Red Disappearance [Finish] ^

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.

Lilith a écrit:

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.


Et pour la peine, Lilith va nous écrire un chapitre Chisbon rien que parce que vous l'avez frustrée en clamant partout que Jane était vivant!

Même réaction que sur msn mode ON :

PTDR comment t'as deviné ?

Mode OFF

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.


Et pour la peine, Lilith va nous écrire un chapitre Chisbon rien que parce que vous l'avez frustrée en clamant partout que Jane était vivant!

Même réaction que sur msn mode ON :

PTDR comment t'as deviné ?

Mode OFF

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.


Et pour la peine, Lilith va nous écrire un chapitre Chisbon rien que parce que vous l'avez frustrée en clamant partout que Jane était vivant!

Même réaction que sur msn mode ON :

PTDR comment t'as deviné ?

Mode OFF


On doit avoir un lien télépathique .

Clair ! xD
Surtout quand on voit les idées qu'on pond ou les avis qu'on a ! C'est toujours pareil !
Cho for ever ! Chisbon power ptdr

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:

Lilith a écrit:

Parce qu'à force de persister à croire que Jane est toujours vivant, vous m'avez frustré ! Même Van Pelt pense que Lisbon et Cho couchent ensemble alors pour la peine, vous devrez attendre. Puis de toute façon vous êtes pas au pièce puisque vous êtes anti-Chisbon.


Et pour la peine, Lilith va nous écrire un chapitre Chisbon rien que parce que vous l'avez frustrée en clamant partout que Jane était vivant!

Même réaction que sur msn mode ON :

PTDR comment t'as deviné ?

Mode OFF


On doit avoir un lien télépathique .

Clair ! xD
Surtout quand on voit les idées qu'on pond ou les avis qu'on a ! C'est toujours pareil !
Cho for ever ! Chisbon power ptdr

Demain Win ! Demain !

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !

Vous voyez qu'il est pas si terrible ce Cho une fois qu'on y met un peu du sien ^^



Felicity a écrit:

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !



Moi aussi je l'aime !!!
Ca me redonne un peu foie ( tiens comme ça s'ecrit la fois ? foie ? foi ? fois ? ) en Cho :DDDD

On dit foi Félicity !

Lilith a écrit:

Vous voyez qu'il est pas si terrible ce Cho une fois qu'on y met un peu du sien ^^



Felicity a écrit:

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !



Moi aussi je l'aime !!!
Ca me redonne un peu foie ( tiens comme ça s'ecrit la fois ? foie ? foi ? fois ? ) en Cho :DDDD

On dit foi Félicity !

Lilith a écrit:

Vous voyez qu'il est pas si terrible ce Cho une fois qu'on y met un peu du sien ^^



Felicity a écrit:

Lilith a écrit:

Shaitan a écrit:Tu sais quoi, Lilith? Je suis folle de ta signature .

Moi aussi ! Le sourire de Cho est si... hot ! Comment ne pas lui sauter dessus !



Moi aussi je l'aime !!!
Ca me redonne un peu foie ( tiens comme ça s'ecrit la fois ? foie ? foi ? fois ? ) en Cho :DDDD

On dit foi Félicity !

Chouette une fan de plus ^^ Je vais pas m'en plaindre, même si vous continuez obstinément de pas me croire quand je vous dit que Jane est mort.
Enfin, je vous avais dit que Lisbon allait trouver une preuve irréfutable prouvant une bonne fois pour toute que notre Jane adoré n'était plus de ce monde. C'est dans ce chapitre que cela arrive alors : Voilà ! Vous allez enfin me ficher la paix ^^
Bonne lecture.


Chapitre 9
I'm not a stupid woman
C'est avec soulagement que Rigsby vit sa patronne arriver. Il ne voulait pas dire à Cho que Lisbon voulait lui parler pour éviter que celui-ci ne cherche à fuir la conversation. Déjà que l'équipe était sous tension depuis plusieurs heures, inutile de le pousser encore plus dans ses retranchements. Sauf que garder discrètement Cho à l'œil, tout en ne lui disant rien était une chose difficile.

▬ Cho, dans mon bureau, tout de suite, s'exclama Lisbon, sortant les deux hommes de leurs pensées.

Elle se dirigea vers son bureau, bientôt suivie par l'Asiatique qui ne se sentait pas vraiment à l'aise. Il referma la porte derrière lui, alors que Lisbon allait se placer derrière son bureau, restant debout et commençant à ranger. Cho avala alors difficilement sa salive. Ça allait vraiment très mal aller pour lui.

▬ Tu sais, dit Lisbon après un moment de silence. Je ne sais pas laquelle des deux options est la pire.

▬ Comment ça, demanda-t-il en fronçant les sourcils.

▬ J't'en prie Cho. Ne joue pas à ça avec moi.

Il baissa les yeux, comme un petit garçon coupable et cela agaça encore plus Lisbon qui prit plusieurs dossiers qu'elle positionna à divers endroits du bureau avant de finalement les ranger exactement à l'endroit où elle les avait pris.

▬ Je dois avouer que je me suis posée des questions au début. Quand Rigsby m'a parlé de ce coup de téléphone qu'il a surpris...

Elle regarda rapidement son agent, qui affichait un visage d'une neutralité à toute épreuve, comme il savait si bien le faire. Pourtant, elle espérait, maintenant, arriver à lire entre les lignes, à voir dans ses prunelles ce que ses traits ne montraient pas et elle espérait arriver à voir son trouble et son sentiment de culpabilité. Une partie d'elle espérait qu'elle l'avait assez bien cerné depuis ces dernières semaines et qu'elle n'avait rien imaginé. Pourtant, la partie d'elle qui accordait sa confiance – si telle partie pouvait exister en Teresa Lisbon – priait tous les saints de se tromper, d'avoir mal compris, d'avoir mal interprété, tout comme Rigsby aurait mal interprété un appel téléphonique des plus anodins. S'être trompée sur Cho et avoir cru en ses mensonges, ça serait une trahison de plus. Et elle ne voulait plus être trahie, même si son hypothèse s'avérait vraie et que toutes les choses qui en découleraient s'avéraient vraies.

▬ J'y ai cru d'abord... Que tu pouvais nous avoir trahis, avoir trahi Jane. J'y ai vraiment cru pendant trois ou quatre secondes et ça m'a fichu une trouille bleue. Parce que si toi, Kimball Cho, tu nous avais trahi pour t'allier à ce tordu qu'est John Le Rouge, alors le monde n'aurait plus eu de sens pour moi. Vraiment plus aucun...

Alors qu'il allait répliquer quelque-chose, Lisbon leva la main, poing serré, son index pour seul doigt levé s'échappant de ce poing parfait pour mettre un puissant coup. Elle n'eut même pas besoin de parler pour obtenir le silence de la part de son collègue.

▬ Et puis il y a eu tout le reste. Parce qu'après tout, si je ne pouvais te croire complice de John Le Rouge, il fallait que je trouve une autre personne à qui tu pourrais être fidèle, au point de risquer ta carrière, peut-être même ta vie. J'ai cherché qui tu pourrais aider de la sorte, aussi fidèlement, quelles qu'en soient les conséquences. La réponse était pourtant si évidente. Tu l'avais déjà fait tant de fois.

Tout en parlant, elle s'était enfin assise, arrêtant de ranger pour poser ses prunelles vertes sur le visage impassible de Cho, à la recherche d'une éventuelle trace d'émotion. Son monologue avait beau s'éterniser et se perdre à mesure qu'elle réfléchissait à la tournure que les choses avaient pris dans sa tête jusqu'à maintenant, lui l'écoutait attentivement, sans ciller, sans chercher à vouloir accélérer ou ralentir les choses. Il attendait juste qu'elle donne le fond de sa pensée.

▬ Ce reste était encore plus évident que tout. Ton mystérieux coup de téléphone à une personne que je pourrais avoir envie de tuer si je le voyais, ton inquiétude à ce que cette personne ou ton contact avec elle soit découvert, ta mystérieuse disparition de l'autre jour, tes intuitions si étrangement justes,... Et puis il y a eu le coup final ! Les deux tasses chez Rory Galles. C'est là que j'ai tout compris. Alors je me suis demandée depuis combien de temps tu me mentais. Si Van Pelt et Rigsby était au courant, si j'étais la seule bonne poire de l'histoire...

Lisbon, soupira Cho, dans une veine tentative de pouvoir dire quelque chose qui la ferait changer d'avis.

▬ Et puis, poursuivit-elle. Je me suis dit que s'ils avaient été dans le coup, ils ne m'auraient pas parlé, forcément. Ils n'auraient même pas évoqué l'appel. Quand à toi, je me suis souvenue de ce jour-là. Ce regard étrange que tu lui as lancé quand tu es revenu près de nous. J'avais trouvé ça bizarre déjà, mais je n'avais pas relevé et après ce qu'il s'est passé, je n'y ai plus pensé.

▬ Lisbon, je te jure que tu te trompes, tenta Cho avec toute l'assurance et l'honnêteté dont il était capable. Tu en as tellement envie que tu l'inventes. J'aimerais que ça soit vrai mais...

▬ Du thé... Cho, le coupa-t-elle. Dans la première tasse, du café. Dans la deuxième, du thé.

Une nouvelle fois, Cho baissa les yeux. C'était fini pour lui.

▬ Maintenant tu devrais dire quelque-chose, Cho, lui conseilla-t-elle avec une froideur étrange face au tourbillon de sentiments contradictoires qui s'agitaient en elle.

▬ Viens avec moi.

Ce fut la seule chose qu'il dit avant de sortir du bureau. Avec un temps de retard et un froncement de sourcils, Lisbon se leva et accourut à sa suite pour le rattraper avant qu'il n'atteigne les ascenseurs. Du coin de l'œil, elle vit Rigsby se pencher en arrière sur son siège dans un angle très dangereux pour son équilibre alors qu'il regardait si c'était bien eux qu'il voyait partir.


▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬ ▬
Pendant tout le trajet, le duo resta silencieux. Cho n'avait aucunement envie de parler, de peur d'en dire trop, trop vite et Lisbon n'osait parler. Elle ne savait même pas où ils allaient alors il était sans doute préférable qu'elle ne dise rien. Toutefois, elle était incapable de se concentrer sur la route afin de la garder en tête. Assise sur son côté gauche, le dos quasiment contre la portière, elle observait son collègue conduire, l'air très concentré sur la route. Elle se doutait qu'il ne quittait pas celle-ci des yeux pour ne pas la regarder et être le premier à briser le silence pesant instauré dans l'habitacle.
Dans sa tête, Cho ne cessait de se repasser les derniers évènements. Il s'était souvent planté, par le passé, en suivant les plans douteux de Jane. Il s'était souvent fait choper par Lisbon et avait passé un mauvais quart d'heure le temps qu'elle se calme et lui pardonne. Mais là, il s'était vraiment planté en beauté. Ils allaient être plusieurs à lui pourrir la journée pour ça. Et le pire, ça n'était même pas Lisbon. C'était LUI qui allait vraiment lui faire payer d'avoir fait rater ce plan déjà bancal à l'origine. Pourquoi est-ce qu'on l'avait choisit lui ? Et pourquoi il avait finalement accepté alors que tout son être lui hurlait que c'était une mauvaise idée et que ça lui retomberait dessus ?
Garant la voiture devant une vieille bâtisse abandonnée au milieu de nulle part, l'agent Cho poussa un léger soupir de dépit avant de sortir de la voiture. Le temps qu'il contourne le véhicule, Lisbon avait ouvert sa portière et s'extirpait à son tour de l'habitacle. Cho lui tint la porte et la referma une fois qu'elle fut sortie.

▬ Lisbon, interpella-t-il sa supérieure hiérarchique.

Celle-ci n'avait pu détacher son regard de la maison à deux étages qui se dressait fièrement et étendait son ombre lugubre vers eux. On était en plein jour et elle était effrayante. Qu'est-ce que ça devait être en pleine nuit. Elle avait l'air si délabrée, prête à tomber en ruines au moindre coup de vent. Pourtant, on aurait dit qu'elle prenait plus de hauteur qu'elle n'aurait dû en prendre à l'origine et qu'elle se dressait majestueusement, à défaut de gracieusement, comme se pavanant de braver le temps et les conditions climatiques pour être encore là.

▬ Où sommes-nous ?, demanda Lisbon dans un murmure.

▬ C'est pas moi qui ai décidé du lieu. Je suis désolé, je ne peux pas t'en dire plus.

L'Asiatique s'avança vers la porte et Lisbon se dépêcha de le suivre. Alors qu'ils arrivaient près de la cloison de bois, l'homme s'effaça pour la laisser passer la première et ouvrir la porte. Elle le regarda, partagée entre inquiétude et scepticisme. Pourquoi était-ce à elle de passer la première ?

▬ Il va se demander pourquoi je suis là. Tu vas vouloir une explication. Autant que vous gériez ça entre vous et me laissiez tranquille.

L'Asiatique lut dans ses yeux qu'elle n'acceptait pas cette réponse et que cela ne lui faisait que se poser plus de questions.

▬ T'as qu'à sortir ton arme si tu n'as pas confiance.

▬ Alors tu passes devant !

Et elle extirpa effectivement son arme de son fourreau pour mettre un Kimball Cho d'une neutralité si commune à lui-même en joue. Elle ouvrit la porte de la demeure, puis intima à son collègue et ami d'avancer le premier.
Parce que malgré tout et malgré le fait qu'elle ait son arme braquée sur lui, il restait son ami et elle avait confiance en lui. Elle ne craignait pas vraiment une trahison. Même si elle ne voulait l'admettre et le croire, elle savait ce qu'elle allait trouver dans cette maison abandonnée, ou plutôt qui elle allait trouver. Elle ne voulait y croire tant qu'elle ne l'aurait pas devant les yeux, elle ne voulait que se convaincre qu'elle se trompait. Que Cho voulait lui montrer tout autre chose, elle savait qu'elle trouverait quelqu'un dont elle n'avait rien à craindre. Ces azurs surmontés de fils d'or qu'elle rêvait de retrouver depuis des jours, des semaines. Elle en était persuadée et ça lui faisait peur. Comment réagir face à ça ? Comment l'accepter ? Comment accepter qu'il lui avait menti, qu'ils lui avaient menti ? Qu'ils l'avait comme... trahie. Alors elle braquait son arme sur Cho, pour affronter les mensonges de celui qui l'avait soutenue ces dernières semaines, pour affronter celui qu'elle allait voir lorsqu'elle tournerait à droite au fond du couloir et entrerait dans la pièce que celui qu'elle tenait en joue lui montrait. Elle avait son arme et son regard rivés sur l'Asiatique pour ne pas affronter l'idée que tout ce qu'elle avait ressenti ces derniers jours, ces dernières semaines, n'avait aucun sens et qu'elle n'avait éprouvé ça que parce qu'on lui avait fait croire que la situation était celle qu'elle avait vécue, alors qu'elle était tout autre. Et tout s'embrouillait dans sa tête. Réalité, mensonges, doutes, douleur, peine, abandon, vengeance. Trahison, la pire de toutes.
Machinalement, alors qu'ils approchaient de la porte qui lui révèlerait enfin qu'elle se mentait à elle-même et que son fort intérieur avait raison sur toute la ligne, elle se tendit. Ses doigts se crispèrent autour de la crosse de son arme, alors qu'elle enlevait son doigt de la gâchette de peur de commettre une bavure. Elles ne se serait jamais pardonnée d'avoir tué Cho en se crispant incontrôlablement. Cho se retourna brièvement, lui lançant un regard qui se voulait sans doute rassurant pour lui, mais qui n'arrangeait rien à son esprit déjà en berne. Ce fut à son tour d'ouvrir la porte, lui lançant un coup d'œil pour savoir ce qu'elle désirait. Elle lui fit, une nouvelle fois, signe d'entrer le premier, ce qu'il fit, avant qu'elle ne prenne une grande inspiration et ne pénètre à son tour dans la pièce.

Parce que je suis sympa, je vous la mettrais en fin d'aprem ou ce soir ! Tout dépendra de si j'arrive à avancer dans le chapitre 14 !