"L'ERREUR" [FINI] ^

J'en attendais pas moins de toi Fée ! =D enfin j'espère que ça te plaira quand même, même si tu connais déjà la fin !! ^^

Ah j'adoore c'est trop biien vraiment!!

J'adore Kim' qui suit la scène comme un match de tennis, on s'attendrait presque à le voir lancer un "15 - 0?".

Lisbon qui pète un câble, trop drôle! Mais Jane il a beau être mentaliste, il a de la merde dans les yeux s'il voit pas que Lisbon est dingue de lui! Boulet!

Je n'ai qu'un mot à dire ... WAHOU !
J'ai commencé à lire hier soir & je viens de finir !
J'adore, il n'y a pas d'autres mots pour décrire =D

Suiiiite =DDD

J'aime vraiment pas ce Tim . Car même si je suis pro Jisbon, tout le monde devrait adorer Patrick Jane, même Opale, donc il faut qu'elle le préfère lui. En plus ça continuerait d'être une raison pour Lisbon d'être jalouse .

GENIALISSIME !

Très petite suite je sais, mais je poste la suite tout à l'heure ^^
Bonne lecture !




* * * * *

Chapitre 31 : Pick Pocket

« Mentheextra-forte ». Provenant surement de son eternel spray… Exactement commeavant. Jane s’était sûrement trompé.
Elle retourna auprès de Tim. Dès qu’elle le vit un parfum denostalgie l’envahit. Il lui sourit et lui prit la main alors qu’elle s’asseyait.
- Te revoilà, ma puce, alors continue à me raconter ce quej’ai manqué… Tu en étais au moment où tu as surpris quelqu’un chez toi.
- Ah oui, oui… donc il écrivait et je me suis jetée sur lui…
Elle ne passa rien sous silence, décidée à lui révéler toutles évènements dans leur intégralité. Quand elle parlait de ses états d’âmes,Tim redevenait son psy plus que son petit ami, il fit :
- Combien de fois t’ais-je dis de pleurer un coup après unchoc émotionnel ? Tu ne peux pas infliger autant de tensions à ton corpset à ton esprit c’est malsain !
Elle soupira, en arrivant au moment fatidique.
- J’ai pleuré en dormant sur Jane.
Un éclair traversa ses yeux mais elle fut incapable d’enidentifier le sentiment. Elle avait à peine eut le temps de le remarquer, qu’ilétait redevenu un masque parfait de calme et d’écoute attentive. Encourager parsa maîtrise de sois, elle poursuivit son récit. Quand elle lui parla de son« partenariat rapproché mais vertueux » avec Jane, un nouvel éclairle traversa. Colère, honte, surprise… joie ? Impossible à déchiffrer.Opale enchaîna, parlant de l’hypnose de la veille, de leur pseudo dispute…Finalement elle ne lui avait rien caché ormis un détail : la promessequ’elle avait faite à Jane au sujet de John le Rouge. Cela ne devait resterqu’entre elle et lui, Tim n’avait rien à voir là-dedans.
Quand elle cessa enfin de parler, Tim demanda :
- Et vous en êtes où maintenant ?
- On a décrypté le mur, on l’étudie, on cherche desindices… On patauge aussi…
- Non, je voulais dire, avec Jane.
Elle écarquilla les yeux.
- C’est vraiment le moment ? Pourquoi tu me parle delui ?
- Parce que tu en parle beaucoup, c’est qu’il a del’importance pour toi. Et sache que je ne t’en veux pas du tout.
Elle demeura interdite un instant.
- Pas même un peu jaloux ?
- Peut-être un peu, j’admets, mais je comprends…
- Ah… tan mieux…
C’était entièrement faux. Elle n’était pas du toutsatisfaite de cette réponse, mais elle n’en laissa rien paraître.
- Tu ne veux pas répondre ?, relança Spidel.
- Si, si pardon. Hum euh… il est content pour moi… pournous. Donc tout va bien !
Il l’observa quelques minutes, lui trouvant un air un peucrispé. Mais il n’eut pas le temps de le lui faire remarquer qu’elle gommacette expression de son visage pour revêtir une mine de joie profonde.
- Tu es là, je suis là, on est de nouveau tout les deux.
- Oui et dès ce soir tu emménage dans ma nouvelle maison !Fin des flics sur le dos, tu es de nouveau en liberté avec moi pour garde ducorps !
- Quoi ? Ah non mais ce n’est pas ainsi que çafonctionne !
Il lui posa un doigt sur les lèvres pour la faire taire.
- C’est une maison de mes parents, ils me l’ont offerte encadeau de « bienvenu chez les vivants ». Elle est équipée du plusperfectionné des systèmes de sécurité en vente sur le marché, tu serasparfaitement à l’abri. Je vais en discuter avec tes supérieurs mais il n’y aurasurement pas de problème, tu me connais.
Oui elle le connaissait. Il pouvait obtenir tout ce qu’il voulaitavec un pot de vin. Mais ça n’avait jamais été son genre d’utiliser son argent,il préférait être reconnu pour ses talents plutôt que pour son compte enbanque.
- Ne rigoles pas avec la procédure, Tim. Si elle est faitecomme cela c’est pour une raison.
Il la toisa une seconde avec tristesse et passa une maindans ses cheveux.
- Qu’est-ce qui t’es arrivée Ruby ? Je me souviens detoi comme d’une jeune fille indépendante, forte et qui n’aurais jamais laissépersonne l’enfermer chez elle sous haute surveillance, comme dans une prisonavec escorte obligatoire… Je me souviens aussi de tes cheveux doux comme de lasoie et de la couleur d’un feu dévorant de vie. Tu as tellement changé…Pourquoi cette résignation et cette teinture qui te dénature ?
Opale serra les dents.
- La teinture c’est pour être moins reconnaissable et ce quetu appel de la résignation est en fait le respect volontaire du règlement. Tume demande ce qui m’est arrivé ? Il s’est passé que je me suis retrouvéetoute seule, que j’ai fait l’armée où j’ai appris l’obéissance, découvert uncode de conduite, un mode de vie. Il m’est arrivé que je suis devenue OpaleIferson. Ne m’appel plus Ruby, Tim !
Elle se leva et le planta là sans plus discuter.

Raa, c'est court.

Un spray! c'est pour se camoufler, fait attention Opale! décidement je ne l'aime vraiment pas du tout du tout ce Tim ...

VLS :vivement:

J'l'aime pas ce Tim!!
VLS

Izarra a écrit:Raa, c'est court.

Un spray! c'est pour se camoufler, fait attention Opale! décidement je ne l'aime vraiment pas du tout du tout ce Tim ...

VLS :vivement:

je vois que je ne suis pas la seule à ne pas l'aimé ce Tim, mais même si je ne l'aime pas qui nous dit qu'il est méchant?
pas que je prenne sa deffence mais il pourrait juste être jaloux, ça ce pourrait non?

Sweetylove30 a écrit:

Izarra a écrit:Raa, c'est court.

Un spray! c'est pour se camoufler, fait attention Opale! décidement je ne l'aime vraiment pas du tout du tout ce Tim ...

VLS :vivement:

je vois que je ne suis pas la seule à ne pas l'aimé ce Tim, mais même si je ne l'aime pas qui nous dit qu'il est méchant?
pas que je prenne sa deffence mais il pourrait juste être jaloux, ça ce pourrait non?

Oui, jaloux il peut l'être.
Mais le Spray, tout est dans le spray

J'aime pas Opale, j'aime pas Tim, j'aime pas les sentiments que Jane a envers Opale donc...


Lisbon elle va vite bouger son derrière et courir après Jane comme l'a fait Rigsby (tu as comblé mon coeur de Rigspelt ce jour là) pour Grace!!

C'est vrai que si RJ a embrasser Opale, c'est que c'est pas son père mais moi bizarrement je pense a Tim, même si c'est impossible. Il vient de sortir d'hôpital comme RJ un peu de l'ombre, mais ses parents ont veiller sur lui depuis... enfin c'est l'embrouille total, j'espère qu'on aura vite les réponses

Moi je l'aime bien se Tim..Mais que parce qu'il est avec Opale & que Jane va être avec Lisbon ! xD
V.L.S

Voilà, suite ! additionner avec celle déjà poster ça donne une taille respectable ^^
Bonne lecture ! =))




* * * * *

Spidel se retrouva donc seul au bureau d’Opale, la minecontrariée.
- Alors, Tim, toutne se passe pas comme prévue ?
Jane venait d’arriver derrière lui. Tim se tourna lentementpour lui faire face, un sourire enchanté plaqué sur son visage.
- Bonjour ! Vous devez être ce fameux Patrick Jane dontRuby m’a tant parlé…, fit-il en lui tendant la main.
Jane s’en saisit, lui retournant un sourire modeste.
- Ne croyez pas tout ce qu’elle dit je ne suis pas aussigénial qu’elle le pense...
Les deux hommes partagèrent un petit rire et Tim reprit :
- Vous me plaisez bien M. Jane ! Tenez pourquoi ne passe retrouver un de ces jours autour d’une bonne table, vous, Ruby et moi ?Vous vous êtes tellement bien occupé d’elle ces derniers temps que je vous doisbien cela.
Jane mit une main sur son cœur, signe qu’il était touché, etde l’autre il donna de petites frappes amicale sur l’épaule de Spidel.
- Quelle bonne idée,j’en serais ravi… Je dois vous laisser maintenant, le devoir m’appel ! Et…bonne chance avec Opale… Ruby… bref avec elle !
- Merci M. Jane, et à bientôt j’espère.
Le mentaliste s’éloigna, déposant discrètement un petit boutde papier sur le bureau de Cho et poursuivant sa route jusqu’à son canapé.

* * * * *

- Qu’est-ce qui a ? Pourquoi tu nous as faitvenir ?, demanda Rigsby.
Jane lui fit signe de se taire et d’approcher. Cho étaitdéjà là, bras croisés.
- Il a fait les poches à Spidel, laissa tomber le brun d’unton blasé.
- C’est pas vrai… mais Jane qu’est-ce qui t’as pris ?
- Il m’a pris que ce prétendu comateux refait surface enmême temps qu’Opale se fait agresser et hypnotiser.
Rigsby soupira.
- Bon qu’est-ce qu’il avait dans ses poches ?
Jane sourit, satisfait d’avoir capté leur attention.
- J’attendais que tu me le demandes…
Il ouvrit la main, dévoilant un mini spray à la menthe et untube d’aspirine.
Cho et Rigsby échangèrent un regard exaspéré.
- Et c’est tout ?
- Comment ça c’est tout ? John le Rouge avait un goûtde médicament selon Opale vous vous souvenez ? Et comme par hasard Spidelsort tout juste de l’hôpital et ingurgite de l’aspirine !
Wayne perdit patience et fouilla dans sa propre poche, ensortant un tube de medoc similaire.
- J’ai le même et j’étais bien réveillé à l’heure où Ifersonc’est faite hypnotiser. Fais-moi la peau je suis John le Rouge.
Jane fronça les sourcils et eut un mouvement de recul :
- Oh je t’en pris Rigsby tu ne serais pas capabled’hypnotiser un cookie même sous la torture. Mais qu’est-ce que vous avez tousaujourd’hui à me contredire ? Plus personne ne me suit, ça y est onest plus pote ?
Opale surgit à ce moment là, l’air grave.
- Jane je voul…
Elle stoppa nette en voyant les deux agents et ce que tenaitdans la main le consultant. Ce dernier s’empressa de refermer les doigts dessusmais il était trop tard. Elle avait reconnu le spray en une fraction deseconde. Ses yeux lancèrent des éclairs.
- Dis-moi que tu n’as pas fait ça…
- Je sais de quoi ça à l’air vu de l’extérieur mais en faitc’est une opération tout à fait logique et…
- Tais-toi ! Je ne veux rien entendre, rends-moi ce quetu as volé tout de suite et je lui rendrais quand je le verrais sans faired’histoire
- Parce qu’il est partit ?
- Oui. Maintenant donne-moi ça.
- Non.
Un duel de regard s’engagea, à coup d’éclair de colère pourOpale et d’effronterie butée pour Jane.
- Si tu ne me les rends pas maintenant, je le dis à Lisbon,et vu son humeur actuelle crois-moi tu vas souffrir…
Cho et Rigsby retenaient leur souffle, se demandant s’ils neferaient pas mieux de fuir tout de suite.
Jane rangea le spray et le tube dans sa poche.
- Tu n’iras pas voir Lisbon parce qu’au fond tu as les mêmesdoutes que moi.
Opale plissa les yeux, de plus en plus en colère. Elle étaitvenue pour discuter mais maintenant tout ce qu’elle souhaitait était de fairedisparaître cet air assuré insupportable du visage du consultant.
- Erreur.
Elle tourna les talons et fonça vers le bureau de Lisbon.

* * * * *

- Il a fait quoi ?
Lisbon n’en revenait pas. Ce devait être la fête de ladésobéissance, les réjouissances de l’insubordination, le carnaval del’interdit… elle ne voyait pas d’autre explication.
- Je n’ai qu’une question, Iferson. Pourquoi me ledire ?
- Parce que c’est mon devoir. Si vous ne faites rienHightower vous le fera payer.
Lisbon se laissa tomber derrière son bureau. Il était tempsde remettre les pendules à l’heure, le laisser allé de son équipe n’était plusviable et la réputation du CBI risquait d’en souffrir.
- Bien, merci de l’information Iferson. Une réunions’impose. Dites à Rigsby, Van Pelt et Jane de venir dans mon bureau. Cho etvous, vous pouvez continuer à travailler.
- Oui, patron.
Opale se retira prestement, partant retrouver ce pick pocketde mentaliste.
- Jane, Rigsby, Lisbon vous attend dans son bureau, ettrouvez Van Pelt au passage.
Wayne la toisa méchamment.
- Qu’est-ce que tu lui as dit ?
- Moi ? Rien du tout, j’ai seulement balancé Jane. Maissi j’en crois le léger haussement de sourcil qu’il a eut en t’entendant m’accuser, je dirais que c’est vers lui quetu devrais te tourner pour savoir comment Lisbon est au courant pour votrerechute à toi et Grace.
- Comment tu sais pour moi et…
- Je l’ai sus environ dix minutes après mon arrivée au CBI.Bonne fin de matinée, je ne vous verrais sûrement pas à la pause déjeuner.
Elle leur tourna le dos et repartit sur son ordinateur,continuer à se venger en tapant sur les touches. Jane la suivit du regard, à lafois outré et impressionné.

* * * * *

- Qu’est-ce qui s’est passé ?, demanda Cho.
- Rien.
- De toute façon je ne voulais pas vraiment savoir.
Iferson frappait sur son clavier à une vitesse un peu folle,multipliant les fautes d’orthographes ou les erreurs dans les numéros,incapable de se concentrer, guettant l’heure du déjeuner.
Son téléphone sonna et elle dut se forcer à répondre envoyant un numéro inconnu s’afficher. Si c’était John le Rouge qui l’appelaitpour conclure cette matinée riche en émotion elle se promit de tuer quelquechose à coup de règle pour se détendre.
- Allô ?
- Opale ?
- Tim ?
- Oui c’est moi. Ecoutes… je suis vraiment désolé pour toutà l’heure je n’aurais pas du te forcer la main… Mais j’étais tellement heureuxde te revoir et tellement pressé de tout pouvoir recommencer avec toi que… quej’ai oublié que si j’étais resté isolé du monde pendant neuf ans, ta vie à toine s’était pas arrêtée…
- D’accord. Ok oui ce n’est pas grave je te pardonne. J’airéagit de façon excessive alors on est quitte.
Même sans le voir elle ressentit son soulagement.
- Je sais que tu as une pause déjeuner alors je me disaisque peut-être… On pourrait manger ensemble ?
- Ca fait très rencart, dit-elle en recouvrant peu à peu lesourire.
- C’est vrai, donc si tu es partante je t’invite à meretrouver à l’adresse que je t’envois en ce moment par texto. Tu n’auras aucunedécision à prendre, aucune obligation. Juste tes yeux pour voir. Acceptez-vousce rencart jeune fille ?
Le surnom lui tira un petit rire. Il l’appelait souventainsi au début de leur relation, à cause de leur différence d’âge.
- Très bien damoiseau, je viendrais...
- Merveilleux ! Je te promets que tu ne seras pasdéçu ! A tout de suite alors…
- Oui à tout de suite.
- Je t’aime… murmura-t-il.
Elle raccrocha.
- C’était qui ?
- C’est l’heure de manger, je sors. Bon courage Cho, lesquatre autres risquent de ne pas être de très bonne humeur…

* * * * *

Opale atteignit le garage, et monta en voiture. Elle claquala porte, fit démarrer le moteur… Un frisson lui parcourus l’échine. Comme unpressentiment. Elle coupa le moteur, descendit de voiture et retourna au bureauen prenant soin de ne pas croiser Cho. Par chance Jane se trouvait toujoursdans le bureau de Lisbon avec Rigsby et Van Pelt, probablement encore en trainde se faire enguirlander…
Cinq minutes plus tard elle redescendait et démarrait, pourde bon cette fois.

MAIS DE DIIIIIIIIEUUUUUU qu'est-ce que je peut pas me blairer cette Opale de mes deux j'en peut plus tue là, je sais pas, mais fait quelque chose comment ose-t-elle balancer Van Pelt et Rigsby?? De Dieu

kis a écrit:MAIS DE DIIIIIIIIEUUUUUU qu'est-ce que je peut pas me blairer cette Opale de mes deux j'en peut plus tue là, je sais pas, mais fait quelque chose comment ose-t-elle balancer Van Pelt et Rigsby?? De Dieu

Mais ta pas suivi ??? elle a balancé que Jane !! Elle a rien dit pour Rigsby et Van Pelt ! C'est Jane qui a fait la boulette !!!

Elwing a écrit:

kis a écrit:MAIS DE DIIIIIIIIEUUUUUU qu'est-ce que je peut pas me blairer cette Opale de mes deux j'en peut plus tue là, je sais pas, mais fait quelque chose comment ose-t-elle balancer Van Pelt et Rigsby?? De Dieu

Mais ta pas suivi ??? elle a balancé que Jane !! Elle a rien dit pour Rigsby et Van Pelt ! C'est Jane qui a fait la boulette !!!

Oui mais même la façon qu'elle a qualifier la relation qu'il entretient avec Van Pelt m'a ... une "rechute" nan mais elle est sérieuse?? En tout cas Opale j'espère qu'elle va souffrir

Plus de Jiferson je dirai donc !

Je veux voir comment Lisbon va gérer ça !

Encore bravo =)

Grum....Y'aurra du Kiferson ?! xD je m'égare !
Bref..J'aime !!

V.L.S

je plein Jane, Rigsby et Van Pelt
Opale je commençais à bien l'aimée mais je ne suis plus très sure de mes sentiments à présent, mais quand même la tue pas, je veux savoir c'est quoi son fameux préssentiment?

Super!! VLS

Haaaa !
Je vois que Izarra commence a devenir une qui-voit-tout :)
J'en dis pas plus, parce que sinon je gache tout !
C'est SUpertopissime Elwing,
Vivement la suuuuiiiiittteee !

Début du chapitre 32, la suite ce soir, et les choses pourront un peu se démêler ^^

Bonne lecture ! (en espérant que vous en ayez pas trop marre... rassurez-vous c'est bientôt fini )




* * * * *

Chapitre32 : Bonne sieste !

- Quel est le problème ? Vous ne l’aimez pas ceboulot ?
- Si, si patron on adore notre boulot… répondirent Rigsby etVan Pelt d’une même voix.
- Non. Si vous l’aimiez vous ne feriez pas tout pour vousfaire virer… Alors expliquez-moi… Qu’est-ce qui a bien pu se passer pour quevous remettiez le couvert tout les deux ?
Jane qui était resté un peu en retrait depuis le début de laconfrontation entre les deux amants et leur patronne, ne put s’empêcher derelever la tête en souriant et d’intervenir.
- Ah Lisbon j’adore comment vous dites ça « remettre lecouvert » c’est à la fois poli et très explicite avec une pointe d’humouret de…
- Jane vous n’êtes pas là en tant que spectateur alors jevous conseil d’arrêter de faire le malin.
Il leva les mains en signe d’excuse et mima le trajet d’unefermeture éclair sur sa bouche. Lisbon leva les yeux au ciel et se reconcentrasur les deux autres agents.
- Alors ? Je croyais que c’était terminé vous deux.
- Oui, patron. Mais ça c’était avant que l’on soit menacé demort par John le Rouge.
Parfois Lisbon détestait être patronne. Mais elle avaittravaillé dur pour en arriver là donc elle devait en assumer les avantagescomme les inconvénients. Et pour l’heure l’inconvénient principale était dedevoir ruiner le bonheur de deux amoureux terrifiés à l’évocation de leur éventuellemort prochaine.
Elle soupira.
- Je vous avez déjà laissé une chance et vous vous êtes faitprendre. Maintenant je suis dans l’obligation de vous demander de vous séparer.Ou qu’un de vous me rende son badge.
Elle attendit, voyant leur expression se désagrégerlentement sous le dilemme.
Finalement Van Pelt prit la parole, la voix enrouée parl’émotion.
- J’aime ce job patron. Mais j’aime encore plus Rigsby. SiJohn le Rouge devait me tuer je ne veux pas que se soit l’image de ma plaquequi m’accompagne vers l’au-delà.
Elle défit son arme, au bord des larmes et sortit son badged’une main tremblante. Elle déposa tout ce qui faisait d’elle un agent devantLisbon, la mine anéantie mais déterminée. Rigsby se délesta précipitamment desmêmes effets et rendit les siens à Grace qui les refusa.
- C’est moi qui suis venu ramper à tes pieds, c’est à moi departir.
- Non Wayne… ne fais pas ça…
Lisbon s’interdit d’intervenir, décidée une bonne fois pourtoute à remettre de l’ordre dans sonéquipe. Jane s’en chargea.
- Lisbon enfin vous ne pouvez pas les laisser ruiner leurcarrière parce qu’ils sont amoureux, c’est ridicule !
- C’est le règlement, Jane.
- Ah ! Encore et toujours ce maudit règlement !Lâchez-vous un peu Lisbon, regardez-les, ils font pitié !
Rigsby lui lança un regard assassin.
- C’est toi qui nous a balancé alors fait pas semblant devouloir nous aider !
Jane leva un doigt pour démentir :
- Non alors pas tout a fait en fait c’était un simple etmicroscopique accident qui est entièrement de la faute de Cho et…
- CA SUFFIT MAINTENANT ! Jane si vous avez quelquechose de constructif à dire dites-le,sinon… fermez-la.
Le consultant cessa de s’appuyer contre le mur transparentpour se déplacer de long en large de la salle, passant devant les deux amantset parlant avec des airs d’avocats.
- Merci Lisbon, oui j’ai des choses à dire… Ou plutôt unmarché à proposer.
Lisbon se laissa choir sur sa chaise et attendit que Janeexpose une de ses idées tordues.
- Je sais ce que vous pensez : « qu’est-ilencore aller m’inventer celui-là ». Mais je vous assure que c’est uneproposition des plus honnêtes…
- Abrégez.
- Comme vous voudrez : si dans une semaine je n’ai pasretrouvé John le Rouge vous pourrez les virer tout les deux.
Rigsby manqua de s’étouffer :
- Hein ??!!
- Jane tu es complètement fou !, s’insurgea Van Pelt.
- Mais réfléchissez une minute ! Vous ne vous êtesremis ensemble que parce que vous aviez peur de mourir d’un jour à l’autre, sion arrête John le Rouge vous n’aurez plus rien à craindre et vous pourrezreprendre les choses là où vous les aviez laissé avant les menaces. CQFD Cequ’il fallait démontrer.
Un blanc suivi sa tirade. Grace n’en revenait pas de sonculot.
- Je ne trouve même pas les mots pour qualifier ça… c’estinqualifiable.
- T’es prêt à jouer nos carrières ?
Jane haussa les épaules.
- Vous êtes déjà prêt à tout abandonner, je vois pas ce quivous choque. Au moins avec mon idée vous avez une chance de garder tout lesdeux votre boulot.
- Ca ne règle pas le problème, répliqua Rigsby, Grace et moion veut rester ensemble.
- Bien sûre bien sûre mais c’est l’adrénaline, la peur demort qui déclenche ça… Et puis si vous étiez un peu plus malin voilà longtempsque vous auriez crié votre rupture sur les toits et que vous auriez continué devous voir en douce…
- Jane ne leur donnez pas de mauvaises idées !,intervint Lisbon dont une migraine commençait progressivement à s’installer.Rigsby, Van Pelt je vous laisse cinq secondes pour reprendre vos affaires sivous décidez d’accepter la proposition de Jane. 1…
La rouquine lança un regard suppliant à Jane.
- Qu’est-ce qui te fait croire que tu vas leretrouver ?
- Un tube d’aspirine, l’écoute pas Grace, tenta de ladissuader le grand.
- 2…
- Les faits, les évènements récents et… une intuition,exposa le blond.
Van Pelt se tourna vers Rigsby, l’implorant du regard.
- On a qu’à essayer, et on avisera ensuite
- 3…
- Tu veux lui faire confiance alors qu’il nous abalancé ?
- Combien de fois ses intuitions se sont avéréesjuste ?
- 4…
Ils se jetèrent d’un même mouvement sur leurs affaires.
- Bien, fit Lisbon. Alors à dans une semaine. Tâchez de nepas vous faire remarquer d’ici là.
- Oui, patron.
- Vous pouvez disposer…
Ils ne se firent pas prier et quittèrent le bureau d’un paspressé, tout en revêtant avec soulagement leurs effets.
Jane fit mine de les suivre mais Lisbon l’arrêta.
- Non non non Jane, vous,vous restez là. Vous avez momentanément sauvé vos collègues, voyons commentvous allez vous en sortir pour justifier un vol !

ELWING ! TU ES ORAAAAANGE !
Haaa, THE confrontation Jane/Lisbon au sujet de Opale / Tim !
D'ailleurs, faudrait lui dire à Opale qu'elle va se faire defoncer la gueule, là, non ? xD
Genre on pourrait en avoir marre de te lire ! Hahaha !
Haa, VLS Elwi' :)

Bien sur que non on en a pas marre !!

C'est toujours aussi bien, et j'attends la prochaine scène avec IMPATIENCE !!

VLS