"L'ERREUR" [FINI] ^
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Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
La suite today ?
!
!
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Felicity a écrit:La suite today ?
!
Yep ! cet après-midi au plus tard =)
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'ai envie de dire YOUPIIIIIIIII :DDDDDDDDDDDDDElwing a écrit:Felicity a écrit:La suite today ?
!
Yep ! cet après-midi au plus tard =)
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'adooore!! LA suiite!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Pfiou ! c'est l'après-midi alors voilà la suite ! :) Un long chapitre pour me débarrasser de l'affaire en cours et dès le prochain je dévoile un peu plus Opale
Bonne lecture !!
* * * * *
Chapitre10 : On boucle l’affaire
Deux jours avaient passé et Jane confiait de petitsexercices simples à Opale qui mettait un point d’honneur à se surpasser. Ainsi,sous son influence, elle avait réussi dans l’ordre : à regagner laconfiance de Lisbon, à devenir amie avec Van Pelt, à se faire apprécier deRigsby et même à faire rire Cho (ce dernier point lui avait d’ailleurs valu lesfélicitations de Jane). Bref, elle commençait à se sentir chez elle au CBI, unebonne ambiance planant sans relâche au dessus de leurs bureaux… elle sentaitqu’elle gagnait peu à peu la confiance de ses collègues malgré leur doute despremiers temps. Pour ce qui était de Jane elle n’arrivait pas à se décider.Quelque fois il lui semblait qu’il l’avait d’ors et déjà accepté comme l’unedes leurs et d’autre fois elle le surprenait en train d’analyser du regard sesbracelets, le col de sa chemise… avec un air suspicieux tout à fait dérangeant.Au moins il avait déjà renoncé aux questions ce ne pouvait être que positif.
Plus négatif toutefois, le temps… L’été s’installait petit àpetit et la chaleur se faisait mordante l’après-midi. Opale détestait ça. Lesoleil, le chaud… Avec ses couches de fringues elle étouffait. Et impossiblebien sûre d’en retirer une, se serait risquer de relever à nouveau lessoupçons… Elle n’avait plus qu’à fairecomme à chaque saison chaude : s’habiller fin mais couvrant et prier pourne pas faire de coup de chaleur qui l’enverrait dans les pommes.
Elle ruminait ses sombres pensées, quand Jane se leva de soncanapé pour se poster devant elle.
- J’ai résolu cette affaire. Juste un coup de fil à passerpour confirmation et j’aurais besoin que vous veniez avec moi voir Lisbon.
- Euh... oui d’accord. Pourquoi vous avez besoin demoi ?
- Je vous le dirai après ce coup de fil.
Elle n’insista pas, le connaissant suffisamment pour savoirqu’elle n’en saurait pas d’avantage tant qu’il ne l’aurait pas décidé.
* * * * *
- Allô ?
- M. Brown ? Patrick Jane du CBI à l’appareil, j’aurais unepetite question à vous poser…
- Allez-y…
- Employez-vous des immigrés clandestins ?
- Pardon ? Je… je… mais qu’est-ce qui vous…
- Non non, ne vous énervez pas moi je m’en fichecomplètement, je suis sûre que vous faites ça pour les aider et que vous lespayez très bien, ce n’est pas la question…
- M. Jane je ne comprends pas !
- Ce n’est pas très grave, du moment que vous ne me mentezpas je pense pouvoir démasquer l’assassin de votre ex-femme. Mais j’ai besoinque vous confirmiez.
- …
- M. Brown ?
- … oui. Oui j’emploi des clandestins. Pour leur laisser unechance de s’en sortir…
- C’est parfait c’est tout ce que je voulais savoir.
Il raccrocha, visiblement satisfait.
- Iferson !
Elle rappliqua aussitôt.
- C’est l’heure d’aller voir Lisbon. Alors voilà ce qu’on vafaire…
* * * * *
Jane ouvrit la porte du bureau de Lisbon, laissa passerOpale et entra à son tour, se dirigeant d’un pas assuré vers la patronne.
- J’ai résolu l’affaire, j’ai trouvé le coupable… mais vousn’aurez pas de quoi l’arrêter, sauf s’il y a moyen d’obtenir ce que je pense…
Lisbon se mit naturellement sur la défensive.
- Je n’aime pas ça…
- Je savais que vous alliez dire ça. Voilà pourquoi j’aiemmené Iferson. Elle nous servira de no man’s land, ou encore… de Suisse...
Opale avança timidement, un rien gêné de ce trop pleind’attention.
- Jane qu’est-ce que vous avez encore inventé ?
- Ca va aller ! J’ai pu constater depuis tout ce temps oùnous travaillons ensemble que nous pensons de façon radicalement opposé. Jepense blanc, vous pensez noir… Iferson pense gris, il suffira qu’on lui posechacun notre tour des questions pour avoir une réponse neutre.
Lisbon soupira en guise d’assentiment. Pourquoi fallait-il toujours qu’elle se livreaux pitreries de Jane ? Et la pauvre nouvelle contrainte de lui servir dejouet…
- Très bien Jane, faisons un essai… Iferson, que pensez-vousde l’idée de Jane ?
Elle répondit sans hésiter.
- Pour l’instant rien du tout patron, je ne suis pas aucourant.
Lisbon se mordit la langue et laissa Jane parler.
- Pensez-vous qu’il soit possible que le tueur soit GaryMiller, le petit-ami de la victime ?
- C’est possible mais très improbable, d’après ce qu’on asaisit des propos de la femme de chambre il n’était pas chez lui le soir dumeurtre.
Lisbon récupéra son tour.
- Pourquoi Miller l’aurait-il tué ? Il n’a pas demobile.
- Elle envisageait peut-être de le quitter.
- Pas d’après son entourage… A vous Jane.
Il passa du coq à l’âne sans transition.
- Opale, là comme ça sans réfléchir, pourquoi une femmequitte-t-elle son riche mari ?
- Euh… Parce qu’il est violent, qu’il se drogue, qu’il viredans des affaires louches, Parce qu’il est sur le point de perdre sa fortune,pour cause de tromperie multiple, ou bien encore c’est elle qui a rencontréquelqu’un d’autre…
- Pourquoi dites-vous tromperie multiple ? Une seule nesuffit pas ?
- Il est riche. Une femme ne quitte pas un homme riche pourun seul écart de conduite…
- Fascinant… j’adore votre façon de penser, entièrementrationnelle, sans illusion sur la nature humaine…
- La ferme.
Lisbon tiqua mais ne releva pas. Il faut avouer qu’elles’apprêtait à dire la même chose. Indémontable, Jane reprit :
- Bref, de toute façon c’est la dernière hypothèse qui nousintéresse. Imaginez que Miller ai séduit Mme Brown pour obtenir quelque chosede son mari. Mais une fois divorcée la victime ne sert plus à rien alors à quidemander de faire la sal boulot ?
Lisbon et Opale répondirent en chœur :
- Aux employés.
Jane claqua des doigts, satisfait, mais Lisbonprotesta :
- Qu’est-ce que ça leur aurait rapporté ?
- Et qu’est-ce que voudrait Miller ?, ajouta Iferson.
Jane était comme un poisson dans l’eau.
- Je réponds à la première question : Brown m’aconfiait qu’il employait des clandestins… Facile quand on sait ça de fairepression à la fois pour pousser au vol et en cas d’échec pour couvrir unmeurtre. Ce qui nous mène à … ?
Lisbon le fixait d’un air exaspéré.
- A d’éventuels témoins qui ne parleront jamais ?,tenta-t-elle.
Opale sourit, comprenant la manœuvre.
- A des gens prêt à parler en échange de papiers en règles…
- Bingo !, s’exclama Jane, mais Lisbon ne partageaitpas son enthousiasme.
- Vous me demandez d’obtenir des papiers à des clandestins pour d’hypothétiques aveuxau sujet d’un type dont on n’est même pas certain qu’il soit le vraicoupable ??
- Enfin Lisbon c’est toute la subtilité de ladémarche ! S’ils ont leur donne les papiers ils parleront et on sera sûrque c’était Miller le méchant dans l’histoire ! Et sans papiers pas detémoignage, sans témoignage pas de coupable, vous voulez boucler l’affaire ouiou non ?
Plutôt que de s’énerver contre son consultant aux paradoxesbancals elle s’adressa à Opale.
- Iferson votre avis ?
Opale avait l’impression d’être dans un procès où elleserait à la fois l’accusée, le témoin, et le juge…
- Euh… je… pense qu’il faut retrouver l’homme à tout fairede Brown, lui faire peur en mettant son irrégularité sur le tapis et juger de saréaction. Bluffer en prétendant savoir avec certitude que c’est Miller lecoupable et s’il confirme… lui proposer la solution de Jane en échange de sontémoignage au procès.
Jane frappa dans ses mains et avisa la porte et lança àLisbon :
- Bon et bien je me suis chargé de vous convaincre, à vousde convaincre qui il faut ! Ah, et j’oubliais... quelque chose me dit quel’homme à tout faire de Brown et la femme de chambre des Miller sont en coupledonc… il faudra des papiers pour deux… Bon courage !
Lisbon regarda son consultant et sa stagiaire quitter lapièce, l’un fier de lui, l’autre désolée, et ouvrit un tiroir de son bureau.
Elle avait besoin d’un petit verre.
* * * * *
Opale et Jane arrivèrent victorieux au point de rendez-vous(c'est-à-dire au canapé de Jane).
- C’était bien ?, demanda Iferson.
- Parfait ! Quoi que « la ferme » quand même…
- Désolée j’ai improvisé.
Rigsby, Cho et Van Pelt les rejoignirent.
- Alors ça a marché ?
- Comme sur des roulettes, on devrait pouvoir coincer Millerd’ici demain matin.
Les joyeux compagnons échangèrent des regards complices etretournèrent à leurs occupations.
* * * * *
Gary Miller était assit dans la salle d’interrogatoire avecCho, Iferson et Jane. Ce dernier, lassé d’entendre poser des questions que lesuspect évitait, prit les devants. Il frappa sur la table –faisant sursautertout le monde au passage- et dit :
- Bon ! On vous a laissé une chance d’avouer, vous nel’avez pas saisit, alors il est temps d’apporter les réponses voulues. Voilàcomment je vois les choses… Vous rencontrer Hermine Vassili, à l’époque MadameBrown à un club de lecture. Vous sympathisez et apprenez que son mari détientune importante collection de pièce. Intéressé vous demandez à voir. La foissuivante elle vous ramène une photo de sa collection et là oh surprise !L’une d’elle vaut des millions. Vous séduisez Hermine dans l’espoir derécupérer la pièce en la manipulant, mais elle quitte immédiatement son maripar amour pour vous… Ce qui ne vous convient pas du tout, d’autant que ledivorce s’est fait rapidement et sans que vous le sachiez. Alors vous changezvotre fusil d’épaule. Vous emménagez avec la victime et lui parlez de la pièce.Ensemble vous décidez de la voler… Vous savez qu’il emploi des immigrés à larecherche d’un travail honnête, alors vous embauchez de votre côté la femme del’un d’eux – l’homme à tout faire – et faite pression sur elle pour obliger sonmari à voler la fameuse pièce… Mais là problème, M. Brown garde sa collectionsous clé et vérifie minutieusement son contenu après chaque nettoyage.Impossible de la voler sans se faire chopper. Vous forcez alors l’homme à toutfaire à agir pendant l’absence de Brown, mais il ignore où se trouve la clé. Ilfouille la maison pendant trèèès longtemps pour la trouver et c’est en lacherchant encore il y a quelques semaines qu’il se fait prendre et renvoyer. Vouscommençait à vous impatienter et décidez de passer au grand moyen. Tuer M.Brown. Son ex femme s’y oppose, pensant que les choses vont trop loin et menacede vous dénoncer. Vous faites mine d’abandonner, la laissez se détendre dansson bain… Et là vous la tuez. J’ai bien résumé ?
Une veine palpitait au niveau de la carotide de Miller. Ilcracha :
- Vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez !
- Détrompez-vous, l’homme et la femme que vous avez manipulé acceptent de témoigner.
- Impossible !
- Oh pourquoi ça ? Parce que vous avez menacé de lesdénoncer à l’immigration ? Et bien ne vous inquiétez plus ! S’ils ontdécidé de coopérer c’est justement parce qu’on leur a promis des papiers enordre en échange… Vous n’avez plus rien contre eux, Miller. Vous avez perdu.
Sans plus s’attarder, Jane quitta la pièce, Opale sur sestalons.
Voiliii ! encore une victoire pour Jane et maintenant on passe aux choses sérieuses ^^
Bonne lecture !!
* * * * *
Chapitre10 : On boucle l’affaire
Deux jours avaient passé et Jane confiait de petitsexercices simples à Opale qui mettait un point d’honneur à se surpasser. Ainsi,sous son influence, elle avait réussi dans l’ordre : à regagner laconfiance de Lisbon, à devenir amie avec Van Pelt, à se faire apprécier deRigsby et même à faire rire Cho (ce dernier point lui avait d’ailleurs valu lesfélicitations de Jane). Bref, elle commençait à se sentir chez elle au CBI, unebonne ambiance planant sans relâche au dessus de leurs bureaux… elle sentaitqu’elle gagnait peu à peu la confiance de ses collègues malgré leur doute despremiers temps. Pour ce qui était de Jane elle n’arrivait pas à se décider.Quelque fois il lui semblait qu’il l’avait d’ors et déjà accepté comme l’unedes leurs et d’autre fois elle le surprenait en train d’analyser du regard sesbracelets, le col de sa chemise… avec un air suspicieux tout à fait dérangeant.Au moins il avait déjà renoncé aux questions ce ne pouvait être que positif.
Plus négatif toutefois, le temps… L’été s’installait petit àpetit et la chaleur se faisait mordante l’après-midi. Opale détestait ça. Lesoleil, le chaud… Avec ses couches de fringues elle étouffait. Et impossiblebien sûre d’en retirer une, se serait risquer de relever à nouveau lessoupçons… Elle n’avait plus qu’à fairecomme à chaque saison chaude : s’habiller fin mais couvrant et prier pourne pas faire de coup de chaleur qui l’enverrait dans les pommes.
Elle ruminait ses sombres pensées, quand Jane se leva de soncanapé pour se poster devant elle.
- J’ai résolu cette affaire. Juste un coup de fil à passerpour confirmation et j’aurais besoin que vous veniez avec moi voir Lisbon.
- Euh... oui d’accord. Pourquoi vous avez besoin demoi ?
- Je vous le dirai après ce coup de fil.
Elle n’insista pas, le connaissant suffisamment pour savoirqu’elle n’en saurait pas d’avantage tant qu’il ne l’aurait pas décidé.
* * * * *
- Allô ?
- M. Brown ? Patrick Jane du CBI à l’appareil, j’aurais unepetite question à vous poser…
- Allez-y…
- Employez-vous des immigrés clandestins ?
- Pardon ? Je… je… mais qu’est-ce qui vous…
- Non non, ne vous énervez pas moi je m’en fichecomplètement, je suis sûre que vous faites ça pour les aider et que vous lespayez très bien, ce n’est pas la question…
- M. Jane je ne comprends pas !
- Ce n’est pas très grave, du moment que vous ne me mentezpas je pense pouvoir démasquer l’assassin de votre ex-femme. Mais j’ai besoinque vous confirmiez.
- …
- M. Brown ?
- … oui. Oui j’emploi des clandestins. Pour leur laisser unechance de s’en sortir…
- C’est parfait c’est tout ce que je voulais savoir.
Il raccrocha, visiblement satisfait.
- Iferson !
Elle rappliqua aussitôt.
- C’est l’heure d’aller voir Lisbon. Alors voilà ce qu’on vafaire…
* * * * *
Jane ouvrit la porte du bureau de Lisbon, laissa passerOpale et entra à son tour, se dirigeant d’un pas assuré vers la patronne.
- J’ai résolu l’affaire, j’ai trouvé le coupable… mais vousn’aurez pas de quoi l’arrêter, sauf s’il y a moyen d’obtenir ce que je pense…
Lisbon se mit naturellement sur la défensive.
- Je n’aime pas ça…
- Je savais que vous alliez dire ça. Voilà pourquoi j’aiemmené Iferson. Elle nous servira de no man’s land, ou encore… de Suisse...
Opale avança timidement, un rien gêné de ce trop pleind’attention.
- Jane qu’est-ce que vous avez encore inventé ?
- Ca va aller ! J’ai pu constater depuis tout ce temps oùnous travaillons ensemble que nous pensons de façon radicalement opposé. Jepense blanc, vous pensez noir… Iferson pense gris, il suffira qu’on lui posechacun notre tour des questions pour avoir une réponse neutre.
Lisbon soupira en guise d’assentiment. Pourquoi fallait-il toujours qu’elle se livreaux pitreries de Jane ? Et la pauvre nouvelle contrainte de lui servir dejouet…
- Très bien Jane, faisons un essai… Iferson, que pensez-vousde l’idée de Jane ?
Elle répondit sans hésiter.
- Pour l’instant rien du tout patron, je ne suis pas aucourant.
Lisbon se mordit la langue et laissa Jane parler.
- Pensez-vous qu’il soit possible que le tueur soit GaryMiller, le petit-ami de la victime ?
- C’est possible mais très improbable, d’après ce qu’on asaisit des propos de la femme de chambre il n’était pas chez lui le soir dumeurtre.
Lisbon récupéra son tour.
- Pourquoi Miller l’aurait-il tué ? Il n’a pas demobile.
- Elle envisageait peut-être de le quitter.
- Pas d’après son entourage… A vous Jane.
Il passa du coq à l’âne sans transition.
- Opale, là comme ça sans réfléchir, pourquoi une femmequitte-t-elle son riche mari ?
- Euh… Parce qu’il est violent, qu’il se drogue, qu’il viredans des affaires louches, Parce qu’il est sur le point de perdre sa fortune,pour cause de tromperie multiple, ou bien encore c’est elle qui a rencontréquelqu’un d’autre…
- Pourquoi dites-vous tromperie multiple ? Une seule nesuffit pas ?
- Il est riche. Une femme ne quitte pas un homme riche pourun seul écart de conduite…
- Fascinant… j’adore votre façon de penser, entièrementrationnelle, sans illusion sur la nature humaine…
- La ferme.
Lisbon tiqua mais ne releva pas. Il faut avouer qu’elles’apprêtait à dire la même chose. Indémontable, Jane reprit :
- Bref, de toute façon c’est la dernière hypothèse qui nousintéresse. Imaginez que Miller ai séduit Mme Brown pour obtenir quelque chosede son mari. Mais une fois divorcée la victime ne sert plus à rien alors à quidemander de faire la sal boulot ?
Lisbon et Opale répondirent en chœur :
- Aux employés.
Jane claqua des doigts, satisfait, mais Lisbonprotesta :
- Qu’est-ce que ça leur aurait rapporté ?
- Et qu’est-ce que voudrait Miller ?, ajouta Iferson.
Jane était comme un poisson dans l’eau.
- Je réponds à la première question : Brown m’aconfiait qu’il employait des clandestins… Facile quand on sait ça de fairepression à la fois pour pousser au vol et en cas d’échec pour couvrir unmeurtre. Ce qui nous mène à … ?
Lisbon le fixait d’un air exaspéré.
- A d’éventuels témoins qui ne parleront jamais ?,tenta-t-elle.
Opale sourit, comprenant la manœuvre.
- A des gens prêt à parler en échange de papiers en règles…
- Bingo !, s’exclama Jane, mais Lisbon ne partageaitpas son enthousiasme.
- Vous me demandez d’obtenir des papiers à des clandestins pour d’hypothétiques aveuxau sujet d’un type dont on n’est même pas certain qu’il soit le vraicoupable ??
- Enfin Lisbon c’est toute la subtilité de ladémarche ! S’ils ont leur donne les papiers ils parleront et on sera sûrque c’était Miller le méchant dans l’histoire ! Et sans papiers pas detémoignage, sans témoignage pas de coupable, vous voulez boucler l’affaire ouiou non ?
Plutôt que de s’énerver contre son consultant aux paradoxesbancals elle s’adressa à Opale.
- Iferson votre avis ?
Opale avait l’impression d’être dans un procès où elleserait à la fois l’accusée, le témoin, et le juge…
- Euh… je… pense qu’il faut retrouver l’homme à tout fairede Brown, lui faire peur en mettant son irrégularité sur le tapis et juger de saréaction. Bluffer en prétendant savoir avec certitude que c’est Miller lecoupable et s’il confirme… lui proposer la solution de Jane en échange de sontémoignage au procès.
Jane frappa dans ses mains et avisa la porte et lança àLisbon :
- Bon et bien je me suis chargé de vous convaincre, à vousde convaincre qui il faut ! Ah, et j’oubliais... quelque chose me dit quel’homme à tout faire de Brown et la femme de chambre des Miller sont en coupledonc… il faudra des papiers pour deux… Bon courage !
Lisbon regarda son consultant et sa stagiaire quitter lapièce, l’un fier de lui, l’autre désolée, et ouvrit un tiroir de son bureau.
Elle avait besoin d’un petit verre.
* * * * *
Opale et Jane arrivèrent victorieux au point de rendez-vous(c'est-à-dire au canapé de Jane).
- C’était bien ?, demanda Iferson.
- Parfait ! Quoi que « la ferme » quand même…
- Désolée j’ai improvisé.
Rigsby, Cho et Van Pelt les rejoignirent.
- Alors ça a marché ?
- Comme sur des roulettes, on devrait pouvoir coincer Millerd’ici demain matin.
Les joyeux compagnons échangèrent des regards complices etretournèrent à leurs occupations.
* * * * *
Gary Miller était assit dans la salle d’interrogatoire avecCho, Iferson et Jane. Ce dernier, lassé d’entendre poser des questions que lesuspect évitait, prit les devants. Il frappa sur la table –faisant sursautertout le monde au passage- et dit :
- Bon ! On vous a laissé une chance d’avouer, vous nel’avez pas saisit, alors il est temps d’apporter les réponses voulues. Voilàcomment je vois les choses… Vous rencontrer Hermine Vassili, à l’époque MadameBrown à un club de lecture. Vous sympathisez et apprenez que son mari détientune importante collection de pièce. Intéressé vous demandez à voir. La foissuivante elle vous ramène une photo de sa collection et là oh surprise !L’une d’elle vaut des millions. Vous séduisez Hermine dans l’espoir derécupérer la pièce en la manipulant, mais elle quitte immédiatement son maripar amour pour vous… Ce qui ne vous convient pas du tout, d’autant que ledivorce s’est fait rapidement et sans que vous le sachiez. Alors vous changezvotre fusil d’épaule. Vous emménagez avec la victime et lui parlez de la pièce.Ensemble vous décidez de la voler… Vous savez qu’il emploi des immigrés à larecherche d’un travail honnête, alors vous embauchez de votre côté la femme del’un d’eux – l’homme à tout faire – et faite pression sur elle pour obliger sonmari à voler la fameuse pièce… Mais là problème, M. Brown garde sa collectionsous clé et vérifie minutieusement son contenu après chaque nettoyage.Impossible de la voler sans se faire chopper. Vous forcez alors l’homme à toutfaire à agir pendant l’absence de Brown, mais il ignore où se trouve la clé. Ilfouille la maison pendant trèèès longtemps pour la trouver et c’est en lacherchant encore il y a quelques semaines qu’il se fait prendre et renvoyer. Vouscommençait à vous impatienter et décidez de passer au grand moyen. Tuer M.Brown. Son ex femme s’y oppose, pensant que les choses vont trop loin et menacede vous dénoncer. Vous faites mine d’abandonner, la laissez se détendre dansson bain… Et là vous la tuez. J’ai bien résumé ?
Une veine palpitait au niveau de la carotide de Miller. Ilcracha :
- Vous n’avez aucune preuve de ce que vous avancez !
- Détrompez-vous, l’homme et la femme que vous avez manipulé acceptent de témoigner.
- Impossible !
- Oh pourquoi ça ? Parce que vous avez menacé de lesdénoncer à l’immigration ? Et bien ne vous inquiétez plus ! S’ils ontdécidé de coopérer c’est justement parce qu’on leur a promis des papiers enordre en échange… Vous n’avez plus rien contre eux, Miller. Vous avez perdu.
Sans plus s’attarder, Jane quitta la pièce, Opale sur sestalons.
Voiliii ! encore une victoire pour Jane et maintenant on passe aux choses sérieuses ^^
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:33, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super bouclement de l'affaire .
J'ai hate de voir les chose serieuse Ca promet d'être passionant
J'ai hate de voir les chose serieuse Ca promet d'être passionant
Izarra- Stagiaire au CBI
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Pas mal!!
VLS
VLS
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Qu'est ce que t'appelles les choses sérieuxes?
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Shaitan a écrit:Qu'est ce que t'appelles les choses sérieuxes?
Du sang et des révélation sur Opale xD
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Elwing a écrit:Shaitan a écrit:Qu'est ce que t'appelles les choses sérieuxes?
Du sang et des révélation sur Opale xD
Ouii du sang, des morts, des blessés tout ce que j'aime !
Okok je sors
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
+ 1latitemaï a écrit:Elwing a écrit:Shaitan a écrit:Qu'est ce que t'appelles les choses sérieuxes?
Du sang et des révélation sur Opale xD
Ouii du sang, des morts, des blessés tout ce que j'aime !
Okok je sors
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
WinJane a écrit:+ 1latitemaï a écrit:Elwing a écrit:Shaitan a écrit:Qu'est ce que t'appelles les choses sérieuxes?
Du sang et des révélation sur Opale xD
Ouii du sang, des morts, des blessés tout ce que j'aime !
Okok je sors
+ Jisbon tant qu'a faire
et surtout des confrontations aussi :)
Invité- Invité
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super des sadiques assoifées de sang ! xD lol
Pour le Jisbon... je vais voir ce que je peux faire mais ce sera jamais très explicite... Faudra attendre la touuuuuuuuuuuute fin de l'histoire pour ça ^^
La suite tout à l'heure !
Pour le Jisbon... je vais voir ce que je peux faire mais ce sera jamais très explicite... Faudra attendre la touuuuuuuuuuuute fin de l'histoire pour ça ^^
La suite tout à l'heure !
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Je viens lire ton histoire et, honnêtement c'est grandiose
On se croirai vraiment dans un épisode et tu as très bien su cerné le caractère des personnages.
J'avoue que ce chapitre 10 m'a époustouflé, tu ne manque pas d'imagination
Je ne sais pas trop pourquoi, mais Opale ne m'inspire pas confiance...
Je n'ai qu'une chose de plus à dire : VLS avec tout plein de Jisbon ^^
On se croirai vraiment dans un épisode et tu as très bien su cerné le caractère des personnages.
J'avoue que ce chapitre 10 m'a époustouflé, tu ne manque pas d'imagination
Je ne sais pas trop pourquoi, mais Opale ne m'inspire pas confiance...
Je n'ai qu'une chose de plus à dire : VLS avec tout plein de Jisbon ^^
Aurcoco- Inspecteur de police
- Personnage préféré : Jane♥Lisbon, et • Red John •
Loisirs : Regarder les épisodes de TM, Lire, Cinéma, Dessiner ...
Localisation : Champagne-Ardenne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Haaaa, au TOP cette suite, Jane, manipulateur expert, Iferson manipulatrice novice
Ettt, un peu de Jisbon ne serait pas de trop :)
VLS !
Ettt, un peu de Jisbon ne serait pas de trop :)
VLS !
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Parce que vous êtes très gentils dans vos com je post la suite ^^ Désolée pas encore de Jisbon car l'occasion ne s'y prêtait pas mais bon... ca sera pour plus tard :)
* * * * *
Chapitre11 : Coup de chaud
- C’était… prodigieux. J’ai adoré voir ça… la peur dans lesyeux du méchant, la défaite tordant sonvisage… C’était très jouissif.
Opale se sentait toute légère, fière d’en avoir terminé aveccette affaire. Pour la première fois depuis longtemps, un sourire sereinéclairait son visage.
- Qu’est-ce que vous faites quand une affaire estbouclée ? Vous buvez un coup, vous mangez…
Jane et Cho échangèrent un regard entendu.
- Les deux, répondit le brun.
Ils retrouvèrent Rigsby et Van Pelt à leur post.
- Alors ?, demanda le grand.
- C’est fini pour lui.
- On va fêter ça ?, proposa la rousse. C’était lapremière affaire d’Opale on peut l’emmener quelque part non ?
Les autres acquiescèrent, désireux de s’aérer un peul’esprit, un verre à la main. Bien que touchée de cette attention, Opalepréféra refuser. Il faisait vraiment chaud dehors et elle aimait autant restercollée à la clim des bureaux. Bien sûre elle dût leur servir l’excuse bidon du« j’ai encore du boulot, je ne peux pas me le permettre… ».Finalement elle fut contrainte d’accepter quand Lisbon elle-même se joignit àeux.
* * * * *
En route pour ce que les autres qualifiaient de « cafésuper sympa », Opale ouvrit toutes les fenêtres de la voiture, avide defraicheur.
Arrivé sur place, la bande prit place en terrasse, au granddésespoir d’Opale qui se retrouva en plein soleil. Un serveur prit la commandeque Lisbon lui dictait.
- Une tequila pour moi, un thé glacé pour Jane, une vodkatonic pour Cho, deux coca pour Van Pelt et Rigsby et…
- Une grenadine pour Iferson ! lança Jane.
- Avec beaucoup de glaçon, ajouta-t-elle. Et une paille sipossible.
Le serveur s’éloigna.
- Tu bois encore à la paille ? s’esclaffa Rigsby.
- Rien d’étonnant pour une fille qui en est encore à lagrenadine !
- Vous pouvez parler vous, avec votre thé glacé !,balança Lisbon, créant un fou rire général.
Opale s’efforça de participer à la bonne ambiance mais sesrires étaient feints… Intérieurement elle commençait à étouffer. Van Pelt s’enaperçu.
- Ca va ? Tu es toute rouge !
- Pas étonnant elle est habillée comme un esquimau…
Les rires reprirent, avec moins d’entrain toutefois.
« Tu m’étonne que je suis rouge ! jecrame !!! »
- Ce n’est rien, assura Opale. Juste le soleil…
Jane fronça les sourcils.
- Tu as quelque chose là…
Il voulut lui effleurer le visage mais elle le devança,passant une main au dessus de sa bouche. Une traînée rouge s’y étala. Cen’était vraiment pas le moment de saigner du nez… Dès qu’ils comprirent ce quise passait, les agents du CBI se mirent en quête d’un mouchoir. Pendant cetemps, l’esprit un peu ramolli par la chaleur, Opale regardait bêtement lesgouttes écarlates s’écraser dans le creux de sa paume.
Finalement Rigsby mit la main sur un kleenex et le luitendit, avec une grimace de dégout.
- Merci…
Elle s’essuya grossièrement sa main et pressa lemouchoir d’un geste expert contrel’arrête de son nez. On se serait cru dans un remake d’Urgences.
- Je suis désolée, ça me le fait tout le temps quand jepasse du frais au chaud d’un coup…
- Vous devriez retirer votre chemise, conseilla Lisbon.
- Et les probables trois autres couches superflues aussi,ajouta Jane.
Opale secoua la tête –ce qui eut pour effet d’accentuerl’hémorragie.
- Tout va bien je vous dis, ne vous en faite pas j’ail’habitude.
Mais ses collègues n’en étaient pas convaincus. Cho prit leschoses en main.
- On a qu’à s’assoir ailleurs, à l’ombre. Venez, on changede place.
Ils se levèrent, une expression d’inquiétude flottant surleur visage. Opale les remercia d’un sourire timide et se leva à son tour. « sauvée »,pensa-t-elle. Mais à peine fut-t-elle debout qu’elle chancela… des points blancpapillonnèrent devant ses yeux… elle s’écroula…
* * * * *
Opale reprit conscience au contacte d’une main agrippant lebas de sa chemise. Elle la saisit par reflexe pour l’empêcher de la remonter etouvrit les yeux.
- Ca va ?, demanda une voix angoissée au dessus d’elle.
- Mmm… oui, oui…
Elle voulu se redresser. Impossible, la tête lui tournait etun gout métallique sur la langue lui donnait la nausée.
- Mais bon sang qu’est-ce qui t’es arrivée…
- C’est rien, juste un coup de chaud.
Malgré son état elle perçut le trouble dans le silence quis’installait autour d’elle. Qu’est qui n’allait pas dans sa réponse ?Soudain, elle eut peur de comprendre. L’angoisse l’étreignit. Instinctivementelle porta une main à sa gorge… nue. Quelqu’un avait déboutonné sa chemise.
Opale ferma les yeux.
Ils pouvaient tous désormais admirer la fine entaille tracéed’une extrémité à l’autre du bas de son cou.
- Merde, souffla-t-elle.
* * * * *
Chapitre11 : Coup de chaud
- C’était… prodigieux. J’ai adoré voir ça… la peur dans lesyeux du méchant, la défaite tordant sonvisage… C’était très jouissif.
Opale se sentait toute légère, fière d’en avoir terminé aveccette affaire. Pour la première fois depuis longtemps, un sourire sereinéclairait son visage.
- Qu’est-ce que vous faites quand une affaire estbouclée ? Vous buvez un coup, vous mangez…
Jane et Cho échangèrent un regard entendu.
- Les deux, répondit le brun.
Ils retrouvèrent Rigsby et Van Pelt à leur post.
- Alors ?, demanda le grand.
- C’est fini pour lui.
- On va fêter ça ?, proposa la rousse. C’était lapremière affaire d’Opale on peut l’emmener quelque part non ?
Les autres acquiescèrent, désireux de s’aérer un peul’esprit, un verre à la main. Bien que touchée de cette attention, Opalepréféra refuser. Il faisait vraiment chaud dehors et elle aimait autant restercollée à la clim des bureaux. Bien sûre elle dût leur servir l’excuse bidon du« j’ai encore du boulot, je ne peux pas me le permettre… ».Finalement elle fut contrainte d’accepter quand Lisbon elle-même se joignit àeux.
* * * * *
En route pour ce que les autres qualifiaient de « cafésuper sympa », Opale ouvrit toutes les fenêtres de la voiture, avide defraicheur.
Arrivé sur place, la bande prit place en terrasse, au granddésespoir d’Opale qui se retrouva en plein soleil. Un serveur prit la commandeque Lisbon lui dictait.
- Une tequila pour moi, un thé glacé pour Jane, une vodkatonic pour Cho, deux coca pour Van Pelt et Rigsby et…
- Une grenadine pour Iferson ! lança Jane.
- Avec beaucoup de glaçon, ajouta-t-elle. Et une paille sipossible.
Le serveur s’éloigna.
- Tu bois encore à la paille ? s’esclaffa Rigsby.
- Rien d’étonnant pour une fille qui en est encore à lagrenadine !
- Vous pouvez parler vous, avec votre thé glacé !,balança Lisbon, créant un fou rire général.
Opale s’efforça de participer à la bonne ambiance mais sesrires étaient feints… Intérieurement elle commençait à étouffer. Van Pelt s’enaperçu.
- Ca va ? Tu es toute rouge !
- Pas étonnant elle est habillée comme un esquimau…
Les rires reprirent, avec moins d’entrain toutefois.
« Tu m’étonne que je suis rouge ! jecrame !!! »
- Ce n’est rien, assura Opale. Juste le soleil…
Jane fronça les sourcils.
- Tu as quelque chose là…
Il voulut lui effleurer le visage mais elle le devança,passant une main au dessus de sa bouche. Une traînée rouge s’y étala. Cen’était vraiment pas le moment de saigner du nez… Dès qu’ils comprirent ce quise passait, les agents du CBI se mirent en quête d’un mouchoir. Pendant cetemps, l’esprit un peu ramolli par la chaleur, Opale regardait bêtement lesgouttes écarlates s’écraser dans le creux de sa paume.
Finalement Rigsby mit la main sur un kleenex et le luitendit, avec une grimace de dégout.
- Merci…
Elle s’essuya grossièrement sa main et pressa lemouchoir d’un geste expert contrel’arrête de son nez. On se serait cru dans un remake d’Urgences.
- Je suis désolée, ça me le fait tout le temps quand jepasse du frais au chaud d’un coup…
- Vous devriez retirer votre chemise, conseilla Lisbon.
- Et les probables trois autres couches superflues aussi,ajouta Jane.
Opale secoua la tête –ce qui eut pour effet d’accentuerl’hémorragie.
- Tout va bien je vous dis, ne vous en faite pas j’ail’habitude.
Mais ses collègues n’en étaient pas convaincus. Cho prit leschoses en main.
- On a qu’à s’assoir ailleurs, à l’ombre. Venez, on changede place.
Ils se levèrent, une expression d’inquiétude flottant surleur visage. Opale les remercia d’un sourire timide et se leva à son tour. « sauvée »,pensa-t-elle. Mais à peine fut-t-elle debout qu’elle chancela… des points blancpapillonnèrent devant ses yeux… elle s’écroula…
* * * * *
Opale reprit conscience au contacte d’une main agrippant lebas de sa chemise. Elle la saisit par reflexe pour l’empêcher de la remonter etouvrit les yeux.
- Ca va ?, demanda une voix angoissée au dessus d’elle.
- Mmm… oui, oui…
Elle voulu se redresser. Impossible, la tête lui tournait etun gout métallique sur la langue lui donnait la nausée.
- Mais bon sang qu’est-ce qui t’es arrivée…
- C’est rien, juste un coup de chaud.
Malgré son état elle perçut le trouble dans le silence quis’installait autour d’elle. Qu’est qui n’allait pas dans sa réponse ?Soudain, elle eut peur de comprendre. L’angoisse l’étreignit. Instinctivementelle porta une main à sa gorge… nue. Quelqu’un avait déboutonné sa chemise.
Opale ferma les yeux.
Ils pouvaient tous désormais admirer la fine entaille tracéed’une extrémité à l’autre du bas de son cou.
- Merde, souffla-t-elle.
Dernière édition par Elwing le Ven 29 Oct 2010 - 18:34, édité 1 fois
Elwing- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Patrick Jane :p ; Kimball Cho ;)
Loisirs : Lecture/Ecriture-Cinéma-Série TV
Localisation : Winterfell
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
J'en etais tellement sure qu'elle avait ne cicatrice
Chuis trop forte xD
Pauuuv' Iferson, je l'aime bien moi ( pas trop quand meme faut pas abuser :) )
VLS !!
Chuis trop forte xD
Pauuuv' Iferson, je l'aime bien moi ( pas trop quand meme faut pas abuser :) )
VLS !!
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Super VLS!
TiteMaï- Red John
- Personnage préféré : Jane et Lisbon
Localisation : Boulogne/Mer
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Shaitan a écrit:Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
+1, tres mauvaise idée de se mettre a coté des gens, au ciné qui ont l'air d'avoir peur xD
VLSSSSSSSSSSsssssssssssssssssssss :DD
Felicity- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane avec Lisbon / Kimball Cho
Loisirs : Shippeuse Jisbon ;) / Lire-Ecrire des FanFics
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
+1 XDShaitan a écrit:Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
Elle avait quel âge a ton avis la fille , parce que moi a 12ans , ba je riais comme un folle en voyant qu'elle donnait des coup de marteau sur la tête a la gentil Da-Dame ! XD
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
PounchKimball a écrit:+1 XDShaitan a écrit:Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
Elle avait quel âge a ton avis la fille , parce que moi a 12ans , ba je riais comme un folle en voyant qu'elle donnait des coup de marteau sur la tête a la gentil Da-Dame ! XD
15 ans, c'est ma voisine. Et son frère de 19 ans était de l'autre côté, qui s'accrochait à mon épaule. Je me sentais un peu comme... Prise en sandwitch .
Shaitan- Stagiaire au CBI
- Personnage préféré : Jane, Lisbon et Cho!
Localisation : Morbihan, Bretagne
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Aahh , MDRShaitan a écrit:PounchKimball a écrit:+1 XDShaitan a écrit:Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
Elle avait quel âge a ton avis la fille , parce que moi a 12ans , ba je riais comme un folle en voyant qu'elle donnait des coup de marteau sur la tête a la gentil Da-Dame ! XD
15 ans, c'est ma voisine. Et son frère de 19 ans était de l'autre côté, qui s'accrochait à mon épaule. Je me sentais un peu comme... Prise en sandwitch .
Moi on est une famille de sadique alors...Mais enfaite j'étaie toute seul !
J'aurai pas aimer être a ta place , déjà que je déteste quand les me colle alors la !
19ans avoir peur....Mais c'est du ridicule tout sa...Nan ?!
Bon c'est bon pas besoin de tous poussé en même temps je sort
Re: "L'ERREUR" [FINI] ^
Merci, maintenant la psychoteuse que je suis va se trouver bien ridicule puisqu'elle a 19 balais...PounchKimball a écrit:Aahh , MDRShaitan a écrit:PounchKimball a écrit:+1 XDShaitan a écrit:Hey, Iferson, en fait c'est Esther! .
J'ai pas aimé le film, la nana à côté de moi s'est agrippée à mon bras tout le temps. Sans compter les coups quand elle sursautait et les cris qui me laissaient sourde .
Elle avait quel âge a ton avis la fille , parce que moi a 12ans , ba je riais comme un folle en voyant qu'elle donnait des coup de marteau sur la tête a la gentil Da-Dame ! XD
15 ans, c'est ma voisine. Et son frère de 19 ans était de l'autre côté, qui s'accrochait à mon épaule. Je me sentais un peu comme... Prise en sandwitch .
Moi on est une famille de sadique alors...Mais enfaite j'étaie toute seul !
J'aurai pas aimer être a ta place , déjà que je déteste quand les me colle alors la !
19ans avoir peur....Mais c'est du ridicule tout sa...Nan ?!
Bon c'est bon pas besoin de tous poussé en même temps je sort
Oh et puis non en fait, vous savez quoi ? Je m'en balance. Oui j'ai peur et oui je psychote à mort dès que je vois un clown ou un pantin. Oui je peux pas regarder un film d'horreur toute seule sinon je hurle et je psychote pendant des semaines. Oui j'ai peur que le croc-mitaine ou un truc dans le genre soit planqué sous mon lit, si bien que la nuit je me jette sur le matelas au lieu d'arriver tranquille à son bord pour me coucher. Et vous savez quoi ? Rien à battre parce que ça me fait triper de psychoter toute seule sur ce genre de choses, même à presque 20 piges. Façon je sais que je suis pas toute seule dans le lot !
Lilith défenseuse des PCA ^^
Lilith- Flic en uniforme
- Personnage préféré : Jane, Lisbon, Cho... Castiel ! Quoi "c'est pas la même série" ?
Loisirs : Me plaindre xD
Localisation : Tu vois le coin le plus paumé de la terre ? Tu tournes à droite, dans le cul de sac et t'y es !
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