conséquent la perspicacité de Jane fait son effet.

Teresa Lisbon a écrit:Après enquête, il s’avère que cet accident n’en était pas un…

Cette précision en ce qui concerne l'accident m'inquiète un peu, qui? et pourquoi? euh je commence à imaginer que Jane aurait pu orchestré l'accident comme moyen pour avouer ses sentiments à Lisbon, mais je ne l'imagine pas aussi cruel tout de même!

J'ai hâte de voir comment tu va amener la déclaration de Jane à Lisbon, ça promets d'être intéressant !

Bref, ceci étant dit, un prologue prometteur et prenant !
J'ai hâte de voir la suite !

Très bon début, le POV de Lisbon est très intéressant.
Comme Sar2ah59, le "l'accident qui n'en était pas un" m'intrigue. Je pencherai plutôt pour une tentative de meurtre, la suite me donnera peut être raison, ou pas
Hâte de lire la suite !
Bravo !

Coucou,

Moi aussi, j'ai bien aimé ce début, et j'ai hate de lire la suite

Merci à vous trois pour commenter et suivre cette nouvelle fic! Voilà, le chapitre 1, j'avoue que j'ai un peu hésiter à l'écrire parce que j'avais quelques petits problèmes de santé et que d'habitude, je n'écris pas quand je suis malade, mais bon vous aviez l'air de tellement tenir à cette suite que j'ai décidé de la poster, parce que je ne voulais pas vous faire attendre plus...

Chapitre 1 :
Sur la route menant à Sacramento en partant de San Francisco, Californie, United States of America, à la nuit tombante

-Lisbon, attendez ! J’ai un mauvais pressentiment ! entendis-je Jane me hurler, lorsque j’introduisis mes clefs sur le contact pour démarrer. J’ignorais, délibérément, l’avertissement que mon consultant venait de me lancer et j’appuyais du pied gauche sur la pédale.
-Lisbon, je vous en prie, je tiens à vous ! Ecoutez-moi, il y a va probablement de votre vie !
Rien au monde, même pas les cris de l’ex-médium, ne pourrait déconcentrer de cette affaire et de la route que je suivais, ou du moins c’était ce que j’imaginais, à cette époque. Mes beaux yeux verts émeraude toujours rivés sur la route, je pris la parole, excédée par les mystérieuses paroles de Jane :
- Jane, de quel pressentiment parlez-vous, donc ? Votre discours est inexplicable !
Ce fut au tour du Blondinet ne pas me répondre, de m’ignorer, et, se penchant par-dessus mes jambes, il inspecta la boîte de vitesse, avec une grande minutie, à la recherche de... Soudain, je réalisais que seul lui le savait et que les investigations de mon partenaire m’échappaient totalement.
-Au lieu de faire le pitre, vous feriez mieux répondre à ma question et de ne pas gigoter comme vous le faites, vous risquez de provoquer un accident ! m’emportais-je.
Le Mentaliste se releva, lentement, et me répondit, butant sur les mots, tant ses paroles lui enfonçais presque un poignard dans le cœur « Vos..Votre… » mais, il put achever sa phrase car lorsque j’amorçais le virage, je ne parvins pas à contrôler la trajectoire de ma voiture banalisée et cette dernière fit une embardée violente avant de sortir de la route tracée en faisant une longue série de tonneaux. Au risque de se blesser gravement, mon consultant donna des coups de coude dans les vitres pour tenter de sortir. Cependant, au même moment, le véhicule amorça une deuxième série de tonneaux, obligeant Jane à rester à l’intérieur de l’habitacle. A chaque tonneau, ma tête heurtait le pare-brise.
-Jane, c’est le moment ou jamais de trouver une solution pour nous sortir de là ! essais-je d’articuler.
-Ne vous inquiétez-pas, Lisbon, j’y travaille, j’y travaille…
-Vous avez plutôt intérêt, Jane ! pensais-je à haute voix. Aveuglée par mon propre sang, je ne pus point voir la réaction de Jane, quand je perdais connaissance, mais je pus clairement l’entendre crier, une pointe de douleur dans la voix :
-Teresa !
Le dernier mot que j’avais entendu avant de sombrer dans une obscurité profonde, fut mon prénom, plus hurler que prononcer, par l’homme auquel je tenais le plus.
Ma dernière vision ? Un long rideau rouge de mon propre sang qui m’obstruait, progressivement, la vue et m’empêchait en partie de respirer correctement.

TO BE CONTINUED

Euh j'aime beaucoup ce premier chapitre, j'ai juste un petit problème avec l'un des passages...

Teresa Lisbon a écrit: A chaque tonneau, ma tête heurtait le pare-brise.
-Jane, c’est le moment ou jamais de trouver une solution pour nous sortir de là ! essais-je d’articuler.
-Ne vous inquiétez-pas, Lisbon, j’y travaille, j’y travaille…

Ils me paraissent quand même bien tranquils pour deux personnes qui se retrouvent dans une voiture en tonneaux et la tête claquant dans le pare brise...

Bref, mis à part ça, c'est un super chapitre, j'ai hâte de voir comment tu vas continuer ça

Super fic !
Très prenante !
Alors...:

VLS !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je vous remercie toutes et tous pour lire et commenter cette fiction. En ce qui concerne les incohérences du chapitre précédent, j'en suis désolée mais j'étais malade et plus fatiguée que d'habitude donc je n'ai pas vraiment attention à écrire un chapitre qui soit cohérent parce que tout ce dont j'avais envie c'était d'écrire. J'espère que celui-ci sera plus cohérent que le précédent. Pour cette fois, je tente un nouvel exercice de style (peut-être déjà pratiqué par d'autres membres): écrire du POV de Lisbon, devenue amnésique suite au Syndrome de Stress Post Traumatique dû à son accident. Et, pour ceux que ça intérresse, il y a du Jisbon au programme de ce chapitre...

Chapitre 2 :


Hôpital central, chambre 1906, Fairfield, Californian State , United States of America


A mon réveil, je fus étonnée de trouver un bel inconnu blond aux yeux bleus acier, ayant entre 30 et 40 ans. Ce dernier m’expliqua, assez tranquillement, que j’ai avais eu beaucoup de chance d’en réchapper mais lorsqu’il commença à annoncer que l’accident n’en était pas un, selon lui, et que d’après les médecins celui-ci risquait de me laisser des séquelles potentiellement irréversibles, le sourire chaleureux, qu’il affichait, quelques minutes plus tôt, disparut, avant d’être remplacé par deux larmes solitaires, que le Blondinet chassa du bout des doigts. Affaiblie par mes blessures, je murmurais avec grandes difficultés :
-Qui êtes-vous ? Et qu’entendez-vous par cet accident n’en était pas un ? Je butais sur le mot « accident », comme si le simple de fait de le prononcer me le faisait revivre.
-Jane, Patrick Jane, consultant au CBI, dans votre Unité : les Crimes Majeurs. L’accident dont je parle est celui dans lequel vous avez manifestement perdu la mémoire, Lisbon. Cependant pour moi, comme je l’ai dit auparavant, cet accident n’en est pas un. Je crois qu’un mystérieux individu ou un groupe de mystérieux individus souhaite votre mort, bien que, pour le moment, je ne sache pas qui ni pour quelle raison me répondit l’homme qui se faisait nommer Jane, visiblement blessé que je ne le reconnaisse pas.
-Si vous êtes Consultant officiel des forces de police, comme vous le prétendez, vous devriez savoir que les preuves sont bien plus importantes que de simples spéculations lui répondis-je.
Mon Consultant, ou plutôt celui qui se disait être mon consultant, devrais-je dire, plongea, avec un délice peu trop manifeste et trop appuyé pour être convenable, sans doute, me sembla-t-il, son séduisant regard bleu métallique dans mes iris verts émeraude, pendant un moment, qui me parut être une éternité. Alors qu’aucun de nous deux n’ajoutait ne serait-ce qu’un mot supplémentaire, j’aperçu l’ombre du certain Patrick Jane se pencher vers moi et prendre possession de mes lèvres. Pourquoi ma première réaction, alors que je pensais ne pas connaître l’homme qui me volait si hardiment un baiser fut de le lui rendre ? Je ne saurais dire. Toujours est-il que lorsqu’il s’allongea sur moi et tenta d’aller plus loin que de simples baisers, je le repoussais violement, en reprenant la parole :
-Qui vous soyez ou prétendez être, apprenez et sachez rester à la place qui est la vôtre ! Je laissais la colère percer dans la réponse qui fusa, impitoyable et inébranlable, suivant immédiatement le silence qui régnait depuis quelques minutes. L' homme fut légèrement troublé par sa chute.
-Tessa, je ne te reconnais plus…pensa-t-il, à haute voix de manière à ce que je l’entende, toute en se relevant. Bien que je n’eus aucun souvenir que quelqu’un m’ai jamais appelé par ce prénom, mon trouble lorsque le grand blond le prononça fut toute à fait visible.


TO BE CONTINUED

Oups, j'avais raté le premier chapitre
Deux chapitres que j'aime beaucoup, après la perte de mémoire de Jane, il fallait bien faire la même situation pour Lisbon !

Toujours est-il que lorsqu’il s’allongea sur moi et tenta d’aller plus loin que de simples baisers, je le repoussais violement, en reprenant la parole :
-Qui vous soyez ou prétendez être, apprenez et sachez rester à la place qui est la vôtre !

Mais...mais...fallait pas le repousser ! Blasphème !
Hate de voir comment ils vont gérer la perte de mémoire de Lisbon, vivement la suite !
Bravo

wow wow wow Je te tues maintenant ou plus tard? Euh je te laisse finalement la vie sauve pour avoir la suite

Non non non non non non !!!! Comment as tu pu arrêter une telle scène JISBON ?!!!! Sacrilège !

J'ai hâte de voir comment tu vas gérer la perte de mémoire de notre chère Lisbon et mine de rien j'aurais voir une scène comme ça pendant la perte de mémoire de Jane

Enfin bref, hâte de voir la suite quoi !

Je remercie toutes celles qui ont pris le temps de me lire et spécialement Riza (sans l'aide de qui ce chapitre n'existerait pas dans son intégralité).
@Sarah: je pense que tu vas encore plus me tuer si tu lis la suite, mais je la poste tout de même...
Donc pour ce troisième chapitre, de nouveau du Jisbon et, désolée mais c'est ma spécialité, du drama...
Petite présicion, si vous voulez la suite, par pitié ne commettez de meurtre...

Chapitre 3 :
Hôpital central, chambre 1906, Fairfield, Californian State , United States of America

Ne faisant aucun cas de ce trouble, il en profita pour me voler un autre baiser. Cette fois, je ne cherchais pas à lui opposer une résistance quelconque, trop surprise pour en être révoltée. Il se fit entendre un « hum » assez bref, comme de quelqu’un qui voudrait s’éclaircir la voix, avant de parler.
-Je vous dérange, peut-être ? interrogea une voix féminine, qui semblait venir de l’entrée de la chambre d’hôpital. Nos lèvres se séparèrent et, me tournant vers la porte entrouverte, j’aperçu une jeune femme métis. Jane, ou peu importe comment il se fait appeler, fut plus prompt que moi à répondre :
-Oui
-Non, Madame ! m’empressais-je de rectifier, une fois qu’il eut fini de parler.
-Jane, Senior Special Agent Lisbon ! nous salua, brièvement, la nouvelle venue.
-Agent Hightower ! répondit le blondinet, en s’inclinant, respectueusement, devant elle.
-Je venais simplement pour savoir comment allait Teresa et savoir où en est l’enquête.
-Je vais bien, merci, Madame mais...
-Certainement pas, vous êtes loin de bien vous porter, Lisbon : Vous avez frôlé la mort, perdu la mémoire et peut-être de manière irrémédiable ! s’emporta notre interlocuteur, me coupant la parole. Malheureusement, l’enquête en est toujours à son point mort, agent Hightower acheva-t-il.
Une nouvelle voix, venant de l’entrée, brisa le silence, qui régnait depuis que le Blondinet avait terminé de donner sa réponse à l’agent Hightower:
-Veuillez m’excuser de vous déranger mais je dois vous informer que les heures des visites sont finies.
Cette phrase sortie de la bouche de cet inconnu sembla sonner faux pour l’homme qui se prétendait être mon consultant mais pas pour Hightower, qui s’exécuta. Ou bien Hightower avait également compris que le grand brun aux yeux noisette, qui se tenait devant nous, en blouse blanche, n’était pas comme infirmier, et souhaitait-elle l’empêcher de s’enfuir, le cas échéant ?
-Monsieur, s’il vous plaît…intervint le Brun, sur ton trop insistant pour être naturel.
-Vous n’êtes pas plus infirmier ou docteur que je ne suis flic ! Un ton de défi perça dans la voix du beau blond aux yeux bleu acier, lorsqu’il prononça ces paroles.
-Effectivement, Monsieur Jane, vous êtes gênant pour les plans du grand patron…et pour cette raison vous devez disparaître de la surface de cette Terre ! A ces mots, le faux infirmier dégaina un Colt, visa son interlocuteur et appuya sur la détente, sans hésiter. Une seule et unique balle siffla dans les airs et ne manqua pas sa cible. Lorsque je vis le blondinet s’écrouler dans son propre sang, je ne pus retenir un cri de souffrance :
-Jane ! Non !
On dit qu’un choc peut vous faire perdre la mémoire et un autre la retrouver. Je ne saurais pourtant pas dire plus précisément pourquoi voir l’homme de ma vie, entre la vie et la mort me fit, brusquement retrouver la mémoire. L’agresseur de l’ex-médium s’enfuit. Prostrée par l’étonnement et pensant que ma patronne avait dû bloquer les issues, je ne cherchais pas à poursuivre le criminel, je m’agenouillais devant mon consultant.
-Patrick, je t’en supplie ne me quitte pas, je tiens à toi, je t’aime ! m’exclamais-je, au bord des larmes, tentant de contenir l’hémorragie, en colmatant les plaies de mes deux mains. La détresse perça dans ma voix. Jane, qui dans un contexte normal, aurait toutes les raisons de s’étonner de cette déclaration et de l’emploie du tutoiement, plongea son regard dans le mien, en me répondant par un « Je t’aime » qui me brisa le cœur, avant que ses magnifiques yeux bleu acier ne s’éteignent. Je laissais couler mes larmes, puis les chassais de mes mains rougies, y mêlant le sang de l’homme que j’aimais et que je venais, certainement, de perdre.

TO BE CONTINUED

alors la! non! c'est hors de question que ca finisse comme ca! la suite tout de suite! dsl mais c'est pas possible! kiss

Ne tues pas Jane, I beg you, don't kill JAne !!!! My Jane can't die !!

Bref, après ce petit coup de blues, un super chapitre encore ! Pourquoi le brun ? Qui est-ce?

Et le baiser Soo Jisboon

Je rejoins Sarah : Comment tu as pu nous faire ça ?!?
Nan, je blague, c'est toujours bien de glisser du drama dans une fiction
J'aime beaucoup cette suite, et je reste persuadée que le "certainement" à la fin n'est pas là par hasard !

Bravo , et n'hésite pas à me demander si tu es en panne d'inspiration !
Vivement la suite !

Merci à vous trois pour lire et prendre le temps de commenter ma fanfic, ça me fait trés plaisir!
M'est avis que ce chap va vous plaire, non seulement par qu'il y a encore du Jisbon mais également parce que (oups, je vais spolier, je vous laisse découvrir par vous-même)

Chapitre 4:

Hôpital central, chambre 1906, Fairfield, Californian State , United States of America


Je ne serais dire combien de temps je restais ainsi prostrée, devant un Jane toujours aussi inanimé que précédemment. Je pouvais croire que mon consultant se trouvait devant moi, sans esquisser un seul mouvement. M’aurait-il quitté pour toujours ? Non, ce pas possible ! Avec toute l’énergie du désespoir, j’administrais un massage cardiaque à Jane. Lorsque j’arrivais à la cinquième pression, il me sembla que tout été perdu, à jamais. Je me penchais pourtant en direction du charmant visage de l’ex-médium et mes lèvres cherchèrent les siennes, pour tenter de lui insuffler un serait un seul départ de souffle de vie. Je recommençais la même manœuvre, jusqu’à ce que je visse mon consultant ouvrir, délicatement, ses beaux yeux océan, que j’avais craint de ne pas revoir avant ma propre mort.
-Lisbon…l’entendis-je murmurer, encore à demi-inconscient. Je laissais couler des larmes de joie, en embrassant Jane, longuement. Le Mentaliste me rendit mon baiser et tenta de se lever.
-Jane, doucement, tu dois encore être faible. Tout en disant ceci, j’aidais le Blondinet à se remettre sur ses pieds, en passant ses bras autour de mon cou.
-Merci, Tessa. Où en est l’enquête ? chuchota-t-il, lorsqu’il fut debout, me faisant face. Je me troublais, légèrement, n’ayant pas le souvenir d’avoir entendu Jane m’appeler de cette manière. Mais je repris, assez rapidement, constance et repris la parole :
-Jane, je pense que tu devrais rester en dehors de cette enquête, le temps pour toi de reprendre des forces…
Comme je pouvais m’y attendre, la réponse de mon consultant fut la suivante :
-Je regrette, je reste sur cette enquête : tu as failli y perdre la vie ! Je ne resterais pas là les bras croisés, alors que celui qui a tenté de te tuer court toujours dans la nature !
-Jane toi aussi tu failli y perdre la vie ! Je tiens à toi, je ne te laisserais pas risquer de mourir une fois de plus ! m’emportais-je, laissant ma voix se teinter d’inquiétude.
Mon consultant hésita car savait-il, certainement, que j’avais raison cependant les arguments qu’ils m’avaient opposés étaient, eux aussi, tout à fait valables. Mais il finit par accepté, avec force réticences de rester. Je jetais un dernier regard dans sa direction, avant de me rendre à la porte pour me lancer à la poursuite de son agresseur.
-Reste-ici, Jane. Je n’évoquais pas le mystérieux brun qui s’était fait passé pour un membre du corps médical et avait tenté d’assassiner Jane par la suite, mais mon consultant comprit que si j’avais choisi de continuer à enquêter sans son aide, pourtant importante et utile au plus haut point, c’était qu’il était trop impliqué dans cette investigation pour ne pas laisser interférer ses sentiments personnels.
-Fais attention à toi, Tess me supplia-t-il, en ancrant, amoureusement, son regard dans le mien.
-Ne t’inquiète pas, Jane, je n’ai pas besoin de protection : je suis flic, je suis ma protection. Mais toi, tu en a besoin répondis-je, en dégainant mon Glock 19 et lui tendant ma seconde arme de service pour qu’il puisse se défendre, si jamais le faux infirmier revenait, dans le but d’achever la sombre besogne qu’il avait commencée. Avant que je m’élance, définitivement, dans les obscurs couloirs de l’hôpital, dans le but de retrouver celui qui avait failli me priver de l’homme de ma vie, le beau blondinet aux yeux bleu acier pour qui mon cœur battait se jeta dans mes bras et me vola un rapide baiser.
-En guise d’adieu me murmura-t-il, lorsque je franchis la porte de sortie de la chambre d’hôpital. Je me retournais, en lui souriant, sachant que son baiser en disait plus long qu’il ne voulait bien l’admettre.

TO BE CONTINUED

J'aime beaucoup ton chapitre mais néanmoins quelque chose me turlupine Je trouve que Jane est bien en forme pour quelqu'un qui s'est fait tirer dessus non ?

Mis à part ça un bon chapitre, contente que tu ais laissé mon Jane en vie !

J'aime toujours cette suite !
Juste un truc, comme Sarah, je trouve que Jane s'en remet un peu trop rapidement. Il vient tout juste d'échapper à la mort, et il pense tout de suite à l'enquête...
Enfin, ce n'est pas très dérangeant non plus !
Bravo, j'ai hâte de lire la suite

Merci à vous deux pour suivre cette fanfic, Sarah et Riz' et excusez-moi pour vous avoir fait attendu tant de temps avant de poster la suite, j'avais oublier que le suivant chapitre était fini...heum bref,je vous laisse découvrir la suite de cette fic mais

Spoiler:

en tous les cas, je vous souhaite une trés bonne lecture.

Chapitre 5 :



Couloirs de l’hôpital central de Fairfield, Californie, USA

Arrivée au premier embranchement, après la chambre, où se trouvait toujours Jane, j’aperçu le faux infirmier prendre le virage, en courant, sans prendre en compte le personnel médical s’affairant à diverses tâches.
-CBI ! Arrêtez-vous ! lui ordonnais-je, courant à sa suite et mettant en évidence ma plaque. Mais le suspect ne m’obéit pas et continua sa course, sans se soucier que je le poursuive toujours. Au bout de quelques heures, nous arrivons à l’escalier qui permettait d’accéder à la sortie de l’édifice.
A l’entrée de l’hôpital de Fairfield, Californie, USA
L’agresseur de mon consultant franchit la porte vitrée et tomba, littéralement, sur l’agent Hightower, qui était postée en faction devant l’entrée du bâtiment. Ayant franchi la porte, presque au même moment que lui, je le relevais et lui passa les menottes, annonçant :
-Vous êtes en état d’arrestation pour tentative d’assassinat sur un consultant officiel des forces de police. Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous devant un tribunal. Vous avez le droit de réclamer un avocat, si vous n’en avez pas, un vous sera attribué d’office. Avez-vous compris les droits qui vous sont notifiés ? interrogeais-je, alors. Le brun me regarda, pendant un moment, de ses yeux émeraude, qui me semblaient si familiers, mais il ne prit pas la peine de me répondre. Lorsque mes yeux croisèrent les siens, je reconnu mon plus jeune frère, James. La surprise me cloua sur place.
-Pourquoi, Jamie ? Pourquoi avoir essayer d'assassiner mon consultant ? Les larmes me montaient aux yeux tant ces évènements étaient douloureux et me paraissaient absurde : j’étais dans l’obligation d’arrêter mon frère pour tentative de meurtre sur l’homme de ma vie. Ma stupeur et ma souffrance furent à son comble quand la réponse de James me parvint aux oreilles :
-Il me l’avait demandé et m’a menacé de mort si je ne m’exécutais pas. Ton consultant en savait trop sur cet accident que le grand patron avait orchestré pour vous empêcher de découvrir son identité…
-Qui est ce « il » ? parvins-je à demander, bien que je fusse tourmentée.
-Bob Kirkland. Il s’est présenté à moi en tant que Bob Kirkland, disciple de John Le Rouge…
-L’identité de John Le Rouge ?
-Il se nomme…Non, je ne peux pas. Kirkland m’a menacé de mort, si je révélais l’identité du patron…
-Son nom, James ?! Si John Le Rouge ou un de ses disciples essaye de se débarrasser de toi, je te protégerais…
-Non…Non…Je ne peux pas ! paniqua-t-il, effrayé à l’idée que Kirkland ou John Le Rouge sache qu’il ait avouer, partiellement.
-Inutile d’insister, Senior Special Agent Lisbon. Amenez le suspect au CBI ! m’ordonna Madelaine Hightower. Je lançais un ultime coup d’œil au bâtiment se trouvant dans mon dos et interrogeais : « Et Jane ? », silencieusement, d’un simple regard.


TO BE CONTINUED

Cool, un nouveau chapitre !
Dans le genre chapitre en retard, je suis aussi à blâmer, ne t'inquiètes pas ! Mais ce n'est pas grave du tout !

et tomba, littéralement, sur l’agent Hightower

Et bam, comment rater une tentative de fuite en beauté !

je reconnu mon plus jeune frère, James

Ca je ne m'y attendais absolument pas ! Côté rebondissements, tu es très forte !

Bob Kirkland. Il s’est présenté à moi en tant que Bob Kirkland, disciple de John Le Rouge…

C'était couru d'avance, vu à quel point ce type est louche dans la série (même si je ne pense pas qu'il soit RJ ou un complice du tueur, je le vois plus comme un homme dans la même situation que Jane, cherchant à se venger du meurtre d'un proche, meurtre bien évidemment commit par John le Rouge) ! Mais la personne qui s'est présenté à lui est-elle bien Kirkland ? Bah oui, on ne sait jamais... Faut bien élaborer des théories, mêmes les plus douteuses...

Bref, j'aime beaucoup cette suite et j'ai hâte de lire la suite ! Bravo !

Alors je viens de découvrit ta fic et je la trouve vraiment mais vraiment bien j'ai vraiment hate de connaitre la suite

Merci à toutes celles et ceux qui m'ont lu, qu'ils aient ou non laisser des commentaires. Voici la suite de cette fanfic.

Chapitre 6 :


Une salle d’interrogatoire, locaux du CBI, Sacramento, Californie, USA, trois mois plus tard


Trois mois, qui m’avaient paru être trois ans s’étaient écoulés depuis que James, mon cadet, sur ordre indirecte de John Le Rouge avait tenté de me priver de l’homme de ma vie. La porte de la salle d’interrogatoire tourna, lentement, sur ses gonds, livrant passage au séduisant charlatan et me ramenant, par la même occasion au moment présent et à la réalité. Je m’ éloignais du mur du fond, auquel je me tenais adossée attendant que mon frère me donne l’identité du tueur au smiley, et me dirigeais dans la direction du nouveau venu. Je me jetais dans ses bras, l’enlaçais et resserrant mon étreinte, je l’embrassais, longuement.


Le Mentaliste me rendit mon baiser, passionnément puis sépara ses lèvres des miennes et me murmura, tandis qu’il passait ses bras autour de ma taille :
-Il me semble que tu as un interrogatoire à reprendre…
-Avec un suspect aussi peu coopératif ? interrogeais-je sur le même ton, désignant Jamie, qui semblait être accablé et toujours aussi muet qu’au début de cet interrogatoire, environ trois heures auparavant.
-Et, pourtant, j’aime te voir t’emporter contre les suspects récalcitrants.
-Je ne te ferais pas ce plaisir, Patrick, le taquinais-je, amoureusement. Quoiqu’il en soit, je ne pourrais rien obtenir de lui. Et, je dois interroger la mère de la victime, Elizabeth achevais-je.


Domicile d’Elizabeth Gibbson, Sacramento, Californie, USA


-Madame Gibbson, CBI ! Ouvrez !
Une femme entre 50 ans et 60 ans, vint, ouvrir la porte et parut sur le seuil de sa demeure.
-Que puis-je pour vous ? interrogea-t-elle. J’hésitais longuement avant de répondre, sachant ce qu’Elizabeth pourrait éprouver si je lui disait qu’un psychopathe avait mis fin aux jours de Jake mais, pensant qu’elle méritait de connaître le sort de son fils plutôt que de rester dans l’incertitude, ce qui, généralement, s’avérait être plus douloureux, je repris la parole :
-Votre fils a été retrouvé assassiné, il y a quelques mois de cela, à San Francisco.


Elizabeth resta silencieuse un moment, tant la nouvelle qu’elle venait d’entendre l’étonnait et la faisait souffrir. Cependant, elle finit par demander, difficilement :
-Sa…savez-vous qui a fait ça ?
-Je regrette nous n’avons pas le droit de divulguer les détails de l’enquête, Madame.
-Je comprends, Agent Lisbon, mais j’aimerais savoir qui est le meurtrier de mon fils. Sa voix se brisa sur les derniers mots qu’elle venait de prononcer.
-John Le Rouge a posé un contrat sur la tête de votre fils. Nous avons déjà arrêté l’intermédiaire. Ce qui nous intéresse est de connaître l’identité de RJ intervint le Blondinet.
« Il est vraiment irrécupérable. Il suffit de lui dire une chose pour qu’il fasse immédiatement le contraire » ne puis-je m’empêcher de penser.


TO BE CONTINUED

Vivement la suite!

En piste pour le chapitre 7!

Avant tout, je voudrais remercier toutes celles qui suivent cette fanfic.

@Lo: 1) Il ne me semble pas avoir dis que Jane avait été gravement blessé

2) Lisbon avait besoin de Jane.
Et je suis désolée, pour la mise en page différente mais je ne maîtrise pas trop le nouveau systéme de post...sinon, une bonne lecture à vous!  

 




Domicile d’Elizabeth Gibbson, Sacramento, Californie, USA


Elizabeth Gibbson, sembla réfléchir pendant un moment, et reprit la parole :



-Je regrette mais je ne connais pas l’identité de ce John Le Rouge que vous recherchez.


-Vous savez, peut-être si votre fils avait des ennemis ? intervins-je, espérant, avoir une réponse positive, sans doute, moins pour en finir avec cette investigation que pour me retrouver seule avec Jane, pour quelques instants.



-Des ennemis, il ne me semble pas. Mais il avait eu un conflit avec un collègue, il y a quelques années répondit Elizabeth.



-L’avait-il menacé de mort, à l’époque ? demanda Jane.



-Une ou deux fois



-Le nom de ce collègue, Madame Gibbson ? interrogeais-je, alors.



-Scott O’Donnell, il me semble Senior Special Agent.



-Savez-vous où non pouvons le trouver ?



- 45 rue Jefferson Davis, à San Francisco, Mr Jane.

Jane devint presque livide. Si O’Donnell était Red John, rien ne me garantissait que Jane ne fasse pas passer, une fois de plus, sa vengeance, en premier lieu et rien ne non garantissait qu’O’donnell ne récidive et tente de nouveau de se débarrasser de nous.

-Merci de votre coopération, Madame Gibbson. Restez en ville, nous aurons peut-être de nouveau besoin de vos services pendant cette investigation intervins-je.

 

Openspace, locaux du CBI, Sacramento, Californie, USA

 

-Jane ! Mais qu’est-ce qui vous a pris de l’informer du déroulement de l’enquête ?! Il aurait dû rester confidentiel ! m’emportais-je.

-Si j’avais été à la place d’Elizabeth vous en auriez fait de même. Quoi qu’il en soit, elle avait le droit de savoir et sans mon aide, vous n’auriez pas obtenu le nom d’O’Donnell !

-Ça aurait pris le temps qu’il fallait mais j’aurais trouvé ce nom !   Si vous refaites une seule autre faute, vous êtes viré sans préavis, Patrick !

TO BE CONTINUED