"L'ERREUR" [FINI] ^
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Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
+1
VLS !!! :))
très bien cette petite suite mais je suis un peu frustrée par la longueur ^^
je suis trooop impatiente, je sais :)
VLS !!! :))
très bien cette petite suite mais je suis un peu frustrée par la longueur ^^
je suis trooop impatiente, je sais :)
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Mais mais maiiiiis ! mdr j'essais de me sauver de Lost et je mets une LONGUE suite pour me racheter lol encore un épisode et c'est bon :)
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Voilà ! Comme promis, la suite (plus longue)
* * * * *
Chapitre7 : Premiers pas sur le terrain
L’homme qui leur ouvrit devait avoir la cinquantaine, auplus. Des cheveux grisonnants, un teint halé, un costard cravate bien coupémais pas d’une grande marque… Il s’accordait tout à fait à son habitat :classe mais sobre.
- Ervin Brown ? Je suis l’agent Lisbon du CBI et voiciPatrick Jane et Opale Iferson. Nousaurions quelques questions à vous poser au sujet de votre ex-femme.
Le maître des lieux s’effaça pour les laisser entrer.Aussitôt Jane détailla l’intérieur, voyant dans un simple bibelot un morceaud’âme. Opale de son côté s’appliqua à prendre exemple sur lui sans pour autantquitter Lisbon d’une semelle. M. Brown les mena jusqu’à un petit salon agencéavec goût, où il leur offrit de quoi grignoter. Opale trouva presque choquantde voir de simples chips posées sur une table basse de luxe. Elle en déduisitque malgré son compte en banque, M. Brown restait un homme simple. Elle sefaisait cette réflexion quand Jane s’éloigna, farfouillant dans les couloirs.
- Monsieur, vous savez que votre ex-femme a été retrouvéemorte ce matin ?
- Oui je l’ai appris il y a quelques heures.
Opale vit ses lèvres trembler imperceptiblement. Lisboncontinua.
- Je dois vous demander ce que vous faisiez hier soir auxalentours de 22h.
- J’étais ici, à l’étage plus précisément. J’ai passé lasoirée à nettoyer ma collection de pièce jusqu’à environ 23h puis je suispartit me coucher.
Jane sortit d’on ne sait où à ce moment précis pourlancer :
- Cette collection a de la valeur ?
- Pas en argent, non. Sentimentalement c’est différent.
- Je peux voir ?
- Allez-y c’est à l’étage, première porte à gauche vous nepouvez pas la manquer.
- Merci.
Il disparut aussitôt de leur champ de vision. Lisbonpoursuivit comme s’ils n’avaient jamais été interrompus.
- Quelqu’un peut confirmer votre alibi ?
M. Brown secoua la tête d’un air fataliste.
- Non. Je vis seul depuis le divorce.
Information qui intrigua Opale. Ses yeux glissèrent sur lesmains du suspect et elle y trouva ce qu’elle cherchait.
- Parlez-nous du divorce. Qui l’a demandé ?
- C’est elle. Il y a deux ans de cela.
Rien que le fait d’en parler avait l’air de lui coûter.
- Je comprends que ce ne soit pas facile, mais je doissavoir dans quelles conditions s’est passée la procédure.
- Et bien… un beau jour elle est rentrée d’une après-midi àson club de peinture et m’a annoncé qu’elle me quittait. Elle n’a même pascherché à me dépouiller de mes biens, elle n’a pris que ce qui lui revenait,tout s’est passé sans encombre… On se croise de temps à autre, parfois ellem’appel pour discuter cinq minutes… Rien de plus.
Lisbon se leva.
- Bien, je vais m’entretenir avec mes collègues un instantet ensuite nous pourrons partir.
Opale adressa au suspect un sourire qui se voulait rassurantet suivit sa patronne dans le couloir. Là Lisbon appela Jane qui les rejoignitimmédiatement, visiblement satisfait de sa visite.
- Vous devriez voir le nombre de pièce qu’il y a là haut,c’est imp…
- Jane, plus tard. Je viens de l’interroger et j’aimeraisqu’on en discute brièvement.
- Et depuis quand on fait ça ?
- Depuis qu’on a Iferson à former !
Il haussa les épaules et s’éloigna. Lisbon soupirad’agacement et se tourna vers Opale :
- Votre avis Iferson ?
- Ce n’est pas lui.
- Qu’est-ce qui vous permet de l’affirmer ?
- La bague. Ca fait 2 ans qu’ils ont divorcé et il portetoujours sa bague. Il l’aime c’est évident.
- Ca pourrait être un crime passionnel… s’accrocher comme çac’est mal sain.
Le regard d’Opale riva automatiquement sur Jane quiobservait de vieilles photos un peu plus loin. Combien de temps que sa femmeétait morte ? Pourtant il portait toujours son alliance… Lisbon letrouvait-t-elle mal sain ? A en jugé par sa façon de le regarder quand ilne le savait pas, la réponse était non.
- Iferson vous m’écoutez ?
Opale se concentra à nouveau sur l’affaire. Désireuse de nepas froisser l’orgueil de sa patronne elle fit mine d’approuver.
- Un crime passionnel, oui pourquoi pas. Ce n’est pas àexclure… Patron, puis-je poser une question au suspect ?
- Allez-y…
Elles retournèrent dans le salon – entraînant Jane aupassage – où les attendaient Ervin Brown. Voyant qu’il ne réagissait pas à leurarrivée, Opale prit les devant.
- M. Brown, excusez-moi… Vous avez affirmé nettoyer vospièces au moment du meurtre.
- C’est exacte…
- Vous n’employez pas quelqu’un pour vous occuper de cegenre d’entretient ? C’est vrai, quand on voit l’état impeccable deslieux, il paraît évident que vous faites appel à de la main d’œuvre…
La question ne sembla pas l’ennuyer le moins du monde.
- Effectivement en temps normal j’ai toujours quelqu’un pourm’aider. Un jardinier passe tous les trois jours et j’avais un homme à toutfaire pour ce qui est de l’intérieur.
- Avais ?
- Oui j’ai malheureusement dût m’en séparer il y a quelquessemaines de cela… Je l’ai surpris en train de voler dans mes tiroirs.
- Je vois… Merci d’avoir répondu.
Elle recula, laissant la place à Lisbon qui se chargea declore l’entretient.
- Merci de votre coopération M. Brown, nous vousrecontacterons sans doute très prochainement. En attendant je dois vousdemander de ne pas quitter la ville.
Il acquiesça et le petit groupe quitta les lieux.
* * * * *
Chapitre8 : Vous avez dit manipulation ?
De retour au bureau le téléphone de Lisbon sonna.
- Allô ? … Oui… D’accord… Tenez-moi au courant.
Elle raccrocha.
- C’était Cho, apparemment ils en ont pour plus longtempsque prévue, la femme de chambre qui à découvert le corps d’Hermine Vassili ne parle pas un motde notre langue ! Ils essaient quand même de l’interroger en se fiant à latraduction du petit ami de la victime mais apparemment il ne comprend qu’unephrase sur cinq.
Loin de se laisser abattre par cette nouvelle, Jane y vitquelque chose de positif :
- Parfait ! Ca nous laisse largement le temps de sortirmanger ! Vous venez avec nous Lisbon ?
- Nous ?
- Oui j’emmène Opale déjeuner, histoire de faire plus ampleconnaissance, c’est important de se connaître au sein d’un groupe.
Le regard de Lisbon passa de Jane à Opale, et vis-versa,avant de s’arrêter sur la nouvelle. Son air d’incompréhension mêlé defrustration lui permit de constater qu’elle-même n’était pas au courant.
- Faite ce que vous voulez mais je vous veux de retour d’iciune heure !
Jane mima le salut militaire.
- Bien chef ! … On va bien s’amuser…
Opale avisa un instant la porte. En courant très vite elleaurait peut-être une chance d’y échapper…
- Bon courage Iferson, lui lança Lisbon, compatissante.
Alors elle comprit que toute fuite était vaine.
* * * * *
Chapitre7 : Premiers pas sur le terrain
L’homme qui leur ouvrit devait avoir la cinquantaine, auplus. Des cheveux grisonnants, un teint halé, un costard cravate bien coupémais pas d’une grande marque… Il s’accordait tout à fait à son habitat :classe mais sobre.
- Ervin Brown ? Je suis l’agent Lisbon du CBI et voiciPatrick Jane et Opale Iferson. Nousaurions quelques questions à vous poser au sujet de votre ex-femme.
Le maître des lieux s’effaça pour les laisser entrer.Aussitôt Jane détailla l’intérieur, voyant dans un simple bibelot un morceaud’âme. Opale de son côté s’appliqua à prendre exemple sur lui sans pour autantquitter Lisbon d’une semelle. M. Brown les mena jusqu’à un petit salon agencéavec goût, où il leur offrit de quoi grignoter. Opale trouva presque choquantde voir de simples chips posées sur une table basse de luxe. Elle en déduisitque malgré son compte en banque, M. Brown restait un homme simple. Elle sefaisait cette réflexion quand Jane s’éloigna, farfouillant dans les couloirs.
- Monsieur, vous savez que votre ex-femme a été retrouvéemorte ce matin ?
- Oui je l’ai appris il y a quelques heures.
Opale vit ses lèvres trembler imperceptiblement. Lisboncontinua.
- Je dois vous demander ce que vous faisiez hier soir auxalentours de 22h.
- J’étais ici, à l’étage plus précisément. J’ai passé lasoirée à nettoyer ma collection de pièce jusqu’à environ 23h puis je suispartit me coucher.
Jane sortit d’on ne sait où à ce moment précis pourlancer :
- Cette collection a de la valeur ?
- Pas en argent, non. Sentimentalement c’est différent.
- Je peux voir ?
- Allez-y c’est à l’étage, première porte à gauche vous nepouvez pas la manquer.
- Merci.
Il disparut aussitôt de leur champ de vision. Lisbonpoursuivit comme s’ils n’avaient jamais été interrompus.
- Quelqu’un peut confirmer votre alibi ?
M. Brown secoua la tête d’un air fataliste.
- Non. Je vis seul depuis le divorce.
Information qui intrigua Opale. Ses yeux glissèrent sur lesmains du suspect et elle y trouva ce qu’elle cherchait.
- Parlez-nous du divorce. Qui l’a demandé ?
- C’est elle. Il y a deux ans de cela.
Rien que le fait d’en parler avait l’air de lui coûter.
- Je comprends que ce ne soit pas facile, mais je doissavoir dans quelles conditions s’est passée la procédure.
- Et bien… un beau jour elle est rentrée d’une après-midi àson club de peinture et m’a annoncé qu’elle me quittait. Elle n’a même pascherché à me dépouiller de mes biens, elle n’a pris que ce qui lui revenait,tout s’est passé sans encombre… On se croise de temps à autre, parfois ellem’appel pour discuter cinq minutes… Rien de plus.
Lisbon se leva.
- Bien, je vais m’entretenir avec mes collègues un instantet ensuite nous pourrons partir.
Opale adressa au suspect un sourire qui se voulait rassurantet suivit sa patronne dans le couloir. Là Lisbon appela Jane qui les rejoignitimmédiatement, visiblement satisfait de sa visite.
- Vous devriez voir le nombre de pièce qu’il y a là haut,c’est imp…
- Jane, plus tard. Je viens de l’interroger et j’aimeraisqu’on en discute brièvement.
- Et depuis quand on fait ça ?
- Depuis qu’on a Iferson à former !
Il haussa les épaules et s’éloigna. Lisbon soupirad’agacement et se tourna vers Opale :
- Votre avis Iferson ?
- Ce n’est pas lui.
- Qu’est-ce qui vous permet de l’affirmer ?
- La bague. Ca fait 2 ans qu’ils ont divorcé et il portetoujours sa bague. Il l’aime c’est évident.
- Ca pourrait être un crime passionnel… s’accrocher comme çac’est mal sain.
Le regard d’Opale riva automatiquement sur Jane quiobservait de vieilles photos un peu plus loin. Combien de temps que sa femmeétait morte ? Pourtant il portait toujours son alliance… Lisbon letrouvait-t-elle mal sain ? A en jugé par sa façon de le regarder quand ilne le savait pas, la réponse était non.
- Iferson vous m’écoutez ?
Opale se concentra à nouveau sur l’affaire. Désireuse de nepas froisser l’orgueil de sa patronne elle fit mine d’approuver.
- Un crime passionnel, oui pourquoi pas. Ce n’est pas àexclure… Patron, puis-je poser une question au suspect ?
- Allez-y…
Elles retournèrent dans le salon – entraînant Jane aupassage – où les attendaient Ervin Brown. Voyant qu’il ne réagissait pas à leurarrivée, Opale prit les devant.
- M. Brown, excusez-moi… Vous avez affirmé nettoyer vospièces au moment du meurtre.
- C’est exacte…
- Vous n’employez pas quelqu’un pour vous occuper de cegenre d’entretient ? C’est vrai, quand on voit l’état impeccable deslieux, il paraît évident que vous faites appel à de la main d’œuvre…
La question ne sembla pas l’ennuyer le moins du monde.
- Effectivement en temps normal j’ai toujours quelqu’un pourm’aider. Un jardinier passe tous les trois jours et j’avais un homme à toutfaire pour ce qui est de l’intérieur.
- Avais ?
- Oui j’ai malheureusement dût m’en séparer il y a quelquessemaines de cela… Je l’ai surpris en train de voler dans mes tiroirs.
- Je vois… Merci d’avoir répondu.
Elle recula, laissant la place à Lisbon qui se chargea declore l’entretient.
- Merci de votre coopération M. Brown, nous vousrecontacterons sans doute très prochainement. En attendant je dois vousdemander de ne pas quitter la ville.
Il acquiesça et le petit groupe quitta les lieux.
* * * * *
Chapitre8 : Vous avez dit manipulation ?
De retour au bureau le téléphone de Lisbon sonna.
- Allô ? … Oui… D’accord… Tenez-moi au courant.
Elle raccrocha.
- C’était Cho, apparemment ils en ont pour plus longtempsque prévue, la femme de chambre qui à découvert le corps d’Hermine Vassili ne parle pas un motde notre langue ! Ils essaient quand même de l’interroger en se fiant à latraduction du petit ami de la victime mais apparemment il ne comprend qu’unephrase sur cinq.
Loin de se laisser abattre par cette nouvelle, Jane y vitquelque chose de positif :
- Parfait ! Ca nous laisse largement le temps de sortirmanger ! Vous venez avec nous Lisbon ?
- Nous ?
- Oui j’emmène Opale déjeuner, histoire de faire plus ampleconnaissance, c’est important de se connaître au sein d’un groupe.
Le regard de Lisbon passa de Jane à Opale, et vis-versa,avant de s’arrêter sur la nouvelle. Son air d’incompréhension mêlé defrustration lui permit de constater qu’elle-même n’était pas au courant.
- Faite ce que vous voulez mais je vous veux de retour d’iciune heure !
Jane mima le salut militaire.
- Bien chef ! … On va bien s’amuser…
Opale avisa un instant la porte. En courant très vite elleaurait peut-être une chance d’y échapper…
- Bon courage Iferson, lui lança Lisbon, compatissante.
Alors elle comprit que toute fuite était vaine.
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:29, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
YOUHOUUUUUUUUUUUUU
VLS !
Trop Happy !
Haaa
Trop couule !
Je veux en apprendre plus sur Iferson maintenant :)
VLS Quoi !!!
VLS !
Trop Happy !
Haaa
Trop couule !
Je veux en apprendre plus sur Iferson maintenant :)
VLS Quoi !!!
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
a oui c'est LONG j'aiiiiimmeeee :)
Hate de vivre le rendez-vous (par procuration !) Jane/Iferson et de voir la jalousie grandissante de Lisbon :p
+ 1 EN TOUT CAS
VLS
Hate de vivre le rendez-vous (par procuration !) Jane/Iferson et de voir la jalousie grandissante de Lisbon :p
+ 1 EN TOUT CAS
VLS
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Finalement je l'aime bien, Opale . Je la plains un peu, aussi! Jane tient a lui pourrir sa formation, ou quoi? XD
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
c'est une bonne enquête . veux voir la suite ! Le repas jane / Opale . . .
Jen'ny- Consultant au CBI
- Personnage préféré : Jane.
Loisirs : Séries, écriture, fan art, sciences....
Localisation : Ici et ailleurs
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Ouf contente que ça vous plaise ^^ Plus qu'à boucler cette affaire et on passe aux choses sérieuses ! La suite cet après-midi
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Izarra a écrit:J'adooore . Vivement cet aprèm
Comme tu dis vivement cet aprem !!!!
VLS !!!
jisbon06- Agent de circulation
- Personnage préféré : Patrick et Teresa
Loisirs : Lire des fanfictions Jisbon.
Localisation : Au CBI
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super!!
VLS!!
VLS!!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Pfiou ! je viens d'écrire la semi presque fin de ma fic (comment ça c'est pas clair ? ) bref j'suis crevée lol mais bon, je vous met la fin du chapitre 8 :)
* * * * *
Opale observait le paysage urbain à travers une fenêtre dela DS de Jane. Pas une fois elle n’avait ouvert la bouche pour parler et de soncôté le mentaliste souriait. Comme s’il riait d’une blague qu’il était seul àconnaître. Opale craqua.
- C’est encore loin ?
- Non, plus maintenant… Alors Iferson, dites-moi… Quel estvotre avis sur cette affaire ?
Elle répondit machinalement.
- Lisbon pense à un crime passionnel.
- Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?
- Moi je n’ai pas à penser, juste à observer. Je ne donnemon avis que si on me le demande.
- Ca tombe bien je vous le demande !
- Vous n’êtes pas mon supérieur.
Jane fronça les sourcils.
- Pourquoi vous êtes désagréable avec moi ?
Elle haussa les épaules, incapable de trouver une raisonvalable. Parce que vous m’avait contrarié à me fixez en voiture ? Non,trop puéril. Parce que si je suis plus gentille j’ai peur d’être écrasée commeune mouche ? Idiot. Parce que vous êtes craquant et que je ne veuxpas m’attacher ? Non plus… Elle se contenta d’ajouter :
- C’est le règlement qui est fait comme ça.
- Ah le règlement… On croirait entendre Lisbon ! Jesuis sûre que c’est à cause de ce genre de réponse qu’elle vous a embauché.
Sans prévenir il ralentit, se gara en double file et défitsa ceinture de sécurité.
- Qu’est-ce que vous faites ?
- Vous n’êtes pas ma supérieur je n’ai pas à répondre.
Opale serra les poings.
- Vous obtenez toujours ce que vous voulez ?
- Très souvent, oui.
Elle inspira profondément, tentant de maitriser la colèrequ’elle sentait poindre.
- Pourquoi vous faites ça ? Franchement on s’enfou de ce que je pense !
- Non, moi je ne m’en fou pas.
Quelque chose comme se la reconnaissance gagna du terrainsur la colère. Ne lui laissant pas le temps de réagir, Jane continua :
- Je ne m’en fou pas parce que je pense que vous avez deschoses intéressantes à dire, des choses qui pourraient être utiles. Seulementvous refusez de l’admettre sous prétexte que vous vous sentez obligée d’appuyertoutes les idées de Lisbon. Vous êtes tellement terrifiée à l’idée qu’elle puissevous virer que vous êtes prête à renier votre intelligence.
Opale en resta sans voix. Etait-ce si évident quecela ? Lisbon s’en était-t-elle aperçue ou fallait-t-il être Patrick Janepour le comprendre ? Elle tenta un dernier bafouillage en désespoir decause.
- Je… Non, pas du tout.
- Oh je vous en pris ! Vous ne croyez pas une seconde àcette histoire de crime passionnel !
Frustrée, elle se mordit la lèvre inferieur avant derépondre.
- Vous avez raison… Content ?
Contrairement à son habitude, Jane ne s’en vanta pas. Enfait il semblait plutôt concentré, extrêmement attentif.
- Dites-moi pourquoi.
Inutile de lutter maintenant. Opale abandonna la partie.
- Je l’ai déjà dit, à cause de la bague.
- Quoi d’autre ?
Elle entortilla une mèche de cheveux autour de son doigt, untrait vertical entre ses yeux témoignait d’une réflexion presque douloureuse.
- Je... je... je n’en sais rien.
- Vous ne le ressentez pas comme ça, c’est tout. N’est-cepas ? C’est comme une évidence…
Opale n’en revenait pas. Il parvenait à mettre des mots surdes sensations qu’elle-même ne s’expliquait pas et qui lui rendaient la vietantôt plus facile, tantôt infernale depuis son plus jeune âge. Quand elle setourna vers Jane, sa vision s’affina et elle le vit sous un nouveau jour. Sesyeux lui apparurent plus bleu, son regard plus profond… Même son éterneldemi-sourire lui sembla différent… Eteint, triste… C’était comme si pour lapremière fois elle lisait entre les lignes de son visage. Tout était clairdésormais. Si elle savait depuis le début que Patrick Jane souffrait de laperte de sa famille, ses sourires enjôleurs et son regard pétillant le luifaisait parfois oublier. Pourtant la douleur était bien là. Omniprésente. Ellepouvait la voir dans une ride avouant de multiples sourires forcés, ou dans sesyeux dont l’illusoire éclat dissimulait une plaie béante de noirceur d’âme.
Pourquoi pouvait-t-elle voir cela tout à coup ?Etait-ce dût à la proximité de leur visage ? Elle se recula brusquement.Elle ne s’était même pas rendu compte qu’elle s’était approcher de Jane cesdernières secondes, bafouant toute les distances de sécurité imposées par labienséance. Honteuse elle passa une main dans ses cheveux, espérant ydissimuler un tant soit peu son visage. Mais Jane ne se moqua pas. Il avaitobservé sa façon de faire et savait qu’elle avait vu bien plus de choses qu’ilne s’autorisait à en montrer. Pourtant il ne c’était pas opposé à cetteinspection, voulant juger de ses aptitudes et de ses limites…
Ne supportant plus d’être passé au « Janedétecteur », Opale se força à rompre le silence.
- Je suis désolée. J’aurais dû vous couvrir l’autre jourdevant Lisbon.
- Bien sûre que non. Elle aurait pensé que je déteignais survous et n’aurais accordé aucun crédit à vos intuitions d’aujourd’hui. Alors quemaintenant…
Un sourire calculateur étira ses lèvres, balayant lesdernières traces de malaise.
- Je crois que j’ai une idée… Quelque chose qui devrait à lafois innocenter ce brave Ervin, et vous servir d’entraînement.
Sur ce il redémarra la voiture et fit demi-tour. Opale jetaun œil derrière elle.
- Et le resto ?
L’expression de Patrick Jane lui offrit la réponse sur unplateau.
- Je suis bête… Il n’a jamais était question de resto pasvrai ?
Voilà ! Le chapitre 9 est déjà pondu mais j'attends le 10 pour le poster lol
Bonne lecture !
* * * * *
Opale observait le paysage urbain à travers une fenêtre dela DS de Jane. Pas une fois elle n’avait ouvert la bouche pour parler et de soncôté le mentaliste souriait. Comme s’il riait d’une blague qu’il était seul àconnaître. Opale craqua.
- C’est encore loin ?
- Non, plus maintenant… Alors Iferson, dites-moi… Quel estvotre avis sur cette affaire ?
Elle répondit machinalement.
- Lisbon pense à un crime passionnel.
- Et vous, qu’est-ce que vous en pensez ?
- Moi je n’ai pas à penser, juste à observer. Je ne donnemon avis que si on me le demande.
- Ca tombe bien je vous le demande !
- Vous n’êtes pas mon supérieur.
Jane fronça les sourcils.
- Pourquoi vous êtes désagréable avec moi ?
Elle haussa les épaules, incapable de trouver une raisonvalable. Parce que vous m’avait contrarié à me fixez en voiture ? Non,trop puéril. Parce que si je suis plus gentille j’ai peur d’être écrasée commeune mouche ? Idiot. Parce que vous êtes craquant et que je ne veuxpas m’attacher ? Non plus… Elle se contenta d’ajouter :
- C’est le règlement qui est fait comme ça.
- Ah le règlement… On croirait entendre Lisbon ! Jesuis sûre que c’est à cause de ce genre de réponse qu’elle vous a embauché.
Sans prévenir il ralentit, se gara en double file et défitsa ceinture de sécurité.
- Qu’est-ce que vous faites ?
- Vous n’êtes pas ma supérieur je n’ai pas à répondre.
Opale serra les poings.
- Vous obtenez toujours ce que vous voulez ?
- Très souvent, oui.
Elle inspira profondément, tentant de maitriser la colèrequ’elle sentait poindre.
- Pourquoi vous faites ça ? Franchement on s’enfou de ce que je pense !
- Non, moi je ne m’en fou pas.
Quelque chose comme se la reconnaissance gagna du terrainsur la colère. Ne lui laissant pas le temps de réagir, Jane continua :
- Je ne m’en fou pas parce que je pense que vous avez deschoses intéressantes à dire, des choses qui pourraient être utiles. Seulementvous refusez de l’admettre sous prétexte que vous vous sentez obligée d’appuyertoutes les idées de Lisbon. Vous êtes tellement terrifiée à l’idée qu’elle puissevous virer que vous êtes prête à renier votre intelligence.
Opale en resta sans voix. Etait-ce si évident quecela ? Lisbon s’en était-t-elle aperçue ou fallait-t-il être Patrick Janepour le comprendre ? Elle tenta un dernier bafouillage en désespoir decause.
- Je… Non, pas du tout.
- Oh je vous en pris ! Vous ne croyez pas une seconde àcette histoire de crime passionnel !
Frustrée, elle se mordit la lèvre inferieur avant derépondre.
- Vous avez raison… Content ?
Contrairement à son habitude, Jane ne s’en vanta pas. Enfait il semblait plutôt concentré, extrêmement attentif.
- Dites-moi pourquoi.
Inutile de lutter maintenant. Opale abandonna la partie.
- Je l’ai déjà dit, à cause de la bague.
- Quoi d’autre ?
Elle entortilla une mèche de cheveux autour de son doigt, untrait vertical entre ses yeux témoignait d’une réflexion presque douloureuse.
- Je... je... je n’en sais rien.
- Vous ne le ressentez pas comme ça, c’est tout. N’est-cepas ? C’est comme une évidence…
Opale n’en revenait pas. Il parvenait à mettre des mots surdes sensations qu’elle-même ne s’expliquait pas et qui lui rendaient la vietantôt plus facile, tantôt infernale depuis son plus jeune âge. Quand elle setourna vers Jane, sa vision s’affina et elle le vit sous un nouveau jour. Sesyeux lui apparurent plus bleu, son regard plus profond… Même son éterneldemi-sourire lui sembla différent… Eteint, triste… C’était comme si pour lapremière fois elle lisait entre les lignes de son visage. Tout était clairdésormais. Si elle savait depuis le début que Patrick Jane souffrait de laperte de sa famille, ses sourires enjôleurs et son regard pétillant le luifaisait parfois oublier. Pourtant la douleur était bien là. Omniprésente. Ellepouvait la voir dans une ride avouant de multiples sourires forcés, ou dans sesyeux dont l’illusoire éclat dissimulait une plaie béante de noirceur d’âme.
Pourquoi pouvait-t-elle voir cela tout à coup ?Etait-ce dût à la proximité de leur visage ? Elle se recula brusquement.Elle ne s’était même pas rendu compte qu’elle s’était approcher de Jane cesdernières secondes, bafouant toute les distances de sécurité imposées par labienséance. Honteuse elle passa une main dans ses cheveux, espérant ydissimuler un tant soit peu son visage. Mais Jane ne se moqua pas. Il avaitobservé sa façon de faire et savait qu’elle avait vu bien plus de choses qu’ilne s’autorisait à en montrer. Pourtant il ne c’était pas opposé à cetteinspection, voulant juger de ses aptitudes et de ses limites…
Ne supportant plus d’être passé au « Janedétecteur », Opale se força à rompre le silence.
- Je suis désolée. J’aurais dû vous couvrir l’autre jourdevant Lisbon.
- Bien sûre que non. Elle aurait pensé que je déteignais survous et n’aurais accordé aucun crédit à vos intuitions d’aujourd’hui. Alors quemaintenant…
Un sourire calculateur étira ses lèvres, balayant lesdernières traces de malaise.
- Je crois que j’ai une idée… Quelque chose qui devrait à lafois innocenter ce brave Ervin, et vous servir d’entraînement.
Sur ce il redémarra la voiture et fit demi-tour. Opale jetaun œil derrière elle.
- Et le resto ?
L’expression de Patrick Jane lui offrit la réponse sur unplateau.
- Je suis bête… Il n’a jamais était question de resto pasvrai ?
Voilà ! Le chapitre 9 est déjà pondu mais j'attends le 10 pour le poster lol
Bonne lecture !
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:31, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Haaaaa, Ben non Opale enfin, pas de resto ' xD
VLS !!
VLS !!
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Et non xD Jane est un sacré manipulateur, il voulait juste la faire parler ce sadique !!
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
ah j'adore!! la suiite
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'aiiiiiimmmmme =D
Non mais Ho, Iferson a révé genre elle aurait eu la chance d'aller au resto avec Jane non mais je reve ^^
Vive le JISBON et puis c'est tout =D
VLSSSS
Non mais Ho, Iferson a révé genre elle aurait eu la chance d'aller au resto avec Jane non mais je reve ^^
Vive le JISBON et puis c'est tout =D
VLSSSS
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
CassandreLG a écrit:J'aiiiiiimmmmme =D
Non mais Ho, Iferson a révé genre elle aurait eu la chance d'aller au resto avec Jane non mais je reve ^^
Vive le JISBON et puis c'est tout =D
VLSSSS
+ 1
VLS
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
ah c'est trop ! C'est tout jane ça . . . Mais bon je serais déçue à la place d'Opale !
Jen'ny- Consultant au CBI
- Personnage préféré : Jane.
Loisirs : Séries, écriture, fan art, sciences....
Localisation : Ici et ailleurs
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
C'est re moi ! oui encore lol je vous post le petit chapitre 9 en attendant le gros chapitre 10...
Et merci pour vos coms j'aime bien comme vous réagissez... ca me permet d'imaginer d'avance la suite de vos réactions quand j'avancerais dans l'histoire lol (je sens donc que je vais me faire jeter, huer, kidnaper et torturer... puis ca devrait aller mieux sur la fin lol) heureusement ce n'est pas pour tout de suite ^^'''
* * * * *
Chapitre9 : Jalousie
Ils s’arrêtèrent tout même en chemin pour acheter un hot-dogqu’ils avalèrent en vitesse dans la voiture. De retour au bureau Lisbon lesattendait de pied ferme une ride de contrariété barrant son front.
- Re-bonjour Lisbon, fanfaronna Jane. Pfiou vous avez ratéquelque chose ! Tapis rouge, lumière tamisé, chandelier, champagne… Ouhhméfiez-vous j’ai cru voir comme de la jalousie passer sur votre visage !
- C’est de l’agacement, Jane ! Vous avez cinq minutesde retard.
- Mmmm… On va dire que je vous crois !
Sur quoi il partit s’installer sur son canapé. Opales’empressa d’intervenir.
- Rassurez-vous patron, il dit ça pour énerver les gens,vous savez comment il est. En fait on a mangé dans la voit…
Lisbon chassa son explication d’un signe de main énervé.
- Je ne veux pas le savoir, ce qu’il fait pendant ses heuresde pauses ne me concerne en rien.
Iferson se garda bien de répondre à cela, même s’il étaitévident pour elle que, loin de s’en moquer, sa patronne se sentait au contrairetrès concernés. En avait-elle seulement conscience ?
Elle attendit que Lisbon s’en aille – le pas étrangementraide – pour rejoindre Jane.
- Pourquoi vous avez fait ça ? Quand vous disiez quej’avais bien fait de vous balancer l’autre jour, je croyais que vousm’encouragiez à gagner sa confiance… Mais maintenant je ne vous suis plus dutout !
Jane n’ouvrit même pas les yeux.
- Détendez-vous Iferson, je contrôle la situation.
- La situation doit-elle aboutir à mon renvoi ? Nonparce que quelque chose me dis que Lisbon me déteste à l’heure actuelle !
Il soupira, blasé.
- De deux chose l’une. Premièrement votre hypothétiquerenvoi ne dépend pas de moi mais de vous seule. Deuxièmement Lisbon n’a aucuneraison de vous détester, et même si c’était le cas elle ne vous virerez pas,justement parce que ce serait admettre qu’elle a des raisons de vous envouloir.
- Donc vous reconnaissez que vous savez qu’elle peut être jalouse…
- Lisbon n’à aucun faible pour moi si c’est ce que vousinsinuez, jeune padawan. Son besoin de tout contrôler est plus développer avecmoi justement parce que je suis incontrôlable… Ce qui explique la démesure deses réactions quand je fais quelque chose sur laquelle elle ne peut avoiraucune emprise…
Elle répondit par une sorte de grognement contrit et vouluts’en aller. Jane l’arrêta.
- Ah et faites-moi penser à vous inculquer la notion desubtilité… Non vraiment j’ai tout de suite vu où vous vouliez en venir avecvotre « elle me déteste à l’heureactuelle », c’était trop gros… Niveau manipulation vous en êtes encoreau stade amateur, mais on devrait pouvoir améliorer tout ça.
Opale ne put s’empêcher de sourire. A la fois un rien vexéed’être si facilement percée à jour, mais aussi et surtout flatté qu’un expertcomme Jane la croit capable de mieux faire. Il continua :
- Exercice numéro un : regagner la confiance du grandgourou. Et attention je saurais si vous avez fait du bon travail ou pas. N’oubliezpas que je suis connecté avec votre esprit…
- Ben voyons, marmonna-t-elle ne lui tournant le dos.
- J’ai entendu !
Et merci pour vos coms j'aime bien comme vous réagissez... ca me permet d'imaginer d'avance la suite de vos réactions quand j'avancerais dans l'histoire lol (je sens donc que je vais me faire jeter, huer, kidnaper et torturer... puis ca devrait aller mieux sur la fin lol) heureusement ce n'est pas pour tout de suite ^^'''
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Chapitre9 : Jalousie
Ils s’arrêtèrent tout même en chemin pour acheter un hot-dogqu’ils avalèrent en vitesse dans la voiture. De retour au bureau Lisbon lesattendait de pied ferme une ride de contrariété barrant son front.
- Re-bonjour Lisbon, fanfaronna Jane. Pfiou vous avez ratéquelque chose ! Tapis rouge, lumière tamisé, chandelier, champagne… Ouhhméfiez-vous j’ai cru voir comme de la jalousie passer sur votre visage !
- C’est de l’agacement, Jane ! Vous avez cinq minutesde retard.
- Mmmm… On va dire que je vous crois !
Sur quoi il partit s’installer sur son canapé. Opales’empressa d’intervenir.
- Rassurez-vous patron, il dit ça pour énerver les gens,vous savez comment il est. En fait on a mangé dans la voit…
Lisbon chassa son explication d’un signe de main énervé.
- Je ne veux pas le savoir, ce qu’il fait pendant ses heuresde pauses ne me concerne en rien.
Iferson se garda bien de répondre à cela, même s’il étaitévident pour elle que, loin de s’en moquer, sa patronne se sentait au contrairetrès concernés. En avait-elle seulement conscience ?
Elle attendit que Lisbon s’en aille – le pas étrangementraide – pour rejoindre Jane.
- Pourquoi vous avez fait ça ? Quand vous disiez quej’avais bien fait de vous balancer l’autre jour, je croyais que vousm’encouragiez à gagner sa confiance… Mais maintenant je ne vous suis plus dutout !
Jane n’ouvrit même pas les yeux.
- Détendez-vous Iferson, je contrôle la situation.
- La situation doit-elle aboutir à mon renvoi ? Nonparce que quelque chose me dis que Lisbon me déteste à l’heure actuelle !
Il soupira, blasé.
- De deux chose l’une. Premièrement votre hypothétiquerenvoi ne dépend pas de moi mais de vous seule. Deuxièmement Lisbon n’a aucuneraison de vous détester, et même si c’était le cas elle ne vous virerez pas,justement parce que ce serait admettre qu’elle a des raisons de vous envouloir.
- Donc vous reconnaissez que vous savez qu’elle peut être jalouse…
- Lisbon n’à aucun faible pour moi si c’est ce que vousinsinuez, jeune padawan. Son besoin de tout contrôler est plus développer avecmoi justement parce que je suis incontrôlable… Ce qui explique la démesure deses réactions quand je fais quelque chose sur laquelle elle ne peut avoiraucune emprise…
Elle répondit par une sorte de grognement contrit et vouluts’en aller. Jane l’arrêta.
- Ah et faites-moi penser à vous inculquer la notion desubtilité… Non vraiment j’ai tout de suite vu où vous vouliez en venir avecvotre « elle me déteste à l’heureactuelle », c’était trop gros… Niveau manipulation vous en êtes encoreau stade amateur, mais on devrait pouvoir améliorer tout ça.
Opale ne put s’empêcher de sourire. A la fois un rien vexéed’être si facilement percée à jour, mais aussi et surtout flatté qu’un expertcomme Jane la croit capable de mieux faire. Il continua :
- Exercice numéro un : regagner la confiance du grandgourou. Et attention je saurais si vous avez fait du bon travail ou pas. N’oubliezpas que je suis connecté avec votre esprit…
- Ben voyons, marmonna-t-elle ne lui tournant le dos.
- J’ai entendu !
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:31, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Haha, j'aime, c'trop top, Jane, Trop ADORABLE
Et j'aime aussi le " jeune padawan " ça m'rappelle des trucs :)
VLS en tout cas, puisque tu annonces le chapitre 10 enorme
Et j'aime aussi le " jeune padawan " ça m'rappelle des trucs :)
VLS en tout cas, puisque tu annonces le chapitre 10 enorme
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'adore, Lisbon qui commence à montrer les crocs maintenant que Jane fait semblant de séduire Iferson quand elle ne voit pas .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
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