"L'ERREUR" [FINI] ^
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Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Je suis d'accord avec vous tous, faut que tu postes ! Et puis comme ça, ça rallongera l'histoire On aura plus à lire !
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Marine a écrit:Moi je veux lire !
Et puis il ne faut pas oublier qu'Opale est quand même l'héroïne de cette histoire, il ne faut pas l'évincer juste pour du Jisbon... Que veux-tu, je m'attache à cette fille moi !
Je suis d'accord avec toi, je me suis trop attaché à Opale.
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Bon daccord donc je fais la "version longue" lol La scène dont je parlais commence au chapitre 28... Bonne lecture :)
* * * * *
- Wahou, c’était bizarre…
- Merci, je sais que je suis un peu rouillé mais quandmême !
Opale rit de son air vexé.
- Ce n’est pas ce que je voulais dire ! non ça c’était…c’était juste parfait, c’est l’après qui est étrange... Tu comprends j’ail’impression…
- De tromper Tim ?
- Oui. Toi aussi ?
Jane sourit, à la fois amusé et un peu tendu.
- Non, non pas vraiment je ne connais pas Tim. Mais j’ai eul’impression de trahir ma femme, oui.
Iferson détourna les yeux et pinça les lèvres, s’en voulantd’en apprécier encore le gout de… thé. Elle se reprit pour demander :
- Est-ce que ça fait de nous deux salops ?
- Je crois que ça fait de nous des personnes seules uniesdans un même but… et qui cherchent un peu de bonheur et de réconfort.
- C’est aussi mon avis.
- C’est parce que je lis dans tes pensées !
Opale pouffa et recula discrètement d’un pas. Mieux valaits’éloigner avant de commettre l’irréparable.
- Si tu lis dans mes pensées devine ce que je vais te dire.
Jane l’observa une seconde.
- Si tu étais n’importe qu’elle fille tu me diraisprobablement que ce n’était qu’une erreur, ou encore qu’il vaudrait mieux qu’onen reste là…
Elle croisa les bras, attendant la suite.
- Mais tu n’es pas ce genre de fille.
- Ah non ? Alors quel est mon genre ?
- Toi tu es le genre de fille qui se dit que tant qu’on nes’envoi pas en l’air il n’y a rien d’impardonnable.
Opale n’en revenait pas qu’il ait osé le dire et rougitjusqu’aux oreilles :
- Je pensais parler de « partenariat rapproché maisvertueux » mais ta version est nettement plus explicite !
* * * * *
Chapitre28 : Mesures préventives, RJ 1 - 0 Police
En arrivant au CBI, ce matin là, Lisbon expliqua les mesuresde sécurités désormais imposées chez Iferson.
- … il y aura systématiquement une dizaine de flic arméséparpillée sur la zone à différent post de surveillance à savoir la fenêtre, leparking, et tous les autres lieux de passages possibles. Dans le couloir deuxautres flics seront chargés d’une protection plus rapprochée. L’un accompagneraIferson dans ses déplacements hors travail et l’autre gardera l’appartement enattendant. Si John le Rouge tente quoi que ce soit, nous l’épinglerons.
Opale soupira intérieurement. Ne pas pouvoir faire neserait-ce que ses courses seules, l’agaçait prodigieusement. Mais bien sûreelle se plierait aux ordres, bien qu’elle soit persuadée que toutes lesprotections du monde ne pourraient empêcher John le Rouge de s’en prendre àelle.
Sentiment qui se confirma dès le soir…
* * * * *
Iferson rentra chez elle, exténuée par cette journée detravail durant laquelle Lisbon l’avait accablée de dossier à corriger, de fichesà classer, de photocopies à faire… Avec tout cela elle n’avait même pas eul’occasion de parler à Jane une minute. Opale soupçonnait Lisbon d’avoir faitexprès. « Mais c’est trop tard », pensa-t-elle.
Ereintée, elle décida de se louer un film pour décompresser,tout en grignotant un sandwich au beurre de cacahuètes.
Dès qu’elle passa la porte un des flics posté dans lecouloir se précipita vers elle.
- Ah oui, vous devez m’accompagner… C’est juste en face, jevais louer un DVD.
Il la suivit sans protester, échangeant un simple coup d’œilavec son coéquipier qui lui répondit d’un signe de main.
Dans la boutique, le policier (Jerry d’après son badge) ne laquitta pas d’une semelle, une main portée à son arme, l’autre serrant sontalkie-walkie.
Elle leva les yeux au ciel. Il en faisait des tonnes,sûrement un nouveau vu son jeune âge. Elle poursuivait sa quête du bon film quand un bruit sourd se fitentendre. Elle se retourna vivement. Derrière elle plus de Jerry. Elle revintsur ses pas, et le trouva dans le rayon d’à côté. Assis par terre. Une vilainebosse sur le front. Elle n’eut pas même le temps de s’emparer de sontalkie-walkie pour appeler les renforts qu’une main lui plaqua la bouche.
* * * * *
Jane n’avait pas non plus passé une très bonne journée.Rigsby l’avait harcelé pour savoir ce qu’il avait fait avec Opale cette nuit,il avait à peine croisé cette dernière, et Lisbon l’avait envoyé bouler quandil était allait la voir pour se plaindre de s’ennuyer. Bien assez de raisonspour justifier qu’il rentre chez lui de mauvaise humeur.
Il poussa la porte d’entrée et alluma la lumière. Ilsursauta, manquant de lâcher les deux courses qu’il venait de faire.
Assise sur une chaise, appuyée sur le comptoir de lacuisine, Opale l’attendait. Sauf que son expression n’avait rien de l’Opalequ’il connaissait.
Elle avait croisé les jambes et ouvert son chemisier à lamanière d’une strip-teaseuse. Elle l’observait fixement, un sourire à la foisaguicheur et carnassier sur les lèvres, une lueur cruelle dans les yeux.Pendant une seconde Jane se dit qu’il n’avait peut-être pas très bien compritle sens de « partenariat rapproché mais vertueux»… Mais dès qu’elle parlail sut ce qui n’allait pas.
- Salut, Jane… John le Rouge te passe le bonsoir !
Il prit son portable et composa le premier numéro qui luivint à l’esprit, espérant ne pas essuyer un vent cette fois.
- Jane ?
- Lisbon, on a un problème…
* * * * *
Dix minutes plus tard le reste de l’équipe arrivait.
- Jane, qu’est-ce qu’il se passe ?
Il ne prit pas la peine de répondre, se contentant dedésigner Opale.
Celle-ci dessinait inlassablement des smiley à mains nuessur le mur, à équidistance les uns des autres. Régulièrement elle utilisait unpetit couteau pour agrandir ses entailles aux doigts.
- Elle est sous hypnose, expliqua Jane.
Les autres restèrent choqués. Lisbon ordonna.
- Rigsby, empêchez-là de se faire du mal.
- Je ne ferais pas ça si j’étais vous…conseilla Jane.
Rigsby l’ignora et se précipita sur Opale. Il n’eut même pasl’occasion de l’effleurer qu’il était déjà à terre. En trois coups, portés avecune redoutable précision, elle l’avait mit hors-jeu. Rigsby se releva, tantbien que mal, plié en deux, le souffle court. Jane soupira :
- J’ai essayé de l’arrêter aussi mais…
Il tourna alors la tête, révélant une marque mêlant le rougeet le bleu sous son œil.
- Vous saignez ! s’exclama Lisbon ensaisissant une serviette posée sur le comptoir de la cuisine.
Elle l’humidifia avec sa langue et l’appliqua sur lablessure de Jane. Celui-ci se laissa faire sans protester.
- Ce n’est pas mon sang, marmonna-t-il,c’est le sien.
Il eut un rire faux qui résonna aux oreilles de Lisbon, laglaçant d’effroi, réveillant sa haine.
Elle termina de le débarbouiller avec des gestes d’uneinfinie douceur, usant de mille précautions.
En arrière plan, Van Pelt s’assurait que Rigsby reprenaitses esprits, et Cho fixait Opale, visiblement nerveux.
- Jane, on fait quoi pour elle ?
Il secoua la tête en signe d’impuissance.
- On attend qu’elle finisse de délivrerson message. Ce n’est qu’après ça qu’elle pourra… revenir.
A peine avait-t-il fait cette remarque qu’Opale stoppa nettesa besogne. Elle laissa tomber son couteau et s’empara d’un stylo noir planquédans son soutif.
Elle inscrivit avec quelque chose sous chaque smiley.Arrivée au bout de ses dessins morbides, elle lâcha son stylo et s’avança prèsdu groupe, un sourire satisfait aux lèvres. Instinctivement ils portèrent lamain à leur arme mais Opale les ignora. Elle prit délicatement la main de Jane,entremêla ses doigts aux siens et l’emmena admirer son mur des horreurs.
Le visage de Jane se décomposait au fur et à mesure qu’ildécouvrait les noms écrits sous les smileys. Des noms qu’il avait lu descentaines de fois. Le nom de toutes les victimes de John le Rouge. Un smileypour chacun d’entre eux.
Un peu au dessus des autres il lu le nom de sa femme et desa fille. Sa gorge se serra.
Plus bas, sur la droite, séparé du tout et semblable à despoints de suspension, trois smileys au nom de Van Pelt, Rigsby et Cho… etencore plus loin, isolé, un autre. Pour Lisbon celui-là.
Jane pâlit, manqua de s’évanouir… Mais il état incapable dedétourner le regard, et la promesse de mort se grava profondément dans sonesprit, se ficha dans son cœur.
Il suffoquait.
Opale le contemplait avec de grands yeux amoureux, fière deson cadeau. Elle lâcha la main de Jane pour mettre la touche finale à son chefd’œuvre. Elle ramassa son stylo et traça un cœur noir autour des smileys auxnoms de la famille de Jane. Ce dernier murmura, à l’agonie :
- Arrêtes…
Opale l’ignora et s’entailla une nouvelle fois le doigt,traçant un autre cœur, écarlate celui-là, pour le smiley de Lisbon.
Celle-ci observait la scène au loin, impuissante, maudissantintérieurement John le Rouge et Iferson, bouillonnant de rage, rêvant de dégainerson flingue là maintenant et de faire cesser cette torture.
Opale en avait visiblement terminé avec son tableau sadique.Aussi s’en retourna-t-elle auprès de Jane, tout sourire. Un sourire de petitefille innocente.
- Jane, est-ce qu’on peut venir ?, demanda Lisbon quine supportait plus de le voir souffrir sans rien dire.
- Oui, souffla-t-il comme s’il craignait de réveiller Opale,je crois qu’elle a bientôt fini.
Lisbon et les autres s’avancèrent avec précaution, soutenantmoralement leur collègue par leur proximité.
Opale ne fit pas attention à eux. Elle s’était plantéedevant Jane, le regard vide, attendant de nouvelles instructions muettes.Soudain elle lâcha :
- Embrasse-moi.
- Pourquoi ?, s’impatienta Lisbon à bout de nerfs.
Jane de son côté sortait peu à peu de son état de choc pourréfléchir. Quelque chose n’allait pas dans cette demande. Il prit une voixdouce.
- Oui, pourquoi Opale ? J’ai bien reçu le message deJohn le Rouge, tu as accompli ta mission, tu peux revenir maintenant… Pourquoifaudrait-il que je t’embrasse ?
Les yeux d’Opale clignèrent à une vitesse inquiétante, commesi elle cherchait à se réveiller mais que quelque chose l’en empêchait. Quandelle parla sa voix avait perdu de son assurance.
- Il veut que tutrompe ta femme et que tu te sentes encore plus coupable… Il y a autre chose maisje… je ne sais pas… il ne l’a pas dit !
Elle porta une main à sa tempe, les traits tordus dedouleur.
- Jane qu’est-ce qu’il se passe ?, le pressa Lisbon.
- Elle essai de réfléchir par elle-même mais l’hypnose luibloque l’accès à ses souvenirs. Elle se bat.
Jane n’avait plus rien de l’homme-enfant tour à tour taquin ou enjôleur. Il était redevenu lementaliste manipulateur, expérimenté, le maître absolu des émotions. Il savaitquoi faire. Il savait aussi que ce serait lui infliger un supplice. Mais ellen’en ressortirait que plus forte.
- Opale, concentre-toi sur ma voix…Essais de te souvenir.Souvient-toi de ce matin…
Iferson grimaça, lapression dans sa tête ne cessant de croître. Elle commençait à haleter.
- Je… suis… Ruby… .
Jane acquiesça lentement, cherchant à provoquer un contactevisuel.
- Oui... c’est ça Ruby. Et c’est un joli nom… on vacontinuer si tu le veux bien…
La voix de Jane avait quelque chose d’envoûtant, au pointque même Lisbon restait suspendu à ses lèvres.
- Tu te rappelles quand tu as affirmé que l’on retrouveraitJohn le Rouge ? Et quand tu m’as fait une promesse ?
Elle émit un gémissement torturé et tomba à genou, la têteentre les mains. Jane continua, imperturbable.
- Ruby, murmura-t-il. Souviens-toi, à ce moment là je t’aiembrassé…
Iferson cria, son crâne menaçant d’exploser. Rien necomptait plus que de terminer sa mission, pourquoi cette autre voixprétendait-elle qu’elle avait déjà réussi ?
Incapable de lutter plus longtemps elle se leva d’un bond,agrippant le cou de Jane et lui arracha un baiser passionné.
Lisbon détourna le regard.
Aussi soudainement qu’elle s’était jetée sur lui, Opale lerepoussa. Les yeux écarquillés, l’air hagard.
Elle tenta de repérer l’endroit où elle se trouvait, decomprendre le pourquoi de ces gens devant elle… Autre problème : pourquoiavait-elle si mal aux doigts… Et à la tête… Beaucoup trop de question pour unemigraineuse. Elle éclata.- Mais c’est quoi ce délire ??!!
* * * * *
- Wahou, c’était bizarre…
- Merci, je sais que je suis un peu rouillé mais quandmême !
Opale rit de son air vexé.
- Ce n’est pas ce que je voulais dire ! non ça c’était…c’était juste parfait, c’est l’après qui est étrange... Tu comprends j’ail’impression…
- De tromper Tim ?
- Oui. Toi aussi ?
Jane sourit, à la fois amusé et un peu tendu.
- Non, non pas vraiment je ne connais pas Tim. Mais j’ai eul’impression de trahir ma femme, oui.
Iferson détourna les yeux et pinça les lèvres, s’en voulantd’en apprécier encore le gout de… thé. Elle se reprit pour demander :
- Est-ce que ça fait de nous deux salops ?
- Je crois que ça fait de nous des personnes seules uniesdans un même but… et qui cherchent un peu de bonheur et de réconfort.
- C’est aussi mon avis.
- C’est parce que je lis dans tes pensées !
Opale pouffa et recula discrètement d’un pas. Mieux valaits’éloigner avant de commettre l’irréparable.
- Si tu lis dans mes pensées devine ce que je vais te dire.
Jane l’observa une seconde.
- Si tu étais n’importe qu’elle fille tu me diraisprobablement que ce n’était qu’une erreur, ou encore qu’il vaudrait mieux qu’onen reste là…
Elle croisa les bras, attendant la suite.
- Mais tu n’es pas ce genre de fille.
- Ah non ? Alors quel est mon genre ?
- Toi tu es le genre de fille qui se dit que tant qu’on nes’envoi pas en l’air il n’y a rien d’impardonnable.
Opale n’en revenait pas qu’il ait osé le dire et rougitjusqu’aux oreilles :
- Je pensais parler de « partenariat rapproché maisvertueux » mais ta version est nettement plus explicite !
* * * * *
Chapitre28 : Mesures préventives, RJ 1 - 0 Police
En arrivant au CBI, ce matin là, Lisbon expliqua les mesuresde sécurités désormais imposées chez Iferson.
- … il y aura systématiquement une dizaine de flic arméséparpillée sur la zone à différent post de surveillance à savoir la fenêtre, leparking, et tous les autres lieux de passages possibles. Dans le couloir deuxautres flics seront chargés d’une protection plus rapprochée. L’un accompagneraIferson dans ses déplacements hors travail et l’autre gardera l’appartement enattendant. Si John le Rouge tente quoi que ce soit, nous l’épinglerons.
Opale soupira intérieurement. Ne pas pouvoir faire neserait-ce que ses courses seules, l’agaçait prodigieusement. Mais bien sûreelle se plierait aux ordres, bien qu’elle soit persuadée que toutes lesprotections du monde ne pourraient empêcher John le Rouge de s’en prendre àelle.
Sentiment qui se confirma dès le soir…
* * * * *
Iferson rentra chez elle, exténuée par cette journée detravail durant laquelle Lisbon l’avait accablée de dossier à corriger, de fichesà classer, de photocopies à faire… Avec tout cela elle n’avait même pas eul’occasion de parler à Jane une minute. Opale soupçonnait Lisbon d’avoir faitexprès. « Mais c’est trop tard », pensa-t-elle.
Ereintée, elle décida de se louer un film pour décompresser,tout en grignotant un sandwich au beurre de cacahuètes.
Dès qu’elle passa la porte un des flics posté dans lecouloir se précipita vers elle.
- Ah oui, vous devez m’accompagner… C’est juste en face, jevais louer un DVD.
Il la suivit sans protester, échangeant un simple coup d’œilavec son coéquipier qui lui répondit d’un signe de main.
Dans la boutique, le policier (Jerry d’après son badge) ne laquitta pas d’une semelle, une main portée à son arme, l’autre serrant sontalkie-walkie.
Elle leva les yeux au ciel. Il en faisait des tonnes,sûrement un nouveau vu son jeune âge. Elle poursuivait sa quête du bon film quand un bruit sourd se fitentendre. Elle se retourna vivement. Derrière elle plus de Jerry. Elle revintsur ses pas, et le trouva dans le rayon d’à côté. Assis par terre. Une vilainebosse sur le front. Elle n’eut pas même le temps de s’emparer de sontalkie-walkie pour appeler les renforts qu’une main lui plaqua la bouche.
* * * * *
Jane n’avait pas non plus passé une très bonne journée.Rigsby l’avait harcelé pour savoir ce qu’il avait fait avec Opale cette nuit,il avait à peine croisé cette dernière, et Lisbon l’avait envoyé bouler quandil était allait la voir pour se plaindre de s’ennuyer. Bien assez de raisonspour justifier qu’il rentre chez lui de mauvaise humeur.
Il poussa la porte d’entrée et alluma la lumière. Ilsursauta, manquant de lâcher les deux courses qu’il venait de faire.
Assise sur une chaise, appuyée sur le comptoir de lacuisine, Opale l’attendait. Sauf que son expression n’avait rien de l’Opalequ’il connaissait.
Elle avait croisé les jambes et ouvert son chemisier à lamanière d’une strip-teaseuse. Elle l’observait fixement, un sourire à la foisaguicheur et carnassier sur les lèvres, une lueur cruelle dans les yeux.Pendant une seconde Jane se dit qu’il n’avait peut-être pas très bien compritle sens de « partenariat rapproché mais vertueux»… Mais dès qu’elle parlail sut ce qui n’allait pas.
- Salut, Jane… John le Rouge te passe le bonsoir !
Il prit son portable et composa le premier numéro qui luivint à l’esprit, espérant ne pas essuyer un vent cette fois.
- Jane ?
- Lisbon, on a un problème…
* * * * *
Dix minutes plus tard le reste de l’équipe arrivait.
- Jane, qu’est-ce qu’il se passe ?
Il ne prit pas la peine de répondre, se contentant dedésigner Opale.
Celle-ci dessinait inlassablement des smiley à mains nuessur le mur, à équidistance les uns des autres. Régulièrement elle utilisait unpetit couteau pour agrandir ses entailles aux doigts.
- Elle est sous hypnose, expliqua Jane.
Les autres restèrent choqués. Lisbon ordonna.
- Rigsby, empêchez-là de se faire du mal.
- Je ne ferais pas ça si j’étais vous…conseilla Jane.
Rigsby l’ignora et se précipita sur Opale. Il n’eut même pasl’occasion de l’effleurer qu’il était déjà à terre. En trois coups, portés avecune redoutable précision, elle l’avait mit hors-jeu. Rigsby se releva, tantbien que mal, plié en deux, le souffle court. Jane soupira :
- J’ai essayé de l’arrêter aussi mais…
Il tourna alors la tête, révélant une marque mêlant le rougeet le bleu sous son œil.
- Vous saignez ! s’exclama Lisbon ensaisissant une serviette posée sur le comptoir de la cuisine.
Elle l’humidifia avec sa langue et l’appliqua sur lablessure de Jane. Celui-ci se laissa faire sans protester.
- Ce n’est pas mon sang, marmonna-t-il,c’est le sien.
Il eut un rire faux qui résonna aux oreilles de Lisbon, laglaçant d’effroi, réveillant sa haine.
Elle termina de le débarbouiller avec des gestes d’uneinfinie douceur, usant de mille précautions.
En arrière plan, Van Pelt s’assurait que Rigsby reprenaitses esprits, et Cho fixait Opale, visiblement nerveux.
- Jane, on fait quoi pour elle ?
Il secoua la tête en signe d’impuissance.
- On attend qu’elle finisse de délivrerson message. Ce n’est qu’après ça qu’elle pourra… revenir.
A peine avait-t-il fait cette remarque qu’Opale stoppa nettesa besogne. Elle laissa tomber son couteau et s’empara d’un stylo noir planquédans son soutif.
Elle inscrivit avec quelque chose sous chaque smiley.Arrivée au bout de ses dessins morbides, elle lâcha son stylo et s’avança prèsdu groupe, un sourire satisfait aux lèvres. Instinctivement ils portèrent lamain à leur arme mais Opale les ignora. Elle prit délicatement la main de Jane,entremêla ses doigts aux siens et l’emmena admirer son mur des horreurs.
Le visage de Jane se décomposait au fur et à mesure qu’ildécouvrait les noms écrits sous les smileys. Des noms qu’il avait lu descentaines de fois. Le nom de toutes les victimes de John le Rouge. Un smileypour chacun d’entre eux.
Un peu au dessus des autres il lu le nom de sa femme et desa fille. Sa gorge se serra.
Plus bas, sur la droite, séparé du tout et semblable à despoints de suspension, trois smileys au nom de Van Pelt, Rigsby et Cho… etencore plus loin, isolé, un autre. Pour Lisbon celui-là.
Jane pâlit, manqua de s’évanouir… Mais il état incapable dedétourner le regard, et la promesse de mort se grava profondément dans sonesprit, se ficha dans son cœur.
Il suffoquait.
Opale le contemplait avec de grands yeux amoureux, fière deson cadeau. Elle lâcha la main de Jane pour mettre la touche finale à son chefd’œuvre. Elle ramassa son stylo et traça un cœur noir autour des smileys auxnoms de la famille de Jane. Ce dernier murmura, à l’agonie :
- Arrêtes…
Opale l’ignora et s’entailla une nouvelle fois le doigt,traçant un autre cœur, écarlate celui-là, pour le smiley de Lisbon.
Celle-ci observait la scène au loin, impuissante, maudissantintérieurement John le Rouge et Iferson, bouillonnant de rage, rêvant de dégainerson flingue là maintenant et de faire cesser cette torture.
Opale en avait visiblement terminé avec son tableau sadique.Aussi s’en retourna-t-elle auprès de Jane, tout sourire. Un sourire de petitefille innocente.
- Jane, est-ce qu’on peut venir ?, demanda Lisbon quine supportait plus de le voir souffrir sans rien dire.
- Oui, souffla-t-il comme s’il craignait de réveiller Opale,je crois qu’elle a bientôt fini.
Lisbon et les autres s’avancèrent avec précaution, soutenantmoralement leur collègue par leur proximité.
Opale ne fit pas attention à eux. Elle s’était plantéedevant Jane, le regard vide, attendant de nouvelles instructions muettes.Soudain elle lâcha :
- Embrasse-moi.
- Pourquoi ?, s’impatienta Lisbon à bout de nerfs.
Jane de son côté sortait peu à peu de son état de choc pourréfléchir. Quelque chose n’allait pas dans cette demande. Il prit une voixdouce.
- Oui, pourquoi Opale ? J’ai bien reçu le message deJohn le Rouge, tu as accompli ta mission, tu peux revenir maintenant… Pourquoifaudrait-il que je t’embrasse ?
Les yeux d’Opale clignèrent à une vitesse inquiétante, commesi elle cherchait à se réveiller mais que quelque chose l’en empêchait. Quandelle parla sa voix avait perdu de son assurance.
- Il veut que tutrompe ta femme et que tu te sentes encore plus coupable… Il y a autre chose maisje… je ne sais pas… il ne l’a pas dit !
Elle porta une main à sa tempe, les traits tordus dedouleur.
- Jane qu’est-ce qu’il se passe ?, le pressa Lisbon.
- Elle essai de réfléchir par elle-même mais l’hypnose luibloque l’accès à ses souvenirs. Elle se bat.
Jane n’avait plus rien de l’homme-enfant tour à tour taquin ou enjôleur. Il était redevenu lementaliste manipulateur, expérimenté, le maître absolu des émotions. Il savaitquoi faire. Il savait aussi que ce serait lui infliger un supplice. Mais ellen’en ressortirait que plus forte.
- Opale, concentre-toi sur ma voix…Essais de te souvenir.Souvient-toi de ce matin…
Iferson grimaça, lapression dans sa tête ne cessant de croître. Elle commençait à haleter.
- Je… suis… Ruby… .
Jane acquiesça lentement, cherchant à provoquer un contactevisuel.
- Oui... c’est ça Ruby. Et c’est un joli nom… on vacontinuer si tu le veux bien…
La voix de Jane avait quelque chose d’envoûtant, au pointque même Lisbon restait suspendu à ses lèvres.
- Tu te rappelles quand tu as affirmé que l’on retrouveraitJohn le Rouge ? Et quand tu m’as fait une promesse ?
Elle émit un gémissement torturé et tomba à genou, la têteentre les mains. Jane continua, imperturbable.
- Ruby, murmura-t-il. Souviens-toi, à ce moment là je t’aiembrassé…
Iferson cria, son crâne menaçant d’exploser. Rien necomptait plus que de terminer sa mission, pourquoi cette autre voixprétendait-elle qu’elle avait déjà réussi ?
Incapable de lutter plus longtemps elle se leva d’un bond,agrippant le cou de Jane et lui arracha un baiser passionné.
Lisbon détourna le regard.
Aussi soudainement qu’elle s’était jetée sur lui, Opale lerepoussa. Les yeux écarquillés, l’air hagard.
Elle tenta de repérer l’endroit où elle se trouvait, decomprendre le pourquoi de ces gens devant elle… Autre problème : pourquoiavait-elle si mal aux doigts… Et à la tête… Beaucoup trop de question pour unemigraineuse. Elle éclata.- Mais c’est quoi ce délire ??!!
Dernière édition par Elwing le Sam 30 Oct 2010 - 12:49, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
oh trop bien j'adore mais j'ai paas aimé le baisé de Jane et Opale
pauvre Janinounet il souffre encore à cause de RJ
pourquoi lui infligé pareille torture psychologique, t'es vraiment trop cruelle
donc, une suite Jisbon ou Jiferson?
moi je vote pour Jisbon,
la salle des votes est ouverte
pauvre Janinounet il souffre encore à cause de RJ
pourquoi lui infligé pareille torture psychologique, t'es vraiment trop cruelle
donc, une suite Jisbon ou Jiferson?
moi je vote pour Jisbon,
la salle des votes est ouverte
Sweetylove30- Red John
- Personnage préféré : lisbon, jane
Loisirs : lecture, ecriture
Localisation : devant mon ordi avec Patrick Jane dans mes bras
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Et ben dis donc ! Je te tire mon chapeau là ! Cette scène est tout simplement extraordinaire !
Je reste sans voix !!!
C'est du grand art !
Bon, je vote pour Jisbon, le deuxième baiser entre Jane et Opale n'était peut-être pas nécessaire, mais ça met plus de piment dans l'histoire !
Je reste sans voix !!!
C'est du grand art !
Bon, je vote pour Jisbon, le deuxième baiser entre Jane et Opale n'était peut-être pas nécessaire, mais ça met plus de piment dans l'histoire !
Flicka11- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane
Loisirs : Cinéma, Musique, Lire et écrire des fanfics Jisbon ;-)
Localisation : Dans un tout petit pays pas très loin de la France :-P
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Flicka11 a écrit:Et ben dis donc ! Je te tire mon chapeau là ! Cette scène est tout simplement extraordinaire !
Je reste sans voix !!!
C'est du grand art !
Bon, je vote pour Jisbon, le deuxième baiser entre Jane et Opale n'était peut-être pas nécessaire, mais ça met plus de piment dans l'histoire !
Merci ^^ et tout vos votes sont pris en compte xD
Pour le 2nd baiser... je l'expliquerait plus tard (sinon j'vais tout spoiler TT lol)
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ca c'est du sadisme Tu turture Jane, Opale et Lisbon.
C'est sûr qu'après ça, ça ne peut finir qu'en Jisbon, Si Jane ressentais quelque chose pour Opale, tout est foutue.
C'est sûr qu'après ça, ça ne peut finir qu'en Jisbon, Si Jane ressentais quelque chose pour Opale, tout est foutue.
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Tu es géniale, bravo pour ce chapitre
De toute façon tu as clairement exprimé que ça finirait en Jisbon donc.... Mais j'avoue que le Jiferson m'aurait bien tenté, j'aurais aimé voir par quelle ruse tu aurais pu créer une jolie histoire entre ces 2 là... tant pis...
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Marine a écrit:
Tu es géniale, bravo pour ce chapitre
De toute façon tu as clairement exprimé que ça finirait en Jisbon donc.... Mais j'avoue que le Jiferson m'aurait bien tenté, j'aurais aimé voir par quelle ruse tu aurais pu créer une jolie histoire entre ces 2 là... tant pis...
T'inquiète pas Marine le Jisbon n'est qu'un fin alternative ^^ Je Jifersonerais quand je Chisbonerais dans une autre fin alternative... mais non ce n'est pas compliqué, juste tordu !
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Merci Elwing !
Marine- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Patrick Jane & Cho
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Trop bien cette scène sous hypnose!!!
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Oualalala , j'ai rattrapé mon retard & je peut dire ; BRAVO
Perso , j'aime pas trop cette Opale moi....^^
Bref..Une suite Jisbonniennes J'espere !
V.L.s
Perso , j'aime pas trop cette Opale moi....^^
Bref..Une suite Jisbonniennes J'espere !
V.L.s
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Elwing a écrit:T'inquiète pas Marine le Jisbon n'est qu'un fin alternative ^^ Je Jifersonerais quand je Chisbonerais dans une autre fin alternative
Jifersoner ? Chisboner ?
On passe de la fiction Jisbon à la fiction d'horreur ...
Mais quoi que tu fasses je le lirai ( quitte à vomir tripes et boyaux )
Aurcoco- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane♥Lisbon, et • Red John •
Loisirs : Regarder les épisodes de TM, Lire, Cinéma, Dessiner ...
Localisation : Champagne-Ardenne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Noooooooooooooooooooooooooooon
Trop de Janopal !!! tu sait très bien que j'ai des envies de la tab***er celle là alors pourquoi tant d'horreurs le baiser consentant était... mais alors quand elle l'a embrasser sous les yeux de Lisbon j'ai crû que j'allais...
Je suis ok pour cette fin alternative ou Opale est tuée psychologiquement et physiquement (ça serait cool qu'elle souffre à mort là ) et puis une fin ultra méga jisbonnière
Trop de Janopal !!! tu sait très bien que j'ai des envies de la tab***er celle là alors pourquoi tant d'horreurs le baiser consentant était... mais alors quand elle l'a embrasser sous les yeux de Lisbon j'ai crû que j'allais...
Je suis ok pour cette fin alternative ou Opale est tuée psychologiquement et physiquement (ça serait cool qu'elle souffre à mort là ) et puis une fin ultra méga jisbonnière
kis- Agent de circulation
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
kis a écrit:Noooooooooooooooooooooooooooon
Trop de Janopal !!! tu sait très bien que j'ai des envies de la tab***er celle là alors pourquoi tant d'horreurs le baiser consentant était... mais alors quand elle l'a embrasser sous les yeux de Lisbon j'ai crû que j'allais...
Je suis ok pour cette fin alternative ou Opale est tuée psychologiquement et physiquement (ça serait cool qu'elle souffre à mort là ) et puis une fin ultra méga jisbonnière
+100 000 000 000 000 000 000
Je sens que nous allons bien nous entendre ...
Jisbon Power !!!!
Aurcoco- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane♥Lisbon, et • Red John •
Loisirs : Regarder les épisodes de TM, Lire, Cinéma, Dessiner ...
Localisation : Champagne-Ardenne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Aurcoco a écrit:kis a écrit:Noooooooooooooooooooooooooooon
Trop de Janopal !!! tu sait très bien que j'ai des envies de la tab***er celle là alors pourquoi tant d'horreurs le baiser consentant était... mais alors quand elle l'a embrasser sous les yeux de Lisbon j'ai crû que j'allais...
Je suis ok pour cette fin alternative ou Opale est tuée psychologiquement et physiquement (ça serait cool qu'elle souffre à mort là ) et puis une fin ultra méga jisbonnière
+100 000 000 000 000 000 000
Je sens que nous allons bien nous entendre ...
Jisbon Power !!!!
Ooooh Ouais Jisbon power (Rigspelt power aussi)
kis- Agent de circulation
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
kis a écrit:Aurcoco a écrit:kis a écrit:Noooooooooooooooooooooooooooon
Trop de Janopal !!! tu sait très bien que j'ai des envies de la tab***er celle là alors pourquoi tant d'horreurs le baiser consentant était... mais alors quand elle l'a embrasser sous les yeux de Lisbon j'ai crû que j'allais...
Je suis ok pour cette fin alternative ou Opale est tuée psychologiquement et physiquement (ça serait cool qu'elle souffre à mort là ) et puis une fin ultra méga jisbonnière
+100 000 000 000 000 000 000
Je sens que nous allons bien nous entendre ...
Jisbon Power !!!!
Ooooh Ouais Jisbon power (Rigspelt power aussi)
+ 1
Pas de Chisbon !! Du Jisbon ! Du Jiferson si tu veux mais une fin Jisbon, s'il te plait s'il te plait s'il te plait...
J'adore cette dernière scène, c'est brillant !
Mini- Agent de circulation
- Personnage préféré : Lisbon & Jane, Cho.
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Moi les trois fins me vont .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Olala que d'animations ! xD Pas de stress il y en aura pour tout les goûts.
Voici la suite... bon si y a des passages un peu compliqués, n'hésitez pas à demander des éclaircissements ! Bonne lecture ^^
* * * * *
Chapitre 29 : Décryptage
- Le message me semble clair…
- Il l’est, oui.
- Il faudrait prévenir les autres pour Jerry, il a quandmême reçu un bon coup sur la tête.
- Ca c’est un travail d’agent, nous on se contente dedécrypter le message.
- C’est tout décrypté.
Lisbon perdit patience :
- Et est-ce que les grands génies que vous êtes pourraientfaire partager leurs conclusions aux communs des mortels ?
Cela faisait dix minutes à peine qu’Opale était sortit deson état hypnotique et il avait fallu lui expliquer la scène pendant qu’elledésinfectait et pansait ses doigts. De son côté elle avait raconté son histoireau video-club. Le tout c’était fait très vite et depuis elle et Jane parcouraitdes yeux le mur ensanglanté, au grand damne des quatre agents qui necomprenaient rien à leur babillages.
- Opale, expliquent-leur, moi je vais faire du thé…, ditJane en s’éloignant, l’air patraque.
Iferson se lança.
- Très bien… On peut voir que les premiers smiley aux nomsde ses victimes suivent une même trajectoire et qu’ils sont à équidistance lesuns des autres, ce qui indique une logique, un mouvement rectiligne uniformevers une destination précise et, j’insiste encore, sur le caractère logique.
Lisbon écoutez attentivement, gênée de constater qu’Ifersonne semblait pas plus perturbée que ça par son sang sur le mur.
- Je dois comprendre que selon vous ses crimes ont un but,qu’il n’opère pas au hasard.
- Exactement, patron.
- Et c’est quoi la logique, demanda Cho.
Opale haussa les épaules.
- Aucune idée. Les victimes sont répertoriées par ordrechronologique… Ce qui me perturbe c’est qu’il n’y a pas le nom de ma mère. Detoute évidence il ne la jugeait pas assez importante pour la signer…
En disant cela elle serra les poings, contrôlant sa rancœur.Lisbon tenta de la distraire :
- Mais les noms de Mme Jane et de sa fille ne suivent pasl’ordre logique dont vous parlez…
Jane revint à ce moment, avec le thé. En entendant parler desa femme et de sa fille il fixa leur smiley, un spasme agitant sa mâchoire, leregard plus gris que bleu. Opale détourna les yeux, incapable d’agir. Ellen’était sûrement pas la bonne personne pour le réconforter à l’heure actuelle…pas après l’avoir fait souffrir. Lisbon intervint, lui prenant le plateau desmains elle lui tendit un mug de thé et l’obligea à la regarder.
- Jane, vous n’êtes pas obligé de participer, Iferson s’ensort très bien toute seule, si elle a besoin de vous je vous appellerais. Allerboire votre thé plus loin.
Jane voulu protester mais Lisbon le poussa gentiment et ilfut contraint d’obéir. Iferson pensa à la remercier mais préféra resterentièrement professionnelle, de peur de perdre de sa concentration. Elle secontenta d’un bref regard reconnaissant auquel Lisbon répondit par un hochementde tête entendu.
- Et donc ? C’est quoi la suite ? demanda Rigsbyd’un ton angoissé, son regard ne cessant de passer furtivement des dernierssmiley à Van Pelt.
- Oui, pardon, la suite donc hum… sa famille ne suit pas leschéma des autres victimes.
- Ca on le sait, c’était une vengeance personnelle, déclarala rouquine.
- Certes. Mais ils sont positionnés plus haut que lesautres, comme un trophée, une preuve de fierté… Il leur donne une distinctionparticulière. Sans parler des cœurs noirs, bien sûre je n’ai pas besoin de lesexpliquer : le noir pour la mort, le cœur pour l’amour… En bref la mortd’êtres aimés, schématisée avec une ironie toute morbide.
Elle fit une pause, arrivant à la partie des smiley aux nomsde personnes encore vivantes.
- Van Pelt, Rigsby et Cho… vous… vous êtes des points desuspension. Un signe de « futur » d’évènements à venir. Vous êtes àla fin et un peu en dessous des autres, j’en déduis que c’est une façon de vousmettre sur la liste des prochaines victimes. Vous êtes en attente… Désolée je manquede tact.
Cho ne s’en formalisa pas.
- Je comprends. Pas facile d’annoncer à trois collèguesqu’ils sont sur le point de se faire tuer par un taré de serial killerparticulièrement cruel…
Rigsby et Grace se rapprochèrent imperceptiblement,échangeant un long regard chargé de regret, d’angoisse et de promesse.
Opale interrogea Lisbon du regard. Le dernier smiley étaitpour elle. La patronne lui enjoignit de continuer d’un geste de main contrit.
- Patron vous, vous êtes une sorte de point final.
- Sa dernière victime ?
Iferson recula de quelques pas pour avoir une vued’ensemble. Ce qu’elle décryptait la déconcertait quelque peu.
- Oui et non.
Elle ponctua ses explications de grands signes, désignantchaque fois les smiley citez et traçant des lignes invisibles en l’air.
- Nous avons trois lignes distinctes. Celle du milieureprésente les victimes que je j’appel logiques.Une ligne au dessus pour représenter sa vengeance personnelle, son trophée. Etenfin une troisième ligne, celle du bas, pour les menaces.
- Et l’avenir ?
- Non.
- Ah si vous l’avez dit tout à l’heure !
- Oui mais une menace est toujours inscrite dans le future.Ca ne veut pas dire que le point final représenté par Lisbon soit le derniercrime de John le Rouge.
On entendit une mouche voler. Quatre pairs d’yeux braquéssur elle figées dans une expression de totale incompréhension.
Iferson soupira en se passant une main sur le visage.
- Bon, je m’explique en appelant un chat un chat. Ce qui estimportant ici c’est les morts. Ce sont eux les véritables indicateurstemporels. Ici les morts logiques rangés par ordre chronologique. Les Jane nefont pas partis des morts logique donc ils ne sont pas dans la suite. Eux cesont des trophées donc il sont positionné en hauteur et où place-t-on un premierprix ? Au milieu. Donc selon moi si je trace un trait partant des Jane etperpendiculaire à la ligne des meurtres logiques… (elle le dessina d’un doigtdans le vide). Je pense pouvoir affirmer qu’il en est à exactement la moitiédes crimes logiques. Pour ce qui et des points de suspension, à mon avislui-même n’a pas encore décidé de quand il vous tuera… Je crois qu’il veut vousavoir tout les trois en même temps…
- Comment ça ?, l’interrogea Rigsby.
Elle commençait à s’énerver. Et ce pour plusieurs raisons.D’abord elle commençait à se rendre vraiment compte qu’elle avait eu John leRouge en face d’elle et qu’elle n’était même pas foutue de se remémorer sonvisage, et de deux son interprétation du mur lui semblait venir tropnaturellement… Si Jane n’avait pas compris la même chose qu’elle, elle seserait crût folle ou pire… schizophrène… penser comme un serial killer ou êtreun serial killer… la frontière était mince.
- Je n’en sais rien !, éclata-t-elle, Il y a mille etune manières de descendre plusieurs personnes à la fois !
Contre toute attente Lisbon posa une main sur son épaule.
- Hé, ça va aller, ce que je vous demande n’est pas facilemais faite un dernier effort s’il vous plaît Iferson. Vous faites du bonboulot.
Opale se détendit immédiatement. Elle faisait du bon boulotet c’est tout ce qui comptait. Analyser ce maudit schéma et en apprendre plussur John le Rouge. Elle était du côté du bien, inutile de se prendre unefrayeur…
- Pardon, j’ai… bref je continue. Pour vous patron je nevois pas les choses de la même manière. Apparemment il estime que vous êtes lanouvelle personne qui compte le plus pour Jane et a décidé de vous garder pourla fin…
- Ce qui veut dire ?
Opale hésita. Appeler un chat un chat trop longtemps lui donnaitl’impression d’être un peu monstrueuse. Elle se reprit tout de même.
- Ce qui veut dire que vous aurez probablement droit auvernis de sang sur les ongles… Je suis sincèrement désolée.
Et c’était vrai. Malgré leurs petites anicroches, Opaleadmirait énormément Lisbon. C’était un excellent agent, qui se donnait touteentière à sa carrière et cela lui valait son respect.
Mais Lisbon ne lui reprocha rien, perdue dans ses pensées,fixant son smiley. C’est Grace qui rompit le silence, la mine inquiète.
- Excuses-moi mais comment ça se fait que tu comprennes toutça ?
- Jane lui a donné des cours particulier…
- Oh arrêtes un peu, Wayne !
Opale haussa les épaules et serra les dents.
- Ca me semble juste… évident. Je comprends sa façon depenser.
- Je trouve ça flippant… lança Cho en croisant les bras.
- On devrait retrouver Jane, ne pas le laisser tout seul,proposa Iferson, pressé de changer de sujet.
Van Pelt et Rigsby approuvèrent et la suivirent. SeuleLisbon ne bougea pas d’un cil, les yeux toujours rivés sur son smiley.
Cho s’en aperçut et resta à côté d’elle.
- Vous inquiétez pas, patron. On l’aura avant.
- Merci, Cho. Allez-y je vous rejoins.
L’agent lui adressa un de ses rares sourires et s’en alla.
Lisbon l’avait remercié mais en vérité elle ne craignait paspour sa vie. Ce qu’elle regardait n’était même pas le smiley en lui-même. Maisle cœur rouge l’entourant. Elle se repassa les paroles d’Iferson : « Il estime que vous êtes la nouvelle personnequi compte le plus pour Jane ». L’ombre d’un sourire éclaira furtivementson visage.
Voici la suite... bon si y a des passages un peu compliqués, n'hésitez pas à demander des éclaircissements ! Bonne lecture ^^
* * * * *
Chapitre 29 : Décryptage
- Le message me semble clair…
- Il l’est, oui.
- Il faudrait prévenir les autres pour Jerry, il a quandmême reçu un bon coup sur la tête.
- Ca c’est un travail d’agent, nous on se contente dedécrypter le message.
- C’est tout décrypté.
Lisbon perdit patience :
- Et est-ce que les grands génies que vous êtes pourraientfaire partager leurs conclusions aux communs des mortels ?
Cela faisait dix minutes à peine qu’Opale était sortit deson état hypnotique et il avait fallu lui expliquer la scène pendant qu’elledésinfectait et pansait ses doigts. De son côté elle avait raconté son histoireau video-club. Le tout c’était fait très vite et depuis elle et Jane parcouraitdes yeux le mur ensanglanté, au grand damne des quatre agents qui necomprenaient rien à leur babillages.
- Opale, expliquent-leur, moi je vais faire du thé…, ditJane en s’éloignant, l’air patraque.
Iferson se lança.
- Très bien… On peut voir que les premiers smiley aux nomsde ses victimes suivent une même trajectoire et qu’ils sont à équidistance lesuns des autres, ce qui indique une logique, un mouvement rectiligne uniformevers une destination précise et, j’insiste encore, sur le caractère logique.
Lisbon écoutez attentivement, gênée de constater qu’Ifersonne semblait pas plus perturbée que ça par son sang sur le mur.
- Je dois comprendre que selon vous ses crimes ont un but,qu’il n’opère pas au hasard.
- Exactement, patron.
- Et c’est quoi la logique, demanda Cho.
Opale haussa les épaules.
- Aucune idée. Les victimes sont répertoriées par ordrechronologique… Ce qui me perturbe c’est qu’il n’y a pas le nom de ma mère. Detoute évidence il ne la jugeait pas assez importante pour la signer…
En disant cela elle serra les poings, contrôlant sa rancœur.Lisbon tenta de la distraire :
- Mais les noms de Mme Jane et de sa fille ne suivent pasl’ordre logique dont vous parlez…
Jane revint à ce moment, avec le thé. En entendant parler desa femme et de sa fille il fixa leur smiley, un spasme agitant sa mâchoire, leregard plus gris que bleu. Opale détourna les yeux, incapable d’agir. Ellen’était sûrement pas la bonne personne pour le réconforter à l’heure actuelle…pas après l’avoir fait souffrir. Lisbon intervint, lui prenant le plateau desmains elle lui tendit un mug de thé et l’obligea à la regarder.
- Jane, vous n’êtes pas obligé de participer, Iferson s’ensort très bien toute seule, si elle a besoin de vous je vous appellerais. Allerboire votre thé plus loin.
Jane voulu protester mais Lisbon le poussa gentiment et ilfut contraint d’obéir. Iferson pensa à la remercier mais préféra resterentièrement professionnelle, de peur de perdre de sa concentration. Elle secontenta d’un bref regard reconnaissant auquel Lisbon répondit par un hochementde tête entendu.
- Et donc ? C’est quoi la suite ? demanda Rigsbyd’un ton angoissé, son regard ne cessant de passer furtivement des dernierssmiley à Van Pelt.
- Oui, pardon, la suite donc hum… sa famille ne suit pas leschéma des autres victimes.
- Ca on le sait, c’était une vengeance personnelle, déclarala rouquine.
- Certes. Mais ils sont positionnés plus haut que lesautres, comme un trophée, une preuve de fierté… Il leur donne une distinctionparticulière. Sans parler des cœurs noirs, bien sûre je n’ai pas besoin de lesexpliquer : le noir pour la mort, le cœur pour l’amour… En bref la mortd’êtres aimés, schématisée avec une ironie toute morbide.
Elle fit une pause, arrivant à la partie des smiley aux nomsde personnes encore vivantes.
- Van Pelt, Rigsby et Cho… vous… vous êtes des points desuspension. Un signe de « futur » d’évènements à venir. Vous êtes àla fin et un peu en dessous des autres, j’en déduis que c’est une façon de vousmettre sur la liste des prochaines victimes. Vous êtes en attente… Désolée je manquede tact.
Cho ne s’en formalisa pas.
- Je comprends. Pas facile d’annoncer à trois collèguesqu’ils sont sur le point de se faire tuer par un taré de serial killerparticulièrement cruel…
Rigsby et Grace se rapprochèrent imperceptiblement,échangeant un long regard chargé de regret, d’angoisse et de promesse.
Opale interrogea Lisbon du regard. Le dernier smiley étaitpour elle. La patronne lui enjoignit de continuer d’un geste de main contrit.
- Patron vous, vous êtes une sorte de point final.
- Sa dernière victime ?
Iferson recula de quelques pas pour avoir une vued’ensemble. Ce qu’elle décryptait la déconcertait quelque peu.
- Oui et non.
Elle ponctua ses explications de grands signes, désignantchaque fois les smiley citez et traçant des lignes invisibles en l’air.
- Nous avons trois lignes distinctes. Celle du milieureprésente les victimes que je j’appel logiques.Une ligne au dessus pour représenter sa vengeance personnelle, son trophée. Etenfin une troisième ligne, celle du bas, pour les menaces.
- Et l’avenir ?
- Non.
- Ah si vous l’avez dit tout à l’heure !
- Oui mais une menace est toujours inscrite dans le future.Ca ne veut pas dire que le point final représenté par Lisbon soit le derniercrime de John le Rouge.
On entendit une mouche voler. Quatre pairs d’yeux braquéssur elle figées dans une expression de totale incompréhension.
Iferson soupira en se passant une main sur le visage.
- Bon, je m’explique en appelant un chat un chat. Ce qui estimportant ici c’est les morts. Ce sont eux les véritables indicateurstemporels. Ici les morts logiques rangés par ordre chronologique. Les Jane nefont pas partis des morts logique donc ils ne sont pas dans la suite. Eux cesont des trophées donc il sont positionné en hauteur et où place-t-on un premierprix ? Au milieu. Donc selon moi si je trace un trait partant des Jane etperpendiculaire à la ligne des meurtres logiques… (elle le dessina d’un doigtdans le vide). Je pense pouvoir affirmer qu’il en est à exactement la moitiédes crimes logiques. Pour ce qui et des points de suspension, à mon avislui-même n’a pas encore décidé de quand il vous tuera… Je crois qu’il veut vousavoir tout les trois en même temps…
- Comment ça ?, l’interrogea Rigsby.
Elle commençait à s’énerver. Et ce pour plusieurs raisons.D’abord elle commençait à se rendre vraiment compte qu’elle avait eu John leRouge en face d’elle et qu’elle n’était même pas foutue de se remémorer sonvisage, et de deux son interprétation du mur lui semblait venir tropnaturellement… Si Jane n’avait pas compris la même chose qu’elle, elle seserait crût folle ou pire… schizophrène… penser comme un serial killer ou êtreun serial killer… la frontière était mince.
- Je n’en sais rien !, éclata-t-elle, Il y a mille etune manières de descendre plusieurs personnes à la fois !
Contre toute attente Lisbon posa une main sur son épaule.
- Hé, ça va aller, ce que je vous demande n’est pas facilemais faite un dernier effort s’il vous plaît Iferson. Vous faites du bonboulot.
Opale se détendit immédiatement. Elle faisait du bon boulotet c’est tout ce qui comptait. Analyser ce maudit schéma et en apprendre plussur John le Rouge. Elle était du côté du bien, inutile de se prendre unefrayeur…
- Pardon, j’ai… bref je continue. Pour vous patron je nevois pas les choses de la même manière. Apparemment il estime que vous êtes lanouvelle personne qui compte le plus pour Jane et a décidé de vous garder pourla fin…
- Ce qui veut dire ?
Opale hésita. Appeler un chat un chat trop longtemps lui donnaitl’impression d’être un peu monstrueuse. Elle se reprit tout de même.
- Ce qui veut dire que vous aurez probablement droit auvernis de sang sur les ongles… Je suis sincèrement désolée.
Et c’était vrai. Malgré leurs petites anicroches, Opaleadmirait énormément Lisbon. C’était un excellent agent, qui se donnait touteentière à sa carrière et cela lui valait son respect.
Mais Lisbon ne lui reprocha rien, perdue dans ses pensées,fixant son smiley. C’est Grace qui rompit le silence, la mine inquiète.
- Excuses-moi mais comment ça se fait que tu comprennes toutça ?
- Jane lui a donné des cours particulier…
- Oh arrêtes un peu, Wayne !
Opale haussa les épaules et serra les dents.
- Ca me semble juste… évident. Je comprends sa façon depenser.
- Je trouve ça flippant… lança Cho en croisant les bras.
- On devrait retrouver Jane, ne pas le laisser tout seul,proposa Iferson, pressé de changer de sujet.
Van Pelt et Rigsby approuvèrent et la suivirent. SeuleLisbon ne bougea pas d’un cil, les yeux toujours rivés sur son smiley.
Cho s’en aperçut et resta à côté d’elle.
- Vous inquiétez pas, patron. On l’aura avant.
- Merci, Cho. Allez-y je vous rejoins.
L’agent lui adressa un de ses rares sourires et s’en alla.
Lisbon l’avait remercié mais en vérité elle ne craignait paspour sa vie. Ce qu’elle regardait n’était même pas le smiley en lui-même. Maisle cœur rouge l’entourant. Elle se repassa les paroles d’Iferson : « Il estime que vous êtes la nouvelle personnequi compte le plus pour Jane ». L’ombre d’un sourire éclaira furtivementson visage.
Dernière édition par Elwing le Sam 30 Oct 2010 - 12:51, édité 2 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Bon la j'ai un chouïlla plus d'estime pour Opale dans ce chapitre qui était un tantinet dure a comprendre mais j'ai réussi tu as du te donner a fond sur ce chapitre quand même dure!!! Bref, au sinon la fin de ce chapitre était satisfaisant
kis- Agent de circulation
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ouaww j'viens de rattraper mon retard!! C'est génial! T'as vraiment du talent!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super ce chapitre!!
Et Lisbon, la personne qui compte le plus pour Jane? Ouaaais .
Et Lisbon, la personne qui compte le plus pour Jane? Ouaaais .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Shaitan a écrit:Super ce chapitre!!
Et Lisbon, la personne qui compte le plus pour Jane? Ouaaais .
Seulement d'après John le Rouge ! (mdr) *court se cacher avant de se faire assassiner *
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Elwing a écrit:Shaitan a écrit:Super ce chapitre!!
Et Lisbon, la personne qui compte le plus pour Jane? Ouaaais .
Seulement d'après John le Rouge ! (mdr) *court se cacher avant de se faire assassiner *
PTDR
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ouah, compliqué comme chapitre ! Mais Lisbon qui est la personne qui compte le plus pour Jane, c'est logique et en même temps si bon de l'entendre !!
Jee VeUuXx lAa SuUuuIiIIte !
Jee VeUuXx lAa SuUuuIiIIte !
Green-gold- Gardien du parking
- Personnage préféré : Jane, who else ^^
Localisation : Devant mon pc dans un village paumé quelque part au fin fond de l'Alsace
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