The return of love [Terminée] ^

Du Jisbon C'est dommage qu'ils se soient pas embrassé, mais bon c'était quand meme trop chou


JVLS !

Ah
Moi je dis "Vive Lizzie!"
Du jisbon
VLS :)

super Lizzi est en vie, et en plus ses parents se sont rapprochés
vivement la suite alors

ouf bah ça avance! du Jisbon et une Lizzie en bonne santé! merci à toi! vais pouvoir allez bosser peinard! mais si à mon retour M pouvait s'être fait envoyer bouler, ce serait le nirvana! en plus il m'énerve à vouloir s'interposer entre Teresa & Patou! comme si il était interessé par les enfants!? pff tu parles, tant qu'il se fait la mère tout baigne

VLS

Trop bien j'adore =)
Ah mais Teresa elle m'a gavé j'avais envi d elui donner des baffes là et Mashburn, pour qui il se prend lui ce bourgeois à la con xD

Yeah vivement le retour de la famille Jane !!! ^^

Super chapitre
Tout en tendresse
Et Lizzie qui est saine et sauve, maintenant ils vont pouvoir reformer leur famille j'espère, sans Mashburn

VLS :vivement: :vivement:

Si la petite ne serait pas venu ils l'auraient fait ... Rhaaaaaaaa ! Enfin on peut pas lui en vouloir !

Voici la suite...

Je trouve que ce chapitre n'est pas très proche de la série et je suis assez déçue
Je vous laisse lire pendant que je vais me cacher

Bonne lecture...


…

Mais tout à coup, une voix étranglée d’une petite fille résonne dans leur espace intime :
- Maman…
Le couple se regarde avec les yeux écarquillés, se tourne derrière le dos de Jane en apercevant trempée de la tête aux pieds une petite fille brune :
- Maman… Papa… Dit-elle d’une voix douce
- Lizzie ! S’exclament Patrick et Teresa
Lizzie se précipite en sanglots dans les bras de ses parents qui la serrent très fort pendant plusieurs minutes avant que la petite fille fait face au regard de ses parents :
- Tu nous as fait une de ces peurs chérie. Dit son père dans un soupir de soulagement en caressant les cheveux ébène de son enfant
- Fais-moi une promesse, ne me refais jamais cela. Ajouta sa mère en tenant son visage dans ses mains
- Je te demande pardon maman. S’excusa Lizzie en sanglots ; j’ai entendu ce que papa a dit et papa a raison, tu es la plus merveilleuse et la plus grande des mamans du monde. Ajouta-t-elle
Sa maman est émue en entendant de jolies paroles sortant de sa bouche qu’elle lui sourit en versant une larme et la sert dans ses bras sous le regard tendre de son papa qui admire ce moment de tendresse entre une mère et son enfant :
- Je t’aime maman. Murmura Lizzie à l’oreille
- Je t’aime aussi mon ange. Murmura sa mère à son tour
Elles se serrent fort l’une contre l’autre sous le regard larmoyant de Patrick se s’approche lentement de sa femme et de son enfant sans faire de gestes brusques mais avec prudence en s’attendant à un geste de sa femme pour le repousser. Non. Rien. Il les enlace et elles se serrent tout contre lui pendant plusieurs minutes jusqu’à ce que la pluie cesse de tomber puis que le ciel s’éclaircit.
Lizzie s’éloigne des bras de ses parents en tremblant de froid :
- Tu as froid ma chérie ? Demanda Teresa
La petite fille hoche la tête incapable d’ouvrir la bouche tellement elle est gelée, aussi vite Teresa enlève la veste de son mari pour la remettre à sa fille pour la couvrir :
- Viens, on te ramène à la maison d’accord ? Dit Patrick
Elle hoche la tête avant que son père la porte de ses bras et quittent leur petit abri pour parcourir la petite clairière afin d’en sortir avec Teresa à leurs côtés…

Pendant ce temps, après avoir cherché dans les moindres recoins du quartier, Rigsby et Mashburn attendent des nouvelles du couple devant la villa de Walter alors que Cho lit une histoire à Simon dans la SUV pour le faire patienter jusqu’à ce que le petit garçon tourne la tête vers la vitre et aperçoit ses parents avec une petite fille dont ses cheveux ébène sont mouillés et ses yeux d’un vert profond larmoyants : Sa grande sœur.
Kimball l’aide à sortir de voiture, le petit garçon se précipite en courant dans les bras de sa maman afin d’être à la hauteur de sa sœur :
- Lizzie ! Ca va ? Demanda son petit frère
- …Oui. Lui répondit-elle d’une voix faible
- On peut rentrer à la maison maman ? Demanda Simon en se tournant vers sa mère
Débitée, ne sachant pas quoi répondre, Teresa laisse son regard plongé dans celui de son fils pendant un moment avant de se tourner vers son amant qui s’avance vers elle ; Teresa pose son fils au sol :
- Reste sagement ici, je reviens. Dit-elle
Elle s’éloigne d’eux en s’avançant vers Walter puis elle jette un œil sur Simon qui tient la main valide de son père alors qu’il tient à son bras Lizzie qui est épuisée ; Teresa s’arrête en face de lui :
- Tu as retrouvé Lizzie à ce que je vois. Constate Mashburn ; comment elle va ?
- Elle est gelée puis fatiguée. Répondit-elle en marquant une pause avant de continuer ; et je crois que sa famille doit être là pour prendre soin d’elle.
Reçu cette phrase comme un électro choc, Walter comprit le choix que sa compagne vient de faire : Retourner auprès de ses enfants mais concernant son mari ? A-t-elle encore des sentiments pour lui ? Envisage-t-elle de recommencer tout à zéro avec lui ? Il n’en avait des doutes mais Teresa n’en avait aucune idée, en tout cas pas pour l’instant.
Elle baisse son regard confus en attendant que Walter dise quelque chose :
- Je comprends. Dit-il en hochant la tête ; je vais prévenir à William de préparer vos affaires.
- Merci. Le remercia-t-elle avec un sourire
- Ecoute Teresa, ce n’est peut-être pas le moment mais… mais il faut que je te dise quelque chose.
La jeune femme fronce les sourcils et attend à ce qu’il lui dise cette chose si important pendant que Patrick observe la scène d’un regard dérouté et triste qui lui pince le cœur, il s’éloigne d’eux par respect pour ses enfants et rejoignent ses amis à côté de leurs véhicules alors que la discussion entre les deux amants se poursuit :
- Tu… Tu t’en vas en Asie !?! S’exclame-t-elle surprise
- 2 semaines pour des conférences et je pars demain. Répondit-il en baissant son regard confus
Teresa met ses points sur ses hanches avec le regard déçu, triste et colérique ; elle soupire profondément avant que son amant ne continue de parler en se rapprochant d’elle et prenant son visage dans ses mains :
- Je crois qu’il serait bien de prendre un peu de recul pour voir où ça nous mène.
- Je le crois aussi et… et je suis désolée pour tout ce qui s’est passé je…
- Ce n’est rien, ne t’inquiètes pas. L’interrompt-il en la regardant dans les yeux.
Ils s’embrassèrent sous le regard de Patrick qui détourne la tête avec une jalousie qui bouillonne au fond de lui avec un pincement au cœur alors que Cho essaye de le consoler en lui tapotant l’épaule :
- Hey ! Sois fort mon vieux ! Ne te laisse pas abattre.
Le séduisant consultant se mord la lèvre supérieure en tournant la tête et la hoche en prenant une bouffée d’oxygène :
- Oui… Oui.
Dans sa tête, il affirme que Kimball et Wayne ont raison. Il ne doit pas se laisser faire, s’il a encore des sentiments pour Teresa, il devait se battre pour la reconquérir et prendre un nouveau départ avec elle ainsi qu’avec leurs enfants ; cette fois est sûre : Patrick est fou amoureux d’elle comme au premier jour ; il est prêt à décrocher la lune, à se sacrifier, à n’importe quoi pour elle comme pour ses enfants. Dans le passé, il avait un but : Capturer RedJohn et se venger ; mais aujourd’hui, son but est : Reconquérir la femme de sa vie, la mère de Lizzie et Simon pour redevenir une famille.


40 minutes plus tard…

Après que Walter a remit les affaires de Teresa et des enfants avant de se dire « au revoir », Lizzie et Simon sont montés dans la DS de Patrick alors que son épouse dans la SUV avec Kimball pour regagner la maison des Jane. Wayne les a quittés en chemin pour rejoindre Grace et leur fille ; dès que Cho a déposé sa patronne devant chez elle, il est partit à son tour.
Dans la chambre de Lizzie, Patrick met sa fille au lit :
- Il est où mon doudou ? Demanda Lizzie d’une voix triste
Son papa regarde à droite et à gauche, jette un coup d’œil vers sa fille qui reste le regarder ; Patrick lève son index indiquant qu’il sait où il se cache ; Lizzie se redresse en le voyant regarder sous son lit… Tout à coup, un petit chien beige et marron apparaît avec son père qui sourit derrière :
- Coucou. Dit-il avec un sourire en secouant la petite peluche
Un sourire rayonnant souligne sur le visage de Lizzie qui prend son doudou des mains de Patrick, elle se rallonge sur son matelas en lovant son doudou contre elle pendant que son père ramène sa couette jusqu’aux épaules :
- Lizzie ?
- Oui papa ?
- Pourquoi tu as fugué ? Demanda-t-il d’une voix calme et douce
- Parce que je ne voulais plus voir l’ami de maman. Répondit-elle du tac au tac
- N’essaye pas de me mentir ma puce, je ne vais pas te gronder. Rassura-t-il en lui caressant les cheveux
Son enfant baisse son regard justement peur de se faire gronder et se cache derrière son doudou ; Patrick se penche vers elle en cherchant ses yeux émeraudes de sa maman, Lizzie jette un œil vers lui en apercevant ses traits lorsqu’il sourit :
- Tu as fugué pour que je puisse avoir l’occasion de voir maman. N’est-ce pas ?
- Non. Ment-elle d’un air innocent
- Ah oui ?! S’exclame-t-il en haussant les sourcils
Face à son regard de son père, elle plonge son regard dans le sien en commençant à faire la même réaction que sa maman quand elle lui indique qu’il a raison : Les joues prenant une couleur rosée, le regard qui se baisse avec une source d’embarras ; soudain, Patrick se penche vers elle qui fut surprise de sentir ses lèvres chaudes se poser sur son front :
- Merci ma puce. Je t’aime. Murmura-t-il à son oreille
Lizzie lui fait un joli sourire qu’il lui rendit, elle ferme les yeux en gardant ce même sourire pendant que son père se lève dès lorsqu’il est au pas de la porte avec la main sur l’interrupteur :
- Bonne nuit papa. Dit-elle les yeux fermés
Il se tourne vers elle en souriant :
- Bonne nuit. Lui répondit-il en éteignant la lumière de sa chambre

Dans le salon, Teresa est près de la cheminée où le feu crépite afin de sentir la chaleur contre sa peau glacée et ses vêtements humides pendant qu’elle regard avec surprise et émotion sur le rebord de la cheminée les photos de son histoire avec Patrick. Leur union sur la plage de sable fin, leur voyage de noces en Australie, la naissance de Lizzie et Simon, leur premier pique-nique en famille sur la plage, l’anniversaire de chacun…
En capturant l’image dans son regard émeraude intense, la jeune femme ferme les yeux en revivant chaque moment magique de sa vie de jeune mariée et de mère de famille comblée et tout devient sourd autour d’elle comme si la Terre s’est arrêtée de tourner ; soudain, elle se met à verser une larme sans se rendre compte :
- Teresa ?
Elle sursauta, renifle en séchant ses larmes, soupire profondément en tournant les talons et se trouve face à un homme craquant blond au regard azur ravageur qui partage sa vie en tant que collègue, ami, amant, mari et père de ses enfants :
- Excuse-moi si je t’ai peur. S’excuse-t-il
- Ce n’est rien. Dit-elle avec un sourire crispé
- Tu regardais les photos ? Demanda-t-il
- Pourquoi tu les as gardés ? Demanda-t-elle à son tour
- Non, réponds à ma question ; vu que c’est moi qui l’aie posé en premier. Répondit-il
Elle se surprit en laissant échapper un sourire et échange un regard intense avec Patrick pendant un long moment jusqu’à ce qu’un frisson parcourt le long de son dos et sort dans ses pensées :
- …Oui. Je les regardais. Ca me drôle de revivre de tels souvenirs. Dit-elle en jetant un œil aux photos
- De tels souvenirs qui ont été les plus moments de notre vie. Constate-il en la regardant dans les yeux
- C’est vrai. Confirma-t-elle
Teresa est surprise par ce qu’elle venait de dire qu’elle est mal à l’aise et commence à sentir une chaleur et une couleur rose pivoine lui monter aux joues alors que Patrick sourit :
- Et alors ? Pourquoi tu les as gardés ? Demanda-t-elle
- Je les ai sortis d’un vieux coffre pour les montrer à notre « nouvelle supérieure » qui voulait accrocher une au mur de son bureau je l’ignore encore pourquoi, elle n’a rien prit et depuis elles n’ont pas bougé. C’est peut-être toi avec tes jolis émeraudes qui l’ont fait fuir ? Si c’est le cas, j’en suis heureux. S’expliqua-t-il
- Patrick ! S’exclame-t-elle avec un soupir d’exaspération en étouffant un rire
Il sourit en riant avant de parler :
- D’accord… Je les ai gardés parce qu’elles sont trop importantes pour moi. En les regardant, je n’ai pas qu’une envie, c’est de revivre ces plus beaux moments avec toi… Oui, je sais ce qu’on en a déjà parlé mais je ne vais pas te brusquer Teresa. Je ne pourrais jamais le faire, parce que je tiens trop à toi.
Elle fut troublée par ses paroles qu’elle n’arrivait plus à ouvrir la bouche, Teresa est de plus en plus troublée lorsque son regard plonge dans le sien d’une telle intensité et douceur que son cœur se met à battre. Patrick se rapproche doucement en caressant sa joue d’une infinie douceur que Teresa soupire d’aise.
Mais elle tourne la tête en sortant de cette transe embarrassante afin de reprendre ses esprits et son mari retire sa main d’un air confus et mal à l’aise :
- Je, je crois que je vais… je vais aller me coucher, il est tard.
- Euh… oui. Oui, c’est vrai. Confirme son consultant avec une moue dubitative, un sourire crispé et un air mal à l’aise ; je… je vais dormir sur le canapé.
- D’accord.
- D’accord.
Ils restèrent se regarder durant un moment :
- Bien. Bonne nuit Patrick. Dit-elle en s’éloignant de lui
- Bonne nuit Teresa. Lui souhaite-t-il d’une voix douce.
Teresa fait quelques pas lorsque soudainement elle s’arrêta net au pas des escaliers ; tourne les talons d’un pas déterminé mais hésitant en s’avançant son mari pour l’embrasser sur la joue et se dirige vers les escaliers en grimpant une à une d’un air troublé alors que Patrick sent sa joue sur laquelle les lèvres de sa femme se sont posées, rougir et il la touche doucement du bout de ses doigts en souriant.

je l cette petite! la digne fille de ses parents!

en tous cas Patou est vraiment a croquer! par contre Teresa m'enerve 1 peu! elle se separe de Jane pour rien et son de M la laisse pour 2 semaines dans un moment difficile et elle dit rien! y a pas un souci

trop bien le bisou mais j'espere que c est pas pour le poignarder dans le dos au retour de !

enfin on verra bien!

en tous cas tres belle suite c est superbe comme toujours

VLS

Merci beaucoup Aurel
Concernant Lisbon, j'ai fait un peu exprès mais un peu déçue aussi que ça n'a pas été proche de la série mais bon si tu dis que t'as adoré c'est ce qui compte
Oui, un petit bisou, pour faire avancer un peu le rapprochement, j'ai plus d'un tour dans mon sac

La suite arrive bientôt

Ca y est, la famille Jane est réunie au complet et Mash s'en va
Super le bisou à la fin, Teresa remonte enfin dans mon estime

VLS

VLS VLS VLS

Lizzie retrouvée, Jane et Lisbon
VLS

aurel a écrit:VLS VLS VLS

Patiente Aurel parce que je sens que le chapitre suivant risque de prendre du temps mais je vais essayer de faire tout mon possible

fait à ton rythme ma belle! c'était juste un moyen détourné pour te soutenir car j'adores ta fic! mais je serais patiente! je sais que c'est pas simple et qu'il ne faut pas forcer l'imagination! tu as tout ton temps!

aurel a écrit:fait à ton rythme ma belle! c'était juste un moyen détourné pour te soutenir car j'adores ta fic! mais je serais patiente! je sais que c'est pas simple et qu'il ne faut pas forcer l'imagination! tu as tout ton temps!

Merci beaucoup pour ton soutien et ta patience ma grande
T'es trop un ange

oh oui fais à ton rythme et ton chapitre n'en sera que meilleur

Vous êtes trop des zamours les filles!!
Vous me faites rougir

oh bah non ne rougie pas, ta fic vaut bien le coup qu'on attende

Oui... Assez discuter, au boulot!
Ohhh... J'oubliais...

Spoiler:

Du moins si vous êtes sage

alors on sera super sage

Ravie d'avoir eu la suite

Pour avoir une suite aussi bien, on est pret à t'attendre lol

Du JISBBON, sa ma manqué

Trop beau ce chapitre!

VLS

Voici la suite...

J'ai mis quelques personnages dont ils vous seront familiers et c'est pour vous, les Shippeuses Compulsives
J'étais en source d'inspiration pour le début mais pour le reste, c'est autre chose

Bonne lecture...



3 jours plus tard…

Ce jour-là, alors qu’on est encore en pleine saison du printemps, c’est un temps d’été qui règne sur Sacramento ; Lizzie fête ses dix ans et toute sa classe a répondu présent pour son goûter d’anniversaire.
Pendant que les enfants sont encore à l’école, vêtue d’un tablier bleu foncé afin de ne pas tâcher sa jolie tenue d’été : une combinaison bustier/pantacourt blanche avec ceinture nouée à la taille ; Teresa sort les cookies du four, les décolle de la plaque de cuisson et les fait glisser encore chaud dans plusieurs assiettes en parties égales.
A l’extérieur, après avoir installé une grande table et plusieurs chaises au milieu de la pelouse, Patrick s’occupe de décorer le jardin en accrochant des ballons, des guirlandes et des serpentins un peu partout pour le plus grand bonheur de sa fille.

Lorsqu’il continue la décoration, le craquant mentaliste détourne son regard en un seul instant mais avec son visage emprisonné entre deux ballons afin d’admirer la beauté de sa dulcinée avec cet ensemble blanc nacré qui montre sa silhouette élancée et élégante, son sourire d’ange et ses yeux émeraudes qui scintillent ; Teresa s’avança vers lui avec deux grandes assiettes remplis de délicieux cookies dans les mains, il reste l’observer intensément en sortant son plus beau sourire en la voyant déposer les assiettes sur la table.

Puis le regard de la jeune femme croise le sien, elle jette un œil sur les ballons qui entourent le visage du séduisant blondinet et ne peut s’empêcher de se retenir de rire :
- Quoi ? Demanda-t-il d’un air interrogatif gardant son sourire
- Avec ces ballons, on dirait que tu as de grandes oreilles. Rit-elle
Il jette un œil à droite et à gauche et se met à rire à son tour en se dégageant de la décoration, il s’approche de la table en inspirant profondément l’odeur des cookies sous le regard noir de Teresa :
- Hum… Ca sent très bon ! Constate-t-il
- N’essaye même pas. Reprit-elle avec un regard noir et méfiant
- De quoi tu parles ? Questionna-t-il d’un air innocent en fronçant les sourcils
- Tu le sais très bien. Lui répondit Teresa gardant le même regard
Il reste la regarder pendant un moment avant de prendre la parole :
- Oh… S’exclame-t-il avec un sourire innocent, d’accord, j’ai compris. Je ne touche à rien.
Sa bien aimée le fusille du regard quelques secondes alors qu’il sourit comme un enfant :
- Oh ! Regarde là-bas ! S’exclame-t-il en pointant son doigt au loin
Elle suit son doigt du regard alors qu’il en profite pour chiper un cookie dans l’assiette mais Teresa le repère sur le fait :
- J’ai réussi !
- Hey !
Il se mit à courir avec le cookie dans la main avec Teresa à ses trousses à quelques centimètres de lui et dès quelques millimètres les sépare, elle se jette sur lui par la taille en le faisant tomber et se trouve sur lui :
- Donne-moi ça ! Exigea-t-elle en en tendant son bras pour atteindre la main de son consultant
- Ah ! Ca jamais. Dit-il en riant
Patrick la fait basculer sur le côté et elle se trouve sous lui en riant comme des adolescents jouant au chat et à la souris :
- Alors, agent Lisbon, vous vous avouez vaincu par votre gentil et honorable consultant ? J’avoue que ça me surprend alors que vous êtes capable d’habitude de mettre un homme à terre. Répliqua-t-il en la regardant dans les yeux avec un sourire espiègle
Elle lui lance un sourire narquois en se redressant afin de lui chuchoter à l’oreille :
- Alors là, tu te mets le doigt dans l’œil.
Là, Teresa le pousse en arrière, le bascule sur le côté et se trouve en califourchon sur lui en réussissant à reprendre le fameux cookie :
- Cette fois-ci, vous avez perdu Monsieur Jane, avouez-le. Insista-t-elle avec un sourire espiègle et un air moqueur en montrant le biscuit bien en évidence dans sa main
- Regarde derrière toi. Dit-il en pointant du doigt la terrasse
Dès qu’elle a le regard tourné, Patrick saisit le petit gâteau de la main de Teresa qui fut surprise de son geste et s’écroule sur le sol avec son consultant sur elle. Ils se mettent à rire comme des gamins :
- D’accord. D’accord, tu m’as eu. Déclare-t-elle
- Comme toujours. Ajouta-t-il
Un fou rire les emporte avant qu’un silence troublant ne s’installe. Le mentaliste reste la contempler avec tendresse en la voyant sourire alors que son regard bleu azur continue toujours à faire de l’effet sur sa partenaire qui fronce les sourcils afin de ne pas montrer qu’il la trouble malgré qu’ils savent aussi bien l’un que l’autre que Patrick arrive à lire en elle comme un livre ouvert.

Avec leurs visages à seulement quelques centimètres l’un de l’autre, Patrick n’a qu’une seule envie, c’est de l’embrasser, sentir ses lèvres douces sur les siennes mais il ne fit rien par peur de la brusquer, que Teresa le repousse et qu’elle le gifle pour s’enfuir après ; il la connaît par cœur et la respecte trop pour lui faire du mal.
Teresa était encore en conflits contre lui mais quand il est près d’elle avec sa façon de la regarder et de lui sourire, ses sentiments prennent le dessus dont elle ne parvient plus à maîtriser…

Soudain, le couple sursauta lorsqu’ils entendent quelqu’un se racler la gorge, ils se tournèrent et se sentent mal à l’aise en apercevant des couples avec leurs enfants qui les observent avec un sourire aux lèvres :
- Ne vous dérangez pas surtout ! S’exprime un homme d’à peine 40 ans avec des accents italiens
Une femme sublime d’origine du Moyen-Orient lui donne une tape sur la tête :
- Tony ! Arrête, tu vas les faire cuire. Reprit-elle
- Non, les faire fuir Ziva chérie. Pas les faire cuire. Lui corrigea Tony
Ziva fait la moue alors que Tony, son mari lui fait un sourire avant de se tourner vers Patrick et Teresa :
- Ah ! Agent DiNozzo, Officier David-DiNozzo, bonjour ! Salua le mentaliste assez mal à l’aise. En faites, j’aidais Teresa à se lever parce qu’elle est tombée, n’est-ce pas chérie ? Dit-il en se tournant vers elle en insistant du regard à ce qu’elle joue le jeu
- Euh… Oui, j’ai… J’ai trébuché mais je, je n’ai rien. Répondit-elle avec un sourire crispé et mal à l’aise ; tu veux bien m’aider à me lever s’il te plaît, chéri ?
Patrick s’exécuta et laisse passer sa femme devant avec un regard tendre avant de s’approcher de Tony & Ziva DiNozzo pour leur serrer la main avant de se tourner vers un autre couple :
- Lieutenant Taylor ! Enchanté ! Patrick Jane. Se présenta-t-il en leur serrant la main avec un sourire amical.
- Enchanté de vous connaître Monsieur Jane. Dit Mac, Teresa.
- Ravie de voir Mac. Dit-elle en lui serrant la main ; Stella.
- Bonjour Teresa, j’adore votre ensemble. Complimenta-t-elle
- Merci, c’est gentil à vous. Sourit-elle
- Bonjour Patrick. Salua Stella
- Bonjour. Lui répondit le consultant. Docteur Tempérance Brennan !
- Bonjour Monsieur Jane. Le salua-t-elle ; Agent Lisbon
- Docteur Brennan. Dit l’agent.
- Désolé, chérie. Je suis en retard. Intervient un homme essoufflé arrivé en enlaçant Brennan
- Seeley, tu n’as pas roulé trop vite, j’espère car c’est la dernière fois que je paie le garagiste. Dit-elle d’un ton sec et agacé
- Oh ! Voyons chérie, je te jure que je n’ai pas roulé vite. Enfin pas trop vite. Jura-t-il
Elle leva les yeux au ciel en esquivant un sourire :
- Monsieur, madame Jane.
- Bonjour Agent Booth. Salua le couple ; Venez, allez mettre les cadeaux sur la table et faites comme chez vous. Reprit Jane
Ils s’exécutèrent alors que Lisbon et Jane explosèrent de rire en effaçant l’angoisse qui pesait sur leurs épaules lorsque les parents des camarades de classe de Lizzie les ont surpris sur le sol l’un sur l’autre comme des adolescents…
Les couples viennent petit à petit alors que leurs enfants ont conclut un arrangement avec leurs parents : Les adultes se rendent chez la famille Jane avec les cadeaux de Lizzie pendant que les enfants prennent le bus en compagnie de la petite fille afin d’arriver en même temps pour plus être pile à l’heure à son goûter d’anniversaire que de rejoindre leurs parents respectifs.

Le Yellow School Bus s’arrêta à quelques pâtés de maison du domicile de Lizzie et Simon, c’est leur papa qui les accueille, il embrasse sa fille en lui souhaitant un « Joyeux Anniversaire ! », embrassa son fiston et guide leurs camarades jusqu’à la maison. Patrick laisse passer les enfants en premier pour rejoindre le jardin pendant qu’il retient sa fille en compagnie de Simon, son petit frère :
- Ferme les yeux, Lizzie.
- Pourquoi ? Demanda-t-elle
- Sinon ça ne serait plus une surprise. Intervient Simon
Son père approuva en hochant la tête alors que la petite fille jeta un œil vers son frère ensuite vers son père puis s’exécuta :
- Parfait. Dit son père. Tu me donnes la main pour que je te guide jusqu’à ta surprise d’accord ?
- D’accord. Dit-elle en riant.
Elle s’exécuta et suit les pas de son père sans dire un mot mais avec un grand sourire aux lèvres qui indique son impatience. Sur la pelouse, ce fut le silence totale mais avec de nombreux sourires et d’étouffements de fous rires en apercevant l’hôte du jour qui fête ses dix ans ; Patrick s’arrêta net sur la terrasse suivit de Lizzie :
- Voilà ma puce. Garde tes yeux bien fermés et ne bouge pas. Conseille-t-il en s’éloignant d’elle
A peine qu’elle a ouvert la bouche, son père a rejoint les invités sur le gazon et lui crie :
- Tu peux les ouvrir.
Elle s’exécuta et sursauta lorsqu’elle voit une foule lui crier « Surprise ! Joyeux Anniversaire Lizzie ! » , Lizzie fut folle de joie et se précipita vers la table où sont exposés ses cadeaux d’anniversaire. Teresa arrive avec un grand gâteau aux trois chocolats, le préféré de Lizzie avec dix bougies allumées dessus, on lui chante à tue-tête :
« Joyeux Anniversaire…
Joyeux Anniversaire…
Joyeux Anniversaire Lizzie…
Joyeux Anniversaire ! »
Ses parents lui disent de souffler ses bougies et de faire un vœu ; la petite fille ferma les yeux en inspirant profondément, souffle ses bougies et tout le monde l’applaudit bien fort avant qu’elle ne s’attaque à l’ouverture de ses cadeaux. Plus Lizzie ouvrait ses cadeaux, plus son sourire s’agrandissait ainsi qui ses yeux qui pétillaient de plus en plus au plus grand bonheur de son petit frère et de ses parents.

Pendant que Teresa coupe le gâteau d’anniversaire, Patrick organise un jeu avec Lizzie et ses camarades pour patienter dont certains papas et mamans participent alors que le reste se discuta entre eux ou échangea quelques mots avec Tess dont le plus souvent est Alysson, Grace, Kimball et Wayne.
Mais la belle brunette au regard émeraude avec le caractère d’une tigresse abandonna la coupure du gâteau pour se réfugier à l’intérieur de la maison pour décrocher son portable :
- Lisbon ?
- Salut Teresa !
- Walter ?! Je m’inquiétais, tu ne devais pas m’appeler dès ton arrivée à Shanghai ? Demanda-t-elle assez inquiète
- Je suis désolée mais mon vol a été retardé de deux heures donc j’étais arrivé plus tard puis j’avais un emploi du temps chargé. S’expliqua-t-il
- Ouais. Je vois. Dit-elle d’un ton sec et méfiant
- Tu ne me crois pas ? Demanda-t-il surpris
- Je ne demande qu’à te croire avec tous ces kilomètres qui nous séparent. Dit-elle avec franchise
- Ce n’est pas grave. Dit-il avec un ton glacial ; je te laisse. Souhaite un bon anniversaire à Lizzie de ma part. Au revoir Tessa.
Elle ne répondit pas alors qu’il a déjà raccroché puis raccrocha à son tour ; une colère s’empare d’elle ainsi que des doutes sur ce soit disant voyage d’affaires qu’il est en train de faire, la jeune femme s’avance d’un pas hésitant et timide vers la fenêtre en observant un homme à la chevelure blonde bouclée ébouriffée au regard bleu azur irrésistible et au sourire ravageur qui n’est d’autre que son consultant, son mari qui joue joyeusement avec les enfants.

Soudain, elle sourit de façon étrange comme si elle venait de se rendre compte de quelque chose alors qu’à l’autre bout du monde, sur le territoire chinois, un millionnaire et une directrice de la police d’état californienne s’offrent du bon temps dans une chambre d’hôtel luxueuse…

Trop trop bien cette suite
Vive les ships!
Jane et Lisbon se rapprochent enfin
Quelle tache ce Mash Bon débarras!

VLS