"L'ERREUR" [FINI] ^
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Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
WinJane a écrit:Aurcoco a écrit:WinJane a écrit:jenny3jjw a écrit:on est pareil , Aurcoco !Aurcoco a écrit:Super chapitre ! j'adore, Lisbon qui pari sur une scene de crime !
VLS
Je commence à vraiment l'apprécier Cho ... ou devrais-je dire " Sexy-Kim"
En revanche, le Chisbon ... Je déteste .... c'est limite si ça me donne pas envie de
Plus mwaaa aussi =)
CopiiiiineS !
Voui Voui xD
Moi aussi!!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
latitemaï a écrit:WinJane a écrit:Aurcoco a écrit:WinJane a écrit:jenny3jjw a écrit:on est pareil , Aurcoco !Aurcoco a écrit:Super chapitre ! j'adore, Lisbon qui pari sur une scene de crime !
VLS
Je commence à vraiment l'apprécier Cho ... ou devrais-je dire " Sexy-Kim"
En revanche, le Chisbon ... Je déteste .... c'est limite si ça me donne pas envie de
Plus mwaaa aussi =)
CopiiiiineS !
Voui Voui xD
Moi aussi!!
VIVE LE JISBON !!! xD
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'adore toujours autant ! VLS !
Dis moi petite squaw-qui-a-rejoint-la-voie-orange-qui-mène-au-chaud-Cho, aurais-tu encore un peu de farine-qui-rend-fou pour corsaire-tête-de-menhir qui a passé mauvaise journée à attendre qu'on charge son navire de caisses de rhum?
Dis moi petite squaw-qui-a-rejoint-la-voie-orange-qui-mène-au-chaud-Cho, aurais-tu encore un peu de farine-qui-rend-fou pour corsaire-tête-de-menhir qui a passé mauvaise journée à attendre qu'on charge son navire de caisses de rhum?
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Marine a écrit:J'adore toujours autant ! VLS !
Dis moi petite squaw-qui-a-rejoint-la-voie-orange-qui-mène-au-chaud-Cho, aurais-tu encore un peu de farine-qui-rend-fou pour corsaire-tête-de-menhir qui a passé mauvaise journée à attendre qu'on charge son navire de caisses de rhum?
Euh...qui est qui ?? ^^
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
WinJane, t'es pas orange que je sache !
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Marine a écrit:WinJane, t'es pas orange que je sache !
Euh...nan
Pourquoi ???
Dsl trop curieuse MDR
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Finalement je vais faire trois fins alternative avec cette fic xD une normale, une Jisbon et une Chisbon comme ça y en aura pour tout les gouts xDD
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Lol ! Voilà que les auteurs nous font des fins à la carte maintenantElwing a écrit:Finalement je vais faire trois fins alternative avec cette fic xD une normale, une Jisbon et une Chisbon comme ça y en aura pour tout les gouts xDD
T'as du courage Elwing. Bonne chance si tu persistes dans cette voix, je me prosterne à tes pieds !
Lilith- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho... Castiel ! Quoi "c'est pas la même série" ?
Loisirs : Me plaindre xD
Localisation : Tu vois le coin le plus paumé de la terre ? Tu tournes à droite, dans le cul de sac et t'y es !
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Lilith a écrit:
Lol ! Voilà que les auteurs nous font des fins à la carte maintenantElwing a écrit:Finalement je vais faire trois fins alternative avec cette fic xD une normale, une Jisbon et une Chisbon comme ça y en aura pour tout les gouts xDD
T'as du courage Elwing. Bonne chance si tu persistes dans cette voix, je me prosterne à tes pieds !
Oula !! ca y est j'ai la pression xD ben franchement je vais essayer... je me débrouille pour mettre des pistes qui peuvent conduire à trois fins différentes, c'est un défi qui peut être drôle... ou très casse gueule
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
C'est clair ! C'est pour cette raison que je me prosterne et que perso, j'évite de tenter l'expérience, sauf si j'en ai vraiment envie. ^^Elwing a écrit:Lilith a écrit:
Lol ! Voilà que les auteurs nous font des fins à la carte maintenantElwing a écrit:Finalement je vais faire trois fins alternative avec cette fic xD une normale, une Jisbon et une Chisbon comme ça y en aura pour tout les gouts xDD
T'as du courage Elwing. Bonne chance si tu persistes dans cette voix, je me prosterne à tes pieds !
Oula !! ca y est j'ai la pression xD ben franchement je vais essayer... je me débrouille pour mettre des pistes qui peuvent conduire à trois fins différentes, c'est un défi qui peut être drôle... ou très casse gueule
Lilith- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho... Castiel ! Quoi "c'est pas la même série" ?
Loisirs : Me plaindre xD
Localisation : Tu vois le coin le plus paumé de la terre ? Tu tournes à droite, dans le cul de sac et t'y es !
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Lilith a écrit:
C'est clair ! C'est pour cette raison que je me prosterne et que perso, j'évite de tenter l'expérience, sauf si j'en ai vraiment envie. ^^Elwing a écrit:Lilith a écrit:
Lol ! Voilà que les auteurs nous font des fins à la carte maintenantElwing a écrit:Finalement je vais faire trois fins alternative avec cette fic xD une normale, une Jisbon et une Chisbon comme ça y en aura pour tout les gouts xDD
T'as du courage Elwing. Bonne chance si tu persistes dans cette voix, je me prosterne à tes pieds !
Oula !! ca y est j'ai la pression xD ben franchement je vais essayer... je me débrouille pour mettre des pistes qui peuvent conduire à trois fins différentes, c'est un défi qui peut être drôle... ou très casse gueule
Parfaitement d'accord avec Lilith =)
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Elwing, déjà que j'admire ta fic, mais si en plus tu nous sers le final sur un plateau d'argent, je
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
^^ bah ça peut être amusant :) Je post la suite maintenant et demain un gros pavé pour fêter la fin de l'épreuve d'histoire-géo ! bonne lecture !
* * * * *
Chapitre14 : Dilemme
Sans surprise les scientifiques n’avaient rien trouvé quipuisse être utile à l’enquête. Van Pelt s’était renseignée sur la victime et nelui avait trouvé pour seul famille qu’un petit ami qui avait confirmé la miseen scène. Il avait pu faire l’inventaire de tout ce qui n’appartenait pas aveccertitude à sa compagne. Et la liste était longue : draps, nuisette,tapis, vieux réveil, doudou, livre des contes de Grimm… même le maquillage necorrespondait pas.
De retour au bureau, Jane tournait comme un lion en cage,éparpillant le dossier John le Rouge, cherchant des similitudes, relisantmaintes fois le même rapport… Lisbon tentait de calmer le jeu sans y parvenir.Finalement elle dût abandonner et rejoindre le reste de l’équipe.
- Comment il va ? demanda Cho.
- Pas de changement, répondit Lisbon. Il est à cran etrefuse de rentrer chez lui se reposer…
Seule dans son coin Opale fixait Jane de loin sans vraimentle voir, écoutant d’une oreille distraite ce qui se disait à côté d’elle. Janeallait mal et ne trouvait rien pouvant coller au dossier… Rien d’étonnant.
- Vous pouvez rentrer si vous voulez, de toute façon on nepeut rien faire pour lui tant qu’il est dans cet état.
- Non merci, patron, on préfère rester, assura Rigsby approuvépar Cho et Van Pelt.
- Moi je vais devoir rentrer… des trucs à régler chez moi… Ademain !, fit Opale sans une once d’émotion.
Elle prit son sac et quitta le CBI sans se retourner, sousles regards outrés de ses collègues.
- Bonjour la compassion… remarqua Rigsby.
Van Pelt eu un pincement de lèvres contrarié. Même elle netrouver rien à dire pour la défense d’Iferson.
- Faut pas lui en vouloir, elle est nouvelle… C’est justequ’elle ne connait pas Jane aussi bien que nous, tenta de tempérer Lisbon.
- Et ça lui donne le droit de partir comme ça ?,continua le grand.
Grace eu comme un frisson.
- Je commençais à l’apprécier mais depuis qu’on a vu soncou… c’est devenue un vrai glaçon! Elle me fait froid dans le dos…
- Moi je la trouve marrante.
Gros blanc. Pas vraiment le genre de réplique qu’onattendrait de Cho.
- Marrante ?, voulut savoir Lisbon.
- Ouais. Elle a de bonnes blagues.
Les trois autres échangèrent des regards un peu inquiet, passûr d’avoir compris.
- Et on peut savoir quelle genre de blague te faitrire ?, insista Rigsby.
Cho lui jeta un bref coup d’œil désabusé.
- Non.
* * * * *
Opale rentra chez elle en quatrième vitesse. Elle glissafurtivement du parking jusqu’à son appartement, se retournant tous les dixmètres. Une fois arrivée elle s’enferma à double tour, poussa le loquet desécurité et ajouta –comme tout les soirs depuis l’incident au café- une chaisesous la poignée. Elle se précipita ensuite sur sa fenêtre pour clore lesvolets. Ainsi barricadé elle se sentait mieux, plus apte à réfléchir…
Elle passa une bonne heure à tourner en rond, priant, piétinant,grognant, elle fit même deux ou trois fois le poirier en espérant qu’en étant mieuxirrigué son cerveau lui apporterait une réponse. Une solution au problème quilui vrillait les neurones depuis ce nouveau meurtre de John le Rouge.
Commentfaire parvenir ses conclusions à Patrick Jane sans pour autant sedévoiler ?
Elle disposait d’informations susceptibles de faire avancerl’enquête, elle comprenait le pourquoi de la dernière victime et même le coupdes journalistes, tout était clair. Mais bon sang et non d’un smiley, commentle dire à Jane et se protéger en même temps ?
Opale fut prise de migraine. Ses petites cellules grisestournaient à plein régime depuis trop longtemps. Elle avait besoin d’une pause.
Elle plongea dans sa mini pharmacie, avala un Doliprane avecun verre de jus d’orange et s’appuya contre le mur en fermant les yeux. Elleresta longtemps, très longtemps immobile, attendant que les maux de têtes s’enaillent. Elle se remémora Jane plongé dans le dossier John le Rouge,développant des centaines de théories plus tordues les unes que les autres,s’obstinant à chercher tout en refusant d’écouter cette petite voix qui luisoufflait inlassablement qu’il ne trouverait jamais…
La douleur diminua. La migraine passait petit à petit,permettant une vision plus claire du problème.
Alors la solution lui apparu évidente. Il n’y en avait toutsimplement pas. Impossible de faire avancer les choses en inventant encore ettoujours plus de mensonges. Pour une fois la vérité allait jouer un rôle. Opaleallait devoir tout déballer à Jane et au plus vite.
* * * * *
Chapitre15 : Décision
- Allô Jane ?
- Iferson il est deux heure du matin…
- Je sais bien mais je n’arrive pas à dormir et vous nonplus… les autres sont toujours là ?
- Non ils sont partis il y a une demi-heure, bien après voussale lâcheuse. Mais je suis occupé si vous avez besoin de papoter allez embêterquelqu’un d’autre.
- Tsss… Vous m’en voulais pour tout à l’heure dans lachambre de la victime. Et bien je m’excuse. Si vous voulez bien me pardonnezj’aimerais que vous veniez chez moi. Dans le genre… Maintenant.
Blanc.
- Jane ?
- Oui, oui j’ai entendu…
Il se frotta les yeux, rouge de sommeil insatisfait.
- Mais il faudra attendre demain pour vous libérer de votremauvaise conscience…
Il raccrocha.
A l’autre bout du fil Opale leva les yeux au ciel. Comme sice n’était pas déjà suffisamment difficile d’avoir à faire… ça. Il fallait en plus qu’elle lesupplie… de la mettre au supplice. Merveilleuse ironie du sort.
Elle le rappela.
- Quoi encore ?
- Il faut vraimentque vous veniez, c’est urgent.
- Iferson à moins que vous ne m’annonciez que vous avezretrouvez seule John le Rouge et que sa dépouille m’attend chez vous il n’y aaucune raison que je…
- Justement. J’ai… j’ai trouvé un smiley dans ma chambre.
Elle ne put retenir un sourire nerveux.
- Jane ?
- Fermez-vous à clé et n’ouvrez à personne, je suis là danscinq minutes.
- Ok. Mais ne prévenez personne d’autre…
- J’en n’avais pas l’intention.
Il raccrocha et se précipita dehors.
* * * * *
Chapitre14 : Dilemme
Sans surprise les scientifiques n’avaient rien trouvé quipuisse être utile à l’enquête. Van Pelt s’était renseignée sur la victime et nelui avait trouvé pour seul famille qu’un petit ami qui avait confirmé la miseen scène. Il avait pu faire l’inventaire de tout ce qui n’appartenait pas aveccertitude à sa compagne. Et la liste était longue : draps, nuisette,tapis, vieux réveil, doudou, livre des contes de Grimm… même le maquillage necorrespondait pas.
De retour au bureau, Jane tournait comme un lion en cage,éparpillant le dossier John le Rouge, cherchant des similitudes, relisantmaintes fois le même rapport… Lisbon tentait de calmer le jeu sans y parvenir.Finalement elle dût abandonner et rejoindre le reste de l’équipe.
- Comment il va ? demanda Cho.
- Pas de changement, répondit Lisbon. Il est à cran etrefuse de rentrer chez lui se reposer…
Seule dans son coin Opale fixait Jane de loin sans vraimentle voir, écoutant d’une oreille distraite ce qui se disait à côté d’elle. Janeallait mal et ne trouvait rien pouvant coller au dossier… Rien d’étonnant.
- Vous pouvez rentrer si vous voulez, de toute façon on nepeut rien faire pour lui tant qu’il est dans cet état.
- Non merci, patron, on préfère rester, assura Rigsby approuvépar Cho et Van Pelt.
- Moi je vais devoir rentrer… des trucs à régler chez moi… Ademain !, fit Opale sans une once d’émotion.
Elle prit son sac et quitta le CBI sans se retourner, sousles regards outrés de ses collègues.
- Bonjour la compassion… remarqua Rigsby.
Van Pelt eu un pincement de lèvres contrarié. Même elle netrouver rien à dire pour la défense d’Iferson.
- Faut pas lui en vouloir, elle est nouvelle… C’est justequ’elle ne connait pas Jane aussi bien que nous, tenta de tempérer Lisbon.
- Et ça lui donne le droit de partir comme ça ?,continua le grand.
Grace eu comme un frisson.
- Je commençais à l’apprécier mais depuis qu’on a vu soncou… c’est devenue un vrai glaçon! Elle me fait froid dans le dos…
- Moi je la trouve marrante.
Gros blanc. Pas vraiment le genre de réplique qu’onattendrait de Cho.
- Marrante ?, voulut savoir Lisbon.
- Ouais. Elle a de bonnes blagues.
Les trois autres échangèrent des regards un peu inquiet, passûr d’avoir compris.
- Et on peut savoir quelle genre de blague te faitrire ?, insista Rigsby.
Cho lui jeta un bref coup d’œil désabusé.
- Non.
* * * * *
Opale rentra chez elle en quatrième vitesse. Elle glissafurtivement du parking jusqu’à son appartement, se retournant tous les dixmètres. Une fois arrivée elle s’enferma à double tour, poussa le loquet desécurité et ajouta –comme tout les soirs depuis l’incident au café- une chaisesous la poignée. Elle se précipita ensuite sur sa fenêtre pour clore lesvolets. Ainsi barricadé elle se sentait mieux, plus apte à réfléchir…
Elle passa une bonne heure à tourner en rond, priant, piétinant,grognant, elle fit même deux ou trois fois le poirier en espérant qu’en étant mieuxirrigué son cerveau lui apporterait une réponse. Une solution au problème quilui vrillait les neurones depuis ce nouveau meurtre de John le Rouge.
Commentfaire parvenir ses conclusions à Patrick Jane sans pour autant sedévoiler ?
Elle disposait d’informations susceptibles de faire avancerl’enquête, elle comprenait le pourquoi de la dernière victime et même le coupdes journalistes, tout était clair. Mais bon sang et non d’un smiley, commentle dire à Jane et se protéger en même temps ?
Opale fut prise de migraine. Ses petites cellules grisestournaient à plein régime depuis trop longtemps. Elle avait besoin d’une pause.
Elle plongea dans sa mini pharmacie, avala un Doliprane avecun verre de jus d’orange et s’appuya contre le mur en fermant les yeux. Elleresta longtemps, très longtemps immobile, attendant que les maux de têtes s’enaillent. Elle se remémora Jane plongé dans le dossier John le Rouge,développant des centaines de théories plus tordues les unes que les autres,s’obstinant à chercher tout en refusant d’écouter cette petite voix qui luisoufflait inlassablement qu’il ne trouverait jamais…
La douleur diminua. La migraine passait petit à petit,permettant une vision plus claire du problème.
Alors la solution lui apparu évidente. Il n’y en avait toutsimplement pas. Impossible de faire avancer les choses en inventant encore ettoujours plus de mensonges. Pour une fois la vérité allait jouer un rôle. Opaleallait devoir tout déballer à Jane et au plus vite.
* * * * *
Chapitre15 : Décision
- Allô Jane ?
- Iferson il est deux heure du matin…
- Je sais bien mais je n’arrive pas à dormir et vous nonplus… les autres sont toujours là ?
- Non ils sont partis il y a une demi-heure, bien après voussale lâcheuse. Mais je suis occupé si vous avez besoin de papoter allez embêterquelqu’un d’autre.
- Tsss… Vous m’en voulais pour tout à l’heure dans lachambre de la victime. Et bien je m’excuse. Si vous voulez bien me pardonnezj’aimerais que vous veniez chez moi. Dans le genre… Maintenant.
Blanc.
- Jane ?
- Oui, oui j’ai entendu…
Il se frotta les yeux, rouge de sommeil insatisfait.
- Mais il faudra attendre demain pour vous libérer de votremauvaise conscience…
Il raccrocha.
A l’autre bout du fil Opale leva les yeux au ciel. Comme sice n’était pas déjà suffisamment difficile d’avoir à faire… ça. Il fallait en plus qu’elle lesupplie… de la mettre au supplice. Merveilleuse ironie du sort.
Elle le rappela.
- Quoi encore ?
- Il faut vraimentque vous veniez, c’est urgent.
- Iferson à moins que vous ne m’annonciez que vous avezretrouvez seule John le Rouge et que sa dépouille m’attend chez vous il n’y aaucune raison que je…
- Justement. J’ai… j’ai trouvé un smiley dans ma chambre.
Elle ne put retenir un sourire nerveux.
- Jane ?
- Fermez-vous à clé et n’ouvrez à personne, je suis là danscinq minutes.
- Ok. Mais ne prévenez personne d’autre…
- J’en n’avais pas l’intention.
Il raccrocha et se précipita dehors.
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:43, édité 3 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Yeah pas mal!!
VLS
VLS
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Haaaaaaaaaaaa!
Le stress de dingue, quelles révélations va-elle llui faire? :DD
VLS et MERDE a toi pour la suite des epreuves :)
Le stress de dingue, quelles révélations va-elle llui faire? :DD
VLS et MERDE a toi pour la suite des epreuves :)
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ohhh Jane qui débarque chez Opale en plein milieu de la nuit, j'ai hâte de voir ça!
(Non, je ne m'invente pas d'autres couples! Vous me prenez pour qui? Je vous rappelle que tout au fond de moi je suis une pro-Jisbon refoulée)
(Non, je ne m'invente pas d'autres couples! Vous me prenez pour qui? Je vous rappelle que tout au fond de moi je suis une pro-Jisbon refoulée)
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Pas si refoulée que ça vu comme Jane qui attaque Lisbon sans prévenir t'as retournée ptdr !Shaitan a écrit:Ohhh Jane qui débarque chez Opale en plein milieu de la nuit, j'ai hâte de voir ça!
(Non, je ne m'invente pas d'autres couples! Vous me prenez pour qui? Je vous rappelle que tout au fond de moi je suis une pro-Jisbon refoulée)
Lilith- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho... Castiel ! Quoi "c'est pas la même série" ?
Loisirs : Me plaindre xD
Localisation : Tu vois le coin le plus paumé de la terre ? Tu tournes à droite, dans le cul de sac et t'y es !
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Moi je l'aime bien cette Opale. J'ai hâte de voir ce que ça va donner, cette révélation.
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Hello ! Pour fêter la fin de mon calvaire en Histoire-Géo, je post un big pavé xD alors prenez votre courage à deux mains et... et n'hésitez pas à lire en plusieurs petit morceau lol
Bonne lecture !!
* * * * *
- Iferson ? C’est Jane, ouvrez moi s’il vousplaît !
Une cacophonie de cliquetis métallique lui répondit.
- Tout va bien ?
La porte s’ouvrit.
- Oui ! Venez, entrez…
Jane s’exécuta. Il fut surprit par le système de blocage dela porte.
- Quand je vous ai conseillé de vous enfermez je parlais àclé… pas à clé, à loquet, a ch…
Elle l’interrompit ne lui tendant une tasse de thé brûlant.
- Vous allez en avoir besoin.
Jane prit la tasse, redevenant grave.
- Bon, où est-t-il, montrez-le moi.
Opale lui désigna un petit canapé à côté du lit.
- Chaque chose en son temps. D’abord buvez…
Il fronça les sourcils avec la nette impression de manquerquelque chose. Opale s’assit la première, espérant l’inciter à en faire demême.
Après un long moment d’hésitation pendant lequel Jane scrutales murs du regard à la recherche du smiley, il se décida enfin à s’assoirégalement. Opale en fut soulagée. Du moins intérieurement parce qu’extérieurementelle était prise d’une frénésie de stress qui l’obligeait à se ronger lesongles… Tic dont elle pensait s’être débarrassé depuis l’adolescence.
- Iferson si vous m’avez fait venir ici pour boire du thé etqu’il n’y a pas de smiley… Je ne sais pas encore ce que je vous ferais maiscroyez bien que je trouverais…
Elle cessa immédiatement de se ronger les ongles pour passerà un autre tic. Celui-ci consistait à entortiller inlassablement une mèche decheveux autour de son indexe. Plus glamour mais tout aussi inutile.
- Jane…
- Iferson…
Elle prit une longue inspiration et parla d’une voix blancheun peu trainante :
- Je tiens à m’excuser pour les horreurs que je vous aiedites tout à l’heure dans la chambre. Je n’en pensais pas un mot. La véritéc’est que je vous trouve admirable et… génial… De plus je pense que… non je sais, que s’il y a quelqu’un sur cetteTerre capable d’arrêter John le Rouge, c’est vous. Voilà.
Jane haussa les sourcils, surprit.
- Bon… Je pense que vous auriez put y mettre un peu plus desentiments, de cœur, d’intention, de…
- Jane !
- C’est d’accord, j’accepte vos excuses ! Mais seulementparce que vous me trouvez génial et admirable, c’est la partie que j’aipréféré...
- Attendez c’est pas fini…
- D’autres compliments ?
- Non.
Au ton de sa voix il comprit qu’il n’y avait plus de quoiplaisanter. Opale avala sa salive et reprit, détachant chaque mot comme s’ilslui coutaient.
- Je comprends ton besoin de vengeance vis-à-vis de John leRouge.
Elle n’avait même pas réfléchit le tutoiement.
Jane la toisa sans comprendre, cherchant à évaluer l’ampleurd’une telle affirmation. Opale répéta.
- Je-comprends…
Cette fois il réagit, posant sa tasse de thé au sol, leregard durcit.
- Personne ne comprend.
Alors elle prit délicatement sa main et la guida jusqu’à sonventre. Là elle ferma ses doigts autour de son tee-shirt et le relevalentement.
Jane resta interdit. Il ne vit d’abord que la peau trèsblanche de la jeune femme, son ventre plat, son nombril parfait… Malgré lui unfrisson de plaisir le parcouru, qu’Opale interpréta comme étant du dégout. Ilvoulut retirer sa main mais elle l’en empêcha, raffermissant son emprise surses doigts. Jane avala sa salive.
- Iferson je suis flatté je vous assure mais…
- Tais-toi et regarde, ce n’est pas ce que tu crois. Voispourquoi je peux te comprendre…
Elle continua à remonter son tee-shirt jusqu’à la naissancede sa poitrine, maintenant la main de Jane contre elle…
* * * * *
Jane écarquilla les yeux, pétrifié. Opale sentit son poulssous ses doigts s’accélérer dangereusement. Elle libéra sa main. Il reculaaussitôt sur le canapé, se postant le plus loin possible d’elle comme s’ilcherchait à fuir. Pourtant ses yeux ne parvenaient pas à se détacher de lacicatrice...
Le smiley maudit semblait le narguer une nouvelle fois, là,tracé sur le ventre d’une jeune femme qu’il côtoyait depuis un moment déjà.
Opale se mordit la langue, tentant l’humour noir en guised’excuse.
- Tu vois, y a vraiment un smiley dans ma chambre…
- Qui es-tu ?, murmura-t-il.
Elle se força à sourire. Sourire qui n’atteignit pas sesyeux.
- Je suis née Ruby Jefferson, j’ai été Shady Wolf un bonmoment et maintenant je suis Opale Iferson. Une sorte de retour aux sources…Mais qui que je sois vraiment ce n’est ni John le Rouge, ni une de sesadmiratrices. Je suis juste… disons une victime, même s’il n’a jamais tenté deme tuer. Et ça c’est la vérité, tu peux me croire.
Jane s’arracha difficilement à la contemplation de sonventre, se forçant à la regarder dans les yeux. Il n’y décela pas de trace demensonge. Elle disait la vérité.
- Pourquoi me montrer ça maintenant ?
- Pour que tu arrêtes de te prendre la tête avec la nouvelleenquête. Parce que même si tu trouvais une piste – ce qui n’est guèreenvisageable- elle ne te mènerait qu’à une personne.
- Qui ?
- Moi.
Elle rabattit son tee-shirt – quelle avait oublié- et jugeade son effet.
Jane la fixait si intensément que pendant une folle secondeelle cru réellement qu’il soit capable de lire dans les pensées.
- Racontes-moi., exigea-t-il.
- Très bien, alors j’espère que tu n’es pas pressé.
- J’ai toute la nuit…
* * * * *
Chapitre16 : L’histoire d’Opale
- J’avais 5 ans quand tout a commencé. Un soir, j’étaisseule avec ma mère à la maison, mon père était encore au travail. Je venais deme coucher quand j’ai entendu une voiture se garer derrière la maison.Apparemment ma mère l’avait aussi entendu alors elle est venu me voir, sansallumer aucune lumière. Elle m’a ordonné de me cacher dans une malle jusqu’à cequ’elle vienne me chercher. C’était une espèce de grosse boîte comme un coffreà jouets que mon père m’avaitconstruite. On jouait souvent à cache-cache tout les deux et il disait toujoursque le seul moyen de me cacher mieux que je ne le faisais déjà, serait que jedisparaisse complètement. Alors il m’a permis de devenir invisible en meconstruisant une malle de magicien à double fond. J’adorais ce truc… Bref, ilétait tard j’avais sommeil mais j’étais très obéissante comme gamine alors j’aidisparu. J’ai entendu ma mère tirer mes draps et sortir de ma chambre. Tout desuite après on a toqué à la porte. Tous les sons me parvenaient étouffés. Maisje peux encore identifier certaines choses. On a ouvert la porte… il y a eu unediscussion que je n’ai pas comprise, je n’entendais que des fins de phrases,des mots en vrac… Puis d’un coup j’ai tout entendu plus fort parce qu’ils ontélevé la voix. Ma mère se disputait avec un homme. Elle lui a ordonné de setaire et ils se sont éloignés. Dans sa chambre. Là je n’ai plus rien entendupendant un moment… Ensuite l’homme a hurlé « Dis-lemoi ! » et ma mère a crié « Non !». Puis une pause. Tout m’a paru durer plus longtemps... Sûrement parce quele temps passe plus lentement dans le noir et le silence... Quoi qu’il en soitil y a eu un blanc puis comme un hoquet de douleur… L’homme a encore ditquelque chose mais trop bas pour que je saisisse quoi. Après ça plus rien. J’aicompté des centaines de fois jusqu’à trente avant qu’il y est un changement…Encore trente et j’ai entendu des pas entrer dans ma chambre, ainsi que tout unremue-ménage. Ensuite la malle a été ouverte… Bien sûre il ne pouvait pas mevoir et moi non plus. Il l’a refermé et il est sortit. Finalement la ported’entrée a claqué et la voiture à démarré... J’ai attendu que maman vienne mechercher. Mais elle n’est pas venue. Alors j’ai compté encore et encore jusqu’àm’endormir. J’ignore combien de temps je suis resté enfermée mais j’ai quandmême fini par me décider à sortir… Il ne faisait pas encore jour alors j’ai duallumer la lumière. Ma chambre était sans dessus-dessous… J’ai slalomé entremes jouets pour rejoindre la chambre de ma mère. Il y avait une… une odeurbizarre, comme un grillage rouillé qui m’a donné la nausée… La porte de lachambre de ma mère était fermée. Je l’ai ouverte et j’ai allumé la lumière…C’est là que j’ai vu ma mère allongée sur le lit. Tout rouge… j’ai essayé de laréveiller mais c’était trop tard. Quand j’ai pris sa main elle était déjàfroide. Alors je suis allé m’assoir contre le mur et j’ai attendu… Mon père estrentré quelques heures après. Je le sais parce que le soleil inondait lachambre. Papa est entré et il a vu maman. Il a pleuré et ce n’est qu’ensuitequ’il a remarqué ma présence. Il m’a demandé ce que je savais. Je lui ai toutraconté. Il m’a débarrassé du sang que j’avais un peu partout et m’a passé mesvêtements préférés ainsi que mon collier, cadeau de naissance. Ensuite on aprit la voiture et on a roulé longtemps. On est arrivé devant une grandebâtisse avec une petite cours où des enfants jouaient. J’ai cru que c’était uneécole. Mon père m’a fait descendre de voiture et m’a porté par dessus leportail. Entre les grilles il m’a fait promettre de ne parler à personne, de nedire ni mon nom ni celui de mes amis ou de ma famille, bref de rester muettejusqu’à ce qu’il revienne me chercher. D’après lui j’étais en sécurité ici etil me suffisait d’attendre, il m’a juré de revenir vite. Ensuite il m’a donnéun petit sac que je devais remettre « à la maitresse », et il estpartit. La récré c’est finie et j’ai suivi les autres enfants. Ils sont venusme parler mais je n’ai pas répondu. Finalement une dame m’a repéré et m’ainterrogé, m’a demandé mon nom, comment j’étais arrivé là… Je n’ai rien ditmais je lui ai donné le sac. Je n’ai compris que plus tard qu’il était remplide billets… Après m’avoir fait manger et visiter les lieux, la« maitresse » m’a souhaité bienvenu à l’Orphelinat des Lauriers.
Comme promis je n’ai pas prononcé un mot. J’ai attendu monpère… L’ennui c’est qu’il n’est jamais revenu. J’ai continué à me taire, mêmesi je savais me faire comprendre. Quand les responsables de l’orphelinat ont vuque je n’étais pas bête ou malade, que j’étais tout aussi capable que lesautres, ils en ont déduit que j’étais seulement muette. J’ignore combiend’argent leur a donné mon père mais ils m’ont inscrite à l’école sous le nom deShady Wolf. Ils ont bien dut me donner un nom puisque je ne pouvais pas dire lemien et que je ne savais pas encore écrire… Shady Wolf a donc été àl’école ! Qui est un lieu vraiment très ennuyeux quand on ne parle àpersonne… Mais le collège est arrivé. Ah le collège ! Je m’y suisénormément plut. A tel point que j’ai recommencé à parler. Je me suis faite desamis, j’ai eu de bons résultats… A 14 ans j’ai révélé mon nom aux gens del’orphelinat qui c’étaient si bien occupé de moi pendant toutes ces années… Jesuis redevenu Ruby Jefferson aux yeux de la société et aux miens.
Mais deux mois plus tard, en rentrant du collège, j’aitrouvé un smiley dessiné sur le mur de ma chambre à l’orphelinat. J’ai d’abordcru à un canular de mes « colocataires ». J’ai passé un coup depeinture dessus et ma vie a continué.
Une semaine plus tard j’ai été agressée. Les autres enfantsétaient partis faire une sortie. Etant la plus âgée et la mieux disposée auxétudes j’avais eu l’autorisation de rester seule pour faire mes devoirs. Onavait tellement confiance en moi que j’étais une des rares pensionnaires àavoir les clés de l’orphelinat. Ils sont donc tous partis et je suis restéeseule. Je ne me souviens pas de grand-chose. Juste qu’on m’a attrapé et tiréviolemment par le collier. J’ai eu mal, je me suis débattue puis j’ai eu du malà respirer, mon ventre m’a brûlé et mes poignets aussi… Ensuite tout estconfus. J’ai repris conscience à l’hôpital. On m’a dit que j’avais eu une crisede panique à cause de je ne sais quelle connerie sur le « sentiment desolitude lié à une expérience traumatisante », et que j’avais tenté demettre fin à mes jours. On m’a aussi assuré que je ne devais pas m’inquiéter,que j’étais hors de danger et qu’on allé s’occuper de moi…
Ah oui on c’est bien occupé de moi… en psychiatrie… J’y suis resté quelques mois, découvrant mes blessureset tentant de convaincre des toubibs plus frappés que moi que je n’y étais pourrien… Heureusement j’ai rencontré un stagiaire qui me croyait. Mes marques nele dégoutaient pas et il m’a même convaincu de renoncer à toute forme devengeance. Avec son aide j’ai joué sur les repenties et la bonne conduite. Ilsm’ont libéré. A ma sortie on s’est mis ensemble Tim et moi - Tim c’est lefameux gentil stagiaire – et j’ai demandé mon émancipation. J’allais avoirquinze ans, Tim vingt quatre avec un avenir assuré, un bel appartement, lesmoyens financiers de m’entretenir… et vu son métier mes antécédentspsychiatrique n’ont pas posé trop de problème… J’ai obtenu l’émancipation etj’ai emménagé avec Tim.
Mais il s’en est fallut d’une semaine pour que je reçoiverégulièrement des messages dans ma boîte aux lettres genre « àbientôt », « prépares-toi », « tu es à moi »… J’aipris peur et ai décidé de changer de nom. Tim m’a appuyé dans mes démarchesmais j’ai refusé de lui dire quel nom j’avais choisi, voulant lui faire unesorte de surprise. En fait j’avais envisagé de le lui dire le jour de nosfiançailles prévu dans les semaines à venir.
Mais il était écrit que je ne connaîtrais pas le repos. Unmatin Tim a eut un accident en allant au travail, apparemment il conduisait entéléphonant et n’a pas vu le feu rouge… Il a survécu mais est tombé dans le coma.N’étant pas marié avec lui je n’ai pas eu mon mot à dire au sujet de la marcheà tenir, à savoir le débrancher ou attendre indéfiniment en espérant qu’il seréveil. C’est là que j’ai fait pour la première fois la connaissance de sesparents ! Des gens riches… et bien sûre je n’étais pas assez bien pourleur cher fils. Trop jeune, trop folle… Ils m’ont interdit de le voir et ontdécidé de ne pas le débrancher. Le contraire de mon avis bien entendu. J’aicraqué. En me voyant pleurer mes presque beaux-parents m’ont autorisé à dire aurevoir à Tim. Seul à seul. En guise d’adieu je lui ai murmuré mon nouveau nom àl’oreille : Opale Iferson. On m’avait dit que certaines personnes dans lecoma entendaient tout. J’espérais que ce soit son cas et qu’en connaissant monnom il pourrait me retrouver s’il devait se réveiller…
Puis j’ai fait ce que j’avais toujours sus faire. Me cacher.Disparaître. Dans la peau d’Opale Iferson je me suis engagée au plus vite dansl’armée afin de préparer ma vengeance. Sans Tim pour m’apaiser je n’avais pasd’autre but dans la vie…
Un jour comme les autres je suis tombé par hasard sur lesinfos à la télé. Un serial killer venait d’assassiner la famille d’un médiumréputé. Le meurtre était signé d’un smiley semblable au « mien ». C’estlà que j’ai compris. John le Rouge. Voilà qui m’avait fait ça. Alors je me suisrenseigné sur ce fameux « medium » aux incroyables dons… je ne croispas dans ces choses là mais s’il était aussi doué qu’on le prétendait ça valaitle coup d’essayer… Et là oh surprise ! Le prétendu médium Patrick Janetravaillait au CBI… J’ai tenté ma chance, m’orientant vers cette branche del’armée. Je me suis surpassée et voilà où j’en suis maintenant. Boudant le FBIpour le petit CBI où travail un génie traquant le même gibier que moi…
Voilà, tu connais mon histoire Jane…
Bonne lecture !!
* * * * *
- Iferson ? C’est Jane, ouvrez moi s’il vousplaît !
Une cacophonie de cliquetis métallique lui répondit.
- Tout va bien ?
La porte s’ouvrit.
- Oui ! Venez, entrez…
Jane s’exécuta. Il fut surprit par le système de blocage dela porte.
- Quand je vous ai conseillé de vous enfermez je parlais àclé… pas à clé, à loquet, a ch…
Elle l’interrompit ne lui tendant une tasse de thé brûlant.
- Vous allez en avoir besoin.
Jane prit la tasse, redevenant grave.
- Bon, où est-t-il, montrez-le moi.
Opale lui désigna un petit canapé à côté du lit.
- Chaque chose en son temps. D’abord buvez…
Il fronça les sourcils avec la nette impression de manquerquelque chose. Opale s’assit la première, espérant l’inciter à en faire demême.
Après un long moment d’hésitation pendant lequel Jane scrutales murs du regard à la recherche du smiley, il se décida enfin à s’assoirégalement. Opale en fut soulagée. Du moins intérieurement parce qu’extérieurementelle était prise d’une frénésie de stress qui l’obligeait à se ronger lesongles… Tic dont elle pensait s’être débarrassé depuis l’adolescence.
- Iferson si vous m’avez fait venir ici pour boire du thé etqu’il n’y a pas de smiley… Je ne sais pas encore ce que je vous ferais maiscroyez bien que je trouverais…
Elle cessa immédiatement de se ronger les ongles pour passerà un autre tic. Celui-ci consistait à entortiller inlassablement une mèche decheveux autour de son indexe. Plus glamour mais tout aussi inutile.
- Jane…
- Iferson…
Elle prit une longue inspiration et parla d’une voix blancheun peu trainante :
- Je tiens à m’excuser pour les horreurs que je vous aiedites tout à l’heure dans la chambre. Je n’en pensais pas un mot. La véritéc’est que je vous trouve admirable et… génial… De plus je pense que… non je sais, que s’il y a quelqu’un sur cetteTerre capable d’arrêter John le Rouge, c’est vous. Voilà.
Jane haussa les sourcils, surprit.
- Bon… Je pense que vous auriez put y mettre un peu plus desentiments, de cœur, d’intention, de…
- Jane !
- C’est d’accord, j’accepte vos excuses ! Mais seulementparce que vous me trouvez génial et admirable, c’est la partie que j’aipréféré...
- Attendez c’est pas fini…
- D’autres compliments ?
- Non.
Au ton de sa voix il comprit qu’il n’y avait plus de quoiplaisanter. Opale avala sa salive et reprit, détachant chaque mot comme s’ilslui coutaient.
- Je comprends ton besoin de vengeance vis-à-vis de John leRouge.
Elle n’avait même pas réfléchit le tutoiement.
Jane la toisa sans comprendre, cherchant à évaluer l’ampleurd’une telle affirmation. Opale répéta.
- Je-comprends…
Cette fois il réagit, posant sa tasse de thé au sol, leregard durcit.
- Personne ne comprend.
Alors elle prit délicatement sa main et la guida jusqu’à sonventre. Là elle ferma ses doigts autour de son tee-shirt et le relevalentement.
Jane resta interdit. Il ne vit d’abord que la peau trèsblanche de la jeune femme, son ventre plat, son nombril parfait… Malgré lui unfrisson de plaisir le parcouru, qu’Opale interpréta comme étant du dégout. Ilvoulut retirer sa main mais elle l’en empêcha, raffermissant son emprise surses doigts. Jane avala sa salive.
- Iferson je suis flatté je vous assure mais…
- Tais-toi et regarde, ce n’est pas ce que tu crois. Voispourquoi je peux te comprendre…
Elle continua à remonter son tee-shirt jusqu’à la naissancede sa poitrine, maintenant la main de Jane contre elle…
* * * * *
Jane écarquilla les yeux, pétrifié. Opale sentit son poulssous ses doigts s’accélérer dangereusement. Elle libéra sa main. Il reculaaussitôt sur le canapé, se postant le plus loin possible d’elle comme s’ilcherchait à fuir. Pourtant ses yeux ne parvenaient pas à se détacher de lacicatrice...
Le smiley maudit semblait le narguer une nouvelle fois, là,tracé sur le ventre d’une jeune femme qu’il côtoyait depuis un moment déjà.
Opale se mordit la langue, tentant l’humour noir en guised’excuse.
- Tu vois, y a vraiment un smiley dans ma chambre…
- Qui es-tu ?, murmura-t-il.
Elle se força à sourire. Sourire qui n’atteignit pas sesyeux.
- Je suis née Ruby Jefferson, j’ai été Shady Wolf un bonmoment et maintenant je suis Opale Iferson. Une sorte de retour aux sources…Mais qui que je sois vraiment ce n’est ni John le Rouge, ni une de sesadmiratrices. Je suis juste… disons une victime, même s’il n’a jamais tenté deme tuer. Et ça c’est la vérité, tu peux me croire.
Jane s’arracha difficilement à la contemplation de sonventre, se forçant à la regarder dans les yeux. Il n’y décela pas de trace demensonge. Elle disait la vérité.
- Pourquoi me montrer ça maintenant ?
- Pour que tu arrêtes de te prendre la tête avec la nouvelleenquête. Parce que même si tu trouvais une piste – ce qui n’est guèreenvisageable- elle ne te mènerait qu’à une personne.
- Qui ?
- Moi.
Elle rabattit son tee-shirt – quelle avait oublié- et jugeade son effet.
Jane la fixait si intensément que pendant une folle secondeelle cru réellement qu’il soit capable de lire dans les pensées.
- Racontes-moi., exigea-t-il.
- Très bien, alors j’espère que tu n’es pas pressé.
- J’ai toute la nuit…
* * * * *
Chapitre16 : L’histoire d’Opale
- J’avais 5 ans quand tout a commencé. Un soir, j’étaisseule avec ma mère à la maison, mon père était encore au travail. Je venais deme coucher quand j’ai entendu une voiture se garer derrière la maison.Apparemment ma mère l’avait aussi entendu alors elle est venu me voir, sansallumer aucune lumière. Elle m’a ordonné de me cacher dans une malle jusqu’à cequ’elle vienne me chercher. C’était une espèce de grosse boîte comme un coffreà jouets que mon père m’avaitconstruite. On jouait souvent à cache-cache tout les deux et il disait toujoursque le seul moyen de me cacher mieux que je ne le faisais déjà, serait que jedisparaisse complètement. Alors il m’a permis de devenir invisible en meconstruisant une malle de magicien à double fond. J’adorais ce truc… Bref, ilétait tard j’avais sommeil mais j’étais très obéissante comme gamine alors j’aidisparu. J’ai entendu ma mère tirer mes draps et sortir de ma chambre. Tout desuite après on a toqué à la porte. Tous les sons me parvenaient étouffés. Maisje peux encore identifier certaines choses. On a ouvert la porte… il y a eu unediscussion que je n’ai pas comprise, je n’entendais que des fins de phrases,des mots en vrac… Puis d’un coup j’ai tout entendu plus fort parce qu’ils ontélevé la voix. Ma mère se disputait avec un homme. Elle lui a ordonné de setaire et ils se sont éloignés. Dans sa chambre. Là je n’ai plus rien entendupendant un moment… Ensuite l’homme a hurlé « Dis-lemoi ! » et ma mère a crié « Non !». Puis une pause. Tout m’a paru durer plus longtemps... Sûrement parce quele temps passe plus lentement dans le noir et le silence... Quoi qu’il en soitil y a eu un blanc puis comme un hoquet de douleur… L’homme a encore ditquelque chose mais trop bas pour que je saisisse quoi. Après ça plus rien. J’aicompté des centaines de fois jusqu’à trente avant qu’il y est un changement…Encore trente et j’ai entendu des pas entrer dans ma chambre, ainsi que tout unremue-ménage. Ensuite la malle a été ouverte… Bien sûre il ne pouvait pas mevoir et moi non plus. Il l’a refermé et il est sortit. Finalement la ported’entrée a claqué et la voiture à démarré... J’ai attendu que maman vienne mechercher. Mais elle n’est pas venue. Alors j’ai compté encore et encore jusqu’àm’endormir. J’ignore combien de temps je suis resté enfermée mais j’ai quandmême fini par me décider à sortir… Il ne faisait pas encore jour alors j’ai duallumer la lumière. Ma chambre était sans dessus-dessous… J’ai slalomé entremes jouets pour rejoindre la chambre de ma mère. Il y avait une… une odeurbizarre, comme un grillage rouillé qui m’a donné la nausée… La porte de lachambre de ma mère était fermée. Je l’ai ouverte et j’ai allumé la lumière…C’est là que j’ai vu ma mère allongée sur le lit. Tout rouge… j’ai essayé de laréveiller mais c’était trop tard. Quand j’ai pris sa main elle était déjàfroide. Alors je suis allé m’assoir contre le mur et j’ai attendu… Mon père estrentré quelques heures après. Je le sais parce que le soleil inondait lachambre. Papa est entré et il a vu maman. Il a pleuré et ce n’est qu’ensuitequ’il a remarqué ma présence. Il m’a demandé ce que je savais. Je lui ai toutraconté. Il m’a débarrassé du sang que j’avais un peu partout et m’a passé mesvêtements préférés ainsi que mon collier, cadeau de naissance. Ensuite on aprit la voiture et on a roulé longtemps. On est arrivé devant une grandebâtisse avec une petite cours où des enfants jouaient. J’ai cru que c’était uneécole. Mon père m’a fait descendre de voiture et m’a porté par dessus leportail. Entre les grilles il m’a fait promettre de ne parler à personne, de nedire ni mon nom ni celui de mes amis ou de ma famille, bref de rester muettejusqu’à ce qu’il revienne me chercher. D’après lui j’étais en sécurité ici etil me suffisait d’attendre, il m’a juré de revenir vite. Ensuite il m’a donnéun petit sac que je devais remettre « à la maitresse », et il estpartit. La récré c’est finie et j’ai suivi les autres enfants. Ils sont venusme parler mais je n’ai pas répondu. Finalement une dame m’a repéré et m’ainterrogé, m’a demandé mon nom, comment j’étais arrivé là… Je n’ai rien ditmais je lui ai donné le sac. Je n’ai compris que plus tard qu’il était remplide billets… Après m’avoir fait manger et visiter les lieux, la« maitresse » m’a souhaité bienvenu à l’Orphelinat des Lauriers.
Comme promis je n’ai pas prononcé un mot. J’ai attendu monpère… L’ennui c’est qu’il n’est jamais revenu. J’ai continué à me taire, mêmesi je savais me faire comprendre. Quand les responsables de l’orphelinat ont vuque je n’étais pas bête ou malade, que j’étais tout aussi capable que lesautres, ils en ont déduit que j’étais seulement muette. J’ignore combiend’argent leur a donné mon père mais ils m’ont inscrite à l’école sous le nom deShady Wolf. Ils ont bien dut me donner un nom puisque je ne pouvais pas dire lemien et que je ne savais pas encore écrire… Shady Wolf a donc été àl’école ! Qui est un lieu vraiment très ennuyeux quand on ne parle àpersonne… Mais le collège est arrivé. Ah le collège ! Je m’y suisénormément plut. A tel point que j’ai recommencé à parler. Je me suis faite desamis, j’ai eu de bons résultats… A 14 ans j’ai révélé mon nom aux gens del’orphelinat qui c’étaient si bien occupé de moi pendant toutes ces années… Jesuis redevenu Ruby Jefferson aux yeux de la société et aux miens.
Mais deux mois plus tard, en rentrant du collège, j’aitrouvé un smiley dessiné sur le mur de ma chambre à l’orphelinat. J’ai d’abordcru à un canular de mes « colocataires ». J’ai passé un coup depeinture dessus et ma vie a continué.
Une semaine plus tard j’ai été agressée. Les autres enfantsétaient partis faire une sortie. Etant la plus âgée et la mieux disposée auxétudes j’avais eu l’autorisation de rester seule pour faire mes devoirs. Onavait tellement confiance en moi que j’étais une des rares pensionnaires àavoir les clés de l’orphelinat. Ils sont donc tous partis et je suis restéeseule. Je ne me souviens pas de grand-chose. Juste qu’on m’a attrapé et tiréviolemment par le collier. J’ai eu mal, je me suis débattue puis j’ai eu du malà respirer, mon ventre m’a brûlé et mes poignets aussi… Ensuite tout estconfus. J’ai repris conscience à l’hôpital. On m’a dit que j’avais eu une crisede panique à cause de je ne sais quelle connerie sur le « sentiment desolitude lié à une expérience traumatisante », et que j’avais tenté demettre fin à mes jours. On m’a aussi assuré que je ne devais pas m’inquiéter,que j’étais hors de danger et qu’on allé s’occuper de moi…
Ah oui on c’est bien occupé de moi… en psychiatrie… J’y suis resté quelques mois, découvrant mes blessureset tentant de convaincre des toubibs plus frappés que moi que je n’y étais pourrien… Heureusement j’ai rencontré un stagiaire qui me croyait. Mes marques nele dégoutaient pas et il m’a même convaincu de renoncer à toute forme devengeance. Avec son aide j’ai joué sur les repenties et la bonne conduite. Ilsm’ont libéré. A ma sortie on s’est mis ensemble Tim et moi - Tim c’est lefameux gentil stagiaire – et j’ai demandé mon émancipation. J’allais avoirquinze ans, Tim vingt quatre avec un avenir assuré, un bel appartement, lesmoyens financiers de m’entretenir… et vu son métier mes antécédentspsychiatrique n’ont pas posé trop de problème… J’ai obtenu l’émancipation etj’ai emménagé avec Tim.
Mais il s’en est fallut d’une semaine pour que je reçoiverégulièrement des messages dans ma boîte aux lettres genre « àbientôt », « prépares-toi », « tu es à moi »… J’aipris peur et ai décidé de changer de nom. Tim m’a appuyé dans mes démarchesmais j’ai refusé de lui dire quel nom j’avais choisi, voulant lui faire unesorte de surprise. En fait j’avais envisagé de le lui dire le jour de nosfiançailles prévu dans les semaines à venir.
Mais il était écrit que je ne connaîtrais pas le repos. Unmatin Tim a eut un accident en allant au travail, apparemment il conduisait entéléphonant et n’a pas vu le feu rouge… Il a survécu mais est tombé dans le coma.N’étant pas marié avec lui je n’ai pas eu mon mot à dire au sujet de la marcheà tenir, à savoir le débrancher ou attendre indéfiniment en espérant qu’il seréveil. C’est là que j’ai fait pour la première fois la connaissance de sesparents ! Des gens riches… et bien sûre je n’étais pas assez bien pourleur cher fils. Trop jeune, trop folle… Ils m’ont interdit de le voir et ontdécidé de ne pas le débrancher. Le contraire de mon avis bien entendu. J’aicraqué. En me voyant pleurer mes presque beaux-parents m’ont autorisé à dire aurevoir à Tim. Seul à seul. En guise d’adieu je lui ai murmuré mon nouveau nom àl’oreille : Opale Iferson. On m’avait dit que certaines personnes dans lecoma entendaient tout. J’espérais que ce soit son cas et qu’en connaissant monnom il pourrait me retrouver s’il devait se réveiller…
Puis j’ai fait ce que j’avais toujours sus faire. Me cacher.Disparaître. Dans la peau d’Opale Iferson je me suis engagée au plus vite dansl’armée afin de préparer ma vengeance. Sans Tim pour m’apaiser je n’avais pasd’autre but dans la vie…
Un jour comme les autres je suis tombé par hasard sur lesinfos à la télé. Un serial killer venait d’assassiner la famille d’un médiumréputé. Le meurtre était signé d’un smiley semblable au « mien ». C’estlà que j’ai compris. John le Rouge. Voilà qui m’avait fait ça. Alors je me suisrenseigné sur ce fameux « medium » aux incroyables dons… je ne croispas dans ces choses là mais s’il était aussi doué qu’on le prétendait ça valaitle coup d’essayer… Et là oh surprise ! Le prétendu médium Patrick Janetravaillait au CBI… J’ai tenté ma chance, m’orientant vers cette branche del’armée. Je me suis surpassée et voilà où j’en suis maintenant. Boudant le FBIpour le petit CBI où travail un génie traquant le même gibier que moi…
Voilà, tu connais mon histoire Jane…
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:44, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
"L'ERREUR"
je doit bien avoué qu'au début je n'étais pas super emballé par cette fic désolée, mais en lisant le récit d'Opale, j'ai révisé mon jugement. C'est .... je ne trouve pas les mots pour dire à quel point je trouve ça émouvant, triste et .....enfin voilà, tu as compris
dis, tu aime torturé les gens toi,
VLS VLS VLS
dis, tu aime torturé les gens toi,
VLS VLS VLS
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ouaww
VLS!!
VLS!!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Sweetylove30 a écrit:je doit bien avoué qu'au début je n'étais pas super emballé par cette fic désolée, mais en lisant le récit d'Opale, j'ai révisé mon jugement. C'est .... je ne trouve pas les mots pour dire à quel point je trouve ça émouvant, triste et .....enfin voilà, tu as compris
dis, tu aime torturé les gens toi,
VLS VLS VLS
:) Tu n'a pas a être désolé tu as tout à fait le droit de ne pas adhérer voyons !! ^^
Mais je suis contente que la partie Opale Story t'es plut ^^
Pour ce qui est de torturé les gens euh... ben... xDDDD c'est pas que j'aime ça mais c'est vrai que j'aime bien quand y a un peu de sang pour attiser la vengeance ! (oui oui méchante fille ! lol)
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super ! J'aime beaucoup cette partie, on sait enfin à quoi s'en tenir avec Opale J'avais peur qu'elle ne soit là pour tuer Jane ou quelque chose comme ça, mais elle va pouvoir l'aider maintenant
Impatiente de lire la suite !
Impatiente de lire la suite !
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
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