Re: Tears Of Blood [Spolier saison 5] ^

**LOjisbonVE** Sam 22 Juin 2013 - 14:23

Ta suite est sympa, j'aime bien smile1

.
Mais pourquoi cet homme serait R.J ? Ce n'est pas par ce qu'il a menacé la victime que c'est John Le Rouge. Et même si c'était il y a plusieurs années Elizabeth se souvient encore de l'adresse exacte, c'est... Etrange. Bref, vivement la suite. smile1

**Teresa Lisbon** Sam 22 Juin 2013 - 21:05

Deux chapitres pour le prix d'un, vous avez de la chance ce soir, mes chers readers...
Donc,avant de vous laissez lire ce chapitre 8, qui devrait être l'avant dernier de la partie I, je tiens à remercier tous ceux et celles qui prennent le temps de lire mes chapitres et spécialement Lo' pour ses commentaires.
Lo' : Effectivement, il n'y a, pour le moment,aucune garantie qu'O'Donnell soit RJ et pourtant...tu découvriras dans ce chapitre si tu as raison ou pas. S'il l'est, tu aura l'explication du "pourquoi ?" dans le dernier chapitre de cette partie I, soit le 9 qui devrait arriver, dans pas longtemps...Bref, maintenant, je pense que je vous ai assez raconter ma vie, non ? donc je vous laisse découvrir cette suite, en vous souhaitant une bonne lecture

Openspace, Locaux du CBI, Sacramento, Californie, USA

-Il y a dix ans, ma place de consultant avait de l’importance à mes yeux car elle me permettait d’accomplir ma vengeance mais aujourd’hui, tout ce qui compte pour moi, c’est vous : je vous aime Teresa. Alors, vous pouvez me priver de ma plaque de consultant, ça m’est bien égal, tant que je peux rester à vos côtés.

La voix de l’ex-médium se radoucit, brusquement, lorsqu’il prononça ces dernières paroles. Il se pencha, lentement, vers moi et, avant que je n’aie pu dire un seul mot, il me vola un baiser. Je lui rendis son baiser, dans un automatisme, que l’on n’aurait pas tort de qualifier de volontaire. Au bout, de quelques longues minutes, je me séparais de Jane et reprit la parole, laissant un sourire éclairé mon visage, ayant oublié ma colère et surtout ne voulant pas laisser traîner l’investigation en cours :

-Ce me semble que Mister O’Donnell attend notre visite…

Le Mentaliste sourit, à son tour puis répondit :

-Bien sûr.

Demeure de Scott O’Donnell, San Francisco, Californie, USA

-Monsieur O’Donnell ! CBI, Ouvrez ! ordonnais-je, frappant d’une main contre la porte et tenant mon arme de service, canon vers le sol, de l’autre.

-Qui êtes-vous et que puis-je pour vous ? interrogea le rouquin de petite taille qui parut sur le seuil.

-Senior Special Agent Teresa Lisbon et Patrick Jane. Nous enquêtons sur le meurtre de votre collègue, Jake Gibbson l’informais-je, en montrant ma plaque.

-Nous avons besoin de quelques confirmations, maître O’Donnell. Selon, la mère de la victime vous l’auriez menacé, pourquoi ? intervint le grand blond aux yeux bleus métallique

-C’est exact, Monsieur Jane.

-Pouvez-vous nous en dire la raison ?

-Le courroux m’avait pris, Senior Special Agent tenta-t-il de se justifier.

-Vous avez donc décidé de mettre vos menaces à exécution ?

-Absolument pas, on dit tous des paroles que l’on regrette sous le coup de la colère. Les menaces de mort à l’égard de Jake faisaient partie de celles-ci, je ne l’ai pas tué ! s’emporta-t-il.

-Pouvons-nous savoir où vous trouviez, lorsque le crime a eu lieu ? répliquais-je.

-Je…Je n’ai aucun alibi bredouilla-t-il.

-Si vous n’avez pas d’alibi vous avez peut-être un mobile ?

L’intéressé ne répondit pas. Se sentait-il deviner ou bien était-il vraiment innocent et personne ne pouvait le confirmer ? L’homme baissa la tête.

-Avez-vous, oui ou non assassiner maître Gibbson ? Et dites-nous la vérité, pour une fois, O’Donnell !

-Je viens de vous le dire, Senior Special Agent, je n’ai pas tué Jake mais personne ne peut le confirmer !

« Etrange, étrange… » pensais-je. Puis je repris à haute voix :

-Vous retrouvez en garde à vue, vous délira certainement la langue, Scott O’Donnell ou devrais-je dire Red John ? A ces mots, je sortis une paire de menottes, les passais aux poignets du rouquin et annonçait : « vous êtes en état d’arrestation, vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz pourra et sera retenu contre vous devant un tribunal. Vous avez le droit de réclamer un avocat, si vous n’en avez pas un vous sera alloué d’office. Avez-vous compris les droits que je viens de vous notifier ? ». Le suspect ne prit pas la peine de me répondre par des mots et découvrit ses dents blanches en sourire carnassier, qui me conforta dans l’hypothèse qu’O’Donnell était bien le serial killer que Jane poursuivait depuis une décennie.

TO CONTINUED

Caroline18121995 Sam 22 Juin 2013 - 23:47

Bonsoir

Je viens de découvrir ta fic, qui pourtant a commencé depuis un petit moment mais j'avais délaissé le forum pendant quelques mois à cause du BAC mais me revoilà pour de bon et j'ai été agréablement surprise en lisant Tears Of Blood, au moins j'ai pu dévorer plusieurs chapitres d'un coup !

J'aime beaucoup, et j'attend la suite avec impatience Very Happy

**Teresa Lisbon** Lun 24 Juin 2013 - 21:28

Ce soir se clôt, donc la première partie de cette fiction...
Tout d'abord, je tiens à remercier tous ceux et toutes celles qui lisent mon oeuvre. Merci, en particulier, à toi, Caro' pour avoir pris le temps de commenter le chapitre précédent. Tu voulais la suite et bien, tu vas être servie...Je ne vais pas vous résumé le chapitre, sinon, je spolie et, bien que j'adore lire des spoliers, je sais que ça peut en énerver certain ou certaines donc je m'abstiens mais ce que vous devez savoir c'est que est de retour, pour pire, biensûr...mais rassurez-vous, personne ne meurt...enfin, je vous souhaite une bonne lecture!

Chapitre 9:

Salle d’interrogatoire du CBI, Sacramento, Californie, USA

J’entrais dans la salle, suivit de près par mon consultant.

-Alors, Monsieur O’Donnell ? Disposé à nous dire la vérité ? demandais-je, posant le folder que Van Pelt avait trouver sur lui, sur la table, en face de moi.

Le rouquin ne me répondit pas mais me défia du regard.

-Etes-vous, oui ou non, John Le Rouge ? demandais-je, en faisant de même.

-Si je l’étais pourquoi vous le dirais-je ? me répliqua-t-il, d’un air assuré. Brusquement, un sourire sadique se dessina, brièvement, sur ses lèvres et il sortit de sa poche, un poignard dont la lame luisit dans la mi- pénombre de la pièce.

-Lâchez votre arme ! lui ordonnais-je. Loin de s’exécuter, Scott O’Donnell lima, consciencieusement, ses menottes avec sa lame. Mais, je ne prêtais d’attention qu’à mon consultant qui s’approcha, lentement de moi, dans mon dos, en murmurant : « tu n’obtiendras rien de lui, Teresa. Mais je peux te garantir qu’il s’agit bien de Red John ». Un bruit de ferraille résonna, alors, sur le froid sol. Je compris, instantanément, que RJ avait profité de mes fractions de secondes d’inattention pour se libérer. Le rouquin se rapprocha de nous, à pas de velours, levant le bras qui tenait la dague. Il abaissa, rapidement, celui-ci dans ma direction.

-Teresa ! hurla Jane, en se jetant sur moi, mais trop tard, pour m’éviter de prendre le coup. La lame effleura ma joue droite, y laissant pourtant une marque assez profonde d’où mon sang coula. Sans que je me rende compte, je me trouvais, au sol, Jane, allongé sur moi et m’embrassant, passionnément. Au même instant, des pas résonnèrent dans les couloirs des locaux du CBI et Hightower fit irruption dans la salle d’interrogatoire, sans doute attirée par les cris de Jane. Madeleine garda le silence, stupéfaite de nous voir dans cette position puis, ayant repris sa constance ordonna :

-Senior Special Agent, dans mon bureau ! Jane, occupez-vous de finir cet interrogatoire !

Mon consultant s’exécuta, me libérant de son étreinte, et je fis de même, dirigeant mes pas vers le corridor, conduisant au bureau de l’Agent Hightower, et lançant un dernier regard à Jane.

Bureau de Madeleine Hightower, Locaux du CBI, Sacramento, Californie, USA

-Expliquez-vous ! Pourquoi vous ai-je retrouvée dans cette position compromettante avec votre Consultant ? Ces mots brisèrent, impitoyables, le silence que nous observions.

-Je…hésitais-je.

-Avez-vous, oui ou non, une liaison avec votre Consultant ?

Je ne cherchais pas à nier que ma relation avec Jane était plus que professionnelle et amicale.

-Dans ce cas, l’un de vous sera renvoyé ou devra être muté dans une autre unité, vous savez qu’une relation amoureuse entre deux co-workers est interdite.

-Ne vous donnez pas cette peine, Madame : je démissionne ! RJ est entre vos mains, désormais, je n’ai plus de raison de rester ici : Jane choisira certainement de faire de même et je ne saurais rester au CBI, sans lui. Et quoi qu’il en soit, je me suis rendue compte que ce comptait pour moi était de rester aux côtés de Jane.

Je posais mon arme de service et ma plaque sur le bureau de ma patronne. Hightower me signe que je pouvais disposée et je m’exécutais.

Salle d’interrogatoire, locaux du CBI, Sacramento, USA

Lorsque je fus de nouveau dans la salle d’interrogatoire, je constatais qu’elle était totalement vide : pas de trace de Jane ou de son Némésis… Sur la table, sur trouvait, gravé dans le bois, le fameux smiley. Il ne me fallut que quelques secondes pour reconstituer ce qui avait dû probablement se passer : John Le Rouge-O’Donnell s’était, certainement, profitant de ma conversation avec Hightower, enfui enlevant mon ex-Consultant, car je trouvais des traces de lutte…

-Où que sois, je te retrouvais, Patrick ! promis-je, laissant couler des larmes de rage et désespoir qui se mêlaient au sang, encore frais, de la balafre que RJ m’avait laissé en souvenir.

FIN DE LA PARTIE I TO BE CONTINUED :rj:

**Riza17200** Mar 25 Juin 2013 - 0:05

Désolé de ne pas avoir commenté les chapitres précédents, j'ai légèrement limité le nombre de fictions que je lisais, étant moi-même dans une grosse période d'écriture.

Je ne vais pas faire un gros commentaire, mais j'aime beaucoup l'évolution de l'histoire : John le Rouge enlevant Jane, la deuxième partie promet d'être intéressante !

Par contre, je ne sais pas si Lisbon démissionnerait sur un coup de tête, mais dans ce cas-là. Son travail, c'est quand même sa vie, je ne crois pas qu'elle l'abandonnerait aussi facilement...enfin bref, ce n'est pas très dérangeant. Wink

Bref, bravo pour ces trois chapitres et vivement la suite ! calin

**Teresa Lisbon** Mar 25 Juin 2013 - 20:04

Aujourd'hui, commence officiellement, la seconde partie de cette fiction, qui devrait être la dernière. Au départ, je l'avais pensé comme une autre fic, mais comme le début correspondait à peu prés à la fin de ce qui est, maintenant, la première partie de cette fic, j'ai décidé d'en faire la deuxième partie, en la modifiant juste un tout petit peu...
Avant que vous ne lisiez cette suite, merci à tous ceux qui lisent cette fanfiction! Et, spécialement, à Riz' pour prendre le temps de lire ma fic et de le commenter alors même qu'elle à un fic à écrire...
Riz' : Je pensais aussi de mon autre fliquette préférée, Beckett, ce que tu penses en ce moment de Lisbon, et pourtant elle à démissionnée aussi trés facilement. Tout ça pour dire que l'on peut être étonné(e) même par les personnages que l'on croit connaître...La suite disais-tu ? Eh! Bien, la voilà! Enjoy!

Partie II: L'étoile sanglante

Chapitre 10:

Domicile de Lisbon, Sacramento, Californie, USA

Si vous voulez revoir votre amant vivant

Suivez uniquement les indications que je vous donnerai ultérieurement

Mais ne cherchez pas à m’arrêter, une nouvelle fois, Senior Special Agent Lisbon (mais l’êtes-vous toujours ?) , autrement,

Je ne réponds pas la vie de votre consultant (ex-consultant ?)

Vous avez deux mois pour me retrouvez

Passé ce délai, je m’occuperai personnellement de Jane…

Signé : John Le Rouge

Après avoir lu la lettre que RJ avait poignardée sur la porte d’entrée, je tentais de la décrocher, avec peine, tant l’ultimatum que le serial killer m’adressait était lourd de sens et me brisais le cœur. Que devais-je faire ? Suivre la piste que John Le Rouge allait volontairement laisser ou bien tenter de retrouver Patrick par mes propres moyens, prenant le risque de ne jamais revoir celui que j’aimais ? Mais pouvais-je accordé ma confiance à un criminel ? Tiendrait-il, réellement sa parole, si je respectais ses conditions ? Cette lettre me posait plus de questions qu’elle ne m’apportait de réponses. Quittant, brusquement, mes pensées, je gardais la dague, que le tueur en série m’avait, si gracieusement offerte avec sa lettre, en prévision d’un affrontement avec lui. Je décidais, finalement, de demander l’aide de mes agents, ou plutôt ex-agents, rectifiais-je, automatiquement. Soudain, mon portable sonna.

-Lisbon me présentais-je, en décrochant.

-Patron, nous avons une nouvelle affaire m’annonça Wayne Rigsby.

-Même si je le voulais, je ne pourrais pas la prendre…J’ai démissionné.

-Vous avez quoi ?! s’étrangla presque mon interlocuteur.

-Démissionné, mais je vous expliquerais plus tard. En revanche, j’ai besoin de votre aide et de celle de Cho et Van Pelt répondis-je.

-Pour ? interrogea le grand brun.

-M’aider à retrouver Jane : Il l’a enlevé…parvins-je à dire, bien que d’en parler était comme un coup de poignard dans mon cœur. Rigsby ne releva même pas que je n’avais pas nommé Red John. Wayne resta un instant silencieux avant de reprendre :

-Aidez-nous à résoudre cette affaire, Patron, en échange, nous vous aiderons à le retrouver.

Je ne repris pas la parole, réfléchissant, à ce que j’allais dire. Qu’avais-je à perdre ? Je pouvais faire plus confiance à ceux qui avaient été mes subordonnés qu’à l’assassin le plus recherché de toute la Californie.

-Pas de problème, la localisation de la scène de crime ?

-36 avenue Grant, Sacramento.

TO BE CONTINUED :rj:

Caroline18121995 Mer 26 Juin 2013 - 12:26

Bonjour Teresa Lisbon coucou

Je suis vraiment désolée de ne pas avoir commenté ton chapitre précédent ! Mais je tiens à te dire, qu'évidemment, je lis toujours autant ta fic Wink

En ce qui concerne le chapitre 9, c'est vrai que c'est toujours surprenant quand on voit Lisbon démissionné mais, en effet, on est souvent surpris ! Qui sait ce qu'on est capable de faire, par amour ?
Par contre pour le chapitre suivant, en ce qui concerne la nouvelle enquête, est-ce que Lisbon aura vraiment le droit d'y participer sachant qu'elle ne travaille plus pour le CBI ? scratch

Bref, j'espère que Lisbon finira par vite retrouver Jane, parce que je n'aime vraiment pas le savoir entre les mains de Red John ! Ca ne me dit rien qui vaille pale

VLS

**Teresa Lisbon** Jeu 27 Juin 2013 - 21:47

Tout d'abord, merci à tous ceux qui prennent le temps de lire cette fic.
@Caro (permission de t'appeller comme ça?): T'as fini d'être surprise avec moi...enfin, bref, sinon je te remercie pour ton comm et tu n'as pas t'excuser de ne pas comenter tous les chapitres, c'est comme tu le sens. Si tu ne veux pas commenter un chap, libre à toi. Concernant Jane et :rj:

tu as raison Twisted Evil

(mais t'inquiéte pas, personne n'est mort...). Tu auras des infos sur Jane dans le chapitre suivant.
La suite, euh, je vous la poste maintenant, vous risquer d'être surpris, c'est tout ce que peux vous dire. Donc, voilà, je vous laisse lire donc enjoy!

Chapitre 11:

Le palier du 36 avenue Grant, Sacramento, Californie, USA

-Senior Special Agent Lisbon ? interrogea une voix, venue de mon dos, lorsque je m’apprêtais à frapper à la porte.
-Elle-même répondis-je, faisant un signe à mes agents de continuer quelques minutes sans moi et me retournant dans la direction du messager. Qui êtes-vous ? ajoutais-je.
-Phil Andrews, on m’a laissé ceci pour vous continua-t-il, en me tendant une enveloppe blanche, marquée du fameux smiley. Je n’osais même pas demander une confirmation de la provenance de ce pli, la marque écarlate indiquant que John Le Rouge en était probablement à l’origine.
-Savez-vous ce qu’il contient ? demandais-je d’une voix altérée.
-Une preuve que votre amant est toujours en vie : Il sait que vous ne lui faites pas confiance. Mais il ne peut vous en blâmer, après tout qui pourrait se fier à un criminel ?
-Je…je vous remercie, vous pouvez disposer, Monsieur Andrews répondis-je, en me saisissant de lettre que le jeune homme me tendait.
Phil ne se le fit pas dire deux fois et se retira, non sans laisser un sourire assez sadique au demeurant éclairer son visage. Restée seule, je défis, lentement, le pli et en sortis une lettre sur laquelle était inscrit, exactement les mêmes mots qu’avais eu Andrews, avant de me donner l’enveloppe. Au fond, se trouvait, également, un DVD. Mais que pouvait-il bien contenir ? Une preuve que Jane était encore en vie avait dit Andrews ? Mais dans quel état allais-je le retrouver ?

Je tentais de retenir mes larmes, lorsque je rangeais la lettre et le mystérieux DVD dans l’enveloppe, avant de la mettre dans une de mes poches. Je rentrais, alors, dans la maison, dont la porte était restée ouverte.

36 avenue Grant, Sacramento, Californie, USA

-Identité de la victime ? interrogeais-je, en me tournant vers mon équipe, ex-équipe.
-Anita Rodgers, 24 ans, étudiante en droit me répondit Kimball Cho.
-De la famille ? continuais-je.
-Non, ses parents sont décédés, il y a 5 ans mais elle avait un petit ami, Josh O’Donnell, le frère de…Rigsby s’arrêta au moment de prononcer le nom de Scott car il savait ce que nom signifiait pour moi.
-Cause de la mort ? intervint Van Pelt, en s’adressant au médecin légiste.
-Empoissonnement au cyanure de Potassium.
-Heure de la mort ?
-Vers 23 heures 30, Senior Special Agent.
-Arme du crime ? demanda, alors, le Coréen.
-Il n'y a aucune, la victime a absorber le poison, probablement en buvant son verre de vin assura le légiste, désignant le verre qui était posé sur la table.
-Savez-vous ou se trouve Josh O’Donnell ?
-32 Avenue de Dallas, Boss affirma le Grand brun.

TO BE CONTINUED :rj:

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