"L'ERREUR" [FINI] ^

WAAAAAAAAAA là j'adoooooooooreee.
C'est vrai, on croirai être dans un épisodes.
J'aime Lisbon qui se méfie d'opale & Jane et Lisbon qui se chamaillent ^^

VLS

latitemaï a écrit:J'adooore! Les scènes Jane Lisbon sont juste trop bien écrite!
VLS

+1

V.L.S

AH c'est vraiment TROOOP bien, pauvre Lisbon. C'est vrai qu'à sa place je réagirais pareil. C'est normal qu'elle se méfie d'Opale, mais là elle est carrément jalouse !
VLS !

Green-gold a écrit:AH c'est vraiment TROOOP bien, pauvre Lisbon. C'est vrai qu'à sa place je réagirais pareil. C'est normal qu'elle se méfie d'Opale, mais là elle est carrément jalouse !
VLS !

jalousie quand tu nous tiens
là notre Lisbon ne pourra pas dire qu'elle n'est pas jalouse, elle lui à même dit qu'elle tenait à lui, d'une certaine manière, même si elle à sortie autre chose pour se rattrapé

Gros chapitre pour ce soir car gros chapitre demain, donc j'évite l'overdose ! lol

Bonne lecture ^^



* * * * *

Chapitre22 : Témoignages

Du côté de l’autre équipe, Rigsby s’était lancé dans uneexplication détaillé de la marche à suivre, débattant (tout seul) des questionsà poser, de l’ordre des personnes à interroger, de la procédure en cas de refusd’obtempérer, et de l’importance de l’observation dans la façon qu’ont les gensd’ouvrir leur porte.
Opale écoutait son discours d’une oreille distraite, s’efforçantde dissimuler un sourire mi-moqueur, -mi-exaspéré.
- … et s’ils n’ouvrent que partiellement la porte en nouscachant la vue de l’intérieur de la baraque c’est qu’ils ont quelque chose àcacher. C’est souvent chez ces gens là qu’il convient de creuser plus en prof…
Cho perdit patience.
- Rigsby, va falloir que tu la boucle maintenant.
L’effort que dut produire Opale pour ne pas exploser de riretenait du surhumain.
- Quoi ? Tu permets, c’est important ce que je dis,Lisbon nous l’a confié pour qu’on la forme je te rappel.
Cho gara la voiture.
- Pour qu’on la forme, pas pour qu’on l’assomme avec desthéories vaseuses… On y est, on peut sortir.
Ils descendirent de voiture et Cho prit les devants, traçantvers la maison la plus proche.
- Suis-moi, ordonna-t-il à Opale qui lui emboîta le pas sanshésiter.
Rigsby, qui était censé s’attaquer aux habitations d’en facepour couvrir plus de terrain en moins de temps, préféra les accompagner parcuriosité.
Cho toqua avec assurance à la première porte. Une jeune maman,un bébé dans les bras, leur ouvrit.
- Oui, bonjour ?
- Bonjour madame, agent Cho du CBI, on aimerait vous poserquelques questions au sujet de la famille Jefferson, ce nom vous dit quelquechose ?
- Oh ! La famille dont la femme a été assassinée il y après de vingt ans ? Quelle tragédie, leur maison a été brûlée, par le pèreparait-il ! Quand je pense à leur petite fille… Ruby, je crois.
- Vous avez l’air de bien connaître l’histoire. Mais vous mesemblez un peu jeune pour avoir connus les Jefferson, je me trompe ?
La femme pouffa :
- Oulala ! En fait mon mari et moi venons d’emménageril y a deux ans, mais ici tout le monde connait l’histoire des Jefferson, çafait partit du folklore comme on dit !
- Ouais, le folklore…Et vous n’avez aucune idée de l’endroit où pourrait se trouver Ruby Jefferson àl’heure actuelle ?
- Non, pas du tout… Beaucoup pense qu’elle est morte aussi.
- Très bien, merci de votre coopération.
- De rien ! Au revoir !
Cho tourna les talons, suivit de Rigsby et Opale. Illança :
- Des questions Iferson ?
Elle secoua la tête.
- Aucune.
- Vous vous sentez capable de faire pareil ?
- Absolument.
- Parfait…
Il conclu pour Rigsby :
- Tu vois, çac’est former…

* * * * *

Toc toc
- Oui ?
- Bonjour madame, agent Lisbon du bureau californiend’investigation, et voici Patrick Jane. Nous souhaiterions vous poser quelquesquestions au sujet d’une de vos anciennes élèves.
Le regard pétillant encore d’intelligence de la vieille damelui attira immédiatement la sympathie du consultant. Et l’air gamin de celui-ciplût tout de suite à l’ancienne institutrice.
- Oooh vous jeune homme vous m’avez l’air d’être un sacrénuméro ! Mais j’en ai vu d’autres ! Entrez, entrez, j’étais justementen train de faire du thé.
Jane lui adressa un sourire éclatant de reconnaissance, onaurait dit qu’il venait de rencontrer sa grand-mère parfaite. Lisbon leremarqua et leva les yeux au ciel avant de passer la porte.
- Vous êtes bien Madame Belville ?
- Oui, oui c’est moi, asseyez-vous je vais chercher le théet nous parlerons de cette ancienne élève…
Elle quitta le salon pour disparaître dans la cuisine. Janese sentait comme chez lui ici... il gouta avec une joie toute puérile auconfort du canapé. Lisbon, plus raisonnable, s’assit simplement… immédiatementballotée par les remous provoqués par un Jane rebondissant à l’autre bout dufauteuil.
- Jane c’est pas bientôt fini, oui ?
Sans se départir de son sourire, il dit :
- Je crois qu’il est temps de changer mon canapé au CBI. Jevoudrais le même que celui-ci… Il est plus grand. Vous pourriez vous assoir àune extrémité et moi j’essaierais de vous faire tomber en appuyant de tout monpoids de l’autre côté, qu’est-ce que vous en dites ?
- J’en dis que c’est ridicule ! Et arrêtez tout de suite vous aller démolir lesressorts !
L’ancienne institutrice revint, chargée d’un plateaucontenant tout le nécessaire à thé. Jane cessa immédiatement ses rebonds pourse précipiter à son aide.
- Tu es gentil, mon garçon… il te plait mon fauteuil ?
- Oui madame.
Lisbon avait l’impression de voir Jane à huit ans. C’était àla fois très attendrissant et… grotesque.
Il posa le plateau sur la table basse et retourna s’assoir,sagement cette fois, pendant que Mme Belville remplissait les mugs.
- Alors, alors… dites moi tout. De quelle élève doit-onparler ?
- Il s’agit d’une petite fille que vous auriez eue enpremière et peut-être début de deuxième année de maternelle. Ruby Jefferson,vous vous en souvenez ?
L’institutrice distribua les mugs, un bleu à Jane, un vert àLisbon. Elle prit le jaune.
- Bien sûre. Je me souviens de chaque petit que j’ai eu dansmes classes et les évènements reliés à Ruby ne m’en laisse qu’un souvenir plusnet encore que les autres. Mais je ne vous apprendrais rien en vous lesracontant n’est-ce pas ?
Lisbon et Jane se concertèrent du regard. La vieille femmeétait d’une étonnante perspicacité pour son âge. Le consultant ne l’en appréciaque d’avantage et prit la parole :
- Non, madame, nous savons ce qui est arrivé à la mère del’enfant. Mais nous aimerions quand même avoir votre version de l’histoire, etquelques renseignements sur Ruby si vous le voulez bien.
- Bien sûre que je le veux bien mon petit Patrick, il estrare que je trouve une oreille attentive alors je ne vais pas manquer ça,dit-elle avec un sourire qui lui ôta une bonne dizaine d’année.
- Nous vous écoutons, madame, l’encouragea Lisbon.

* * * * *

- Bonjour, agent Cho, CBI, on aimerait vous poser quelquesquestions. Les Jefferson ça vous dit quelque chose ?
*
- CBI, on enquête sur les Jefferson, ils habitaient ici il ya une vingtaine d’année, vous savez peut-être où est leur fille, Ruby ?
*
- Bonjour, j’aide le CBI sur une affaire, peut-êtreavez-vous entendu parler des Jefferson ? Ils habitaient la maison d’enface dans le temps…
*
- C’est la famille dont le mari a tué la femme et brûlé lamaison ?
- Oui, vous savez ce qu’il a fait de sa fille, Ruby ?
- Non désolé, j’ignorais qu’ils avaient une fille… pauvrepetite…
- Bon, merci quand même.
*
- Les Jefferson ont vraiment existé ? Je croyais quec’était une histoire inventé pour faire peur aux gamins, genre maison hanté parl’esprit de la famille qui cherche à se venger du père, un truc dans le genre…
- Euh... non, c’est très sérieux, monsieur.
- Bah, si ça vous amuse de courir après des fantômes… Bon courage !
*
- Navré charmante demoiselle mais je ne suis là qu’envisite. Mais si vous voulez entrer prendre un café pour discuter…
- Non merci, je travail.
- C’est comme vous voudrez… a un de ces jours alors !
- C’est ça…
*
Les trois collègues se retrouvèrent au milieu de la petiteroute – où personne ne passait – pour un briefing express.
- Alors ?
- Alors rien du tout, l’affaire remonte à trop longtemps. Etde ton côté ?
- Pareil, y en a même un qui m’a parlé de fantômes…Iferson ?
- De même, sauf que moi on m’a proposé un café…
Rigsby et Cho échangèrent un regard.
- Y en aura au moins une qui aura pas perdu sa journée… Bonon continu ?, fit Cho qui s’efforçait de se motiver lui-même.
- Ouais on y retourne… grogna Rigsby.
C’est alors qu’une sorte de sifflement se fit entendre.
- Psssst !
Ils tournèrent la tête d’un même mouvement pour découvrirune petite vieille toute ratatinée aux yeux bridés qui leur faisait signed’approcher avec une mine de conspirateur.
D’abord un peu hésitants, les trois agents vinrent tout demême à sa rencontre. La vieille leur murmura d’un air inspiré :
- Si vous m’aidez à retrouver mon chat, je vous parleraisdes Jefferson !
Rigsby, Cho et Iferson n’eurent pas besoin de se concerterpour en arriver à la même conclusion : La suite de l’enquête dépendaitpeut-être du témoignage d’une vieille folle à chat…

Ha enorme, j'l'aime bien c'canapé xD
Et une folle a chats, ou tu vas chercher ça Elw' ?
VLLSSSSS !!!!!!!!!!!!!!

Chouette chouette chouette la suite !
J'étais explosé devant la "grand-mère parfaite" de Jane.
La pauvre Lisbon, je crois que tu peux largement descendre en dessous des huit ans !
NOOOON JAANE, ne change pas ton canapé !! Tu vas lui briser le cœur !
Tiens une vieille folle à chats,...ça faisait longtemps que j'en avais pas vu dis donc !

Attendre demain, DURE ! JVLS !

Tu as réussi a mélanger l'esprit de la série avec ta fic c'est exellent et puis la mami, elle ne perd pas du tout le nord

chouette ta suite j'adore
Jane et son canapé je l'aime bien le sien faut pas qu'il le change
t'as quoi contre les vieille aux chats? moi j'adore les chats et comme je suis encore un coeur à prendre mon frère dit que je vais finir vieille dame aux chats, alors attention

MDR Jane et son canapé une grande histoire d'amour xD
VLS

Raaa j'adore Jane et la mamie
Et la vieille folle au chat.. quelle imagination!



VLS

Superbe chapitre, l'histoire commence à se corser un peu ! Je me demanda ce qu'Iferson va faire quand on en découvrira plus sur elle

VLS

Bah à mon avis, ça risque de clasher entre elle et Lisbon j'attends que ça moi!

Shaitan a écrit:Bah à mon avis, ça risque de clasher entre elle et Lisbon j'attends que ça moi!

+1


V.L.S

Je viens de prendre l'histoire en route et... je me retrouve avec 55 pages word (j'ai légèrement modifié la taille et la police pour que ce soit plus lisible).

A dans 55 pages

Début de la suite ! suite de cette suite après Lost


* * * * *

Madame Belville but une gorgée de thé et ses yeux sevoilèrent, comme perdue au fin fond de sa mémoire.
- Ruby Jefferson était la fille de Scarlett Jefferson et deMichel Irvin. Ces deux là s’étaient connus au lycée et quand Scarlett est tombéeenceinte ils ont décidé de garder le bébé. Ils étaient si jeune pour êtreparents ! Mais croyez-moi quand je vous dis qu’ils étaient bien plusresponsables que certains parents plus âgés incapables d’arriver à l’heure…Enfin, certaines choses ne s’expliquent pas… Quoi qu’il en soit, Ruby avaithérité du nom et des traits de sa mère. Entre instit nous l’appelions le« feu follet », à cause de ses cheveux pareils à une flamme quis’agitait en tout sens quand elle courait. Et elle courait toujours lapetite ! Pour échapper aux garçons la plupart du temps qui la prenait soitpour une fée, soit pour un extra terrestre, et qui voulaient lui faire avouerses origines. Pauvre petite… un jour elle en a eu marre de courir et elle leura flanqué une bonne raclée !
- Ce qui n’était pas pour vous déplaire, n’est-ce pas ?
L’ancienne instit’ pouffa :
- Non, effectivement Patrick, j’aime les enfants pleins devie ! Et même si nous ne somme pas censé faire de favoritisme entre lesgamins, nous les profs, nous restons des humains. Et j’adorais Ruby. Ellepassait son temps à rire, à sauter de partout… Sauf en classe où elle étaitd’une attention et d’un calme tout inhabituel pour une si petite fille… Je merappel aussi qu’elle détestait dessiner et colorier, elle préférait prendre unlivre et le regarder fixement jusqu’à ce qu’elle arrive à déchiffrer quelquemots. Une gamine précoce et très agréable, au tempérament de feu mais trèsdisciplinée. Une contradiction à elle toute seule ! Enfin… du jour aulendemain BAM ! plus de Ruby ! Et deux jours plus tard sa maisonprenait feu et on retrouvait le cadavre de la pauvre Scarlett. Je n’ai pas cruun seul instant en la culpabilité de Michael ! Pour ce qui est des témoinsl’ayant vu traîner dans les environs avant l’incendie, ce sont soit desmenteurs, soit Michael avait une bonne raison de faire ce qu’on l’accused’avoir fait. Mais tuer sa compagne ? Jamais !
Elle appuya son affirmation d’un coup de poing sur la table.
- Madame Belville, savez-vous ce qu’est devenu Ruby aprèscela ?
- Rien d’officiel, brunette ! Mais si vous voulez monavis, Michael a dût venger la mort de Scarlett et changer de pays avec Ruby… Etau diable ceux qui pensent qu’il l’a tué aussi ! Michael adorait cettegamine !
Jane glissa jusqu’à l’extrême bord du coussin pours’approcher au plus près de cette femme dont les oreilles viraient au rose vifà chaque emportement. Ce que le consultant trouvait tout bonnement fascinant.Il se pencha par-dessus la table et planta ses yeux pétillants de malice dansles siens, brûlant au rythme de ses souvenirs.
- Vous dites que Michael adorait cette gamine. Pourquoi ne pas dire sa fille ?
Un sourire admiratif se peignit sur la petite bouche del’enseignante.
- J’ai tout de suite vu quand vous êtes rentré que vousétiez quelqu’un mon petit Patrick !
Lisbon leva les yeux au ciel, il serait sans doute ingérableaprès ça…
- Et bien oui, je ne dis pas sa fille parce que selon moi–et mon instinct me trompe rarement – Michael n’était pas le père biologique deRuby. Il était un père pour elle et un mari pour Scarlett mais il ne partageaitpas plus de sang avec cette petite que d’alliance avec sa mère !
Jane s’enfonça de nouveau dans le moelleux du fauteuil etlança un regard admiratif à Lisbon :
- Elle est épatante… Quel flaire madame, vousm’impressionnez… je prendrais bien un petit biscuit si vous le voulez bien…
- Jane !
- Quoi ?! J’en mangerais pas beaucoup !
Belville sourit jusqu’aux oreilles et lui rapporta une boîtede cookie tout chocolat.
- Ce sont les préférés de mon petit fils mais il est bientrop occupé avec ses études de médecine pour venir les manger…
Jane lui accorda un sourire compatissant puis se servitallégrement de petits gâteaux, aux anges. Quant à Lisbon elle fut bien forcéed’en manger un quand la grand-mère les lui agita sous le nez.
- Mangez brunette ! Vous m’avez l’air toute maigre
Devant l’air offensé de Lisbon à cette critique, Jane tentad’articuler la bouche pleine :
- Mmm ‘ous êtes ‘ès ‘ien !
L’institutrice chassa ce piètre argument d’un signe de mainennuyé :
- Tsss de l’écoutez pas brunette ! Cet adorable petitvoyou cherche à vous entraîner dans son…
- Madame Belville avez-vous une idée de qui pourrait être levéritable père de Ruby ?, s’empressa-t-elle de l’interrompre pendant queJane s’étouffait à moitié de rire avec son biscuit.
- Et comment voulez-vous que je le sache brunette ? Jevous ai dit tout ce que je savais, maintenant le mieux que je puisse fairec’est de vous montrer une photo de Ruby, j’en ai de tous mes élèves ! Enquarante ans de carrière croyez-moi quand je vous dis que ça fait beaucoup…
Jane avala en vitesse :
- Non ! Pas la peine merci, on vous a déjà biensuffisamment ennuyé comme ça.
Lisbon le foudroya du regard.
- Ne l’écoutez pas, madame, nous serions ravie de voir àquoi ressemble Ruby Jefferson.
L’enseignante disparut dans une pièce voisine d’oùs’élevèrent presque immédiatement des bruits étouffés d’objets qu’on déplace etde bibelots qui tombent… où que soient rangés ces photos il fallait bataillerpour les trouver.
Une fois sûre qu’elle ne serait pas entendue, Lisbonlança :
- Jane vous êtes fou ? Une photo de Ruby c’est parfaitpour lancer une recherche faciale !
- Bien sûre que non elle aura tout au plus cinq ans dessus,rien à voir avec la jeune femme de 24 ans que nous recherchons !
- C’est toujours un point de départ, Van Pelt sedébrouillera avec.
Jane voulut protester mais Belville revenait, chargée d’unénorme classeur jaune calligraphié Mesclasses 1955-1995. Elle s’installa entre Lisbon et Jane et commença àfeuilleter ses archives, commentant chaque photographie d’élève d’une anecdoteà son sujet. Impossible d’y couper, il leur faudrait attendre un temps certainavant d’arriver jusqu’à Ruby Jefferson…
Pour la première fois de sa vie Lisbon regretta de ne pasavoir écouté Jane. Et pour la première fois de sa vie Jane était heureux queLisbon ne l’ai pas écouté…


A tout à l'heure ! ^^ (avec la folle à chat xD)

Nooooooooooon tu ne peut pas couper là moi je veux voir ce que va dire la brunette quand elle va voir que Ruby > Opale (enfin si elle capte!!) Alala que j'aime cette grand mère!! Et puis le comportement de Jane... un vrai gamin

j'aime beaucoup cette grand mère ! Et ah la la si Lisbon voit que Ruby est Opale . . . VLS!

J'adoore la grand mère, surtout le fait qu'elle appel Lisbon "brunette", et j'ai craqué sur le "Cet adorable petit voyou ..."



VLSS

Superbe la relation entre Jane et cette femme !
Tu fais vraiment durer le suspense toi !

Elw', c'est TOP !!
Haha, cette folle a chats me plait enormement et puis, elle sait tout sur tout ^^

VLS !!!

Jane sur le canapé , Cho et son efficacité légendaire... J'adore ! VLS !

Hey, on se moque pas de la vieille à chats svp, je finirais sûrement comme ça alors un peu de respect !
Fée, tu confonds pas la folle à chats avec l'instit?

Est-ce que Lisbon va reconnaitre Opale sur la photo????

Tu peux pas couper la! La suiite

Mais attendez que je finisse de l'écrire bande de morfales ! MDR je suis en pleine révélation pseudo zarbi de la folle à chat !! xD

Elwing a écrit:Mais attendez que je finisse de l'écrire bande de morfales ! MDR je suis en pleine révélation pseudo zarbi de la folle à chat !! xD

Quoi elle apprend aux autres que les chats sont des extra-terrestres avec qui elle communique depuis des millénaires??


Tu n'as pas le droit de nous faire sa quand on a rien