"L'ERREUR" [FINI] ^

Han je respire plus là, trop de suspence ! *suffoque*

Au secouuurs ! La suiiiite !

J'ai hate de savoir ce qu'il va se passer quand Jane arrivera!!
VLS

Suite tardive, mais suite quand même ! On approche du dénouement finale :)



* * * * *

- Voilà ce que nous allons faire. A chaque fois que tu aurasenvie de parler, tu taperas du pied sur ta planche. Si je suis disposé àt’écouter je te donnerais la parole. Sinon tu te tairas. Essayons.
Ruby tapa du pied.
- Tu peux t’exprimer.
- J’ai deux choses à dire.
- Vas-y.
- Premièrement je vous hais et je me ferais une joie de vousregarder crever. Ensuite je veux savoir depuis quand Tim est de votre côté.
John le Rouge émit ce qui ressemblait à un rire… sauf quecela n’en avait ni la chaleur ni l’intensité. C’était un rire froid, un peuaigu, comme forcé. Un rire triste. Sans âme.
- Ton Tim est avec moi depuis… le début. Votre rencontreétait arrangée dès ton séjour à l’hôpital. J’avais besoin de lui pour me tenirinformé de tes moindres faits et gestes, de ton évolution… Besoin qu’il tegarde au frais pour le jour où j’aurais besoin de toi. Quand tu as changé denom je n’ai pas été plus embêté que cela. Je savais que tu ne quitterais pas lejeune Spidel et donc que même après votre déménagement j’aurais toujours un œilsur toi… Et que ce minuscule problème serait réglé lorsque vous vous seriezofficiellement fiancé. Tu lui aurais révélé ta nouvelle identité et là même situ venais à le fuir pour x raisons, je te retrouverais toujours. Sous tonnouveau nom… Tim, surveilles l’écran pendant que je discute avec notre invitée…
Opale serrait les dents, sa colère gravissant des échelonsau rythme des mots de l’homme lui faisant face. Elle attendait qu’il continubien qu’elle ait déjà devinée la suite de cette partie de l’histoire.
Spidel c’était posté devant l’écran mais elle le connaissaitsuffisamment bien pour savoir qu’il avait en fait tendu l’oreille, sonattention tout concentré sur la conversation. Il devait aimer entendre cettevoix grave aux intonations mielleuses, sinon pourquoi l’écouter ?
John le Rouge reprit, sans se presser. Cette nonchalance eutau moins le mérite de rassurer quelque peu la jeune femme qui se montait déjàtout un plan pour le faire parler en attendant l’arrivée de Jane. Plan quipermettait une double performance : gagner du temps et obtenir desréponses.
- Mais les choses ne se sont pas déroulées comme prévues… Ily a eut cette accident, cet imbécile qui c’est retrouvé dans le coma !
Soudain son ton c’était fait plus emporté, une lueur cruelles’allumant dans ses yeux. Tim se fit tout petit. Opale ne comprenait pas quel’on puisse changer du tout au tout en si peu de temps. Voilà un épisode quiavait dût de toute évidence le contrarier plus que de coutume… Elle tapa dupied pour parler.
- Non, je n’ai pas fini ! Contentes-toi d’écouter…Spidel étant dans le coma je ne pouvais plus compter sur lui pour te surveilleret tu avais changé de nom ! De plus ses parents t’avaient chassé de sonappartement, je n’avais plus aucun moyen de te retrouver !
Pour la première fois de sa vie Iferson eut envie de sejeter aux pieds de ses ex presque beaux-parents pour les remercier. Sans lesavoir ils lui avaient rendu service… elle en aurait presque rit.
- J’ai tout mis en œuvre pour repérer ta trace, mais je doisadmettre que tu es douée pour disparaître.
Il fit une pause, avalant une gorgée de la tasse posée surla table. Opale devait bien lui reconnaître qu’à défaut d’être beau, il étaitau moins gracieux et charismatique. Elle profita de cet instant de répit pourétudier son aspect plus en profondeur. A vue de nez elle lui donnait moinsd’1m70 et la quarantaine. Un début de calvitie sur des cheveux châtains foncés…Un type très banal… Ce genre de type dont on oublie le visage une seconde aprèsavoir fermé la porte. Sauf qu’Opale avait toujours possédé une excellentemémoire.
John le Rouge reposa délicatement la tasse.
Opale redonna un coup dans sa planche.
- Je t’écoute.
- Je vous ais vu tout récemment.
- En effet. Continue.
- Vous logiez dans la même rue que moi quand j’étais petite.Je vous ai vu quand on interrogeait les voisins avec Rigsby et Cho. J’ai frappéà votre porte et vous m’avez dit que vous étiez en visite. Vous m’avez offertun café.
Un éclair d’exultation pure traversa son visage.
- Tu t’en souviens ! Tu as refusé d’ailleurs, j’en aiété très peiné. J’ai été des plus surpris de te voir, c’était presque comme uneoffrande, un clin d’œil du destin. Je n’avais malheureusement rien prévu pourt’accueillir là bas donc je n’ai rien tenté. Mais nous aurions pu discuter toiet moi si tu avais accepté mon invitation.
Les neurones d’Iferson commençaient à bouillir presqueautant que sa rage. Ce monstre avait le culot de vivre à deux pas de la maisonde sa mère, une femme qu’il avait assassiné !
Elle frappa encore, à s’en faire un bleu. Il la laissaparler d’un signe de main.
- Pourquoi avoir tué ma mère ?
- Oh... Scarlett, oui… et bien… elle refusait de me donnerce que je voulais.
Frappe. Hochement de tête.
- Qu’est-ce que vous vouliez ?
- Tu l’as déjà compris…
Frappe.
- Oui ?
- Pourquoi ?!
- Pourquoi quoi, Ruby ?
Frappe.
- Vas-y.
- Pourquoi vous vouliez me trouver quand j’avais cinq ans,pourquoi m’avoir amoché à quatorze et qu’est-ce que je fou là, ici etmaintenant, et surtout pourquoi MOI,bordel !
John le Rouge se redressa sur sa chaise, posant ses coudessur ses genoux. Il n’était qu’à un peu plus d’un mètre de son visage - justeassez loin pour qu’elle ne puisse pas lui dégommer la face à coup de pied - sonregard brûlant d’une forme d’adoration malsaine.
- Mais parce que tu es ma fille. Et que j’ai besoin de toi…

Ca y est.

Chuis definitivement la meilleure dans mon domaine xDDD
Halala, Elwinn, je suis bien embetée, j'aurais aimé que Jane débarque maintenant et qu'il organisent une petite boucherie entre collègues xD
V.L.S., je dois dire que je suis a court d'idées pour la suite, !!

Re VLS ((:

Aarrgggghhhh!!! Vous imaginez ce que ca doit etre, etre la fille de Red John?! Quel salaud! VLS!

Ahh Opale la fille de RJ
VLS

Il a de drôle façon de s'occuper de sa fille. En même temps il est dérangé, on ne peut pas attendre mieux d'un serial killer.

Opale, je te plains d'avoir un salaud pareille comme père.

VLS

pauvre Opale, j'ai pitié d'elle
être la fille de RJ ça doit pas être facile vivre
je m'en doutais depuis un moment et maintenant mes soupçons sont confirmés, génial
Vite Jane il faut retrouvé Opale :bounce: :bounce: :bounce: :bounce:
VLS

Ah la la, je savais que John le rouge était son père mais la pauvre Opale est vraiment pas gâtée. Reconnaissez qu'elle mérite bien un peu de bonheur auprès de Jane après tout ça...

Je dois avouer que moi aussi je me doutai qu'RJ était le père d'Opale.
Je l'adore RJ !!! Il est parfait !!! Tu as su le représenter tel que je l'imaginai au niveau du caractère, il est sadique juste comme il faut
C'est bizarre, mais j'ai pas envie que Jane sauve Opale ...

Marine a écrit:Ah la la, je savais que John le rouge était son père mais la pauvre Opale est vraiment pas gâtée. Reconnaissez qu'elle mérite bien un peu de bonheur auprès de Jane après tout ça...

Du bonheur ? auprès de Jane ?????? .... ...... Qu'il l'achève !! elle a trop souffert cette petite, abrégez ces souffrances et vite !!!

VLS

Petite suite ! Notre Jane arrive enfin à destination... confrontation directe avec le grand méchant demain !
Bonne lecture

@ Marine : contente qu'il y est au moins une personne qui aime bien le couple Jane-Opale !!!

@ anti-Opale : elle s'en prend plein la poire la pauvre un peu de compassion ! Un petit câlin avec Jane je trouve que ce serait mérité... * manque de se faire décapiter par un clan Jisbon * Bon daccord j'ai rien dit ! TT




* * * * *

Au volant de sa DS, Patrick Jane conduisait sans vraimentvoir la route, sa concentration au seul service de sa vengeance. Mais comme àchaque fois qu’il approchait John le Rouge, ses capacités s’amoindrissaient,dévorées par la haine, consumées par la colère, broyées par la soif de revanche...L’image du carnage de sa femme et de son enfant lui revint en mémoire et iltourna distraitement son alliance avec le pouce, ce simple geste attisant sadétermination, et réveillant son courage. Il avait promis de les venger. Promisde tuer leur meurtrier… ce n’était qu’ainsi qu’il pourrait trouver la paix. Enle voyant, lui, souffrir. Quitte àdevenir lui-même bourreau.
Il se gara à une ou deux maisons de sa destination et fit lereste du trajet à pied, visualisant les lieux, insensible à la morsure du soleil.
Il arriva enfin devant l’adresse donnée par Iferson. Rienque le nom de la rue lui fit comprendre qu’en entrant il ne trouverait pas Timet Opale tranquillement attablés devant une assiette de pâtes. 21 avenue de Fleurs Ecarlates. Le rouge l’obsédaitréellement…
Il repéra deux caméras à l’entrée du portail, habilementdissimulées dans les branchages de l’arbre voisin.
Jane leur envoya un coup d’œil et avisa la hauteur duportail. En escaladant un peu il devrait le passer sans problème…

* * * * *

Ordre et propreté. La devise d’Opale s’effondrait. Plus rienn’était en ordre, son esprit lui-même avait comme subit un disfonctionnement,répandant toutes ses informations en un sombre chaos. Son arbre généalogiqueéclatait et avec lui ses convictions. Et plus rien n’était propre. Jusqu’à sonsang dans ses veines qui semblait souillé de vilénies, entachant ses organes,lui donnant la nausée. Son âme elle-même devait se rebeller contre pareilleabjection. En fait elle n’était même plus sûre d’avoir une âme…
Elle resta longtemps sans respirer. La seule idée departager encore quelques choses avec John le Rouge, ne fut-ce que le mêmeoxygène, la répugnait.
Mais on ne peut rien contre le reflexe de vie, et sespoumons l’obligèrent à prendre une inspiration… immédiatement suivit d’unsifflement d’agonie en guise d’expiration.
En entendant ce son, le serial killer pencha légèrement latête.
- Tiens donc ! Il faut croire que tu as hérité de monasthme…
C’en était trop. Ses yeux semblaient sur le pointd’exploser, les larmes refusant de couler elle ne pouvait que suffoquer etespérer en mourir avant que son… pèrene s’en charge.
Tim s’exclama soudain :
- Jane est là.
- Parfait, ouvre-lui le portail.
Spidel appuya sur le bouton d’une télécommande.
Opale se dit qu’elle était décidemment montée à l’envers,que sa génétique était définitivement pourri. En effet bien que ses yeux soientsec, sa vue devenait floue, brouillée par un rideau liquide… qui ne l’étaitpas.
Mais de toute façon elle ne voulait pas voir Jane. Plusmaintenant…
Un nouvel évènement se produisit, qui, malgré son apparentebanalité la surpris. John le Rouge se leva. Il ne dépendait donc pas totalementde son larbin.
- Tu ne parles plus ?, dit-il en se plaçant derrièreelle de sorte qu’à défaut de le voir elle pouvait sentir son odeur et entendresa voix bien trop proche.
Elle serra les poings, ses ongles s’enfonçant dans sa chair.Curieusement, quand le sang coula, elle se sentit un peu mieux. C’était unefaçon comme une autre de se purger de son ADN…
John le Rouge s’en aperçu et regarda tomber quelques gouttesau sol en fronçant les sourcils.
- Arrêtes ça tout de suite, je n’aime pas qu’ongaspille !, fit-il en s’emparant d’un scalpel sur sa table. Et maintenantdis-moi quelque chose avant que je ne commence. J’aime beaucoup ta voix,Scarlett avait les mêmes intonations… Tu as l’autorisation de parler.
Opale hésita. Une partie d’elle n’était pas sûre de réussirà émettre un son convenable. Elle avait l’impression d’être redevenu la petitefille muette de cinq ans. Se taire pour survivre... Mais elle devait s’en tenirau plan, le faire parler, gagner du temps. De plus elle n’était pas pressée degouter à nouveau au scalpel.
- J’aimerais savoir pourquoi vous n’avez pas signé lemeurtre de ma mère.
John le Rouge soupira.
- Scarlett a été ma première victime… Je l’ai tué sur uncoup de colère, je te l’ai dit elle refusait de me dire où tu étais. Mais ellene m’était d’aucune utilité alors pourquoi la marquer ? Je t’expliqueraisbien toute l’histoire mais Patrick Jane ne devrait plus tarder et il manque latouche finale du décor… Commençons par te révéler telle que tu es, Ruby…
Il défit ses bracelets, révélant les initiales du serial killer.
A leur vue il sourit.
- « rj » Ruby Jefferson, et par là même une petite RedJohn ! Mais passons auxchoses sérieuses…
Il souleva son tee-shirt et dévora son œuvre du regard.
- Magnifique, murmura-t-il presque ému.
Opale serra les dents. Cette marque lui avait pourri la vieet lui y voyait du grand art ? Elle frappa du pied.
- Non. Tais-toi, papa travail…
La lame entra en contact avec son ventre, mordant la chair,la froideur du métal contrastant avec la tiédeur du sang.
Elle ne cria pas. Elle refusait de lui faire se plaisir.Fixant un point du mur gris elle laissa la haine prendre le dessus sur ladouleur, et attendit impuissante qu’il termine de retracer son smiley…

* * * * * *

Jane envisageait tout juste d’escalader le portail quandcelui-ci s’ouvrit, confirmant qu’il était bel et bien attendu.
Il parcouru l’allée d’un pas lent, goutant chaque enjambéele rapprochant de son pire ennemie, mémorisant l’emplacement de chaque chosesans pourtant rien admirer. Tout ce qu’il aurait pu trouver beau, apprécier ourespirer avec plaisir ne l’atteignait plus. Comme si la simple proximité de Johnle Rouge annihilait toute capacitée de perception de « bon », nelaissant libre court qu’au neutre de la praticité. Il nota la présence de lavoiture d’Opale, à côté de celle qui devait être à Tim, mais aucun autrevéhicule.
Il ne trouva pas de caméra sur la massive porte d’entrée etposa une main sur la poignée… avant de se raviser en se souvenant de ce que luiavait expliqué Opale quelques temps auparavant : « « Entrer comme des personnescivilisées », comme vous dites, revient à se servir d’une main. Main quipendant ce temps ne tient plus le flingue. Si le tueur est encore là il n’aqu’à tirer à ce moment précis pour abattre le pauvre flic civilisé. En ouvrantavec le pied on reste opérationnel, prêt à tirer le premier. Le bruit sertd’élément de surprise. »
Cette réplique lui semblait si lointaine maintenant…
Il sortit l’arme d’Opale et ouvrit la porte d’un coup depied, pointant le flingue un peu au hasard, s’effrayant tout seul du bruitqu’il avait causé.
Bien sûre il n’y avait personne pour l’attendre, et il sesentit particulièrement ridicule. Aussi rangea-t-il son arme au plus vite, ladissimulant dans une des innombrables poches internes de sa veste.
Il tendit l’oreille à l’affut d’un bruit quelconquesusceptible de lui permettre de les localiser… mais rien.
Il entreprit alors de faire le tour de la pièce,s’imprégnant des lieux, y puisant des informations, complétant ses observationspar des intuitions… En bref il fureta quelques minutes, jusqu’à repérer unescalier menant vers l’étage inférieur. Celui-là même qu’avaient dévalé Tim etOpale un peu plus tôt.
Jane s’y engouffra.
Arrivé en bas il ne découvrit qu’une petite pièce maléclairée uniquement pourvu d’une bibliothèque, d’un petit fauteuil et d’unbureau. Jane s’apprêtait à faire demi-tour quand un détail attira sonattention. Un décalage, infime, entre le mur et la bibliothèque. Il observalentement chaque parcelle du mur, s’attarda ensuite sur les livres en passantun doigt dessus… Ils étaient aussi poussiéreux les uns que les autres, lesystème d’ouverture ne devait donc pas dépendre de l’un d’eux. Le consultantrecula alors de deux pas, pencha la tête, scrutant le bas de la bibliothèque ets’avança de nouveau. Il posa deux doigts sur le côté droit du meuble, dénichaune fine encoche et appuya. Il n’eut plus qu’à pousser le tout vers sa gauchepour découvrir la porte de métal… et le cadrant digital réclamant un code àquatre chiffres.
Jane inspira un grand coup et se concentra… « Voyonsles choses du bon côté, se dit-il, ce n’est pas comme si je devais désamorcerune bombe… ». Il essaya donc les dix combinaisons les plus courantes. Sansrésultat.
Il essaya sa date d’anniversaire, celle de sa femme, de safille, celle de toute ses victimes connues (il avait lu tant de fois leurdossier que toutes ces dates étaient profondément fichées dans sa mémoire), etfit une pause. Il y avait une date toute récente que John le Rouge n’avait pasoublié. Pour la seconde fois il entendit Opale dans sa tête : « Il a reconstitué le meurtre de mamère pour mon anniversaire. Ruby Jefferson a eu 24 ans hier. Opale ne les auraque dans deux mois. ».
La main du mentaliste tremblait en composant les chiffres,réaction d’un curieux mélange d’adrénaline, de colère, de haine, deculpabilité… Ces sentiments l’envahirent tous en même temps, si bien que cen’est qu’en entrant le dernier numéro et en entendant le déclic de la porte,qu’il se rendit compte qu’il n’avait pas la moindre idée de comment il allaitréagir.
Heureusement il n’eut pas longtemps à s’interroger. Le lourdbattant pivota, révélant la scène.
La première chose qui le frappa fut un smiley dessiné sur lemur juste en face de lui. Ce n’est qu’ensuite qu’il vit Opale allongée selon unangle d’environ 45° sur une planche, le visage d’une pâleur fantomatique, dusang ruisselant de son ventre jusqu’à ses cuisses, formant une petite flaquesous elle.
Une voix aux intonations d’une hypocrisie mêlée de haine etde satisfaction le tira de ce tableau sanglant.
- Patrick Jane… Je vous attendez.

J'ai hate de voir la confrontation!!
VLS

Aaaaahh, pauvre Opale, elle est morte??

Qu'est ce qu'il va ce passer?

VLS

Elwing a écrit:@ anti-Opale : elle s'en prend plein la poire la pauvre un peu de compassion ! Un petit câlin avec Jane je trouve que ce serait mérité... * manque de se faire décapiter par un clan Jisbon * Bon daccord j'ai rien dit ! TT

Manqué ! ...

Que va t-il ce passer !!!!
Ce serai trop bien que ce soit Opale qui tue RJ ... avant de mourir elle-meme, bien entendu
Trop de Suspense !!!! • VLS •

Arghhhhhhhhh ! Faut pas t'arrêter là !
Vite la suite, faut que Jane lui fasse son affaire et qu'il sauve Opale (j'espère qu'elle s'en sortira quand même !)

Mais oui, faut que Jane sauve Opale!!


Et moi non plus je suis pas contre un Jiferson .

MEU DEUS !
Alors, Jane va il arriver a sauver Opale ?
Lisbon et l'équipe arriveront-ils a temps pour sauver Jane ET Opale, ou peut etre qu'un seul d'entre eux survivra. Et si Jane mourait ? Et si aucun des 2 ne survivait et que RedJohn filait entre les doigts de Lisbon's team ? Qu'arriverait-il ? Lisbon survivrait-elle ? L'équipe resterait-elle soudé comme maintenant ?
Muahaha, j'aime insinuer le doute dans vos esprits xD
La suite Aujourd'hui Elwing ? :DD

même i au début j'aimé pas Opale, je veux que Jane arrive à la sauvé.
Finalement, elle a pas eu de chance dans sa vie, elle à fondé sa vie sur des mensonges dont elle ignorait tous: son père n'est pas son père, son ex petit-ami presque fiancé est un disciple de RJ....... je la plains mais finalement c'est en arrivant au CBI qu'elle trouve enfin des gens honnête qui ne lui cache pas leurs sentiments à son égard.
VLS

J'ai l'impression que je suis la seule à être anti-Opale ...
OK elle a vraiment pas eu de chance dans sa vie et tout, mais je peux pas l'apprécier.
Je ne suis pas contre le fait qu'elle vive (quoi que ... ^^) juste contre le Jifferson
Mais si RJ tue sa fille, plus d'Opale donc plus de Jifferson.

Elwing a écrit:
@ Marine : contente qu'il y est au moins une personne qui aime bien le couple Jane-Opale !!!

@ anti-Opale : elle s'en prend plein la poire la pauvre un peu de compassion ! Un petit câlin avec Jane je trouve que ce serait mérité... * manque de se faire décapiter par un clan Jisbon * Bon daccord j'ai rien dit ! TT

Moi je suis 100% d'accord avec toi, le câlin de Janounet serait mérité * anti Jisbon et fière de l'être ! *

Merci pour ce chapitre, j'en frissonnais d'effroi... Qu'est-ce que j'ai pitié de la pauvre Opale

Ouahou ! J'ai lu ta Fic - TOUTE ta fic en entier - hier, ca m'a prit aux tripes comme on dit !

En tout cas, j'A-D-O-R-E !

J'ai detester Ifferson dès le début, au debut parce qu'elle me parraissait pas nette puis parce qu'elle s'est entiché de Jane et fais de l'ombre au Jisbon !

Et puis son nom me gêne aussi, ca me fait penser à une nouvelle creation Apple : Ipod, Iphone, Ifferson... Enfin là, c'est mon côté "je vois des symboles partout" mais bon...

Donc, je suis pour la fin Jisbon ainsi que celle où Opale meurt (ou une où elle quitte simplement la ville pour toujours ca me va aussi) !

Tu as une nouvelle fan en tout cas !

Merci whysoserious ! Quel courage d'avoir tout lu !! et t'inquiète y aura des fins pour tout les goûts

Purée, je me rends compte qu'il y a beaucoup de sadiques et peu de gens compatissants

Marine a écrit:Purée, je me rends compte qu'il y a beaucoup de sadiques et peu de gens compatissants

Je trouve aussi xD le Jisbon crée des sadiques que veux-tu... *esquive une assiette lancée par le clan Jisbon*

Quoi ? Une bonne dose de sadisme, ca fait du bien !