The blond men kidnapper (anciennement Take advantage of the sun)

J'aime! VLS

Haaaaaaaa, ENORME G-G :)
Trop Trop enorme, j'attends la boucherie de la confrontation Jane/Lisbon ...

Et le coup de la partie de monopoly xD
Et ce mec me fais flipper, quelle idée d'avoir une maison jaune avec ces volets ROSES :))

VLSSSSS !!!

J'adoreee, l'humour est super bien casé.
J'aime la comparaison de Jane avec le monopoly.
J'ai hâte de voir ce que va donner l'enquête et de voir par quel moyen Lisbon va renvoyer Jane au bercail .

VLS

Felicity a écrit:Haaaaaaaa, ENORME G-G :)
Trop Trop enorme, j'attends la boucherie de la confrontation Jane/Lisbon ...

Et le coup de la partie de monopoly xD
Et ce mec me fais flipper, quelle idée d'avoir une maison jaune avec ces volets ROSES :))

VLSSSSS !!!

c'est claire, il a vraiment mauvais gout pour les couleur celui-là
mais l'intrigue me plais de plus en plus
VLS

ça ne m'aurait pas étonné de lui lol
VLS =)

Oooh , TROP FORt

V.L.S

Izarra a écrit:J'adoreee, l'humour est super bien casé.
J'aime la comparaison de Jane avec le monopoly.
J'ai hâte de voir ce que va donner l'enquête et de voir par quel moyen Lisbon va renvoyer Jane au bercail .

VLS

+ 1

VLS Hate que tu nous mettes la suite !

Lisbon qui s'inquiète pour Jane, c'est trop chou .

Et voilà ! Désolé d'avoir été absente pendant quelques jours, mais pour me rattraper le chapitre est un peu plus long que les précédents !

Chapitre 3 :

Lisbon, Cho, Van pelt et Rigsby étaient eux aussi arrivés à destination et c’était le frère de la victime, Paul Smith qui leur avait ouvert. Il les avait tout de suite invités à entrer, tout ce qui pouvait aider à retrouver son aîné étant le bienvenu. Malheureusement, Lisbon malgré sa bonne volonté et l’aide de ses trois subordonnés s’était vite aperçue que chaque piste avait déjà été minutieusement fouillée par le FBI et rapportée sur le dossier de l’enquête : sa famille, ses ami(e)s, son travail, les lieux où ils se rendaient, les rencontres d’un soir, et même son chien décédé depuis plus de deux ans.
Sachant qu’ils leur restaient encore dix victimes, les quatre agents n’avaient pas perdu courage et s’étaient mis en route pour leur prochaine destination. Mais là encore ils avaient fait chou blanc. Et sous les ordres d’une Lisbon de plus en plus irritée, ils avaient continué leur inspection, espérant tomber par hasard sur un élément qui aurait été négligé. Pire, en relisant le dossier après chacun de leur passage, ils s’étaient peu à peu aperçu que les membres du FBI avaient pris garde à des détails auxquels eux-mêmes n’avaient pas du tout fait attention. Et lorsque Rigsby avait tenté de la façon la plus subtile dont il était capable -en d’autres termes, comme le fit remarquer Cho un peu plus tard, pas très subtilement du tout- de faire comprendre à leur patronne qu’il faudrait peut-être envisager la possibilité d’appeler Jane, il avait eu droit à un regard assassin qui lui avait fait regretté de ne pas être une minuscule petite souris, terrée au fond de son trou avec son fromage et ses petites crottes.

Le consultant avait lui eut plus de chance -ou plus de talent, tout dépendait du point de vue- et avait découvert une piste que l’équipe anciennement chargée de l’affaire n’avait pas explorée. Ça avait plutôt été facile. En pénétrant chez les Johnson, il avait tout de suite remarqué le désordre ambiant et les objets quelque peu insolites qui le composaient : un petit canard en plastique jaune, un pot de fleurs -sans fleur- en terre cuite, un crocodile en porcelaine, un déguisement de lion, des livres, des magazines, des assiettes cassées, des croquettes pour chien, un….non en fait il préférait ne pas savoir à quoi pouvait bien servir ce truc et, le clou du spectacle, une immense statue de paon en plaqué or, qui trônait au milieu du salon. Jane haussa un sourcil. Lui qui pensait que le terme « loufoque » inscrit sur le dossier était exagéré, il s’était bien trompé. Il se fraya un chemin tant bien que mal à travers tous les bibelots et autres qui jonchaient le sol, et finit tout de même par parvenir au canapé sur lequel était assise Sally Johnson. Avisant une tasse de thé qui semblait lui être destinée, il s’en saisit tout en observant la jeune femme en face de lui. Elle fixait son mug de ses grands yeux gris pâle où perçaient la fatigue et l’angoisse accumulées au fil des jours. L’ex-médium comprenait. Le fait qu’on ait retrouvé le corps d’aucune des victimes préservait l’espoir chez leur proche. Mais un sale espoir, celui qui vous rongeait au plus profond de vous jusqu’à ce que vous ne soyez plus que l’ombre de vous-même, celui qui vous amenait à penser après des mois et des mois d’incertitude qu’il valait peut-être encore mieux retrouver la personne morte que de continuer à vivre avec ce poids qui vous empêchait chaque jour un peu plus de respirer.
« Madame Johnson ? »
Elle leva les yeux vers lui et sursauta. Ne s’en formalisant pas, Jane continua :
« Madame Johnson, je suis Patrick Jane, consultant au service du CBI. Vous savez sûrement que c’est notre équipe -celle de l’agent Lisbon- qui est désormais responsable de l’enquête concernant votre mari. Et étant donné qu’on n’est jamais mieux servi que par soi-même, nous souhaiterions vérifier que les membres du FBI n’ont rien loupé lors de leur investigation.
-Bien sûr…oui…aucun problème. »
Le mentaliste vit tout de suite que quelque chose la mettait mal à l’aise. Elle ne cessait de faire l’aller-retour entre sa tasse maintenant vide et lui-même.
« Madame Johnson…
-Sally, le coupa-t-elle
- D’accord, Sally…Qu’est-ce qui vous tracasse ?
-Et bien… »
Le consultant plaignait le pauvre mug, qu’elle ne cessait de tourner dans tous les sens depuis un moment, et qui devait à présent avoir le tournis. Il plaça sa main sur le bras de la jeune femme, tentant ainsi de faire diminuer son stress.
« Si vous ne me dites pas ce qui ne va pas, je ne pourrai pas essayer de vous rassurer, plaisanta-t-il. Vous savez, ce serait très agaçant pour moi, je n’aime pas vraiment me sentir inutile. »
Ça sembla marcher, puisque elle lui adressa un sourire timide. Inspirant profondément, elle se lança :
« En fait je me demandais s’il est bien prudent de confier cette affaire à quelqu’un comme vous. Je veux dire, toutes les personnes disparues sont des hommes blonds aux yeux bleus, et avouez que vous correspondez à cette description. Ne craignez vous pas qu’on s’en prenne à vous ? D’autant plus que vous n’êtes pas agent. Je suis désolé ça ne me regarde sûrement pas… »
Elle avait débité sa tirade d’une seule traite, gênée. Jane sourit. Si ce n’était que ça…
« Ne vous inquiétez pas pour moi. Le fait que je sois « conforme aux critères de sélection » du kidnappeur ne veut pas forcément dire que je suis sa prochaine cible. Et puis même si c’était le cas, je fais partie d’une équipe composée de quatre agents très qualifiés, qui ne me laisseront pas si facilement tomber aux mains du ravisseur. »
Quoiqu’étant donné l’état d’esprit actuel de Lisbon, il n’était sûr de rien. Il allait également falloir qu’il songe à un moyen de se faire pardonner. Cette fois, il n’était pas certain qu’une grenouille en papier suffirait à lui ôter l’envie de lui faire la peau. Peu importe, il y réfléchirait plus tard.
« Maintenant, que pouvez-vous me dire sur votre mari ?
-Comment cela ?
-Tout ce qui vous passe par la tête. Comment vous vous êtes rencontrés par exemple. »
Elle but une gorgée de thé, comme pour se donner du courage, puis débuta son récit :
« Danny et moi nous sommes rencontrés dans un bar. Ce n’était pas dans mes habitudes de traîner dans ce genre d’endroit, mais ce soir là mon petit ami de l’époque venait de me quitter. J’étais tellement saoule que je ne parvenais même pas à me souvenir de mon propre nom, je vous laisse imaginer. N’importe quel homme en aurait profité. Pas Danny. Il m’a accompagné à l’hôtel le plus proche et a loué deux chambres pour la nuit. Il m’a déposé dans la mienne, et n’y a pas remis les pieds de toute la nuit jusqu’au lendemain matin où il est venu voir si je me sentais mieux. Nous avons fait plus ample connaissance et décidé de nous revoir. La suite n’est pas difficile à deviner. »
Jane acquiesça. Il pouvait voir cette petite lueur rêveuse dans son regard, signe qu’elle était perdue dans ses souvenirs heureux.
« Avait-il des ennemis, des gens qui lui en auraient voulu pour une raison quelconque ? »
Elle le regarda, pensive.
« Comme je l’ai déjà dit à la précédente équipe, Danny était quelqu’un de naturellement doux et gentil, avec moi comme avec les gens qu’il côtoyait. Je l’ai rarement vu s’énerver, et encore, cinq minutes plus tard il allait s’excuser, même quand ce n’était pas sa faute. Je ne peux pas envisager que quelqu’un ait pu lui en vouloir assez pour le considérer comme un ennemi, et si c’était le cas il ne m’en a jamais parlé.
-Je vois. »
L’ex-médium sourit.
« Et vous, Monsieur Stencer, qu’en pensez-vous ?
-Moi ? »
L’homme avait l’air surpris qu’on lui demande son avis. Il s’était placé dans un coin de la pièce et avait suivi silencieusement l’échange, faisant presque oublier sa présence.
« Oui vous, voyez-vous un autre Monsieur Stencer dans cette pièce ? » Puis fixant d’un air contrit le fond de sa tasse dont il venait de vider le contenu, Jane ajouta :
« Madame Johnson…pardon, Sally, auriez- vous l’amabilité de refaire de votre formidable thé, je n’en ai plus.
-Bien sûr. »
Puis elle se dirigea vers la cuisine, emportant avec elle le plateau et les récipients vides. Se tournant vers la seule autre personne dans la pièce, le consultant tapota le siège désormais vide en face de lui, lui faisant signe de s’asseoir. L’homme sembla hésiter un court instant, puis s’installa sur le fauteuil.
« Appréciiez-vous votre beau-frère ?
-Il la rendait heureuse.
-Je vais prendre ça pour un non, répondit Jane, tout sourire. Pour quelles raisons ? Et surtout, pourquoi n’en avoir rien dit à votre sœur et plus important, au FBI ?
-Il… »
Visiblement, il ne savait pas trop comment aborder la question. Il devait certainement avoir honte d’avoir caché une information aux enquêteurs.
« Danny avait une passion secrète pour le jeu, finit-il par lâcher. J’ai voulu plusieurs fois en parler aux agents du FBI, mais ma sœur était toujours présente. Si elle avait été mise au courant, ça lui aurait brisé le cœur, elle l’idéalisait tellement. Je dois dire que Sally n’a jamais eut de chance en amour. Son ex était lui aussi un cas, toute sa vie était dirigée par son père. C’est d’ailleurs par sa faute qu’ils ont rompu. Selon lui, ma sœur n’était pas assez bien pour son si « génialissime » fils. Mais le FBI a déjà cherché de ce côté-là, sans résultat.
- Parlez-moi de l'addiction au jeu de votre beau-frère. »
Jane jubilait. Il n’en était qu’à sa première famille, et il avait déjà une piste sérieuse. Cette enquête démarrait sur les chapeaux de roue. Lisbon serait d’autant plus furax qu’il se doutait bien que de son côté les recherches n’étaient pas aussi fructueuses. Mettant sa gaieté de côté, au moins pour un court instant, le mentaliste se concentra sur les paroles de son interlocuteur.
« C’était au début de leur relation. Dés le départ, je ne le sentais pas ce gars-là. Tous les soirs il rentrait vers minuit, une heure du matin. Le boulot qu’il disait, mon œil oui ! Il partait travailler tous les matins à six heures, ce qui lui aurait fait des journées de plus de seize heures, vous y croyez vous ? D’autant plus que niveau salaire, ce n’était pas brillant non plus. Un jour j’ai voulu en avoir le cœur net, je l’ai suivi. Il s’est bien rendu à son lieu de travail –il est bureaucrate-, mais en est sortit à seize heures. Je n’en croyais pas mes yeux ! Et comme vous vous en doutez il s’est ensuite rendu au casino. Ecœuré je suis rentré chez moi pour me calmer, je peux devenir violent quand je suis en colère. Mais j’avais décidé de lui en toucher deux mots quand j’en aurai l’occasion. Le souci est qu’à chaque fois que je venais ici, ma sœur était là. Je ne pouvais tout de même pas lui dire ses quatre vérités en présence de Sally ! Malheureusement il s’est fait enlevé environ une semaine plus tard.
« Et où se trouve ce casino ?
-Il… »
Mais il ne termina pas sa phrase. Sa sœur venait en effet de pénétrer dans la pièce, un plateau de thé fumant dans les mains, accompagné de morceaux de gâteau au chocolat.
Jane fit glisser en cachette un petit bout de papier jusqu’à Georges Stencer, qui y griffonna l’adresse du casino avant de lui rendre tout aussi discrètement.
« Je vous remercie. Ça a l’air délicieux » déclara-t-il tandis qu’on déposait le plateau devant lui.
Il se saisit avec gourmandise de sa part qu’il s’apprêtait à mordre, lorsqu’il avisa par la fenêtre un 4x4 noir familier à l’angle de la rue. Déjà ? Ils n’avaient vraiment rien du trouver d’intéressant chez les familles des victimes pour en avoir fait aussi vite le tour. Le consultant feignit de regarder l’heure sur la pendule accroché au mur, et dit rapidement :
« Je suis désolé, il est déjà tard. Je crains de me faire réprimander si je reste plus longtemps. Je peux emmener le morceau de gâteau ?
-Evidemment ! »
Le mentaliste se dirigea vers l’entrée puis, constatant qu’il n’avait plus assez de temps, fit demi-tour. Ayant déjà vu Lisbon agir lors d’arrestations de suspects plutôt houleuses, il était convaincu qu’il ne parviendrait même pas jusqu’à sa voiture. Il était coincé, à moins que…
« Sally, auriez-vous une deuxième sortie dans votre maison ?
-Oui une porte à l’arrière, mais pourquoi ?
-En fait je ne devrais pas être ici. L’agent Lisbon et moi sommes toujours dans une sorte de compétition, et ça l’agace qu’en général j’ai l’avantage sur elle.
-Une…compétition ? »
Elle semblait perdue.
« Oui c’est comme…vous avez déjà joué au Monopoly ? Enfin bref peu importe, pourriez-vous me montrer la sortie je vous prie ? »
Elle sembla se reprendre.
« Bien sûr, par ici. »
Elle le mena jusqu’à une petite porte en bois, cachée derrière un rideau pourpre. Jane l’ouvrit à la hâte et se glissa à l’extérieur.
« Ce chemin va vous mener tout droit vers le parc. Faites attention à vous, il y a parfois des gens pas très fréquentables qui y traînent.
-Compris ! »
Avant de partir, le mentaliste lança :
« Encore une chose. Cette petite rivalité entre nous nous pousse parfois à raconter des mensonges afin de savoir où en est l’autre exactement. L’agent Lisbon va essayer de vous cuisiner, essayez de la ralentir au maximum, je vous en serai reconnaissant.
-Je ferai de mon mieux. Mais, de toute façon, vous n’avez rien appris de plus que vos prédécesseurs, alors je ne vois pas trop comment elle pourrait savoir où vous vous rendez je me trompe ? »
Jane se contenta de lui adresser un sourire énigmatique, puis s’élança à pas rapide en direction des arbres du parc, qui le cacheraient à la vue du reste de l’équipe s’il venait l’idée à un de ses membres de regarder par la fenêtre. C’était peu probable, mais mieux valait être prudent. Et tout en marchant, il se demanda quel sort pourrait bien lui réserver Lisbon lorsqu’elle mettrait la main sur lui, quoiqu’il ne fût pas sûr de vouloir le savoir…En tout cas, il espérait coincer le coupable avant ce moment fatidique. Avec un peu de chance, Hightower se rangerait de son côté et lui éviterait de subir la tempête qu’il voyait se profiler à l’horizon. Il se mit soudain à craindre pour la vie de sa pauvre DS qu’il avait laissée entre les griffes de l’effrayant rapace aux yeux verts -qui ne l’aimait déjà pas à la base- . Il se jura intérieurement que dès qu’il la retrouverait -s’il la retrouvait, bien entendu-, il lui paierait pour se faire pardonner quelques jours dans le meilleur garage Citroën de la ville, où elle se ferait chouchouter comme elle le méritait. Mais pour l’instant, il devait se concentrer sur son prochain objectif : le casino où se rendait régulièrement Danny Johnson. La dernière fois qu’il s’était rendu dans ce genre d’endroit, se rappela-t-il, on lui en avait interdit l’accès sans ménagement. Et l’ex-médium, en pénétrant dans le parc, se promit à lui-même que oui, cette fois, il prendrait garde à se faire virer après avoir obtenu les renseignements souhaités.


Voilà ! Désolé pour ceux et celles qui attendaient la rencontre Jane/lisbon, ce n'est pas pour tout de suite . Et en ce qui concerne le Jisbon, je pense mettre ça un peu plus tard aussi... Maintenant, je crois que je vais aller dormir, avant de tomber de sommeil . Bonne nuit les gens !

Ah c'est génial =)
VLS

C'est super j'adoore.

J'aime la fin quand il pense à sa DS dans les griffes du "rapace aux yeux verts"


VLS

J'aiime lol
VLS

Izarra a écrit:C'est super j'adoore.

J'aime la fin quand il pense à sa DS dans les griffes du "rapace aux yeux verts"


VLS

c'est pas très gentil pour Lisbon ce petit nom, mais c'est bien marrant
j'adore ce chapitre, la suite??????

J'aime *-* pauvre Jane, c'est sûr il faudra plus qu'une grenouille en papier pour ce faier "récupérer"

Hahah, j'ai bien ri aussi quand il a évoqué Lisbonette :)
Je sens qu'il va se faire DE-MON-TER la figure :)
Il lui faudra une armée entiere de grenouilles en papier xD
VLS en tout cas, j'aime toujours autant ton style et l'histoire !!

:bounce:

Felicity a écrit:Hahah, j'ai bien ri aussi quand il a évoqué Lisbonette :)
Je sens qu'il va se faire DE-MON-TER la figure :)
Il lui faudra une armée entiere de grenouilles en papier xD
VLS en tout cas, j'aime toujours autant ton style et l'histoire !!

:bounce:

J'imagine très bien l'armée de grenouille sauteuses en papier

C'est certain, Lisbon va le tuer, à moins que le serial killeur le fasse avant

Izarra a écrit:

Felicity a écrit:Hahah, j'ai bien ri aussi quand il a évoqué Lisbonette :)
Je sens qu'il va se faire DE-MON-TER la figure :)
Il lui faudra une armée entiere de grenouilles en papier xD
VLS en tout cas, j'aime toujours autant ton style et l'histoire !!

:bounce:

J'imagine très bien l'armée de grenouille sauteuses en papier

C'est certain, Lisbon va le tuer, à moins que le serial killeur le fasse avant

Mon dieu, t'imagines une ARMEE de milliers de grenouilles en papier sauteuses ?!
Ca fait peur xD

J'adore !

La suite

Felicity a écrit:

Izarra a écrit:

Felicity a écrit:Hahah, j'ai bien ri aussi quand il a évoqué Lisbonette :)
Je sens qu'il va se faire DE-MON-TER la figure :)
Il lui faudra une armée entiere de grenouilles en papier xD
VLS en tout cas, j'aime toujours autant ton style et l'histoire !!

:bounce:

J'imagine très bien l'armée de grenouille sauteuses en papier

C'est certain, Lisbon va le tuer, à moins que le serial killeur le fasse avant

Mon dieu, t'imagines une ARMEE de milliers de grenouilles en papier sauteuses ?!
Ca fait peur xD

Très peur, je les imaginent s'attaquant à Lisbon. Je la voit bien s'écrouler sous la puissance de leurs gambettes en papier

Pauuuuuuuuuuuvre Lisbonette xD
En plus, si elles sautent, ça doit faire mal si elles sont en papier, vu que l'papier ça coupe ;D

Bon, je crois que je vais sortir

Oui, très mal... heureusement Patrickounet sera là pour la soigné, mais je suis pas sûr que ça arrangera le cas de notre cher blondinet.


Attend moi je te suis, j'ai peur des grenouilles

C'est pas que j'ai peu des grenouilles, mais j'aime pas du tout ces petites bêtes à la langue bien pendue

Izarra a écrit:Oui, très mal... heureusement Patrickounet sera là pour la soigné, mais je suis pas sûr que ça arrangera le cas de notre cher blondinet.


Attend moi je te suis, j'ai peur des grenouilles

Mais Zaza, Patrick peut pas la soigner apres lui avoir fais du mal pour se faire pardonner, c'est pas logique xD !
Bon, on va construire une forteresse en papier maché pour proteger nous et Lisbonette de l'attaque de l'armée des Grenouilles en papier sauteuses xD

Vive notre imagination , couuuuuurs faut qu'on sooooorte xDD

Felicity a écrit:

Izarra a écrit:Oui, très mal... heureusement Patrickounet sera là pour la soigné, mais je suis pas sûr que ça arrangera le cas de notre cher blondinet.


Attend moi je te suis, j'ai peur des grenouilles

Mais Zaza, Patrick peut pas la soigner apres lui avoir fais du mal pour se faire pardonner, c'est pas logique xD !
Bon, on va construire une forteresse en papier maché pour proteger nous et Lisbonette de l'attaque de l'armée des Grenouilles en papier sauteuses xD

Vive notre imagination , couuuuuurs faut qu'on sooooorte xDD

Oui, c'est pas très logique xD ... Disons qu'il n'arrive pas à se faire pardonné, donc il lui fait du mal,ce qui est pire que ne pas l'écouter, donc elle lui en veut plus pour ce qu'il a fait mais pour son attaque de grenouille et là il la soigne pour se faire pardonner.

Ma logique est tordue et pas très saine


Raa, il faut vite la faire cette forteresse, je vois déjà une vague de grenouilles folle qui sont à nos trousses! Préparons nos ciseaux et agrafeuses, charger! Elles sont trop nombreuses, Retraite!Retraite! Protégeons Lisbonette !


Allez, sortons! Retraiiiite !

Izarra a écrit:

Felicity a écrit:

Izarra a écrit:Oui, très mal... heureusement Patrickounet sera là pour la soigné, mais je suis pas sûr que ça arrangera le cas de notre cher blondinet.


Attend moi je te suis, j'ai peur des grenouilles

Mais Zaza, Patrick peut pas la soigner apres lui avoir fais du mal pour se faire pardonner, c'est pas logique xD !
Bon, on va construire une forteresse en papier maché pour proteger nous et Lisbonette de l'attaque de l'armée des Grenouilles en papier sauteuses xD

Vive notre imagination , couuuuuurs faut qu'on sooooorte xDD

Oui, c'est pas très logique xD ... Disons qu'il n'arrive pas à se faire pardonné, donc il lui fait du mal,ce qui est pire que ne pas l'écouter, donc elle lui en veut plus pour ce qu'il a fait mais pour son attaque de grenouille et là il la soigne pour se faire pardonner.

Ma logique est tordue et pas très saine


Raa, il faut vite la faire cette forteresse, je vois déjà une vague de grenouilles folle qui sont à nos trousses! Préparons nos ciseaux et agrafeuses, charger! Elles sont trop nombreuses, Retraite!Retraite! Protégeons Lisbonette !


Allez, sortons! Retraiiiite !

Oulaaa pétage de cable vous deux mdr