"L'ERREUR" [FINI] ^

Bon je viens de rattraper mon retard et avoue, je t'ai manqué hein (Ouais bon va t'cacher Kis ) et je dosi dire que je detèste de plus en plus Opale. Déjà que je l'aimais pas du tout mais alors là j'ai des envies de meurtre!! Que RJ l'a tue (physiquement et mentalement bien sûr, je veux la voir souffrire jusqu'à que mort s'en suive


Au sinon... la suite

Dis donc, je vais devoir rajouter du monde dans le clan des sadiques !
Non mais, imaginez vous, en vrai ( Faites un effort ! :) ), vous êtes Opale, tout ce que vous avez du traverser dans votre petite vie, et la vous apprenez que la personne que vous détestez le plus, qui vous répugne le plus est votre géniteur et qui plus est veut vous tuer ?!
Hin, là vous pourriez être sadiques et vouloir tuer quelqu'un, mais là, pauvre Opale, Jane ( qui est comme un frère pour elle ) va venir la sauver et tout le monde sera content. Même vous, bande de sadiques :-J

Houa, j'viens de me relire, je vais éviter de poster ce soir, faites pas attention !

Felicity a écrit:Dis donc, je vais devoir rajouter du monde dans le clan des sadiques !
Non mais, imaginez vous, en vrai ( Faites un effort ! :) ), vous êtes Opale, tout ce que vous avez du traverser dans votre petite vie, et la vous apprenez que la personne que vous détestez le plus, qui vous répugne le plus est votre géniteur et qui plus est veut vous tuer ?!
Hin, là vous pourriez être sadiques et vouloir tuer quelqu'un, mais là, pauvre Opale, Jane ( qui est comme un frère pour elle ) va venir la sauver et tout le monde sera content. Même vous, bande de sadiques :-J

Houa, j'viens de me relire, je vais éviter de poster ce soir, faites pas attention !

Comme un frère heiiin

Oh ! Bah si c'est comme un frère, ca me va alors...

Cela semble calmer la sadique qui sommeil en moi

Suite ! =) Le chapitre de demain sera le début de la fin...
En attendant, Bonne Lecture !




* * * * *

- Iferson j’aurais besoin que vous me photocopiez ceci…Iferson ?
Lisbon soupira.
- Cho, vous savez où elle est encore passée ?
Le brun avala son bout de sandwich avant de répondre.
- Elle a reçu un appel et elle est partit déjeuner.
- Avec Spidel ?
Cho haussa les épaules, bien décidé à ne plus s’impliquerdans aucune histoire de couple.
- J’ai mis des dossiers sur son bureau, vous lui direz de meles photocopier à son retour. Ah et prévenez-moi si elle est en retard...
Il approuva d’un signe de tête et Lisbon s’en alla. Au mêmemoment Rigsby et Van Pelt revenaient avec une pizza. Cho fronça les sourcils.
- Jane n’est pas avec vous ?
- Ben non… on croyait qu’il était avec toi.
- D’accord, on a un problème.
Grace regardait les deux hommes sans vraiment comprendre.
- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce qu’il n’est pas partit acheter à manger avec vous,qu’il n’a pas essayé de me voler mon sandwich et qu’il ne rapplique pas àl’odeur de la pizza.
Un blanc suivi l’analyse de Cho. Ils n’eurent pas besoin dese concerter pour penser à la même chose : si Jane ne venait pas manger iln’y avait que deux possibilités, soit il s’était endormi sur son canapé, soitil lui était arrivé quelque chose.
D’un même mouvement les trois agents lâchèrent leur repas etse précipitèrent vers le canapé.
Vide.
Van Pelt composa le numéro de portable de Jane et attendit…La sonnerie se fit entendre dans la pièce. Où que Jane soit partit il ne l’avaitpas prit.
- Il faut prévenir Lisbon, décréta la rouquine.
- Il venait de se faire engueuler, il est peut-être partitmanger tout seul pour bouder… protesta Rigsby qui lui en voulait encore.
Cho regarda sa montre.
- On fait un compromis. La pause déjeuner se termine dansdix minutes. S’il n’est pas revenu d’ici là on avertit Lisbon.
Ils s’accordèrent à cette idée et patientèrent, mangeant dela pizza et se lançant des regards inquiets au fur et à mesure que le tempss’écoulait…
Mais dix minutes plus tard toujours aucune nouvelle duconsultant.
- Où est Opale ? demanda Van Pelt qui remarquait àpeine son absence. Jane est souvent en retard, mais pas elle.
- Elle doit passer du bon temps avec Spidel, lança Rigsby.
- Moi je vais prévenir Lisbon que nous avons deux disparuspotentiels. Et je vous rappel que Jane avait des doutes sur Spidel et comme parhasard Opale et Jane disparaissent juste après sa visite. J’aime pas ça.J’appel Iferson, si elle ne répond pas on déclare l’état d’urgence.
Cho laissa sonner jusqu’à tomber sur la messagerie et fonçadans le bureau de Lisbon.
- Patron, on a un problème.
Lisbon leva le nez de ses dossiers pour reporter sonattention sur l’agent.
- Qu’est-ce qui se passe ?
- On a perdu Jane et Iferson.
La patronne se leva d’un bond.
- Comment ça perdu ?
- Iferson ne répond pas à son portable et Jane a oublié lesien. On a vu aucun d’eux depuis la pause.
Lisbon sortit, suivi de Cho, et se précipita vers le canapéde Jane. Elle entra un peu trop vite et dérapa, manquant de s’étaler par terre.Cho la rattrapa d’un geste vif et la releva dans le même mouvement en faisantmine de n’avoir rien vu. Lisbon lui lança un regard à la fois reconnaissant etun peu vexé et ramassa le traître morceau de papier responsable de sa chute.
Son visage se décomposa au rythme de sa lecture. Chosoupira.
- J’en étais sûre…
Trois minutes plus tard l’équipe de Lisbon était en route.

* * * * *

« Ila déjà tué huit femmes, c’est un petit homme hideux et tourmenté, une âmesolitaire et triste… très triste. »
Il n’était pas tombé loin ce fameux jour qui avait couté lavie de sa famille… Si ce n’est qu’il n’était pas hideux… simplement banal. Janele détailla du regard, gravant chaque trait du visage de ce monstre qu’il avaittant haï dans sa mémoire. Il fit un pas en avant, ses yeux étincelant decolère, prêt à tirer son arme…
Et tomba à genou, secoué de convulsion.
Il n’avait même pas fait attention à Spidel qui l’attendaitplaqué sur le côté du mur.
Jane grogna et dut rester par terre un moment, le temps queles spasmes cessent de l’agiter. John le Rouge s’en régala.
- Aaah… Nous nous rencontrons enfin. Face à face. Qu’est-ceque vous imaginiez, Jane, à venir me trouver, seul… Votre colère vous aveugleet vous rend pitoyable. Regardez-vous. L’espace d’un battement de cil et je vousai déjà en mon pouvoir. Il faut se rendre à l’évidence… Je vous suis supérieur.Vous n’êtes toujours que ce minable petit arnaqueur de fête foraine… un moinsque rien… Tim, ses compagnons ne devraient pas tarder à arriver, charges-toi ducomité d’accueil.
Spidel lança le boitier noir à John le Rouge - qui l’attrapaaisément – et s’affaira en arrière plan, montant un projet encore inconnu queJane ne parvint pas à identifier, trop concentrer sur les paroles du serialkiller. « Arnaqueur de fêtesforaines »… comment pouvait-il savoir ?
Le mentaliste réussi à se remettre debout, au prix d’uneffort surhumain. Si la décharge ne l’avait pas affecté autant qu’Opale enraison de son poids plus élevé, il avait quand même encaissé une bonnechâtaigne. Il avisa Iferson, qui n’avait pas bougé depuis qu’il était entré.John le Rouge s’en aperçut et un sourire cruel se dessina sur son visage.
- Elle n’est pas morte si c’est là ce qui t’inquiète. Dumoins pas encore, ajouta-t-il en haussant les épaules.
Jane ne se laissa pas avoir par cette menace à peine voilée.Il avait comprit certaines choses depuis longtemps déjà sans pour autant endéfinir le pourquoi. Il était certain qu’Opale serait morte depuis des annéess’il l’avait voulu.
- Vous n’allez pas la tuer. Vous n’en avez jamais eul’intention… fit Jane dont la mâchoire était encore un peu raide.
- C’est exact ! Pourquoi la tuer ? … J’en ai déjàtué beaucoup mais elle… c’est différent…
Le mentaliste l’interrompit, fichant ses yeux dans ceux duserial killer, y décelant furtivement comme une vague sensation de déjà vu.
- Relâchez-la. C’est entre vous et moi.
John le Rouge émit une sorte de toux sèche, un début de riredédaigneux. Quand il parla ses intonations étaient d’une froideur assurée demauvais augure.
- Vraiment ? Non… moi je crois plutôt que c’est entretoi… et elle.
Jane grimaça.
- Quoi ?
- Réfléchis !, susurra le monstre, j’ai pris ta femme,j’ai pris ta fille… Tu veux te venger ? Œil pour œil dent pou dent ?… J’ai tué l’équivalent de ma femme mais on peut la jouer fille pour fille…
Le consultant porta une main à sa tempe fermant les yeux uneseconde. L’impulsion électrique avait dût lui griller quelques neurones.
John le Rouge désigna Iferson d‘un grand geste théâtral, savoix trahissant une excitation à peine contenue.
- Vas-y ! Prendma fille ! Je te l’offre ! Vas-y Jane venge toi ! Tu veux que jesache ce que tu as ressenti ? Que je paye ? Tu n’as qu’à la tuer etce sera fait ! Sers-toi sur ma table il y a tout ce qui faut ! Je nedirais rien à personne, regarde j’ai déjà apposé ma signature… Je suis prêt àporter le chapeau…
La présence du smiley s’expliquait. Jane se refusa à leregarder encore une fois et reporta son attention sur Opale, son estomac senouant à la vue du sang, ravivant de vieux souvenirs.
Iferson, qui avait fini par tourner de l’œil à force deperdre du sang, recouvrait peu à peu ses esprits au fur et à mesure quel’hémorragie diminuait, laissant place à des tiraillements lancinants plutôtqu’à un flot rougeâtre. Elle trouva la volonté d’ouvrir les yeux au moment oùun rayon de soleil filtrait, l’éblouissant d’une part et, d’une autre, révélantles éclats verts foncés de son regard.
Alors Jane comprit d’où lui était venu ce sentiment de déjàvu devant John le Rouge. Et il sût avec certitude qu’elle était réellement safille. Pendant un instant il en oublia jusqu’à sa vengeance, un mélange dedégout et de pitié prenant le dessus. Il refoula ces sentiments et se laissa emporterdans une sorte de brouillard léthargique.
- Vous n’avez qu’à la tuer vous-même… murmura-t-il dans unsouffle de semi-vivant.
John le Rouge s’agita…
- Je ne veux pas sa mort ! C’est toi qui la veux,tues-la Jane !
Le consultant commençait à percevoir une faille dans cettedemande. Cette découverte le sortit de sa transe protectrice, réveillant sesfacultés. Pour des raisons qu’il ignorait encore, son ennemie semblait désirerla mort d’Opale sans pour autant être capable de la lui donner en personne. Ilreleva la tête, dans une attitude de défi.
- Alors dites-moi pourquoi je ferais ça. Pourquoi je devraisfaire votre sal boulot alors que la seule personne que j’ai envie de tuer icic’est vous…
- Tu veux savoir pourquoi ?
Ses mouvements devenaient vifs, anarchiques, sa respirationhaletante et ses yeux un peu fous.
- J’ai besoin de son sang voilà pourquoi !
- Mais à quelles fins ?, insista Jane qui commençait àprendre un plaisir malsain à le voir perdre le contrôle.
John le rouge enfonça sa main dans une poche intérieure desa chemise et en sortit une sorte de pierre, de… minerais, semblable à un amasde cristaux dont l’ancienne éclatante blancheur était souillée de sang séchéparcourant ses fines raynures.
Il le déposa avec une infinie précaution sur la table,jugeant de la réaction du mentaliste.
Jane reconnu le cristal à la seconde où il le vit,comprenant la précédente allusion à la fête foraine.
Le serial killer éclata.
- J’ai besoin de son ADN pour ramener ma sœur ! Mapetite sœur que vous avez tué M.Jane !

Chapeau, c'est drôlement bien trouvé le coup de la petite soeur, je pensais même plus à cet épisode.... Bravo

Ouaw vraiment très biien! Et puis quand tu parles de la fête forraine et de sa p'tite soeur ... Ouaww
VLS

Ah ouais, tout ce met en place maintenant mais RJ croit sérieusement à cette histoire de cailloux hein?

La fin demain... ça me fait bizarre...



Jane veux pas la tué? Je suis toujours là moi

WAW les bras m'en tombent là !
Superbe l'allusion de l'épisode avec la pierre, MAGNIFIQUE

Wouaa :hall2: C'est bien trouver, la fille de la fête foraine... la sœur de RJ, mais le cristal et le sang de sa fille ne lui remaineront pas, comment peut-il croire ça.

VLS

Aaah contente que ça vous plaise ! et comment il peut croire ça... et comment il peut tuer autant de gens... ben parce que c'est un pété du bulbe... mais bon je ne me contenterais pas de cette explication donc réponse demain =D

Je ne m'attendais vraiment pas a ce truc là ! RJ le grand frere de la petite fille que Jane à arnaqué ! Mais il veut faire quoi avec sa pierre RJ ? Une pierre philosophale ? Encore plus barge que je ne l'avais imaginé ...
Sinon, c'est quand qu'elle meurt Opale ?

La suiteuhhh pitié !!!


Vous m'avez totalement convaincu, whysoserious et kis, vous êtes bien des sadiques ^^.
Si vous voulez, je peux vous donner une place dans le clan des Sadiques, faites moi signe, et je vous nomme Membre 8 et 9 de ce (fabuleux) Clan. C'est comme vous voulez .
LoVe SaDiSmE

Elwing a écrit:Aaah contente que ça vous plaise ! et comment il peut croire ça... et comment il peut tuer autant de gens... ben parce que c'est un pété du bulbe... mais bon je ne me contenterais pas de cette explication donc réponse demain =D

Toute façon tel père tel fille


P.S: Oh yeah I love sadisme

kis a écrit:

Elwing a écrit:Aaah contente que ça vous plaise ! et comment il peut croire ça... et comment il peut tuer autant de gens... ben parce que c'est un pété du bulbe... mais bon je ne me contenterais pas de cette explication donc réponse demain =D

Toute façon tel père tel fille

+1000000000000000000000000000000

kis a écrit:P.S: Oh yeah I love sadisme

Bienvenue

Aurcoco a écrit:

kis a écrit:

Elwing a écrit:Aaah contente que ça vous plaise ! et comment il peut croire ça... et comment il peut tuer autant de gens... ben parce que c'est un pété du bulbe... mais bon je ne me contenterais pas de cette explication donc réponse demain =D

Toute façon tel père tel fille

+1000000000000000000000000000000

kis a écrit:P.S: Oh yeah I love sadisme

Bienvenue

Thank's

Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Shaitan a écrit:Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Alchimie !! tu viens de me faire penser à full metal alchimist xD (désolé total hors sujet mdr)

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Alchimie !! tu viens de me faire penser à full metal alchimist xD (désolé total hors sujet mdr)

Tu parles a une ex-fan, là . J'ai même la montre à gousset planquée quelque part dans ma chambre .

Shaitan a écrit:

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Alchimie !! tu viens de me faire penser à full metal alchimist xD (désolé total hors sujet mdr)

Tu parles a une ex-fan, là . J'ai même la montre à gousset planquée quelque part dans ma chambre .

Haha ! pour tout avoué j'en ai jamais lu un seul (je sais pas lire les manga je me perd dans le sens TT) mais dès que j'ai entendu mes amies parler d"'échange équivalent" (fan de physique chimie oblige) je me suis dit que peut-être j'allais me mettre aux animes ^^

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Alchimie !! tu viens de me faire penser à full metal alchimist xD (désolé total hors sujet mdr)

Tu parles a une ex-fan, là . J'ai même la montre à gousset planquée quelque part dans ma chambre .

Haha ! pour tout avoué j'en ai jamais lu un seul (je sais pas lire les manga je me perd dans le sens TT) mais dès que j'ai entendu mes amies parler d"'échange équivalent" (fan de physique chimie oblige) je me suis dit que peut-être j'allais me mettre aux animes ^^

Regarde l'animé, je te le conseille! J'ai plus touché à un seul manga ou animé depuis au moins deux ans, mais celui-là, je le reregarderais sans hésiter! Autant côté graphiques que côté histoire, ce manga est un petit bijou. Tu me diras ce que tu penses de Roy .

Shaitan a écrit:

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:

Elwing a écrit:

Shaitan a écrit:Pas mal l'idée de la pierre! C'est vrai que pour fabriquer une pierre philosophale il a besoin de sang, et celui de sa fille irait à merveille pour ramener sa soeur. Red John est donc un adepte de l'alchimie! Il fait des dessins par terre et tout aussi?

Alchimie !! tu viens de me faire penser à full metal alchimist xD (désolé total hors sujet mdr)

Tu parles a une ex-fan, là . J'ai même la montre à gousset planquée quelque part dans ma chambre .

Haha ! pour tout avoué j'en ai jamais lu un seul (je sais pas lire les manga je me perd dans le sens TT) mais dès que j'ai entendu mes amies parler d"'échange équivalent" (fan de physique chimie oblige) je me suis dit que peut-être j'allais me mettre aux animes ^^

Regarde l'animé, je te le conseille! J'ai plus touché à un seul manga ou animé depuis au moins deux ans, mais celui-là, je le reregarderais sans hésiter! Autant côté graphiques que côté histoire, ce manga est un petit bijou. Tu me diras ce que tu penses de Roy .

Dac! promis ça sera fait !

Ouah ! Le coup de la petite soeur alors ca, je ne m'y attendais pas du tout ! Chapeau !


Et Lisbon qui manque de se casser la figure, exellent !

Histoire (inventé forcément...) de John le Rouge demain :)




* * * * * *

Chapitre34 : Renforts piégés

- … C’est sa voiture… qu’est-ce qui lui a prit de se garersi loin ? observa Van Pelt en fronçant les sourcils.
- Aucune idée, répondit Lisbon, tendue.
- Ca fait peut-être partit de son plan, supposa Rigsby.
- Et qui consisterait en quoi ?, demanda Cho.
- J’en sais rien… un plan à la Jane… C’est là.
Lisbon stoppa la voiture et sortie, aussitôt imitée par sonéquipe.
- Le portail est ouvert et on a la certitude que Jane est làdedans. Qu’est-ce qu’on fait patron ?
La chef c’était figée, réalisant que l’opération s’avéraitplus compliquée que prévue.
- On a pas de mandat, lâcha-t-elle d’un ton neutre. On n’apas le droit d’entrer.
- On a qu’à en demander un en urgence !, tenta VanPelt.
- Ca prendrait des heures…
- On s’en fiche du mandat, Jane est à l’intérieurprobablement sur le point de se faire éventrer par John le Rouge alors audiable le règlement, on entre et on lui sauve la vie c’est tout !,s’emporta Rigsby.
Lisbon dût recadrer tout ce beau monde avant de perdre lecontrôle, de son équipe mais aussi de ses nerfs.
- Vous voulez qu’on coince John le Rouge et qu’il soitrelâché pour vice de procédure ? Moi pas ! Et Jane ne le supporterait pas nonplus. Tout ce qu’il nous faut c’est une bonne raison d’entrer. Il y a desjumelles dans la boîte à gants, voyez si vous pouvez trouver quelque chosesusceptible de nous donner le droit d’intervenir.
Cho fut le plus rapide. Il trouva les jumelles et s’enservit pour scruter la maison et le jardin.
- La porte est ouverte, dit-il.
- Ce n’est pas suffisant, cherchez mieux.
Rigsby prit les jumelles et n’eut pas le temps d’y collerses yeux que Grace les lui arrachait à moitié des mains.
- La poignée a été démise, il y a eu effraction !
Cette fois c’était la bonne, Lisbon sortie son arme et fonçadans la propriété.
- C’est ce qu’il nous fallait ! Go, go, GO !
Ils traversèrent l’allée au pas de course, ne stoppant qu’enarrivant devant la porte… Que Lisbon acheva d’ouvrir d’un violent coup de talon.
L’équipe entra et fouilla la pièce des yeux…
Rien.
Si ce n’est un bip aigu. Puis un autre… et encore un autre…et de plus en plus rapide jusqu’à ne plus devenir qu’un bourdonnementdésagréable les encerclant.

* * * * *

Jane resta pétrifié un instant. Il se souvenait parfaitementde cette petite fille dans son fauteuil roulant, avec son nounours et sonoxygène qui la suivait partout. Il se souvenait de sa grand-mère riche maisaimante qui été prête à tout pour sauver sa petite fille d’un cancer fatal.Même à croire dans le pouvoir d’un prétendu cristal… Son père l’avait forcé àpoursuivre l’arnaque alors que son cœur de jeune homme le lui interdisait… Ilavait quitté son père le soir même, profitant qu’il soit partit jouer au pokerle fruit de leur coup foireux. Depuis ce jour Jane avait tracé sa route.Pourtant il n’avait jamais oublié le visage de la petite fille… Ni ses grandsyeux humides de condamné à mort.
De son côté Opale ne comprenait plus rien. Comment un simplecaillou pouvait-il déclencher tant d’émotion à deux hommes tels que PatrickJane et John le Rouge ? Si ces deux là avaient bien quelque chose encommun c’était sans aucun doute leur génie et leur intelligence… Sauf que l’und’entre eux s’en servait à des fins diaboliques… mais quoi qu’il en soit aucunphénomène géologique n’aurait dût les perturber à ce point.
Opale s’apprêtait à frapper du pied, réclamant unéclaircissement de la situation, quand Tim la devança en criant :
- Ils sont là !
John le Rouge prit sur lui de se calmer.
- Lance l’opération.
D’un même mouvement Jane et Iferson tournèrent la tête versles écrans de contrôle.
Là, l’équipe de Lisbon c’était figée, cherchant à repérer unennemi invisible et, quelques secondes plus tard, le piège se refermait sureux…

* * * * *

- Qu’est-ce que c’est que ce truc… murmura Rigsby en voyantavancer vers eux une multitude de petits points rouges progressant au rythmedes « bips ».
- Aucune idée… répondit Lisbon en observant l’étrangephénomène.
Une voix s’éleva dans la pièce, provenant d’un hautparleur invisible.
- Agent Lisbon,avancez de dix pas.
Elle ne bougea pas.
Un bibelot explosa à quelques pas d’eux, projetant deséclats de verre dont un entailla l’avant bras de Cho. La voix reprit.
- Je vous conseild’obéir, la pièce est truffée d’explosif. La prochaine explosion pourrait êtrefatale…
La patronne exécuta l’ordre à contrecœur, faisant dix pas enavant.
Aussitôt, les points rouges accélérèrent pour former uncercle de deux mètres de diamètre autour du clan Van Pelt, Rigsby et Cho.
- Mais c’est quoi se délire ?! s’énerva Rigsby.
Personne ne répondit, trop absorbé dans la contemplationd’un petit compartiment qui venait de s’ouvrir dans le mur. Une sorte de canon miniatureen dépassait et fichait sur Lisbon un rayon rouge lumineux.
Les agents s’immobilisèrent.
- Les règles sontsimples. Tout ce qui est rouge est une limite doublée d’un déclencheur. Si l’undes trois sort ne serait-ce que d’un demi millimètre du cercle, il déclencherale canon pointait sur la patronne. Et si l’agent Lisbon s’écarte du laser, lestrois autres explosent… Oh et n’essayez même pas de vous dégager de vos limitesen même temps… vous ne serez jamais assez rapide. Contentez-vous d’attendre.
Un craquement sonore semblable à un combiné qu’on raccrochese fit entendre, suivit d’un grand silence.
Les agents échangèrent des regards angoissés, se sachantdésormais parfaitement impuissants.
Jane et Iferson devraient se débrouiller seuls.
Un consultant et une gamine face à un serial killer… Quelleschances avaient-t-ils d’en sortir vivant ?
Lisbon connaissait la réponse, de même que ses collègues.Rigsby serra la main de Van Pelt pendant que Lisbon plantait ses yeux dans ceuxde Cho, chacun puisant le courage nécessaire pour soutenir l’autre…

* * * * *

Spidel relâcha le bouton de l’interphone et prit en main uneespèce de joystick pourvu d’un bouton écarlate sur le dessus et y posa sonpouce sans appuyer, un sourire admiratif un peu idiot se peignant sur sonvisage. Opale le remarqua et en fut écœurée. Elle frappa du pied.
Ce son parut rappeler sa présence à John le Rouge.
- Qu’est-ce que tu veux ?, lança-t-il, agacé, sansdétacher ses yeux du mentaliste.
- Parler à votre ex presque beau-fils.
- Tu as dix secondes dépêches-toi.
Elle ne se le fit pas dire deux fois.
- Dis-moi juste pourquoi, Tim… expliques-moi comment un psy,qui est censé aider les gens, se retrouve à servir de pion pour unpsychopathe ?
Spidel haussa les épaules.
- Il m’a offert un cas d’étude intéressant. Toi. Je tesurveillais pour lui, t’étudiais pour moi… Je lui faisais part de mesconclusions et en échange de mon simple silence sur son identité il ne me tuaitpas.
- Alors tu fais ça uniquement pour rester en vie ?
- Non... j’aime ce que je fais.
- Je voulais être sûre…
Si Tim ne comprit pas le sens profond de cette dernièrephrase, Jane, lui, devina immédiatement où cela mènerait.
- Et dis-lui cequ’ont donné tes recherches sur l’esprit criminel et la génétique, fit John leRouge dont le regard étincela de malveillance.
- J’en ai conclu que les meurtriers n’étaient en rien despersonnes perturbés psychologiquement. Qu’elles avaient juste une façond’envisager les choses différente de la vision réductrice imposée par lasociété… Et que cette particularité se transmettait à la progéniture dans deuxcas sur trois !
John le Rouge frappa dans ses mains, l’air ravi.
- Tu vois Jane ! Tu peux la tuer sans alourdir taconscience, c’est une petite moi !
Le mentaliste qui n’avait pas quitté des yeux l’écran decontrôle depuis la mise en place du piège, s’en détacha pour reporter sonattention sur le serial killer, la mine sombre, les yeux lestaient de colère,un spasme agitant sans mâchoire.
- C’est vous que je vais tuer, fit-t-il en sortant son armeet en la pointant sur John le Rouge.
Son geste déclencha une série d’évènement. Spidel mit samain tenant le joystick bien en évidence et John le Rouge braqua un pistolet -sortit d’une poche discrète - sur la tempe d’Opale. Celle-ci le reconnuimmédiatement. C’était le flingue qu’elle avait planqué à sa cheville… Elle nel’avait même pas vu le lui prendre. « Enfoiréde pick pocket ! », pensa-t-elle.
- Ah ! Leschoses se corsent on dirait !, exulta le serial killer. D’un côté Spidelqui tient le sort de tes collègues entre ses mains. Une pression et Pouf !Quatre cadavres… Et de l’autre, moi et ma fille… j’effleure la gâchette et ellemeurt…
Jane commençait à paniquer, son cerveau s’embrumait, unbourdonnement continu résonnant dans ses oreilles l’empêchait de réfléchir. Ilessuya une goute de sueur de son front d’un revers de main. Il ne savait mêmepas tirer… Il n’aurait jamais le temps de les abattre tout les deux avantqu’ils ne tuent l’un ou l’autre de ses amis. S’en rendre compte lui donna lanausée… ce John le Rouge ne cessait de le mettre en échec sans jamais faired’erreur en retour !
- Que vas-tu choisir, Jane ? Assouvir ta vengeance enme tuant et sacrifier tes amis ? Rigsby, Cho, Van Pelt… Sans oublier lacharmante Lisbon à qui j’ai réservé un sort tout particulier… Ou bien vas-tu terésigner à les sauver et à sacrifier en échange la vie de la jeune OpaleIferson ? Ou devrais-je dire Ruby Jefferson, ma chère fille dont tu t’esparticulièrement rapproché…
-Vous ne tuerez pas Ruby sinon vous ne me demanderiez pas dele faire !, cracha-t-il.
- Tu vas prendre le risque ?
Les mains du consultant tremblèrent. Il refusait d’admettrela défaite en baissant l’arme, mais aussi de choisir qui sacrifier.
Son indécision tira un sourire cruel à John le Rouge quigardait la situation sous son contrôle.
- Voilà ce que nous allons faire… Nous allons rester biensagement dans notre position actuelle et je vais te raconter mon histoire,Jane. Pour que tu saches quels sont les faits qui ont conduit à la mort de tafamille… Et quand j’aurais terminé, tu tueras Ruby…

Oh, j'y crois pas! L'équipe de Lisbon à peine arrivée, ils sont déjà dans la merde . Et Red John il a tout prévu, c'est pas possible!

Jane, tue Tim! Red John pourra pas tuer sa fille, et pendant qu'elle hésitera, tu le butes, ou tu le poignardes, bref, t'en fais ce que tu veux! mais merde, reste pas là à rien faire!

Dommage que Jane ne soit pas Lucky Luck