The return of love [Terminée] ^

Wouahou! C'est tellement magnifique!
So Jisbon!
VLS

j'adore! rapprochement tout en douceur! c'est trop génial!

mais quelque chose me dit qu'un enf**** de sal c*** de millionnaire va se repointer la bouche en coeur et qu'encore une fois notre pauvre Patou va morfler! (désolée, j'me suis laissée emporter)

perso je crois que si elle devait retourner avec M, surtout après ce qu'il lui a fait, et bien moi je vais !

mais bon restons optimiste, après tout peut être que je fais fausse route (en j'espère)!

en tous cas super chapitre, j'adore toujours autant!

plus qu'une chose: VLS

0w _ S0 JISB0N !
C'est super , & magnifique .

V.L.S !!!

J'adooore! So jisbon
En plus la chanson s'est terminée pile quand j'ai fini de lire le chapitre
So romantic la ballade sur la plage

VLS

Merkii beaucoup pour votre soutien les filles!!!

Ca me fait super plaisir et en même temps, ça me soulage que ce chapitre vous plaise car je n'étais pas trop sûre de moi quand je l'ai terminé, j'avais peur de vous décevoir mais en lisant vos messages, ça va mieux et ça fait super plaisir!!!

Pour le chapitre, rendez-vous au NC-17
Mais ça risque de me prendre pas mal de temps voir que je risque de ne pas avoir beaucoup d'inspiration pour pouvoir l'écrire mais je ferai ce que je pourrais

ah ça va mieux ! Vls ! ! !

Ouaw c'est trop beau
J'ai hate de lire le chap' en NC-17

Le Chapitre 10 de la Fic est en ligne en Partie NC-17

Au NC-17 J'y coureuh!
Vive toi Jumelle

Jisbon-Addict a écrit:Au NC-17 J'y coureuh!
Vive toi Jumelle

Merci Jumelle
N'exagère pas non plus

La suite très prochainement

JisbonAddict a écrit:

Jisbon-Addict a écrit:Au NC-17 J'y coureuh!
Vive toi Jumelle

Merci Jumelle
N'exagère pas non plus

La suite très prochainement

J'exagere pas!
Aller j'attends la suite
Super ton chapitre NC-17

Jisbon-Addict a écrit:

JisbonAddict a écrit:

Jisbon-Addict a écrit:Au NC-17 J'y coureuh!
Vive toi Jumelle

Merci Jumelle
N'exagère pas non plus

La suite très prochainement

J'exagere pas!
Aller j'attends la suite
Super ton chapitre NC-17

T'es gentille merci
La suite est en cours d'écriture
Merciii

Merci beaucoup pour tous vos comm's ici et en partie NC-17!! Ca me fait trop trop plaisir
Je vous adore mes Perverses

Voici la suite...

De retour en partie normale dont les choses redeviennent calme
J'espère que ma fic continuera à vous plaire

Bonne lecture...


…

Un nouveau jour gorgé de soleil se lève accueillant un ciel encore plus beau que jamais, le chant des oiseaux et les premières voitures sur le chemin du travail. Pendant ce temps, dans le grenier du CBI, un couple en tenue d’Adam et d’Eve sous les draps de soie dort profondément. La jeune femme est de dos à son homme qui la sert tout contre lui, l’entourant de ses bras.
Teresa gigote un peu la tête et commence à se réveiller lentement avec le sourire aux lèvres en se souvenant de la nuit torride et inoubliable de la veille ; elle ouvre ses yeux qui pétillent petit à petit, soupire d’aise en gardant ce sourire rayonnant dessiné sur ses lèvres.
Elle jette un œil par-dessus son épaule en se mettant sur le dos, regarde tendrement son mentaliste qui dort à point fermé avec un sourire gravé sur son visage d’ange.

Tess reste plusieurs instants à fixer son mari en caressant tendrement son bras chaud qui entoure son corps. Elle se penche vers lui afin de déposer un baiser au creux de son épaule :
- Ca fait tellement longtemps que tu ne m’as pas regardé comme ça.
Elle sursaute quand elle entend la voix de son homme alors qu’il a les yeux fermés. Teresa recule pour croiser son regard océan :
- Excuse-moi, je ne voulais pas te faire peur. S’excusa-t-il
- Non, c’est moi… Je ne voulais pas te réveiller. Dit-elle d’une voix douce
- Ce n’est pas grave. Reprit-il en caressant sa joue avec un sourire ; tu es magnifique.
Elle lui répond par son plus beau sourire et l’embrasse tendrement. Ils restent à se regarder dans les yeux, rayonnant de bonheur ; soudain, la jeune femme prend un air songeur :
- Qu’est-ce que tu voulais me montrer ? Demanda-t-elle
- De quoi ? Demanda-t-il à son tour l’air interrogatif
- Sur la plage, tu m’as dis que tu voulais me montrer quelque chose, c’était quoi ? Dit Tess en reformulant sa question
- Oh ! Je voulais te montrer que je me suis réconcilié avec le ménage. Dit-il du tac au tac
- Menteur ! Répliqua-t-elle
- Ah oui ?! Suggère-t-il dans un sourire
Elle lui donne une tape sur son épaule en serrant les dents dans son sourire :
- Ne te moque pas de moi !
Ils rirent, Patrick se met sur elle en l’embrassant passionnément. Il lui caresse tendrement son visage et sa chevelure ébène soyeuse. Elle avait envie de se libérer de son étreinte et de connaître enfin ce qu’il cache mais en vain. Teresa se sent tellement bien dans ses bras qu’elle se laisse faire.
Elle lui rendit son baiser de façon passionné en plongeant ses mains dans ses cheveux. Mais ils furent interrompre par la sonnerie d’un portable dans la pièce :
- Attends ! C’est le tien ou le mien ? Demanda-t-elle dans un souffle
- Quelle est la différence ? Laisse sonner. Répondit-il avant de s’emparer de ses lèvres
Jane l’embrasse fougueusement avant que ses lèvres ne se logent dans le cou de sa bien aimée qui se laisse faire mais le portable continue toujours de sonner ainsi que préoccuper Teresa :
- Attends ! Patrick, il faut que j’aille répondre, c’est peut-être Frye.
Il redresse sa tête faisant semblant de prendre un air semblant :
- Hum… Je n’entends pas la caniche aboyée donc non puis la choucroute est devenue indigeste ces derniers temps.
Jane dépose ses lèvres sur celles de Lisbon qui sourit contre ses lèvres face à sa moquerie. Le portable sonne toujours, Les lèvres de Teresa se détachent de celles de son consultant :
- Non, les enfants ! S’il vous plaît ! Laissez maman et papa, jouer au chat et à la souris encore un peu. Supplia-t-il d’un air gamin
Elle laisse échapper un rire alors que son époux commence à poser de délicieux baisers dans son cou et se laisse faire. Mais l’inconnu insiste à ce que l’un des deux lui réponde. Patrick sent son épouse se libérer de son étreinte en sentant ses mains plaquées sur son torse musclé qui le forcent à s’éloigner d’elle :
- Oh non ! Ne va pas décrocher ! Supplia-t-il avec un air malheureux et gamin ainsi que le regard déçu
Mais elle le pousse sauvagement qu’il bascule sur le côté ; elle se redresse sur le lit en mettant le drap autour de sa poitrine :
- Désolée. S’excusa-t-elle en l’embrassant
- Vilaine fille. Grogna-t-il en souriant
Ils rirent. Elle lui donne une tape sur son avant-bras, se lève du lit en lâchant la main de son homme sans effacer son sourire rayonnant. Il se redresse à son tour et regarde avec attendrissement sa femme se précipiter vers son jean encore humide.

Tenant fermement d’une main le drap contre sa poitrine, Teresa fouille de son autre main les poches avant de son jean. Elle réussit à prendre possession de son portable qui sonnait et décrocha après avoir laissé tomber son jean sur une chaise :
- Allô ?
- Salut Teresa ! C’est moi ! S’exprime une voix masculine.
Elle fut surprise d’entendre la voix de son autre homme multimillionnaire dont elle a oublié ces derniers jours : Walter Mashburn !
- Salut Walter. Dit-elle d’une voix calme et nerveuse
En entendant ce nom résonné dans ses tympans, Patrick a les yeux écarquillés, encore surpris que son épouse et il commence à sentir de la haine montée en lui. Il avait une envie folle d’arracher le combiné des mains de Teresa, dire à Mashburn tout ce qu’il avait sur le cœur : Un coureur de jupon, un grand bourgeois radin et qu’il ne mérite pas une femme comme elle. Il aurait envie de lui raccrocher sans attendre sa réponse, d’être enfin auprès de sa dulcinée et redevenir une famille.
Mais il prend conscience que c’est à Lisbon de gérer la situation. Il a confiance en elle qu’il la laisse faire pendant qu’il ramasse ses affaires éparpillées partout pour se rhabiller en observant sa femme au téléphone :
- Je suis rentré de mon voyage plutôt que prévu. T’es libre pour qu’on déjeune ensemble ?
La jeune femme ne répondit pas. Elle se tourne vers son homme qui la regarde d’un air inquiet et tendre à la fois. Le regard océan de Patrick la trouble énormément qu’elle voulait que ce moment dure aussi longtemps mais la voix de Walter la fait revenir à la réalité.
Elle reprend ses esprits en prenant un peu d’air et expire avant de prendre la parole :
- Oui d’accord mais il faut que je te parle. Lui répondit-elle
- Bien sûr. Dit-il d’un air sarcastique ; je passe te prendre chez toi ?
- Non, c’est inutile. Je te rejoins au restaurant dans deux heures d’accord ?
- D’accord.
- A tout à l’heure. Dit-elle avant de raccrocher
Teresa pose son téléphone sur la table en face de la fenêtre et commence à se rhabiller.

Patrick se rapproche d’elle étant torse nu et en pantalon. Il entoure sa taille de ses bras et dépose de tendres baisers dans son cou alors que Tessa n’a enfilé que ses sous-vêtements. Elle sourit, pose ses mains sur les siennes en essayant de se dégager de son emprise :
- Patrick !... Patrick, arrête. Dit-elle en tournant les talons et se met en face de lui en l’embrassant ; je dois vraiment y aller.
Il la libère de son étreinte à contrecœur, elle enfile son débardeur sous les yeux ébahis de son mari :
- Tu comptes le lui dire ? Lui demanda-t-il
- Il le faut. Répondit-elle en mettant son jean
- Ok. Répliqua-t-il d’un air inquiet en hochant la tête
Tess se tourne vers lui d’un regard sarcastique et intrigué en entendant le timbre inquiet dans sa voix. Elle prend son visage entre ses mains et le regarde infiniment avec tendresse dans les yeux :
- Qu’est-ce que tu as ? Tu es inquiet ?
- Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que soit ni qu’il te fasse du mal Teresa. Avoua-t-il
Son regard émeraude plonge dans le sien, elle lit qu’il est sincère et qu’il serait prêt à aller le voir pour lui régler ses comptes malgré son opposition contre la violence. Elle sait que Patrick ferait n’importe quoi par amour pour elle :
- Je suis assez grande pour me débrouiller toute seule, tu le sais. C’est entre lui et moi. Lui dit-elle d’une voix douce ; fais-moi confiance.
- J’ai toujours eu confiance en toi. Dit-il avant de déposer un baiser intense sur ses lèvres ; je vais chercher les enfants chez Grace et Wayne pour les emmener à l’école.
- D’accord. Je dois y aller, je vais à la maison me changer avant que un orage de pièce d’or n’explose. Reprit-t-elle
Patrick esquive un sourire en étouffant un rire en enfilant sa chemise :
- On dîne ensemble ce soir ? Propose-t-il dans un sourire
- Je t’appelle dès que j’ai terminé. Répondit Tess d’une voix enthousiaste dans un sourire
- D’accord. J’ai hâte d’y être. Dit Jane d’un air espiègle en souriant
Ils se sourient et s’embrassent. Lisbon prend le reste de ses affaires sans oublier son portable, alors qu’elle se trouve près de la porte coulissante, son mari la retient par le bras en la guidant à se tourner vers lui et il saisit ses lèvres douces.
Ils se sourient en pressant ses lèvres sur les siennes, la jeune femme s’éloigne de lui en quittant leur endroit privé en lui adressant un dernier sourire avant de disparaître du champ de vision de son homme qui garde un sourire gravé sur ses lèvres en terminant de se revêtir de son costume 3 pièces.

Soudain, il sort de la poche intérieure de sa veste ; le mentaliste a les yeux qui pétillent et un sourire d’enfant se dessine sur son visage quand il vit une pochette rectangulaire de couleur bleu dont un avion est dessiné dessus suivit un petit prospectus dont une tour de fer puddlé de 300 mètres de haut prend toute la plage sur la couverture avec 5 lettres d’une des villes les plus romantiques du monde écris en grand caractère juste au-dessus.
Dans l’ascenseur qui la mène au rez-de-chaussée pour rejoindre sa SUV sur le parking du QG, Teresa se mord la lèvre inférieure en pétillant de bonheur en se souvenant de la nuit magique passée avec son consultant sexy. Elle a l’impression de revivre, de retrouver le goût du désir et du plaisir de leur première fois ; elle passe sa main dans sa nuque et grimace quand le bout de ses doigts frôlent la chaîne autour de son cou. Sa main descend jusqu’au pendentif où elle entend à l’intérieur quand elle le secoue, un anneau doré.

Environ 1heure plus tard, au pas de la porte où réside la famille Rigsby ; Jane sonne et vit Grace qui lui ouvre :
- Ah ! Jane ! T’es l’air… différent. Remarque-t-elle en l’examinant de la tête aux pieds
- Salut Grace ! Content de te voir aussi. Je viens emmener les enfants à l’école. S’exprime-t-il
- Ah ! Tu es arrive trop tard. Il est parti les emmener.
- Oh ! Euh… Très bien. Tu le remercieras pour moi. Dit-il en lui faisant un sourire au coin des lèvres.
Mais lorsqu’il il tourne les talons en tournant la tête pour rejoindre sa DS garée le long du trottoir ; une marque étrangère en forme de cercle logée dans sa nuque attire curieusement l’attention de la jolie rousse. A peine que le mentaliste est fait quelques pas, Grace le suit et l’appelle pour le retenir :
- Hey ! Pas si vite, monsieur le cachotier ! Cria-t-elle d’un air espiègle
- Oh ! C’est grossier ça Grace. Dit-il en se tournant vers elle avec un air vexé et enfantin
- Tu t’ais fait attaqué cette nuit ?
- Pourquoi ? Demanda-t-il d’un air interrogatif
- Parce que t’as quelque chose dans le cou… Commence la jolie rousse avec un air espiègle et un sourire moqueur
Dans le cou du craquant consultant, elle pointe avec son index sur l’ecchymose accompagnée d’une légère morsure :
- … Juste ici... C’est marrant, c’est un suçon ! Termine-t-elle.
Intrigué, il passe sa main sur la marque laissée en évidence et un sourire au coin se dessine sur ses lèvres et une légère couleur rosée monte sur ses joues en constatant que c’est Teresa qui lui a laissé sa signature pendant qu’elle s’emportait dans le feu de l’action :
- Oh ! Euh… Non ! Ment-il
- Menteur ! T’as rougi ! Dit-elle
- Bon ok !... Je suis démasqué. Avoua-t-il embarrassé.
- Laisse-moi deviner. T’as passé une nuit assez… chaude avec une tigresse qui ne s’appellerait pas Teresa par hasard ? Suggère la jeune femme avec un air malicieux et un sourire narquois
- Comment tu le sais ? Demanda-t-il
- Je suis mentaliste ! Se moque-t-elle en riant
- Ahah ! Très drôle Grace ! Dit-il
Il tourne les talons assez mal à l’aise afin de rejoindre son véhicule laissant la jeune recrue du CBI immobile avec un grand sourire aux lèvres en le voyant grimper à bord de sa DS et s’en allé avec un sourire…

A la maison des Jane, Lisbon est enfermée dans la salle de bains en prenant une bonne douche bien tiède d’où la vapeur fumante envahit la pièce jusqu’à en laisser de la buée sur le miroir. La jeune femme chante à tue-tête quelques morceaux de chansons de son groupe préféré les « Spice Girls » de bonne humeur et le sourire aux lèvres.
Tout à coup, la porte de la salle de bain s’ouvre, des pas résonnent dans la pièce interrompent le chant de Teresa et attirent son attention :
- Patrick, mon amour ! C’est toi ? Demanda-t-elle d’une voix douce dans un sourire
Mais elle n’obtient aucune réponse. Tess ferme le robinet de douche mais dès lorsqu’elle ouvre le rideau pour prendre une serviette :
- Aaaaahhhh ! Hurla-t-elle dans un sursaut

C'est quii c'est quii???
J'espère qu'il va rien lui arriver!!
VLS

Trop bien ce chapitre
Ils sont trop mignons tous les deux
Si il voulait être discret il est grillé Jane avec son suçon
J'espère que c'est pas Mash qui vient d'arriver

VLS

oh mon dieu, Teresa! vite Patou revient!

je penche entre K et M et que ce soit l'un ou l'autre si ils gâchent ce qu'ils viennent de reconstruire, je les ! je chope un buldozzer et je t'en fais de la bouillie! ces espèces d'***! l'une qui se tape un trip et qui croies au père Noël et l'autre qui rentre la g*** en fleur alors qu'il la trompée!

nan mais y'en a marre de ces casse c***!

en tous cas, très belle suite! ils sont trop shoupies! j'adore!

VLS

Je suis sur un petit nuage après avoir lu ta fic!
J'espère aussi que c'est pas M qui vient toujours tout gâcher!!!
VLS!!

Vous me faites trop délirés dans vos comm's les filles
Mais ça me fait trop trop plaisir

Je vous donne quelques petits spoilers pour la suite et pour la fin :

Spoiler:

Je vous laisse imaginer la suite et me livrer vos hypothèses
La suite... La semaine prochaine

Tu...Tu vas pas nous faire ce que je pense hein?
Tu vas pas faire entrer Mash dans la salle de bain ?
T'es pas si cruelle ma Jumelle ?

Sinon super suite !
JISBON POWER

VLS !

Jisbon-Addict a écrit:Tu...Tu vas pas nous faire ce que je pense hein?
Tu vas pas faire entrer Mash dans la salle de bain ?
T'es pas si cruelle ma Jumelle ?

Sinon super suite !
JISBON POWER

VLS !

Si je suis cruelle? Non... Seulement un peu sadique, j'avoue
Mais ne t'inquiètes pas, ça va s'arranger

Merci ma Jumelle!!! Ca me fait trooop plaisir

Sa me rassure alors
De rien toujours un plaisir de lire ta fic
VLS encore une fois !

De rien ça fait plaisir

Encore merci

Vivement la suite de ta fic

Bientot bientot je l'ecris pour l'instant !

super ma JA j'adore ce chapitre, c'est si mignon , Jane et Lisbon ont fait la paix c'est super
mais ce Ma****, désolée peut as le dire, qu'est-ce qu'il vient se manifester encore celui là
VLS VLS VLS VLS

Chapitre terminé ENFIN!!
Voilà, la suite...

Désolée pour le retard! J'ai eu trop du mal à trouver l'inspiration et quelques idées dont je vous ai livré ne m'ont pas beaucoup aidé
Puis j'espère que ça va ravir les Anti-Mashburn et désolée, j'ai fait sortir un peu mon côté sadique mais un assez léger
Mais je dois avouer que je suis déçu de ne pas avoir fait de mon mieux pour vous faire plaisir mais j'espère que ce chapitre plaira en tout cas

:bla_bla: P.S: Vous croyez que ça va s'arrêter là ? Non , il ne me reste plus qu'un chapitre et un épilogue à faire

Bonne lecture...


…

Tout à coup, la porte de la salle de bain s’ouvre, des pas résonnent dans la pièce interrompent le chant de Teresa et attirent son attention :
- Patrick, mon amour ! C’est toi ? Demanda-t-elle d’une voix douce dans un sourire
Mais elle n’obtient aucune réponse. Tess ferme le robinet de douche mais dès lorsqu’elle ouvre le rideau pour prendre une serviette :
- Aaaaahhhh ! Hurla-t-elle dans un sursaut
- Excuse-moi. Je ne voulais pas te faire peur. S’exclame un homme vêtue d’une tenue décontracté mais que de grande marque en lui tendant sa serviette
- Walter !?! S’écria-t-elle
Folle de rage, elle lui arrache sa serviette de sa main avant de tirer le rideau afin de mettre sa serviette autour de sa taille. La belle brunette retire le rideau et sort de sa douche en serviette :
- Ca ne te gênait pas avant quand je te voyais toute nue. Reprit-il
- Mais qu’est-ce que tu fiches ici ? Et comment es-tu rentré chez moi ? Questionna-t-elle en colère
- J’ai frappé mais ça ne répondait pas puis la porte n’était pas verrouillée. S’expliqua-t-il d’un air confus
- Ca ne te donné pas le droit de pénétrer dans ma maison comme ça ! Lui dit-elle furieuse
Elle s’éloigne de lui et quitte la salle d’eau en traversant le couloir. Lorsque Tess s’apprête à entrer dans sa chambre pour s’habiller, Walter la retient par le bras mais elle résiste :
- Lâche-moi ! Dit-elle en essayant de dégager son bras
- Je m’aperçois que tu as pris du bon temps pendant mon absence. Dit-il sérieux et froid
- Mais de quoi tu parles ? Lui demanda-t-elle
- Du type qui t’a laissé sa marque dans ton cou. Lui répondit-il d’un air glacial
Elle fronce les sourcils en le restant le fixer avec son regard interrogatif et noir à la fois. Puis, Teresa se rend compte que son fougueux mari a augmenté les braises du désir lors de leur soirée très stimulante.
La jeune femme baisse les yeux d’un air confus envers le milliardaire enragé mais à la fois espiègle repensant à la nuit torride qu’elle se mord la lèvre inférieure avec une touche de rouge qui lui monte aux joues.
Walter hoche la tête étant assez furieux en commençant à savoir avec qui sa future ex-compagne a pris son pied :
- Si tu permets, je voudrais m’habiller après on en parlera. Reprit-elle d’une voix ferme
La jeune femme ne lui laisse pas le temps d’y répondre qu’elle lui a claqué la porte de la chambre au nez.

Vêtue d’une chemise blanche d’homme trop grande pour elle avec les manches retroussées et d’un jean bleu délavé slim ainsi que coiffée d’un chignon, Lisbon rejoint le milliardaire dans le salon quelques minutes plus tard.
Tess ne lui propose même pas s’il veut un café ou quoi que ce soit tellement elle était déterminée et furieuse. Elle lui explique qu’elle met fin à leur liaison avec un ton sérieux et confus éprouvant des regrets sur ses erreurs comme d’avoir entamé une relation sans aucune magie et d’avoir été une idiote pendant tout ce temps alors que son cœur ne battait que pour son époux. Puis Madame Jane lui évoque sa nuit passée avec son consultant :
- Ah ! Il ne manquait plus ça ! S’exprime-t-il au haussant le ton
- Je regrette bien ce que j’ai fais Walter. Dit-elle avec fermeté
- De quoi ?! D’avoir été avec moi ou d’avoir couché avec ton abruti de consultant qui n’est d’autre que ton bon à rien de mari ?
Mais ces mots « abruti de consultant » et « bon à rien de mari » avec le ton qu’il a employé dont il les a prononcés s’en fut trop pour Teresa que sa colère a grimpé d’un cran venant une fureur qu’elle lui colle une gifle en pleine figure qui surprend tellement Walter qui sent sa tête partir sur le côté en arrière.
Le milliardaire se retourne vers elle encore sonner par l’immense claque qu’il vient de prendre tout en couvrant sa joue avec sa main sentant une sensation de chaleur douloureuse couleur rouge vif. Il reste la dévisager alors qu’elle le regarde froidement avec les yeux noirs :
- Je t’interdis de parler de lui sur ce ton ! Râle-t-elle en pointant son index d’un air menaçant ; et je peux te dire que tu ne vaux pas mieux que lui !
- Ah oui !?! Après qu’il t’est trompé !?! Et je peux savoir pourquoi ? Reprit-t-il curieux et jaloux
- Il ne m’a pas JAMAIS trompé ! Puis, ma patronne reste une médium timbrée qui pense pouvoir obtenir tout ce qu’elle veut et qui croit savoir tout sur tout le monde alors qu’elle est malade cette caniche ! Puis quand on était ensemble, tu as passé tout son temps pour ton saleté business au lieu de consacrer du temps pour moi et pour mes enfants, tu n’as pas fait le moindre effort non plus ! S’explique-t-elle d’un ton fougueux et sérieux
- Ah ! Et c’est comme ça que tu me vois alors que j’étais là après chacune de vos disputes ? Puis, ne parles pas de Kristina sur ce ton-là, elle peut-être comme tu dis mais elle a du caractère ! Avoua-t-il en haussant le ton
Soudain, Teresa fronce les sourcils en se rendant compte de ce que son ex-amant vient de dire :
- Attends une minute… Je ne t’ai jamais dit comment elle s’appelait ?
Walter qui continue de la dévisager, se rend compte de ce qu’il vient dire :
- Enfin, ce que je… je voulais dire que…
Mais, il n’a pas eu le temps de terminer sa phrase pour se rattraper que la jeune femme flic a pris la parole et une boule de colère s’apprête à exploser :
- Pendant que tu es à l’autre bout du monde soit disant pour les affaires, tu te la coules douce en t’envoyant en l’air avec MA patronne !?! Hurla-t-elle
- Ce n’est pas ce que tu crois… Reprit Walter d’un air innocent
- Je n’arrive pas à y croire ! S’exclame-t-elle.
Tessa lui tourne le dos et s’éloigne de lui avec ses poings sur ses hanches tellement rongée par la haine puis la colère qu’elle n’ose plus le regarder en face. Le milliardaire prend un regard confus se sentant coupable de la plus grosse bêtise de sa vie qu’il pense avoir commis. Il s’approche lentement de la jeune femme en reprenant son souffle :
- Teresa, j’ai fais une erreur et je le reconnais mais rien n’a changé à ce que je ressens pour toi.
S’exprime-t-il en posant ses mains sur ses hanches.
Dès que la phrase de la « poule aux œufs d’or » a résonné dans les oreilles de Teresa, elle a tourné les talons et lui donne son poing dans la figure cette fois-ci dont Mashburn a eu par surprise. Le milliardaire se tourne vers elle, abasourdie, portant sa main au nez et voie un liquide rouge s’estomper sur sa main :
- Aïe !
- Tu l’as bien mérité ! Il fallait réfléchir aux conséquences si tu m’aimais vraiment ! Voilà, pourquoi je disais que tu ne valais pas mieux que Patrick ! Au moins, lui n’intéresse pas à l’argent mais à sa famille… Lança-t-elle avec fougue et sérieux
Elle marque une pause avant de continuer sa phrase en le regardant froidement dans les yeux :
- … Je trouve qu’il a raison sur toi. Tu n’es qu’un grand bourgeois radin qui ne pense qu’à sa petite personne et un coureur de jupon immature. Dit-elle satisfaite et sérieuse

Au même moment, une Citroën DS bleu ciel se gare le long du trottoir devant la maison. La portière s’ouvre et le craquant mentaliste, Patrick Jane descend de voiture et ferme son « tas de ferraille » en sifflotant avec un sourire aux lèvres. Lorsque le beau blondinet est sur le chemin vers l’intérieur de son domicile, une voix masculine interrompt son chemin :
- Tiens ! Le grand cachotier amoureux est de retour !
Jane s’arrête net en souriant. Il se tourne et aperçoit Wayne venir vers lui :
- Alors ! Grace m’a dit que c’était reparti avec Teresa ?! Demanda-t-il enthousiaste
- Oui, on peut dire ça. Répondit le consultant haussant les épaules et souriant ; Cho et Alysson sont aussi au courant ?
- Oui, mais on est super content pour vous deux. Avoua Wayne avec sincérité ; et félicitations mon vieux !
Patrick sourit et en est flatté du compliment de son ami…

De son côté, Teresa s’approche de lui, le pousse brusquement en arrière comme pour lui dire de s’en aller :
- Non, mais t’es folle ! Dit-il surprit de son geste
- Je suis loin d’être folle ! Maintenant va-t-en de chez moi ! DEGAGE ! Cria Teresa
- Pas tant que nous serions ensemble ! S’exclame-t-il
Il la saisit par les poignets et l’attire vers lui mais elle se débat de toutes ses forces pour se libérer de son emprise :
- Lâche-moi ! Tu me fais mal ! Hurla-t-elle
Mais plus elle se débat plus il lui sert fort contre lui, il essaye de l’embrasser malgré la résistance que porte Tess et hurle :
- WALTER LACHE-MOI !!! LACHE-MOI !!! Hurla-t-elle de toutes ses forces

Soudain, le cri de sa femme attire l’attention de Patrick ainsi que celui de Wayne qui détournent leurs regards vers la demeure :
- Teresa ! S’exclame-t-il inquiet
Il se précipite en courant vers sa maison suivit de Wayne qui sort son arme…

Mashburn continue d’enlacer et d’agripper violemment Teresa qui se débat de toutes ses forces. Mais il la tient tellement fort qu’elle n’arrive plus à se libérer de son emprise ce qui ne l’empêche de hurler encore mais il la gifle que la jeune femme s’écroule sur le canapé. Tess se relève en larmes mais Walter se précipite sur elle en déchirant sa chemise…

Soudain, lorsqu’elle le repousse de toutes ses forces mais que le milliardaire revient à la charge, Patrick arrive suivit de Rigsby. Choqué et possédé par la colère, le consultant court venir secourir sa dulcinée et pousse peu violemment « Monsieur Bourgeois » :
- ESPECE D’ENFOIRE, LACHEZ-LA ! Hurla le mentaliste en regardant froidement Mashburn dans les yeux
Lorsque le milliardaire fou furieux allait riposter, Rigsby pointe son arme dans sa direction :
- Ne bougez pas plus Mashburn ! Les mains sur la tête, tout de suite ! Ordonna-t-il sévèrement en s’approchant de lui avec prudence.
Walter s’exécuta, Rigsby range son arme et lui passe les menottes en lisant ses droits alors que l’homme riche regarde Teresa avec pitié qui ne lève pas les yeux sur lui et Patrick avec froideur qui en fait autant alors qu’il sert sa femme en pleurs dans ses bras :
- Walter Mashburn, je vous arrête pour agression et tentative de viol sur la personne du nom de Teresa Lisbon-Jane. Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz sera retenu contre vous le jour de votre procès. Vous avez le droit à un avocat, si vous n’avez pas les moyens, il vous sera commis un d’office.
A la fin, Wayne embarque le milliardaire en le faisant sortir de la demeure des Jane ; Patrick fait un hochement de tête à son ami disant « Merci » et celui-lui lui rendit avant de disparaître.

Quelques minutes plus tard ; assis sur le canapé, sans dire un mot, Patrick berce Teresa tendrement dans ses bras en la serrant tout contre lui afin qu’elle sent sa présence. Elle se sent tellement bien qu’elle n’a plus envie de le quitter ; la jeune femme soupire profondément en cessant sa dernière larme sur sa joue et relève la tête en regardant son mari dans les yeux :
- Patrick ?
- Oui ?
- Je suis désolée. S’excusa-t-elle d’une voix étranglée et paisible
- Tu n’as pas t’excuser, tu n’y es pour rien. Dit-il d’une voix douce en caressant sa joue avec son pouce ; c’est moi qui suis désolé Teresa.
- Comment ça ? Demanda-t-elle surprise et fronce les sourcils en se redressant sur le divan
- Je me doutais bien que ça se tournerait mal… mon instinct me disait d’être auprès de toi pour te protéger de ce malade qui a faillit te tuer… mais je n’étais pas là… tu ne peux pas savoir que je m’en veux et pendant un instant, j’avais peur de te perdre.
Il prononça ces mots d’une voix triste, monotone et un regard comme un enfant qui s’en veut d’avoir fait une bêtise. Lisbon plonge son regard dans le sien, caresse son visage et pose son front contre le sien :
- Patrick… Tu n’y es pour rien. Tu n’as pas à t’en vouloir… Toi et Rigsby êtes venus juste à temps pour me sauver sinon je serais à l’hôpital à l’heure qu’il est… Grâce à toi, je suis en vie et en sécurité avec toi, c’est tout ce qui compte maintenant pour moi. Dit-elle d’une voix douce
Mais lorsqu’elle allait déposer un baiser sur les lèvres, Jane tourne la tête et s’écarte d’elle. Elle fronce les sourcils et se penche vers lui alors qu’il baisse la tête et la relève afin de lui dire ses regrets :
- Mais tout ça c’est de ma faute… si j’avais été à tes côtés, tout ça ne serait jamais arrivé… je m’en veux de ne pas avoir pu d’être là près de toi alors que c’était mon rôle de mari de te protéger dans des moments comme celui-là…
Il marque une pause qui est interprété comme un mur alors que Teresa reste le regarder d’un air interrogatif et triste ayant peur de ce qu’il va dire par la suite :
- Je crois que tu ne mérites pas un mari comme moi Teresa… Tu mérites mieux. Avoua-t-il
En entendant cette phrase comme un coup de poignard en plein cœur, Teresa fut choquée et blessée que ses yeux sont au bord des larmes. Restant forte et sans de décourager, elle essaye de le raisonner en lui disant ce qu’elle a sur le cœur :
- Quoi !?! Non, c’est faux. Tu es celui dont j’ai toujours rêvé Patrick… Un père vraiment idéal pour mes enfants, un homme qui m’aime telle que je suis et qui est toujours là pour moi…
- Mais je n’ai pas été là, cette fois-ci alors que ta vie était en danger… J’aurais du être là…Je ne suis pas cet homme courageux et protecteur dont tu as tant besoin… Je ne te mérite pas Teresa malgré ce que je ressens pour toi. Lui coupa-t-il
Son consultant lui caresse son visage, l’embrasse sur la joue et lui adresse un dernier regard confus et tendre pour une dernière fois avant de se lever du divan et de franchir la porte de la maison. Teresa reste immobile, n’ait pas le courage de se lever pour le retenir tellement elle est abasourdie et sous le choc des confidences de son mari qu’elle finit par fondre en larmes…